Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeSam 19 Fév - 14:48

Rappel du premier message :

Citation :
La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc
2011-02-14 08:28:06 xinhua
Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.

Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.

Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.

Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.

Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.

Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.

Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.

Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.

La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.

http://french.cri.cn/621/2011/02/14/301s238152.htm

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMar 11 Oct - 7:37

yassine1985 a écrit:
Tôt ou tard faudra faire avancer nos relations avec la chine.

Malheresement, dans la vie, il faut choisir: OTAN ou Chine/Russie...

LA chine n'est pas prete a u compromis: elle n'en a pas besoin, elle a tire ses lecons propres de sa propre decadence et n'a pas l'air de vouloir redevenir un "homme malade" sous influence de l'opium. Donc la chine a "copie" la meme politique (offensive) de l'Occident pour garantir sa securite...avec la finesse en moins...

Sur ce plan, suffit de voir le ridicule dans le message du downgrade du Maroc Rolling Eyes

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMar 11 Oct - 7:53

tshaashh a écrit:
yassine1985 a écrit:
Tôt ou tard faudra faire avancer nos relations avec la chine.

Malheresement, dans la vie, il faut choisir: OTAN ou Chine/Russie...

LA chine n'est pas prete a u compromis: elle n'en a pas besoin, elle a tire ses lecons propres de sa propre decadence et n'a pas l'air de vouloir redevenir un "homme malade" sous influence de l'opium. Donc la chine a "copie" la meme politique (offensive) de l'Occident pour garantir sa securite...avec la finesse en moins...

Sur ce plan, suffit de voir le ridicule dans le message du downgrade du Maroc Rolling Eyes


Économiquement le mixte EU/Chine est faisable et c'est à nous trouver la formule, la chine cherche du terrain sur l’économie mondiale tout comme l'EU mais chacun son souffle.

Le rapport est certes pas bien fait (du moins la traduction + reporting ...) mais ils ont quand même maintenu 4.4% sur deux ans ce que je trouve assez optimiste vus la situation actuelle et très en dessous de la moyenne des pays émergents.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMar 11 Oct - 20:16

Citation :
Maroc Export Plus dépasse ses objectifs d'exportations


Les objectifs initiaux de “Maroc Export Plus” consistant à augmenter la valeur des exportations et de diversification des exportations au profit de nouveaux marchés et au niveau des produits exportés ont été “largement dépassés,” a affirmé, hier à Rabat, Abdellatif Mazouz, ministre du Commerce extérieur, qui présentait un premier bilan de la stratégie lors d'une conférence de presse.


Les exportations réalisées en 2010 ont atteint 122,6 milliards de dirhams (MMDH), dépassant les 115 MMDH prévus et les 112,4 MMDH réalisés en 2008 a indiqué le ministre: “les exportations ont augmenté de 32% en 2010, un niveau jamais atteint depuis 20 ans”.

La même tendance haussière a été maintenue au niveau du nombre des exportateurs, qui sont passés de 5.243 en 2008 à 5.495 en 2010.

Diversification des marchés et des produits

Les marchés européens demeurent la première destination des exportations marocaines et en détiennent 63% à fin août 2011, contre 75% en 2007. L'Asie arrive en deuxième position avec 15%, suivi de l'Amérique (13%), de l'Afrique (8%). L'Australie et l'Océanie ne représentent que 1% du volume des exportations.

Par catégorie (hors phosphates) le textile et habillement caracolent en tête de classement avec 23% durant la période janv-août 2011. Ces exportations représentaient 28% en 2007. Ces cinq points perdus l'ont été au profit des produits alimentaires (20% fin août 2011 contre 13% en 2007).

En revanche les produits de la mer ont perdu trois points dans leur contribution à l'export. En 2007, ces produits représentaient 9% du volume global exporté. Actuellement cette participation est de 12%.

Doubler les exportations d'ici 2015

En conclusion, dira le ministre, les exportations en 2010 représentent 34% du PIB. La stratégie Maroc Export Plus a pour objectif de doubler la valeur des exportations à l'horizon 2015, et la tripler à l'horizon 2018.

Sept secteurs ont été désignés comme prioritaires: l'Agriculture et l'Agroalimentaire, les Produits de la mer, le Textile et Cuir, l'Electricité, l'Automobile, la Pharmacie et les Technologies de l'information et Offshoring.

aufait/MAP

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMer 12 Oct - 10:00

Citation :

Imtech opens new marine offices in France, Morocco and Spain



Imtech NV (IM-AE, technical services provider in Europe and on the global marine market) is expanding its marine services network with a total of five new offices in France, Morocco and Spain. This concerns offices in Le Havre, Saint-Nazaire and Marseille in France and Tangier in Morocco following the acquisition of the French marine services provider ETNA, Etudes Techniques et Nouvelles Applications SA. With its 15 employees, ETNA realises revenue of around 2.5 million euro annually. The acquisition will be paid in cash and will directly contribute to the earnings per share. In addition, Imtech has opened a new marine services office in Algeciras in Spain.


René van der Bruggen, CEO Imtech: 'We have a strong position in the global marine market, are active in more than 20 countries and have, as sole marine technical services provider, more than 70 offices along all the important shipping routes. In our strategic growth plan 2015 we're committed to strengthening considerably our marine activities to a revenue level of approximately 1 billion euro (2010: more than 500 million euro), both organic as well as through acquisitions. One of the growth areas is the international expansion of the number of marine services offices. In France, Imtech already has a service office in Antibes, mainly for luxury mega yachts. With the acquisition of ETNA, three French offices and one Moroccan office are being added to our marine services network. At the same time, we are opening our own service office in Spain. This will enable us to serve our marine customers in Southern Europe and North Africa considerably better, which will lead to further growth.'

Profile ETNA
ETNA is a small but strong player in the French marine market. The company has already been operating for many years with increasing success as marine services specialist for technical maintenance and management on the dozens of ships that visit the French ports of Le Havre, Saint-Nazaire and Marseille. The close relationship between France and Morocco led to a Moroccan office also being opened a number of years ago. In addition, ETNA is structurally active on a project basis in Tunisia and occasionally in other countries in North Africa. ETNA provides a wide range of electrical solutions on also almost all types of ships. A substantial part of its revenue is based on long-term cooperation agreements with customers.

Cooperation leads to growth
Via internal cooperation ETNA will very soon have access to Imtech Marine's complete services package, enabling it to become active over a broader technical services area. This will lead to further growth. Furthermore, ETNA, under the strong financial wings of Imtech, will become a more powerful business partner, which will also lead to further growth.

Excellent track record at the new service offices
Imtech's past record shows that it is exceptionally able to bring rapid growth to its marine services offices, whether newly-opened or obtained through acquisitions. A combination of local specialists and exceptionally well-educated service technicians work together to service existing, mostly internationally-operating, Imtech customers on the basis of ongoing service contracts. On this basis, Imtech works on more than 5,000 ships. With its distinguished service portfolio, Imtech is also able to act quickly to find new local customers and expand the services to these step by step. The combination of knowledge and technical competences, as well as Imtech's state of the art marine services portfolio makes further growth possible. In this way, in areas such as China, around the Panama Canal and in the Caribbean area, Imtech has brought marine services offices, either opened or obtained through acquisitions, to rapid growth.

Further internationalisation
Within the framework of its growth strategy, Imtech Marine is further internationalising its activities, with success. In China the volume of activities in recent years has grown substantially. There are more than 400 employees here now. In 2010 Imtech acquired the strong Turkish marine technical services provider Elkon, which has given Imtech a basic position in this marine growth market. Very recently, the Canadian marine technical services provider Groupe Techsol was acquired, with which Imtech obtained a high-tech production site for the marine market in Canada and North America. Further internationalisation is foreseen.



http://www.shipbuilding.nl/News/Archive/2011/Imtech_opens_new_marine_offices_in_France_Morocco_and_Spain

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMer 12 Oct - 11:29

Pour vous dire , que la chine est un pays qui ne respecte pas les standard de qualité pour les produits vers le maroc, vers d'autres pays oui ? vraiment c'est ..... Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMer 12 Oct - 18:15

Un leader marocain du Facility Management est né

Citation :
CDG Développement a conclu un partenariat stratégique avec les sociétés Cegelec Maroc et Vinci Facilities, deux filiales du groupe Vinci, en vue d'une prise de participation de 50% par ces deux entreprises dans le capital de la société Exprom, filiale de CDG Développement spécialisée dans le Facility Management. À travers ce rapprochement stratégique, CDG Développement et Vinci ambitionnent de donner naissance au nouveau leader marocain du Facility Management. «Cet accord, qui devrait permettre à Exprom d'accélérer son développement, en s'adossant au groupe Vinci, premier groupe mondial de concessions et de construction».

l'article complet ici

http://www.lematin.ma/journal/Partenariat-CDG-developpement-vinci-cegelec-maroc_Un-leader-marocain-du-Facility-Management-est-ne/157540.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeJeu 13 Oct - 18:40

Citation :
Investissements: L’infrastructure domine

47 projets ont été validés par la Commission interministérielle des investissements réunie mercredi 12 octobre. Comme annoncé par L’Economiste, ces investissements portent sur un montant de 52 milliards de dirhams et devront générer 6.000 emplois directs et stables. Par secteur, l’infrastructure domine avec 39,84 milliards de dirhams, soit 77% du total.
Vient ensuite le tourisme avec 4,9 milliards de dirhams et près de 26% des emplois à créer. L’industrie arrive en troisième position avec 5% de la valeur des investissements.


Citation :
Addoha : Anas Sefrioui reçu par le Président guinéen

Selon un communiqué du bureau de presse de la présidence guinéenne, repris par la presse locale, le Chef de l’Etat, Alpha Condé, a reçu en audience, hier, le PDG de Douja Promotion Groupe Addoha, Anas Sefrioui. Ce dernier, qui a annoncé que son entreprise compte investir en Guinée et dans 3 autres pays africains, a confirmé la construction d’une cimenterie en Guinée d’une capacité de 500 000 tonnes avec un coût d’investissement de 30 millions d’euros. A cela s’ajoute un projet de construction de logements sociaux. A suivre !

Citation :
Cinéma : Mégarama investit 150 millions DH à Agadir

La société Mégarama Maroc a lancé la réalisation d’un complexe cinématographique sur un terrain d’une superficie de 2 hectares situé dans la zone de Hay Mohammadi à Agadir. Le complexe sera doté de 12 salles de cinéma d’une capacité totale de 2 658 places (dont la plus grande salle est d’une capacité de 1 165 places) en plus de 12 pistes de bowling, restaurants et cafétérias. Le projet nécessitera une enveloppe budgétaire de l’ordre de 150 millions DH et permettra la création de 300 postes d’emploi.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeJeu 13 Oct - 21:06

Citation :
Le Maroc renforce son Pôle aéronautique commercial

(Xinhua) — Le Maroc renforce et modernise son Pôle aéronautique commercial. Le secteur qui emploie 8500 personnes dans une centaine d’unités existantes, réalise un chiffre d’affaires de 1 milliard de dollars américains et des investissements de 2 milliards de dollars. Casablanca, capitale économique du Maroc est aujourd’hui le fer de lance du développement du secteur aéronautique, érigé en nouveau métier mondial du Royaume par le Plan Emergence.

Destination low-cost, alliant proximité logistique et disponibilité d’une main d’oeuvre qualifiée, ce n’est pas un hasard si la version 2.0 de l’offre territoriale casablancaise pour l’aéronautique a séduit les plus grands du secteur. Ainsi, quelque 35 opérateurs étrangers se réunissent dans le cadre du Sommet commercial aéronautique, ouvert mercredi à Nouaceur dans la région de Casablanca.

Cette rencontre de deux jours, également dédiée au B2B et à la promotion du partenariat, regroupe quelque 25 fournisseurs clés du transporteur aérien Boeing ainsi qu’une dizaine d’autres opérateurs venus de France, sans oublier les sociétés aéronautiques installées au Maroc.

Organisé en partenariat avec l’Agence marocaine de développement des investissements (AMDI), le ministère marocain du Commerce, de l’Industrie et des Nouvelles Technologies et le Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS), le sommet a pour objectif de mettre en relation ces fournisseurs de Boeing avec de nombreuses sociétés du secteur aéronautique installées au Maroc pour favoriser les opportunités d’affaires et de développement, pouvant également donner lieu à des implantations au Maroc.

Les opérateurs étrangers qui ont fait le déplacement auront ainsi l’occasion de constater de visu les avancées réalisées au Maroc dans le domaine aéronautique, le savoir faire et les compétences acquises et les infrastructures dont il dispose dans de ce secteur, notamment l’Institut de Formation dans les Métiers aéronautique (IMA) ou encore la plateforme industrielle de Nouaceur (125 ha) dédiée à cette activité qui compte déjà une centaine d’entreprises.

Le groupe Royal Air Maroc (RAM), qui gère cette structure, occupe une place prépondérante parmi les grandes entreprises nationales qui contribuent à l’essor économique du Royaume.

Lancée officiellement sous forme de compagnie nationale en juin 1957, avec moins de 450 agents et une flotte de trois DC3, la Royal Air Maroc n’a cessé depuis de se développer jusqu’à devenir un grand groupe multi-métiers qui, non seulement sert parmi les locomotives qui tirent l’économie marocaine, mais s’acquitte aussi d’un brillant rôle international promoteur de l’image du Maroc moderne et compétitif.

Depuis 2001, le groupe est organisé autour de six pôles de croissance, dont trois pôles "Métiers de base" : transport régulier, transport touristique et fret ; et trois pôles "Métiers connexes" : l’hôtellerie, l’industriel et les services.

Le groupe dispose de 3 centres industriels. D’abord, le Centre industriel aéronautique qui dispose d’une base industrielle d’une surface couverte de 41 600 m² constituée de 2 hangars avion, d’ateliers de révision des équipements et accessoires avion, d’un centre de contrôle non destructif et de magasins aéronautiques.

Ensuite, Snecma Morocco Engine Services (SMES), née en 1999 d’un partenariat entre le Groupe Royal Air Maroc et Snecma Services. Elle est spécialisée dans la révision des moteurs d’avion. Elle est actuellement le seul centre de révision agréé en Afrique pour la réparation des moteurs de type CFM56-3 équipant les avions Boeing 737-300/400/500.

Et Enfin, Matis Aérospace, née d’un partenariat entre le Groupe Royal Air Maroc, le constructeur Boeing et LABINAL, filiale du motoriste SNECMA. Cette entreprise, basée à la technopole de Nouaceur, est spécialisée dans la fabrication des câblages aéronautiques destinés aux avions CFM qui équipent les avions moyen-courrier modernes et d’autres avions.

http://www.reussirbusiness.com/15036-Le-Maroc-renforce-son-Pole.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeJeu 13 Oct - 22:20

Citation :
Innovation : La 1ère marque marocaine de vélo électrique est née

Économie marocaine - Page 28 Velo-electrique-ecobike-basic

S'appuyant sur plusieurs années d'expérience dans le domaine du vélo électrique, la société marocaine SOL'INNOV a fini par commercialiser, après plusieurs années de recherche et de tests, sa propre marque de vélo à assistance électrique : ECOBIKE. ‘‘Le 1er modèle, le "Basic", a été conçu dans la plus grande simplicité, selon le patron de SOL'INNOV, Mehdi Alaoui Mrani, qui ajoute que ‘‘l'idée était de proposer un modèle robuste sur le plan mécanique et fiable pour ses parties électrique, le tout au meilleur prix possible’’. A suivre !

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeVen 14 Oct - 20:22

Citation :
Maroc : le BTP soutient l’emploi

Le ministre de l’industrie, du commerce et des nouvelles technologies du Maroc, Ahmed Réda Chami, a annoncé que 63 000 emplois ont été créés en 2010 dans le secteur du BTP dans le pays.

Malgré un ralentissement de la croissance de l'activité du secteur (de 3,4 % à 2,6 % en 2010), le secteur enregistre une progression de 6,6 % en termes d'emplois. Le ministre s’est montré confiant pour les années à venir citant notamment les projets en cours ou à venir.

http://www.francebtp.com/batiment/article/2011/10/14/62305/maroc-btp-soutient-emploi.php
Citation :
Banques/Méditerranée du Sud : Le Maroc sur la plus haute marche

Faible taux de créances douteuses et plus de transparence

Une meilleure gestion des risques

Une étude de Femise sur le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et l’Egypte


Alors que les banques occidentales sont mises à rude épreuve, le Forum euroméditerranéen des instituts de sciences économiques (Femise) vient de publier une étude sur les systèmes bancaires de quatre pays du sud de la Méditerranée: le Maroc, l’Egypte, l’Algérie et la Tunisie.
D’emblée, l’étude révèle que le Maroc est, de loin, le pays le mieux loti en termes de système bancaire. Il affiche un taux de créances douteuses de 6% (en 2008) alors que chez les autres pays de l’échantillon, il oscille entre 12 et 15%. Mais ces pourcentages demeurent encore trop élevés par rapport à 3% constatés en Europe.
De même, le Maroc se distingue par une faible présence du capital public: 25% contre 67% pour l’Egypte et 90% pour l’Algérie. La disponibilité d’un système d’information sur le crédit est aussi une caractéristique propre au Maroc. Et, l’application des normes de Bâle a également joué un rôle déterminant sur le développement économique du pays via l’arrivée de banques étrangères.

Au Maroc, le taux de créances douteuses est de 6%

«A l’opposé, le système bancaire algérien, sous la mainmise de l’Etat, apparaît gangrené par la corruption et l’opacité des opérations. En Tunisie, durant le règne de Ben Ali, d’importants crédits ont été contractés à titre privé. Ont-ils été remboursés ou cautionnés? Rien n’est moins sûr. En 2003, le taux de créances douteuses représentait tout de même un tiers du secteur bancaire (24,2% et 17,6% en 2007). L’étude pointe aussi du doigt la défaillance dans les systèmes de contrôles internes et beaucoup trop de clientélisme.
Par ailleurs, l’étude analyse les changements dans les cadres réglementaires des quatre pays à travers les réformes du secteur financier et pointe les tops et les flops. «Dans le cas du Maroc par exemple, la suppression des subventions et des contrôles des taux d’intérêt, le renforcement des rôles et mandats des superviseurs bancaires, l’amélioration des pratiques de gestion du risque et leur alignement sur les pratiques les plus récentes, ont permis de construire le système financier le plus développé parmi les pays étudiés».
Les autres pays examinés ont moins bien réussi à mettre en place des réformes-clés. Les politiques mises en place pour répondre à la mauvaise qualité des actifs se sont traduites soit par de maigres améliorations, soit par un assèchement du crédit, voire par les deux. Les efforts de privatisation n’ont été que partiellement réussis. Parfois, ces efforts ne sont pas traduits par une amélioration des conditions de marché et de développement financier.
En Algérie, les banques publiques continuent de dominer le secteur bancaire et comptent pour 90% des actifs totaux. En Egypte, bien que les efforts de privatisation aient été partiellement couronnés de succès, les prêts au secteur public et la dette représentent une fraction importante des portefeuilles bancaires, grevant ainsi les possibilités de développement financier ainsi que les opportunités de croissance. En Tunisie, la plupart des grandes banques du pays sont détenues par des capitaux publics.
Les comparaisons entre les pays UE-Med présentent des déficiences particulières. Malgré quelques améliorations récentes, les barrières à l’entrée sont encore monnaie courante dans les pays sud-méditerranéens. Elles trouvent leur origine dans les taux élevés de refus d’octroi de licences aux banques étrangères, eux-mêmes intimement liés à la part dominante de l’Etat dans le secteur bancaire.
En ce qui concerne l’analyse de l’efficacité coûts, l’étude note une amélioration globale depuis 2005 (exception faite de l’Egypte). Mais elle reste loin des niveaux atteints par certaines banques européennes. A titre d’exemple, les banques espagnoles dominent la région avec des scores d’efficacité de l’ordre de 80,4% contre une moyenne régionale de 63,5%.
En examinant l’impact des pratiques de réglementation et de supervision sur l’efficacité coûts des banques, les résultats montrent clairement qu’une bonne structure de réglementation contribue de manière importante à l’efficacité du système bancaire. A cet égard, le cas du Maroc est instructif. En particulier, les régimes d’assurance des dépôts, le droit à l’information ainsi l’efficacité du système bancaire.

http://www.leconomiste.com/article/887826-banquesmediterranee-du-sudbrle-maroc-sur-la-plus-haute-marche
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeLun 17 Oct - 14:25

Citation :
Le groupe portugais CIMPOR annonce la construction d'une nouvelle usine au Maroc

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeLun 17 Oct - 16:06

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pas mal le velo electrique made in morocco, joli design Wink

Citation :
Maroc : Charte de l’investissement, ce qui va changer

http://www.lavieeco.com/news/economie/maroc-charte-de-l-investissement-ce-qui-va-changer-20465.html

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeLun 17 Oct - 16:11

Cherokee a écrit:
Un leader marocain du Facility Management est né

Citation :
CDG Développement a conclu un partenariat stratégique avec les sociétés Cegelec Maroc et Vinci Facilities, deux filiales du groupe Vinci, en vue d'une prise de participation de 50% par ces deux entreprises dans le capital de la société Exprom, filiale de CDG Développement spécialisée dans le Facility Management. À travers ce rapprochement stratégique, CDG Développement et Vinci ambitionnent de donner naissance au nouveau leader marocain du Facility Management. «Cet accord, qui devrait permettre à Exprom d'accélérer son développement, en s'adossant au groupe Vinci, premier groupe mondial de concessions et de construction».

l'article complet ici

http://www.lematin.ma/journal/Partenariat-CDG-developpement-vinci-cegelec-maroc_Un-leader-marocain-du-Facility-Management-est-ne/157540.html

Des PME existent déjà et fonctionnent trés trés bien un exemple (à qui j'ai déjà eu a faire) et qui fonctionne très bien : IS2E http://melahfi.e-monsite.com/ ils ont de gros comptes ex: DELL, intelcia, BNP (juste pour le casanearshore).
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeLun 17 Oct - 20:24

ready a écrit:
Cherokee a écrit:
Un leader marocain du Facility Management est né

Citation :
CDG Développement a conclu un partenariat stratégique avec les sociétés Cegelec Maroc et Vinci Facilities, deux filiales du groupe Vinci, en vue d'une prise de participation de 50% par ces deux entreprises dans le capital de la société Exprom, filiale de CDG Développement spécialisée dans le Facility Management. À travers ce rapprochement stratégique, CDG Développement et Vinci ambitionnent de donner naissance au nouveau leader marocain du Facility Management. «Cet accord, qui devrait permettre à Exprom d'accélérer son développement, en s'adossant au groupe Vinci, premier groupe mondial de concessions et de construction».

l'article complet ici

http://www.lematin.ma/journal/Partenariat-CDG-developpement-vinci-cegelec-maroc_Un-leader-marocain-du-Facility-Management-est-ne/157540.html

Des PME existent déjà et fonctionnent trés trés bien un exemple (à qui j'ai déjà eu a faire) et qui fonctionne très bien : IS2E http://melahfi.e-monsite.com/ ils ont de gros comptes ex: DELL, intelcia, BNP (juste pour le casanearshore).


Ils ont de gros comptes mais pas de site web??? Suspect
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeLun 17 Oct - 23:09

ibnbattuta a écrit:



Ils ont de gros comptes mais pas de site web??? Suspect

Le voila : http://is2emaroc.com/
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMar 18 Oct - 20:07

Citation :
Internet : Le e-Commerce au Maroc croit de 10% en volume de transactions au 3ème Trimestre 2011


192 000 transactions au 3ème Trimestre 2011, une progression de 114% par rapport au même Trimestre 2010.

Le nombre total des transactions effectuées auprès des e-marchands affiliés à Maroc Telecommerce et proposant majoritairement le paiement par CB a atteint plus de 192 000 transactions au 3ème Trimestre 2011. Une progression générale (e-shopping, e-gov, e-tourisme, e-paiement de créances) de 114% par rapport au même Trimestre 2010 et de 10% par rapport au 2ème Trimestre 2011. Cette dernière progression est par contre plus forte dans l’activité e-shopping (27%) et paiement en ligne de créances (16%). La faible évolution dans le secteur e-gov et e-tourisme est liée fortement à la spécificité de la période et c’est une tendance identique aux années précédentes.

Le montant total des transactions a atteint plus de 141 millions de DH au 3ème Trimestre 2011. Une progression générale de 66% par rapport au même Trimestre 2010 et de 4% par rapport au 2ème Trimestre 2011. Cette dernière progression est par contre plus forte dans l’activité e-shopping (41%) et paiement en ligne de créances (14,5%).
La part des secteurs d’activités en nombre de transactions a évolué par rapport au 2ème Trimestre comme suit : Shopping (de 31% à 35%), Paiement de créances (de 40% à 43%), Voyages et événements (de 20% à 17%), e-gov (de 9% à 5%),

Le panier moyen continue sa baisse et s'établit à environ 760 DH pour les paiements par carte bancaire, en baisse de 26% par rapport à 2010 et de 5% par rapport 2ème Trimestre 2011. Cette baisse est justifiée par le développement des transactions portant sur des produits et des services de plus en plus variés et à faible montant.

http://www.lavieeco.com/actualite/le-e-commerce-au-maroc-croit-de-10-en-volume-de-transactions-au-3eme-trimestre-2011-6153.html
Citation :
Formation professionnelle : Une vision 2020 en préparation pour la formation professionnelle

Une étude a été confiée au cabinet Roland Berger. La nouvelle stratégie sera rendue publique en mars 2012. Pour la mise en oeuvre, des contrats programme public-privé seront signés.

Le ministère de l’emploi et de la formation professionnelle prépare «une vision stratégique de développement de la formation professionnelle à l’horizon 2020». C’est à cet effet qu’une étude confiée au cabinet Roland Berger, suite à l’appel d’offres lancé en juin dernier, vient d’être entamée. Selon Mohamed Stassi, vice-président de la commission formation professionnelle à la CGEM, la nouvelle stratégie qui sera divulguée, en principe, en mars 2012, devrait permettre de trouver une articulation entre les différentes politiques industrielles sectorielles initiées par le gouvernement, les politiques publiques de promotion de l’emploi et le système de formation professionnelle. Elle sera par conséquent élaborée de concert avec l’ensemble des intervenants (opérateurs de formation privés et publics, chambres et organismes professionnels, syndicats, ONG, collectivités locales, etc.).
Le travail commencera par un diagnostic basé sur des entretiens avec les responsables du ministère de tutelle, avec 8 commissions départementales de ce ministère ainsi qu’avec une cinquantaine d’autres entités publiques et privées. Des ateliers de travail thématiques seront aussi organisés. Pour cette première étape, le chemin est déjà défriché par les partenaires étrangers, dont la fondation européenne pour la formation (Europeen training fondation-ETF) qui a réalisé, en 2010, un diagnostic du système marocain. Les résultats devaient être présentés ce vendredi 14, à l’occasion d’une rencontre avec la CGEM, en présence d’organismes de coopération internationale en matière de formation.

Des assises de la formation professionnelle sont prévues

En plus du diagnostic, un benchmark avec plusieurs pays modèles en la matière de formation, dont la Suède, la France, l’Allemagne, le Brésil, la Turquie et la Corée du Sud, sera réalisé.
L’étude devrait déboucher sur l’élaboration d’un plan thématique et sectoriel de la formation avec une évaluation des besoins quantitatifs et qualitatifs par secteur, à l’horizon 2020, à la fois au niveau national et régional. Pour la mise en œuvre, des contrats engageant les différents acteurs (Etat,OFPPT, organisations professionnelles, opérateurs publics et privés, etc.) seront signés à l’occasion de la tenue des assises nationales de la formation dont la date reste à déterminer. Ces contrats programme doivent définir les objectifs, les moyens et modalités de financement, les rôles et les responsabilités de chaque acteur concerné. Le pilotage et le suivi de l’étude seront assurés par un comité stratégique élargi composé des représentants de l’administration, de la CGEM, du Conseil supérieur de l’enseignement ainsi que tous les organismes concernés comme l’ANAPEC, le HCP, la CNSS, les syndicats… Un comité de suivi plus restreint sera chargé de l’examen et de la validation des étapes de l’étude.

http://www.lavieeco.com/news/economie/une-vision-2020-en-preparation-pour-la-formation-professionnelle-20478.html
Citation :
Centres d’appels/10 ans après
Le marché pourrait tripler d’ici 2 ans


Un chiffre d’affaires potentiel de 12 milliards de DH

Forte concentration sur l’offshoring francophone (90%)

Carrefour des call-centers et eldorado de la relation client à distance, le Maroc se positionne aujourd’hui comme une destination offshore par excellence. Il y a un peu plus de 10 ans, le pays ne comptait pas de vrais centres d’appels, mais quelques gros standards téléphoniques qui avaient zéro valeur ajoutée. Depuis 2000, de nouvelles structures ont vu le jour et se sont positionnées en spécialistes de la relation client. Pour l’heure, le marché compte plus de 250 opérateurs spécialisés dans le télémarketing et l’outsourcing. Ils sont installés dans différentes régions, mais surtout concentrés sur l’axe Casablanca-Rabat (environ 80% des sites). Le reste est réparti entre Tanger, Fès, Marrakech, Agadir. Parmi les nouveaux entrants, le marché compte désormais avec Téleperformance, une entreprise française spécialisée en relation client à distance. Genpact, leader mondial dans la prestation de services en management de l’entreprise, vient également de s’installer au Maroc. Il y a aussi Solutions 30, leader européen d’assistance à l’utilisation des nouvelles technologies numériques. Ce groupe vient d’ailleurs de confirmer son implantation au Maroc après avoir quitté la Tunisie, suite au printemps arabe. «C’est un segment à la fois mature et dynamique en termes de croissance, de taille, de création d’emplois et dans les métiers de l’offshoring, de Business process outsourcing (BPO) et de backoffice», tient à préciser Youssef Chraïbi, président de l’Association marocaine de la relation client (AMRC). Pour preuve, l’activité a permis la réalisation d’un chiffre d’affaires de plus 4 milliards de DH à l’export en 2010. Ce qui a permis d’assurer une croissance annuelle de l’ordre de 20%, maintenue depuis 3 ans. Ainsi, le chiffre d’affaires est passé de 2 milliards de DH en 2008 à plus de 3,3 milliards en 2009 avant de dépasser les 4 milliards l’an dernier. Côté emploi, «l’activité a contribué à la création de 35.000 postes en 2011 contre 33.000 l’an dernier. En 2010 uniquement, le secteur a généré quelque 6.000 emplois supplémentaires», rappelle Chraïbi. C’est d’ailleurs l’un des rares secteurs qui a maintenu un niveau important d’employabilité et ce, dans une conjoncture difficile marquée par un repli des donneurs d’ordre dans la région. D’autant plus que le marché de l’emploi souffre d’un déficit en termes de ressources qualifiées.
Fort de la dynamique enclenchée, le site Maroc mise sur son expérience de 10 ans et sa proximité à la fois géographique et culturelle pour séduire des donneurs d’ordre. Ainsi, la faiblesse du coût de la main-d’œuvre, les incitations fiscales, les degrés de qualification et la proximité ont joué en faveur de la compétitivité du secteur. La conjoncture européenne est venue confirmer les atouts du site Maroc. Sur ce point, les professionnels sont unanimes. La morosité qui caractérise le marché européen a plutôt plaidé pour des délocalisations et externalisations vers le Maroc.
Pour l’heure, la logique veut que le Maroc soit l’attraction des francophones majoritairement. «Le plus gros de notre activité est concentré sur l’offshore francophone, soit 90%. Les deux principales langues représentées dans le marché de l’export sont le français et l’espagnol, puisque la France et l’Espagne sont les premiers donneurs d’ordre», affirme Hicham Boutaleb, DG d’Access Téléservices. D’où l’effort impératif de diversification vers des marchés anglophones et arabophones. «L’anglophone représente moins de 10% du chiffre d’affaires», précise Boutaleb.
Si le Maroc met l’accent sur le marché francophone, principalement dans le BPO et le CRM, c’est aussi parce que ces segments représentent le potentiels le plus important à l’horizon 2013. La stratégie nationale Maroc Numeric 2013 mise gros sur ce potentiel. Selon une étude réalisée par la direction des études et prévisions financières(DEPF), citant Datamonitor, le chiffre d’affaires potentiel de ce segment est de 12,6 milliards de DH, dont 87% concernent le marché francophone. Quant au nombre d’emplois potentiels du secteur, il est estimé à près de 70.000 postes dont 60.000 sur le marché francophone uniquement.

Concurrence

Le climat favorable à l’expansion de l’externalisation en Europe attire d’autres destinations ciblant le marché francophone et rivalisant ainsi avec le Maroc. Parmi les concurrents redoutables, figure la Roumanie dont le potentiel humain est hautement qualifié et les niveaux de salaires plus bas. Autre concurrent de taille, la Tunisie. Un pays qui profite aussi de la proximité avec l’Europe et dispose de ressources qualifiées, mais les infrastructures sont jugées insuffisantes dans le domaine des télécoms. Le printemps arabe et le manque de visibilité des donneurs d’ordre sur ce pays ont brimé l’élan des implantations dans ce pays. Il y a aussi l’Ile Maurice qui a d’excellentes infrastructures et de ressources de qualité. D’autres pays commencent à émerger sur la carte de l’offshore, tels que l’Algérie, le Sénégal ou encore Madagascar.

http://www.leconomiste.com/article/887904-centres-d-appels10-ans-apresbrle-marche-pourrait-tripler-d-ici-2-ans
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMer 19 Oct - 20:13

Citation :
Balance des paiements : 36 milliards de DH de déficit courant !

Le déficit du compte des transactions courantes au premier semestre s'est aggravé de 53.4% par rapport à 2010. Il est tellement important qu'il a fallu puiser dans les réserves de devises. Une légère amélioration est attendue au troisième trimestre, mais, selon le HCP, le déficit rapporté au PIB passera de 4.1% en 2010 à 4.3% en 2011.

Les finances extérieures du Maroc sont en nette dégradation. Le compte des transactions courantes, soit la partie de la balance des paiements qui reflète le mieux la situation économique d’un pays, a dégagé un déficit de 36,13 milliards de DH au titre du premier semestre 2011. Ce solde est en aggravation de 53,4% par rapport à la même période de 2010. Effet de saisonnalité oblige, il devrait toutefois s’alléger quelque peu au cours du troisième trimestre, grâce notamment aux recettes de voyages et aux transferts des MRE, mais nous n’en sommes pas encore là...

La cause de ce déficit tient au déséquilibre structurel de la balance commerciale :

- 80,2 milliards de DH au premier semestre (-122,6 milliards à fin août). Cela signifie que les exportations de phosphates et dérivés, de câbles et fils électriques, de composants électroniques…ont beau se comporter favorablement, la déferlante des importations, et pas seulement énergétiques, est telle que même les excédents de la balance des services (+ 19,9 milliards de DH) et ceux des transferts courants (+29,8 milliards de DH) sont engloutis ! Et pour être complet, il y a lieu d’ajouter au déficit structurel de la balance commerciale celui des revenus, qui est tout aussi structurel, et en aggravation depuis 2007 : - 5,6 milliards de DH, généré principalement par des transferts de dividendes de plus de 7 milliards de DH et, à un degré moindre, par le paiement des intérêts de la dette extérieure publique (1,4 milliard de DH).

Hausse des transferts de dividendes

Mais alors, peut-on s’interroger, si les exportations de marchandises et de services ainsi que les recettes des MRE ne couvrent pas les importations, comment celles-ci ont-elles été financées ? Par le solde positif dégagé sur le compte des opérations financières. Autrement dit par les investissements directs étrangers, les crédits commerciaux et, surtout, par une ponction sur les avoirs en devises de Bank Al-Maghrib.
En effet, les investissements étrangers directs, avec des rentrées de 9,42 milliards de DH et des désinvestissements de 1,73 milliard de DH, a dégagé un solde positif de 7,7 milliards de DH. Les crédits commerciaux, pour leur part, affichent un solde excédentaire de 5,76 milliards de DH, résultat de crédits accordés aux importateurs marocains par leurs fournisseurs d’un montant de 14,14 milliards de DH, et de crédits consentis par les banques marocaines aux importateurs étrangers de 8,4 milliards de DH. Mais tout cela n’a pas été suffisant, et il a fallu puiser dans les réserves pour ainsi dire «boucler la boucle», pour un montant de 16,5 milliards de DH. C’est la raison pour laquelle, d’ailleurs, les avoirs extérieurs nets n’ont cessé de baisser depuis le début de l’année : -11% par rapport à janvier 2011, à 174,14 milliards de DH à fin juin. Au mois de juillet, ils ont légèrement augmenté à 177,93 milliards de DH, pour reculer de nouveau d’environ 1 milliard de DH au mois d’août (voir graphe). Entre juin 2011 et juin 2010, les avoirs extérieurs ont toutefois augmenté, mais que de 0,7%.
Ces réserves devraient bénéficier de la variation saisonnière pour s’inscrire en hausse au cours du troisième et quatrième trimestre. Mais il reste que la tendance de fond est baissière. En 2008, rappelons-le, les réserves avaient atteint au mois d’août un pic de 221,2 milliards de DH.
Pour l’ensemble de l’exercice 2011, en tout cas, le Haut commissariat au plan (HCP) a prévu une hausse du déficit du compte des transactions courantes, qui devrait passer à 4,3% du PIB au lieu de 4,1% en 2010. La question qui se pose alors est de savoir si ce déficit sera financé par les investissements étrangers (s’ils poursuivent la progression qu’ils ont enregistrée en 2010, avec une recette de 32 milliards de DH, en hausse de 28%), ou bien par le recours aux emprunts extérieurs. A fin août, les recettes (pas le solde) au titre des investissements et prêts privés étrangers se sont élevées à 14,88 milliards de DH, soit une baisse de 8,3% par rapport aux huit premiers mois de 2010. Mais, une fois de plus, rien n’est encore définitif, et d’ici à la fin de l’année, la situation peut se redresser…
Dans tous les cas, il est difficile d’imaginer, dans la configuration politique actuelle (un gouvernement sur le départ, des élections législatives le 25 novembre…) un recours à l’emprunt extérieur pour financer le déficit courant. Si les opérations financières (l’investissement en particulier, mais pas seulement) ne parviennent pas à équilibrer la balance des paiements, c’est évidemment dans les réserves en devises qu’il faudra, encore une fois, puiser le complément. Auquel cas le resserrement des liquidités que l’on observe aujourd’hui sur le marché monétaire pourrait évidemment s’accentuer, les avoirs extérieurs étant une source de création monétaire.

Hypothèse : Sans l'énergie, le déficit commercial serait réduit de moitié

Les exportations de biens se sont globalement bien comportées : +19,1%, à 113,1 milliards de DH, selon les statistiques à fin août établies par l’Office des changes. Si l’on exclut les produits alimentaires, tous les autres groupements de produits ont enregistré des hausses : +31,1% à 35,7 milliards de DH pour les demi-produits (dérivés de phosphates notamment), +12,2% à 26,3 milliards de DH pour les produits finis de consommation (vêtements et bonneterie), +10,8% à 16 milliards pour les produits finis d’équipement (câbles et fils électriques surtout)...
Sauf qu’au même moment, les importations ont-elles aussi explosé : +21,1% à 235,7 milliards de DH. La facture énergétique y a pesé lourd (+40,2% à 60,25 milliards de DH). Ce qui veut dire que sans l’énergie, le déficit commercial serait ramené à 63 milliards au lieu de 122,6 milliards !

http://www.lavieeco.com/news/economie/balance-des-paiements-36-milliards-de-dh-de-deficit-courant--20490.html
Citation :
Maroc : rachant de Promopharm par le Jordanien Hikma

Promopharm, la société pharmaceutique cotée à Casablanca est tombée le 3 octobre dans l’escarcelle du groupe Hikma. Celui-ci signe ainsi sa troisième acquisition au Maghreb en dix-huit mois.

L’annonce a surpris tout le monde : « Nous l’avons appris par la presse », commente Widad Ouardi, analyste financier chez Integra Bourse, au lendemain de l’annonce du rachat de Promopharm par le jordanien Hikma Pharmaceuticals. La neuvième entreprise pharmaceutique du Maroc (3,5 % de part de marché), cotée à la Bourse de Casablanca depuis 2007 (avec une capitalisation de 85 millions d’euros), a cédé le 3 octobre 63,9 % de son capital, pour 83 millions d’euros – soit 20,5 fois les bénéfices 2011 !

Hikma, coté à Londres, New York et Dubaï, a dans la foulée lancé une offre publique sur les 36,1 % restants (22,1 % de flottant, 8 % détenus par le Régime collectif d’allocation de retraite, 6 % par l’assureur RMA Watanya). Le Conseil déontologique des valeurs mobilières doit rendre son avis sur le prix proposé par Hikma dans les quinze jours. Si cet avis est positif, l’opération devrait être bouclée dans les deux mois.

"Une priorité stratégique"

Le groupe jordanien signe là sa troisième acquisition dans la région en dix-huit mois. En mars 2010, il a pris le contrôle de la Société d’industries pharmaceutiques Ibn Al Baytar (Tunisie), en y portant sa participation à 66 %, pour 3,7 millions d’euros. En juin de la même année, il a acheté 50 % d’Al Dar Al Arabia (Algérie), pour 15,2 millions d’euros.

La nouvelle a pris tout le monde de court du fait de la suspension tardive de la cotation de Promopharm, qui n’a eu lieu qu’au lendemain de l’opération, le 4 octobre. « Entrer sur le marché marocain était devenu une priorité stratégique pour Hikma », a expliqué, le 3 octobre, le directeur général et fils du fondateur, Saïd Darwazah, au Financial Times. « Promopharm fabrique un certain nombre de nos produits. Grâce à cette opération, nous allons pouvoir augmenter notre présence au Maroc. »

Avec un marché annuel de 1,3 milliard d’euros – il doit croître de 9 % par an entre 2010 et 2014 – et une législation favorisant le recours aux génériques, le Maroc offre de bonnes perspectives. Fondé en 1947, Promopharm a réalisé en 2010 un chiffre d’affaires de 34 millions d’euros (contre 31,3 millions en 2009).

Tête de pont

Pour Hikma, le royaume sera en outre une tête de pont pour s’étendre en Europe et aux États-Unis (30 % de ses ventes actuelles). D’autant que les révolutions arabes, notamment en Libye – où Hikma réalisait plus de 15 millions d’euros de chiffre d’affaires annuel – et en Tunisie, ont presque divisé par deux les perspectives de croissance du groupe, de 13 % à 7 %. Son cours a chuté de 30 % depuis le début de l’année.

Fondé en 1978 à Amman par Samih Darwazah – il sera plus tard ministre jordanien de l’Énergie –, Hikma vise 750 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2011 (565 millions en 2010, dont 60 % en Afrique du Nord et au Moyen-Orient). Le groupe a été la première entreprise de Jordanie à exporter aux États-Unis, au début des années 1980. Spécialisé dans les génériques, il s’est illustré, en octobre 2010, par le rachat de la branche des produits injectables de l’américain Baxter Healthcare, pour 80 millions d’euros. Cette opération a fait de Hikma le deuxième fournisseur de ces produits aux États-Unis, avec 15 % de part de marché.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2648p072-073.xml0/algerie-maroc-libye-jordaniemaroc-rachat-de-promopharm-par-le-jordanien-hikma.html
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMar 25 Oct - 9:44

Citation :
Aéronautique : 1 MDH d'exportations par personne employée

De 8 milliards de DH actuellement, le chiffre d'affaires à l'export est appelé à doubler dans les 5 ans à venir. Une centaine d'entreprises opèrent dans le secteur.

Casablanca a accueilli du 12 au 14 octobre une mission économique conduite par la firme Boeing en la personne de son vice-président et directeur des approvisionnements, Sran Deal. L’événement coïncidait avec le 10e anniversaire de la joint-venture Matis, entreprise spécialisée dans la production de câblages d’avions dont Boeing est l’un des actionnaires. Son but était d’aboutir à des partenariats entre les fournisseurs de la firme américaine et les entreprises membres du Groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS). Preuve que la filière aéronautique nationale a en peu de temps parcouru beaucoup de chemin, elle compte aujourd’hui une centaine d’entreprises alors qu’elle est tout à fait récente puisque la première joint-venture (Matis), située sur la plateforme de Nouaceur date d’octobre 2001.

Le secteur emploie plus de 8 000 personnes

Il apparaît ainsi d’après tous les intervenants dont le ministre du commerce, de l’industrie et des nouvelles technologies, Ahmed Chami, le président du GIMAS, Hamid Benbrahim El Andaloussi, et le représentant de Boeing que la filière aéronautique au Maroc se présente comme la chaîne de distribution la plus compétitive de la région, grâce notamment aux investissements dans cette activité dans le cadre du Pacte national pour l’émergence industrielle, initié en 2009, et surtout à la qualité de ses ressources humaines, illustrée par l’ouverture toute récente de l’Institut des métiers de l’aéronautique (IMA). Cet institut compte former plus de 300 techniciens pour répondre aux besoins des entreprises en termes de qualité et de sécurité.
Le Maroc profite aussi aujourd’hui d’une conjoncture favorable à l’aviation civile et de la proximité de ses marchés. Le secteur connaît une croissance accélérée de l’ordre de 25% annuellement et emploie plus de 8 000 personnes. Il a réalisé un chiffre d’affaires à l’export d’un milliard de dollars (8 milliards de DH), et ce chiffre est appelé à doubler dans les cinq prochaines années. La productivité moyenne est fort élevée : 1 MDH d’exportations pour chaque salarié du secteur.

http://www.lavieeco.com/news/economie/aeronautique-1-mdh-d-exportations-par-personne-employee-20521.html
Citation :
Commerce extérieur : 120 MDH pour créer 55 consortiums d'exportation

Une convention est signée entre le Commerce extérieur, les Finances, Maroc Export et la CGEM. Le programme comprend un volet financier et un volet accompagnement.

L’Etat veut donner un nouvel élan aux consortiums d’exportation. Encouragé par les résultats obtenus entre 2003-2010, le ministère du commerce extérieur, conjointement avec les ministères de l’économie et des finances et Maroc export, a mis en place un nouveau programme d’appui sur la période 2011-2015 doté d’un budget de 120 MDH en faveur de ces structures.
Pour passer à l’exécution de ce programme, inscrit dans le cadre de «Maroc export plus» ou stratégie nationale de promotion des exportations, ces trois parties et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) ont conclu, vendredi 30 septembre, une convention de partenariat. D’autres protocoles relatifs à l’attribution du soutien de l’Etat seront signés entre le ministère du commerce extérieur, Maroc export et les consortiums d’exportation qui en bénéficieront. La gestion du programme sera assurée par des instances spécifiques et une cellule dépendant du ministère du commerce extérieur
Le dispositif comprend deux volets. Le premier est un soutien financier destiné aux projets de développement et de consolidation des consortiums. Le montant est plafonné à 1,5 MDH par consortium contre 700 000 DH fixés pour la période 2003-2010. Ces ressources permettront de couvrir le budget de la promotion à l’international et les dépenses de développement.

21 consortiums opérationnels actuellement

Le second volet du programme consiste en un accompagnement personnalisé donnant la possibilité aux consortiums de procéder à la définition d’une stratégie de développement à l’international, de promotion et de commercialisation. Ce soutien vise également le développement des compétences du consortium, de même que le renforcement de sa performance opérationnelle. Le but de toutes ces actions est de faciliter le regroupement des offres complémentaires ou similaires, l’agrégation de la petite et moyenne offre et le développement de synergies commerciales au profit des petits et moyens exportateurs.
Concrètement, l’objectif du ministère du commerce extérieur est d’arriver à la création et la consolidation de 55 consortiums à l’horizon 2015. Aujourd’hui, on en compte 21 qui sont opérationnels, regroupant 120 entreprises exportatrices et employant 18 000 collaborateurs. Ces consortiums sont implantés dans dix villes (Casablanca, Rabat, Fès, Essaouira, Taroudant, Agadir, Mohammédia, Tanger, Tiznit et Méknès), et opèrent dans les secteurs du textile-habillement, électricité, mécatronique, tourisme, matériaux de construction, communication, agroalimentaire et cuir. Le textile arrive en tête avec huit consortiums. Il est d’ailleurs le premier secteur à avoir opté pour ce type d’organisation. Cette industrie est suivie de l’agroalimentaire avec sept consortiums essentiellement situés dans le Sud. Ils ne sont pas nombreux à vouloir parler de leurs performances et de leurs réalisations, cependant les consortiums qui ont accepté de le faire reconnaissent que le regroupement a permis une amélioration de leurs exportations. C’est le cas d’Atéliance, consortium de huit entreprises textile implantées à Salé, créé en janvier 2008. Depuis, ses exportations ont crû de 10%, et cette hausse aurait pu être plus importante n’était-ce la mauvaise conjoncture sur les marchés européens. Pour les membres d’un autre consortium textile, dont les responsables préfèrent s’exprimer sous l’anonymat, le regroupement leur a permis une hausse de 15% des exportations.
La progression sera plus importante en 2011 dans la mesure où le groupement a pu décrocher des contrats sur le marché américain. Ces résultats sont à peu près en phase avec les objectifs annoncés au moment du démarrage. Sur la base des études et expertises réalisées à l’époque, les opérateurs espéraient une croissance de 20%. Dans le secteur de l’agroalimentaire, les consortiums existants dans la biscuiterie, confiserie, chocolaterie et l’exportation d’huile d’olive soulignent également que l’impact sur leur activité est important. Aucun chiffre précis n’est avancé, mais l’on assure que le regroupement a donné ses fruits sur le plan du marketing. Les consortiums ont pu prospecter de nouveaux marchés à Dubaï, en Afrique et aux USA. L’objectif de ces prises de contacts est de pouvoir positionner les produits marocains sur ces marchés qui les connaissent encore trop peu.

http://www.lavieeco.com/news/economie/commerce-exterieur-120-mdh-pour-creer-55-consortiums-d-exportation-20530.html
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yassine1985
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMer 26 Oct - 12:41

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Grèves/TangerMed Premiers dégâts collatéraux

Sa perdure ... de quoi réveiller les autorités du port
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Ichkirne
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeMer 26 Oct - 20:03

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Maroc, innovation dans la création d’entreprises

Outre la facilitation de la création d’entreprises, à travers son Guichet unique, le Centre régional d’investissement de Casablanca (CRI) a lancé, mardi 25 octobre 2011, en collaboration avec un ensemble de partenaires, le Pack Bidayati pour accompagner la phase de démarrage des PME, des TPE et autres start-up.

Le CRI de Casablanca innove une fois de plus. Avec le pack Bidayati, il va au-delà de la facilitation de l’acte d’investir. En effet, avec un tel pack, les débours, généralement assez conséquents, en phase de démarrage, peuvent être réduits jusqu’à 25 700 dh. Pour ce faire, Hamid Ben Elafdil, directeur général du CRI de Casablanca, entouré de représentants d’organismes partenaires dans cette opération, a, en marge de la cérémonie de signature de la convention, mardi 25 octobre à Casablanca, soutenu que l’institution qu’il dirige entend ainsi soutenir l’entreprise dans sa phase de démarrage. Il s’agit d’un ensemble d’offres pour satisfaire aux besoins de la petite entreprise, pendant sa phase de lancement.

Pour bénéficier des différentes offres, services et solutions émanant d’Attijariwafa bank, Kitea, Maroc Télécom, Microchoix ou encore RMA Watanya, le créateur d’une nouvelle entreprise peut s’inscrire sur le site www.casainvest.ma. Un SMS (un message court sur son mobile) l’informera pour retirer sa carte signifiant son adhésion au Pack Bidayati. Destiné à toutes les petites entreprises nouvellement créées, le pack est surtout orienté Jeunes. D’ailleurs, une page Facebook « Pack Bidayati est déjà opérationnel sur ce réseau social pour expliquer son fonctionnement et donner des conseils aux jeunes entrepreneurs.

Tour à tour, les différents partenaires qui accompagnent cette démarche, pour le moins inédite, on saluer cette initiative. Saïd Raki, directeur du développement du marché de l’entreprise à Attijariwafa bank (AWB), a avoué que son groupe a tout de suite été séduit par cette opération. Ainsi, il a souligné qu’au-delà de l’ouverture d’un compte, AWB s’attèlera à orienter vers son réseau de centres d’affaires disséminés à travers une quinzaine d’agences dans Casablanca, mais mettra aux détenteurs de la carte d’un pack adapté, moyennant 4 formules à partir de 22 dh. A cela s’ajoute un cadeau de bienvenue, notamment la gratuité des frais de souscription aux 3 premiers mois du pack Rasmali (pour les TPE) ou du pack PME, l’exonération totale des frais du dossier de crédit (environ 2600 dh), et une réponse express aux demandes de crédit. En ces temps de frilosité de certaines banques, qui dit mieux ? En tout, les avantages accordés par ce groupe peuvent monter jusqu’à 10000 dh, a-t-il indiqué.

Même son de cloche du côté de Kitéa, où Pierre Jalin, directeur général de Kitéa, trouve que cette bonne idée est en train de devenir une belle innovation. Justement Kitéa, qui met en place une cellule de coordination, propose dans ce cadre plusieurs formules, notamment une offre de produits de mobiliers de bureaux adaptée aux budgets des entreprises, des avantages sous forme de réduction de 10% sur l’ensemble des achats, des bons d’achats offerts à partir d’un certain volume, un accompagnement dans l’agencement des bureaux, un service après vente, et le montage des meubles, ainsi que des formules de paiement adaptés.

Un accompagnement conséquent

Les représentants de Maroc Telecom et de Microchoix, qui ont salué une telle initiative, qualifiée de grande taille, font des offres allant dans le sens de la réduction des frais de démarrage. L’opérateur télécoms n°1 au Maroc offre des abonnements dédiés, des frais d’accès gratuits, des subventions importantes sur tous les services, … tandis que les bundles de Microchoix, qui met en place une cellule dédiée, donneront aux clients l’embarras du choix.

Enfin Yacine Lahlou, directeur général adjoint du département développement à la RMA Watanya, a rappelé les nombreux avantages de ce pack Bidayati, qui arrive à point nommé. Cette compagnie met à la disposition des détenteurs de la carte, un service privilégié (devis standard instantané, cotation de risque en 24 h, règlement express des sinistres automobiles ou autres, respectivement en 24 h et en 5 jours ouvrables), une tarification préférentielle (Multirisque avec des rabais jusqu’à 50%, et pour les accidents du travail et l’assurance maladie complémentaire des rabais jusqu’à 20%), a-t-il précisé.

Gageons que la démarche du CRI, qui couvre le grand Casablanca, donc jusqu’à Mohammédia, va faire tache d’huile, tant les entreprises nouvellement formées ont besoin de tels ballons d’oxygène pour leur pérennité. Il reste que le taux de faillite reste important dans cette population de PME et TPE. Pour pallier à des montagnes de créances en souffrance, il convient que le dispositif législatif actuel réduise le coût de sortie de celles qui ont pris la peine de procéder à leur radiation au Tribunal de Commerce.

http://www.lesafriques.com/actualite/maroc-innovation-dans-la-creation-d-entreprises.html?Itemid=89?articleid=30109
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeJeu 27 Oct - 9:59

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Millenium challenge account : 3.5 milliards de DH engagés à fin juillet

Le niveau de réalisation est plus élevé dans l'agriculture. Plus de 27 000 artisans ont bénéficié d'une formation technique.

Il reste un peu moins de deux ans avant l’expiration du délai imparti pour l’utilisation des 700 millions de dollars (5,6 milliards de DH) accordés par les Etats-Unis au Maroc dans le cadre du Millenium challenge account (MCA), dans des projets à caractère économique et social. Et il faut dire qu’il reste encore beaucoup à faire. D’après les chiffres arrêtés à fin juillet dernier de l’Agence du partenariat pour le progrès (APP), institution mise en place pour la gestion du programme, les projets validés portent sur un total de 440 millions de dollars (environ 3,5 milliards de DH), soit 62% de l’enveloppe globale. Quant aux décaissements, ils ont totalisé 190 millions dollars.
C’est dans le domaine de l’agriculture et de la pêche artisanale où les projets avancent plus vite. Dans l’arboriculture fruitière, les travaux de plantation d’oliviers et d’amandiers en zones pluviales ont porté sur 41 000 hectares sur les 61 000 ha programmés. Dans la filière de l’olivier et du palmier dattier en zones de petites et moyennes hydrauliques (PMH) et oasis, 31 200 ha d’oliviers sont plantés à fin juillet sur les 34 500 ha engagés, alors que l’intensification du palmier dattier en oasis a porté sur 19 000 ha. Ces projets ont été consolidés par le financement d’unités de trituration d’olives qui visent la valorisation des périmètres récemment plantés à travers le projet arboriculture fruitière. Celui-ci figure parmi les six axes d’intervention du MCA. Il cible la plantation d’une superficie globale de 120 000 ha dont 100 000 ha d’oliviers, 15 000 ha d’amandiers et 5 000 ha de figuiers. Sont ciblées 229 communes rurales réparties sur 19 provinces. Le nombre total des bénéficiaires est estimé à 63 000 personnes.

Une stratégie de communication pour les micro-entreprises du tourisme

Pour la pêche artisanale, deuxième axe du MCA, la réalisation de la tranche pilote consistant en la construction du point de débarquement aménagé (PDA) de Tifnit, d’infrastructures dans le port de Tan-Tan et du marché de gros de Béni-Mellal semble également bien avancée. Toutefois, les travaux sur les sites du port de Sidi-Ifni, des marchés de gros de Meknès et Marrakech, des PDA de Bhibeh, Sidi Abed et Tafedna ne sont pas encore engagés. L’APP vient de finaliser les contrats et s’apprêtent à les soumettre pour signature. Quant au projet de réorganisation des marchés ambulants d’Oujda et Meknès, on est à la phase de recensement des bénéficiaires. Pour le moment, 200 personnes sont identifiées.
Le coût global des projets prévus dans ce secteur est de 476 MDH dont 446 MDH qui seront financés par l’agence, le reste devant être réglé par l’Etat. La mise en œuvre des projets de l’artisanat et de la médina de Fès progresse plus lentement. Après la sélection d’un cabinet d’architecture et la réinstallation des populations concernées, les travaux de construction du fondouk de Aïn Nokbi viennent d’être entamés. Les plans architecturaux de quatre autres anciens hôtels sont en cours de réalisation et les chantiers seront ouverts en décembre prochain, selon des sources proches de APP.
Une stratégie de communication pour la promotion de cette activité et du label national ainsi que des circuits touristiques de ces médinas sera aussi lancée en décembre prochain en faveur des mono-artisans et PME opérant dans le domaine touristique.
Ce volet artisanat et médina de Fès est doté d’un budget de 57,8 millions de dollars. A fin juillet, 27 250 personnes ont bénéficié de la formation technique, 320 alphabétiseurs dans les secteurs de l’artisanat, l’agriculture et la pêche ont été formés et 130 salles de cours équipées. Il s’y ajoute 1 500 artisans qui suivent actuellement des formations en tissage traditionnel, sculpture du fer et tannerie, souligne l’APP.
Pour le secteur financier, précisément le micro-crédit, autre axe du programme doté d’un budget de 46,2 millions de dollars, l’APP poursuit le renforcement de la trésorerie des associations spécialisées. A cet égard, le fonds Jaïda a reçu un versement de 19 millions de dollars sur les 25 millions dollars relevant du prêt subordonné signé en juin 2009 et visant à faciliter le financement des institutions de micro-crédit.
S’agissant du soutien à l’entreprise et à l’esprit d’entreprenariat, 452 sessions de formation ont été organisées au profit des cadres des Chambres de commerce et de l’industrie, de l’ANPME et de l’INDH. De même, des équipements informatiques ont été fournis à 85 guichets de Moukawalati et à 76 organes de l’INDH.

http://www.lavieeco.com/news/economie/millenium-challenge-account-3.5-milliards-de-dh-engages-a-fin-juillet-20542.html
Citation :
Dubai Exports forges trade ties with Maroc Export

Dubai, Oct 27th, 2011 (WAM) -- Dubai Exports – an agency of the Department of Economic Development (DED), and the Moroccan Centre for Export Promotion (Maroc Export) have signed a Memorandum of Understanding (MoU).

The MoU was signed by Mohammed Ali Al Kamali, Director of Export Markets Development at Dubai Exports, and Saad Eddine Benabdallah, Managing Director of Maroc Export in the presence of Abdelatif Mazouz, Minister of Foreign Trade of Morocco. And aimed at enhancing bilateral trade and explore new exports opportunities for companies in the two countries.

Economic and trade relations between the two countries have seen significant development since 2008, with major UAE exports to Morocco include petrochemicals, metals, foodstuff products, transport equipment, tools and appliances. Investment in Morocco offers huge opportunities to the UAE such as access to European markets, skilled low-cost labour force, and stable macro economy, says a press statement.

The strategic partnership between Dubai Exports and Maroc Exports will promote bilateral trade as well as develop future cooperation towards utilising Dubai and Morocco as gateways to Europe, Africa and the Middle East. Dubai Exports aims that through this partnership, UAE and Moroccan companies can increase their exports in various key sectors, the statement added.

According to Dubai Exports, Dubai’s direct exports to Morocco have grown at 19% for the period of 2009 to 2010 and are expected to increase to more than 30% towards the end of the year based on the first half of 2011. Dubai’s total direct export to Morocco amounted to AED448 million in 2010, while the total Free Zone exports were valued at AED273.66 million.

Among last year’s top products of Dubai’s Direct Export to Morocco were oil & fats; preparations of meat; cereal preparations; plastics; printed books; ceramics; and aluminium & articles thereof. Dubai’s Direct Export of plastics to Morocco was valued at AED130.75 million while aluminium & articles thereof amounted to AED60.84 million.

http://www.zawya.com/story.cfm/sidWAM20111027095018500
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeVen 28 Oct - 13:18

Citation :
Perspectives économiques prévues par le FMI
Une croissance de 4,6% en 2011 et 2012
Spoiler:


Citation :
Le Maroc se dote d'un nouveau dispositif d'assurance-crédit export
Spoiler:
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeVen 28 Oct - 14:15

Israel commencera à produire de l'huile d'argan d'ici 5 ans !

http://www.greenprophet.com/2011/10/argan-oil-expert-estimates-about-20000-trees-in-israel/
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeVen 28 Oct - 14:30

atlasonline a écrit:
Israel commencera à produire de l'huile d'argan d'ici 5 ans !

http://www.greenprophet.com/2011/10/argan-oil-expert-estimates-about-20000-trees-in-israel/

Good for them.

Durant les milliers d'annees que l'Arganier est au Maroc est on est meme pas capable de le proteger comme il faut et d'en faire une industrie nationale telle les phosphates.

Tant pis pour nous. Encore une fois.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitimeVen 28 Oct - 14:40

Aussi,nous ne pouvons pas nier que la production et exportation d'huile d'argan au Maroc est en développement continu Very Happy
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 28 Icon_minitime

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