Armée Turque/Turkish Armed Forces/Türk Silahlı Kuvvetleri (Tome II)

Les F-16 turcs aurait mis une raclée aux Eurofighter de la RAF en Turquie pendant l'exercice Anatolian Eagle en 2009..

Les F-16 turcs auraient aussi mis une raclée aux F-15 de l'Us air force pendant l'exercice Red Flag au Usa..

Les F-16 turcs auraient abattus (Laser point) les Eurofighter dans un entrainement en mode Dogfight.. Les entrainements répétés et les Dogfight avec les Mirage 2000 grecs nous ont grandement aider..

http://www.aksam.com.tr/2009/06/16/haber/guncel/4277/kurt_filo_kus_gibi_avladi.html

http://trsavunma.com/?q=node/42204

Voici le nouveau patrouilleur de la marine en construction:

Voici le design du nouveau véhicule de combat de l'armée turque, développer par le FNSS, Aselsan, SinerjiTürk et le SSM:





Aselsan développe aussi un SkyShield version local:

gaz-turbine

Ca ressemble furieusement au oerlikon en 30/35 mm.

PGM

PGM a écrit:

Ca ressemble furieusement au oerlikon en 30/35 mm.

PGM

Je dirais un canon Millenium à la sauce turque plutôt...

Nouveau LPD de la Dzkk, classe Levent:

alors ça je l'aime bien

enfin

Citation :

La Turquie relance un projet de frégates de défense aérienne


La Turquie a relancé récemment un ambitieux programme de construction de 6 frégates de défense aérienne afin de renforcer les capacités de défense de sa marine. Ce projet avait été abandonné il y 9 ans en raison d’une sévère crise économique.

Le sous-secrétariat à l’industrie de défense a réuni début mars des informations auprès de plusieurs compagnies nationales et étrangères souhaitant participer au programme. Surnommé "TF-2000", il devrait couter environ 3 milliards $ (2,17 milliards €).
Le programme devrait être terminé en 10 à 12 ans et donner à la marine turque ses frégates de nouvelle génération.
Le programme avait été lancé à la fin des années 90, mais la crise financière de 2001 avait conduit Ankara à l’abandonner.
En 2006, la Turquie a décidé de relancer le programme, en prévoyant la construction de 6 frégates TF-2000, au lieu des 8 prévues à l’origine.
Il est prévu que le chantier naval militaire de Gölcük construise les 6 bâtiments. Ils seront équipés de systèmes de missiles anti-aériens et anti-missiles, ainsi que d’autres systèmes d’armes.
Compte-tenu du haut degré de transferts de technologie nécessaires, une forte implication étrangère est attendue.

Hurriyet Daily News

Citation :

Indra, to develop a CBRN laboratory for Turkey's Ministry of Defence for USD 4 M

Indra proves its international strong and competitive position in threat countermeasure technologies for defense
March 17 2010
The Ministry of Defence of Turkey awarded Indra a contract to deliver a deployable mobile laboratory for proved analytic identification of Chemical, Biological, Radiological-Nuclear (CBRN) threats. The contract, with an execution period of 18 months, amounts to nearly USD 4 M. This project reinforces Indra's relationship with Turkeys authorities as a technology supplier.
Besides the development of the system, the company will provide thorough logistic support to the laboratory, including training and definition of work protocols.

The company competed with the world's leading companies of the sector. Indra’s capacity to customise the solution to meet the needs and requirements of the Turkish Army played an essential role to win the contract. The award is an evidence of the company's international competitive position in CBRN solutions and systems. NUROL will be Indra’s most important local subcontractor to undertake some mechanical tasks of the contract.

The mobile laboratory will be integrated in a module which allows transportation by helicopter, cargo aircraft or lorry to the operation area.

The solution provides operators with a clean and safe environment where the samples can be analysed and the results transmitted. The system also incorporates a decontamination shower to prevent transfer of possible contaminating agents between external and internal areas.

The company is also engaged in the deployment of an air space surveillance network to reinforce civil air traffic in Turkey. For this reason, Indra will deploy nearly twenty latest-generation secondary radar systems.

CBRNE security in Europe


In addition to this contract, the company was awarded another project by the European Defence Agency (EDA), also in the area of CBRN security.

In this case, the company will define the future European Command and Control system to tackle CBRNE (Chemical, Biological, Radiological, Nuclear and Explosive) threats.

Indra will undertake the development of the technical and operational requirements as well as the most adequate architecture for the future command and control system.The solution seeks to offer a global vision of all CBRNE information existing in the European Union. For this reason, it will process information coming from detection and alert devices deployed in member countries. Besides this, it will gather information from its own sources, external services or other intelligence mechanisms.

In addition, the system will be able to represent the operation scenario graphically and to provide the different corps operating in a certain area (police, firefighters and health authorities) with timely CBRNE information in order to coordinate actions if necessary.

The project, commissioned by EDA is an acknowledgement to Indra’s technological capacity and broad knowledge in CBRNE threat management systems. Among the references of the company in this area, it could be mentioned the deployment of the Radiological Alert Network in Spain, for a non-stop monitorisation of radiation levels across the national territory and the start up of a mobile unit for radiation which was employed during the dismantling of nuclear reactors at the nuclear power plant in Kozloduy (Bulgaria).

Indra is the premier Information Technology company in Spain and a leading IT multinational in Europe and Latin America. It is ranked as the second European company in its sector according to stock market capitalisation, and also the second Spanish company with the most investment in R&D. In 2009, revenues reached € 2,513 M, of which a third came from the international market. The company employs more than 29,000 professionals and has clients in more than 100 countries.

http://www.indra.es/servlet/ContentServer?pagename=IndraES/SalaPrensa_FA/DetalleEstructuraSalaPrensa&cid=1268802045249&pid=1085994341088&Language=en_GB

Aselsan Aselflir 200 test

La Turquie fête le 95ème anniversaire de la victoire navale de Gallipoli... Victoire navale obtenue face à la marine britannique et française.. Une opération s'en suivra, et sa sera une nouvelle défaite pour les alliés..

La bataille de Gallipoli (navale et terrestre) a couté la vie à:

- Turquie: 154 000 tués, 99 000 blessés
- Alliés (Royaume-Uni et France): 147 000 tués, 97 000 blessés, 154 000 malades

La Première Guerre mondiale éclata le 28 juillet 1914 entre les grandes puissances européennes du début du siècle dernier. D’un côté, les forces de la Triple Entente (France, Royaume-Uni et Russie), de l’autre, les forces de la Triple Alliance (Allemagne, Autriche-Hongrie et Italie). La guerre, initialement euro-européenne, s’étendit progressivement au reste du monde, notamment par l’entremise des empires coloniaux. Initialement étranger au conflit, l’Empire ottoman, autre grande puissance européenne, entra en guerre aux côtés de la Triple Alliance en octobre 1914 pour des motifs qui lui étaient propres. Les Turcs voulurent profiter de cette guerre pour chasser les Anglais et les Français des territoires musulmans qu’ils occupaient en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, et pour mettre un terme aux agressions récurrentes de l’Empire russe, qui grignotait régulièrement des territoires ottomans.

Après une guerre de mouvement qui dura quelques mois, le front occidental entrait dans une impasse et s’installait progressivement dans une guerre de position. Incapables de percer la ligne de front, Français et Anglais décidèrent de mener une offensive détournée pour encercler les empires allemand et austro-hongrois. Les deux solutions retenues étaient soit une offensive dans les Balkans, soit un débarquement sur les côtes baltiques de l’Allemagne.

Sur le front oriental, et plus précisément dans le Caucase, les Ottomans causèrent de lourds dégâts aux forces russes. Ces derniers demandèrent des renforts à leurs alliés franco-anglais, ce qui permit de trancher entre les deux solutions retenues pour encercler les forces de la Triple Alliance. Les Anglais décidèrent ainsi de mettre sur pied une expédition navale dont l’objectif serait de bombarder et de prendre la Péninsule de Gallipoli, située sur la rive occidentale du détroit des Dardanelles, puis de marcher sur la capitale du Califat, Istanbul.

L’Empire ottoman exerçait une souveraineté incontestée sur les détroits du Bosphore et des Dardanelles ainsi que sur la Mer de Marmara, passage obligé pour le transit des navires entre la Mer Méditerranée et la Mer Noire. L’Empire russe avait toujours rêvé d’étendre sa domination sur cette région stratégique. La puissance de l’Empire ottoman constitua pendant de nombreux siècles un excellent argument de dissuasion. Plus tard, lorsque le vieil homme malade de l’Europe montrait de plus en plus de signes d’affaiblissement, ce furent les puissances impérialistes occidentales (la France et l’Angleterre notamment) qui s’érigèrent en rempart devant les visées expansionnistes de l’ours russe. Mais désormais, la donne stratégique avait changé et avec elle, les impératifs militaires.

Les Anglais espéraient ainsi mettre la main sur cette région pour mettre les Turcs hors d’état de nuire et alléger la pression que ces derniers exerçaient sur la Russie. La liaison maritime entre les troupes franco-anglaises et l’armée russe serait par ailleurs assurée.

L’offensive, qui tourna à une déroute des plus humiliantes, fut déclenchée le 19 février 1915. La progression s’avéra difficile en raison du mauvais temps et des premiers revers infligés par les Turcs qui coulèrent trois navires anglais et en endommagèrent trois autres. L’artillerie ottomane, positionnée sur les hauteurs surplombant les deux rives du détroit, concentra en effet sa puissance de feu sur les navires qui s’aventuraient dans l’étroit passage. Les Turcs avaient également semé des mines sur toute la largeur du détroit. Le débarquement effectif des troupes alliées ne commença que le 25 avril, après que les Ottomans eurent pu se préparer de manière adéquate via de meilleures fortifications et la mobilisation d’une armée six fois plus nombreuse qu’au début de la campagne.

Malgré une résistance acharnée des Ottomans, les Corps d’Armée Australiens et Néo-Zélandais (Australian and New Zealand Army Corps), communément appelés les Anzac, parvinrent à prendre pied sur une plage de la côté égéenne de la péninsule de Gallipoli. Ce lieu d’où débuta le débarquement allié porte depuis le nom d’Anzac Cove (la baie des Anzac). Pendant ce temps, les Anglais tentaient de débarquer en cinq points différents autour du Cap Hellès. Ils ne réussirent néanmoins à s’établir qu’en trois points seulement avant de demander et d’attendre des renforts. Ce délai qu’ils s’accordèrent jusqu’à l’arrivée de nouvelles troupes profita aux Turcs qui se préparèrent à la contre-attaque.

Épuisées et malades, les forces anglo-saxonnes furent secourues en juillet 1915 par des renforts britanniques. La progression put reprendre, mais dut se rendre rapidement à l’évidence : chaque offensive et chaque débarquement se soldaient par de lourdes pertes causées par les puissantes contre-attaques ottomanes.

Malgré une vive opposition, le Conseil de Guerre anglais décida à la fin de l’année 1915 de mettre un terme à la campagne de Gallipoli (autrement appelée la bataille des Dardanelles) qui tourna au fiasco complet. Les troupes alliées furent évacuées entre décembre 1915 et janvier 1916. Si cette expédition navale avait atteint son but, cela aurait mis fin à la participation des Turcs à la guerre. Des centaines de milliers de soldats périrent au cours de cette bataille, qui constitue le deuxième plus grand débarquement militaire de l’histoire, après le débarquement de Normandie. Trois cent mille Turcs musulmans et deux cent quatorze mille soldats alliés y perdirent la vie. L’unique acquis de la Triple Entente au terme de cette bataille était que les Ottomans desserrèrent leur étau autour des Russes.

La bataille des Dardanelles fut l’ultime grande victoire militaire de l’Empire ottoman dépérissant.

Atatürk sur le front:

Dernière image du corvette lourd Milgem, le moteur et le sonar sont installés, il manque juste le système électronique et le radar, tout sera prêt en mai incha'Allah.. En tout cas beau-gosse :super:

Merci Amraam. Le Vezir-i azzam Erdogan et le chef d'état major pendant la commémoration du 95ème anniversaire de la victoire de Gallipoli le passage des navires de la Dzkk au détroit des Dardanelles:







Un général réconfortant une mère qui a perdu son fils:



Le gouverneur d'Istanbul:

Voici l'arme d'infanterie de l'armée turque, c'est une mélange du G-36, Hk-416 et du M1913.. le système interne est celui du G-36 (Piston a gaz), l'esthétique Hk-416..

Il devrait bientôt passé par la fabrication..

Citation :

Les sous-marins U-209 turcs vont être modernisés


Les sous-marins U-209/1200 turcs (classe Ay) sont les plus anciens sous-marins de la marine turque actuellement en service. Le plus ancien a été mis en service il y a 34 ans, et le plus récent il y a 20 ans.

Lorsque la marine turque a décidé il y a peu d’acheter des sous-marins U-214, la question évidente était de savoir ce qu’elle allait faire de ses vieux Ay. Quelques projets ont été évoqués, envisageant de découper en 2 les sous-marins Ay pour y insérer une section AIP, exactement comme TMKS l’a fait pour une partie des sous-marins grecs (dans le cadre du programme de modernisation Neptune II qui a désormais été abandonné). Cependant, un tel programme de modernisation n’était pas viable économiquement, compte-tenu de la faible durée de vie de ces sous-marins.
Cependant, il semble que la marine turque envisage bien d’en moderniser certains. Les 2 plus anciens seront désarmés dès que les premiers U-214 entreront en service. Pour les autres, le périscope, les systèmes de guerre électronique et de communication seront remplacés. Afin de limiter les cout, il n’est pas prévu d’installer un système de combat moderne, conçu spécialement. Mais ces vieux sous-marins vont avoir un peu plus de punch : il est prévu de modifier 4 de leurs tubes lance-torpilles pour qu’ils puissent lancer des torpilles lourdes Mk48 ADCAP Mod6 AT.

Bosphorus Naval News

Si cette information est bonne, la Turquie disposera de 18 sous-marins avec l'arrivé des 6 U-214..

barbaros pacha a écrit:

Si cette information est bonne, la Turque disposera de 18 sous-marins avec l'arrivé des 6 U-214..

exact d'ici 2015 je crois pas que la greece peut faire la moindre des choses face à ca ...

Citation :

Prototype for Turkish Attack Helo Crashes


By UMIT ENGINSOY and BURAK EGE BEKDIL
Published: 23 Mar 2010 14:39





ANKARA - A prototype for the T-129, an attack helicopter being developed by the Italian-British AgustaWestland for the Turkish Army, has crashed during a test flight in Italy but the pilots survived, the program's main Turkish partner announced March 23.

"An [Agusta-made] A-129 Mangusta helicopter, being used for test purposes for our ATAK program, has crash-landed near Verbania in Italy," the Turkish Aerospace Industries (TAI) said in a written statement.


"The two Italian pilots were injured, but their condition is not life-threatening," it said. "The accident is not expected to affect the ATAK program's development timetable."
One Turkish procurement official said the accident took place March 19.
Under Ankara's ATAK program, AgustaWestland signed a multibillion-dollar contract with Turkey in 2007 for joint manufacture with Turkish partners of at least 50 T-129 attack helicopters. T-129 is the Turkish version of Agusta's A-129.
TAI is AgustaWestland's main Turkish partner in the program.
The first T-129 is to be delivered to Turkey in 2015.

Source : Defense news

barbaros pacha a écrit:

Si cette information est bonne, la Turquie disposera de 18 sous-marins avec l'arrivé des 6 U-214..

18 sans compter le programme de développement des batiments de surface, la Turquie sera sans aucun doute la puissance régional maritime devant la Grèce, Israël et la Russie

Fahed64 a écrit:

barbaros pacha a écrit:

Si cette information est bonne, la Turquie disposera de 18 sous-marins avec l'arrivé des 6 U-214..

18 sans compter le programme de développement des batiments de surface, la Turquie sera sans aucun doute la puissance régional maritime devant la Grèce, Israël et la Russie

18 sous-marins, c'est très bien...

On dépasse depuis longtemps ses pays par rapport à la capacité de la marine.. Un amiral russe avait avoué:

La Flotte russe de la mer Noire surpasse aujourd’hui toutes les flottes des pays riverains de la mer Noire réunies, sauf celle la Turquie. Des unités des forces armées des Etats-Unis sont déjà stationnées en Bulgarie et en Roumanie. Ces Etats sont déjà membres de l’OTAN. La Géorgie rêve d’adhérer à l’Alliance. Le président ukrainien Viktor Iouchtchenko recherche également l’adhésion de son pays à l’OTAN. En ce qui concerne la Turquie, ses forces navales dépassent déjà notre Flotte de la mer Noire à bien des égards. La Turquie qui est depuis longtemps membre de l’OTAN fait la loi dans les détroits. Des escadres de navires et de sous-marins peuvent entrer à tout instant dans la mer Noire : aussi bien celles de la Turquie, que celles de ses alliés au sein du bloc. A l’époque de l’URSS, les Etats-Unis formaient en Turquie des spécialistes pour la guerre contre l’URSS. A présent, la Turquie possède l’une des flottes les plus modernes, ses marins sont parfaitement entraînés.

Par l’amiral Igor KASSATONOV, commandant de la flotte de la mer Noire (1991-92), commandant adjoint de la Marine de guerre russe (1992-99), pour RIA Novosti (propos recueillis par Youri Ploutenko).

http://www.red-stars.org/spip.php?article194

Citation :

MTU Series 4000 engines to power eight new landing ships for the Turkish Navy

Successful cooperation with the Turkish Navy for almost thirty years March 26, 2010 Friedrichshafen/Istanbul | The Tognum subsidiary MTU Turkey will supply, from June 2010, a total of 16 MTU Series 4000 engines to power eight Turkish landing ships for transporting tanks and vehicles. The supply scope of the order placed by SSM, the Turkish government authority, with MTU Turkey also includes the gearboxes and “Bluevision”, MTU ship automation systems for propulsion control. Turkey fully directed development of the landing ships, each of which will be powered by two MTU 16V 4000 M70 diesel engines with a total output of 4,640 kW (6,222 bhp), capable of accelerating the ships to a speed of 20 knots. The ships are being built at the Turkish ADIK shipyard in Istanbul and the engines are to be delivered between June 2010 and the end of 2012. The technical training of crews, maintenance, and logistical support for the marine propulsion systems will be provided by MTU Turkey. Landing ships serve to transport troops and technical equipment by sea, also to secure reinforcements and deliver tanks and other vehicles to otherwise inaccessible coastal areas. They are likewise used to support humanitarian operations, the need for which arises due to, for example, the frequently occurring earthquakes in the region. The Turkish Navy has endorsed MTU’s reliable, powerful and solidly built propulsion systems for almost thirty years. As part of its modernization program, the Turkish naval force is to equip vessels such as MILGEM-class corvettes or Kilic fast attack boats with MTU propulsion plants.

defpro

F-4E

Citation :

Somalie: 9 pirates présumés arrêtés

Une frégate turque a intercepté un canot dans le golfe d'Aden et arrêté neuf pirates présumés somaliens, a annoncé jeudi l'armée turque.La frégate Gelibolu, qui opère avec les forces de l'Otan dans la région, a repéré l'embarcation mercredi, alors qu'elle se trouvait dans le couloir de navigation conseillé aux cargos pour éviter les attaques.

Les neuf occupants du canot ont été arrêtés et du matériel pouvant servir à des actes de piraterie a été saisi, a précisé l'armée turque sur son site internet, qui montre une photo des suspects, les mains en l'air.

Depuis janvier, les pirates somaliens ont attaqué 32 navires, dont sept ont été détournés, a indiqué jeudi le Bureau maritime international.
Huit navires sont actuellement détenus par les pirates, selon la même source.