Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Actualité Economie Mondiale

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MessageSujet: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeVen 22 Jan 2010 - 17:07

Rappel du premier message :

USA/GB: accord sur les faillites bancaires

Citation :
L'un des régulateurs bancaires aux Etats-Unis, la FDIC, et la Banque d'Angleterre ont annoncé vendredi la signature d'un accord de coopération sur les risques de faillite d'une institution financière multinationale.

Cet accord de principe vient en compléter un autre, datant de 1996 et amendé en 1998, entre les trois principaux régulateurs bancaires américains (Réserve fédérale, FDIC et OCC) et l'autorité de régulation britannique du secteur financier, la FSA.

Il prévoit un échange d'informations pour prévenir un risque de ce genre, de préparer "les outils de gestion d'une crise traversant les frontières", et de prévoir entre autres les moyens de coordination et la répartition des tâches.

La présidente de la FDIC Sheila Bair, citée dans un communiqué, a salué "un pas vers la mise en oeuvre des recommandations du groupe de résolution des crises internationales du Comité de Bâle", un forum de régulateurs bancaires de 27 pays.

Si la Banque d'Angleterre n'est plus régulateur bancaire aujourd'hui, elle reste chargée de gérer les crises bancaires, a rappelé son gouverneur Mervyn King. La FDIC est quant à elle l'autorité de régulation de plus de 5.000 banques, en plus d'être l'agence fédérale de garanties des dépôts bancaires.

AFP
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeSam 9 Juil 2016 - 12:45

Le Venezuela est entrain de sombrer dans la faillite et l'anarchie. Voilà où mène l'idéologie socialiste en mode révolution.

Citation :
Inflation, pénurie alimentaire, pillages : le Venezuela s'enfonce dans un gouffre
MIS À JOUR : 07-07-2016 16:39
http://touch.metronews.fr/info/inflation-penurie-alimentaire-pillages-le-venezuela-s-enfonce-dans-un-gouffre/mpgg!pEzyjOmX8rzHg/
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeSam 9 Juil 2016 - 13:11

c'est tres propable que sa arrive en algerie sa fera parti des problemes que le maroc devra combatre dans les 10 ans a venir
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeSam 9 Juil 2016 - 15:50

Altay a écrit:
c'est tres propable que sa arrive en algerie sa fera parti des problemes que le maroc devra combatre dans les 10 ans a venir

La situation n'est pas bonne chez votre voisin. Tu as raison.

Citation :
54e anniversaire de l'indépendance : Qu'avez-vous fait de l'Algérie ?
http://www.lematindz.net/mobile/news/21160-54e-anniversaire-de-lindependance-quavez-vous-fait-de-lalgerie.html
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeSam 9 Juil 2016 - 16:30

Citation :
Télécoms : la mauvaise fibre des groupes chinois en Afrique
Publié le 07 juillet 2016

http://www.jeuneafrique.com/mag/336607/economie/telecoms-mauvaise-fibre-groupes-chinois-afrique/
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMar 12 Juil 2016 - 8:42

Le Venezuela occupe les usines qui ferment dans le pays. C'est une nationalisation déguisée.

Plusieurs banques et compagnies aériennes ont décidé de ce retirer du Venezuela.

Citation :
Publié le 11 juillet 2016 à 20h30 |
Venezuela: Maduro ordonne l'occupation d'une usine américaine
http://www.lapresse.ca/international/amerique-latine/201607/11/01-5000042-venezuela-maduro-ordonne-loccupation-dune-usine-americaine.php

Le président du pays n'a rien trouver de mieux que de renforcer l'armée face à la crise:

Citation :
Le président du Venezuela veut renforcer l'armée
PUBLIÉ LE MERCREDI 6 JUILLET 2016
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/international/2016/07/05/008-venezuela-maduro-armee-referendum-crise.shtml

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMar 12 Juil 2016 - 9:16

Dans la meme veine :

Citation :
VENEZUELA INFOS : LA FAILLITE DES ENTREPRISES ENTRE LES MAINS DU REGIME CHAVISTE
22 MAI 2016 PAR OTRAVA GAMÁS BLOG : LE BLOG DE OTRAVA GAMÁS

Dans un contexte dans lequel l'impossibilité d’acheter des dollars oblige les industriels à paralyser leurs usines, pour manque de matière premières, équipement ou pièces de rechange, le président Nicolás Maduro détecte une nouvelle opportunité pour augmenter d’un cran ses menaces:“usine arrêtée, usiné confisquée” menace-t-il le 14 mai dernier lorsqu’il “allumait le moteur de l’économie communale”


Le Scénario

Au Venezuela, 96 de chaque 100 dollars qui rentrent au pays, viennent du pétrole, et comme il n’y a pas eu d’économies suite au boom de la hausse des prix du baril, ils se sont acharnés à endetter massivement, vider les réserves de liquidité du BCV et gaspiller en projets inutiles, le régime n’a plus de devises.  Des analystes pensent que, pour diminuer le cout de ses irrégularités, le régime de Nicolás Maduro aurait put mettre en place un plan de financement, renégocier le paiement de ses dates et appliquer un programme de réformes structurelles, mais maladroitement il a opté par supprimer les importations, ce qui touche principalement le secteur privé et le peuple en général.

La position du régime est que les industriels doivent utiliser leurs propres dollars pour importer ce dont ils ont besoin pour produire, idée que le vice-ministre de l’économie à appelé: “C’est l’heure de casser la tire-lire”.  Mais malgré les menaces d’expropriation,il est très peu probable que les entreprises fassent cela dans cette ambiance d’hostilité et d’instabilité politique.

Si Nicolás Maduro décide de saisir les usines, il ajoutera encore plus de noms à la longue liste d’entreprises contrôlées par le l’état.   En 2007, Hugo Chávez a commencé cette expansion expropriant des entreprises stratégiques surtout dans le secteur de l’alimentation, des terres, des manufactures et des services pétroliers.  Le résultat est loin de ce qui a été promis sur les papiers du Premier Plan Socialiste Simón Bolívar.
(c’est terrible d’associer le nom de notre plus grand héros national à cette terrible folie et faillite)



¿Que se passe-t-il dans le secteur de l’alimentation?


En ce qui concerne le secteur des aliments, le régime a réussi à avoir le contrôle sur la production de café après avoir exproprié des entreprises phare, tels que Fama de América (2010) et Café Madrid (2009); ils ont commencer à diriger 11 centrales du sucre, ont fondé des usines de glaces, sardines, thon et sont passés à contrôler l’ensembles des usines du marché de la farine de maïs précuite.  Au même temps ils ont monté un labyrinthe dans lequel différents organismes publiques donnaient des subventions, stockaient et vendaient la production, tandis que des milliers d’hectares de terres expropriées auraient du garantir la production de matières premières tels que le riz, le lait et la viande.

En juin 2015, l’alors ministre de l’alimentation, a publié au Journal Officiel N 40690 une résolution selon laquelle il créait 14 conglomérats avec une longue liste d’entreprises dont l’état avait le contrôle.  Ces conglomérats laissent clairement apercevoir que l’état a créée un gigantesque consortium qui aujourd’hui devrait inonder nos marchés et étals de produits.  Et pourtant le résultat est une croissante pénurie qui oblige le peuple vénézuélien à faire de longues queues durant des heures aux portes de commerces.

Ces entreprises détenues par le régime est distribué comme il suit:

9 entreprises d’huiles
17 entreprises de riz
29 entreprises de viande
8 entreprises de poulets et volailles
38 entreprisses de poissons et produits de la poche
45 entreprises de produits laitiers et de fruits
15 entreprises de farine de maïs
6 entreprises de produits alimentaires pour animaux
43 entreprises de silos
6 entreprises de transport
36 entreprise de stockage et de chaine de froid
16 entreprise de conditionnement.
Point de distribution formées par les chaines de Pdval, Mercal Bases de misiones, bastos Bicentenario (l’expropriée chaine de supermarchés CADA)  et Fundaproal

Au total ce sont 283 entreprises du secteur alimentaire qui ont été expropriées et qui aujourd’hui sont en main de l’état et qui n’ont pas rempli leur objectif d’impulser la “production du système socialiste” et transformer l’état en un efficace fournisseur d’aliments pour le peuple vénézuélien.

Le BCV signale qu’en 2015, la production du secteur alimentaire s’est réduit de 5,3 par rapport à 2014, tandis que le mémoire et comptes du Ministère de l’alimentation présente des chiffres en rouge.Selon les chiffres officiels du Ministère de l’Alimentation, en 2015 Industries Diana, Lácteos los Andes, Mercal (viandes) et Venalcasa ont eu un déclin de 14% par rapport à 2014, et de 23% par rapport à 2013



Au même temps, en comparant 2015 à 2014, la productions des usines de paquetage se réduit: granos Quíbor chute de 52%, Granos Urachiche de 30%, Azúcar Mampote  de 28%, la Planta Empaquetadora Hugo Chávez de 46% et la Empaquetadora de Tinaquillo de 19,6%

Les usines de farine de maïs précuite ont aussi donné des signes de grandes contraction en comparant les résultât de 2015 à ceux de 2014:

Planta Guanare -9%
Planta Zamora Vive -51%
Planta San Francisco Yare -3,5%
Planta Colonia - 10%
Planta Juana Ramírez -6%
En plus, la production des usines de riz de Arroz Barinas chute de 34% et la Planta Procesadora de harina de Pasta Turen de 23%



La manufacture

Les statistiques du BCV mettent en évidence que la production des industries souffrent d’une grande contraction.  En comparant le troisième trimestre de 2015 (dernière donnée publiée par le BCV) avec la même période de 2014, nous voyons une chute du 11,1%, et la grandeur de la chute est telle que le PIB du secteur se place en dessous du chiffre de 2014.  Et ce résultat est la conséquence directe du rendement des entreprises contrôlées par l’état.

Disposé à devenir une référence dans le secteur des voitures, le régime de Hugo Chávez s’st associé avec des entreprises étrangères pour créer des concessions, qui selon les plans, auraient du inonder le marché de camions, tracteurs et voitures, mais le résultat est très loin d’être celui prévu.  Le Mémoire et Comptes du Ministère de l’Industrie de 2015 révèle que la production se trouve très en dessous de l’estimation initiale et que n’est utilisé qu’un pourcentage très bas de la capacité installée.

Le 10 décembre 2007, l’état s’est associé à la Biélorussie pour créer l’entreprise mixte MAZ VEN destinée à produire, assembler, distribuer et commercialiser des camions dit “poids mi-lourds” entre 10 et 27 tonnes.  Au moment d’annoncer la création de l’usine, Hugo Chávez a dit: “En Amérique Latine personne n’a d’usine de camions, même pas le Brésil, mais nous allons nous multiplier dans toute l’Amérique Latine.  Nous aurons l’usine de camions de charge la plus moderne au monde”

Mais les statistiques officielle nous montrer qu’en 2015, MAZ VEN n’a assemblé que 325 camions, ce qui représente moins du 15% des 2500 camions qui étaient prévus. Et la conclusion est que l’usine n’a utilisé que 7% de sa capacité installée;

Parmis les causes qui expliquent l’échec de production, ressort le fait que l’usine n’a plus de pièces détachées.  Et le Ministère de l’Industrie admet que : “Il y a eu une réduction des objectifs d’assemblage prévus à cause de la chute du prix du pétrole et de la disponibilité des devises, ce qui a causé des retards du chronogramme de paiement (69,5 millions de dollars) avec l’usine de MAZ de Minsk, ce qui a provoqué des manquement à l’inventaire des pièces détachées pour l’assemblée des camions.”

Le 7 décembre 2007, l’état s’est associé à un autre projet avec la Biélorussie : Tracteurs VENEMINSK C.A. qui avait pour mission de : “produire des tracteurs de haute qualité et de manière efficace, confiance et rentable, à des prix hors concurrence, pour faciliter les besoins des communautés agricoles autant à niveau national, comme pour l’exportation aux pays de l’ALBA.”

Le Venezuela contrôle 79,98 des actions et Biélorussie 20,02%, et l’entreprise esy aujourd’hui en faillite.  En 2015 ont été assemblés que 705 tracteurs, ce qui représente un 9% des capacités installées.

La direction chaviste de l’usine explique que : “L’indice croissant d’absentéisme au travail durant le troisième trimestre 2015, les difficultés pour importer les pièces détaillées, ainsi que les difficultés internes ont généré une réduction des objectifs programmés”

SIDOR, la plus grande entreprise d’acier du continent est l’emblématique de la situation des entreprises de base de la région Guyana.  En 2007, lorsqu’elle se trouvait encore sous le contrôle de la transnationale TECHINT, l’entreprise avait battu tous les records de production, en plaçant sur le marché 4,3 millions de tonnes d’acier.  Les statistiques officielles indiquent que depuis qu’elle est entre les mains des chavistes, elle ne produit à dures peines que 21% de sa capacité installée.

Dans le cas de ALCASA Aluminios des Caroní, le résultat est tout autant décevant.  La capacité installé de cette entreprise pour la production d’aluminium liquide est de 170 mil tonnes par an et l’année dernière elle n’a produit que 28mil536 tonnes, ce qui ne représente que 16,8 de ses capacités.

La pénurie de ciment obéit aussi à la réduction de la production.  les chiffres officiels montrent qu’en 2015 la Fábrica Nacional de Cementos avait produit 257mil270 tonnes de ciment, ce qui représente une chute de 41% de sa production par rapport à 2011

En termes générales, le fonctionnement des entreprises qui se trouvent entre les main du régime chaviste, (dans les cas dans lesquels il existent des chiffres), mettent en évidence une situation critique et lamentable qui explique en grande partir les pénuries dans les différents secteurs de l’économie.

Les conséquences

Les raisons pour lesquelles le régime est en échec dans son rôle d’entrepreneur sont connues : les entreprises publiques ne peuvent pas se maintenir saines, quand c’est la loyauté politique qui prime pour noter les directeurs et gérants.  Cette opacité empêche de connaître leur véritable situation financière, ainsi que la disproportionnée croissance de travailleurs (stratégie employée par le régime pour diminuer artificiellement le taux de chômage), et le contrôle strict des prix, ce qui ne rapporte aucune rentabilité, tout au contraire.

Un autre aspect à prendre en compte, est ce que les analystes appellent “la réduction budgétaire molle”, c’est à dire que l’état couvre les pertes avec les taxes et les rentrées du pétrole.  Il n’y a aucun encouragement pour réduire les coûts de production, augmenter la production ou placer la marchandise à des prix qui puissent permettre des bénéfices, et bien évidemment, de ne pas augmenter le nombre d’employés pour des raisons politiques.

L’institut national de Statistiques INE fait la remarque qu’à la clôture de décembre 2015, un total de 2 millions 779 personnes travaillaient pour le secteur publique.  Ce qui veux dire que depuis décembre 2004, les fonctionnaires ont augmenté de 1 million 148 personnes.  la conséquence est que durant ces onze dernières années le nombre de fonctionnaires a augmenté de 70%, et en moyenne, chaque jour 289 personnes sont engagées par l’état.  En mars 2014, Jorge Giordanni, Ministre de planification à l’époque à donné un document à Maduro dans lequel il tirait la sonnette d’alarme: “Nous n’avons pas suffisamment de moyens pour les ressources qui correspondent aux entreprises publiques, les nombreux programmes des ministères et autres organismes publiques, et la demande d’importation publiques, parmi d’autres dépenses, car ils ont augmenté sans contrôles et dans beaucoup de cas, sans obtenir les résultat escomptés.”


Tout ceci indique qu’augmenter le nombre d’entreprises entre les main du régime et continuer à diminuer l’activité du secteur privé ne fera qu’augmenter les pénuries et le poids de l’état sur les finances déjà maltraitées, dans un enbroglio confus qui n’arrive pas à couvrir son inefficacité et ses pertes ni avec les taxes ni avec les revenus de la rente pétrolière, qui, elle aussi diminue chaque jour, pour les mêmes raison décrites tout au long de cet exposé.

https://blogs.mediapart.fr/otrava-gamas/blog/220516/venezuela-infos-la-faillite-des-entreprises-entre-les-mains-du-regime-chaviste
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 11 Aoû 2016 - 15:55

La plus forte des économies africaines est l'Afrique du Sud


Citation :
L'Afrique du Sud est la plus forte des économies africaines. Ces deux dernières années, le Nigeria a revendiqué la première place, mais un nouveau calcul qui utilise les taux de change courants place l'Afrique du Sud au sommet du podium.

Selon le correspondant BBC à Johannesburg, ces nouveaux calculs sont basés sur les chiffres du FMI du Produit intérieur brut pour les deux pays en 2015.

Cette année, le rand sud-africain et le naira nigérian sont allés dans des directions opposées par rapport au dollar - le rand a gagné environ 16%, tandis que le naira a perdu un tiers de sa valeur après avoir abandonné son rattachement à la devise américaine.

Mais à peu de choses près, sur trois cent un milliard de dollars, l'Afrique du Sud bat le Nigeria de cinq milliards de dollars.

Les deux économies se sont contractées au cours du premier trimestre cette année et courent le risque d'entrer en récession.

http://www.bbc.com/afrique/region-37044440
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMar 23 Aoû 2016 - 7:22

Sputnik a écrit:
Pétrole: Goldman Sachs prédit un gel prochain de la production

L’Opep et d’autres pays pourraient conclure un accord sur le gel de la production pétrolière lors d’un forum à Alger. Toutefois, cette démarche risque de se retourner contre l’organisation…

Un accord sur le gel de la production de pétrole entre les membres de l'Opep et d'autres pays producteurs pourrait être conclu dès septembre, lors du Forum international de l'Energie qui se tiendra à Alger, estiment les experts de la puissante banque américaine Goldman Sachs.

Pourtant, mettent-ils en garde, si l'accord débouche sur la hausse ultérieure des prix du baril et qu'il entraîne une intensification des exportations depuis les pays non membres de l'Opep, celui-ci risque d'être contreproductif pour l'organisation.

Comme l'indique Goldman Sachs dans son rapport, l'Arabie saoudite, qui a désormais un nouveau ministre de l'Energie, sera plus ouverte à la coopération. Dans le même temps, selon les experts, il est peu probable que l'Arabie saoudite et l'Iran acceptent tous les deux le gel de la production.

"Une amélioration des relations entre les parties en conflit serait plus avantageuse pour rétablir l'équilibre pétrolier que le gel du niveau de la production au sein de l'Opep, suite auquel la production sera maintenue à un niveau record", affirment les analystes.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMer 24 Aoû 2016 - 13:19

ecofin a écrit:
Après l'Arabie Saoudite et l'Iran, l'Irak à son tour veut inonder le marché pétrolier

Mardi, le gouvernement irakien a encouragé les compagnies pétrolières étrangères exerçant dans le pays à produire plus de pétrole et de gaz pour « maximiser les revenus ». La demande a été formulée par Djabar Ali al Louaïbi, le nouveau ministre irakien en charge du pétrole, en présence des représentants des compagnies étrangères, souligne Boursorama.

Alors que les prix du pétrole viennent de renouer avec la dégringolade sur le marché international, en raison d’un excès de l’approvisionnement des pays de l’OPEP dont l’Irak, ce dernier adopte cette stratégie pour gagner plus de parts de marché. Mauvais timing, pourrait-on dire, car l’Arabie Saoudite qui, avec l’Iran, s’entêtait à produire toujours plus, vient de se résoudre à une coordination des niveaux de production afin de faire remonter les prix. Les discussions sur ce gel coordonné seront menées lors de la prochaine rencontre entre pays non OPEP et membres de l’OPEP à Alger, en septembre prochain.

Or, la production cumulée des nouveaux membres de l’OPEP, comme le Gabon et l’Indonésie, ajoutée à celle du Nigéria qui monte en puissance, risque de maintenir à un haut niveau la production du cartel. Pour ce qu’il en est, si les compagnies pétrolières présentes en Irak se plient à la demande du gouvernement, un gros danger pourrait planer sur l’industrie et menacerait encore plus l’avenir des compagnies déjà confrontées à d’énormes difficultés financières.

Selon un analyste, les prix pourraient ainsi passer sous la barre des 40 $ le baril, puisque l’Irak, troisième plus gros producteur de l’OPEP, détient d’immenses réserves et plusieurs champs importants qui attendent d’entrer en production.

Cette déclaration du ministre al Louaïbi pourrait encore plus effrayer les marchés mondiaux et on peut aisément envisager une autre mauvaise journée pour les prix.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeVen 26 Aoû 2016 - 14:52

Citation :
L'Iran et la Corée du Sud vont commercer en euros


AFP 26/08/2016

L'Iran et la Corée du Sud commenceront fin août à avoir des échanges commerciaux en euros, une manière de contourner légalement des sanctions américaines contre Téhéran, a annoncé vendredi un haut responsable.

A la demande de Téhéran et "avec l'accord des Etats-Unis", Séoul "convertira (sa monnaie) le won en euros sans aucune intervention directe du dollar", a indiqué le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Hamid Baedinejad sur sa page Instagram. Ce commerce en euro débutera le 29 août, a précisé M. Baedinejad citant les propos du ministre des Finances sud-coréen Yoo Il-Ho.

Si d'autres pays aux "devises locales et limitées" utilisaient l'euro pour leurs échanges, "cela pourrait faciliter le commerce" entre ces pays et l'Iran, a-t-il ajouté. KEB Hana Bank, Shinhan Bank et Woori Bank qui est devenue en mai la première banque sud-coréenne à avoir une branche à Téhéran, soutiendront les transactions, a-t-il encore dit.

La signature en juillet 2015 d'un accord sur le nucléaire entre Téhéran et les grandes puissances, entré en vigueur en janvier 2016, a permis la levée d'une grande partie des sanctions internationales imposées à Téhéran en raison de son programme nucléaire controversé.
Mais d'autres sanctions non liées au programme nucléaire demeurent en place, empêchant les banques et les acteurs économiques iraniens de réaliser leurs opérations financières internationales en dollars.

A l'occasion d'une visite en mai à Téhéran de la présidente sud-coréenne Park Geun-Hye, les deux pays avaient décidé de multiplier par trois leurs relations commerciales annuelles pour les faire passer à 18 milliards de dollars (15,9 milliards d'euros).

http://www.lorientlejour.com/article/1003823/liran-et-la-coree-du-sud-vont-commercer-en-euros.html
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 1 Sep 2016 - 12:19

JOMO KWAME SUNDARAM et VLADIMIR POPOV - The Wire a écrit:
Does the Middle East Have What it Takes to Progress?

Many of the MENA countries have the needed pre-conditions to accelerate future economic growth – natural and human resources, strong state institutions, low inequality – provided that ethnic, religious and sectarian conflicts end and peace prevails.

Why do some countries grow faster than others? How do we engineer an economic miracle? Some economists believe that manufacturing growth is like cooking a good dish – all the needed ingredients should be in the right proportion; if only one is under- or overrepresented, the ‘chemistry of growth’ will be sub-optimal. Rapid economic growth can only happen if several necessary conditions are met at the same time.

Rapid growth is a complicated process requiring a number of crucial inputs – infrastructure, human resources, relatively low economic inequalities, effective state institutions and economic stimuli among others. As ‘binding constraints’ may hold back economic growth, ‘growth diagnostics’ seek to identify the most binding constraints in order to accelerate growth. In some cases, these constraints are associated with the absence of markets; in others, with weak state capacities or capabilities or even critical human resources or infrastructure.

Contrary to popular prejudice, the Middle East and North African (MENA) countries have quite a number of ingredients needed for growth. Inequalities in the region are lower than in other countries at similar levels of economic development. Controlling for size, population density, per capita income, urbanisation, democracy, transition from a ‘communist’ past and government effectiveness, on average, Organisation of Islamic Cooperation (OIC) Muslim countries had income distribution Gini coefficients five percentage points lower than other countries.

Murders bad for growth

But an important advantage of many MENA countries often lacking in other parts of the developing world may be the strength of their state institutions – crucial for stable and strong economic growth. State institutional capacity refers to the state’s ability to enforce rules and regulations. Subjective measures of state capacity – indices of government effectiveness, rule of law, corruption, et cetera – have many shortcomings, but some objective indicators – such as the crime rate, murder rate, share of the unregistered ‘shadow’ economy – reflect a state’s ability to enforce monopolies on violence and taxation.

Unexpectedly for many, the murder rate and the share of the shadow economy – both objective indicators of the institutional capacity of the state – seem to be among the best institutional predictors of long term growth rates of GDP per capita. Poor state institutional capacity is reflected in the murder rate and the share of the shadow economy, negatively correlating with the growth rate. And countries with high income and wealth inequalities usually also have higher murder rates and larger shadow economies. Strong institutional capacity reflects, but also contributes to economic performance, more rapid increases in life expectancy and educational attainment, especially without war or civil conflict.

Variations in long term growth among countries correlate strongly, but negatively with the murder rate and the shadow economy, i.e., the higher the murder rate and the shadow economy share, the lower is growth. East Asia is ahead in terms of growth, followed by South Asia and MENA, while Latin America, Sub-Saharan Africa and the former Soviet Union are falling behind.

MENA, East Asian, South Asian and developed countries generally have murder rates of 1-10 murders per 100,000 inhabitants and shadow economies of less than 30% of GDP. In MENA countries, peacetime murder rates were ordinarily between one to five for every 100,000 inhabitants and below 1.5 in Algeria, Tunisia, Egypt, Qatar, Oman and Bahrain. However, the murder rates in Sub-Saharan Africa, Latin America and some former Soviet republics (the Baltics, Belarus, Kazakhstan, Moldova, Russia, Ukraine) are higher (10-100 murders per 100,000), with the shadow economy accounting for well over 30% of GDP.

In the postwar period, for over half a century before the Arab Spring, per capita GDP growth rates in MENA countries were certainly well below those in East Asia and a little below South Asia, but higher than in other regions of the global south – Sub-Saharan Africa, Latin America and former Soviet Union. Besides Israel, Oman and Tunisia in the region were among the twenty fastest growing countries in the world during 1950-2010.

Social progress

In terms of education and life expectancy, MENA achievements have been even more spectacular. Many MENA countries increased their life expectancy greatly in 1960-2010, with most of them now exceeding 70 years. The Human Development Index (HDI) increased by 65% in Arab countries in 1970-2010, more than in any other region of the world except for East Asia (96%) and South Asia (72%). Increases in life expectancy in Arab countries during 1970-2010 were the highest in the world, whereas the increase in school enrolment and literacy was higher than in all other regions except for Sub-Saharan Africa that started at a very low base level.

Of the 22 countries that increased their HDI most in 1980-2010, six are Arab, seven are in MENA and 11 are considered Muslim. Among ten countries with the greatest HDI increase in 1970-2010, Oman, Saudi Arabia, Tunisia, Algeria and Morocco are in MENA. Oman, Saudi Arabia, Libya, Algeria, Tunisia and Iran are the six from MENA of the ten countries leading globally in improving non-income HDI (education and life expectancy).

Hence, MENA countries in 1950-2010 were not leaders in terms of economic progress, but also not laggards. They were somewhere between rapidly growing East and South Asia and more slowly growing Sub-Saharan African, Latin American, OECD and the former Soviet countries. But in terms of social progress, the MENA region did better than all other regions of the developing world over the four decades (1970-2010) before the Arab Spring.

Looking ahead, MENA countries definitely have many crucial ingredients for economic growth – natural resources, human resources, low inequalities and strong state institutions, ensuring low murder and shadow economy ratios. They made rapid economic and social progress in 1960-2010 and have many of the needed pre-conditions to accelerate growth in future, provided that ethnic, religious and sectarian conflicts end and peace prevails.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMer 14 Sep 2016 - 9:52

Commodafrica a écrit:

Engrais : accord de fusion entre les deux géants canadiens de la potasse


Les groupes canadiens Agrium et Potash Corp of Saskatchewan ont annoncé lundi avoir conclu un accord de fusion pour créer un géant des engrais d'une valeur de $36 milliards (€32 milliards). Les deux sociétés, qui font face à une baisse de leurs profits dans un marché mondial en surcapacité, avaient annoncé la négociation le 30 août dernier.

Le futur groupe -qui doit encore faire l’objet d’une enquête approfondie de la part des autorités américaines de la concurrence -serait en position dominante sur le marché nord-américain avec deux tiers des capacités de production de potasse, 30% des capacités de production de phosphate et 29% des capacités de production d'azote, selon l'analyste de National Bank,Greg Colman.

Si l’opération de fusion est menée à bien, les actionnaires de Potash détiendront environ 52% du nouveau groupe, qui aurait affiché un chiffre d'affaires en 2015 de $20,6 milliards et un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de $4,7 milliards avant synergies, ont précisé les deux sociétés.

Potash et Agrium prévoient des synergies opérationnelles de $500 millions par an deux années après la fusion, qui devrait être achevée mi-2017.

Le directeur général d'Agrium, Chuck Magro, occupera les mêmes fonctions à la tête du nouvel ensemble. Celui de Potash, Jochen Tilk, en sera le président exécutif.#Lien

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMer 14 Sep 2016 - 11:49

Citation :
Bayer annonce racheter le géant des semences OGM Monsanto pour 66 mds USD


AFP 14/09/2016


Le chimiste Bayer a annoncé mercredi acheter le fabricant controversé de pesticides et semences OGM Monsanto pour 66 milliards de dollars (59 milliards d'euros), dans ce qui constitue l'acquisition la plus chère jamais payée par un groupe allemand.

"Bayer et Monsanto ont signé mercredi un accord de fusion ferme", au prix de 128 dollars par action (114 euros) en numéraire, a annoncé Bayer dans un communiqué. Le chimiste a dû relever à plusieurs reprises depuis mai son offre avant d'obtenir l'accord du fabricant américain du pesticide Roundup.
"La transaction met ensemble deux activités différentes, mais fortement complémentaires", concernant les semences, engrais et pesticides, met en avant Bayer dans un communiqué.

A eux deux, Bayer et Monsanto représenteront un géant mondial pesant 23 milliards d'euros de chiffre d'affaires annuel et regroupant pas loin de 140.000 employés.

Qualifiée de "mariage infernal" par certains, la perspective de cette union de Bayer, dont les pesticides dits "tueurs d'abeilles" sont également controversés, et de Monsanto, a soulevé de nombreuses critiques en Allemagne, un pays où l'opposition aux OGM est farouche.

Les différents relèvements de prix proposés par Bayer depuis mai avaient été déclinés les uns après les autres par Monsanto, qui s'était dit ouvert aux discussions tout en faisant savoir qu'un autre chimiste pourrait se mettre sur les rangs pour l'acquérir. Un chevalier blanc qui ne s'est finalement jamais montré.

"Bayer paie vraiment trop cher, en conséquence il va vraiment falloir qu'il en tire le meilleur", a considéré l'analyste de chez DZ Bank Peter Spengler.

Ce rapprochement, que Bayer et Monsanto espèrent boucler d'ici fin 2017, devrait gonfler leur bénéfice brut d'exploitation d'environ 1,5 milliard de dollars au bout de trois ans.

http://www.lorientlejour.com/article/1007080/bayer-annonce-racheter-le-geant-des-semences-ogm-monsanto-pour-66-mds-usd.html
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeDim 18 Sep 2016 - 16:45

RT a écrit:

WikiLeaks révèle que l'ACS privera les Etats de tous leurs pouvoirs en matière de régulation



WikiLeaks a publié de nouveaux documents secrets qui indiquent que les négociations concernant l'Accord sur le commerce des services (ACS) sont déjà très avancées et que les multinationales pourraient s'emparer des clés du pouvoir politique.

WikiLeaks a publié le 15 septembre de nouveaux documents qui montrent que les négociations extrêmement discrètes qui entourent l'Accord sur le commerce des services (ACS) en français – ou Trade in Services Agreement (TiSA) en anglais – sont très avancées. Le site fondé par Julian Assange avertit en outre qu'à ses yeux, cet accord illustre ce que les représentant des pays industrialisés veulent faire du commerce mondial.

Et le site lanceur d'alerte, qui met à disposition l'ensemble des documents relatifs à cet accord qu'il avait déjà évoqué en 2014, prévoit une déréglementation totale du secteur des services entre les 23 membres de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) qui le négocient et parmi lesquels se trouve l'Union européenne.

En mai 2016, Wikileaks avait déjà révélé que «dans le cadre du TiSA, les pays devraient renoncer à toute législation imposant une implantation locale, liant les contrats à des emplois locaux, à des transferts de technologie, à des efforts de recherche sur place, à l'utilisation de produits industriels nationaux».

Moins connu que le TTIP, le TiSA est très confidentiel. Un quasi-secret parfaitement légal d'ailleurs, puisque les textes sont protégés par un copyright de droit privé américain. L'exemplaire du texte déposé au Parlement européen dans un coffre-fort n'est accessible qu'aux personnes dotées d'une autorisation spéciale. Ces dernières ont de plus interdiction de prendre des notes ou d'en faire des copies, mêmes partielles.

En juillet 2013, le Parlement européen votait à 526 voix contre 111, le transfert des souverainetés populaires à la Commission européenne. C'est cette dernière qui participe donc aux négociations sur le TiSA au nom des 28 Etats membres de l'Union.

Pour ce qui est du vote des députés européens français, les membres du Parti socialiste et de l'UMP avaient voté majoritairement pour la délégation de souveraineté, tandis que les députés écologistes, du Front de gauche et du Front national avaient voté contre cette délégation de compétence à la Commission.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMar 27 Sep 2016 - 15:13

AFP / RT a écrit:

OPEP : l'Iran pas prêt à conclure un accord sur le gel de la production de pétrole


L'Iran n'est pas prêt à conclure un accord sur le gel de la production de pétrole pour tenter de faire remonter les prix, a déclaré mardi 27 septembre le ministre du Pétrole iranien à la veille d'une réunion informelle de l'OPEP à Alger .

«Atteindre un accord en deux jours ne figure pas à notre agenda», a déclaré Bijan Namdar Zanganeh à la presse, en marge d'un forum énergétique à Alger. «Nous avons besoin de temps pour de plus amples consultations», a-t-il fait savoir avant d'ajouter qu'un accord pourrait éventuellement être atteint lors du sommet de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de Vienne, le 30 novembre.

De son côté, le ministre de l’Energie de l’Arabie saoudite Khalid Al-Falih a noté qu’il s’agissait d’une «réunion de consultation» qui permettrait, selon lui, de réunir les opinions des producteurs mondiaux de pétrole ainsi que des consommateurs sur la situation actuelle du marché.

«Je pense au mois de novembre» pour un accord, a-t-il précisé, ajoutant que l'Iran souhaitait accroître sa production de pétrole. «Nous ne sommes pas prêts» à geler notre production à ses niveaux actuels, a-t-il souligné, affirmant que leur objectif de production était de 4 millions de baril par jour, contre de 3,6 à 3,8 actuellement, selon les sources.

Le ministre iranien a en outre expliqué que son pays investissait pour augmenter sa production à ses niveaux d'avant les sanctions internationales, et que de «nouveaux champs» allaient bientôt entrer en exploitation.

Les prix du pétrole sont bas depuis mi-2014 en raison d'une offre excédentaire, fruit du boom des hydrocarbures de schiste américains et de la stratégie de l'OPEP d'ouvrir à fond les robinets pour maintenir ses parts de marché.

Plusieurs pays producteurs fortement dépendants des revenus pétroliers plaident pour un gel de production, mais certains gros producteurs s'y opposent, comme l'Iran, ou même l'Arabie saoudite qui conditionne, selon Bloomberg, un éventuel tour de vis dans le robinet à une adhésion de Téhéran au projet.

Les cours du brut étaient en baisse mardi matin, le Brent cédant 1,67% à 46,56 dollars le baril, le WTI 1,39% à 45,29 dollars.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 29 Sep 2016 - 8:27

Citation :
ENERGIE
Accord surprise de l'Opep: le prix du pétrole pourrait augmenter

L’Opep a surpris en annonçant un accord sur la réduction de la production d’or noir qui a vu Ryad accepter que son grand rival iranien en soit exempté, mais les analystes jugeaient jeudi que son impact sur les marchés risquait d’être éphémère.
Le 29/09/2016

Si l’annonce mercredi soir de l’accord d’Alger a provoqué un rebond immédiat des cours, ainsi qu’une hausse des valeurs énergétiques aux Etats-Unis et en Asie, les prix du brut repartaient à la baisse jeudi dans l’après-midi en Asie.

Après six heures de réunion et des semaines de tractations, l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) a annoncé avoir décidé de ramener sa production à un niveau de 32,5 à 33 millions de barils par jour, contre 33,47 mbj en août selon l’Agence internationale de l’Energie (AIE).

Il s’agit de la plus importante limitation depuis celle décidée durant la crise de 2008. Le but est de faire remonter les prix, en limitant l'offre sur le marché.

Selon les analystes, c’est la chute des revenus du pétrole qui a motivé le cartel même si certains relèvent que celui-ci n’a pas toujours respecté les quotas dans le passé.

Rendez-vous le 30 novembre

Les décisions concrètes sur les objectifs de production de chacun de ses membres doivent encore être déterminés lors du sommet semestriel de l’Opep, qui produit environ 40% du brut mondial, le 30 novembre à Vienne.

Jusqu’à présent, face au boom des hydrocarbures de schiste américains, les plus riches parmi les 14 membres du cartel avaient choisi de défendre ses parts de marché et ouvert à fond les robinets.

Prix trop bas pour les membres de l'Opep

Ce refus de réguler le marché, en dépit de la surabondance de l’offre et de la morosité de la demande, a contribué à la baisse des cours, passés de plus de 100 dollars le baril en juin 2014 à moins de 30 dollars début 2016.

Ryad, qui dépend à 73% des recettes pétrolières, a enregistré en 2015 un déficit budgétaire record, ce qui l’a conduit à des mesures d’austérité.

«De nombreux membres de l’Opep souffrent économiquement des prix bas. Leurs économies stagnent ou régressent et ils font face à des problèmes budgétaires», a souligné Greg McKenna, analyste chez AxiTrader.

Scepticisme

"Il semble donc que l’impératif budgétaire l’ait emporté sur les impératifs politiques. Je crois que la hausse des cours et la réduction promise seront durables», dit-il. D’autres analystes tablent sur la prudence dans l’attente du sommet de Vienne. Les investisseurs vont également regarder du côté des producteurs non membres de l’Opep comme la Russie, les Etats-Unis et le Canada.

«Il n’y a pas eu d’accord ces huit dernières années alors il est compréhensible que certains restent sceptiques», a déclaré Alex Furber, analyste chez CMC Markets. «L’offre est toujours très abondante. Cela voudrait dire que les perspectives sont toujours baissières pour l’instant».

http://www.leprogres.fr/france-monde/2016/09/29/accord-surprise-de-l-opep-le-prix-du-petrole-pourrait-augmenter
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 29 Sep 2016 - 8:34

Alloudi il a eu comme un effet d'annonce, car l'accord n'est pas clair encore.

Citation :
Accord de l'Opep: décision historique ou manière de sauver la face ?

Londres: L'accord trouvé par les membres de l'Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) à Alger mercredi soir pour limiter leur production d'or noir a fait bondir les cours, mais les analystes doutent de son effet réel sur les marchés et l'économie. Comment l'accord a pu être conclu ?

Pour parvenir à un accord qui stabiliserait la production des pays de l'OPEP entre 32,5 et 33 millions de barils par jour, contre 33,47 mbj en août, selon les chiffres de l'Agence internationale de l'Energie (AIE), l'Iran a accepté de geler sa production légèrement en deçà de l'objectif affiché jusqu'à présent, tandis que l'Arabie saoudite devra légèrement abaisser sa production.

Les deux pays auraient donc mis de côté leurs différends au vu de la pression qu'exerce le bas niveau des cours du brut sur les finances de nombre de membres du cartel, a commenté John Plassard, directeur de la recherche chez Mirabaud Securities.

L'Iran, qui a relancé ses exportations l'année dernière après la levée des sanctions internationales, refusait jusque-là de geler sa production, tandis que l'Arabie saoudite refusait de céder des parts de marché à son rival géopolitique.

Cependant, Morgan Stanley souligne que la baisse de production aurait eu lieu quoi qu'il advienne. La production saoudienne diminue chaque année à la même période, et la baisse proposée est seulement légèrement supérieure à celle observée en 2015, rappellent ses analystes.


Quelle réaction des marchés ?

Si les cours du pétrole ont fortement grimpé mercredi, ils se sont stabilisés jeudi, dans l'attente de plus de détails sur l'accord.

Ce dernier ne sera pas acté dans l'immédiat, et les marchés se tournent désormais vers la réunion de l'OPEP à Vienne, fin novembre, pour découvrir les actions qui seront prises.

Les membres de l'OPEP, à l'origine de 40% de la production mondiale seulement, doivent également compter sur les autres producteurs.

Il va falloir persuader des pays comme la Russie, qui n'a pas participé à la réunion, de s'y joindre. Je leur souhaite bonne chance, a tranché Michael Hewson, de CMC Markets.

Même à l'intérieur de l'OPEP, des tensions sur le niveau de production de chacun des 14 membres pourraient voir le jour.

Dès la fin de la réunion, le ministre irakien du pétrole s'est élevé contre les estimations de production de l'OPEP, c'est déjà un premier signe qu'il y a des tensions pour savoir qui coupera sa production, et de combien, ont noté les analystes de Barclays.


Quelles conséquences pour l'économie mondiale ?

Vu les incertitudes qui entourent l'accord, les analystes peinent à se prononcer sur l'impact qu'il pourrait avoir sur le reste de l'économie.

Même s'il est acté, et que la production mondiale se stabilise, elle restera très élevée. Le cap de production qui est annoncé, de 32,5 millions de barils par jour, est seulement inférieur de 1,2 million de barils par jour aux records historiques de production d'août 2016, a souligné John Plassard.

Selon Morgan Stanley, une telle limitation ne permettra pas de retrouver l'équilibre entre l'offre et la demande dès le début 2017.

La chute des prix depuis 2014 a profité au consommateur, mais nous pensons que c'est un argent qu'il a dépensé, et il pourrait avoir des difficultés si les prix grimpaient soudainement, a prévenu Jeremy Cook, économiste chez Worldfirst.

Selon lui, une hausse des prix pourrait entraîner une hausse de l'inflation, mais il ne serait pas temps pour les banques centrales de crier victoire, même si elles cherchent désespérément à faire grimper le niveau général des prix pour éviter la déflation.

Les banquiers centraux veulent que l'inflation soit tirée vers le haut par une augmentation des salaires, pas par les prix des matières premières, a-t-il rappelé.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 29 Sep 2016 - 8:38

On verra si le palier des 47.30$ pour le WTI sera cassé à la hausse ou pas, mais c'est en mauvaise voix on dirait (et heureusement pour nous).
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 29 Sep 2016 - 10:58

http://bfmbusiness.bfmtv.com/entreprise/opep-comment-l-algerie-a-obtenu-un-accord-historique-1042350.html
Citation :

OPEP: comment l’Algérie a obtenu un accord historique




Aussi inattendu qu’inespéré, l’accord de réduction de production signé mercredi par les pays de l’OPEP fait monter les cours du brut, et flamber les majors pétrolières en bourse. Même si la route reste longue avant sa concrétisation, c’est l’Algérie qui aura marqué un point décisif dans ces négociations.

C’est un tour de force incroyable qu’a sans doute réalisé Noureddine Boutarfa, ministre algérien de l’énergie. Alors que personne sur les marchés n’y croyait, il a réussi à pousser à la signature d’un accord sur une réduction de production des pays producteurs de pétrole de l’OPEP, et concilier des positions qui paraissaient inconciliables il y a encore 24 heures.

L’Iran avait attaqué la réunion sur des positions claires: aucun accord ne serait signé sans que le pays puisse renouer avec ses quotas de production d’avant la période des sanctions économiques qui ont touché le pays, à savoir 13% de la production du cartel.

Fin de la stratégie traditionnelle saoudienne?

L’Arabie Saoudite, fidèle à sa position de statu quo tant que l’Iran ne se joignait pas à l’initiative, ne paraissait pas du tout favorable à un geste elle non plus. Sa stratégie solitaire, même si elle commence à avoir un vrai impact sur les rentrées budgétaires du Royaume, semblait inébranlable.

Malgré tout, les observateurs sentaient ces dernières semaines que les positions semblaient s’adoucir. Le premier pas décisif fut un accord entre Arabie Saoudite et Russie (non-OPEP), pour préparer le terrain au minimum à un gel de leur production sur les niveaux actuels.

Talent de négociation

L’Arabie Saoudite, de toute évidence, et malgré les déclarations de façade, arrivait à Alger avec un compromis dans ses bagages. Consciente également qu’un geste symbolique pourrait installer une dynamique positive pour les prix, et donc positive pour sa propre économie.

Le reste du chemin a été parcouru grâce au talent de négociateur du ministre algérien. Ce dernier a savamment préparé le terrain et attaqué la semaine par des déclarations très fermes: "Si le cours du pétrole se maintient en-dessous des 50 dollars le baril, aucune compagnie pétrolière, même les plus importantes d’entre elles, ne pourra résister" a-t-il dit en ouverture de la réunion d’Alger.

"Un consensus pour piloter le marché"

Il a donc convaincu l’Iran de faire un geste, ne serait-ce que symbolique, en acceptant le principe d’une réduction générale de la production des pays de l’OPEP. Elle sera symbolique dans un premier temps, 700.000 barils par jour sur un total de 33 millions au maximum. Avec l’argument que rien n’empêchera l’Iran de renouer avec ses quotas d’il y a quelques années si le pays le souhaite.

Ce que l’Iran a accepté, en soulignant le caractère "historique" de l’événement. Le ministre iranien du pétrole, Bijan Zanganeh a salué cet accord, qui intervient "après deux ans et demi de blocage. Nous avons désormais atteint un consensus pour piloter le marché", se félicite-t-il.

Mise en place complexe

D’autant que désormais, on s’achemine vers la phase de mise en place de ces accords, à savoir la répartition de ces quotas de production révisés entre pays de l’OPEP, lors de la prochaine réunion de fin novembre. On peut d’ores et déjà s’attendre à d’âpres discussions, et sans doute à de nouveaux blocages.

Un accord et de nouvelles perspectives auxquels devront s’adjoindre aussi les pays non-membres du cartel. Avec un a priori positif, tant les prix actuels sont en train de chambouler les économies et les perspectives budgétaires chez les producteurs.

Influence croissante de l’Algérie

Mais de l’avis général, un grand pas vient d’être franchi, et une vraie impulsion a été donnée. Si le geste n’est que symbolique, l’impact devrait déjà être sensible sur le court terme. Goldman Sachs estime que sa mise en œuvre devrait faire grimper les prix de 7 à 10 dollars le baril dès le 1er semestre de l’année prochaine. Donc stabiliser clairement les cours au-dessus de 50 dollars.

Et les observateurs saluent le rôle majeur de diplomatie que vient de jouer l’Algérie dans cette phase importante. Son rôle de conciliateur et son poids au sein de l’OPEP se voient renforcés, après la signature de cet accord surprise d’Alger.
Par Antoine Larigaudrie
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 29 Sep 2016 - 15:39

RT a écrit:

Pétrole : une possible pénurie de l’offre dans quelques années



Même si les pays membres de l'OPEP sont parvenus à un accord sur une baisse de la production de prétrole, le cours de la matière première ne justifie pas encore des investissements massifs dans l'industrie, estime l'économiste Alexandre Kateb.

RT France : L’accord sur la réduction de production de pétrole devrait être finalisé en novembre. Pensez-vous qu’il puisse encore échouer ?

Alexandre Kaleb (A. K.) : La réunion informelle d’Alger a abouti à une base de négociations pour finaliser un accord dans le cadre de la réunion de novembre à Vienne, avec une marge de manœuvre qui permet d’essayer au cours des deux prochains mois d’aboutir à un partage au niveau des quotas. Je ne pense pas qu’on aboutira à un échec en novembre. Toute la question est de savoir à quel niveau portera l’effort, et jusqu’à quel point les différents pays, notamment les pays qui maitrisent le levier de la négociation, pourront s’entendre pour aboutir au meilleur accord possible. Il y a une incertitude, une fourchette, et le résultat optimal serait d’aboutir au bas de la fourchette. Pour tout le monde. Et ce n’est pas encore garanti.

RT France : C’est le premier accord sur une baisse de production du pétrole depuis huit ans. Qu’est-ce qui a poussé l’OPEP à finalement se mettre d’accord ?

A. K. : Je pense qu’il y a une volonté commune aujourd’hui de stabiliser les prix, ce qui correspond aussi à des prévisions au niveau de l’ajustement de la demande qui est plus tardive que ce qu’on espérait : les prévisions qu’on avait auparavant montraient que le marché se stabiliserait lui-même vers la fin 2016/début 2017. Or, il se trouve qu'entretemps il y a eu un regain de production de la part de certains pays, et en même temps un certain fléchissement de l’offre qui fait que le volant d’ajustement est plus important que prévu, et l’ajustement des marchés est reporté à fin 2017/début 2018. Donc dans cette situation, les acteurs importants ont jugé qu’un signal fort devait être envoyé aux marchés sur la résolution des différents pays de l’OPEP, et hors de l’OPEP, à stabiliser les marchés et à relancer les investissements. Aujourd’hui on est à un cours qui n’est pas suffisant pour justifier des investissements massifs avec comme conséquence une possible pénurie de l’offre dans quelques années et passer d’une situation de prix bas à celle de prix trop élevés, qui finalement n’arrangent pas les affaires des différents acteurs, sachant qu’aujourd’hui il y a le pétrole de schiste américain qui joue la variable d’ajustement et qui pourrait bénéficier des prix élevés. Et ce n’est pas dans l’intérêt ni de l’Arabie saoudite, ni des autres pays de l’OPEP, de voir arriver une production massive de pétrole de schiste américain.

RT France : Pensez-vous que les pays membres peuvent persuader d’autres pays producteurs à se soumettre à leur initiative ?

A. K. : Oui, je pense qu’il y a des discussions constructives qui ont été engagées, avec la Russie notamment. Le ministre russe de l’Energie, Alexander Novak, a fait part de sa disponibilité à participer aux discussions. On attend d’abord que la décision soit prise par les pays de l’OPEP. Je pense que tous les pays voient qu’il faut aboutir à un consensus qui ménage l’intérêt de l’Iran et d’autres pays qui seraient prêts à augmenter leur production, comme la Libye et le Nigéria. Le problème principal est à ce niveau.

Les deux grands producteurs, ce sont l’Arabie saoudite pour l’OPEP et la Russie en dehors de l’OPEP, et la simple manifestation de volonté de travailler en commun permet d’adresser des signaux aux marchés.

RT France : Qui sera le grand perdant de cet accord ?

A. K. : Il n’y a pas vraiment de grand perdant, parce qu’au final même les compagnies américaines seront gagnantes d’une certaine manière, puisque cela permet de relancer leurs investissements. Je pense que tout le monde veut quelque part voir les prix du pétrole s’afficher à la hausse parce que c’est un signe de confiance aussi dans les perspectives de l’économie mondiale. Cela permet de soutenir les pays producteurs, cela permet de soutenir le secteur énergétique et finalement cela n’aura qu’un impact très limité sur les consommateurs. Donc c’est plutôt un signe positif qui peut être envoyé sur la capacité de réguler ce marché.

RT France : Est-ce que à l’avenir le format OPEP restera le bon format ?

A. K. : C’est une véritable interrogation, parce que le fait d’inclure des pays comme la Russie ou la Norvège, puisque la Norvège était présente à Alger, est à l'ordre du jour. C’est un signe que probablement on va avoir une reconfiguration des formats de discussion sur ces questions pétrolières à l’avenir. Comme on l'observe aujourd’hui de manière informelle, mais probablement cela prépare une reconfiguration plus importante et radicale à l’avenir. Je pense que c’est dans ce sens que l’on va et ça s’inscrit aussi dans un cadre géopolitique plus important de redistribution des cartes au niveau mondial.

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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeJeu 6 Oct 2016 - 13:03

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Les prix du blé et du riz devraient atteindre des records à la baisse (FAO)


AFP 06/10/2016


Les bonnes récoltes attendues pour le blé et le riz devraient contribuer à de nouveaux records à la baisse pour les prix de ces céréales de base, a estimé jeudi l'Organisation des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation (FAO).

Les perspectives favorables en ce qui concerne particulièrement les céréales de base devraient faire baisser leur prix à un niveau record depuis six ans, a expliqué la FAO dans un communiqué.
La production mondiale de céréales devrait atteindre cette année quelque 2,569 milliard de tonnes, soit une hausse de 1,5% par rapport à l'année précédente.
La valeur des importations de produits alimentaires devrait baisser cette année de quelque 11% à 1.168 milliards de dollars.

La FAO a revu ses prévisions à la hausse pour la production mondiale de blé, qui devrait atteindre 742,4 millions de tonnes, aidée par des augmentations en Inde, aux Etats-Unis et en Russie, pays appelé à remplacer l'Union européenne en tant que plus grand exportateur de céréales. Or, selon la FAO, l'utilisation totale de blé ne devrait atteindre que 730,5 millions de tonnes.

Dans le même temps, pour la première fois en trois ans, la production mondiale de riz devrait connaître une hausse (+1,3%) qui lui fera atteindre le plus haut niveau de son histoire avec 497,8 millions de tonnes.
La production de céréales secondaires est également appelée à augmenter de 1,8% cette année, du fait de récoltes record aux Etats-Unis, en Argentine et en Inde.

Selon la Bourse de commerce de Chicago, les prix à terme du blé et du maïs ont baissé de plus de 16% depuis le début de l'année, tandis que les prix du riz ont atteint leur plus bas niveau depuis début 2008.
La production de manioc, un aliment de base dans le continent africain, où la consommation par habitant dépasse les 100 kilos à l'année, devrait également augmenter de 2,6% cette année pour atteindre les 288 millions de tonnes.

http://www.lorientlejour.com/article/1011223/les-prix-du-ble-et-du-riz-devraient-atteindre-des-records-a-la-baisse-fao.html
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMar 11 Oct 2016 - 8:14

Citation :
La Bourse de Londres atteint un sommet historique grâce à la faiblesse de la livre


AFP 11/10/2016


La Bourse de Londres a atteint un nouveau sommet historique en séance mardi, dopée par la chute de la livre britannique qui reflète les craintes d'un "Brexit dur" mais accroît les revenus des multinationales britanniques à l'étranger.

L'indice vedette du marché britannique, le FTSE-100 a progressé jusqu'à 7.129,83 points vers 11h20 GMT. Il gagnait 0,36% à 7.122,98 points à 11h30 GMT. Il efface ainsi le précédent record qui datait du 27 avril 2015.
Ce record peut sembler paradoxal puisqu'il intervient au moment où les incertitudes redoublent quant à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne (UE).
Les milieux financiers redoutent un "Brexit dur" qui serait le pire scénario car il pourrait les priver de l'accès au marché unique.

Ces craintes se traduisent par un plongeon de la livre, qui est particulièrement vigoureux depuis dix jours et l'annonce par le gouvernement britannique que la procédure de sortie serait lancée d'ici mars. La devise britannique a atteint ces derniers jours des plus bas depuis 1985 face au dollar et depuis fin mars 2009 face à l'euro.

"La livre touche de nouveau plus bas chaque jour, les investisseurs craignant que le Royaume-Uni quitte le marché unique", résumait Connor Campbell, analyste chez Spreadex.

Dans l'immédiat, une dépréciation de la devise britannique constitue un coup de pouce pour les grandes entreprises du FTSE-100 tournées vers l'international et réalisant une bonne part de leurs activités et profits à l'étranger.

http://www.lorientlejour.com/article/1012136/la-bourse-de-londres-atteint-un-sommet-historique-grace-a-la-faiblesse-de-la-livre.html
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeSam 12 Nov 2016 - 18:00

la chute du pétrole est vertigineuse.

43$ le wti.
44.56 $ le brent
à cette vitesse on va revoir les 40 très rapidement.
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMer 30 Nov 2016 - 15:38

Citation :

Le pétrole s'envole, saluant un accord ambitieux au sein de l'Opep


30/11/2016

New York - Les cours du pétrole se sont envolés de près de 10% mercredi, l'Organisation des pays exportateurs de pétroles (Opep) ayant mis fin à deux mois de suspense par un accord jugé particulièrement ambitieux sur une limitation de son offre.

Le cours du baril de "light sweet crude" (WTI), référence américaine du brut, a pris 4,21 dollars, soit 9,31%, à 49,44 dollars sur le contrat pour livraison en janvier au New York Mercantile Exchange.

A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord a avancé de 4,09 dollars, soit 8,82%, à 50,47 dollars à l'Intercontinental Exchange (ICE), également sur le contrat pour livraison en janvier.

"L'Opep a conclu un accord et c'est un accord solide", a résumé Bob Yawger, de Mizuho Securities.

Réuni comme tous les six mois à Vienne, le cartel a annoncé que ses membres s'étaient entendus pour réduire leur production, marquant un événement sans précédent depuis 2008 ainsi que la fin d'un suspense de deux mois.

En effet, le cartel avait fait part dès la fin septembre de son intention de conclure un tel pacte, mais les cours n'avaient cessé de fluctuer face aux rumeurs plus ou moins engageantes sur la capacité et la volonté de ses membres de faire les concessions nécessaires à un tel accord.

Finalement, "c'est un très bon accord, à ma propre surprise !", a reconnu M. Yawger, résumant le sentiment général sur le marché.

- "Front uni" -

Au delà du simple fait que le cartel compte, à partir du 1er janvier 2017, réduire sa production de 1,2 million de barils par jour (bj), les détails de l'accord semblaient inspirer confiance aux investisseurs, comme l'imposition de quotas précis aux différents pays ou la mise en place d'un comité de surveillance.

"Le cartel a montré un front uni, et c'est ce qui compte", s'est félicité Naeem Aslam, de Think Markets.

L'Arabie saoudite, membre dominant du cartel et fer de lance d'un accord ambitieux, sera logiquement le membre qui réduira le plus sa production, de presque 500.000 bj, mais l'Irak, qui s'était montré bien peu enclin à en faire beaucoup, a finalement accepté de diminuer la sienne de plus de 200.000 bj.

Quant à l'Iran, rival régional de l'Arabie saoudite, le cartel a accepté de lui laisser une marge de 90.000 bj pour augmenter encore sa production, puisqu'il achève de faire son retour sur le marché mondial à la suite de la levée de sanctions.

Pour ajouter à l'euphorie générale, "la Russie a aussi accepté d'abaisser sa production de 300.000 bj", a enchaîné M. Yawger.

Membre du trio de tête des producteurs mondiaux avec l'Arabie saoudite et les Etats-Unis, la Russie ne fait pas partie de l'Opep mais les investisseurs espéraient bien qu'elle rejoigne un tel pacte.

L'accord constitue "une décision extrêmement favorable aux cours", a écrit Jason Schenker, de Prestige Economics.

"Toutefois, je ne m'attend pas à ce que la production soit autant abaissée que prévu, malgré le comité de surveillance", a-t-il relativisé.

Il comparait l'Opep à une "banque centrale du pétrole", qui cherche par différents leviers à stabiliser ou relancer les cours de l'or noir, de la même manière que la Réserve fédérale américaine ou la Banque centrale européenne (BCE) veillent à ne pas perturber les marchés en employant une rhétorique pesant chaque mot.

Dans ce contexte écrasé par l'Opep, les investisseurs n'ont par ailleurs guère prêté d'attention aux chiffres hebdomadaires du département américain de l'Energie (DoE), qui a fait état d'une baisse inattendue des réserves de pétrole mais de hausses des stocks d'essence et de produits distillés (fioul...).

http://www.zonebourse.com/WTI-2355639/actualite/Le-petrole-s-envole-saluant-un-accord-ambitieux-au-sein-de-l-Opep-23481678/
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MessageSujet: Re: Actualité Economie Mondiale   Actualité Economie Mondiale - Page 33 Icon_minitimeMer 30 Nov 2016 - 15:55

J'attend quelques jours pour voir les désaccords de cet accord.
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feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
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