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| Actualités Algeriennes | |
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Viper Modérateur
messages : 7967 Inscrit le : 24/04/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 4 Aoû 2009 - 12:52 | |
| Rappel du premier message :
la dernière fois que ça bougeais un peu en Kabylie il se sont retrouvé avec une semaine démeute .... _________________ | |
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Auteur | Message |
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Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 14 Jan 2010 - 2:20 | |
| - Samyadams a écrit:
- Fahed64 a écrit:
- Y'a pas que la ZALE BouBou, mais l'ALE avec l'UE signé en 2002 . Ils disent qu'ils étaient en position de faiblesse et veulent tout renégocier
Mais comment font nos voison si rebelle pour ne pas faire une contre révolution C'est la question que je ne cesse de me poser, Fahed Les Algériens sont un peuple à la fois "tête brûlée", très nationaliste et suffisamment instruit, avec des cadres de très grande valeur, pour ne pas se faire facilement mener par le bout du nez ils sont même très critiques envers leur gouvernants et de très bons journalistes ne cessent de tourner ces derniers en ridicule. Sans parler des violentes émeutes qui secouent sporadiquement ce pays voisin. Pourtant, je ne sais pourquoi ils n'arrivent pas à se débarrasser des mafieux qui les gouvernent. C'est pourtant incroyable qu'un pays aussi riche, avec une population aussi instruite, n'arrive pas à mieux se développer. Il y a eu la décennie 80 avec Chadli qui fut catastrophique pour l'économie du pays, ensuite le terrorisme (sa je comprend) mais la, c'est le 3ème pic mondial du brut en 30 ans avec des prix qui permette de faire rentrer du cash-flow immédiatement et toujours rien Quand on compare l'évolution de nos deux nation certes de notre côté on a pas à rougir, mais quand même les Algériens avec tout les moyens qu'ils ont ,arrivent derrière nous dans tout les classements internationaux sauf pour l'IDH e encore ils sont pas loin Sérieux mes compatriotes maghrebin, wake up combien de temps encore allez vous perdre _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Proton General de Brigade
messages : 3496 Inscrit le : 27/06/2009 Localisation : Partout. Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 14 Jan 2010 - 16:52 | |
| - PGM a écrit:
- boutef, en effet a ruiné la relation exterieur de l'Algerie. revendiquer le nif est une chose, le tenir haut en est une autre. Ce que Boutef n'a pas compris, c'est la perception sans nuance des americains.Il n'a pas su s'adapter à la donne. Les US aime savoir a qui il ont a faire, et il est vrai qu'alger ne semble pas avoir de ligne directrice claire. En matière de business, tantôt alger se montre ouvert (et ouvre ses portes aux entreprises US), et tantôt se montre sourcilleux (ouverture totale du marché des hydrocarbures...mais là je soutien Alger). Boutef n'a pas compris, que le créneau dont il rêve secretement, Chavez le rempli déjà. Or les americans classe les pays selon leur conformité à "son modèle", et Alger ne se determine pas clairement. Et quand il le fait, le fait aux cotés des ennemis des americains (selon leur acception étroite). Psychologiquement, Obama est un homme de consensus, mais se froisse vite si vous ne vous inscrivez pas dans ce consensus, et alger sur les dossiers qu'affectionnent les USA (libre échange, ouverture du marché pétrolier, avancées démocratiques, PO, israel et tout le toutim), n'est "constructif" selon leur perception. Boutef n'a pas su décrypter cela. D'autre le fond, sans sincèrité aucune, mais savent ce que washington veut entendre. Ce n'est pas la moindre des qualités d'un diplomate que de savoir se fondre dans le filtre de l'autre.
Ce que je trouve ironique dans cette liste de 14 pays, c'est qu'on y retrouve l'arabie saoudite et l'algerie, 2 pays qui a eux seuls, contribuent pour environ 20 % des souscriptions de bons de trésor US Bref, ils contribuent avec leur argent, a alimenter un pays, et lui donner les moyens de vous chier dessus Un peu de nif imposerait à minima, de la part de ces 2 pays, une petite grève des souscriptions, et vous verrez que dans 1 mois on editera une nouvelle liste !
PGM En même temp boutef et sa bande c'est pas des promus de science pos..que je sache aucun ne dispose du BAC. C'est honteux car y'a tellement d'algérien très cultivés et intélligent..l'algérie mérite mieux que cette momie. Boutef " ci koi li bon trisor?jamer l'algiri ne done l'argen o méricaine tu ti tromp le pgm"_________________ | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 14 Jan 2010 - 16:55 | |
| c´est a eux d´en juger pas nous mon ami _________________ | |
| | | rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 14 Jan 2010 - 17:08 | |
| Les diplômes ne rendent pas intelligents, ils ne servent qu'à donner un niveau scolaire ou universitaire. La bêtise par contre ne nécessite l'obtention d'aucun diplôme. | |
| | | reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 14 Jan 2010 - 18:41 | |
| - Citation :
Le PDG de Sonatrach placé sous contrôle judiciaire
Sonia Lyes INFO tsa-algerie.com. Mohamed Meziane, PDG de Sonatrach, a été placé, mercredi 13 janvier en fin d’après-midi, sous contrôle judiciaire, a appris TSA de source bien informée. M. Meziane a été remplacé à la tête de Sonatrach par Abdelhafid Feghouli, qui occupait le poste de Vice-président "Activité Aval" de la société nationale des hydrocarbures. M. Meziane a été laissé libre à l'issue de son audition. Les deux vice-présidents "Amont" et "Transport" du groupe pétrolier ont également été placés sous contrôle judiciaire, selon la même source. Les trois hauts dirigeants de Sonatrach ont été longuement entendus mercredi par la justice dans le cadre d’une enquête déclenchée sur la gestion de plusieurs dossiers au sein de la compagnie pétrolière, notamment l’attribution de contrats. Les investigations des services de sécurité se poursuivent. D’autres hauts cadres de la compagnie pourraient être interrogés prochainement, ajoute notre source.
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| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 14 Jan 2010 - 20:15 | |
| - Yakuza a écrit:
-
- Citation :
- 13/01/10
Relations bilatérales : Que se passe-t-il entre Alger et Washington ?
B. D. [url=http://www.lejourdalgerie.com/Editions/130110/Rubriques/evenement.htm#1 http://www.lejourdalgerie.com/Editions/130110/Rubriques/evenement.htm#1[/quote[/url]] il y a 4 degré de classement chez la diplomatie Américaine :Ally, Friend, Rival, Ennemi l'Algérie ne saurait prétendre à un statut plus que celui d'Etat "ami" même si elle dépense tout son argent dans des actions de loobying, là on parle pas de dirigeants à corrompre, même le pouvoir d'un président Us est limité et ne peut à lui seul changer les orientations stratégiques de son pays... _________________ "La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu
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| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 16 Jan 2010 - 0:27 | |
| Wake up - Citation :
- Algérie : 31 grands chantiers en souffrance
En Algérie, 31 grands chantiers sont en souffrance. C’est le constat fait par des membres de la Caisse nationale d’équipement pour le développement (CNED). S’exprimant en marge de la cérémonie de lancement du guide de management des grands projets d’infrastructures économiques et sociaux, le DG de la CNED, Farouk Chiali, nous a confirmé ce constat : « Nous avons noté des dépassements de délais et des surcoûts sur beaucoup de projets que nous avons eus à contrôler alors qu’ils étaient déjà en chantier. »
La CNED prend en charge actuellement l’évaluation et le suivi de la réalisation de 31 projets tous secteurs confondus, représentant une enveloppe globale de 3000 milliards de dinars sur un total de 4000 milliards de dinars, soit 75% du programme national des grands projets d’équipement public inscrits à la nomenclature des investissements.
Une autre source proche de la CNED impute les retards et les surcoûts constatés sur presque tous les grands projets lancés ces dernières années au fait que la recommandation de la Banque mondiale relative à une bonne maturation des projets avant la phase de lancement effectif a été peu suivie jusqu’à présent. « Nous avons effectué 25 visites sur le terrain et rédigé 30 rapports contenant les constats des dépassements décelés dans la réalisation des projets », nous informe notre interlocuteur, qui souligne que les rapports sont destinés au ministère des Finances, qui est en charge de les transmettre aux maîtres d’ouvrage concernés, notamment les différents départements ministériels en charge des grands projets. Il est à noter que deux études rétrospectives ont été également commandées à la CNED en vue d’évaluer les projets de l’aéroport d’Alger et celui du complexe hydraulique de Beni Haroun. La CNED suit également depuis son lancement le projet de transfert hydraulique de Hassi R’mel-Tamanrasset qui est un des rares chantiers d’envergure dont la réalisation est suivie, pas à pas, par la CNED et « dont les délais de réalisation sont respectés », nous a affirmé le DG de la CNED.
Évaluation des grandes réalisations
Le guide de management des grands projets d’infrastructures économique et social lancé officiellement hier par la CNED en présence du ministre des Finances, Karim Djoudi, est pensé, dans ce contexte, comme un outil de suivi efficace et rigoureux des grands projets. « Nous voulons mieux contrôler les dépenses publiques concernant les grands projets », a déclaré hier M. Djoudi. Le décret 98 227 du 13 juillet 1998, modifié le 3 mai 2009, avait déjà balisé le terrain réglementaire à travers une nouvelle définition des grands projets et un recadrement des modalités de maturation et d’exécution des projets mobilisant des ressources financières importantes de la part de l’Etat. « Par études de maturation d’un projet ou programme d’équipement public, on entend l’ensemble des études permettant de s’assurer que le projet est de nature à contribuer au développement économique et social à l’échelon national, régional ou local, et que les travaux de réalisation du projet sont prêts à être lancés dans les conditions optimales de coûts et de délais », stipule notamment l’article 6 du décret cité plus haut. La note de présentation du guide exposée hier met en exergue pourtant le fait que jusqu’à présent les grands projets mobilisant d’importantes ressources de l’Etat ont « souvent connu de nombreux problèmes se traduisant par l’allongement des délais et une augmentation importante des coûts d’investissement ». La Cned note aussi que « l’impact économique et social de plusieurs de ces grands projets, parfois mal adaptés à la satisfaction des besoins, reste insuffisant eu égard aux efforts financiers considérables consentis par l’Etat ». Pour remédier à cette situation, la CNED préconise en priorité « l’amélioration de la maturation des grands projets afin de rationaliser l’utilisation des deniers publics et d’en améliorer l’efficacité ».
Par Zhor Hadjam, pour El Watan _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 16 Jan 2010 - 15:31 | |
| - Citation :
- Nouvelles violences contre les populations Kabyles
Publié le 16/01/10
ALGéRIE — Les forces de sécurité algériennes ont mené, mardi 12 janvier, une répression contre les habitants de la Kabylie qui s'apprêtaient à célébrer pacifiquement le nouvel an Amazigh.
En Algérie, les fêtes du nouvel an Amazigh 2960 avaient un goût amer. Les villes de Tizi-Ouzou et de Vgayet étaient en effervescence : des dizaines de milliers de Kabyles ont marché ce mardi 12 janvier pour réclamer l'autonomie de leur région. Dispersées à coup de gaz lacrymogène et de balles en caoutchouc, plusieurs personnes ont été blessées et d'autres, arrêtées par les forces de l'ordre, dont le sort reste toujours inconnu, selon le « Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie » (MAK), initiateur de la marche.
La violente réplique des autorités algérienne était prévisible. Elle s'inscrit dans le long registre de la répression menée par le pouvoir algérien à l'encontre des populations Kabyles depuis les années 80 en passant par les événements du printemps noir de 2001 qui ont fait des centaines de morts et de disparus.
Si la position des autorités n'a pas évolué, celle des militants Kabyles, si. Adoptée officiellement le 14 août 2007 par le Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie (MAK), le projet pour l'Autonomie de la Kabylie (PAK) se présente aujourd'hui comme l'une des alternatives les plus crédibles pour le règlement du dossier Kabyle en Algérie. « Le projet d'une autonomie régionale apparait comme le juste milieu, un compromis pouvant réconcilier les partisans d'une Kabylie devant demeurer comme n'importe quelle autre région d'Algérie, d'une part et de l'autre part, les assoiffés de son indépendance totale » explique Ferhat Mehenni, leader du mouvement autonomiste et président du MAK.
Black-out médiatique
Sur Facebook, Twitter et autres blogs, sympathisants et militants se tiennent informés de l'évolution de la situation, débattent ouvertement de l'option autonomiste et l'avenir de la région. Un récent sondage sur l'autonomie de la Kabylie recrute de dizaines de milliers de votes. Curieusement, en Algérie, mais aussi en Europe, les médias entretiennent un silence coupable sur les événements de mardi. Dans une tribune publiée sur le site d'informations « Vega Media Presse » sur les derniers événements en Kabylie, Chema Gil, directeur du site d'informations Noticias de Murcia et spécialiste des affaires maghrébines, fait remarquer que « L'Algérie terrorise les Berbères de Kabylie, qui font partie de l'authentique identité algérienne ».
C'est que le sujet dérange. Les services algériens DRS font tout pour diaboliser le MAK et son président. Le leader du mouvement autonomiste est régulièrement la cible d'attaques diffamatoires de la presse inféodée au pouvoir. Déjà sous le coup d'un mandat d'arrêt, il est régulièrement mêlé à des fantasmatiques histoires mêlant MOSSAD et autres ingrédients hollywoodiens.
L'attitude du pouvoir en place traduit au fond l'échec de toute la politique étatique menée pour régler le dossier Kabyle et de contenir le mouvement Amazigh et ses revendications : création d'un Haut Commissariat à l'Amazighité, un amendement constitutionnel en 1996. Une Commission (Sbih), chargée de proposer un schéma de régionalisation, a même rendu ses conclusions depuis cinq ans. Sur le terrain, l'engagement de l'État algérien en matière de réhabilitation et de promotion de la culture amazighe est resté au stade du vœu pieu. À l'image de la revendication démocratique du peuple algérien, la question amazighe n'a pas évolué.
C'est que la perspective d'autonomie donne du fil à retordre aux galonnés algériens qui s'opposent farouchement à la proposition du voisin marocain d'octroyer une large autonomie au peuple du Sahara occidental. Devoir s'y conformer pour le cas de la Kabylie et des Touaregs au sud de l'Algérie constitue un vrai péril qui peut saper les fondations même du régime. Inquiet, Ferhat Mehenni met en garde contre la politique du régime algérien, « calquée sur le modèle serbe en ex-Yougoslavie, qui va nous conduire à l'irréparable ». http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=17093&title=Nouvelles%20violences%20contre%20les%20populations%20Kabyles _________________ | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 16 Jan 2010 - 19:47 | |
| Après le soutien de l'Algérie aux mouvements "indépendantistes", il serait peut être temps que le Maroc devienne aussi champion du soutien aux mouvements "autonomistes". Après tout, ça ne peut pas nous déranger, vu que le Maroc s'y est lui même engagé. Et je suis sûr que les Algériens vont énormément apprécier une telle expression de "solidarité" marocaine avec les Kabyles | |
| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 16 Jan 2010 - 23:56 | |
| - Samyadams a écrit:
- Après le soutien de l'Algérie aux mouvements "indépendantistes", il serait peut être temps que le Maroc devienne aussi champion du soutien aux mouvements "autonomistes". Après tout, ça ne peut pas nous déranger, vu que le Maroc s'y est lui même engagé. Et je suis sûr que les Algériens vont énormément apprécier une telle expression de "solidarité" marocaine avec les Kabyles
c'est pas de nos Coutumes de Fourrer notre nez dans ce qui ne nous regarde pas, c'est ce qui nous differentie | |
| | | reese Colonel
messages : 1646 Inscrit le : 10/05/2009 Localisation : alger Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 17 Jan 2010 - 14:37 | |
| - Samyadams a écrit:
- Après le soutien de l'Algérie aux mouvements "indépendantistes", il serait peut être temps que le Maroc devienne aussi champion du soutien aux mouvements "autonomistes". Après tout, ça ne peut pas nous déranger, vu que le Maroc s'y est lui même engagé. Et je suis sûr que les Algériens vont énormément apprécier une telle expression de "solidarité" marocaine avec les Kabyles
la logique voudrait en effet que le berger reponde a la bergere mais le probleme c'est qu il est difficile aux regimes du Maghreb d instrumentaliser ou de favoriser l autonomisme berbere sous peine que l arroseur ne se retrouve arrosé . C est le meme cas de figure avec l 'islamisme militant | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 17 Jan 2010 - 21:40 | |
| le soucis est que le Maroc, serait lui aussi touché par cette indépendance, sachant que les berbères sont au Maroc Algérie et Tunisie |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 17 Jan 2010 - 21:47 | |
| - eagles a écrit:
- le soucis est que le Maroc, serait lui aussi touché par cette indépendance, sachant que les berbères sont au Maroc Algérie et Tunisie
Ne le prends pas au sérieux, Eagles, c'était juste une petite provoc à l'égard de nos amis algériens Histoire de leur faire ressentir ce que l'on ressent quand nos frères soutiennent nos ennemis contre nous A part ça, une régionalisation poussée pourrait être effectivement une bonne solution pour tous les pays maghrébins. | |
| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 18 Jan 2010 - 19:34 | |
| - Citation :
Algérie: la direction demande la suspension de la grève à ArcelorMittal
(AFP)
ALGER — Un tribunal algérien se prononcera mardi sur une demande de la direction d'ArcelorMittal d'Annaba (est de l'Algérie), de suspendre la grève qui paralyse depuis sept jours un complexe sidérurgique dans cette ville, a déclaré à l'AFP un responsable de l'entreprise.
"La direction a introduit devant le tribunal d'El Hadjar une demande visant à la suspension de la grève et le juge se prononcera mardi matin", a indiqué à l'AFP le chargé de la communication d'ArcelorMittal, Mohamed Guedha, joint par téléphone.
Le contact avec le syndicat d'entreprise n'a cependant "jamais cessé", et "la direction reste ouverte à la discussion", a ajouté le porte-parole.
"La situation est de plus en plus critique pour l'entreprise qui perd quotidiennement la production de 3.000 tonnes d'acier, a prévenu M. Guedha.
La grève des 7.200 employés du site a démarré le 12 janvier à l'appel du syndicat qui exige que le plan d'investissement global de la direction inclut la rénovation de la cokerie.
M. Guedah a précisé que ce plan d'investissement se montait "à 200 millions de dollars pour la période 2010-2014 dont 30 millions pour la seule année 2010", mais ne prenait pas en compte la réhabilitation de la cokerie.
Celle-ci emploie 320 salariés. Mise en service en 1978, le coût de sa rénovation a été estimé à 40 millions de dollars par des experts.
"Le plan est axé sur le coeur de notre métier, la cokerie n'est pas indispensable au fonctionnement de l'usine", avait précisé la direction dans un communiqué, à la veille de la grève. "On peut très bien importer tout le coke nécessaire, comme cela se faisait avant la mise en service de la cokerie en 1978", a ajouté M. Guedah.
Il a confirmé que le Pdg du groupe public algérien Sider, actionnaire à hauteur de 30% du complexe d'ArcelorMittal d'El Hadjar, avait demandé une réunion extraordinaire du conseil d'administration de l'entreprise.
Selon M. Kouadria, Sider a fait part dimanche de sa volonté de participer pour 30% au plan d'investissement du complexe. Mais "ArcelorMittal n'a pas encore reçu copie de cette décision de Sider", a affirmé M. Guedah.
L'usine a produit 750.000 tonnes d'acier en 2009, selon la direction. | |
| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 18 Jan 2010 - 20:31 | |
| - Citation :
Le protectionnisme algérien menace les exportateurs tunisiens
19/01/2010
"La Tunisie et l'Égypte sont les plus concernés par la décision algérienne quant à la suspension de l’importation de 1 141 produits de la zone arabe de libre-échange, du fait que 70% des importations algériennes proviennent de ces deux pays. Bien que cette procédure couvre tous les pays arabes sans exception, il y a lieu de s’interroger sur le sort de l’accord commercial préférentiel signé avec la Tunisie parallèlement avec notre adhésion à la Grande zone arabe de libre-échange arabe ". Telle était la déclaration de Slim Othmani, directeur général de la nouvelle conserverie algérienne (NCA) de Rouiba, au quotidien algérien "EL Khabar". Voilà donc une déclaration qui résume tout pour ce qui est de la montée en puissance du protectionnisme algérien. Une autre mesure, après celles relatives à l'investissement étranger en Algérie, qui sème le doute sur le devenir des échanges bilatéraux entre la Tunisie et l’Algérie, alors même que les deux pays ont signé un accord commercial préférentiel, à Tunis le 4 décembre 2008. Certes, il ne faut pas s'aventurer à tirer des conclusions hâtives. Mais, du moins, la question brûlante qui repassera au premier plan est celle relative à la pertinence de la décision algérienne. En termes plus simples, est-ce réaliste, pour le gouvernement algérien, de prendre une telle mesure à l’heure où les dirigeants des deux pays ne cessent d’appeler à exploiter toutes les potentialités visant à parachever la construction de l'édifice maghrébin ?
Avant d'entrer dans le vif du sujet, il s'avère utile de revenir quelque peu en arrière. La Chambre algérienne de commerce et d’industrie vient d’établir récemment une liste de 1141 produits dont le ministère du Commerce veut obtenir l’interdiction d’importation auprès des pays membres de la Zone arabe de libre-échange (ZALE) pour une durée de 3 à 4 ans. Une liste, dite « négative », qui comprend entre autres les produits des secteurs agroalimentaire, agricole, textile ainsi que les produits électroménagers, le carton et le papier. Ce sont des produits relevant de filières considérées comme « prioritaires », d’où la nécessité de les protéger pour une durée déterminée.
D’après des sources algériennes, il s’agit bel et bien d’une période de trêve que les Algériens veulent utiliser à l’avantage de la production nationale. Vraisemblablement, les responsables algériens n’ont pas apprécié le fait que leur adhésion à la Grande zone arabe de libre-échange arabe (GZALE) ne joue pas en leur faveur. En effet, tout le discours algérien s’est focalisé sur la "détérioration" des termes d’échanges de l’Algérie. Les chiffres des échanges entre les pays de la ZALE et l’Algérie, publiés par l’Agence algérienne de promotion du commerce extérieur, ont amplement alimenté ce discours. D’après ces statistiques, les importations de l’Algérie ont augmenté de 28% alors que les exportations hors hydrocarbures ont régressé de 63 %. En effet, durant les dix premiers mois de 2009, les importations sont estimées à 1,37 milliard de dollars, elles ont été de 1,05 milliard de dollars pour l’ensemble de l’année 2008. Il est à préciser que 90% des importations arabes de l’Algérie sont dominés par 5 pays seulement : Tunisie (qui a occupé à plusieurs reprises la tête de classement), le Maroc, l’Arabie Saoudite, l’Egypte et la Jordanie.
Côté exportations, elles étaient de 1,04 milliard de dollars pour les dix premiers mois de 2009, alors qu’elles étaient de 2,18 milliards de dollars pour 2008 dans sa totalité. Selon le rapport de l’Algex, le marché de l'Algérie au sein de la ZALE est à 75 % dominé par la Tunisie, le Maroc, la Libye, le Koweït, la Syrie, et les Emirats Arabes Unis. Les exportations algériennes à destination de la Tunisie sont de l’ordre de 22,5%, devant le Maroc (14,4 %) et la Libye (14 %).
Pour les Algériens, cette adhésion risque de causer des dégâts. Ainsi, l’élaboration d’une liste, renfermant 1 141 produits dont l’importation sera suspendue, est la seule alternative pour garrotter cette hémorragie et stopper la descente aux enfers de leurs exportations. La trêve de 3 à 4 ans permettra, en conséquence, de protéger la production nationale. D’ailleurs, la liste qui couvre les produits agricoles, le textile, le papier et l’électroménager, appartenant à des filières jugées « prioritaires », a été élaborée par la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) en partenariat avec les représentants des entreprises algériennes. Selon Redouane Allili, conseiller du ministre algérien du Commerce, les pays arabes ont déjà obtenu gain de cause concernant ce genre de liste, à savoir le Maroc et l’Egypte pour respectivement 804 et 709 produits. Suivent la Syrie et la Tunisie dans l’ordre de 255 et 161 produits. Enfin, le Liban et la Jordanie pour 41 et 35 produits. Là encore, la décision algérienne place le diable dans le détail. Les pays les plus ciblés sont au nombre de trois : la Tunisie, l’Egypte et le Maroc. Pour ce qui est de la Tunisie, le "Black List" comprend l’huile de soja (100% des importations algériennes proviennent de la Tunisie), la margarine, l'eau minérale et les diverses boissons, le ciment, le coton, les vêtements et les chaussures, le verre et certains métaux. Une véritable problématique qui pointe à l’horizon, selon Slim Othmani, quant au devenir des échanges bilatéraux entre la Tunisie et l’Algérie. Il semble bien que cette nouvelle mesure, trop protectionniste, chez nos frères algériens, aurait des retombées sur les relations de partenariat entre les deux pays. De quelle façon serait traitée cette nouvelle situation par les Tunisiens ? Telle est la question qui se pose.
Bien que les Algériens, conscients peut être de l’ampleur des séquelles que peut laisser cette mesure, ont annoncé qu’ils vont négocier cette liste à l’occasion du sommet économique et social de la Ligue arabe qui se tiendra en février 2010. Cependant, certains observateurs précisent que les négociations ne pourront être entamées que lors de la session de septembre 2010, car cette question n’est pas inscrite à l’ordre du jour de la rencontre du mois prochain. D’ici le mois de septembre, une chose est bien sûre. Les opérateurs tunisiens et algériens, impliqués dans la grande commission mixte, auront l’occasion d’en débattre. Walid Ahmed Ferchichi http://www.businessnews.com.tn/BN/BN-lirearticle.asp?id=1088814 | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 20 Jan 2010 - 1:37 | |
| - Citation :
- LA MISE EN SERVICE DU MÉTRO D’ALGER RENVOYÉE À 2012
L’exploitation commerciale, c'est-à-dire la mise en service effective du métro du d’Alger ne pourra intervenir avant 2012. Amar Tou, le ministre des Transports, qui, il y a trois jours, en faisait l’annonce, rallonge le tunnel dont les Algériens ont cru pouvoir voir le bout au plus tard en 2010. Un autre espoir de malmené ! La prévision, la toute dernière, livrée par le ministre des Transports n’aurait pas mérité que l’on s’y arrête si elle ne balayait, du coup, cette autre datant d’un passé pas lointain et qui nous préparait à voyager en métro dès la fin 2009. En effet, Amar Tou, tout comme le défunt Mohamed Maghlaoui avant lui, répétait à chaque inspection qu’il effectuait dans les galeries du métro que la livraison et la mise en exploitation de la rame allaient s’opérer dans les délais, sans d’éventuelles rallonges. Et ces délais, rappelés à chaque occasion aussi bien par le ministre que par l’entreprise du métro d’Alger, situaient la fin 2009 comme une borne supérieure. Ceux qui ont avalé la couleuvre ne composteront pas de sitôt leur ticket de métro. Deux années encore à attendre. Enfin si aucun retard, désormais légendaire s’agissant du métro, ne vient encore repousser la nouvelle échéance annoncée par Amar Tou à plus tard. Ce qui est valable pour cette ligne horizontale de métro l’est aussi pour la ligne de tramway qui doit prolonger nos «travelling» de la station «les Fusillés» jusqu’à Dergana, dans la lointaine banlieue Est d’Alger. Renvoyés brutalement à nos illusions, au détour d’une virée ministérielle dans l’Oranie, nous devons encore nous préparer à délier nos maigres bourses d’emprunteurs de transport en commun. Le ministre des Transports, toujours depuis Oran, a asséné que les prix de transport urbain allaient être revus à la hausse. Mais que fait-on de l’argent qui nous est soustrait à travers l’institution de la taxe pour les véhicules neufs ? Cette taxe ne devait-elle pas servir au subventionnement des titres de transport public, le métro et le tramway y compris ? Le ministre des Transports doit nous expliquer pourquoi nous devons encore payer plus cher un titre de transport pour lequel nous payons déjà à travers la taxe véhicules neufs. Le Fonds national de promotion des transports collectifs, institué dans le cadre de la loi de finances complémentaire 2008 et alimenté, entre autre la taxe véhicules neufs, a engrangé à la fin 2009 la cagnotte de plus de 15 milliards de dinars. A l’horizon 2012, date annoncée pour la mise en service du métro d’Alger, cette cagnotte devra, si l’on prend les 15 milliards de dinars comme recette moyenne annuelle, tripler. Ce gisement fiscal, en exploitation depuis la promulgation de la loi de finances complémentaire 2008, est censé garantir un titre de transport accessible au commun des voyageurs. Or, avec les augmentations annoncées par le ministre des Transports, ça ne sera visiblement pas le cas.
S. A. I. (Le Soir d'Algérie). _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 20 Jan 2010 - 1:44 | |
| Je crois qu'il y a erreur sur la date, Fahed, C'est 2021, pas 2012, les chiffres ont dû être inversés | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 20 Jan 2010 - 1:53 | |
| Voila comment Boutflika à dilapidé l'argent du peuple Algérien - Citation :
- PARTIE 1 : Comment en est-on arrivé là ?
Comment le pouvoir de Bouteflika en est-il venu à être le plus corrompu depuis l’indépendance ? L’Algérie de Bouteflika croule sous les scandales et se trouve classée aujourd’hui parmi les autocraties les plus corrompues de la planète (lire article de Mebtoul). L’opinion internationale, par cette distinction qui le console du Nobel, l’a ainsi récompensé pour l’ensemble de son œuvre : l’opacité de sa gouvernance, la rapine, l’assassinat des jeunes de Kabylie, le musellement des libertés, la manipulation de la justice, le harcèlement de la presse et des syndicats libres…
Comment en est-on arrivé là ?
La réponse est dans la transformation de l’Algérie en territoire privé par Bouteflika depuis dix ans. Sans contre-pouvoir, sans contrôle par le peuple, fût-il relatif. Un régime illégitime et clanique à l’image des dictatures arabes : une propriété privée hermétique où le pouvoir absolu est sans limites et où l’autoritarisme se présente à l’état pur. Une monarchie archaïque sur le modèle de l’Irak, de la Libye, de la Syrie, de l’Égypte ou de la Tunisie, avec un roi roturier et éternel que personne n’a choisi et qui règne par une dictature de la pire espèce, par l’incurie, la gabegie, l’incompétence et le désordre destructeur . En Joumloukia d’Algérie, version Bouteflika, la corruption se développe d’autant plus facilement que le champ politique est fermé par l’autoritarisme, l’opacité et l’impunité. Seule une république moderne, où l’on ne compte ni sur les sermons ni sur la répression, mais sur des institutions assurant le rôle de garde-fous, sur les libertés, notamment celle de la presse, l’indépendance de la justice, la remise régulière en jeu de tous les mandats, y compris de la fonction suprême, seule une république moderne autorise la mise en œuvre de techniques pour combattre les « rois corrupteurs » quel que soit leur masque.
On y garde le cap à force d’ajustements continuels. Dans une république moderne, on passe régulièrement la tondeuse sur la champ politique où poussent en continu les plantes Bouricha. Cette Algérie championne de la corruption, c’est l’œuvre de Bouteflika. C’est son choix. Bouteflika n’est pas dans la lignée de Jefferson, Kennedy ou de Gaulle, fils de l’alternance démocratique, celle que prescrivait Tocqueville, il y a deux siècles déjà, préconisant que « le plus grand soin d'un bon gouvernement devrait être d'habituer peu à peu les peuples à se passer de lui ». Bouteflika est dans une filiation beaucoup moins prestigieuse : celle de Saddam Hussein, Khadafi, Hafedh El-Assad ou Ben Ali : une créature du despotisme arabe qui compte persuader le peuple de ne pas se passer de lui. Il a tout de ces tyrans pittoresques et cyniques : comme eux, c’est un homme d’origine fruste, un peu rustaud, un peu godiche, qui se voit pris par le vertige de la toute puissance absolue qui s’offre soudain à lui. Un parvenu qui se voit en monarque archaïque ; un fier-à-bras, à l’image de tous les autres, qui tient en otage un pays, maquillé en fausse république, et qui ne compte pas le lâcher. Comme eux, il voit grand et veut aller vite en besogne pour inscrire son nom dans l’Histoire. Comme eux, il n’a pas de contre-pouvoir et ne permettra à aucun de se mettre en place. Comme eux, il veille à l’abolition de toutes les libertés publiques et privées, au règne de la corruption et usera de la répression, c’est-à-dire aux marqueurs universels de la gestion mafieuse de la chose publique. Alors vont en profiter les « amis » du président.
L.M - Citation :
- PARTIE 2 : « Vole, le parrain te protège ! »
L’ancien président de l’Assemblée nationale, Amar Saâdani, est entendu par un juge de Djelfa pour avoir détourné des fonds publics, pendant qu’il était au perchoir, à l’aide de sociétés écrans ! Il ne lui arrivera rien. Saâdani a milité pour un troisième mandat pour Bouteflika. Sa société écran s’appelle Al Karama, allusion à la formule du Président Bouteflika ! Il fait partie des « amis » du président. Ils sont, comme ça, des dizaines, cités par la justice ou par l’Inspection générale des finances, c’est à dire son frère, son chef de cabinet, son responsable du protocole, l’ancien président de l’Assemblée nationale Saâdani, les ministres Chekib Khelil, Belaïz et Toumi, le syndicaliste du pouvoir Sidi Saïd, le wali Bouricha, et quelques dizaines d'autres, tous « épargnés » par le simple fait qu'il soit une relation de Bouteflika. Qui peut douter de la probité d'une relation du président Bouteflika ? « Toutes les affaires de corruption révélées ont un point commun : l’impunité », nous dit El-Watan. L’un des exemples les plus édifiants est celui de l’actuel ministre de la Santé, soupçonné d’avoir détourné des aides destinées aux agriculteurs. L’homme de Bouteflika, Saïd Barkat, « a saisi sa position de ministre de l’Agriculture et de son amitié avec le Président pour se servir et servir son entourage. Pour preuve, il a détourné 70% des aides agricoles destinées aux 14 wilayas du Sud au seul profit de la wilaya de Biskra », écrit l’hebdomadaire El Khabar hebdo. Le journal arabophone a également évoqué l’affaire de l’achat de matériel agricole défectueux, d’une valeur de 1000 milliards de centimes, auprès d’une société espagnole appartenant à l’ex-Premier ministre ibérique, José Maria Aznar. « La procédure d’achat du matériel n’a pas été respectée puisqu’il n’a pas été soumis à un avis d’appel d’offres national et international, tel que le prévoit la réglementation », souligne El Khabar hebdo. Saïd Barkat s’est dit « victime » d’une campagne qui vise à le faire partir du gouvernement. Même si la liste des affaires dans lesquelles est impliqué l’ancien ministre de l’Agriculture paraît encore longue, l’homme est toujours au gouvernement. Il en est de même pour le scandale qui a éclaboussé le secteur de la pêche et a mis le clan de Bouguerra Soltani sur la paille. En octobre dernier, le tribunal de Annaba a eu à juger une affaire de trafic de thon rouge dans les eaux algériennes. Le secrétaire général du ministère de la Pêche, d’obédience MSP, a ainsi été inculpé aux côtés du directeur central de la pêche, de deux armateurs algériens et six turcs. La presse a révélé, par ailleurs, de nombreux dysfonctionnements dans des contrats de pêche au thon, dans les eaux algériennes, conclus avec des sociétés chinoises lorsque Bouguerra Soltani était secrétaire d’Etat à la Pêche de 1996 à 1998. Mais l’affaire qui a été le mieux étouffée est celle de Brown Roots et Condor (BRC). Dans ce dossier traitant de passation frauduleuse de marchés (de gré à gré), Sonatrach aurait confié à cette société 27 projets d’un montant global de 63 milliards de dinars. Le recours de Sonatrach à BRC, malgré les surfacturations exorbitantes, était motivé, selon le PDG actuellement sous mandat de dépôt, par la « précipitation ». « Ce mode de passation de gré à gré a été expressément autorisé sous forme de décisions d’accord prises par le PDG sous le sceau de l’urgence, alors que la nature de ces projets ne le justifiait pas », commentent les rédacteurs du rapport de l’Inspection générale des finances (IGF). D’aucuns pensaient que cette affaire devait signer la mort de la carrière de Chakib Khelil. Il n’en fut rien. La société algéro-américaine a été précipitamment dissoute et plus personne n’aborde ce sujet. Le symbole de la personnalité corrompue proche du président et protégée par ce dernier, s’appelle Mohamed Bouricha, wali de Blida, proche de la famille Bouteflika. Confondu au début de l’année 2005 de corruption, de dilapidation de deniers publics, d’usage de fonds étatiques à des fins personnelles, de trafic de terres agricoles et d’abus de pouvoir, ce préfet bien spécial a joui d’une incroyable impunité pour des délits impardonnables et avérés. Le préfet Bouricha « revendait » pour son compte des terres agricoles appartenant à l’Etat et traitait de manière frauduleuse avec quatre hommes d’affaires qu’il faisait bénéficier de terrains et de marchés douteux en contrepartie de commissions en espèces et en nature. Il a notamment fait acheter par l’hôpital psychiatrique de Blida, et par cinq communes relevant de son territoire, des marchandises surfacturées par son complice Boukrid, un trafiquant de voitures qui, en retour, l’a gratifié de généreuses ristournes. La gendarmerie a établi que Boukrid s’adonnait à la contrebande de voitures avec le propre fils du wali qui, bien entendu, agissait sous la couverture de papa. Avec son autre acolyte El-Hadj, un promoteur immobilier, Mohamed Bouricha a passé un marché encore plus juteux : l’octroi d’un terrain de l'Etat, incessible, en échange de deux somptueuses villas à Alger et d’une limousine au volant de laquelle le très fantasque préfet avait même l’impudence de s’afficher publiquement ! Bouricha avait aussi, selon les journaux, bénéficié d’une maison à Paris offerte par un riche industriel à qui il aurait facilité l’acquisition d’une usine textile. Bref, ce fut un préfet très débrouillard et très riche qui fut démis de ses fonctions en mai 2005, placé sous contrôle judiciaire un an plus tard mais jamais incarcéré. Son fils, après un court séjour en prison, fut libéré en catimini, sans jamais avoir été jugé. Pour des délits dix fois moins graves, les Algériens anonymes ont passé cinq années d’enfermement ! C’est que Bouricha, originaire de Tlemcen, c'est-à-dire de la région chérie par la famille Bouteflika, fait partie du clan des intouchables. A ce titre, il a d’ailleurs mené une hystérique campagne pour le président-candidat aux élections de 2004 et n’a jamais manqué de lui manifester son allégeance. On comprend, alors, que la taule ne soit pas faite pour les amis. En Joumloukia de Bouteflika, les Bouricha resteront une plante vénéneuse mais protégée qui ne s’épanouit que dans le silence de l’obscurité. C’est un phénomène incontrôlable, fatal, connu depuis toujours. Depuis Gustave Le Bon qui, en une vie centenaire, a beaucoup réfléchi sur les déséquilibres du monde mais aussi sur la civilisation des Arabes : « Un dictateur n'est qu'une fiction. Son pouvoir se dissémine en réalité entre de nombreux sous-dictateurs anonymes et irresponsables dont la tyrannie et la corruption deviennent bientôt insupportables.»
L.M. - Citation :
- PARTIE 3 : Comment le pouvoir de Bouteflika en est-il venu à livrer ses hommes ?
Diable ! La république des clans ne partage-t-elle pas avec les jésuites la vertu de ne jamais abandonner ni leurs ennemis ni leurs amis ? On n’a pas reproché à ces courtisans ripoux d’avoir falsifié, truqué ou manigancé. Les acolytes étaient liés au pouvoir par un pacte tacite : en contrepartie du rôle d’exécuteurs de la tyrannie, ils bénéficiaient du droit implicite de monnayer leur activité. On a leur a toujours accordé ce privilège de pouvoir abuser, soit pour le compte d’inavouables raisons d’État soit, à des dimensions plus modestes, pour leur propre compte. Alors, pourquoi avoir sacrifié ces "amis" et laissé éclater les scandales Sonatrach et Autoroute ? C’est toute la tragédie de l’Algérie de Bouteflika, monarchie tellement corrompue qu’elle cesse d’être un État pour devenir une cour, puis une cour elle-même dépassée. Son pouvoir se dissémine en réalité entre de nombreux trafiquants anonymes dont la tyrannie et la corruption deviennent bientôt insupportables pour l’équilibre du pouvoir. Dans cette situation, les « amis » ne comptent plus. On s’en débarrasse. L’essentiel et de « sauver la tête du roi ». Lui, n’a rien à voir dans tout cela. Mieux : il cherche la vérité. Ainsi des journaux proches de la Présidence (Echourouk et Le Temps) nous apprennent-ils que « sur ordre du président », l’enquête sur Sonatrach sera élargie à toutes les transactions touchant les hydrocarbures et les activités conjointes qui sont le plus gros secteur de pots-de-vin et de dilapidation, surtout dans le Sud, espace privilégié du passe-temps des entreprises étrangères qui bénéficient du silence complice des cadres de Sonatrach. On apprend même par Le Temps que « Abdelaziz Bouteflika s'attaque à la corruption dans le secteur agricole » et que les directions des services agricoles ont été destinataires d'une instruction présidentielle relative à la lutte contre la corruption ». Cela est dit très sérieusement, au moment où l’ancien président de l’Assemblée nationale, Amar Saâdani, qui a trafiqué sur la steppe, et Mohamed Bouricha, wali de Blida, proche de la famille Bouteflika, poursuivi pour trafic de terres agricoles appartenant à l’Etat qu’il « revendait » pour son compte, sont toujours en liberté et coulent des jours tranquilles. Pour masquer ces scandales des « amis », on va lancer une « opération mais propres » dans le secteur public. On parle ainsi du groupe pharmaceutique Saidal, dont le directeur général, Rachid Zaouani, a été relevé de ses fonctions, le 15 novembre dernier. Ou encore l’affaire de l’ex-P-DG de la cimenterie de Chlef condamné à deux ans de prison ferme pour «abus de pouvoir» après plainte du syndicat de cette entreprise. Les gestionnaires publics redoutent le spectre d’une campagne «mains propres» dont l’ampleur rappelle singulièrement celle du milieu des années 1990. Une campagne qui ne tardera pas à toucher, selon certaines informations, le deuxième grand groupe du secteur de l’énergie, à savoir la Sonelgaz. Selon le quotidien électronique «Tout sur l’Algérie», l’opération «mains propres» touchera la Sonelgaz, visée par une enquête des services de sécurité. Cette source précise qu’une information judiciaire a été ouverte pour déterminer les responsabilités de hauts cadres du groupe dans l’attribution de contrats dans le domaine des canalisations. Tout est question de bizutage…
L.M. http://www.lematindz.net/news/2935-partie-1-comment-en-est-on-arrive-la-.html http://www.lematindz.net/news/2934-partie-2-vole-le-parrain-te-protege-.html http://www.lematindz.net/news/2933-partie-3-comment-le-pouvoir-de-bouteflika-en-est-il-venu-a-livrer-ses-homme.html _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Samyadams Administrateur
messages : 7134 Inscrit le : 14/08/2008 Localisation : Rabat Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 20 Jan 2010 - 2:46 | |
| Très bon article, merci Fahed | |
| | | Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 20 Jan 2010 - 3:11 | |
| Quand cette Algerie se reveillera t'elle ? | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 20 Jan 2010 - 21:04 | |
| - Citation :
Confidentiel Paris et Alger en froid
La visite à Alger de Bernard Kouchner, prévue cette semaine, a été annulée par le gouvernement algérien. Le ministre des Affaires étrangères devait rencontrer son homologue, Mourad Medelci, pour renouer les fils d’un dialogue difficile, depuis le report sine die du voyage en France d’Abdelaziz Bouteflika, programmé pour le second semestre 2009. Le nouveau refroidissement fait suite à la reprise par Paris de la liste noire américaine qui classe l’Algérie et treize autres nations parmi les pays dangereux en matière de terrorisme. Depuis quelques jours, les ressortissants algériens peuvent être sujets à des contrôles spécifiques dans les aéroports hexagonaux.
source le Figaro . _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 21 Jan 2010 - 18:59 | |
| - Citation :
- BOUTELIKA - TOUFIK : Luttes d’influence autour de la Sonatrach
le 21 Janvier, 2010
Le président-directeur général de la Sonatrach — la plus grande entreprise algérienne, un monopole public qui gère les hydrocarbures et le gaz dans le pays —, ainsi que plusieurs hauts cadres de la société, ont été placés sous contrôle judiciaire, comme le ministre algérien de l’énergie l’a confirmé lundi 18 janvier. Selon la presse algérienne, l’enquête porterait sur des malversations présumées en lien avec des passations de marchés. Mais le fond de l’affaire Sonatrach pourrait s’avérer plus politique.
Contrairement à ce qui a été beaucoup écrit ces derniers jours, M. Abdelaziz Bouteflika n’a pas décapité l’état-major de la Sonatrach – tous des cadres originaires de l’ouest comme lui et nommés par lui – pour lutter contre la corruption. C’est en réalité une initiative des services de sécurité militaire, avec qui le président est en lutte ouverte depuis des mois.
Il va perdre dans l’affaire son dernier point d’appui, le contrôle de la rente pétrolière et des relations avec l’extérieur, intéressé en priorité par le sous-sol saharien. Son ministre du pétrole, en place depuis décembre 1999, est sur la sellette. El Watan, un quotidien francophone qui relaie souvent les vues des services, le met en cause à sa une du 17 janvier. Est-il le bénéficiaire ou le responsable du scandale ? La réponse est dans la question : il doit partir.
Que va faire M. Bouteflika ? Sans doute rien ... Isolé, il n’a pas su depuis dix ans construire et animer une coalition, décevant tour à tour les Kabyles, l’intelligentsia, les technocrates, la jeunesse et sa région d’origine, l’Oranie, victime de la fermeture persistante de la frontière avec le Maroc. Son équipe ministérielle de départ s’est effilochée au fil du temps. Les grandes puissances, enfin, lui battent froid, de Sarkozy à Obama et Poutine, indifférents à ce président in partibus qui tient mal ses promesses. Il n’a plus les moyens de contre-attaquer face à ses adversaires en kaki qui contrôlent tous les services de sécurité. Le DRS, l’ex-Sécurité militaire, a échappé à la présidence en 1990, la Sûreté nationale en 1995 et la gendarmerie nationale reste une force militaire investie de missions de sécurité publique.
Le président peut espérer tout au plus une rémission. Les circonstances l’y aident. L’équipe de nationale de football, engagée dans la Coupe d’Afrique des Nations qui se déroule actuellement en Angola, est qualifiée pour le Mondial, qui aura lieu en Afrique du Sud en juin. Sa réussite captive l’opinion publique et monopolise l’attention des médias. Tant que les Verts gagnent des matchs, leur popularité rejaillit en partie sur lui et le met provisoirement à l’abri. La fête finie, on passera alors, toujours au nom de la lutte contre la corruption, à une autre étape : la mise en cause de son petit frère, Saïd, dont le tout-Alger susurre qu’il collectionne les pots-de-vin.
Sentant la menace, M. Bouteflika l’a éloigné ces derniers mois de la présidence, où il était jusqu’alors incontournable. L’objectif des services est d’obtenir la démission volontaire (au moins en apparence), pour raisons de santé, de M. Bouteflika, qui a été sérieusement malade en 2005-2007. Il y a deux précédents : celui du président Chadli Bendjedid en 1992 et celui de son successeur Lamine Zeroual en 1998. Une virulente campagne de presse contre son bras droit, le général Mohamed Betchine, avait obtenu son départ, suivi par celui du président. Le même homme était à la manœuvre : le tout-puissant général Médiene, chef du Département Recherche et Sécurité (DRS) de l’état-major, en place depuis bientôt vingt ans… Sans son aval, aucune nomination, aucun contrat, aucun accord n’est possible. Depuis la réélection de Bouteflika pour un troisième mandat, en avril 2009, il bloque la constitution d’un nouveau gouvernement, impose au président un premier ministre qu’il déteste et interdit le congrès du FLN, le seul parti encore aux mains de ses partisans. Trois des quatre présidents de la République algérienne depuis l’indépendance ont été déposés ou assassinés. Le cinquième, Abdelaziz Bouteflika, a désormais le choix entre partir, comme Chadli et Zeroual, ou rester, au risque de périr, comme Mohamed Boudiaf en 1992, dans un coup fourré...
Ahmed Djezairi (Paru dans le Monde Diplomatique de Janvier 2010) http://www.lematindz.net/news/2939-boutelika-toufik-luttes-dinfluence-autour-de-la-sonatrach.html _________________ | |
| | | MAATAWI Modérateur
messages : 14756 Inscrit le : 07/09/2009 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 27 Jan 2010 - 16:35 | |
| Algérie: Une corruption à grande échelle - Citation :
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Les scandales financiers n'en finissent pas d'éclabousser la scène algérienne. Pendant ce temps le peuple est occupé avec le football, il N'a d'yeux et d'oreilles que pour son équipe nationale, Comme SI CES n'étaient pas siennes sommes colossales. Pire encore, la rue n'en parle même pas. Tout le monde sait que le pas N'est phénomène nouveau en Algérie, la corruption, l'ONU existe toujours même du temps de Boumediene, mais pas à cette échelle. Ces dix dernières années, elle a pris Une Ampleur gravissime, menaçant même la survie et la Sécurité de l'État. Les malversations, les détournements se font à ciel ouvert, Dans l'impunité totale. Elle Concerne la Sonatrach, l'autoroute Est-Ouest, La Pêche, l'hydraulique, Les Chemins de Fer, Télécom Algérie ..., en un mot tous les secteurs, au point que CERTAINS disent «La Maison tchippa (corruption)» , Versez Nommer l'Algérie. De hauts cadres, des PDG, des directeurs, soupçonnés Sont D'avoir Touchés des pots de vin et de détournements d'argent à Leur but lucratif. Et IL S'AGIT de sommes faramineuses. Qu'on jette alors au pauvre smicard mensuel 15000 DA, Une somme que Ces gens et autres cadres, députés et Sénateurs dépenseraient en moyenne quotidiennement. Sont responsables de la SCÉ Certains l'avancent que l 'tentes Parce Que Leurs salaires ne Sont Pas à la hauteur des Responsabilités Qu'ils assument. Comparés à nos voisins, et A CE QUE TOUCHENT députés Les Justes pour Se présenter au siège du parlement et le bras de levier pour approuver tout, ils se considèreraient sous-payés. Ils Régent des milliards, et la responsabilité est énorme. Ça s'est Une autre histoire, et rien NE PEUT justificateur Le vol de l'Argent de tout un peuple. Ce qui est intriguant Dans ces affaires, NOTAMMENT Celle de Sonatrach (Le PDG A la une Une Arrêté Une ETE), ce que c'est Soit le Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS) Dirigé par les Toufik Général, Qui a mené Enquête L 'et Une dévoilé le scandale, et non Celui de la justice. Pourquoi ce réveil subit de la DRS pour faire le ménage? Est-ce vraiment un sursaut d'orgueil pur sauver l'Algérie du naufrage économique et intégriste Dans Lequel On l'a plongé Decennie Durant cette dernière, ou juste une lutte d'influence autour de la vache à traire qu'est Sonatrach? Est-ce Une guerre contre le camp de Bouteflika? L'empire sur soi Rappelle l'Été Qui a bâti autour de Khalifa Durant les années 90, et que Bouteflika Une Balayé Dès son arrivée au pouvoir. Est-ce la réplique de Ceux Qui étaient derrière Khalifa? Ou alors est-ce juste un scoop pour permettre au contraire à Bouteflika de montrer un autre visage, de redorer son blason, et assoir Encore plus Les Fils Pouvoir et surtout insurer SA Relève et sa Pérennité, Et qui ferait partie d'affaire de l 'ONU? Du bruit, beaucoup de bruit, et dès que le Motus Serait scellé le visage, nous n'entendrions plus parler de Affaires CES? Les loups se sont-ils un jour bouffes entre eux? Concernant l'enquête que Mène la DRS, rien qu'au niveau de la Sonatrach, Plusieurs branches concernées sont. Même le responsable de la construction de la ville nouvelle de Hassi Messaoud (un méga projet), en partie fait. L'image de ce géant des hydrocarbures sera bien ternie, et les Conséquences pourraient même être préjudiciables pour toute l'Algérie. Meziane, le PDG aurait avoué Lors de son interrogatoire, tout en chargeant le Ministre de l'Energie palestinienne L'Américaine et sa femme (une d'origine). L'Algérie aurait DEMANDÉ la collaboration des Autorités Banques européennes et pour s'informer des biens des mis en cause. Les plus Ce serait faire preuve de naïveté, que de croire que nous sommes en présence d'un branchement Une «Propres» de grande envergure. Nous en avons connu d'autres, ya t-UE Quelque IL a Choisi de changement? La lutte contre la corruption, fléau propre à tout État de «non-droit» dont le notre, par passe D'ABORD La création d'un environnement favorable. N'est ce un secret pour personne que plus les affaires de l'État Sont gérées Dans l'opacité, moins il ya de transparence et de démocratie, plus le fléau fait son lit pour gangréner toute la société. S'il Y Avait Une Volonté d'en finir, il aurait Fallu Donc Créer les conditions sinéquanun, par qui passent la démocratisation de la société AFIN d'elargir le contrôle. DES Quand un président s'entoure de gens sur le Soupçons Lesquels ne dit pas que du bien, sur Lesquels pèseraient plus que, un été sur Un jour une préoccupation pour lui du mal à croire que la corruption ait. Pour l'instant, l'ONU Donné le Peuple de pied, et demain sera un autre jour. www-kabylie.com
Dernière édition par MAATAWI le Mer 27 Jan 2010 - 17:26, édité 4 fois | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 27 Jan 2010 - 17:19 | |
| - Citation :
- Algérie : les importations en provenance des pays arabes en hausse de 46,6%
[ 26/01/10 - 15H46 - AFP ]
Les importations de l'Algérie des pays de la zone arabe de libre échange (Zale) ont augmenté de 46,6% en 2009 pour atteindre 1,6 milliard de dollars mais ses exportations vers cette zone ont chuté de près de 50% la même année, ont indiqué mardi les douanes algériennes. L'Algérie a importé pour 1,6 milliard de dollars en 2009 de la Zale, dont elle fait partie depuis un an, en hausse de 511 millions de dollars (+46,6%) par rapport à 2008, selon le Centre national de l'informatique et des statistiques (Cnis) relevant des Douanes, cité par l'agence APS. Durant la même année, les exportations algériennes vers la Zale sont tombées de 246,7 millions de dollars en 2008 à 124,7 millions de dollars en 2009, soit une baisse de 49,44%, a ajouté le Cnis. La plus importante baisse (53,7%) a concerné les produits industriels qui ont totalisé 102,8 millions de dollars en 2009, contre 222 millions en 2008, a précisé cette même source. Le manque à gagner en droits de douanes de l'Algérie résultant de l'octroi des avantages préférentiels aux marchandises des pays de la Zale est évalué à 10,4 milliards de dinars (92 millions d'euros), a indiqué le directeur général du Cnis, Hocine Houri. L'Algérie a entamé de son côté début janvier l'application unilatérale d'une "liste négative" de plus 1.100 produits dont elle interdit l'importation des pays de la Zale pour lutter contre la concurrence déloyale, a indiqué M. Houri. Cette liste comprend plusieurs catégories de produits que l'Algérie veut interdire à l'importation de la Zale pour une durée de 3 à 4 ans, afin de protéger certaines filières prioritaires de sa production locale, notamment dans l'industrie agroalimentaire, l'agriculture, le textile, le papier et l'électroménager. Au sein de la Zale, l'Egypte est le premier fournisseur de l'Algérie avec avec 550,6 millions de dollars (34,3%), suivie de la Tunisie avec 347,5 millions de dollars (+21,6%), l'Arabie saoudite avec 166,5 millions de dollars (+10,4 %), la Jordanie avec 123,9 millions de dollars (7,7%) et le Maroc avec une part de 7,6 % (121,8 millions de dollars), a précisé le Cnis. http://www.lesechos.fr/info/inter/afp_00225018-algerie-les-importations-en-provenance-des-pays-arabes-en-hausse-de-46-6-.htm _________________ "La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu
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