Actualités nationales

Rappel du premier message :

c´est une carte qui n´est pas vraiment tres gagnante pour paris,elle ne sera que contre-productive a moyen terme

De tout facon, on va rapidement retomber dans les 200+ du classement de RSF ...



Même si, j'avoue, ils ont quand même abusé, les journalistes... J'ai pas lu l'article, mais j'imagine que c'était du blabla infondé (comme d'habitude). Il faut croire qu'ils avaient pas captés ce que le terme "diffamation" voulait dire, et encore moins en ce qui concerne la vie du roi ...

Tout ça pour dire "Dessrou"(1) les journalistes, "Kter men l9ias"(2) !

(1)= pas d'equivalent, mais un sens proche du "manque de respect"
(2)= ~"dépasser la limite"

Citation :

La chaîne amazighe lancera prochainement ses émissions

Le Premier ministre s’est entretenu, vendredi à Rabat, avec le recteur de l’IRCAM, Ahmed Boukouss, sur le lancement de la chaîne amazighe et l’insertion de la langue amazighe dans le cursus scolaire. Le gouvernement tient également à faire doter l’IRCAM des moyens nécessaires pour remplir les missions qui lui sont attribuées. Le ministre de la communication, Khalid Naciri, a indiqué que la chaîne amazighe lancera prochainement ses émissions, saluant la coopération fructueuse entre l’IRCAM et les acteurs dans le domaine de la communication.

Source: Aujourd'hui Maroc

H3llF!R3 a écrit:

De tout facon, on va rapidement retomber dans les 200+ du classement de RSF ...



Même si, j'avoue, ils ont quand même abusé, les journalistes... J'ai pas lu l'article, mais j'imagine que c'était du blabla infondé (comme d'habitude). Il faut croire qu'ils avaient pas captés ce que le terme "diffamation" voulait dire, et encore moins en ce qui concerne la vie du roi ...

Tout ça pour dire "Dessrou"(1) les journalistes, "Kter men l9ias"(2) !

(1)= pas d'equivalent, mais un sens proche du "manque de respect"
(2)= ~"dépasser la limite"

Ce que les autorités marocaines n'ont pas compris, c'est que l'on ne peut plus rester dans l'ancien schéma qui consiste a laisser la justice avoir la main lourde, et compter sur une grâce royal pour corriger le tir. Le mal se fait en premier instance et la grace royal n'est pas un instrument pour corriger l'innéficacité de notre justice. Je me demande parfois si nos juges lisent les journaux, notamment étrangers.
Meme si notre "nouvelle presse" a bien du pain sur la planche, et ce n'est pas en les massacrant avec des amendes de plusieurs millions, voire de la prison ferme, que l'on accrédite l'idée qu'ils disent des conneries....ça manque de cohérence tout ça.

PGM

Citation :

Hillary Clinton les 2 et 3 novembre au Maroc (Département d'Etat)

Washington- La Secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, se rendra au Maroc les 2 et 3 novembre prochain pour prendre part à la sixième édition du Forum pour l'Avenir, qui aura lieu à Marrakech, a annoncé mercredi le porte-parole du Département d'Etat dans un communiqué.

Rappelant que les Etats-Unis et le Maroc avaient été les co-organisateurs de la première édition de cette rencontre internationale, qui s'était tenue à Rabat en 2004, Ian Kelly a souligné que le Forum pour l'Avenir est une initiative conjointe des pays du Moyen-Orient élargi et de l'Afrique du Nord et des pays industrialisés du Group des Huit (G8).

Il s'agit, poursuit le porte-parole, d'un partenariat "unique" entre les gouvernements de la région, le G8, les représentants de la société civile et les leaders du secteur privé de discuter et de procéder à un échange d'idées sur les meilleurs moyens de travailler ensemble dans le but de soutenir le progrès et d'élargir les opportunités pour les peuples de la région.

Mre7ba

PGM a écrit:

Ce que les autorités marocaines n'ont pas compris, c'est que l'on ne peut plus rester dans l'ancien schéma qui consiste a laisser la justice avoir la main lourde, et compter sur une grâce royal pour corriger le tir. Le mal se fait en premier instance et la grace royal n'est pas un instrument pour corriger l'innéficacité de notre justice. Je me demande parfois si nos juges lisent les journaux, notamment étrangers.Meme si notre "nouvelle presse" a bien du pain sur la planche, et ce n'est pas en les massacrant avec des amendes de plusieurs millions, voire de la prison ferme, que l'on accrédite l'idée qu'ils disent des conneries....ça manque de cohérence tout ça.

PGM

oui , alors ramenons des journalistes étrangers (par exemple de l'humanité, du monde et de bakchich) faire les juges chez nous puisque c'est leur avis qui est important ..

ce sont donc 2 ou 3 journaleux étrangers qui vont venir expliquer aux marocains ce qu'ils doivent faire et ne pas faire ...

c'est ce genre d'idées qui a poussé certains au maroc à croire qu'ils sont au-dessus du marocain moyen puisqu'un journaleux parisien sera là pour le défendre ( défense miteuse d'ailleurs)

marques a écrit:

oui , alors ramenons des journalistes étrangers (par exemple de l'humanité, du monde et de bakchich) faire les juges chez nous puisque c'est leur avis qui est important ..

ce sont donc 2 ou 3 journaleux étrangers qui vont venir expliquer aux marocains ce qu'ils doivent faire et ne pas faire ...

c'est ce genre d'idées qui a poussé certains au maroc à croire qu'ils sont au-dessus du marocain moyen puisqu'un journaleux parisien sera là pour le défendre ( défense miteuse d'ailleurs)

Pas la peine de ramener des journalistes étrangers pour exprimer leur désacord au sujet des peines prononcées par nos tribunaux dans les affaires de délit de presse, les journalistes marocains n'apprécient pas non plus ce genre de traitement résérvé à certains de leurs confréres. Ce que l'on peut penser des articles incriminés est une chose, les peines privatives de liberté et les énormes amendes auxquels on condamne les journalistes mis en cause est tout autre chose. Envoyer un journaliste en prison parce qu'il a publié un article traitant de l'état de santé du Roi ou d'un membre de sa famille, ca relève de l'oppression. Astreindre un journal à payer une trés lourde amende, sachant trés bien que la presse marocaine dans son ensemble peine à relier les deux bouts relève aussi de l'oppression, sous une autre forme.
Ce n'est sûrement pas comme ça que la liberté de la presse au Maroc peut évoluer. Il y a plusieurs manières de s'y prendre avec la presse de caniveau, nos dirigeants ont choisi la pire. La loi stipule qu'un journal incriminé se doit de publier un article d'excuse envers la personne ou de l'institution diffamée au même endroit que l'article mis en cause. C'est déjà une grave humiliation pour le journal et ses journalistes. C'est leur crédibilité qui en prend un sacré coup, ce qui finit souvent par se traduire par un recul des chiffres de vente. Donc, une amende indirectement payée, mais sur décision des lecteurs, pas d'un tribunal. C'est la sanction morale, plus efficace en terme d'impact sur l'opinion publique que les sanctions pénales. Généralement, la partie plaigante, quand elle est de bonne foi, n'exige pas plus qu'un dirham symbolique. Ce qui compte, ce ne sont pas les dommages et interêts versés à la partie plaignante, mais le fait de laver la réputation salie par l'article mis en cause ou corriger/démentir l'information publiée. Pour justifier une lourde sanction, du genre peine privative de liberté et/ou grosse amende, il faut vraiment prouver qu'il y a eu infraction et mauvaise intention.
Même s'il est vrai que certains organes de presse au Maroc font plus dans la diffamation et la diffusion de ragots que dans le journalisme, ce n'est sûrement pas en opprimant les journalistes que ce genre de presse va disparaître. La lliberté de la presse n'est pas absolue, il y a des limites certes. Mais dans un pays démocratique, il vaut mieux supporter de temps en temps quelques dérapages que d'étouffer la presse. Chaque fois qu'un journaliste prend sa plume, il ne doit se sentir tenu que par le code de déontologie de sa profession, pas par crainte de la censure ou des poursuites en justice. Sinon, il s'autocensure, ce qui est le cas de l'écrasante majorité des journalistes marocains. Surtout que concernant la personne du Roi par exemple, les textes de loi sont loin d'être claires. La loi dit, "Toute atteinte à la personne du Roi", mais ne précise pas ou se termine le droit de la presse de parler du chef de l'Etat et ou commence l'atteinte à sa personne ? Conséquence directe de cette autocensure, notre presse n'est pas crédible au niveau internationale. Et quand nos dirigeants ont besoin de la presse pour défendre leurs positions sur la scéne internationale, comme la question de l'intégrité territoriale, il n'y a aucun organe de la presse nationale ou presque qui ait suffisament de crédibilité et de rayonnement pour ce faire. Ce qui oblige nos dirigeants à s'adresser à la presse étrangére, qui n'a aucune raison de défendre les positions du Maroc, à moins d'en corrompre. Ce qui s'est fait déjà avec des organes de presse français comme l'hébdomadaire Jeune Afrique. Et ca finit par se savoir, ce qui porte un coup encore plus dur à la crédibilté et la réputation du pays.
C'est un simple calcul de pertes et profits que nos dirigeants ne semblent pas capables de faire. Lâcher la bride en ne sanctionnant sévérement que les cas graves et flagrants (diffusion d'informations pouvant réellement porter atteinte à la sécurité nationale, appel à la haine raciale, au meurtre, à la subversion, etc), et gagner en contrepartie une presse crédible capable de jouer son rôle dans la défense des grandes causes de la nation. Ou l'étouffer à coup de lourdes peines judiciaires pour obtenir une presse aux ordres, mais il faut admettre que l'on ne pourra jamais compter sur cette presse pour tenir la dragée haute aux adversaires de la nation.
Il vaut mieux disposer de journalistes fortes têtes, peut être un peu embêtants mais trés utiles en cas de besoin, que des béni oui-oui, sans problèmes mais sans utilité.

100% d'accord avec Samy,
j'ajouterai juste, que si la presse marocaine en est a spéculer (santé du roi ou autre), c'est aussi parce le pouvoir, en 10 ans, n'a jamais accordé la moindre interview à la presse marocaine....a qui on préfère la presse française, et pas forcément la plus pertinente (paris Match!)

PGM

Selon la dernière édition du Journal Hebdo, la chaîne télé France 5 a obtenu l'autorisation de filmer dans le commissariat de Derb Kébir, à Casa, en février 2008, dans le cadre de son émission "Commissariats du monde", un documentaire diffusé en septembre dernier. A en croire le journal, l'émission décrivait le monde glauque des commissariats de manière crue. Mais jamais on ne permettra à une chaîne de télé marocaine de diffuser une émission pareille. Pourquoi c'est permis aux autres de faire du bon travail et pas aux Marocains ? Aux journalistes marocains, les flics répétent toujours, "parlez de nous en bien" Et les gens qui ignorent tout des conditions de travail de la presse marocaine se montrent des plus exigeants envers les journalistes marocains, à qui on reproche de ne pas être à la hauteur de leurs confréres étrangers.
Un jour, un haut responsable d'un parti politique marocain entre dans la salle de rédaction du journal de son parti. Il tenait une copie du journal "Le Monde" pliée sous son bras et a demandé qu'on lui donne une copie du journal publié par son parti. Réaction d'un journaliste présent sur place. "Monsieur, je crois que vous avez acheté le journal français que vous tenez sous le bras. C'est ainsi que les journaux existent et peuvent payer leurs journalistes. Si un monsieur aisé comme vous et militant du parti n'achéte pas notre journal et veut une copie gratuite, qui va en acheter ? Et comment serions nous payés ?"
Depuis, le journaliste en question a dû changer de journal

voila le reportage sur derb lekbir Samy,posté par rmaf

https://far-maroc.forumpro.fr/videos-f17/documentaires-sur-le-maroc-t142-165.htm

Yakuza a écrit:

voila le reportage sur derb lekbir Samy,posté par rmaf

[url=https://far-maroc.forumpro.fr/videos-f17/documentaires-sur-le-maroc-t142-165.htm

https://far-maroc.forumpro.fr/videos-f17/documentaires-sur-le-maroc-t142-165.htm[/quote[/url]]
Cool Merci Yak

Une bonne chose de faites

Citation :

Maroc: interdiction du journal Le Monde des 22 et 23 octobre

RABAT — Les autorités marocaines ont bloqué jeudi la distribution du quotidien français Le Monde qui a publié, dans son édition datée du jeudi 22 octobre, une caricature jugée irrespectueuse de la famille royale, a-t-on appris de source autorisée.
Le Monde daté du vendredi 23 octobre sera également interdit à la vente au Maroc pour des raisons similaires, a-t-on ajouté de même source.
Dans son numéro du 22 octobre, Le Monde a publié à la "Une" un dessin du caricaturiste Plantu montrant une main sortant de l'étoile à cinq branches du drapeau marocain et tenant un crayon dessinant un personnage coiffé d'une couronne, tirant la langue et avec ce qui ressemble à un nez de clown.
"Procès au Maroc contre le caricaturiste Khalid Gueddar qui a osé dessiner la famille royale marocaine", dit la légende accompagnant cette caricature.
"Nous n'accepterons jamais, au motif de la liberté d'expression, une atteinte systématique aux symboles nationaux", a déclaré à l'AFP un haut responsable marocain sous couvert de l'anonymat.
La distribution au Maroc du Monde daté du 23 octobre sera bloquée "dans la même logique", a également annoncé cette source, car contenant une caricature dessinée par le Marocain Khaled Gueddar.
Cette caricature a été publiée par le quotidien Akhbar Al Youm dans son édition datée des 26-27 septembre et fait actuellement l'objet d'un procès au Maroc, intenté par le ministère de l'Intérieur et un membre de la famille royale.
Ce dessin de Khaled Gueddar fait allusion au mariage (le 25 septembre) du prince Moulay Ismaïl, cousin du roi Mohammed VI, avec Anissa Lehmkuhl, une ressortissante allemande de confession musulmane.
Cette caricature, "en relation avec la célébration par la famille royale d'un événement à caractère strictement privé", a été jugée irrespectueuse par les autorités marocaines et le prince Moulay Ismaïl.
Taoufik Bouachrine et Khaled Gueddar, respectivement directeur et caricaturiste d'Akhbar Al Youm, sont depuis poursuivis pour "non respect dû a un membre de la famille royale". Leur procès, commencé le 12 octobre devant un tribunal de Casablanca, reprendra vendredi.
Début octobre, le ministère de l'Intérieur a posé des scellés au siège du journal, interdisant aux journalistes l'accès à leurs bureaux.
Le 14 octobre, le tribunal administratif de Casablanca a rejeté la demande présentée par la défense du quotidien d'annuler la décision du ministère de l'Intérieur d'empêcher l'accès aux locaux du journal.
Le 26 octobre, le même tribunal se prononcera sur une deuxième plainte, déposée par les avocats d'Akhbar Al Yaoum contre le ministère de l'Intérieur pour abus de pouvoir.
Le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a qualifié d'"illégale" la fermeture par les autorités des bureaux du quotidien.

AFP

Ce qui manque aux uns et aux autres au Maroc c'est un tout petit peu plus d'amour inconditionel pour leur patrie. Le Maroc a passe' d'etre l'espoir de la democratie et la liberte' d'expression en afrique et au Moyen Orient a donner l'image d'une dictature bananiere... et le gouvernement ou majzen n'est pas l'unique coupable... tout le monde est entrain de son mieux pour finir definitivement avec le "moroccan dream". J'avais personelement de grandes espoires de voir le Maroc evoluer... mais si ce n'est pas les extremistes musulmans, c'est les extremistes berberes, sinon les journalistes, quoi dire alors des independentistes, et des decisions gouvernamentales interdisant les noms berbers, les decisions judiciaires qui metent en prison ferme avec des loursed comdanations des etudients universitaires, qui ne passeraient pas plus de 24 h dans une commissariat dans n'importe quel pays europeen... au Maroc tous le monde discredit les uns les autres et tous le monde pense qui peut faire mieux... C'est vraiment la catastrophe et le discredit pour votre pays... Si vous penser que j'evite de donner mon opinion sur d'autres institutions de votre pays, c'est pour respect au forum et ses responsables... il y bien de marocains sur ce forum qui savent mieux que moi comment dire les choses sans creer de trobles a personne... n'est ce pas mon admirable ami Samy? j'ai bien aime' tes postes mais n'oublie pas, comme tu sais bien, que le metier de journaliste et plus qu'ecrire dans un journal... il y a bien une ethique professionel derriere que pas tous le monde respect et qui entraines ce tipe de derrapage dans des pays, comme le Maroc, a faible tradition democratique.

"Illy hfer chi hafra tay tih fiha"; "Celui qui creuse un trou fini par tomber dedans", mon cher Léo, c'est ce que dit le proverbe marocain. Au lieu de donner de l'importance à la presse sérieuse et aux journalistes respectueux du code de déontologie de leur profession, nos élites politiques se sont amusés à soutenir discrétement des scribouillards aux ordres, pour se dénigrer les uns les autres par voie de presse interposée. Une fois la mode de la presse de caniveau lancée, il ne leur est plus devenu possible de la maîtriser Tu serais étonné Léo, par le nombre de titres de presse de ce genre dirigés par des agents des services ou de vrais journalistes mais contrôlés par les services . Et ce ne sont pas des outsiders qui sont toujours derrière les scandales. Quelques fois, ce sont des réglements de compte entre hauts responsables qui n'ont rien à voir avec les sujets soulevés. Juste que la publication de telle ou telle bêtise pourrait causer problème à tel ou tel adversaire. Et comme les journalistes sont payés des prunes au Maroc, je te laisse deviner ce qui se passe
Remarque que dans nombre d'affaires de ce genre, le syndicat national de la presse marocaine réagit assez mollement, prenant surtout des positions de principes. Car souvent, sans connaître les détails, on sent bien le coup fourré.
Notre démocratie avance surtout grâce à l'évolution de la société. Nos responsables politiques ne font que suivre en fait, ils ne jouent pas un rôle pionnier en la matière. Ils s'adaptent aux exigences d'une société qui évolue contre vents et marées en faisant semblant de guider le mouvement. C'est le parti anonyme des démocrates marocains, qui n'a ni direction, ni siége, ni cartes d'adhésion, et dont les militants ne se connaissent pas du tout entre eux, qui méne le bal.

Citation :

Dakhla, la perle méconnue du Maroc
L'Etat n'a pas lésiné sur les moyens pour faire de Dakhla une coquette bourgade de province
Alexandre Dupeyron
Cerné par la mer, offrant des paysages à couper le souffle, ce petit coin de paradis situé dans le sud du royaume accueille de plus en plus de vacanciers. En attendant les investisseurs...


Sur la plage qui s’étend à perte de vue, des surfeurs, cheveux blonds et combinaison de rigueur, se dirigent vers la mer pour s’engouffrer dans les vagues. Dans le ciel d’un bleu immaculé, des cerfs-volants géants servant à tracter les planches sont portés par un vent violent. Non, vous n’êtes ni en Australie ni sur une plage brésilienne, mais bien à Dakhla, l’une des villes septentrionales du Maroc. « C’est mon coin de paradis à deux heures d’avion de Casablanca. Mais n’allez pas raconter cela à tout le monde, c’est un lieu qu’il faut protéger », confie Hamid, un Casablancais de 40 ans, qui passe ses week-ends ici.

À l’occasion d’une des épreuves des championnats du monde de kitesurf, des officiels, des élus et des amoureux de Dakhla se sont retrouvés, le 3 octobre, dans la capitale d’Oued Ed-Dahab-Lagouira, l’une des trois provinces du Sud récupérées par le royaume en 1975. Objectif : promouvoir la ville et attirer des investisseurs potentiels. « Il y a à peine dix ans, il n’y avait rien ici. Vous n’imaginez pas les progrès accomplis », se réjouit Hamma Dlimi, wali au ministère de l’Intérieur. Et il suffit de se promener dans les rues de cette coquette bourgade de province pour constater qu’ici l’État n’a pas lésiné sur les moyens.

Désenclavement achevé

Peuplée principalement de militaires et de fonctionnaires, la ville a des routes flambant neuves et une élégante corniche flanquée de cafés et de quelques boutiques. L’électricité, l’eau potable, autrefois réservées à une élite, ont été raccordées jusque dans les quartiers les plus populaires. Les quelque 100 000 habitants disposent d’écoles, d’une médiathèque moderne et accueillent, depuis 2007, un festival de musique dont le succès ne se dément pas. Pour désenclaver la ville, une gare et un aéroport ont été construits, et la RAM assure trois vols par semaine, avec un taux de remplissage de près de 90 %. C’est que Dakhla attire de plus en plus d’étrangers, mais aussi des gens de l’« intérieur », comme Ali, un Oujdi qui a choisi de s’y installer avec sa famille. « Ici, on trouve facilement du travail, et la vie est beaucoup moins chère. On peut faire des économies », explique-t-il. Comme dans les autres provinces du Sud, de nombreux produits de base, comme l’essence, le sucre ou l’huile, sont subventionnés et presque trois fois moins chers que dans le reste du pays.

Ces succès, la région les doit en grande partie à l’Agence du Sud, une structure créée par le roi Mohammed VI en 2002 et dont l’ambition est d’accélérer le développement socio-économique de la région. Dotée d’un budget de 7,2 milliards de dirhams (636 millions d’euros), elle s’est fixé comme priorité la lutte contre l’habitat insalubre et le développement des activités créatrices de revenus. Son directeur, Ahmed Hajji, ne manque pas d’idées. En homme pragmatique, il a d’abord tablé sur le potentiel naturel de la ville, dont son premier atout : la pêche. Les eaux de Dakhla, qui est cernée de toutes parts par la mer, sont exceptionnellement poissonneuses, mais l’activité des pêcheurs de la région n’a jamais été réellement organisée. Autrefois disséminés de manière anarchique sur le littoral, des villages de pêche composés de baraques de tôles accueillaient des pêcheurs venus de tout le pays pour la saison du poulpe. Victimes de potentats locaux, qui imposaient les prix et s’octroyaient de façon autoritaire une partie des revenus, les pêcheurs travaillaient dans des conditions difficiles. Depuis, l’Agence a fait construire un village en dur pour les accueillir. Mais, surtout, une grande halle au poisson, équipée de la technologie dernier cri, a été mise en place pour permettre la vente dans des conditions plus transparentes. « Nous faisons passer les gens de l’économie informelle au formel, précise un des cadres de l’agence. Chaque pêcheur dispose d’un compte en banque sur lequel est directement versé le bénéfice de sa vente. » La puissance maritime de Dakhla pourrait bientôt être décuplée, si l’on en croit le plan du ministre de l’Agriculture et de la Pêche Aziz Akhannouch, qui a annoncé la création d’un grand port au sud de Laâyoune. « Je souhaite que ce port se trouve à Dakhla. Cette ville, qui se situe à seulement 350 km de la Mauritanie, pourrait jouer son rôle de trait d’union vers les pays africains, avec lesquels Sa Majesté veut établir des relations toujours plus étroites », rappelle Hamid Chabbar, wali de la ville.

« Les Caraïbes au Maroc »

L’autre trésor que recèle Dakhla, c’est son immense potentiel touristique. Construite sur une mince bande de terre, entre le désert et l’océan, la ville offre des paysages à couper le souffle. « C’est un peu les Caraïbes au Maroc », s’amuse Gérard, un habitué, qui déguste sur la terrasse de son hôtel des langoustes et des homards fraîchement pêchés. Avec plus de trois cents jours de soleil par an et des plages de sable blanc à perte de vue, la « perle du Sud » a tout d’une grande destination touristique. Pourtant, la ville ne reçoit chaque année que 3 000 à 4 000 touristes, et les infrastructures hôtelières peinent à s’y développer. Dans ces conditions, difficile d’élaborer une stratégie médiatique pour faire décoller la destination. « À court terme, explique le ministre du Tourisme Mohamed Boussaïd, il faut au moins doubler la capacité hôtelière et passer de 1 500 à 3 000 lits. Mais pas question de développer un tourisme de masse à Dakhla. C’est un patrimoine écologique fragile qu’il faut préserver. Je crois en un tourisme de niche, centré sur la nature et les sports nautiques. » Lui-même amoureux de la ville et amateur de kitesurf à ses heures, il est partisan de la création d’un label qui ferait de Dakhla une capitale de l’écotourisme. « Nous avons beaucoup appris des erreurs des autres, poursuit-il, et, pour nous, le contre-exemple parfait c’est le littoral bétonné de la Costa del Sol ou des Canaries. »

Malgré l’immense potentiel de la ville, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon. Quelques pionniers, comme Bernard Vivien, ont ouvert la voie. Tombé amoureux de Dakhla il y a plusieurs années, ce propriétaire de deux riads, à Marrakech et à Fès, a ouvert la première maison d’hôtes de la ville. Soutenu par les autorités locales, il va bientôt lancer une résidence touristique. « Ça n’est pas facile de développer le tourisme dans cette région, reconnaît-il. Il n’y a pas de personnel formé, les contraintes administratives peuvent être assez lourdes et le caractère un peu exceptionnel de cette région en a effrayé plus d’un. »

Une société en mutation

Car si les progrès sont indéniables, beaucoup s’inquiètent de constater que l’initiative privée n’a pas décollé dans la région. « Pendant longtemps, l’État a maintenu la ville sous perfusion, parce tout était à faire et que lui seul pouvait mettre en place les infrastructures de base nécessaires au développement. Mais aujourd’hui, reconnaît sous le sceau de l’anonymat un haut responsable local, il faut couper le cordon ombilical et tout mettre en œuvre pour attirer des investisseurs privés. »

Cette politique d’assistanat, puisqu’il faut l’appeler par son nom, est visible partout. Dans un des quartiers les plus pauvres de la ville, où s’étalaient autrefois des bidonvilles, les habitants se sont vu distribuer du ciment et une somme d’argent pour construire eux-mêmes des maisons, dont la plupart ne sont pas encore peintes. Régulièrement, l’armée vient même leur apporter des vivres financés par l’État. Les responsables de la ville le reconnaissent à demi-mot, il est temps de responsabiliser la population. « En même temps, rappelle le wali, il ne faut pas oublier que la société des provinces du Sud est en pleine mutation. On voit à peine émerger une classe moyenne, mieux formée, et qui développe une certaine culture de l’entreprise. Dans une ville qui n’a connu ses premiers licenciés que dans les années 1990, il ne faut pas être trop impatient. »

Source: JeuneAfrique

Citation :

Sarkozy "consterné" par la profanation de tombes de soldats marocains en France

Paris- Le président français Nicolas Sarkozy s'est dit, jeudi, "consterné" par la profanation, dans un cimetière d'une localité du nord-ouest de la France, de huit tombes de soldats marocains morts pour la libération de l'Hexagone durant la 2è guerre mondiale.



"Le Président de la République exprime sa consternation à la suite de la profanation, au cimetière de Montjoie-Saint-Martin, de huit tombes de soldats marocains qui sont tombés en 1944 lors des combats pour la libération de notre pays", indique jeudi un communiqué de l'Elysée.

"Le chef de l'Etat condamne avec la plus grande fermeté cet acte raciste particulièrement odieux et demande aux services de police et à la justice de tout mettre en œuvre pour retrouver les auteurs de ce geste inqualifiable et de les sanctionner sévèrement", ajoute la même source.

Mercredi matin, un habitant du petit village de Montjoie-Saint-Martin a découvert des tags et des symboles nazis, dont la lettre "H" initiale du nom d'Adolph Hitler, sur les sépultures des huit hommes.

Les tombes ont été profanées dans la nuit de mardi à mercredi, selon les autorités locales.

Ces soldats marocains avaient servi dans la 2e division blindée du général Leclerc qui, avec les Alliés, avait participé à la libération de la France en 1944.

La municipalité de Montjoie-Saint-Martin a déposé plainte et le parquet d'Avranches a ouvert une enquête.

[HS]Hi crepitator.
As tu poste' depuis une conexion mobile? si oui, tu devrais change' le setting pour que tes posts puissent etre lu sur le forum.[HS/]

les cousins nous font de la Pub
boycottez la Turquie et visiter le Maroc

Citation :

Oct 24, 2009 21:46 | Updated Oct 24, 2009 22:24
Marvelous Morocco
By STEVE LINDE

If you're staying away from Turkey because of that country's recent anti-Israel actions, you might want to consider another Muslim country for your next vacation.


Photo: Steve Linde, Linda Epstein

While it is more expensive than Turkey, Morocco has a myriad of marvels attracting tourists from around the world, especially from Europe. During a recent two-week visit, I ran out of superlatives to describe its seemingly endless and diverse beauty, from the powerful Atlas Mountains and the stunning Sahara Desert to the magnificent Atlantic Ocean resorts and the well-designed cities with their impressive public buildings and parks.

The fall is a good time to visit Morocco, when the summer heat is over, although the weather can get quite cold and rainy in some parts of the country as winter approaches.

Many Israelis don't know that you may apply for an individual tourist visa to Morocco, while others feel safer traveling in groups, a popular pastime for some of the estimated one million Moroccan Jews and their offspring who live in Israel. (There was a large group on our plane.)

You should, however, give your travel agent two weeks to apply for your visa (it costs about NIS 400) and make sure it is issued for the day you are scheduled to arrive to avoid problems at the airport in Casablanca.

Citizens of most other countries, including member states of the European Union, the US and Canada, don't require visas.

Because Israel and Morocco don't have diplomatic relations and direct flights, you need to change planes somewhere en route, and my friend and I chose Rome. Despite a few hitches, including a delay for several hours at the Casablanca airport while we tracked down the representative of the local company that issued my visa, the excitement triggered by the "Smile, you're in Casablanca!" sticker I saw at the airport stayed with me during the entire trip.

We started our trip in Casablanca, which is a fascinating city, and you should ignore the recommendations of some guide books and spend a few days exploring Morocco's commercial and cultural center. We thoroughly enjoyed strolling through the Old Medina market, which exudes an authentic ambiance and is inhabited more by locals than tourists. I had the pleasure of a shave by a local barber on a street of barbers, and we tried the local tea in one of the countless cafes.

We also paid an obligatory visit to the nearby Hassan II Mosque, whose 210 meter-high minaret makes it the tallest building in the country.

You can see the Atlantic through the glass floor in the prayer hall. Ordered as a city landmark by the late monarch in 1980 to mark his 60th birthday, it cost more than $500 million to build. Hassan II is the world's third largest mosque and the prayer hall alone can hold 25,000 worshipers, with another 75,000 in the adjacent square.

King Hassan II, you may recall, was a close friend of Israel, and particularly of Shimon Peres.

We also visited the wonderful Jewish Museum in Casablanca, which - interestingly - is the only museum in the city. Situated in an upscale neighborhood called Oasis (you need to take a taxi there, but it's not expensive), it also happens to be the only Jewish museum in a Muslim country.

The museum tells the fascinating history of the Jews of Morocco. Although most of them made aliya after the State of Israel was established, Jews have lived in Morocco for some 2,000 years, making enormous contributions to the country in a variety of fields, including trade, crafts, literature and music.

In his first speech after declaring independence in 1956, King Muhammad V granted Jews full citizenship and both his son, Hassan II, and grandson, Muhammad VI, appointed Jews as top advisers. (The current adviser is André Azoulay.)

There is evidence of a rich Jewish life in cities across Morocco, and we found that Moroccans generally smile upon Jews and Israelis, even exhibiting a special warmth.

We experienced no overtly anti-Semitic or anti-Israeli sentiments, except for a large mural in a small town with a poem of the urban legend blaming Israel for the death of Muhammad al-Dura, the Palestinian boy caught and killed in the crossfire between IDF troops and Palestinian gunmen (whose bullets were ultimately responsible for his death).

We stayed at a medium-budget hotel in downtown Casablanca recommended by the 2009 Lonely Planet guidebook, whose prices are nevertheless outdated. It cost about 350 dirhams for the two of us (there are about 7.5 dirhams to the dollar, and the correct plural for dirham is darahim).

We were very happy with the clean and attractive room, which had a great view of the city, even if the decor was - like much of the artwork in Morocco - a little extravagant.

We splurged for dinner one night by eating at Rick's Café, made famous by the film Casablanca, which is shown repeatedly in a lounge on the second floor. Rick's is high-class dining with fine food, and has a jazz band with a pianist on Sunday nights.

From Casablanca, we took a four-hour train ride south to Marrakesh, the tourist hub of the country. Again we stayed in a medium-budget hotel, which we found quite satisfactory.

We were a little overwhelmed by the huge number of tourists packing the exotic Djemaa el-Fna square in the city's Medina, with its snake charmers and storytellers, surrounded by stores selling everything from Berber medicines to shoes made from camel leather.

Of course, we sampled the delicacies at open-air food stalls and regular restaurants offering the traditional Moroccan specialties of tajine chicken and lamb, couscous and harira soup. We also treated ourselves in Marrakesh to a superb rubdown and massage at a local, upscale hamam.

But the highlight of the trip was still to come. We rented a car with a local friend and drove east, via the international film studios in the desert to the staggering Dades Gorge in the High Atlas Mountains, where we spent the night at a luxurious hotel overlooking a river (about 600 dirhams per night for a double room, including dinner), and then to the Sahara for a camel ride into the sunset and a very comfortable night in a private tent with a group of Spanish tourists as our "neighbors."

The desert was breathtaking, and the experience - of which photographs give you only a partial sense - is something that will be etched in our memories forever.
Camel-riding in the Sahara.

If you go to Morocco, I recommend setting aside at least a few days at a desert hotel in the area of Marzouga to soak up the sun and the beauty. (Most of the hotels also have pools.)

After returning to Marrekesh, we took a bus to the coastal resort of Agadir, where we stayed in another reasonable but comfortable hotel near the sea, and enjoyed a few days of relaxation on the beach, people-watching and playing Scrabble. We also discovered a few good fish restaurants in Agadir.

The city, which once had a thriving Jewish population, has been beautifully restored since its devastating earthquake in 1960, and we were impressed by its lovely parks and gardens, one of which has a beautiful building housing a free library for children that allows kids to take out books and read them in the park. A brilliant idea!

The nine-hour bus ride from Agadir back to Casablanca on a local bus was tiring but fascinating, and we happened to sit behind a young Moroccan man who knew Hebrew and had worked as a chef at a restaurant in Tel Aviv.

In Casablanca, at the Jewish Museum, we met an interesting couple, a Russian Jewish immigrant to New York and his Japanese wife. They were such lovers of Israel that when Operation Cast Lead began, they hopped on a plane and spent the war volunteering at Ketziot.

We spent our last night in Casablanca dining at the superb Taverne du Dauphin fish restaurant and taking our last walk through the night market and the city's shanty town, which is being rebuilt upon the instructions of the king. It was this slum that provided the recruiting ground for the terrorists who carried out the Casablanca bombings in 2003 (which targeted Jewish institutions) and 2007. The current regime has reported some success in cracking down on terrorists and encouraging moderate Muslim parties.

The royal family is by all accounts loved and respected by most Moroccans. People we talked with say the 46-year-old king, who has been on the throne for a decade, is more open-minded, democratic, caring and generous to the poor than his late father.

Morocco currently has a population of some 35 million, with under 10,000 Jews remaining of a community that exceeded a quarter of a million before 1948.

Although the gaps between rich and poor remain stark, the country really seems to care about its citizens, providing a wealth of services to all its people, including the needy.

According to the Tourism Ministry, almost 8 million tourists visited the country in 2008, an increase of 6.4 percent over 2007.

Although tourism is down this year due to the global economic crisis, the ministry aims to reach the figure of 10 million tourists in 2010. Marrakesh is the favorite destination of visitors, especially from Europe, and of the more than 150,000 beds offered to tourists throughout Morocco, almost a third are in Marrakesh.

Because most tourists speak French and Spanish, it is rare to find Moroccans who speak good English, but English is slowly catching on as the youth watch more television, surf the Internet and listen to American and British music.

The Moroccans are warm and hospitable to visitors, and service at hotels, restaurants and stores is excellent. Israel and other countries can learn a lot from Morocco. While many areas outside of the cities resemble a third-world country, it provides first-class service to tourists, and Israeli visitors will certainly find the country as attractive and pleasing as Turkey, if not more so.

http://www.jpost.com/servlet/Satellite?apage=2&cid=1256150040076&pagename=JPost%2FJPArticle%2FShowFull

Mrehba bihoum Ils sont les bienvenus au Maroc. Plus il y aura de touristes israéliens, plus la réputation du Maroc comme pays tolérant et ouvert se renforcera auprés des pays occidentaux
Merci à nos cousins turcs

crepitator a écrit:

hilary clinton au Maroc en novembre pour le forum de l'avenir

Citation :

APA- Rabat ( Maroc) La Se­cré­taire d'Etat amé­ri­caine, Hil­la­ry Clin­ton, ef­fec­tue­ra sa pre­mière vi­site au Maroc, en sa qua­li­té de chef de di­plo­ma­tie, les 2 et 3 no­vembre à l’oc­ca­sion de la sixième édi­tion du « Forum pour l'Ave­nir », prévu à Mar­ra­kech, au centre du pays, rap­porte jeudi la presse ma­ro­caine.

Le Forum pour l'Ave­nir, dont la pre­mière édi­tion a eu lieu en 2004 au Maroc, est une ini­tia­tive conjointe des pays du Moyen-​​Orient élar­gi et de l'Afrique du Nord et des pays in­dus­tria­li­sés du G8, pré­cise cette source ci­tant le porte pa­role du dé­par­te­ment d’Etat amé­ri­cain.




Wa­shing­ton et Rabat étaient les co-​or­ga­ni­sa­teurs de la pre­mière édi­tion de cette ren­contre in­ter­na­tio­nale.




Selon l’Ad­mi­nis­tra­tion amé­ri­caine, la ren­contre est « un par­te­na­riat unique » entre les gou­ver­ne­ments de la ré­gion, le G8, les re­pré­sen­tants de la so­cié­té ci­vile et les lea­ders du sec­teur privé.




«Sou­te­nir le pro­grès et élar­gir les op­por­tu­ni­tés pour les peuples de la ré­gion » fi­gure au pre­mier plan des ob­jec­tifs dé­cla­rés de ce Forum.

Voila en plus claire ...

Thanks Hell !

Citation :

and Israeli visitors will certainly find the country as attractive and pleasing as Turkey, if not more so.

Dieu nous donne une chance en or pour détourner les quelques 80.000 touristes israéliens qui se rendent en Turquie ! Malheureusement nos brillants cadres du ministère de tourisme n'ont eu jamais l'idée d'ouvrir une ligne aérienne direct entre Israel et le Maroc , ni de faire aucune stratégie de promotion de notre destination ou de se réunir avec les T.O (tours opérateurs) hébreux pour faire vendre "The Magic Morocco" , alors que les israéliens ont un pouvoir d'achat assez élever et nous avons une bonne image chez eux, bref on a laisser passer un marché qui normalement aurais être dû acquis et aurais doper nos arrivés et revenus touristiques , énervant !

La "boulitique" Big Boss, la "boulitique" de bas étage Pas le courage de s'adrsser au peuple marocain pour lui dire, "voilà, nous allons entretenir dorénavant des relations officielles et diversifiées avec Israël sans pour antant cesser de soutenir le peuple palestinien". On se débrouille pour qu'au début, les groupes de touristes israéliens n'aillent que dans les villes et régions ou les gens sont soit habitués à la présence des juifs, comme Essaouira, soit trés ouvert par culture envers tous les étrangers, comme Agadir, ou dans des stations touristiques sécurisées, comme celles que le Maroc est entrain d'édifier, celle de Saaïdia étant déjà opérationnelle. Au fur et à mesure que les Marocains "goûteront" à l'argent des touristes israéliens il sera possible d'élargir le nombre des villes et régions que les touristes israéliens peuvent visiter en toute sécurité.

Le message est clair, pas touche à la famille royale

Citation :

Maroc : Après Le Monde, interdiction du journal El Pais

Le quotidien espagnol El Pais a annoncé lundi que sa distribution avait été bloquée dimanche au Maroc pour avoir publié des caricatures de la famille royale marocaine, une mesure qui avait déjà frappé la semaine dernière son confrère français Le Monde.
"L'édition de ce quotidien repren(ait) une caricature diffamatoire diffusée récemment. Il a été bloqué à l'aéroport de Casablanca", a confirmé à l'AFP une source officielle marocaine.
"Le Maroc est un royaume démocratique, comme le royaume d'Espagne. Il ne peut tolérer la diffamation de ses institutions", a ajouté ce responsable sous couvert de l'anonymat.

El Pais, le plus important quotidien généraliste espagnol, a pour sa part précisé qu'il avait été accusé par les autorités marocaines d'avoir "attenté à l'institution monarchique" au Maroc, pour avoir reproduit samedi ces dessins, qu'avait déjà publiés Le Monde.
Il s'agit d'un dessin du caricaturiste du Monde Jean Plantu et d'un autre dessin qu'avait publié fin septembre le dessinateur marocain Khalid Gueddar dans le journal marocain Akhbar Al Youm.

La Fédération des associations de journalistes espagnols (FAPE) a "déploré" lundi soir à Madrid dans un communiqué cette interdiction, jugeant "lamentable que le ministère marocain de la Communication opte pour la censure" et menace le "pluralisme de l'information" au Maroc.
Le groupe espagnol Prisa, qui publie El Pais, participe au capital du Monde à hauteur d'environ 15 %.

Outre le journal El Pais, les autorités marocaines ont bloqué la distribution du Monde, qui a publié, dans ses éditions datées des 22, 23 et 24 octobre, des caricatures également jugées "irrespectueuses" de la famille royale.

Source : AFP

Fahed64 a écrit:

Le message est clair, pas touche à la famille royale

Le message est clair, pas de liberté d'expression, pas d'avancees dans les droits de l'homme et vive le tiers-mondisme!