Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Fév 2011 - 15:48
Rappel du premier message :
Citation :
La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc 2011-02-14 08:28:06 xinhua Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.
Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.
Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.
Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.
Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.
Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.
Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.
Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.
La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 24 Mai 2011 - 13:35
Merci pour la précision HF,j ai comme habitude d aller directement aux"sujets actifs du jour" aussi Mea Culpa. Neanmoins ca meritait d etre relevé et commenté puisque cela concerne le pan de notre economie pour lequel on craignait le plus avec l attentat de l Argana ainsi que la myopie politique et la mauvaise foi des hurluberlus,selon l expression de Marques et que je qualifie moi de "FIEVRIESTES" et excusez le neologisme
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 24 Mai 2011 - 14:55
Citation :
L’Etat «privatise» 20% de la BCP
La part cédée aux banques populaires régionales Une manière de renflouer le Trésor Restructuration du groupe bancaire
La Banque Populaire est donc sous les feux de la rampe. Le titre est suspendu en Bourse depuis vendredi, le temps de permettre la finalisation d’un important deal qui devrait déboucher sur une restructuration du tour de table du groupe bancaire. Selon les premières informations, 20% de la BCP seraient transférés aux banques populaires régionales, autrement dit, à d’autres actionnaires du groupe. La cession porterait sur la part du Trésor, actionnaire de la banque à plus de 40% (voir aussi infographie). A l’heure où nous mettions sous presse, le montant de la transaction n’était pas connu, une réunion devant se tenir dimanche en fin d’après midi, entre les staffs du groupe bancaire, la directrice du Trésor et la DEPP (Direction des établissements publics et de la privatisation) pour fixer définitivement le prix. S’il cède ses parts, l’Etat reste néanmoins le deuxième actionnaire important de la banque. Ce qui est sûr, c’est que le timing est loin d’être inintéressant pour les vendeurs avec un cours de 411 DH, pour l’un des titres qui reste des plus dynamiques en Bourse. Pour la petite histoire, en 2002, l’Etat avait déjà privatisé 21% de la BCP en faveur des mêmes banques populaires régionales, à l’époque au prix unitaire de 450 DH… Dans l’entourage des Finances, l’intérêt de la dernière transaction, initialement prévue en 2010, est doublement motivé. D’un côté, renflouer les caisses de l’Etat, avec un Trésor sous pression ces derniers mois. En particulier depuis la multiplication des différentes factures, sollicitations sociales et signaux inquiétants sur les finances publiques. En attendant de voir ce qui va advenir de l’opération de cession de 8% de Maroc Telecom, le deal avec les banques régionales reste moins lourd à monter et surtout plus rapide à mettre en œuvre en termes de possibilité de levée de fonds. Ce qui est sans doute la priorité numéro un pour l’argentier du Royaume. L’autre avantage de cet accord, c’est de permettre au groupe bancaire de préparer davantage le processus d’intégration des banques régionales. Avec celle de Casablanca le processus est effectif depuis octobre. Il reste à consolider le dispositif avec les 10 autres BPR restantes. Le groupe banque populaire ouvre ainsi un nouveau chapitre de son histoire, longue et mouvementée parfois. Les jaloux peuvent envier son bilan. D’un établissement public englué vers la fin des années 1980 et 1990 dans des problèmes de transparence-gouvernance, qui auront valu à ses dirigeants des déboires judiciaires, à l’une des plus puissantes banques du pays dégageant un PNB de 10 milliards de DH en 2010 (+12%) , des fonds propres de 27 milliards de DH et près de 168 milliards de DH de dépôts, soit 27% de parts de marché, l’enseigne est revenue de loin. La force de frappe est portée par un réseau d’agences impressionnant: près de 950 en 2010 auxquelles s’ajoutent près de 425 points de vente pour le microcrédit. Des performances d’autant plus remarquables que les marges de manoeuvre semblaient parfois minces dans un statut coincé entre ce qui apparaissait comme étant une sorte d’organisation mutualiste, les banques régionales en l’occurence -un cas unique au Maroc- et un secteur bancaire privé où la concurrence est forte et exige le maximum de souplesse et de réactivité. Avec l’arrivée de Nourreddine Omary , puis celle de Mohamed Benchaâboune, les paris du redressement sont tenus et les fronts se multiplient. La réactivation des filiales dormantes, le développement des services financiers spécialisés, le renforcement de la présence à l’international font sens. En janvier 2009, Benchaâboune frappe un grand coup avec l’arrivée dans le tour de table de l’OCP à hauteur de 6,6% (la BCP prenant pour sa part 5,8% du capital du phosphatier). Un nouveau signal sur les ambitions du groupe et elles le sont pour l’ensemble des métiers bancaires.
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 24 Mai 2011 - 18:57
Citation :
Le Maroc table sur une augmentation de 350 millions d'euros du CA du secteur électronique en 2015 (Chami)
Paris, 24/05/11- Le secteur de l'électronique au Maroc, qui a généré un chiffre d'affaires (CA) de 450 millions d'euros en 2010, table sur une croissance de 350 millions d'euros additionnels en 2015, a affirmé mardi à Paris le ministre de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies, Ahmed Reda Chami. Cette croissance se traduira par la création de 9.000 emplois directs supplémentaires d'ici à cette échéance, contre 5.500 actuellement, a précisé M. Chami lors d'une conférence au "Carrefour de l'industrie Electronique et Numérique (CIEN)", le salon de création de partenariats et de veille technique du secteur en France (24-26 mai), auquel le Maroc veut positionner en force sa filière électronique.
A l'horizon 2020, le chiffre d'affaires du secteur devrait croître de 547 millions d'euros de PIB additionnels et générer jusqu'à 14.000 emplois directs supplémentaires, a ajouté le ministre qui présentait le potentiel de l'industrie électronique au Maroc devant des journalistes et des chefs d'entreprise participant à ce salon.
Selon le ministre, le secteur de l'électronique, qui se décline en trois sous-secteurs: la mécatronique, l'électronique embarquée et la fabrication de cartes à puces, dispose d'un fort potentiel, mais qui demeure inexploité.
Bien qu'il fut érigé en tant que l'un des Métiers Mondiaux du Maroc (MMM), le secteur de l'électronique a été "le moins développé" par rapport à la vision initiale contenue dans le pacte de l'émergence industrielle, a-t-il reconnu, en citant plusieurs raisons, notamment la crise qui a poussé les entreprises à privilégier le "mode survie" à celui de "l'expansion".
M. Chami a également évoqué le facteur de la structure même du réseau de l'industrie électronique, constitué généralement de petites PME qui ont besoin de plus de courage pour investir à l'étranger, auquel s'ajoute celui du manque de "pro-activité" des pouvoirs publics pour essayer d'attirer ces PME.
D'où, a-t-il souligné, cette participation en force des entreprises marocaines au CIEN, et la signature d'une convention de partenariat entre l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) et la Fédération des Industries Electriques, Electroniques et de Communication française (FIEEC), organisatrice du salon, ainsi que le projet de désigner un agent commercial spécialisé dans la micro-électronique.
Il a, à cet égard, assuré que le Maroc veut désormais se positionner comme "un hub pour les entreprises électroniques à destination de l'Europe et du reste du monde", en mettant en avant la stratégie marocaine pour le développement du secteur.
Cette stratégie repose sur trois axes: des infrastructures et service "World class", un pool de ressources compétitif et des aides à la formation, ainsi qu'un cadre sectoriel incitatif.
Pour ce qui est des infrastructures, le Maroc dispose de 22 plateformes industrielles intégrées et des quartiers dédiés au secteur de l'électronique à Casablanca, Kénitra et Tanger, offrant un régime administratif allégé (guichet unique), des infrastructures et services avec une qualité et des coûts aux standards internationaux, ainsi qu'une offre logistique de classe mondiale autour du port Tanger Med.
S'agissant des ressources humaines, M. Chami a évoqué l'objectif de formation de 9.000 profils spécialisés, sans oublier les aides aux entreprises à travers l'exonération totale des charges sociales pendant 24 mois pour le 1er emploi et l'aide directe à la formation pendant les 3 premières années.
Concernant le cadre sectoriel, il a passé en revue les différentes mesures incitatives proposées en zone franche, tel la réduction de l'Impôt sur les sociétés, l'exonération de la TVA à l'import et à l'export, et les aides financières à l'installation.
Il a, à ce propos indiqué, que l'Etat peut proposer des "offres sur mesures pour les investissements de grande envergure", allant d'une fiscalité des dédiée à des solutions de co-financement, en passant par la réalisation d'infrastructures et des subventions d'investissement.
Le ministre a, à cet égard, plaidé pour la "co-localisation", un concept qu'il préfère à celui de la "délocalisation", en ce sens que lorsqu'une entreprise décide de s'installer au Maroc, elle est assurée de l'aide et l'accompagnement nécessaires de la part des autorités pour qu'elle puisse tirer profit du potentiel de croissance du marché local et renforcer sa compétitivité à l'international.
Outre l'animation de cette conférence, M. Chami a présidé la signature d'une convention de partenariat entre l'AMDI et la FIEC visant le développement des échanges d'informations.
Les deux partenaires s'engagent sur une période de deux ans renouvelables, à organiser des missions d'affaires d'entreprises ainsi que des actions de promotion de l'industrie électronique marocaine en France. L'organisation d'un salon dédié à la filière au Maroc peut aussi être envisagée, selon Mohamed Amrabt, directeur de l'AMDI-France.
Cette sixième participation du Maroc au salon FIEC est pilotée par "Maroc Export". Sur une superficie de 180 m2, une douzaine d'entreprises marocaines spécialisées exposent leur savoir-faire dans les domaines de la fabrication/sous-traitance des composants électroniques, cartes électroniques, semi-conducteurs, câblage de carte CMS et filaire, et d'assemblage de composants et de sous-ensembles électroniques.
Selon Larbi Bourabaa, directeur du Marketing à "Maroc Export", l'objectif de la participation marocaine à cette édition et de "positionner le Maroc en force en tant que plateforme de production et d'exportations" et d'offrir aux entreprises participantes l'occasion de nouer des partenariats.
MAP
Citation :
Le ministre sud coréen de l'Economie appelle à l'élargissement de la coopération avec le Maroc
Casablanca, 24/05/11- Le ministre sud coréen de l'Economie et du savoir M. Kyung Won Kim a appelé mardi, à Casablanca, à l'élargissement de la coopération entre le Maroc et la Corée de '' façon agissante''. Les potentialités des deux pays sont à même de permettre ce renforcement de leur coopération, a-t-il fait savoir à l'ouverture d'un forum d'affaire maroco-coréen qui réunit opérateurs et institutionnels des deux pays à l'initiative de la CGEM et de la Fédération coréenne de l'industrie (FKI)
Et de citer les domaines propices à donner un coup de pouce à cette coopération notamment les infrastructures, l'électricité, les énergies renouvelables, le raffinage, rappelant au passage que plusieurs firmes coréennes ont pignon sur rue au Maroc et interviennent dans nombre de domaines comme l'électronique, le matériel audiovisuel ou encore l'automobile.
Le Maroc dispose de potentialités immenses dont un marché interne riche, des politiques de développement industriels actives, des ressources humaines de choix et particulièrement une position géographique notable qui fait du Royaume un carrefour et un pont vers les marchés africain, européen et moyen oriental, a-t-il dit.
Ce forum doit être une opportunité pour explorer les pistes et domaines ou cette coopération peut être élargie et enrichie entre la Corée et le Maroc '' pays qui poursuit une politique de croissance économique, de promotion des exportations et d'ouverture notamment vers l'Asie'', a-t-il poursuivi.
Le vice président de la Fédération coréenne de l'industrie s'est félicité de l'organisation de cette manifestation appelée à explorer de nouvelles opportunités de coopération avec le Maroc '' pays à la position géographique stratégique, à la croissance continue et qui vient de lancer un vaste chantier de renforcement de ses infrastructures''.
De nombreuses entreprises coréennes souhaitent accompagner le Maroc dans ses efforts de développement, a-t-il dit.
M. Kyung Won Kim conduit une délégation, d'opérateurs et d'institutionnels, arrivée au Maroc le 22 courant et dont la visite au Royaume prend fin mardi.
MAP
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Mai 2011 - 12:21
si les frustrés veulent travailler voila...sinon vaut mieux rouvrir tazmamert
Citation :
Chronique Ces milliers d'emplois qui ne trouvent pas preneurs
Spoiler:
A Nouasser, un directeur des relations humaines dans une entreprise du secteur aéronautique d’une centaine de salariés recherche un électronicien spécialisé, vainement. A Salé, un directeur administratif d’une société d’une excellente rentabilité, qui fabrique des modèles de vêtements de sport, cherche des opérateurs de machines à coudre industriels et des «gareurs» (sorte de contremaîtres d’atelier). Plus au Nord, à Tanger, une entreprise de sous-traitance automobile désespère de recruter des mécaniciens qui tâtent de l’informatique. Trois régions, trois patrons, une même question : comment embaucher ? Certes, des électriciens spécialisés dans les équipements électroniques qui interviennent notamment dans les domaines du câblage électrique, des instruments de bord, de la radionavigation, cela ne doit pas courir les rues. Il en est de même des spécialistes de l’entretien de machines dans une industrie de tricotage sur informatique ou des techniciens qui usinent des pièces métalliques. Les industries ont connu une profonde mutation ces dernières décennies, les robots n’ont pas tué tous les emplois. A nouvelles productions, nouveaux besoins. Oui, mais...
A Mohammédia, une entreprise ne trouve pas de peintres en ravalement. Plus à l’Est, à Fès, le patron d’une PME ne trouve ni tourneur, ni fraiseur, ni ajusteur pour travailler sur des machines tout ce qu’il y a des plus traditionnelles. Enfin, un autre directeur des relations humaines chez un groupe international de la restauration tente sans succès de recruter aux quatre coins du Maroc des pâtissiers, des cuisiniers, des directeurs de restaurant… D’un côté, des métiers pointus ou inconnus, de l’autre des métiers ordinaires ou séculaires.
De tous côtés, des offres d’emploi qui n’attirent personne. Au total, ce serait des milliers offres d’emploi qui croupissent dans les tiroirs des employeurs. Les plus touchés ? Essentiellement les entreprises de 50 à 100 salariés, plus toutes les autres, peu ou prou, dans les secteurs de la métallurgie, du bâtiment, du textile, du nettoyage, de l’agroalimentaire et de la grande distribution…Au point que le ministre de l’emploi déclarait il y a quelque temps que le Maroc devient un importateur de main-d’œuvre. S’il est difficile de regarder de près l’état des marchés offre/demande ; s’il est encore plus difficile de chiffrer le nombre d’offres insatisfaites, il faut reconnaître qu’une proportion non négligeable des entreprises -industrielles- interrogées dans des enquêtes de conjoncture déclarent avoir du mal à recruter.
Quelle préconisation ou prescription face à ce dysfonctionnement du marché du travail ? Etablir des plans d’emploi régionaux ? Développer ce qui s’impose -et ça paraît tout bête- une meilleure concertation entre les acteurs économiques locaux ? Encore faudrait-il le faire. Que les employeurs dialoguent avec les formateurs, et vice versa, et inversement. Et tout le reste. Et il reste encore beaucoup.
Comment expliquer que des milliers d’emplois ne trouvent pas preneurs dans un pays qui compte des chômeurs diplômés ? Les raisons sont multiples et variées. Deux grandes causes semblent se dégager. La première c’est la mise en cause de l’image de quelques métiers. Métallurgie, mécanique, bâtiment, nettoyage…. A tort ou à raison, les jeunes ne veulent plus se salir les mains, n’aiment pas le bruit de l’usine: ils préfèrent travailler dans des bureaux, considérés comme plus propres, plus conviviaux, plus valorisants et peut être plus promoteurs en termes d’évolution de carrière. Ce qui n’est pas toujours vrai. Le mythe de Charlot dans Les temps modernes a la vie dure. Les métiers du commerce alimentaire ne sont pas dévalorisants. Et le secrétariat ? Le métier n’est ni froid, ni sale, ni pénible. Mais même rebaptisées aujourd’hui assistantes ou attachées de direction, les secrétaires souffrent d’être encore souvent confondues avec des soubrettes, d’autant qu’elles disposent d’une plus grande qualification. La deuxième raison est l’inadéquation entre l’offre et la demande d’emploi : la formation en question. Le processus de modernisation des entreprises exige des emplois de plus en plus qualifiés. Ceux que l’on trouve rarement parmi les milliers de demandeurs d’emploi et que l’on ne trouve pas forcément à la sortie du système éducatif. Ici se pose la grande question de la formation : est-ce aux entreprises de former leurs salariés aux métiers demandés ou est-ce à l’Education nationale de former à savoir-être et aussi à savoir-faire ? Vaste débat, qu’il faudrait bien un jour dépasser pour avancer. C’est un peu l’effet boomerang de la modernisation des machines sans modernisation des hommes.
Tout semble se passer comme si les efforts de modernisation de l’appareil productif accomplis ces dernières années s’étaient traduits par une élévation des niveaux requis pour occuper les emplois, tandis que se trouvait petit à petit rejetées du marché du travail une main-d’œuvre formée mais pas qualifiée pour les emplois disponibles. L’un des effets secondaires de cette modernisation des machines se trouve le besoin de nouvelles compétences, moins «générales», plus techniques. Or, ces qualifications sont beaucoup plus difficiles à développer. Et comme ni l’Education nationale, ni l’ANAPEC, ni les employeurs ne se sont préoccupés à temps et suffisamment de ce problème, nous en sommes à supporter le coût économique et social de ce déficit d’anticipation.
Larabi Jaïdi
lavieeco
Citation :
Emploi Le vrai taux de chômage ? 13.7% et non pas 9.1%
Le taux de 9,1% est une moyenne entre urbain et rural, or, dans la campagne on est en situation de plein emploi avec 3,9% de chômeurs seulement. Le chômage est principalement urbain et il frappe plus fortement les jeunes de 15-34 ans...
Economie Hausse de 23% des exportations vers les pays liés avec le Maroc par un accord libre échange en 2010
Le Maroc est lié par des accords de libre-échange avec plusieurs pays et groupements économiques, dont l'Union européenne, les Etats-Unis et les pays membres de la déclaration d'Agadir (Maroc, Tunisie, Jordanie et Egypte)...
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Mai 2011 - 18:09
Yaku good news,en macro et micro economie quand le chomage diminue drastiquement en campagne cela signifie la diminution de l'immigration vers les centres urbain donc moins congestions urbains,et comme toujours un pays aura toujours besoin de sa strategie alimentaire.il y a beacoup d'autres facteurs benefiques.
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Mai 2011 - 21:54
Yakuza a écrit:
si les frustrés veulent travailler voila...sinon vaut mieux rouvrir tazmamert
Ce n'est pas question de postes vacants de travail, c'est un problème de ressources humaines.
100% des DRH au Maroc n'ont pas de formation en ressources humaines, ils sont tous issus des filères de droit ou de gestion et économie. Les postes de travail pour les diplômés se vendent en dizaines de milliers de dirhams au Maroc que ca soit au public ou en privé.Moi je connais une boite qui devait recruter en urgence un ingénieur au mois de septembre 2009, et le gars des ressources humaines a attendu jusqu'a mois de juillet 2010 afin qu'il recrute un jeune diplômé pistonné de la promotion de 2010....
Un diplômé au Maroc, s'il trouve un travail que ça soit en privé ou public sans piston, tu peux le classer avec les heureux élus d'euros millions.
Je peux t'assurer qu'un diplômé chômeur au Maroc sans piston peut envoyer autant de demande d'emploie, sans qu'il reçoit même pas un émail de regret ou de refus.
Les services de DRH au Maroc n'appellent jamais les candidats au téléphone, ils envoient même pas de mails de refus.c'est comme si tu parle avec un mur , aucune réponse ni positive ni négative.
C'est pour ça moi je comprends les diplômés chômeurs qui manifestent pour un poste en service public. Tu crois qu'après 5 ans de chômage une boite privé va t'embaucher??? Donc pour moi si un diplômé est chomeur pendant 5 ans c'est en premier lieu la fautte du gouvernement. au Maroc il faut pas penser comme en étant au marché d'emploi francais.
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 25 Mai 2011 - 21:59
Excellent, on récupère lentement mais surement notre déficit commercial, face à des requins du commerce.
iznassen Capitaine
messages : 935 Inscrit le : 22/06/2008 Localisation : belgique Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 12:32
Citation :
Maroc - Mauritanie: Signature d'une nouvelle convention aérienne
Le ministre de l'Equipement et des Transports Marocain, M. Karim Ghellab et son homologue mauritanien, M. Yahia Ould Hadmine ont signé une convention qui prévoit d'augmenter le nombre de vols opérés par la Royal Air Maroc (RAM) à 14 par semaine. La convention stipule que la Mauritanie assure un minimum de deux vols hebdomadaires après la création de la nouvelle compagnie aérienne Mauritania Airlines.
Cette convention remplace l'accord du 7 juillet 1970 qui fixait le nombre de vols hebdomadaires à 9 pour chaque pays, dont 7 ont été effectivement assurés par la RAM, dans l'absence d'une firme mauritanienne de transport aérien. S'exprimant à cette occasion, M. Ghellab a affirmé que le Royaume accorde un intérêt particulier à ce partenariat, indiquant que pour renforcer les relations de voisinage stratégiques entre les deux pays, il faut donner la priorité au transport des passagers et des marchandises.
Il s'est également félicité de la création de la nouvelle compagnie aérienne mauritanienne, qui permettra d'améliorer le niveau et l'efficacité du transport aérien, précisant que cette réunion intervient après la rencontre des deux parties en marge du congrès des ministres des transports des Etats africains riverains de l'Atlantiques tenu les 10 et 11 mai courant à Libreville.
En vertu du partenariat prévu entre la RAM et Mauritania Airlines, il sera procédé à l'adoption du code sharing et à la mise en place d'une alliance stratégique effective entre les deux opérateurs. Ce partenariat visera, en plus de la coopération commerciale, la possibilité de faire bénéficier Mauritania Airlines de l'expertise et des compétences de la RAM dans les domaines de la gestion, la maintenance des avions et l'organisation des sessions de formation selon les besoins de la partie mauritanienne.
Pour sa part, M. Yahia Ould Hadmine a formulé le souhait que le nouveau partenariat réponde aux aspirations des deux pays à garantir les meilleures prestations de transport, qu'il soit aérien, terrestre ou maritime. Il s'est dit, dans ce sens, satisfait de la signature de cet accord qui garantit une complémentarité entre les deux compagnies aériennes.
Les deux ministres se sont félicités de l'aboutissement des négociations aéronautiques, qui ont eu lieu les 17 et 21 mai courant à Rabat, entre les experts des deux pays et qui se sont soldées par la finalisation de l'ensemble des dispositions d'un nouvel accord aérien prévoyant, notamment, la multidésignation des entreprises de transport aérien avec un caractère libéral sur les plans de capacité, des fréquences et des tarifs pratiqués.
Les deux ministres ont relevé avec satisfaction l'évolution positive du trafic aérien entre les deux pays, qui a connu au cours de l'année 2010 une croissance de plus de 36% par rapport à 2009 et plus de 43% durant les quatre premiers mois de 2011 par rapport à la même période de 2010.
messages : 935 Inscrit le : 22/06/2008 Localisation : belgique Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 12:40
Citation :
Secteur électronique au Maroc : 800millions d'euros à l'export en 2015
12 entreprises marocaines au CIEN de Paris. L'économie numérique sur l'agenda du G8. Objectif de 550 millions de C.A. et 14 000 supplémentaires en 2020.
Après avoir réalisé un chiffre d’affaires à l’export de 450 millions d’euros en 2010, le secteur de l’électronique marocain vise un objectif de C.A. de 800 millions en 2015, a indiqué le ministre de l’industrie, du commerce et des nouvelles technologies Ahmed Réda Chami lors de son passage au CIEN parisien, le Carrefour de l’industrie électronique et numérique qui se tient jusqu’au 26 mai. 12 entreprises marocaines participent au CIEN sur un espace de 180 m².
L’emploi devrait afficher un chiffre de 9000 postes de travail en 2015 contre 5500 actuellement et un objectif de 14 000 postes en 2020. Le secteur comprend la mécatronique, l’électronique embarquée et la fabrication des cartes à puces. Ce salon se tient au lendemain de l’ouverture du e-G8, le forum des activités Internet des acteurs américains, européens et japonais et alors que le Maroc est l’invité d‘honneur du forum de l’investissement international actuellement en cours dans la capitale française.
Le secteur de l’électronique fait partie des six MMM, les métiers mondiaux du Maroc, choisis par le gouvernement marocain pour attirer les investisseurs étrangers et doper l’activité export et les transferts de technologie. Des six MMM, Ahmed Réda Chami a reconnu à Paris que celui de l’électronique était celui qui avait le moins rempli ses objectifs depuis le lancement du plan Numéric en 2009. Les autres MMM sont l’automobile, l’aéronautique, l’offshoring, le textile-confection et l’agroalimentaire.
Dans le cadre d’une convention de partenariat entre l’Agence marocaine de développement des investissements AMDI et la FIECC française qui regroupe les industries électriques, électroniques et de la communication de l’Hexagone, une structure commerciale sera développée pour encourager les PME françaises à produire et à commander leurs intrants au Maroc. Ahmed Réda Chami a mis en avant les atouts marocains des infrastructures d’accueil dont les P2i et le guichet unique, des ressources humaines et des aides à la formation, ainsi que la croissance du marché marocain et les accords de libre-échange.
messages : 1650 Inscrit le : 18/05/2009 Localisation : Brest - Rabat Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 14:02
Magnifique video promotionnel posté à l'instant par le ministre de l'industrie sur sa page facebook.
sorius Commandant
messages : 1139 Inscrit le : 18/11/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 15:24
Nano a écrit:
Magnifique video promotionnel posté à l'instant par le ministre de l'industrie sur sa page facebook.
belle realisation, tres belle
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 16:59
video inaccessible dans ce foutu pays a restrictions!
en visite a NY en mission au Nasdaq,Mr Mezouar aura l´honneur de sonner la fermeture ajdhui.
Citation :
Moroccan Finance Minister to Ring the NASDAQ Stock Market Closing Bell Wednesday May 25, 2011 - 09:54 AM EDT GlobeNewswire News Releases
ADVISORY, May 25, 2011 (GLOBE NEWSWIRE) --
What:
His Excellency Salaheddine Mezouar, Moroccan Finance Minister, will visit the NASDAQ MarketSite in New York City's Times Square and preside over the NASDAQ Stock Market closing bell ceremony.
Where:
NASDAQ MarketSite – 4 Times Square – 43rd & Broadway – Broadcast Studio
When:
Thursday, May 26th, 2011 – 3:45 p.m. to 4:00 p.m. ET
_________________
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 17:17
AVEROUES a écrit:
Yakuza a écrit:
si les frustrés veulent travailler voila...sinon vaut mieux rouvrir tazmamert
Ce n'est pas question de postes vacants de travail, c'est un problème de ressources humaines.
100% des DRH au Maroc n'ont pas de formation en ressources humaines, ils sont tous issus des filères de droit ou de gestion et économie. Les postes de travail pour les diplômés se vendent en dizaines de milliers de dirhams au Maroc que ca soit au public ou en privé.Moi je connais une boite qui devait recruter en urgence un ingénieur au mois de septembre 2009, et le gars des ressources humaines a attendu jusqu'a mois de juillet 2010 afin qu'il recrute un jeune diplômé pistonné de la promotion de 2010....
Un diplômé au Maroc, s'il trouve un travail que ça soit en privé ou public sans piston, tu peux le classer avec les heureux élus d'euros millions.
Je peux t'assurer qu'un diplômé chômeur au Maroc sans piston peut envoyer autant de demande d'emploie, sans qu'il reçoit même pas un émail de regret ou de refus.
Les services de DRH au Maroc n'appellent jamais les candidats au téléphone, ils envoient même pas de mails de refus.c'est comme si tu parle avec un mur , aucune réponse ni positive ni négative.
C'est pour ça moi je comprends les diplômés chômeurs qui manifestent pour un poste en service public. Tu crois qu'après 5 ans de chômage une boite privé va t'embaucher??? Donc pour moi si un diplômé est chomeur pendant 5 ans c'est en premier lieu la fautte du gouvernement. au Maroc il faut pas penser comme en étant au marché d'emploi francais.
khouya
je ne sais de quel pays tu parles ...
on vit et on travaille au Maroc et on a des gens de la famille qui vivent et travaillent au maroc et ce sans piston , ni rien !!
et je te parles ici d'une famille dial wlad ch3ab et dont le pére et la mére sont des analphabètes comme chez beaucoup de familles au Maroc ..ta théorie est loin de la realité
partir du principe que 100% des boulots au Maroc sont par piston est le leitmotiv de ceux qui veulent qu'on leur ramène un boulot à la maison ou qu'on leur donne un boulot dans la fonction publique ....
aujourdhui au maroc un jeune a plus de chances de trouver un boulot et en plus mieux payé que son père ....
égelement comparer un jeune diplômé marocain qui trouve un boulot au maroc à un gagnant d'un loto à millions d'euros est une insulte à la realité , le maroc a bien changé et plus vite que tu ne le crois ...
AVEROUES Lt-colonel
messages : 1496 Inscrit le : 26/12/2010 Localisation : Pays des merveilles Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 17:49
marques a écrit:
AVEROUES a écrit:
Yakuza a écrit:
si les frustrés veulent travailler voila...sinon vaut mieux rouvrir tazmamert
Ce n'est pas question de postes vacants de travail, c'est un problème de ressources humaines.
100% des DRH au Maroc n'ont pas de formation en ressources humaines, ils sont tous issus des filères de droit ou de gestion et économie. Les postes de travail pour les diplômés se vendent en dizaines de milliers de dirhams au Maroc que ca soit au public ou en privé.Moi je connais une boite qui devait recruter en urgence un ingénieur au mois de septembre 2009, et le gars des ressources humaines a attendu jusqu'a mois de juillet 2010 afin qu'il recrute un jeune diplômé pistonné de la promotion de 2010....
Un diplômé au Maroc, s'il trouve un travail que ça soit en privé ou public sans piston, tu peux le classer avec les heureux élus d'euros millions.
Je peux t'assurer qu'un diplômé chômeur au Maroc sans piston peut envoyer autant de demande d'emploie, sans qu'il reçoit même pas un émail de regret ou de refus.
Les services de DRH au Maroc n'appellent jamais les candidats au téléphone, ils envoient même pas de mails de refus.c'est comme si tu parle avec un mur , aucune réponse ni positive ni négative.
C'est pour ça moi je comprends les diplômés chômeurs qui manifestent pour un poste en service public. Tu crois qu'après 5 ans de chômage une boite privé va t'embaucher??? Donc pour moi si un diplômé est chomeur pendant 5 ans c'est en premier lieu la fautte du gouvernement. au Maroc il faut pas penser comme en étant au marché d'emploi francais.
khouya
je ne sais de quel pays tu parles ...
on vit et on travaille au Maroc et on a des gens de la famille qui vivent et travaillent au maroc et ce sans piston , ni rien !!
et je te parles ici d'une famille dial wlad ch3ab et dont le pére et la mére sont des analphabètes comme chez beaucoup de familles au Maroc ..ta théorie est loin de la realité
partir du principe que 100% des boulots au Maroc sont par piston est le leitmotiv de ceux qui veulent qu'on leur ramène un boulot à la maison ou qu'on leur donne un boulot dans la fonction publique ....
aujourdhui au maroc un jeune a plus de chances de trouver un boulot et en plus mieux payé que son père ....
égelement comparer un jeune diplômé marocain qui trouve un boulot au maroc à un gagnant d'un loto à millions d'euros est une insulte à la realité , le maroc a bien changé et plus vite que tu ne le crois ...
je te parle de moi même , diplomé de 2009 Master 2 en SI à paris, de retour , même pas un seul coup de fil, même pas un seul mail de retour. il y en a des tas gens comme moi que je connais si pour toi rester 5ans après le diplome à chercher du travail , c'est normal!!!! ceux qui trouve du travail sans piston sans très rare, je te parle en connaissances de cause.je veux pas rentrer dans la question du salaire, c'est une vrai arnaque....
beaucoup de chose doivent changer, cette situation de cacher le soleil avec un tamis ne peut marcher tout le temps. vendre et acheter les postes de travail comme au souk doit etre une époque révolu
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 18:01
je crois que dans tout sujet il faut eviter de trop generaliser.a mon humble avis tout depend du secteur d'activité et du poste c 'est vrai que dans certains cas ou il y a une forte concurrence certains preferent choisir sur des bases autre que la meritocratie.personnellement j'ai eu a faire a ce genre de problemes (ps:j'ai le meme diplome que toi averroes) surtout dans le secteur bancaire.
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 19:13
vympel27 a écrit:
je crois que dans tout sujet il faut eviter de trop generaliser.a mon humble avis tout depend du secteur d'activité et du poste c 'est vrai que dans certains cas ou il y a une forte concurrence certains preferent choisir sur des bases autre que la meritocratie.personnellement j'ai eu a faire a ce genre de problemes (ps:j'ai le meme diplome que toi averroes) surtout dans le secteur bancaire.
Tout à fait d'accord vympel, des diplômés qui galérent pour trouver un travail y en a à gogo partout au monde, en france, au canada pays ou je connais pas mal de diplomés chômeurs, j'ai une amie qui a eu un master 2 en développement durable en 2007 à paris, elle a trop galérée pour trouver un taf en france mais allah ghaleb, aprés elle est venue au québec, et elle n'arrive pas de trouver un boulot dans sa branche d'études..il faut être patient et remercier dieux quoi qu'il en soit..
Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:11
En 2010 on a dépassé officiellement a barre des $ 100 B de PIB On est à 103 B
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:21
le Bangladech a 104B$ comme quoi,ca dit pas tout..
_________________
docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:21
inchalah 200 B$ en 2020
(peru 152 bravo)
Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:28
Yakuza a écrit:
le Bangladech a 104B$ comme quoi,ca dit pas tout..
A noter l'explosion du PIB Egyptien qui se retrouve deuxième économie du continent avec 218 B.
L'Algérie qui se retrouve 4 ème juste devant nous et l'Angola et la Libye qui ont calé
Ce qui ma surpris c'est le PIB des UAE 300 B
Quand à nous, nous allons prochainement connaître une accélération du à la hausse de notre production industriel et l'amélioration de la compétitivité logistique de nos entreprises
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:29
et en 1999 on etait a combien?biensur ces bons resultats economique ne vont pas plaire aux 20 fevriestes et a une certaine presse qui voient tout en noir.
docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:39
un peu moins de 40 $B
RED BISHOP Modérateur
messages : 12303 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:40
Yakuza a écrit:
le Bangladech a 104B$ comme quoi,ca dit pas tout..
Principale producteur mondiale de Junte ( Textile) de Riz, de Thé...
Citation :
A noter l'explosion du PIB Egyptien qui se retrouve deuxième économie du continent avec 218 B.
L'Algérie qui se retrouve 4 ème juste devant nous et l'Angola et la Libye qui ont calé
Ce qui ma surpris c'est le PIB des UAE 300 B
Quand à nous, nous allons prochainement connaître une accélération du à la hausse de notre production industriel et l'amélioration de la compétitivité logistique de nos entreprises
Attention car c'est les calculs du FMI qui ne sont pas les meme que la Banque Mondiale ou le CIA Factbook
_________________
atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 26 Mai 2011 - 20:45
Yakuza a écrit:
le Bangladech a 104B$ comme quoi,ca dit pas tout..
Le Bangladesh c'est 162 millions de personnes, apparemment on compte l'apport du secteur informel aussi.