Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| Actualité Economie Mondiale | |
|
+74felipe21 dudux Anzarane kolopoi12 moncef Bruce Wayne sirono FarLouati daama94 AIT ralek1 YASSINE mbarki_49 Shugan188 RecepIvedik atlas Chiffalo Socket-error vinseeld Barsdz KapMajid Amgala Winner jf16 youssef_ma73 BOUBOU Viper Fox-One dan kurahee @Winners victor g camps systra FAR SOLDIER pyromane RadOne Chobham annabi Gémini simplet jonas FAMAS arsenik linust Inanç charly Ichkirne marques yassine1985 sorius farewell RED BISHOP docleo atlasonline leadlord Adam ready klan reese juba2 GlaivedeSion PGM lida moro thierrytigerfan rafi iznassen Proton Fahed64 Fremo MAATAWI Nano Samyadams Yakuza Cherokee 78 participants | |
Auteur | Message |
---|
Cherokee Colonel
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Actualité Economie Mondiale Sam 23 Jan 2010 - 0:07 | |
| Rappel du premier message : USA/GB: accord sur les faillites bancaires - Citation :
- L'un des régulateurs bancaires aux Etats-Unis, la FDIC, et la Banque d'Angleterre ont annoncé vendredi la signature d'un accord de coopération sur les risques de faillite d'une institution financière multinationale.
Cet accord de principe vient en compléter un autre, datant de 1996 et amendé en 1998, entre les trois principaux régulateurs bancaires américains (Réserve fédérale, FDIC et OCC) et l'autorité de régulation britannique du secteur financier, la FSA.
Il prévoit un échange d'informations pour prévenir un risque de ce genre, de préparer "les outils de gestion d'une crise traversant les frontières", et de prévoir entre autres les moyens de coordination et la répartition des tâches.
La présidente de la FDIC Sheila Bair, citée dans un communiqué, a salué "un pas vers la mise en oeuvre des recommandations du groupe de résolution des crises internationales du Comité de Bâle", un forum de régulateurs bancaires de 27 pays.
Si la Banque d'Angleterre n'est plus régulateur bancaire aujourd'hui, elle reste chargée de gérer les crises bancaires, a rappelé son gouverneur Mervyn King. La FDIC est quant à elle l'autorité de régulation de plus de 5.000 banques, en plus d'être l'agence fédérale de garanties des dépôts bancaires. AFP | |
| | |
Auteur | Message |
---|
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 2 Avr 2016 - 20:40 | |
| - Citation :
- Le cours du baril en hausse de 45% en moins de 3 mois
Même si les taxes sur les carburants ont été relevées, cette hausse d'une dizaine de centimes est en fait la conséquence directe de la poussée constatée depuis le début de l'année sur le cours du brut. Le prix du baril est passé de 27 dollars le 20 janvier à 39 dollars le 1er avril, soit une hausse de 45% en à peine trois mois. Les experts estiment cependant que sur l'ensemble de l'année 2016, le prix du brut restera autour de 40 dollars le baril : trois fois moins qu'il y a deux ans. L'Arabie saoudite en train de perdre sa "guerre" économique L'Arabie Saoudite, qui voulait écraser la concurrence en inondant le marché mondial de son brut national, est en effet en train de perdre la "guerre" économique qu'elle entendait mener notamment contre les nombreuses petites sociétés américaines exploitant du pétrole de schiste aux Etats-Unis. Mais ces dernières, malgré un net recul de leur production, sont parvenues à limiter les dégâts. "Ils (les Américains, ndlr) ont réussi à améliorer l'efficacité de leurs puits, ce qui fait que la chute de production que l'on a connu aux Etats-Unis n'a rien à voir ni avec la chute des prix ni avec la chute de l'activité de forage", explique Pierre Terzian, directeur de Petrostrategies, spécialiste du secteur de l'énergie. "C'est une prouesse extraordinaire qui est en train de s'accomplir sous nos yeux aux Etats-Unis." Réunion des pays producteurs de brut le 17 avril Les pays producteurs de brut - membres ou non de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), dont font notamment partie l'Arabie saoudite et l'Iran - doivent se réunir à Doha le 17 avril pour tenter de stabiliser la production mondiale et soutenir les prix du brut plombés par la surabondance de l'offre. Par la voix du vice-prince héritier Mohammed Ben Salmane, le régime saoudien a déclaré qu'il ne gèlera le niveau de sa production de brut que si les grands producteurs, dont l'Iran, en font de même. "Si tous les pays sont d'accord pour geler la production, nous sommes prêts", a affirmé le vice-prince dans une entrevue à Bloomberg News publiée vendredi, précisant toutefois que "si quelqu'un décidait d'augmenter sa production, nous ne rejetterons alors aucune opportunité qui se présente". La rivalité Riyad/Téhéran en jeu Alors que Téhéran s'est dit "prêt à participer" à la rencontre, le grand rival régional de Riyad a demandé à être exempté de cette mesure de gel de la production, du fait de son récent retour sur le marché mondial à la suite de la levée des sanctions liées à son programme nucléaire, avait indiqué le ministre russe de l'Energie Alexander Nivak. Les cours du pétrole ont ouvert en nette baisse vendredi à New-York après les propos du vice-prince héritier saoudien, jugés de mauvais augure pour un éventuel accord de stabilisation de l'offre entre grands pays producteurs. Les prix à la pompe n'ont sans doute pas fini de varier. http://lci.tf1.fr/economie/consommation/carburants-pourquoi-les-prix-repartent-legerement-a-la-hausse-8729964.html _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 2 Avr 2016 - 20:45 | |
| S'il y'a pas pic pétrolier en 2000, on n'en serai pas la avec des ventes à ce niveau, il y'a juste manque d'investissements pour plus de production. Il y'a pic relatif, c'est-à-dire selon les moyens investies et la consommation donnée
Les USA sont venue jusqu'au Maroc promouvoir leurs futurs exportations, car ils s'attaquerons même au marché européen. Ils sont en train de redéfinir leurs stratégies avec l'Amérique du Sud, ils veulent construire des pipelines et des plates-formes GNL.
Les nouvelles technologies dans les énergies renouvelables donnent une production électrique à des prix proche du classique, le déclenchement des investissements dans ce domaine fera en sorte de rentabiliser ses nouvelles technologies et booster les centres de recherches.
Sans oublier, la Lybie, l'Iran. L'Irak, Venezuela tous sont sous capacité de production et d'investissement. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 2 Avr 2016 - 21:18 | |
| - PGM a écrit:
- D'accord avec alpha sur les cours du brut. Aujourd'hui les stocks sont au max et la production est structurellement excédentaire, cependant, depuis la chute des cours, les investissements, pourtant necessaire, ont baissé de manière trop importante, au point que pour 2 barils consommés, moins de 1 est découvert, ce qui veut dire que les réserves globales diminuent, d'autant que tout le monde triche sur les chiffres réels de ses réserves. A long terme donc, les cours remontront, c'est inévitable. Il ne faut pas oublier que c'est une ressource finie.
la baisse des prix actuels ne procède pas d'une logique strictement économique. Elle intègre une dimension geo-tactique qui va nécessairement prendre fin. Les US veulent à long terme conserver une capacité à être energitiquement autosuffisant, et que les clients de ses treasury bond conservent leur capacité à en acquérir. ..et accessoirement les moyen de poursuivre leurs achats d'armes. Plus le temps avance et plus les pays industralisés sont moins dépendant du pétrole, c'est irréversible, la production des énergies renouvelables est constante et poursuit une croissance à deux chiffres. Je prends exemple de la Turquie, en décembre 2015, les éoliennes fournissait 17% de l'électricité du pays. Enfin la construction des grands barrages et des centrales nucléaires ne va que faire baisser la demande en pétrole et gaz de la Turquie. Sans parlé que les nouvelles voitures consomme beaucoup moins, on parlait des voitures hybride, aujourd'hui on parle des voitures électriques ou le bio-carburant. Plus la recherche avance et plus l'humain trouve des solutions à l'après pétrole. On disait exactement la même chose du charbon en 1916. Aujourd'hui, 100 après, c'est remplacé par le pétrole. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 2 Avr 2016 - 22:09 | |
| Le charbon est encore pas mal utilisé comme source électricité en Allemagne notamment ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 2 Avr 2016 - 22:34 | |
| Je pense que vous devriez tous etudier un peu de petrochimie. Le petrole n'est pratiquement pas utilisé pour la production d'électricité (pour ça, c'est charbon et gaz).
Le fait est que le pétrole facile à extraire est presque fini. Les Saoudiens et les Vénézueliens, cela leur coute moins de 10$ pour sortir un barril du sous-sol. Mais le deep offshore, le shale, le sand... on monte à 40, 50, 60. Bien entendu, les techniques progresseront et les couts baisseront. Mais il y aura un seuil minimum en dessou duquel le prix du petrole ne pourra pas aller.
Ce seuil minimum sera de plus en plus élevé car la derniere goutte de petrole sera très compliqué à sortir.
Le fait que l'on ait plus besoin de petrole pour le transport (terrestre) ne signifie pas que son prix restera bas. L'industrie plastique, pharaceutique, les peintures, les tissues synthétiques... le pétrole est partout et ces produits dérivés peuvent supporter un pétrole à 200$/b.
Mais je maintiens selon mon analyse, le prix du WTI restera entre 30 et 50 jusque fin 2017.
Après, dieu seul sait... Faire des prévision à 3 ans tient du n'importe quoi |
| | | youssef_ma73 General de Brigade
messages : 3005 Inscrit le : 04/08/2014 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 2 Avr 2016 - 22:46 | |
| @alpha le Venezuela et KSA n'ont rien à avoir l'un avec l'autre à part pour les réserves prouvées presque équivalentes (celles du Venezuela étant supérieures). Le pétrole vénézuelien est l'un des plus chers à l'exploitation, non seulement c'est profond mais en plus c'est un pétrole lourd qui coûte cher au raffinage contrairement au pétrole léger saoudien qui se trouve à quelques dizaines de mètres sous le sol. - Citation :
Mais le point faible du Venezuela réside dans la qualité de son pétrole. Son extraction et raffinage demandent des coûts bien plus élevés que le pétrole léger qui fait la richesse des sous-sols saoudiens. Le Venezuela a plus de difficulté à transformer et rendre commercialisable son or noir. Même s'il dispose de plus de réserve, il reste donc loin derrière l'Arabie saoudite en termes de production (8,16 mbj en 2010 contre 2,85 millions pour le Venezuela) et d'exportation (950.900 mbj contre 751.100 mbj). - Citation :
- La production pétrolière à court terme est moins gouvernée par le coût du capital initial que par la dépense d’exploitation au comptant par baril (cash cost).
L’estimation de ce coût est inférieure à 10 dollars pour l’Arabie saoudite. Le pétrole jaillit pratiquement tout seul du sable! A l’extrême, pour le Venezuela, il est proche de 40.
_________________ “Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert Einstein. | |
| | | KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 03/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 3 Avr 2016 - 2:18 | |
| - alphatango a écrit:
- Je pense que vous devriez tous etudier un peu de petrochimie. Le petrole n'est pratiquement pas utilisé pour la production d'électricité (pour ça, c'est charbon et gaz).
Le fait est que le pétrole facile à extraire est presque fini. Les Saoudiens et les Vénézueliens, cela leur coute moins de 10$ pour sortir un barril du sous-sol. Mais le deep offshore, le shale, le sand... on monte à 40, 50, 60. Bien entendu, les techniques progresseront et les couts baisseront. Mais il y aura un seuil minimum en dessou duquel le prix du petrole ne pourra pas aller.
Ce seuil minimum sera de plus en plus élevé car la derniere goutte de petrole sera très compliqué à sortir.
Le fait que l'on ait plus besoin de petrole pour le transport (terrestre) ne signifie pas que son prix restera bas. L'industrie plastique, pharaceutique, les peintures, les tissues synthétiques... le pétrole est partout et ces produits dérivés peuvent supporter un pétrole à 200$/b.
Mais je maintiens selon mon analyse, le prix du WTI restera entre 30 et 50 jusque fin 2017.
Après, dieu seul sait... Faire des prévision à 3 ans tient du n'importe quoi Entièrement raison ! btw, je suis long (buy the dips strategy) depuis que le WTI a touché les $28. Je prévois aisément un retour vers les 70 (cela peut se confirmer (selon mon analyse) si la S&P breaks la barrière 2130 points) J'aimerai aussi rajouter qu'une bonne compréhension de la FED pourrait éventuellement donner des résultats impressionnants sur les 3-4 ans. | |
| | | youssef_ma73 General de Brigade
messages : 3005 Inscrit le : 04/08/2014 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 3 Avr 2016 - 10:56 | |
| - alphatango a écrit:
- Je pense que vous devriez tous etudier un peu de petrochimie. Le petrole n'est pratiquement pas utilisé pour la production d'électricité (pour ça, c'est charbon et gaz).
Le fait est que le pétrole facile à extraire est presque fini. Les Saoudiens et les Vénézueliens, cela leur coute moins de 10$ pour sortir un barril du sous-sol. Mais le deep offshore, le shale, le sand... on monte à 40, 50, 60. Bien entendu, les techniques progresseront et les couts baisseront. Mais il y aura un seuil minimum en dessou duquel le prix du petrole ne pourra pas aller.
Ce seuil minimum sera de plus en plus élevé car la derniere goutte de petrole sera très compliqué à sortir.
Le fait que l'on ait plus besoin de petrole pour le transport (terrestre) ne signifie pas que son prix restera bas. L'industrie plastique, pharaceutique, les peintures, les tissues synthétiques... le pétrole est partout et ces produits dérivés peuvent supporter un pétrole à 200$/b.
Mais je maintiens selon mon analyse, le prix du WTI restera entre 30 et 50 jusque fin 2017.
Après, dieu seul sait... Faire des prévision à 3 ans tient du n'importe quoi Les centrales thermiques au fioul continuent à être la premiere source de production de l'electricité dans le monde. Petrole + gaz s'accaparent la part du lion. Chiffres de 2012 Key World Energy Statistics. _________________ “Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert Einstein. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 4 Avr 2016 - 2:56 | |
| - Citation :
- Platini, Messi, le Premier ministre islandais... "Panama Papers" : enquête sur les sociétés offshore et les paradis fiscaux
Des documents, consulté par les journalistes de "Cash Investigation", révèlent les noms de sportifs, d'hommes d'affaires et de politiques, qui ont créé ou utilisé des sociétés offshore.
Cash investigations : révélations sur le scandale des "Panama paper"
http://www.francetvinfo.fr/economie/fraude/panama-papers/video-france-2-cash-investigation-platini-messi-le-premier-ministre-islandais-panama-papers-enquete-sur-les-societes-offshore-et-les-paradis-fiscaux_1388631.html |
| | | RadOne Capitaine
messages : 815 Inscrit le : 11/10/2009 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 9 Avr 2016 - 20:22 | |
| La chute des prix du pétrole conduit l’Angola à faire appel au FMI - Citation :
Frappé de plein fouet par l’effondrement du prix du pétrole, l’Angola s’est résolu mercredi 6 avril à demander de l’aide au Fonds monétaire international (FMI). Il y a un mois, le ministre des finances du pays avait pourtant déclaré qu’une demande de prêt à cette institution n’était pas à l’ordre du jour. Il n’a désormais guère le choix : avec un baril à 40 dollars (35 euros) – contre plus de 100 dollars il y a deux ans –, les caisses de l’Etat sont vides. L’or noir représente 40 % du produit intérieur brut (PIB) du pays, deuxième producteur africain, mais près de 70 % de ses recettes fiscales et plus de 95 % de ses entrées en devises.
Le plan d’aide, qui sera conditionné à des mesures d’économie, pourrait s’étaler sur trois ans. Les discussions avec le Fonds commenceront la semaine prochaine, lors de l’assemblée de printemps du FMI. L’Angola, qui a émergé de plusieurs décennies de guerre civile, avait déjà été sous assistance financière du FMI entre 2009 et 2012, années pendant lesquelles il avait reçu 1,4 milliard de dollars de prêts de l’institution. Les entreprises implantées en Angola voient plutôt d’un bon œil cet appel à l’aide. « Les dirigeants angolais ont tenté de masquer la gravité de la situation car ils n’ont aucune envie de voir le FMI mettre son nez dans leurs affaires. Mais c’était inévitable », juge le dirigeant d’une entreprise française implantée en Angola, qui préfère rester anonyme. Faute de devises, son business tourne au ralenti depuis plusieurs mois : « Depuis le mois de septembre, la banque centrale d’Angola ne délivre les dollars qu’au compte-gouttes. Je dois régler depuis des mois une facture de 15 millions de dollars, mais les autorités n’ont toujours pas autorisé l’opération de change. Pendant ce temps, la monnaie poursuit sa dégringolade, et je perds chaque jour de l’argent », explique-t-il. La monnaie angolaise, le kwanza, a chuté de 30 % en un an face au dollar.
Multiplication des pénuries Dans ce contexte, la plupart des entreprises ont réduit la voilure. « Nous limitons nos livraisons aux magasins qui sont en mesure de payer comptant », explique Jean-Baptiste Mouton, qui dirige la filiale de Pernod Ricard en Angola. Implanté depuis quatre ans dans le pays, le groupe de spiritueux français se livre depuis quelques mois à un « exercice d’équilibriste ». « Nos ventes diminuent mais nous parions sur le futur : c’est un marché plein de potentiel. » En janvier et février, la banque centrale a réservé la totalité des dollars mis à disposition des entreprises à l’achat de médicaments et de denrées alimentaires. Ce qui n’empêche pas les pénuries de se multiplier. L’une des plus grandes chaînes de supermarchés angolaises, Kero, a ainsi rationné les bouteilles d’eau et il est devenu impossible de trouver un tube de dentifrice dans les rayons.
La situation sanitaire, surtout, est devenue catastrophique, car plusieurs médicaments essentiels sont désormais introuvables. « Plusieurs de mes employés ont ainsi perdu un proche qui n’a pas pu être soigné en raison de cette pénurie », témoigne un autre chef d’entreprise sous couvert d’anonymat. « L’hygiène est aussi devenue déplorable : à Luanda, la municipalité n’a même plus les moyens de ramasser les poubelles ! »
http://www.lemonde.fr/economie/article/2016/04/07/la-chute-des-prix-du-petrole-conduit-l-angola-a-faire-appel-au-fmi_4897640_3234.html | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 9 Avr 2016 - 21:44 | |
| Dire qu'il s'était aligné pour le rachat du porte aéronefs "prince des asturies "..... plus dur est la chute _________________ | |
| | | kurahee Colonel-Major
messages : 2475 Inscrit le : 16/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Sam 9 Avr 2016 - 23:25 | |
| Que leur chute soit aussi douloureuse que possible | |
| | | Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 11 Avr 2016 - 14:02 | |
| Les pays du Golf sont une situation bien pire que celle de l'Algérie Les pays membres du Conseil de coopération du Golfe (CCG) doivent emprunter entre 250 et 342 milliards d'euros d'ici 2020 pour financer leurs déficits budgétaires résultant de la chute des cours du pétrole, estime un rapport publié dimanche. Les six pays, qui dépendent lourdement des revenus pétroliers, doivent cumuler un déficit de 318 milliards de dollars (279 milliards d'euros) pour les seules années 2015 et 2016, selon ce rapport du Kuwait Financial Centre (Markaz). Le CCG comprend l'Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis, le Qatar, Oman et le Koweït. http://www.boursorama.com/actualites/les-pays-du-golfe-doivent-emprunter-massivement-d-ici-2020-42b5dc28d19fb5b49ee408c022d50851 | |
| | | vinseeld Colonel
messages : 1655 Inscrit le : 27/02/2016 Localisation : Bresil Nationalité :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Lun 11 Avr 2016 - 16:07 | |
| Si c'était vraiment un souci pour eux ils auraient réduit leurs production afin de refaire remonter le cour du brut .....cet endettement n'est pas véritablement un problème pour eux contrairement à d'autre | |
| | | KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 03/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 13 Avr 2016 - 3:20 | |
| - KapMajid a écrit:
- je suis long (buy the dips strategy) depuis que le WTI a touché les $28. Je prévois aisément un retour vers les 70 (cela peut se confirmer (selon mon analyse) si la S&P breaks la barrière 2130 points)
Le prix est au plus haut de 2016 as market prices react to reports of production freeze agreement between Russia & SA. | |
| | | KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 03/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Ven 15 Avr 2016 - 3:50 | |
| Tiens tiens tiens, les zétazunis qui vient de publier les rapports sur les DH et le respect de blabla gnagnagnagna http://fr.investing.com/news/indicateurs-economiques/microsoft-poursuit-les-etats-unis-au-sujet-de-mandats-de-perquisition-secrets-163958 | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 20 Avr 2016 - 0:17 | |
| Selon des grands analystes, le monde va entrer en récession l'année prochaine.
L'Iran à une 50 de tanker poubelle rempli de pétrole comme stock sur ses cotes. Elle a des problèmes à trouver des tanker pour acheminer son pétrole en Europe vue des sanctions US et un lobbying Saoudien. L'Iran declare pas la réalité de sa production. Elle a juste une 20 de tanker qui sont tous en route vers L'Asie. Et quelques tanker étrangers qui sont pas heurté par ses sanctions (interdiction d'utiliser le dollar, assurance, banques US,...)
Pétrole à gogo et à volonté |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 20 Avr 2016 - 1:37 | |
| Ameqran vous savez que nous achetons toujours du petrole de l'iran et l'iran nous achete toujours du phosphate. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 20 Avr 2016 - 1:44 | |
| - juba2 a écrit:
- Ameqran vous savez que nous achetons toujours du petrole de l'iran et l'iran nous achete toujours du phosphate.
Je crois pas à ssi Juba?! Peut être avant, mais les Saoudiens sont allergiques même avec un tapis iranien |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 20 Avr 2016 - 1:56 | |
| C'est comme cela aussi que le mMaroc joue ses cartes,je suis tellement fier de ce roi avec ses strategies bien calcule que le Maroc n'a jamais connu meme pendant H2.Pour M6 le Maroc d'abord le reste??????.Il joue toutes les cartes.Dans les strategies a long termes il faut toujours les balance avec le court terme a ne jamais donner tout mais pettit a pettit et demander la livraison de ta part le plus vite possible signie les resultats ,si non je peux toujours sauter de l'autre cote ,exactement la strategie anglosaxon,I love you but I am not blind. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 5 Mai 2016 - 20:33 | |
| - OilPrice.com La guerre des prix du gaz a commencé a écrit:
-
The first U.S. shipment of liquefied natural gas (LNG) arrived in Portugal last week and Gazprom did not immediately cut its own gas prices for Europe. While European media has hailed the entry of U.S. gas into the market as a game-changer and a monopoly-breaker, in the short term, nothing has changed at all. Let’s first get things straight: Gazprom is not a monopolistic supplier for Europe, though it’s often called that. The Russian state giant actually supplies about one-third of the gas that Europe consumes. Norway supplies another quarter; so together, the two countries satisfy less than 60 percent of European gas needs. That’s not a monopoly, although the current supply mix means that Gazprom is the single biggest player on the European market. The U.S., on the other hand, has quickly turned into the world’s biggest natural gas producer thanks to the shale boom. With prices pressed down hard by oversupply, U.S. gas producers are looking for international markets—and Europe is one obvious choice, but not the most lucrative. According to calculations from one energy industry expert, the price for U.S. LNG landed in Europe could come in at $3.59 per MMBtu. Gazprom’s average price this quarter was $180 per 1,000 cm3, or about $5.14 per MMBtu.
Numbers can be misleading, however, as different calculations make different price assumptions as evidenced by an Oxford Institute for Energy Studies estimate for U.S. and Gazprom prices laid out in an FT article from February. Now, at first glance things look promising for Cheniere – the company that shipped LNG to the LNG terminal in Lisbon last week. Its gas is competitive. However, we should not forget that the above calculations are based on a price assumption, which, like all assumptions, allows for a wide margin of error. Still, let’s accept the assumption that Cheniere gas is for the moment meaningfully cheaper than Gazprom gas for Europe. The most logical move for Gazprom, and the scenario considered most likely by media, is to lower prices in order to preserve its market share, much like Saudi Arabia did with oil. Gazprom is profitable, and it has long-term contracts with its European clients, as the company’s deputy chairman Aleksandr Medvedevtold RT. Outside these contracts, it could increase production, of course, but can it “drown” Europe in cheap gas? Perhaps, if it’s cheap enough. But such a scenario is not at all certain. After all, the “drowning strategy” did not exactly do wonders for Saudi Arabia, and it’s now taking steps to diversify away from oil. Russia is aware of this. But there is something else besides gas prices and Gazprom’s flexibility in this respect that could trip up hopeful U.S. gas suppliers looking for new markets in Europe. In three years, a new gas pipeline will come on stream that will supply Caspian gas to Europe. Initially planned to have a capacity of 10 billion cm3 annually, the Trans Adriatic Pipeline could eventually accommodate double that amount. Now, that’s not a whole lot of gas, compared with the 172.6 billion cubic meters supplied by Gazprom to Europe in 2013. Still, it is a new source of gas for the continent; in other words, a new competitor. Gazprom is being watchful of such developments, in the light of Europe’s stated ambition to diversify its natural gas sources. It should also be food for thought for U.S. gas producers: Gazprom has three years to come up with new ways to remain the leader in a market in which it already has a very firm presence. Without very strong political support from Europe, U.S. gas producers will be at a disadvantage in a market packed tightly with competitors. Since consistently low gas prices have left them with less cash for price maneuvering, conquering the European gas market might prove to be a bigger challenge than expected. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Jeu 5 Mai 2016 - 20:55 | |
| - Citation :
Ever wondered where the United States imports its oil from? Howmuch.net came out with some infographics to show that from 2000 to 2015. What we would highlight here is the notable shift from the U.S. depending heavily on Middle East countries and Mexico, to depending more on America's neighbor to the north, Canada. In 2000, the U.S. imported 661 million barrels of oil from Canada, 503 million barrels from Mexico, and a combined 902 million barrels from Iraq, Saudi Arabia, and Kuwait.
Here is 2005, which we note Iraq's decline after the U.S. decided to take over...
In 2010, a notable decline in Mexico, Saudi Arabia, Iraq, and Kuwait occurs, while Canada becomes a much more significant source of oil.
And here is 2015, in which the U.S. imports a whopping 1.37 billion barrels of oil from Canada, while Mexico provides 277 million (a 44.9% decrease from 2000 levels), and Iraq, Saudi Arabia, and Kuwait combine for just 544.9 million barrels, a 39.6% decrease from levels in 2000.
In seeing this, it's little wonder that OPEC has a keen interest in not cutting supply, as they know full well that lower oil prices will eventually (if not already) take out competition in the U.S. and Canada. Now we can see visually how one of the world's largest importers of oil is shifting its preference, and should help everyone understand OPEC's "totally unpredictable" inability to come to an agreement on oil production cuts. * * * The Wall Street Journal has some additional detail on how 2016 is shaping up so far for the U.S. - Citation :
The U.S. is importing more foreign crude than it has in years, becoming one of the last ports of call for many oil-producing nations despite a glut of crude from domestic companies. Oil imports this year have surged 20% to about eight million barrels a day since early May 2015, when they approached a 20-year low, according to federal data. Crude from the Republic of Congo, Russia and Brazil is arriving at U.S. ports, while Canada is sending a record amount of oil to the U.S., the data show. A series of market disruptions in recent months is one reason for the sharp rise in imports, even though U.S. production is close to a three-decade high at nearly nine million barrels a day. These changes include Iran’s return to exporting crude after sanctions were lifted in January, a move that indirectly led to more U.S. imports even though Iran itself can’t sell to the U.S. Another big driver: The rest of the world is running out of places to store oil. Facilities from Rotterdam to Cape Town already are near capacity, but the U.S. still has room to spare, said Brian Busch, director of oil markets for Genscape, a data firm that tracks energy shipments. The U.S. has filled about two-thirds of its total storage capacity and has room for roughly 100 million barrels more, Mr. Busch said. By comparison, major storage hubs in China and South Africa appear full, and Europe’s main storage space centered in Rotterdam appears to be within 10% of its usable capacity, according to Mr. Busch. But with more crude heading to the U.S., the states are moving closer to full storage capacity, too, said Skip York, a vice president with Wood Mackenzie, an energy consultant. As U.S. tanks fill, “it will eventually have to put some downward pressure on U.S. prices,” Mr. York said. Even before then, the raft of new supply from overseas could weigh on U.S. oil prices. On Tuesday, oil for June delivery fell $1.13, or 2.5%, to settle at $43.65 a barrel on the New York Mercantile Exchange, on expectations that U.S. crude inventories will keep climbing. Crude is up 67% from a 2016 low hit in February but down 28% from a year ago. Still, rising imports isn’t bad news for everyone in the oil patch. Traders that can afford to hold oil and lock in higher sales through the futures market are big beneficiaries. Refiners like Phillips 66, major energy companies like BP PLC and international trading houses like Mercuria Energy Group are storing foreign crude in the U.S. so they can sell it for a profit later, according to federal data. Socking away oil in American storage can cost between 30 cents and 85 cents a barrel each month, which is well below the $1 a barrel or more it takes to keep crude floating in oil tankers, observers said. “That’s precisely why some of these traders import it, to put it in storage,” said Amrita Sen, co-founder of Energy Aspects, a London consulting firm. A Wall Street Journal analysis of U.S. Energy Department numbers shows nearly 114 million barrels of foreign oil entered the U.S. between May 2015 and February and went to storage tanks. The majority is parked in Oklahoma and Illinois. That figure is up 30% from less than 88 million barrels in the same period a year earlier. Meanwhile, wait times to deliver foreign crude into the U.S. have become so backlogged that more than 28 million barrels of oil are sitting idle on tankers in the Gulf of Mexico, according to ship-tracking firm ClipperData. That figure is more than double the normal level, ClipperData said. Storage space isn’t the only reason for the U.S. import boom. Countries like Venezuela and Iraq are selling oil for low prices just to keep pumping, observers said, and Iran is ramping up exports. U.S. refiners still are prohibited from buying Iranian oil, but crude from the Persian Gulf country going to other destinations has unleashed a chain reaction that is causing more oil to flow into the U.S. Iran has been underpricing many of its competitors to win back market share. That means some countries that got cut out of business in Europe and Asia because of lower-priced Iranian crude are selling to the U.S. market, traders and analysts said. Countries like Angola, Albania and the U.K. recently delivered crude to New Jersey, California and Louisiana after Iran underpriced them, according to oil traders and analysts. These countries haven’t had much U.S. business since the shale revolution until this year, according to ClipperData. Saudi Arabia also shipped 33% more crude to the U.S. at the start of 2016 than it did during the same period last year, boosting volumes into the country back over one million barrels a day, federal data show, as the kingdom seeks to increase its market share. Tom Cambridge, chief executive of Cambridge Production Inc. in Amarillo, Texas, said he has been concerned about the increase in imports and the downward pressure that it can exert on U.S. oil prices. He and a few other oil executives have been trying to drum up support among politicians to push for quotas on foreign oil imports, he said. “If you’re filling up at a station in Texas, chances are you’re running on Saudi gasoline,” Mr. Cambridge said. Another factor influencing imports: The cost of shipping oil on U.S. trains is more expensive than importing foreign crude, a reflection of low oil prices and shifting transportation costs. Refineries in Washington state, which often process Alaskan crude, are importing more oil from Argentina and Brazil, according to federal records. New Jersey and Pennsylvania plants are importing from Azerbaijan, Chad and Gabon, crude that competes directly with the Bakken Shale. “It currently makes more sense to import a tanker of crude from Nigeria than to buy an oil train from North Dakota,” said Stephen Wolfe, senior oil strategist in Houston at Trafigura Beheer BV, a commodities trading firm. |
| | | Socket-error General de Division
messages : 6770 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 11 Mai 2016 - 13:25 | |
| L'Arabie Saoudite et le Koweït comptent augmenter leurs productions de pétrole en 2016 : https://fr.sputniknews.com/presse/201605101024872367-arabie-saoudit-petrole-production/
On parle de 11 millions de barils par jour pour le KSA et +50% pour le Koweït sur 4 ans. ça promet des baisses de prix !! _________________ لك الله ياوطني
| |
| | | jf16 General de Division
messages : 41644 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Mer 29 Juin 2016 - 18:07 | |
| - Citation :
- Toyota rappelle plus de 3 millions de voitures pour des problèmes techniques divers
AFP 29/06/2016
Le géant de l'automobile japonais Toyota a annoncé mercredi le rappel de 3,37 millions de véhicules dans le monde pour des problèmes d'airbags sans lien avec le scandale Takata, ainsi que des problèmes relatifs au réservoir de carburant.
Sont particulièrement affectés les modèles hybrides Prius (essence/électricité) ainsi que des voitures de la marque de luxe Lexus. Dans le premier cas, il s'agit d'"installer des supports de rétention d'airbags rideaux". Ces coussins de sécurité logés dans les rails de toit, censés se déployer le long des vitres en cas de choc latéral, peuvent partiellement se déployer en cas de "craquelure" au niveau du générateur de gaz, composé de deux chambres soudées l'une à l'autre.
"Aucun accident attribué à ce problème n'a été rapporté dans le monde sur un modèle Toyota", précise le constructeur nippon dans une note d'information transmise à l'AFP.
Au total, 1,43 million d'automobiles fabriquées entre 2008 et 2012 sont rappelées au garage pour réparation, dont notamment 743.000 au Japon, 495.000 en Amérique du Nord et 141.000 en Europe (parmi lesquelles un peu plus de 15.000 en France).
Dans le second rappel, qui consiste à remplacer le support d'aspiration de carburant, 2,87 millions de voitures produites entre 2006 et 2015 sont concernées: 1,55 million au Japon, 713.000 en Europe (dont quelque 40.000 en France), 35.000 en Chine et 568.000 dans d'autres régions.
"Les véhicules sont équipés d'un système de contrôle des émissions de vapeurs de carburant (appelé canister) installé dans le réservoir. Il est possible qu'une fissure apparaisse sur le bord du conduit d'évacuation des vapeurs en raison de sa forme inappropriée", ce qui pourrait conduire à une fuite et ainsi augmenter le risque d'incendie, explique Toyota. Plus de 900.000 voitures sont touchées par les deux problèmes, d'où un chiffre total de 3,37 millions de rappels.
http://www.lorientlejour.com/article/993878/toyota-rappelle-plus-de-3-millions-de-voitures-pour-des-problemes-techniques-divers.html | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale Dim 3 Juil 2016 - 4:45 | |
| l'équivalent de 100$ en monnaie du venezuela |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Actualité Economie Mondiale | |
| |
| | | | Actualité Economie Mondiale | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|