Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 1 Déc - 11:33

Rappel du premier message :

Économie marocaine - Page 3 573264

Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère ! Économie marocaine - Page 3 Icon_razz

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 22 Déc - 11:11

L'Antidote a écrit:
Citation :
19 entreprises marocaines accèdent au palmarès 2010 du Top 500 sociétés africaines

MAP
voilà l'article explicatif de Jeune Afrique... intéréssant
Citation :
Entreprises : pourquoi le Maghreb monte en puissance
Le classement des 500 premières sociétés du continent que vient de publier Jeune Afrique confirme une tendance de fond : les champions de la région contestent de plus en plus le leadership sud-africain. Une performance qui doit être consolidée par l’essor du secteur privé.

Affrontement Nord-Sud. La bagarre s’intensifie avec l’Afrique comme seul terrain de confrontation. Le onzième palmarès annuel de Jeune Afrique sur les 500 premières entreprises du continent, en kiosque depuis le 7 décembre, confirme une tendance de fond : le Maghreb et l’Afrique du Sud se livrent un bras de fer pour s’assurer le leadership économique du continent.

Avec 278 entreprises sur 500 qui évoluent sous le pavillon de la première économie d’Afrique ou d’un des pays du Maghreb, leur domination ne cesse de progresser. Elles n’étaient en effet « que » 260 l’an dernier. Dans l’édition 2010, 155 sociétés appartiennent à la locomotive économique du sud du continent, contre 123 pour le Maghreb : le Maroc (75 entreprises), la Tunisie (26) et l’Algérie (22). Un très bon résultat pour l’Afrique du Nord, qui place 21 entreprises supplémentaires dans le Top 500. Une percée qui est surtout le fait du Maroc, avec 19 nouveaux représentants. Pour les autres pays de la région, la Société nationale industrielle et minière (Snim) opère une remarquable ascension, passant de la 198e à la 140e place, mais demeure l’unique représentant de la Mauritanie dans le classement. Quant aux Libyens, ils sont adeptes, à la manière suisse, du culte du secret.

Malgré un plongeon dans la récession, le pays de Zuma compte toujours 57 compagnies parmi les 100 premières africaines (16 pour le Maghreb). Et les entreprises classées de la pointe australe totalisent 44 % des 567 milliards de dollars de chiffre d’affaires cumulé par les sociétés du Top 500 (51 % l’année écoulée). Contre près d’un tiers pour le Maghreb. Les algériennes représentent 15,5 % du chiffre d’affaires cumulé, pour 9,4 % pour les marocaines et 2,5 % pour les tunisiennes.

Un coup de maître

Toutefois, comme chaque année, Sonatrach brûle la politesse aux MTN, Sasol et autres Eskom. Le puissant groupe public algérien reste la première entreprise africaine. Avec un chiffre d’affaires de 71,4 milliards de dollars, en hausse de 5,5 % (données 2008), il distance ses deux poursuivants, l’angolais Sonangol (26,6 milliards de dollars de chiffre d’affaires) et le sud-africain Sasol (13,7 milliards). Même fragilisé par la chute des cours du pétrole depuis l’été 2008 – principal paramètre susceptible d’affecter Sonatrach –, le numéro un africain tient bon. « L’objectif est d’atteindre un chiffre d’affaires de 40 milliards de dollars d’ici à la fin de l’année », précisait, fin octobre, Mohamed Meziane, le PDG. Pour rester dans la course, le groupe s’ouvre à l’international, où il veut réaliser 30 % de son chiffre d’affaires en 2015, et s’imagine dans de nouveaux métiers dans son pays (transport aérien, mines, télécommunications…).

La mainmise de l’algérien en tête du classement est complétée par l’impressionnante ascension de son voisin marocain. L’Office chérifien des phosphates (OCP) passe de la 45e à la 6e place. Un coup de maître pour le groupe dirigé par Mustapha Terrab. Il a profité de la flambée des cours du phosphate en 2007 et 2008, qui lui a permis de plus que doubler son chiffre d’affaires l’an passé (7,5 milliards de dollars). L’OCP bat les groupes du sud du continent sur leur propre terrain – le secteur minier –, où il devient le numéro un, talonné par quatre monstres sud-africains : la filiale diamantifère du holding De Beers (6,9 milliards de dollars de chiffre d’affaires), Anglo Platinum, Impala Platinum et AngloGold Ashanti. Résistera-t-il en 2010 ? Malgré des cours du phosphate en repli, le groupe poursuit son programme d’investissement de 1,9 milliard de dollars sur la plate-forme mondiale, consacrée à la chimie des phosphates, de Jorf Lasfar, au sud de Casablanca.

Dans l’agroalimentaire, c’est le groupe Cevital d’Issad Rebrab qui réussit la bonne opération. Encadré par quatre sud-africains – Sab Miller, Tiger Brands, Pionner Foods Group et Afgri –, le premier groupe privé algérien gagne deux places et devient le numéro un de l’agroalimentaire du continent. Un signe de vitalité pour un groupe qui frôle les 1,8 milliard de dollars de chiffre d’affaires et vise les 2,5 milliards de dollars en 2009. Mené par un infatigable entrepreneur, le groupe d’Issad Rebrab, né dans l’agro*alimentaire en 1998, a un pied dans la distribution automobile et alimentaire et se rêve en acteur dans la pétrochimie, la sidérurgie, la construction automobile ou l’énergie solaire. En 2012, Issad Rebrab imagine son groupe fort de 25 000 salariés et de 5 milliards de dollars de chiffre d’affaires. À la 69e place du Top 500 cette année, il se hisserait alors parmi les 20 premiers, à la hauteur de Vodacom South Africa…

Créer des dizaines de Cevital

Dans les télécommunications, en revanche, les positions maghrébines sont plus diffuses. L’Afrique du Sud domine avec cinq opérateurs aux sept premières places du secteur. Maroc Télécom gagne toute*fois une place (6e africain) et engrange les bénéfices de son développement au sud du Sahara, à l’image de l’acquisition, en 2009, de la Sotelma au Mali pour 275 millions de dollars. Son concurrent national Méditel, lui, conserve sa position (19e), devancé d’une courte tête par Tunisiana (17e). Le voisin Orascom Telecom Algérie ne gagne qu’une place (9e). Mais le leader national (60 % de parts de marché) risque la dégringolade. La filiale de l’égyptien Orascom Telecom paie au prix fort (des milliers de désabonnements) les fortes tensions entre l’Égypte et l’Algérie. Cela profitera à l’opérateur historique Algérie Télécom (13e) et à Wataniya Telecom Algérie, qui gagne quatre places (21e).

Toutefois, l’essentiel des performances maghrébines est à mettre à l’actif d’entreprises publiques, de sociétés largement contrôlées par les États ou de multinationales. « Il faudrait des dizaines de Cevital pour que le secteur privé prenne le relais du public en Algérie », relève Abderrahmane Mebtoul, professeur d’économie à l’université d’Oran et expert international. Si le Maghreb veut conforter sa position d’unique contrepoids au géant sud-africain, il doit favoriser l’émergence d’entrepreneurs privés aux dents longues. Certains pointent déjà la tête. À eux de transformer leur success story en champion africain.

En Algérie, seul ETRHB, premier groupe privé dans le BTP, piloté par Ali Haddad, en a la trempe. En vingt ans, le jeune patron de 43 ans a bâti un groupe de 100 millions d’euros de chiffre d’affaires qui emploie 6 000 salariés. Vinci et Alstom, ses partenaires en Algérie, pourront lui servir de point d’appui pour s’exprimer à l’international. Envolée identique sur le marché voisin de l’immobilier, au Maroc, pour Douja Promotion Groupe Addoha. Numéro un du secteur, le groupe fondé par Anas Sefrioui, seconde fortune du pays, qui en détient 61 % des actions, a gagné 22 places dans le Top 500. À 624 millions de dollars en 2008, son chiffre d’affaires bondit de 134 %. Et rien qu’au premier semestre 2009, le chiffre d’affaires libellé en dirhams a progressé de 107 % et le résultat net de près de 72 %. Après avoir bâti son succès dans le logement économique, le groupe se développe dans le très haut de gamme, malgré une conjoncture internationale défavorable. Seule ombre : le scepticisme du marché. L’action Addoha a ainsi dévissé de 140 à 93 dirhams à la Bourse de Casablanca entre le mois de juin et le 8 décembre.

Autre performance marocaine, l’ascension d’Akwa Group, dirigé par Aziz Akhannouch, ministre de l’Agriculture et de la Pêche. Le groupe familial se hisse au 5e rang des entreprises du royaume, juste derrière Maroc Télécom ! En 2008, il a enregistré un chiffre d’affaires de 2,5 milliards de dollars. Il est historiquement présent dans la distribution de carburants et de gaz, les lubrifiants automobiles, la franchise, les médias, l’assurance, l’immobilier… Akwa Group détient en outre, aux côtés de Maersk, 10 % du groupement concessionnaire du premier terminal à conteneurs du nouveau port de Tanger Méditerranée.

Côté tunisien, c’est bien entendu Poulina Holding (159e groupe africain) qui se détache. Le groupe d’Abdelwahab Ben Ayed, son fondateur, a réalisé un chiffre d’affaires de 763 millions de dollars en 2009 pour 51 millions de bénéfice net. Depuis un an et demi, Poulina est le seul grand groupe privé tunisien coté en Bourse. Une opération dont il a retiré 55 millions d’euros pour sa croissance dans la région mais aussi un prestige international. Si le groupe réalise toujours près de la moitié de son activité dans l’aviculture, il s’est diversifié en quarante ans au point de former l’un de ces vastes conglomérats appréciés des entrepreneurs familiaux. Poulina est actif dans l’agroalimentaire, l’industrie, la céramique, l’emballage et même l’immobilier. Outre la Tunisie, il opère en Libye, en Algérie et au Maroc. Les fondateurs contrôlent toujours la majorité du capital. Mais, à 70 ans, Abdelwahab Ben Ayed s’est choisi un successeur en la personne de Karim Ammar. Pour la communauté des affaires, ce fut un signe supplémentaire – après l’introduction en Bourse – du modernisme de Poulina.

Une étape que n’a pas encore franchie le Groupe Elloumi, leader tunisien dans l’industrie des câbles (notamment pour l’automobile), qui annonce détenir 25 % du marché Euromed. Avec Coficab et Cofat, l’activité dépasse les 400 millions de dollars de chiffre d’affaires. Fondé par Taoufik Elloumi et dirigé par ses enfants (Hichem, Faouzi et Selma), le groupe a choisi très tôt de se développer à l’international. En 1993, il a créé des filiales au Portugal, au Maroc, en Roumanie, en Égypte, et affiche des ambitions en Amérique ou en Asie. Le groupe, qui emploierait 7 000 personnes pour un chiffre d’affaires consolidé frôlant les 700 millions de dollars, subit de plein fouet la crise automobile et serait tenté d’imiter la plupart des groupes familiaux tunisiens en empruntant la voie de l’opportunisme stratégique. Le groupe Elloumi, actif dans l’agro*alimentaire avec Stifen depuis quinze ans, a été candidat à la reprise d’une banque et d’une chaîne de magasins…

Moins nombreux aux avant-postes du Top 500, les groupes tunisiens ont toutefois l’avantage d’avoir la fibre inter*nationale bien plus développée que les marocains et, surtout, que les algériens. Un sacré atout dans une économie mondialisée. « L’Algérie, le Maroc et la Tunisie ne pourront pas créer seuls de grands groupes, il faudra qu’ils privilégient l’intégration régionale », conclut Abderrahmane Mebtoul.


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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 22 Déc - 20:58

Citation :
IB Maroc: Le cours de la société est boosté par ses bonnes réalisations semestrielles

L a publication des résultats semestriels du développeur infomatique coté, IB Maroc, a donné un coup de fouet inespéré au titre de la société. En effet, après avoir cumulé une perte hebdomadaire de 10,71% sur les 3 premières séances de cotation de la semaine du 16 au 20 novembre, la valeur IB Maroc a été réservée à la hausse à la fin de la même semaine, atteignant un cours de 371 DH.
Signalons au passage que la valeur a capté durant la période un volume de 6,1 MDH contre une moyenne hebdomadaire de 3,1 MDH sur 2009. Et, depuis, l’action continue sur sa bonne lancée. Au 23 novembre, elle s’était hissée au cours de 385 DH. Mais depuis près d’un mois déjà, le titre IB Maroc était sorti d’une profonde atonie, l’action ayant accumulé plus de 9% de croissance du premier octobre au 23 novembre 2009.
Cette récente reprise de l’action IB Maroc est à lier, comme l’attestent les analystes de CDG Capital, «aux résultats semestriels reluisants de la société».
Au 30 septembre 2009, la société a en effet réalisé un chiffre d’affaires de 174 MDH, en croissance de 65% comparativement à fin septembre 2008. Par cette performance, IB Maroc a également réalisé 73% des prévisions annuelles annoncées par le conseil d’administration dans son rapport de gestion pour l’exercice en cours.
De même, elle réussit à développer son activité à l’export au cours de ce premier semestre dans différents pays, notamment le Sénégal, l’Algérie, la Mauritanie et la République Démocratique du Congo. La quote-part du chiffre d’affaires à l’export dans l’activité globale ressort d’ailleurs autour de 10% au 30 septembre 2009.
Pour sa part, le résultat d’exploitation a bondi de 56,5%, à 22,3 MDH, induisant ainsi une marge opérationnelle de 12,8%. Cette marge ressort néanmoins en retrait de 70 points de base par rapport au premier semestre de l’exercice 2008/2009. Repli que les analystes de CDG Capital expliquent par la hausse du ratio «achats consommés de matière / vente de biens et services produits» à 51% contre 37% un an auparavant.
En ligne directe, le résultat net ressort à 14,3 MDH, égal au résultat annuel de l’exercice 2008/2009 et en hausse de près de 65% par rapport au premier semestre 2008. Quant à la marge nette, elle est en quasi-stagnation, à 8,22%.
Avec la bonne orientation de ses réalisations, IB Maroc est bien partie pour attirer les faveurs des analystes. Jusqu’à maintenant, la valeur a fait l’objet d’une seule recommandation de la part de BMCE Capital Bourse. La société de Bourse conseille en effet d’accumuler la valeur. Cependant, au cours cible qu’elle lui fixe, à savoir 378,10 DH, l’action semble avoir consommé tout son potentiel de hausse.

30-11-2009 lavieeco
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 22 Déc - 21:39

Citation :
Maroc : 5 à 6% de croissance en 2009
AFP
22/12/2009 | Mise à jour : 19:04

Le taux de croissance de l'économie marocaine se situer en 2009 entre 5 et 6%, avant de ralentir en 2010 pour s'établir entre 3 et 4%, a annoncé mardi la banque centrale du Maroc, Bank Al Maghrib (BAM).

Ce ralentissement sera imputable à une "moindre contribution du secteur agricole" à la croissance économique, a précisé la BAM dans un communiqué publié après la réunion trimestrielle du conseil de la banque.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/12/22/01011-20091222FILWWW00651-maroc-5-a-6-de-croissance-en-2009.php

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 5:05

regarde plus haut Fahed Économie marocaine - Page 3 Icon_big

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 8:28

les ambitions économiques du Maroc en Afrique se concrétisent progréssivement:
Selon Jeune Afrique ,en dix ans,le C.A est passé de 530millions $ aTROIS milliards $ en 2008. Économie marocaine - Page 3 Icon_cool
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 9:01

Fremo a écrit:
regarde plus haut Fahed Économie marocaine - Page 3 Icon_big

lol! lol! effacé Économie marocaine - Page 3 Icon_big

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 13:47

AMEDEUS a écrit:
les ambitions économiques du Maroc en Afrique se concrétisent progréssivement:
Selon Jeune Afrique ,en dix ans,le C.A est passé de 530millions $ aTROIS milliards $ en 2008. Économie marocaine - Page 3 Icon_cool

Y'a pleins de secteurs dans lesquelles on pourrait se développer dans toute l'afrique.

Implanter des Marjane & Acima, des Asswak Assalam la grande distrbution est encore peu connue dans beaucoup de pays d'afrique, bien sûr il faut regarder les pays qui ont un bon pouvoir d'achat, et une classe moyenne en développement.
On pourrait exporter notre Sidi Ali, notre Sidi Harazem et nos colas même en europe comme le fait une marque d'un pays situé à côté du notre.
Développer nos franchises comme via seta et surtout Marwa qui est un fort concurrent de Zara, je verrais bien cette marque en afrique du sud.
Ce ne sont que des exemples, y'a tant affaire (jeux de mots Économie marocaine - Page 3 Icon_lol )

On manque d'ambition et de volonté je trouve, ce devrait être l'objet d'un partenariat public-privé même.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 14:21

Citation :
Traversée du détroit : Comarit s'attaque à la ligne Tanger - Tarifa
Économie marocaine - Page 3 5




La compagnie marocaine a testé la semaine dernière un navire à grande vitesse. Objectif : investir la ligne Tanger-Tarifa qui représente 50% du marché de la traversée des MRE.

Une première dans les annales maritimes du Maroc. La compagnie Comarit, appartenant à la famille Abdelmoula, s’attaque à une ligne historiquement espagnole. La Compagnie Maritime Maroco-Norvégienne envisage d’investir la ligne Tanger-Tarifa. Et elle compte le faire en y affrétant un Navire à Grande Vitesse (NGV). L’investissement nécessaire à l’installation de cette liaison n’est pas encore connu. En revanche, la mise en service de la desserte est proche. D’ailleurs, la compagnie a procédé la semaine dernière à des tests qui ont été, selon nos sources, très concluants. En se déployant à Tarifa, Comarit s’attaque aux parts de marché espagnoles. Surtout à celles de la très puissante FRS (Ferrys Rapidos Del Sur).
En effet, en général, le trafic maritime des passagers accompagnés de leurs voitures représente, durant la haute saison, 50% environ du volume annuel des traversées entre le Maroc et l’Espagne (c’est-à-dire de juin à septembre).
Lors de l’opération retour, la ligne Tanger-Tarifa, exclusivement desservie par des NGV, capte presque 50% du trafic.
Sachant que la compagnie FRS (Ferrys Rapidos Del Sur) est la seule à exploiter cette ligne, cette dernière s’accapare donc 50% du marché, l’autre moitié étant répartie entre les six autres armateurs intervenant sur l’axe Tanger-Algesiras (Comarit, Imtc, Nautas, Comanav, Euroferry et Acciona).
L’avantage de la liaison Tanger-Tarifa provient de la courte distance (16 km) entre les deux ports. Ainsi, au départ de Tanger, la traversée via Tarifa permet d’atteindre Algesiras par la route en moins d’une heure, tandis que la traversée directe à destination d’Algesiras (32 km) exige 1h30 avec un NGV et 2h30 avec un NC (navire conventionnel). Les conditions d’exploitation de cette ligne ne sont pas encore connues, surtout la tarification que Comarit envisage de mettre en place. Mais tout laisse croire que l’armateur s’alignera sur les prix de la concurrence espagnole, qui pourra jouer sur l’effet d’échelle pour déstabiliser le marché. Dans tous les cas de figure, la guerre des navires à grande vitesse profitera aux MRE qui empruntent cette route maritime massivement en été.
Pa ailleurs, la Comarit a transféré sa billetterie vers des agences en Europe. Selon des sources proches de la compagnie, la nouvelle stratégie commerciale de l’armateur maroco-norvégien table sur la proximité de son marché classique : les Marocains Résidant à l’Etranger.

Khalid Tritki
Source: Maroceco.ma
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 14:39

je crois que l'image du Maroc s'évolue de jour en jour, le Maroc d'aujourd'hui n'est pas celui qui exporte l'olives et le sardine, aujourd'hui on exporte des chose d'une plus grande valeurs ajoutés à savoir les voitures, les ordinateurs ... pas seulment vers le sud mais vers le nord aussi, et si on continue comme ça, l'avenir sera en rose Économie marocaine - Page 3 Icon_cool

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMer 23 Déc - 19:54

Citation :
Logistique: Plus de 1.000 hectares mobilisés


· Le schéma directeur des plateformes arrêté



Le projet de contrat-programme logistique est prêt et sera bientôt paraphé entre la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et le ministère de l’Equipement. Attendu depuis plusieurs mois, ce contrat donnera plus de visibilité aux opérateurs dans un secteur où la compétitivité est de mise. L’étude menée avec la Banque mondiale avait montré que les coûts logistiques totaux représentent 20% environ du PIB contre 10 à 16% pour les pays de l’Union européenne. Et donc le pays peut gagner plusieurs points du PIB en mettant en place une logistique plus performante.
La démarche qui sera poursuivie n’est autre que la mise en place de zones logistiques au niveau des principales villes. Un schéma directeur national des plateformes logistiques est arrêté et plus de 1.000 hectares seront mobilisés à cet effet. La problématique du foncier est levée puisque l’on recourt en grande partie à des terrains étatiques. A Casablanca par exemple, la zone logistique est localisée du côté de Tit Mellil. Cinq plateformes y sont prévues dont trois dédiées aux céréales, au textile et aux conteneurs.
Des plateformes conteneurs seront localisées dans sept grandes villes dont Casablanca et Tanger, l’agro-industrie dans toutes les grandes villes ainsi que les matériaux de construction.


Ces plateformes généreraient la mise en place d’opérateurs logistiques intégrés. C’est d’ailleurs un des points principaux du contrat-programme. Mais toute la question est de savoir comment transformer des opérateurs privés en champions nationaux. Le patronat suggère la mise en place d’un fonds à l’image de ce qui s’est fait à l’étranger. L’idée est de pouvoir accompagner les opérateurs pour qu’ils puissent offrir des prestations de «bout en bout». Ce volet ne serait pas intégré dans le contrat-programme qui constitue un cadre général. Une dizaine de «contrats d’application» par secteur seront par la suite adoptés. En tout cas, tout dépendra de la capacité de la CGEM à négocier des «avantages qui profiteraient d’abord aux opérateurs nationaux», commente un chef d’entreprise.
Troisième mesure du projet de contrat-programme, l'élaboration d’une cartographie des fonctions logistiques. Des modules de formation seront mis en place, sachant que dans cette activité 85% des emplois relèvent de l’opérationnel.
La stratégie logistique étant basée sur la performance, un observatoire pour la compétitivité logistique, géré par l’administration et la CGEM, sera mis en oeuvre. Il sera chargé de définir, mesurer et publier périodiquement la compétitivité logistique par flux et par sous-secteur.


l'éco

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeJeu 24 Déc - 11:02

Citation :
Les accords stimule les investissements


Une première évaluation des résultats des accords de libre échange (ALE), conclus avec différents partenaires commerciaux, montre que ces accords ont stimulé les Investissements directs étrangers (IDE) qui ont réalisé un saut qualitatif, a affirmé le ministre du Commerce extérieur, Abdellatif Maâzouz.


Économie marocaine - Page 3 20091224-p-Exportations

Intervenant lors de la séance des questions orales, mardi à la Chambre des conseillers, le ministre a expliqué que les ALE s'inscrivent dans le cadre de l'orientation économique choisie par le Royaume depuis le début de la décennie 80, et dans le cadre de la politique d'ouverture en matière de commerce extérieur en vue d'ouvrir de nouveaux marchés pour les exportations nationales et drainer des investissements étrangers.

L'Union européenne est le principal exportateur d'IDE vers le Maroc (80% des IDE entre 2000 et 2008), dont 63% viennent de France et d'Espagne, a-t-il ajouté, précisant que les investissements américains ont atteint 3,6% et ceux de provenance arabe restent modestes en dépit du fait que les Emirats arabes unis ont réalisé des investissements de l'ordre de 5 milliards de DH, soit la troisième position après la France et l'Espagne.

Si les accords conclus avec l'UE, les pays arabes et la Turquie visent à actualiser le cadre juridique des échanges commerciaux consacrés au niveau de l'environnement régional du Maroc, a dit le ministre, l'ALE signé avec les Etats-Unis ambitionne, quant à lui, de diversifier les marchés, de drainer les investissements et de réaliser un certain équilibre dans les relations commerciales du Maroc.

Pour ce qui est des échanges commerciaux avec l'UE, le ministre a précisé que les exportations sont passées de 59,6 milliards de DH en 2000 à 92,2 milliards de DH en 2008, soit une hausse annuelle moyenne de 6%, alors que les importations ont augmenté de 72,4 milliards de DH en 2000 à 168,8 milliards de DH en 2008 (soit + 11%).

Abordant les échanges avec la Turquie, M. Maâzouz a expliqué qu'elles sont passées de 1,1 milliard de DH en 2006 à 2,3 milliards de DH en 2008, soit une hausse annuelle moyenne de 48%, un taux qui dépasse celui des importations de 33% (5,5 milliards de DH en 2006 contre 8,3 milliards de DH en 2008).

Dans le cadre de l'Accord d'Agadir, le volume des échanges a été de 2,5 milliards de DH en 2008, soit une augmentation de 27%, avec des exportations estimées à 1,3 milliard de DH en 2008, contre 0,8 milliard de DH en 2004 (+ 15%), a fait savoir le ministre.

Concernant les échanges avec les pays arabes, M. Maâzouz a rappelé que le Maroc a été parmi les premiers pays arabes à parapher la convention de gestion et de développement des échanges commerciaux interarabes, et son programme d'exécution, sur la base de laquelle a été créée la grande Zone arabe de libre échange, et ont été supprimées, à compter du 1er janvier 2005, toutes les taxes douanières sur les marchandises échangées entre pays arabes.

Le Royaume est, en outre, lié par des accords bilatéraux de libre-échange avec l'Egypte, la Jordanie et la Tunisie, entrés en vigueur en 1999, ainsi qu'avec l'Etat des Emirats Arabes Unis (EEAU), entré en vigueur en 2003, a-t-il précisé.

D'autre part, a-t-il dit, le volume des échanges avec les Etats Unis a enregistré, au niveau des exportations une hausse de 24% (2,3 milliards de DH en 2006 contre 6,1 milliards de DH en 2008), et presque le même taux au niveau des importations passées de 9,5 milliards de DH en 2006 à 16,6 milliards de DH en 2008.

Le ministre a, dans ce cadre, indiqué que la réalisation d'un équilibre avec les partenaires commerciaux du Maroc est tributaire de la valorisation de ces accords, à travers la sensibilisation du secteur privé à la nécessité de respecter les normes de qualité des produits et services destinés à l'export.

Par ailleurs, et dans le cadre de la promotion des exportations, en tant que maillon complémentaire des programmes sectoriels pour le décollage économique initiés par le gouvernement, et en vue de diversifier l'offre d'exportation du Maroc, une stratégie de développement et de promotion des exportations «Plan Maroc Export», a été mise en place dans l'objectif de consolider les acquis et de se positionner progressivement au niveau de nouveaux marchés, afin de doubler la valeur des exportations à l'horizon 2015 et de la tripler pour 2018.

L'évaluation des ALE ne doit pas être opérée uniquement dans un cadre comptable, en ce sens que l'objectif est de drainer des investissements, de créer des emplois et d'améliorer la qualité et la compétitivité du produit national, a-t-il conclu.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeJeu 24 Déc - 19:06

Citation :
Koodza Maroc: Une stratégie marketing qui cartonne!


· Le chiffre d’affaires de la 1re semaine a dépassé les objectifs de 100%

· Projets d’extension à Rabat, Marrakech, Tanger…



DIX jours après avoir ouvert ses portes, Koodza Maroc fait des émules. Avec un concept basé sur une stratégie marketing avant-gardiste (hard discount), l’enseigne sportive a attiré près de 8.500 visiteurs le premier week-end. Elle table sur une moyenne de 5.000 visiteurs par week-end.
Basé à Aïn Sebaâ, le discounter a réalisé le double de son chiffre d’affaires prévisionnel lors de la première semaine d’ouverture. «Nous tablions sur un CA 2010 de 25 millions de DH», déclare Hadil Zahnoun, directeur général de Koodza Maroc. Mais vu les succès des premiers jours, ce chiffre devrait être revu à la hausse.
La stratégie prix de la filiale d’Oxylane est au cœur de son succès. L’enseigne n’affiche aucun prix barré et ne fait jamais de soldes. «Le principe de Koodza est de justement proposer des prix bas toute l’année», argue Hadil Zahnoun. En guise de promotion, le discounter propose alors des ventes en lot. A titre d’exemple, la polaire, produit star de l’enseigne, est vendue à plus de 10.000 exemplaires en 10 jours). Cet article est proposé à 95 DH. Et pour une deuxième achetée, le client ne débourse que 85 DH. De façon générale, pour un même modèle le deuxième article est proposé 8 à 14% moins cher que le premier. Ce qui incite à acheter plus d’un article!
Quant aux produits, près de 95% d’entre eux sont importés. «Les articles Koodza sont produits dans 15 pays. 60% ont été confectionnés en Chine, le reste au Vietnam, en Malaisie, en France, en Italie et au Portugal», précise le management. Sauf que ces produits pâtissent d’un surcoût par rapport à ceux proposés en France et ce, à cause des 35% répercutés de droits de douane. Parmi les fournisseurs de Koodza, figure le Maroc. Ainsi 5% des produits de l’enseigne sont confectionnés localement, ce qui permet de proposer des prix jusqu’à 25% moins cher qu’en France sur le made in Maroc.
Curieusement, la politique prix de Koodza attire aussi les magasins de sport, de prêt-à-porter et même les grossistes de Derb Ghallef! L’enseigne a su cibler ses clients potentiels à travers une stratégie de mailing agressive: plus de 100.000 ont déjà été envoyés. Une cliente raconte avoir vu des personnes acheter des modèles par centaine. Toutefois, le directeur général de Koodza Maroc relativise ce phénomène: «A ce jour le panier moyen est de 400 DH et comporte moins de 10 exemplaires d’un même modèle. De plus, nous n’avons eu aucune grosse commande». En attendant de voir si ce phénomène prend de l’ampleur, des projets d’extensions sont déjà à l’étude. «Koodza cherche du foncier dans 11 villes, principalement à Rabat, Marrakech, Tanger, Agadir et Fès», confie Hadil Zahnoun. A Casablanca, Koodza souhaite asseoir sa présence en créant des antennes à Bouskoura et Californie.

l'éco

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeSam 26 Déc - 12:58

Citation :

Deux moteurs de voiture BMW mis à la disposition de l'EMI et de l'Ecole technique de Kénitra

Berlin,26/12/09-Le réseau des compétences germano marocaines DMK (Deutsch- Marokkanisches Kompetenznetzwerke) a mis à la disposition de l'Ecole Mohammedia d'ingénieurs (EMI) de Rabat et l'Ecole technique de Kénitra deux moteurs de voiture BMW.

Selon un communiqué du DMK, cette initiative s'inscrit dans le cadre d'un programme qui prévoit des cours théoriques sur les moteurs et la mécanique automobile au profit des étudiants de l'EMI qui seront appuyés par des ateliers pratiques.

Ce programme vise également à développer, à court terme, un département "technologie automobile" au niveau de l'EMI à Rabat, ajoute la même source.

Par ailleurs, le DMK a ouvert en Allemagne un centre de consultations en matières juridique et social au profit des membres de la communauté marocaine résidant en Allemagne.

Le Centre organise également des cours d'apprentissage de l'allemand au profit des Marocains résidant en Allemagne et des sessions de formation sur le nouveau Code de la famille.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 15:18

Citation :
Finatech renforce son pôle IT Services

· Elle passe de 51 à 100% dans le capital de Profilium

· Le président de Profilium intégrera le pôle IT du groupe

Les ambitions de Finatech ne s’arrêtent pas. Le groupe vient en effet d’augmenter sa participation dans le capital de Profilium, spécialisée dans les services IT, de 51 à 100%. Selon le management de Finatech, le renforcement du pôle IT Services contribuera également à étoffer l’offre offshoring du groupe et à soutenir sa stratégie commerciale à destination de l’Europe. «Profilium opère sur des métiers à forte valeur ajoutée qui en font une intégration opportune pour le développement de Finatech dans ses domaines d’expertise», indique Rachid Sefrioui, président directeur général du groupe.
Suite à ce changement, Younes El Himdy, président fondateur de Profilium intégrera le groupe Finatech pour présider le pôle IT Services & Offshoring. «Notre intégration au pôle IT Services de Finatech donnera un autre élan au développement de nos activités et renforcera nos moyens financiers et humains pour réaliser des projets d’envergure et de haute valeur ajoutée», explique-t-il.
Déjà en 2007, la prise de participation de Finatech dans le capital de Profilium a permis à l’entreprise de développer ses activités entraînant une augmentation de son chiffre d’affaires et de son résultat net. Créée en 2004, Profilium est une société de services spécialisée dans le domaine de l’infrastructure de systèmes d’information, de la sécurité, de la virtualisation et des réseaux. Elle délivre ses prestations dans le cadre de missions de service, de contrats de support technique ou de prestations de formation. Profilium compte parmi ses partenaires technologiques des leaders mondiaux: Microsoft, Cisco, VMWare, Dell, EMC, IBM, HP, Computer Associates, Symantec… Les références de ses réalisations s’étendent aussi en Afrique et en Europe francophone.
Par ailleurs, Finatech, elle, est un acteur des technologies de l’information, présente aussi en Afrique, en Europe et aux Etats-Unis. Elle est organisée en trois pôles, Infrastructures & Réseaux, Payment Systems & Security, IT Services & Offshoring. Le groupe reste sur un chiffre d’affaires agrégé de près de 500 millions de dirhams, des fonds propres à hauteur de 648 millions et 700 collaborateurs.

T. H.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 15:24

Citation :


Les entreprises marocaines s'imposent à l'international


Destination export. Le mot d’ordre est général. Il s’adresse
autant aux PME qu’aux grands groupes. De fait, les entreprises du
royaume sont parmi les plus offensives d’Afrique du Nord à l’étranger.
Un
attelage d’une soixantaine d’entreprises composant la
« Caravane marocaine de l’export en Afrique » s’est élancé de
Casablanca le 13 décembre pour finir sa course le 20 décembre à
Abidjan, après avoir fait étape à Dakar et à Bamako. Les patrons, venus
de l’agro­alimentaire, du BTP, de la pharmacie, de la chimie, du
secteur de l’électricité, de l’électronique et des technologies de
l’information et de la communication (TIC) sont tous à la recherche
d’importateurs et, dans une moindre mesure, de partenaires industriels.
Ils ont en ligne de mire les 200 millions de consommateurs d’Afrique de
l’Ouest. Plus largement, ils ont devant eux un vaste espace à conquérir
au sud du Sahara, où seuls 5 % des échanges commerciaux du Maroc sont
réalisés bon an mal an.
Quand l’Europe, le principal partenaire économique du royaume
chérifien, donne d’inquiétants signes de faiblesse – Rabat a réalisé
66,7 % de ses échanges avec les pays du nord de la Méditerranée en
2007, contre 62,2 % l’an passé –, le pays joue la carte de la diversité
et donne en parallèle plus d’élan à ses ambitions continentales. Un
terrain au riche potentiel. Au cours de la dernière décennie, les
échanges commerciaux entre Rabat et ses partenaires africains ont
grimpé de 533 millions de dollars en 1998 à près de 3 milliards en
2008. Soit un bond spectaculaire de 460 %.
À titre de comparaison, le royaume devance d’autres pays d’Afrique
du Nord actifs au sud du Sahara. Sur quinze ans, la moyenne des
échanges marocains avec la région a été de 425 millions de dollars,
contre 321 millions pour l’Égypte et 107 millions pour la Tunisie.
Le Sénégal, le Nigeria et la Côte d’Ivoire sont les premiers marchés
des entreprises marocaines. Entre 2007 et 2008, leurs exportations vers
Dakar ont progressé de 35,8 %, à 818 millions de dirhams (DH). Les
chaussures (26 millions de DH) et le textile habillement (18,5 millions
de DH) sont leurs deux marchés phares. Les exportations à destination
d’Abidjan ont augmenté de 43,5 % sur la même période, pour atteindre
388,4 millions de DH. Les engrais (121,6 millions de DH) et les
conserves de poissons (36,3 millions) y sont les premiers produits
d’exportation marocains.
Les groupes en pionniers
La marge de progression des entreprises marocaines est donc grande.
Et à la différence des PME algériennes et tunisiennes, elles
bénéficient d’un atout de taille : l’effet d’entraînement joué par les
groupes, publics comme privés.
Pionniers, ils défrichent les nouveaux marchés de l’export puis
servent de point d’ancrage aux PME. Le savoir-faire de l’Office
national de l’électricité (ONE) dans l’électrification des zones
rurales lui a ouvert des marchés au Sénégal, en Gambie, au Niger, en
Sierra Leone et au Tchad. Dans le BTP, la Somagec agrandit le port de
Malabo, en Guinée équatoriale, et a décroché, en 2006, la construction
du pôle de commerce du port autonome de Dakar. Sothema, le premier
laboratoire pharmaceutique de fabrication sous licence du Maroc, a
ouvert un laboratoire au Sénégal. De son côté, ONA, le holding royal,
premier groupe industriel et financier du Maroc, est très présent à
travers ses filiales. Dans les mines, ­Managem mise sur l’or au Gabon,
le cobalt et le cuivre en RD Congo, en partenariat avec la société
nationale ­Costamin. Mais c’est Optorg, ­spécialiste de l’équipement
forestier, minier et pétrolier et de la distribution de véhicules
industriels et pour particuliers, qui quadrille le plus l’Afrique
subsaharienne, avec une présence au Cameroun, au Tchad, au Gabon, au
Congo… De 2006 à 2008, le chiffre d’affaires « africain » d’Optorg a
doublé pour dépasser 500 millions d’euros.
Plus médiatisé, Maroc Télécom a pris le contrôle des opérateurs
historiques du Burkina et du Gabon et s’est emparé de 51 % du capital
de Sotelma, au Mali, le 7 juillet dernier, pour 275 millions de
dollars. Mais rien ne serait véritablement possible sans les deux
grands champions bancaires nationaux. Attijariwafa Bank finalise
actuellement la reprise des filiales du groupe français Crédit agricole
au Cameroun, au Congo, en Côte d’Ivoire, au Gabon, au Mali et au
Sénégal, rachetées fin 2008. Le deuxième groupe bancaire privé
marocain, BMCE Bank, doit faire passer à 51 % avant la fin de l’année
sa participation au capital du groupe Bank of Africa (BOA), présent
dans douze pays au sud du Sahara.
Un noyau dur sur lequel peuvent se greffer les PME pour réussir leur
implantation ou trouver des relais locaux. C’est dans les TIC que l’on
recense les entreprises marocaines les plus ­volontaires pour jouer la
carte de l’international, aussi bien en Afrique, où elles ont toutes un
œil sur le juteux marché des paiements par téléphone mobile, que vers
le reste de la planète, d’ailleurs. À quinze jours d’intervalle, HPS et
Finatech sont venues à Paris affirmer leurs ambitions européennes. Le
1er décembre, Finatech (infrastructures et réseaux, paiement
électronique…) s’est présentée comme le « partenaire offshoring » des
entreprises du Vieux Continent qui souhaitent sous-traiter leur système
d’information. « Après avoir séduit Renault, Peugeot, Axa, Assor…, nous
voulons développer nos partenariats avec de grands ­comptes en France,
en Belgique et en Suisse. Nous leur offrons la possibilité de réduire
leurs coûts de 30 % en moyenne », indique Rachid Sefrioui, son PDG.
De son côté, HPS (logiciels de paiement électronique) a inauguré le
17 novembre dernier son bureau parisien. « Cette filiale est devenue
nécessaire pour nous rapprocher du marché européen, qui a représenté
38 % de notre chiffre d’affaires au premier semestre 2009 », souligne
Mohamed Horani, son PDG. En effet, HPS a décroché en juillet dernier
son premier contrat en Suisse auprès d’Accarda (Swisscom), acteur
majeur dans les cartes clients des marques avec fonction de paiement.
« Nous souhaitons surtout participer au projet européen Sepa – Espace
unique de paiement en euros –, qui vise à uniformiser d’ici à 2012 la
gestion des paiements électroniques en Europe, notamment pour les
entreprises », ajoute Nacer Amraoui, directeur de HPS Europe.
Acquisitions en Europe
Finatech, née en 2007 de la fusion de dix-huit sociétés de services
en ingénierie de l’informatique (SSII), est déterminée. « Notre
objectif est d’effectuer deux à trois rachats par an de SSII qui
réalisent environ 10 millions d’euros de chiffre d’affaires. En Europe,
nous avons déjà deux lettres d’intention en cours que nous pensons
finaliser au troisième trimestre 2010 », révèle le PDG.
En s’appuyant sur leurs partenaires à l’étranger, ces entreprises
sont en fait parties à la conquête du monde. Avec plus de quarante
partenaires internationaux, Finatech est présente aux États-Unis (où
elle a pris des participations dans des start-up de la Silicon Valley),
en Europe et en Afrique. HPS est active dans plus de soixante pays,
travaillant pour des centres de traitement de transactions
électroniques desservant trois cents institutions financières. Présente
en Asie, notamment au Japon, c’est au Moyen-Orient que la PME réalise
plus de 50 % de son chiffre d’affaires, avec un premier bureau ouvert à
Dubaï en 2003. S2M, sa compatriote spécialisée aussi en monétique, avec
qui elle a d’ailleurs failli fusionner début 2009, s’apprête à lui
emboîter le pas. « Nous allons ouvrir une filiale en 2010 à Bahreïn ou
à Dubaï pour couvrir le Moyen-Orient, où nous avons déjà un bon
portefeuille de références », affirme Aziz Daddane, le président du
directoire. Avec une centaine de clients dans vingt-six pays (dont
quinze en Afrique), l’entreprise poursuit sa ­route, à l’affût. « Entre
le rachat de sociétés et l’ouverture de filiales à l’étranger, en
Afrique, en Europe et au Moyen-Orient, nous avons quelques dossiers sur
la table pour 2010 », confie le dirigeant.
Quant à M2M Group (gestion de transactions sécurisées), il a ouvert
des bureaux à Singapour, à Dubaï, en France, en Égypte et en prévoit un
en Algérie, après avoir signé des contrats avec La Poste et le Crédit
populaire d’Algérie. Plus exo­tique, la PME a même un pied en Amé­rique
latine. « On travaille sur des projets au Brésil, au Pérou, au Chili et
même au Costa Rica », souligne Mounir Essayegh, le directeur général.
Plus que jamais, le made in Maroc est sans frontières.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2554p073-076.xml0/Les-entreprises-marocaines-s-imposent-a-l-international.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 16:06

Merci pour cet article Moro
juste pour le rappeler que le Maroc est classé 5éme en matiére de part du marché en ce qui concerne les services de sécurisation des transactions et nouveaux téchnologie de paiments


PS : je viens d'entendre à la télé, que nous avons accueillis 7M de touristes ( +7% ) avec une baisse de 2% de nuités pour les 11 mois de 2009

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 17:43

C'est comme cela qu'on devient le leader d'une region,un leader que l'on respecte avec une forte et aggressive business action plan.le shara viendra tout seule.N'oubliez jamais pour suffoquer son ennemie il faut le faire economiquement(economie de marche).maintenant on doit se tourner a developper notre system d'education et specialement les ecoles techniques avec beaucoup de pragmatisme.je prie DIEU pour qu'il y est un changement de gouvernement le plus rapide possible .N'oubliez pas aussi une politique aggressive dans la mise a niveau dans la justice justice.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 18:01

Citation :
Rabat - Suivi

Mardi, Décembre 29, 2009

Les exportations du Maroc à Israel''in''November l'an dernier à 400 mille dollars après avoir environ 300 mille dollars durant le même mois l'an dernier.



Le quotidien "renouvellement" que les importations du Maroc of''Israel''has augmenté au cours de Novembre de l'année en cours jusqu'à un million et 800 mille au lieu de dans le même mois de l'année dernière dans le plafond de 200 $ mille.



Les exportations ont baissé et les importations entre les deux au cours des dix derniers mois de l'année en cours par rapport à la même période l'an dernier.



Ils étaient certains hommes d'affaires, journalistes et intellectuels,''l'Initiative nationale pour le boycott des Israel''during le début de l'année en cours, afin d'attirer l'attention du public à la croissance des échanges commerciaux marocains entre le Maroc et l'entité sioniste et de réduire
</SPAN></SPAN>
.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 18:24

juba2 a écrit:
C'est comme cela qu'on devient le leader d'une region,un leader que l'on respecte avec une forte et aggressive business action plan.le shara viendra tout seule.N'oubliez jamais pour suffoquer son ennemie il faut le faire economiquement(economie de marche).maintenant on doit se tourner a developper notre system d'education et specialement les ecoles techniques avec beaucoup de pragmatisme.je prie DIEU pour qu'il y est un changement de gouvernement le plus rapide possible .N'oubliez pas aussi une politique aggressive dans la mise a niveau dans la justice justice.
2012 n'est pas trés loin juba Économie marocaine - Page 3 Icon_wink ... Économie marocaine - Page 3 Icon_neutral

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 20:50

juba2 a écrit:
...
surtout fassi fihri Économie marocaine - Page 3 Icon_neutralÉconomie marocaine - Page 3 Icon_silent pourquoi chercher des problemes avec un pays qui nous respecte ?????

Citation :
Publié le : 13.02.2009 | 09h04
L'ambassadeur de la République islamique d'Iran à Rabat, Wahid Al Ahmadi, a réaffirmé jeudi, que son pays maintient le gel de ses relations avec le "polisario", et ce depuis 17 ans.
Citation :
Maghreb investissement : La nouvelle stratégie de l’Iran au Maroc
La nouvelle stratégie économique préconisée par l’ambassade d’Iran à Rabat vise deux secteurs prioritaires pour les investisseurs de la république islamique : le textile et l’industrie automobile.
Sur ce dernier registre les équipementiers iraniens intensifient leur intention de fabriquer, à partir de la plateforme marocaine, leur « Logan » économique sous la marque khodro.
Les intentions des hommes d’affaires iraniens consistent en d’autres termes à produire cette marque au Maroc et l’exporter vers l’Afrique occidentale.
Il ya lieu de rappeler que l’Iran est parmi les premiers pays importateurs de phosphate marocain.
Citation :
Énergie: Le Maroc importe toujours le pétrole iranien Publié le 10.04.2009 | 20h32
L'essentiel des importations marocaines de brut provient de l'Arabie Saoudite (48%). Le pays des Ayatollah fournit 26% et le reste vient de l'Irak et de la Russie.


Dernière édition par amine222 le Lun 28 Déc - 21:07, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeLun 28 Déc - 21:01

amine222 a écrit:
juba2 a écrit:
...
surtout fassi fihri Économie marocaine - Page 3 Icon_neutralÉconomie marocaine - Page 3 Icon_silent pourquoi chercher des problemes avec un pays qui nous respecte ?????

Citation :
Publié le : 13.02.2009 | 09h04
L'ambassadeur de la République islamique d'Iran à Rabat, Wahid Al Ahmadi, a réaffirmé jeudi, que son pays maintient le gel de ses relations avec le "polisario", et ce depuis 17 ans.

Citation :
Énergie: Le Maroc importe toujours le pétrole iranien Publié le 10.04.2009 | 20h32

L'Iran est l'un des premiers pays importateurs de phosphate marocain. Selon les chiffres du ministère du Commerce extérieur, les exportations marocaines vers ce pays ont atteint 340 millions de dirhams en 2007, constituées principalement de phosphates et ses dérivés. En retour, l'Iran est fortement intéressé au Maroc par l'agro-industrie, les conserves de poissons, le textile et l’industrie automobile. Les Iraniens envisageaient d'ailleurs de fabriquer, à partir de la plateforme marocaine, leur « Logan » économique sous la marque khodro.

Les intentions des hommes d’affaires iraniens consistent en d’autres termes à produire cette marque au Maroc et l’exporter vers l’Afrique occidentale.


bahrein wla lkhra hna malna
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 29 Déc - 8:34

Alstom nous préparerait-il un plan de com' massif ?

Citation :
TGV Maroc : Alstom cherche à gagner l’opinion publique marocaine



Économie marocaine - Page 3 Tgv_maroc


La signature du contrat du TGV est prévue pour février prochain. Alstom, le constructeur français, a conscience de la sensibilité qui entoure ce dossier et tente de calmer les esprits par une action de communication ciblée.


Alstom prépare le terrain pour l’annonce du coût réel de la transaction du TGV au Maroc. Selon des sources proches des milieux publicitaires à Casablanca, le constructeur de trains à grande vitesse a lancé une consultation pour le choix d’une agence RP (relation presse et relation publique). Le cahier des charges à la base de cette consultation est clair : préparer l’opinion publique marocaine à l’arrivée en force d’Alstom.

Rappelons, en effet, que le Français a décroché par appel d’offres les tramways de Rabat et de Casablanca. Pour ce dernier, le marché se chiffre à 2 milliards de dirhams pour le matériel roulant et 700 millions de DH pour l’entretien. A cela s’ajoute la commande juteuse passée récemment par l’Office National des Chemins de Fer pour l’acquisition de 20 locomotives baptisées E1400. Le coût de l’opération avoisine les 800 millions de DH. Sans oublier, la réalisation de marché pour le compte de l’ONE.

Mais si ces marchés-là ne posent pas de problème en termes d’image, celui du TGV inquiète le constructeur français. Selon nos sources, l’accueil froid qu’a reçu l’annonce de la réalisation d’une ligne TGV reliant Tanger à Casablanca n’est pas de nature à rassurer le Français. Cela est d’autant plus vrai que la passation de ce marché n’a pas suivi la procédure de l’appel d’offres. Certains députés marocains, appuyés par une presse hostile à ce projet, estiment que le Maroc pouvait disposer d’une meilleure offre s’il avait fait jouer la concurrence sur ce dossier. Sans oublier ceux, nombreux, qui rejettent complètement ce choix de TGV et défendent l’option de train rapide et surtout moins coûteux pour un pays qui a besoin de toutes ses ressources.

Alstom, qui s’apprête à signer le contrat du TGV en février 2010, veut faire l’économie d’une telle tension autour d’un dossier sensible. D’où le besoin d’une action RP en douceur, mais aussi en profondeur. L’action est déjà en marche avec à la clé une grande interview dans L’Economiste, quotidien économique marocain positionné sur l’information institutionnelle. Cette sortie médiatique, bien ciblée, a mis en exergue l’effet induit d’un projet structurant comme le TGV, notamment en termes de marchés à attribuer à des entreprises locales. Belle entrée en matière pour préparer des annonces qui risquent de froisser des sensibilités locales, surtout quand le constructeur français révélera le coût réel de cette transaction hautement politique.


Khalid Tritki
Maroceco.ma

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 29 Déc - 9:36

"TGV francais :choix hautement politique" CAD que d autres offres auraient ete moins chéres s il y avait eu concurrence.
mon interpretation (ma lecture) :tous les prochains achats d armes seront d ailleurs ,surtout chez les YANKEES.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeMar 29 Déc - 13:16

Citation :

L'économie nationale en 2009, une grande capacité d'absorption de chocs


Rabat - L'économie nationale devrait terminer l'année en cours sur une note relativement positive dans un contexte international de crise, qui n'a pas eu raison d'une économie, ayant fait preuve, encore une fois, d'une grande capacité de résistance et d'absorption de chocs.

Économie marocaine - Page 3 Industrie

Par Mohammed Réda BRAIM
2009 a été sans conteste l'année d'une crise internationale sévère, qui a poussé les économies les plus puissantes du monde vers la récession économique, notamment celles des principaux partenaires du Maroc, ce qui n'a pas manqué d'avoir des répercussions négatives sur certains secteurs d'activités nationaux, particulièrement ceux en relation avec la demande étrangère.
Malgré cette conjoncture internationale peu favorable, l'économie nationale devrait enregistrer en 2009 un taux de croissance, estimé par le ministère de l'Economie et des Finances, à 5,3 pc, réalisé dans un contexte non-inflationniste (2 pc prévu pour 2009), au moment où plusieurs pays font face à une explosion de leurs taux d'inflation, comme c'est le cas en Egypte (16,2 pc).
Cette croissance serait favorisée, certes par à une campagne agricole exceptionnelle (102 millions de qx), mais également par la vigueur de la demande intérieure et la bonne tenue de plusieurs activités non-agricoles, soutenues par les actions entreprises dans le cadre du Comité de veille stratégie.
En effet, les mesures prises par ce comité ont permis de limiter les effets négatifs de la crise sur l'économie nationale et de soutenir les secteurs touchés. Elles ont concerné, le soutien au financement des entreprises, la promotion des exportations, la préservation de l'emploi, la promotion du secteur touristique, la consolidation des transferts des MRE et le soutien de la formation.
+Atténuation du rythme de la baisse au niveau des activités touchées par la crise+
Globalement, l'économie nationale a été tirée par un secteur agricole qui a bénéficié d'un ciel largement clément, mais le secteur non-agricole n'a pas sombré et devrait terminer l'année en hausse, malgré les difficultés économiques des partenaires du Maroc, qui constituent des marchés essentiels pour plusieurs de ces branches d'activités non-agricoles.
Selon Bank Al-Maghrib, le PIB-hors agriculture terminerait l'année à un rythme légèrement inférieur à 3 pc, s'inscrivant ainsi en rupture par rapport à la dynamique observée au cours des cinq dernières années.
L'évolution récente des indicateurs conjoncturels fait état d'une atténuation du rythme de la baisse au niveau des activités touchées par la crise, telles que, l'industrie, les phosphates et dérivés, le tourisme et les transferts des MRE.
Selon les statistiques officielles, la production marchande de phosphates s'est accrue de 23,6 pc au 3-ème trimestre par rapport au trimestre précédent, au moment où la production d'acide phosphorique et des engrais naturels et chimiques ont augmenté respectivement de 29,8 pc et 68,2 pc en glissement trimestriel et de 8,4 pc et 57,2 pc en glissement annuel.
La même amélioration est enregistrée au niveau de la production des industries de transformation, dont le rythme de baisse de l'indice trimestriel, en glissement annuel, a ralenti, passant à -1 pc au 2-ème trimestre 2009 après -1,6 pc au 1-er trimestre 2009 et -4,4 pc au 4-ème trimestre 2008. Cette légère reprise a été confirmée par les chefs d'entreprises industrielles interrogés dans le cadre de l'enquête de conjoncture réalisée par le HCP.
Le secteur du tourisme, qui a été directement touché par les effets de la crise internationale, a commencé à redresser la barre durant les derniers mois de l'année et les statistiques officielles sont là pour confirmer cette tendance. L'activité touristique a conservé, à fin octobre 2009, la même tendance observée lors des mois précédents caractérisée par une hausse des arrivées (+5,7 pc) accompagnée d'une baisse des nuitées (-2,1 pc) et des recettes voyages (-7,7 pc).
Selon le département des Finances, ce recul des recettes à fin octobre 2009 s'est inscrit en net ralentissement, en glissement annuel, d'un trimestre à l'autre, passant de -23,1 pc au 1-er trimestre 2009 à -7,6 pc au 2-ème trimestre et à -1,9 pc au 3-ème trimestre.
Par ailleurs, la demande intérieure, qui a toujours constitué un rempart pour l'économie nationale en période de crise, a tiré profit de la hausse des revenus des ménages ruraux en lien avec l'excellente campagne agricole, du maintien du taux de chômage sous la barre de 10 pc (9,8 pc au 3-ème trimestre), de la poursuite de la croissance des crédits à la consommation (+19,3 pc à fin octobre) et des efforts déployés par les pouvoirs publics pour soutenir le pouvoir d'achat à travers la réduction de l'Impôt sur le revenu et la revalorisation des salaires.
+La crise est ressentie plus au niveau des échanges extérieurs+..
Concernant les investissements, le département des Finances fait état de signes de dynamisme malgré le contexte de crise économique mondiale, citant à cet égard la hausse, à fin octobre 2009, de 24,8 pc des crédits accordés à l'équipement et de 20,9 pc des dépenses d'investissement du budget de l'Etat.
C'est au niveau des échanges extérieurs du Maroc que les effets de la crise ont été le plus ressentis en 2009 en relation directe avec la baisse de la demande étrangère adressée aux produits nationaux. Ainsi, les exportations et les importations de biens et services ont clôturé les dix premiers mois de l'année sur un repli respectivement de 23,3 pc et 19,2 pc en glissement annuel, portant ainsi le taux de couverture à 70,2 pc contre 73,9 pc à fin octobre 2008.
Les statistiques de l'Office des changes précisent que les échanges de biens, quant-eux, ont dégagé un déficit commercial chiffré à 122,2 milliards de dirhams, en atténuation de 14,8 pc par rapport à fin octobre 2008. Cette situation provient essentiellement de l'allégement des déficits dégagés par les échanges des produits énergétiques et des produits alimentaires.
Même si la crise internationale a pu toucher certains secteurs d'activité, l'économie nationale dans son ensemble a fait preuve d'une grande capacité de résistance et d'absorption de choc, acquise au fil des années grâce essentiellement aux réformes profondes et aux chantiers de développement audacieux ouverts au Maroc dans plusieurs domaines.
Ce travail de fond a donné plus de visibilité aux opérateurs économiques, aussi bien nationaux qu'étrangers, qui n'hésitent plus à investir au Maroc même en période de crise internationale, témoignant ainsi d'une confiance aveugle en l'économie marocaine.
L'ouverture en 2009 de deux stations touristiques du plan Azur (Saidia et Mazagan) et le lancement et le maintien de projets stratégiques et structurants comme les programmes sectoriels (autoroutes, énergies, industrie, habitat Œetc), le projet de l'usine Renault à Tanger, l'aménagement de la vallée de Bouregreg, en est la plus belle des illustrations de la confiance en l'économie nationale et sa solidité.

MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 3 Icon_minitimeJeu 31 Déc - 13:40

Citation :
"Haliopolis": un projet qui permettra à Agadir de s'ériger en pôle économique majeur


Agadir, 31/12/09 - "Haliopolis", pôle régional de compétitivité dédié entièrement à l'exploitation des produits de la mer, représente l'un des projets phares ayant le plus marqué le processus de développement économique de la ville d'Agadir en 2009.

Ce projet, qui fait partie des chantiers d'envergure au Maroc, dont le coup d'envoi a été donné par SM le Roi Mohammed VI, est d'un coût d'investissement estimé à 6,6 milliards de dirhams. Il vise à satisfaire les besoins des professionnels du secteur à travers une vision innovante d'un parc industriel intégré qui ambitionne de développer et promouvoir les multiples potentialités économiques que recèle le Royaume.

Le parc sera édifié sur une superficie de 150 hectares répartis sur les industries de transformation (46 ha), les industries de support (28 ha), les activités logistiques (26 ha) et les activités liées aux services (11 ha), et générera quelque 20.000 postes d'emploi directs et indirects.

D'un potentiel de transformation de produits de la mer de 500.000 tonnes, dont 150.000 tonnes pour les usines délocalisées et 350.000 tonnes pour les nouvelles unités industrielles, "Haliopolis" sera réalisé en deux tranches, dont la première sera lancée en 2010.

Ce futur pôle régional qui répond aux standards internationaux, va offrir aux investisseurs des lots de terrain équipés, des unités prêtes à l'emploi, des plateaux de bureaux et une pépinière d'entreprises.

La Convention relative au projet a été signée en septembre dernier à la commune rurale de Drarga sous la présidence de SM le Roi Mohammed VI. Elle définit les conditions et les modalités d'aménagement, de valorisation, de promotion et de gestion de ce futur parc industriel et prévoit la mise en place d'infrastructures y relevant.

Le secteur de la pêche maritime est un des piliers de l'économie nationale avec une production de plus d'un million de tonnes de poisson par an, qui représente 10 pc du total des exportations agro-alimentaires du Maroc et environ 2,5 pc du PNB.

Le secteur de la pêche au Maroc, qui compte quelque 422 unités industrielles et 360 bateaux de pêche, réalise un chiffre d'affaires de près de 1,5 milliard de dollars par an, et génère quelque 660.000 postes d'emploi directs et indirects.


Selon le ministre de l'Agriculture et de la Pêche maritime, M. Aziz Akhannouch, le Maroc dispose d'importants atouts en matière de pêche maritime qu'il faut exploiter selon une politique rationnelle et une approche durable.

Le choix d'Agadir pour abriter le projet "Haliopolis" s'explique notamment par le fait que la ville abrite le plus grand port de pêche du Royaume, en plus d'une flotte composée de plus de 400 unités de pêche, a-t-il indiqué, ajoutant qu'Agadir demeure la première région en matière des exportations qui s'élèvent à plus de 3 milliards de dirhams.

La ville d'Agadir a abrité en 2009 les travaux du Conseil supérieur de la pêche maritime au cours desquels le ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime a présenté devant SM le Roi Mohammed VI la nouvelle stratégie du secteur de la pêche.

Cette stratégie vise la mise à niveau du secteur et le renforcement de sa compétitivité, la concrétisation d'un développement durable, la valorisation des ressources halieutiques et la volonté de tripler le produit intérieur du secteur à l'horizon 2020 dans le but d'en faire une locomotive de croissance économique.

Cette nouvelle stratégie "Plan Halieutis" ambitionne également d'augmenter à 115.000 le nombre d'emplois directs, contre 61.650 actuellement et à accroître la valeur des exportations des produits de la mer à plus de 3,1 milliards de dollars à l'horizon 2020 contre 1,2 milliard en 2007.

"Halieutis" prévoit, en outre, la concrétisation d'un certain nombre de projets phares de transformation et de valorisation des produits de la mer, avec à leur tête la création de trois pôles de compétitivité: Tanger, Agadir et Laâyoune-Dakhla qui permettront de mobiliser des investissements de 9 milliards de dirhams.

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