Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
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| Économie marocaine | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Sam 19 Fév 2011 - 3:48 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- La Chine devient le 3e partenaire commercial du Maroc
2011-02-14 08:28:06 xinhua Malgré les effets de la crise financière mondiale, la coopération maroco-chinoise mutuellement bénéfique s'est élargie, à l'occasion de la visite de travail effectuée, les 13 et 14 février au Maroc, par le ministre chinois du Commerce, M. Chen Deming.
Selon un communiqué du ministère marocain du Commerce extérieur, cette visite de deux jours est l'occasion pour les deux pays de poursuivre les discussions qu'ils ont engagées au cours de leur rencontre à Pékin en octobre 2009, afin de renforcer les échanges commerciaux et le partenariat.
Au cours de cette visite, des conventions vont être signées en vue de promouvoir le commerce et l'investissement entre le Maroc et la Chine, précise la même source.
Les relations commerciales maroco-chinoises sont régies par l'accord commercial et économique du 28 mars 1995. La Chine devient le 3e partenaire commercial du Royaume en 2010, après la France et l'Espagne, avec des échanges de 26,8 milliards de dirhams (MMDH), soit 6% des échanges de marchandises réalisés par le Maroc avec l'étranger, relève le communiqué.
Selon l'Office des changes, les exportations de la Chine vers le Maroc ont enregistré, au cours des cinq dernières années, une progression soutenue, passant de 11MMDH en 2006 à plus de 20 MMDH en 2009. Les exportations de la Chine vers le Maroc comprennent l' électroménager, le textile, les articles de haute technologie, le thé, le café, le fer, le plastique..La Chine importe du Maroc des pièces détachées, des engrais chimiques, des articles de cuivre, des produits aquatiques, l'uranium, des agrumes et des fruits secs.
Aussi, la coopération bilatérale dans les secteurs de la pêche maritime, des télécommunications et des infrastructures connaît-elle une évolution très positive. Les investissements chinois réels au Maroc ont atteint 170 millions de dollars. Aujourd'hui, plusieurs entreprises chinoises oeuvrent à étendre leur présence au Maroc sans oublier les experts agronomes envoyés par Pékin pour la mise en oeuvre du programme de coopération agricole avec le Maroc.
Les deux pays tentent de développer les relations bilatérales dans le domaine de la culture du riz, de l'irrigation, de la mécanisation agricole et du dessalement de l'eau. L'industrie automobile chinoise est très présente au Maroc. Des véhicules chinois y sont introduits: des camions, des camionnettes et des voitures. Cette initiative est appréciée par le consommateur marocain. Le coût est moins élevé et la qualité est assurée. Les articles chinois sont toujours compétitifs car moins chers.
Par ailleurs, le nombre de touristes chinois ayant visité le Maroc en 2009, s'est établi à 4660. Selon l'Office national marocain du Tourisme (ONMT), à l'horizon 2020, le potentiel de touristes chinois, susceptibles d'être approchés par la destination Maroc pourrait se situer entre 2,5 et 3,1 millions.
La Chine est aujourd'hui la 4e destination la plus prisée des touristes étrangers, dont le nombre a augmenté ces dix dernières années, passant de 8 à 48 millions annuellement.
http://french.cri.cn/621/2011/02/14/301s238152.htm |
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Auteur | Message |
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atlasonline Colonel-Major
messages : 2010 Inscrit le : 22/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 11 Déc 2011 - 12:56 | |
| Les khalijis ont du flère, les responsable d'une banque qatarite dite islamique viennent de rencontrer M Benkirane pour parler d'un projet de banque et assurance islamiques au Maroc. On parle d'une banque possédée de 51% par des citoyens marocains et 49% par les qataris. - Citation :
QIIB leads plan for Morocco Islamic bank, insurance firm http://www.gulf-times.com/site/topics/article.asp?cu_no=2&item_no=475236&version=1&template_id=48&parent_id=28
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Dim 11 Déc 2011 - 23:58 | |
| Il existe des banques islamiques au Maroc? |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 0:06 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 0:15 | |
| - FAMAS a écrit:
- non pas encore
Bizarre, même en Turquie, les banques islamiques existent depuis plus de 20-30 ans. - Kuveyt-Türk - AlBaraka Türk - Bank Asya - Türkiye Finans Pourquoi ce retard? Le monopole des banques d'Occident? |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 0:37 | |
| Pas de banque islamique mais des produits islamiques (mourabaha ...) proposes par plusieurs banques.
_________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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| | | BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 3:09 | |
| Les banques au Maroc sont régies avec certaines obligations relatives à la religion. intérêts, versements, épargne, impôt... _________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
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| | | yaacov 2eme classe
messages : 37 Inscrit le : 17/01/2011 Localisation : Somewhere... Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 4:49 | |
| - docleo a écrit:
- Pas de banque islamique mais des produits islamiques (mourabaha ...) proposes par plusieurs banques.
Si on peut considérer Dar Assafaa du groupe Attijari Wafabank comme une banque alternatif (islamique) au Maroc http://www.darassafaa.com - Citation :
- Attijari Wafabank lance une première banque islamique!
LUNDI, 12 AVRIL 2010 20:58 Dans les prochaines semaines, Attijari Wafabank, l’une des plus puissantes structures bancaires au Maroc, lancera sa nouvelle banque islamique après 20 ans d’attente et de bataille avec la « Bank Al Maghrib ». Au début des années 90 le wali de la fameuse structure a refusé toutes commercialisation de produits financiers islamiques.
Le Maroc est l’un des rares pays arabe ou les banques islamiques ne font pas partie de la toile bancaire. Ce marché est tellement gigantesque qu'il représente plus de 15% de progression annuelle et un chiffre d’affaire de plus de 1000 milliards de dollars (chiffres 2010).
Depuis Octobre 2007, « Bank Al Maghrib » a autorisé aux banques de commercialiser quelques produits financiers islamiques comme première expérience tout en appliquant sur celles-ci les mêmes législations de tarifications au niveau des taxes et des impôts. L’expérience a été concluante et a même incité les responsables à signer leur accord pour ouvrir une structure bancaire islamique.
Nous soulignons que plus de 30% des marocains ne souhaitent pas adhérer à des banques traditionnelles pour cause qu’elles utilisent le « Riba ».
YB-Yawatani.com Il y a aussi la BID ( Banque Islamique de Développement) sis à Avenue John Kennedy, Souissi Rabat mais c'est uniquement our les institutions et organisations régionales et internationales ( pas de particuliers ni de pro) - Citation :
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 5:08 | |
| les banques islamiques ont été longtemps bloquées au maroc pourquoi pour la simple raison est que nos cheres banques nationales n'aiment pas la concurrence elles savent que si on encourage les banques islamiques a venir chez elles vont perdre une partie de leur clientele et risquent de faire baisser leur taux pour faire face a cette nouvelle concurrence.et comme toujours rien ne doit etre hors de controle pour les pontes de l'economie c'est eux qui offrent ces produits islamiques (selon leurs conditions biensur). |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 6:17 | |
| Oui, c'est ça l'économie de monopole et de rente ! Et c'est là que l'on attend Benkirane, il a dit qu'il allait lutter contre ça... à titre d'exemple marjane détient le monopole de la grande distribution, ou encore les grands et petits taxis on ne doit pas entrer en concurrence contre eux sous peine de représailles : - Citation :
- Une desserte bus pour l’aéroport de Rabat
La wilaya et la société Stareo, chargée de la gestion, ont décidé l’ouverture d’une nouvelle ligne de bus desservant l’aéroport de Rabat à partir du centre de la ville, précisément près de la gare ferroviaire de Rabat-ville. Le tarif est fixé à 20 DH. Un prix largement en deçà de celui pratiqué par les grands taxis qui dépasse les 100 DH. Ce qui explique le mécontentement du syndicat des chauffeurs des taxis contre cette desserte prévue dont la mise en service se fera dans les prochains jours. |
| | | Extreme28 Aspirant
messages : 580 Inscrit le : 01/04/2008 Localisation : MAROC Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 6:32 | |
| - vympel27 a écrit:
- les banques islamiques ont été longtemps bloquées au maroc pourquoi pour la simple raison est que nos cheres banques nationales n'aiment pas la concurrence elles savent que si on encourage les banques islamiques a venir chez elles vont perdre une partie de leur clientele et risquent de faire baisser leur taux pour faire face a cette nouvelle concurrence.et comme toujours rien ne doit etre hors de controle pour les pontes de l'economie c'est eux qui offrent ces produits islamiques (selon leurs conditions biensur).
Les banques qu'on qualifie d'islamiques ne le sont pas tout à fait @Vymple. A part les deux produits ALmoudaraba et Almousharaka que proposent rarement ses banques, le reste relève de la supercherie. Il suffit de faire une petit opération mathématique en actualisant les prix de revente (produit"almourabaha") et du prix de loyer (produit"alijara") pour se rendre compte que le taux de capitalisation dépasse largement le taux d'intérêt pratiqué par les banques conventionnelles. Finalement les banques islamique n'ont fait que contourné les disposition relative à l'interdiction des interêts en proposant des produits bien plus cher que ceux proposés par les banques conventionnelles. _________________ Forces Armées Royales Puissance et Élégance وَكَانَ حَقّاً عَلَيْنَا نَصْرُ الْمُؤْمِنِينَ أوآكم الله ، حفظكم الله ، نصركم الله ، ثبتكم الله ، أيدكم الله | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 6:57 | |
| pour qu'une banque soit considerée Islamique, il faut déjà que son capital soit "HALAL" on l'appel "assel al mal" ce qui ne peut être vérifié pour les filiales de produits alternatifs marocaines... | |
| | | yaacov 2eme classe
messages : 37 Inscrit le : 17/01/2011 Localisation : Somewhere... Nationalité :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 7:00 | |
| - FAMAS a écrit:
- pour qu'une banque soit considerée Islamique, il faut déjà que son capital soit "HALAL" on l'appel "assel al mal" ce qui ne peut être vérifié pour les filiales de produits alternatifs marocaines...
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 7:17 | |
| je ne crois pas que ca soit la seule raison.je vous propose de lire cet article pour comprendre pourquoi ca ne marche pas au maroc. http://www.bigbrother.ma/2009/11/finance-islamique-au-maroc.html |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 7:49 | |
| - Citation :
- 40 milliards de DH pour transférer l'eau du Nord au Sud du Maroc
40 milliards de DH pour transférer l'eau du Nord au Sud du Maroc
845 millions de m3 seront transférés annuellement des bassins du Nord. Les principaux bénéficiaires sont Tadla, Doukkala, El Haouz et Tensift. Le coût de l'eau transférée sera élevé : entre 2.5 à 4 DH le m3 contre un maximum de 0.70 DH pour l'eau exploitée actuellement.
Après les autoroutes, le méga port de Tanger Med, le TGV, un autre chantier non moins gigantesque pourrait être lancé au cours des deux ans à venir. Il s’agit du transfert des eaux du Nord vers le Sud du pays, un projet colossal et d’une extrême importance. Colossal parce que le coût de réalisation est estimé à 40 milliards de DH, soit l’équivalent de quatre autoroutes Tanger-Casablanca et plus que ce que coûterait le TGV reliant les deux villes (33 milliards de DH). L’importance du projet réside, elle, dans le fait qu’il permettrait de faire face à un déficit non négligeable des ressources hydrauliques dans certaines régions et surtout de mieux exploiter cette matière vitale de plus en plus rare. L’idée de ce grand chantier trottait dans la tête des responsables marocains chargés des questions de l’eau et de l’agriculture depuis les années 90. «Nous avons commencé à y réfléchir sérieusement depuis 2004. Les études préliminaires ont été engagées et c’est en 2009 qu’il a été entériné et intégré dans la stratégie nationale de l’eau», rappelle un cadre du Secrétariat d’Etat chargé de l’eau. Aujourd’hui, les contours du projet se précisent. Il s’agit en fait de procéder à un transfert des excédents d’eau qui se perdent en mer des bassins de l’Oued Laou, Loukkos et Sebou vers les bassins du Bouregreg, de l’Oum Rbia et du Tensift. Selon le secrétariat d’Etat à l’eau et à l’environnement, les précipitations au Maroc connaissent des variations très importantes d’une région à l’autre en allant du Nord vers le Sud et de l’Ouest vers l’Est. En effet, les précipitations atteignent près de 2 000 mm par an dans les zones les plus arrosées au Nord et descendent en deçà de 100 mm dans les zones arides du sud du pays. Ainsi, le taux des apports en eau naturelle par habitant varie de 370 m3/hab/an dans les bassins pauvres en ressources en eau (Sahara, Sud de l’Atlas et Souss-Massa groupés) à 1 100 m3/hab/an en moyenne pour les bassins du Loukkos, du Tangérois et des Côtiers méditerranéens réunis. Les deux bassins du Sebou et de l’Oum Er Rbia concentrent près de 50% des ressources en eau du pays. De surcroît, les principales agglomérations et activités économiques sont localisées essentiellement dans la région du Centre-Ouest qui n’est pas suffisamment riche en eau. Avec le projet de transfert, ce sont principalement les régions de Tadla, Doukkala, El Haouz et Tensift qui bénéficieraient de ces excédents inutilisés. Et pour cause, ces régions du centre, qui abritent de grandes agglomérations et activités économiques, con- naissent un déficit de ressources hydriques considérable (voir encadré).
Un adducteur de 500 km reliera l’Oued Laou au barrage Al Massira
Il est estimé, selon des sources proches du secrétariat d’Etat, à «40% par rapport aux capacités que doivent normalement contenir leurs bassins». Une partie des eaux exploitées dans le cadre de ce programme sera également destinée à la ville de Marrakech qui souffre d’une pénurie notable. Elle servira aussi bien à la consommation de l’eau potable pour la population de cette ville qu’à l’activité touristique (golfique notamment). Par le biais de ce méga projet, on compte transférer annuellement, du Nord vers le Centre, un excédent estimé à 845 millions de m3. Le bassin de Sebou offre un potentiel important d’excédent évalué à 475 millions de m3 suivi de celui de Oued Laou avec 313 millions de m3. A l’inverse, l’Oum Rbia sera le grand bénéficiaire de ce transfert avec une capacité transférable estimée à 440 millions de m3. Chaouia recevra 210 millions de m3, Tensift 100 millions et El Haouz 50 millions. Pour réaliser ce grand chantier, initié conjointement par le ministère de l’agriculture et le secrétariat d’Etat à l’eau et à l’environnement, il est prévu de réaliser sur environ 500 km, de l’Oued Laou au Nord jusqu’au barrage Al Massira au sud, un adducteur constitué d’une série de canaux, conduites, galeries et stations de pompage dimensionnés pour faire transiter un débit maximal de 45 m3 par seconde. D’où la complexité du projet et «son coût très élevé, d’autant que l’interconnexion des systèmes hydrauliques nécessite une gestion rigoureuse de la régulation interannuelle et un fonctionnement très coûteux», souligne Ali Moulid, directeur de l’irrigation et de l’aménagement de l’espace agricole au ministère de l’agriculture. Des études d’utilité, de rentabilité et d’impact socio-économique sont en cours de réalisation, car le coût de l’eau transférée sera élevé. Selon les estimations des spécialistes, il pourrait osciller entre 2,5 et 4 DH le m3 contre un maximum de 0,70 DH le m3 pour l’eau exploitée actuellement selon les techniques ordinaires. «Il est nécessaire donc de savoir à quelle utilisation, à quelle culture et à quel marché elle sera destinée, comme il est important d’étudier en parallèle les possibilités réelles des usagers et les modes d’exploitation et de gestion qui seront adoptés soit par l’Etat, soit par le privé, soit à travers un partenariat public-privé…», explique M. Moulid. La réponse à toutes ces questions ainsi que l’avis du Conseil supérieur de l’eau et du climat seront ainsi décisifs pour la réalisation de ce grand projet.
Disponibilités : Un potentiel mobilisable de 21 milliards de m3 par an
Le potentiel hydraulique mobilisable du Maroc est estimé à 21 milliards de m3 (16 milliards de m3 d’eaux de surface et 5 d’eaux souterraines). Les changements climatiques et la croissance soutenue de la demande en eau ont contribué au déficit de cette ressource. La courbe de la mobilisation des eaux va pratiquement plafonner dès 2013, alors que la population continue d’augmenter. Per capita, la ressource en eau continue à diminuer. De 1990 à 2000, les ressources en m3 par habitant et par an ont baissé de 1 200 à 950 et d’ici 2020, elles ne seront plus que de 632 m3/h/an, lorsque la demande en eau aura atteint le plafond des 20 à 21 km3 d’eaux mobilisables. Selon les spécialistes, et au rythme auquel évoluent les choses, le pays descendra au seuil de pénurie de 500 m3/h/an vers 2030, déjà atteint par ses voisins maghrébins.
Hakim Challot. La Vie éco |
| | | marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 8:43 | |
| - vympel27 a écrit:
- je ne crois pas que ca soit la seule raison.je vous propose de lire cet article pour comprendre pourquoi ca ne marche pas au maroc.
http://www.bigbrother.ma/2009/11/finance-islamique-au-maroc.html article pas sérieux du tout .. et comme toujours, on retrouve la fameuse "théorie du "complot" pour tout expliquer | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 8:48 | |
| que ca soit une theorie de complot ne veut pas dire qu'il n y a pas de complot |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Lun 12 Déc 2011 - 9:04 | |
| - Citation :
Maroc Export à nouveau en Afrique pour tenter de rééquilibrer la balance commerciale
(Agence Ecofin) - L’Afrique au sud du Sahara (ASS) représente pratiquement la seule zone où le Maroc dégage un excédent commercial. Les termes de l’échange avec les autres zones (Afrique du Nord, Europe, Asie…) sont structurellement déficitaires en défaveur du Maroc.
C’est dans ce contexte que Maroc Export démarre à Dakar sa cinquième édition africaine de la caravane de l’Export qui se rendra ensuite en Guinée Conakry, en Côte d’Ivoire et au Congo Brazzaville.
130 hommes d'affaires marocains représentants treize secteurs d'activité feront ce déplacement du 11 au 17 décembre pour promouvoir « l’offre Maroc », nouer et renforcer des partenariats avec les économies d’Afrique au sud du Sahara.
L’industrie bancaire sera représentée par le Crédit Agricole du Maroc, le groupe Attijariwafa Bank, présent dans dix pays africains, et la BMCE actionnaire majoritaire de BOA qui est implantée dans douze pays africains.
De 1998 à 2008, les échanges du Maroc avec l’ASS sont passés de 240 millions à 800 millions d'euros avec un excédent de plus de 223 millions d’euros en faveur du Maroc.
Suite _________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 13 Déc 2011 - 6:36 | |
| - Citation :
- S2M décroche un contrat géant en Ethiopie
La société S2M, qui vient d’annoncer sa prochaine introduction à la Bourse de Casablanca, vient de décrocher son plus gros contrat avec une banque éthiopienne. Selon Les Echos, il s’agit entre autres de la fourniture de solutions informatiques et mobiles pour la totalité des processus de ladite banque. Avec ce contrat, l’Ethiopie devient le 29ème pays dans lequel la société marocaine opère.
infomediaire.ma - Citation :
- Morocco Investment Authority : 1 milliard DH pour la promotion de l’investissement
La création du Morocco Investment Authority a été notifiée dans le dernier Bulletin Officiel (BO). La nouvelle entité, dotée d’un capital de 1 milliard DH souscrit par l’Etat, a pour objectif d’accompagner la dynamique économique du pays en investissant dans plusieurs secteurs. Elle se verra confier la gestion de la Caisse nationale pour la promotion de l’investissement. A noter que 50% des ressources à injecter dans le nouveau Fonds proviendront des recettes des privatisations.
infomediaire.ma |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Mar 13 Déc 2011 - 11:20 | |
| On en parlait il y a peu... on faisait la comparaison avec les chaines turques même. Enfin de nouvelles chaines de télévision prévues - Spoiler:
AUDIOVISUEL LA HACA GARDE SA NIAQUE POUR LA LIBÉRALISATION CAHIERS DES CHARGES ET LICENCES TÉLÉ POUR DÉBUT 2012 UNE GRANDE RÉFORME POUR DÉCLINER LE STATUT CONSTITUTIONNEL Le régulateur accède à une phase décisive de son histoire. Son statut constitutionnel lui ouvre de nouvelles perspectives. Comment procédera-t-il? Quels sont les enjeux? Entretien avec Ahmed Ghazali, président de la Haute autorité de la communication audiovisuelle.
- L’Economiste: La Haca a été constitutionnalisée. Est-ce la reconnaissance d’un modèle ayant fait ses preuves ou juste un effet de mode? - Ahmed Ghazali: Ça serait de la prétention de considérer que seuls le parcours et les réalisations du régulateur -7 années- ont primé. Nous avons, certes, œuvré pour que le pluralisme imprègne notre vécu médiatique. Mais l’expérience marocaine a été un des éléments pris en compte par le constituant pour accorder à la Haca son nouveau statut. Cette consécration s’inscrit donc dans un processus global de libéralisation. Les médias audiovisuels et le régulateur sont à la fois les objets et les acteurs de ce changement. Elle est une sorte d’accomplissement. Et qui s’est ressourcée depuis le départ d’un projet de modernisation et de démocratisation de la société initié par Sa Majesté le Roi dès 1999.
- Par rapport à vos nouvelles compétences -et là je cite le droit d’accès à l’information en particulier- cela ne suppose-t-il pas une réforme de votre dispositif? - Parce que c’est compliqué, complexe et nouveau, la Haute autorité a inscrit dans son agenda d’approfondir sa réflexion sur ce point. C’est un enjeu de démocratisation des médias audiovisuels. Il est nécessaire de mettre à jour tout le dispositif législatif pour décliner de façon opérationnelle la constitutionnalisation de la Haca. Avant d’en arriver là, il va falloir donner un contenu cohérent et favorable à une évolution positive du secteur. D’où un préalable dans la réflexion en cours: va-t-on rester dans un registre classique, celui du droit à l’information? Ou bien s’agira-t-il d’aller plus loin pour consacrer un droit d’accès à la donnée? La Haute autorité serait alors garante de ce droit d’accès. Ce qui suppose une instance plus musclée: une réorganisation et des normes nouvelles… Un groupe de travail a été créé pour se pencher sur cette question. Car il va falloir aussi réviser le dispositif technique: les cahiers des charges des opérateurs, les décisions normatives du régulateur… Le tout pour une mise en œuvre crédible et sérieuse de la Constitution.
- «60% des Marocains regardent les chaînes étrangères». Etes-vous toujours motivé par votre mission? - De plus en plus, et encore davantage aujourd’hui qu’hier. Lorsqu’on cible des déficiences, nous travaillons pour les dépasser. Notre motivation se renforce au fur et à mesure de l’exercice de notre responsabilité institutionnelle. Le rapatriement de l’audience virtuelle devrait être l’enjeu de tous les acteurs de l’audiovisuel. C’est une responsabilité collective. Je ne le dis pas pour diluer celle du régulateur. Nous sommes tous concernés par l’évolution et le devenir du secteur. La Haca apportera sa contribution. Elle le fait déjà, modestement mais certainement. Vous conviendrais que ce rapatriement tient à beaucoup d’autres exigences, éléments… Et qui procèdent, entre autres, d’une vraie stratégie audiovisuelle suffisamment claire et partagée. J’ai toujours dis que les médias audiovisuels dans tous les pays démocratiques du monde ne sont que le reflet d’une réalité. Si celle-ci n’est pas attractive et de qualité, il est évident que, quel que soit l’effort accompli par les diffuseurs, cette réalité restera ce qu’elle est. Nous ne sommes pas comptables de la qualité des programmes. En revanche, nous sommes responsables de la bonne application des dispositions législatives et réglementaires sur les contenus: pluralisme, déontologie, protection de l’enfance et de l’image de la femme, la lutte contre la discrimination…
- Etes-vous satisfait par le bilan du 1er Conseil supérieur de la communication audiovisuelle? - C’est la première fois qu’on m’interpelle sur ce sujet. Le CSCA a rendu 329 décisions, doté la Haca d’un référentiel décisionnel qui balise son action… Je voudrais par ailleurs rendre un vibrant hommage, par honnêteté intellectuelle et institutionnelle, aux anciens membres et aux précédents directeurs généraux (Ahmed Akhchichine et Mustapha Mousaid). Ils ont été les fondateurs de cette institution et les artisans de la libéralisation audiovisuelle. Des artisans sans concession d’une culture juridique et déontologique qui fait aujourd’hui la particularité de la Haca.
- Et la feuille de route du nouveau conseil? Changera-t-il son référentiel commun par exemple? - L’ancien conseil n’a jamais pris de décisions sur vote. Elles étaient rendues sur la base d’un référentiel commun. Ça n’a jamais été facile. Il arrivait que des conseillers demandent à ce que leurs réserves soient inscrites dans le compte rendu détaillé. Mais nos sorties formelles étaient toujours unies. C’est pareil avec le nouveau conseil. Il travaille avec le même état d’esprit, la même niaque… Chacun défend son point de vue. Mais la patience, l’écoute, la conscience de travailler pour une institution finissent par primer. Avoir un référentiel commun, c’est déterminant: qui nous sommes? Pourquoi nous sommes là? Comment travailler et selon quel plan d’action? En tant que président, j’ai toujours tenu à organiser des retraites pour permettre aux conseillers de réfléchir dans la sérénité à ce référentiel. Cela a permis d’avoir une charte et que le conseil actuel actualise… La retraite de Marrakech a permis aux nouveaux membres de plonger pendant 3 jours sur ce référentiel, de préparer la décision sur le pluralisme politique en période électorale, d’identifier les chantiers prioritaires et de constituer des groupes de travail.
- La libéralisation a été taxée de «trompe-l’œil». A quand les licences télé? - Nous n’avons pas de date précise. Mais libéraliser le secteur est toujours prévu dans notre agenda. Nous aurons l’occasion de communiquer plus amplement sur le plan d’action du CSCA. Le futur modèle de gouvernance institutionnelle est encore à l’étude. Il sera question des licences télé et des annonces publiques y afférentes. L’insertion de chaînes privées dans le paysage audiovisuel est inévitable. Elle devra advenir rapidement mais sans précipitation. Ça va se faire probablement début 2012.
- Les cahiers des charges seront-ils plus permissifs? - La détermination de la ligne éditoriale d’une télé n’appartient pas au régulateur. La seule exigence que la Haca pourrait avoir par rapport à un projet de chaîne est sa conformité à la législation. Les futurs cahiers des charges (CC) puisent aussi dans la loi et la Constitution. Seront prises en considération des contraintes de mise en œuvre des 1ers cahiers des charges liées à la publicité, au parrainage… Par rapport à la Constitution de 2011, les opérateurs publics devraient prendre davantage de responsabilité sur le pluralisme linguistique, culturelle et politique… Pour les opérateurs privés, seule la Haca est compétente pour les élaborer. Ils seront établis selon la logique d’un conventionnement. C’est une innovation faite toujours dans l’esprit d’une contractualisation du droit qui garantit davantage leur effectivité. Quant aux prochains cahiers des charges du secteur public (2012-2014), ils sont en cours de préparation. Dans ce cas précis, le ministère de la Communication les rédige et la Haca les homologue sur décision du CSCA. Nous ne sommes donc pas une simple chambre d’enregistrement. Les opérateurs devront négocier avec le futur gouvernement. Nous anticipons pour les actualiser et être ainsi prêts lorsque le gouvernement nous saisira.
- La passage définitif à la TNT est pour 2015, puis 2020. Comment se présente le switch off? - Il se fera. C’est une obligation internationale. Si ce n’est pas le cas, ça posera des problèmes techniques en interne et pour nos voisins, particulièrement pour les Espagnols. Il y a risque de les parasiter avec notre système analogique alors qu’ils sont à 100% au numérique. L’Union internationale des télécommunications (UIT) veille au grain. Maintenant tout le problème est de savoir dans quelles conditions le basculement à la TNT adviendra. Le vrai enjeu est de nature qualitative. Le switch off n’est pas seulement technique. Il y a l’obligation d’améliorer le contenu, d’une offre attractive… L’enjeu est que le numérique sert à rapatrier l’audience virtuelle au lieu d’encourager encore plus l’émigration des téléspectateurs.
l'economiste
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| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 11/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 15 Déc 2011 - 23:43 | |
| Après le pétrole, le phosphate et le solaire sans doute faudra t-il ouvrir une topic sur cette nouvelle forme d'energie : - Citation :
- Et si le Maroc roulait à l’huile d’algues ?
Chaque année, le Maroc paie des milliards de dollars pour importer du pétrole ou du gaz de l’étranger. Et si la solution pour faire économiser de l’argent au royaume était les algues marines du pays pour fabriquer un biocarburant troisième génération qui pourra remplacer les énergies fossiles ? Un centre de recherche marocain à Rabat y travaille sérieusement depuis un an. C’est pour permettre au royaume de rouler un jour avec du biocarburant à base de micro-algues et d’oublier le pétrole importé, qu’une équipe de chercheurs marocains de la Fondation «Moroccan Foundation for Advanced Science, Innovation and Research, créée en 2007 et située à Technopolis Rabatshore est en train de mener des travaux, et ce depuis un an.
C’est quoi les micro-algues ?
Avec un littoral long de 3500 kilomètres, les micro-algues ne manquent pas dans les eaux marocaines. Les micro-algues sont des algues microscopiques unicellulaires qui produisent des huiles ou lipides. Elles sont généralement utilisées dans l’alimentaire ou les cosmétiques. Elles vivent dans et grâce à l’eau, au sel et à la lumière du soleil. Leur particularité est qu’elles produisent beaucoup plus d’huile que les plantes oléagineuses terrestres comme le colza ou le palme. Le poids d’une micro-algue peut être composé parfois jusqu’à 80% de lipides. Ce sont ces lipides qui sont ensuite transformées lors d’une réaction chimique en biodiesel. Selon certains chercheurs, une culture de micro-algues dans une superficie équivalente à celle d’un lac permettrait de produire assez de biocarburant pour faire rouler près d’un million de voitures.
Les américains ont été les premiers à avoir eu l’idée d’utiliser ces micro-organismes comme biocarburant dans les années 70. Trente ans plus tard, les scientifiques européens se pencheront réellement sur ces micro-organismes. Depuis 2010, les Marocains y travaillent à leur tour.
Les avantages
L’un des premiers avantages de ces micro-organismes est que leur culture se fait sur de petites surfaces, contrairement aux plantes oléagineuses qui se cultivent sur de vastes terres agricoles.
Autre avantage qui est cette fois-ci très positif pour le Maroc est que les micro-algues se développent plus vite au contact de phosphate, souligne le journal Les Echos dans son édition d’aujourd’hui. D’ailleurs des travaux en partenariat avec l’Office Chérifien des Phosphates ont été lancés. « Les phosphates, premières ressources du pays font partie en effet des matières favorisant à la formation biologique des micro-algues. A terme, les retombées attendues de l’émergence et du développement d’une filière de ce type sur le marché, sont loin d’être négligeables. Elles vont de l’exploitation et la valorisation d’incommensurables ressources disponibles en micro-algues sur le littoral marocain et en phosphates, […] à l’atténuation, dans le long terme, de la facture énergétique du pays », explique le journaliste.
Une production dans 5 ans
Malgré le côté alléchant de ces éléments, le Maroc n’est pas encore prêt à rouler à l’huile de micro-algues et à dire au revoir à sa dépendance des énergies fossiles importées de l’étranger. A l’instar des autres pays qui travaillent actuellement sur les micro-algues, il faudra encore attendre cinq ans, à l'étranger on parle même de 10 ans, avant de voir une production à l’échelle industrielle. Pour ce faire, les chercheurs de la MASCIR devront dépasser l’étape d’expérimentation et mener un projet-pilote en grandeur nature, autrement dit avec des quantités de micro-algues plus importantes.
yabiladi ci-dessous le site de la MASCIR : Moroccan Foundation for Advanced Science, Innovation and researchhttp://www.mascir.ma/mascir/our-commitments.html PGM | |
| | | FAMAS Modérateur
messages : 7470 Inscrit le : 12/09/2009 Localisation : Zone sud Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 16 Déc 2011 - 1:34 | |
| ces algues peuvent être traitée soit avec le méthanol lui même dérivé du pétrole ou bien traité avec de l'hydrogène et ça donne de l'eau comme déchet... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 16 Déc 2011 - 7:02 | |
| - Citation :
- Les pêcheurs marocains satisfaits de la non-reconduction de l'accord de pêche avec l'UE
Traduction google :
Rabat, Décembre 14 .- La Fédération nationale des côtes marocaines Pêche (FNAPC) s'est dit satisfaite de la décision du Parlement de ne pas prolonger l'accord de pêche UE-Maroc, en vigueur depuis 2007, et la cessation immédiate de la conséquence pêche européens dans les eaux marocaines.
Le secrétaire général de l'FNAPC, Abderrahim Laabidi, a déclaré à Efe que la fédération est "toujours contre les accords de pêche avec l'Union européenne», car pour lui, "le seul bénéficiaire a toujours été la flotte espagnole", qui a une centaine des 119 licences de pêche accordées par l'accord.
Jusqu'ici, le gouvernement marocain ne s'est pas exprimé sur la décision du Parlement européen et le site de la MAP n'a même pas fait part de la nouvelle du vote au Parlement.
«La décision du Parlement est un bon présage pour les pêcheurs marocains", a déclaré en ajoutant que Laabidi "professionnels marocains ont grandement bénéficié de cet accord."
Le secrétaire général de l'FNAPC exigé que, si la reprise des négociations pour signer un nouvel accord devrait «respecter les normes internationales existantes et d'établir des joint-ventures dans le secteur de la pêche des spécialistes afin d'assurer des emplois pour les professionnels marocains ».
Laabidi accusé la flotte de pêche espagnole dans les pratiques de pêche marocaine de recourir à agressif (et a cité l'utilisation de filets dérivants et la pêche aux explosifs), qui "détruisent la marine marocaine" et "pas de ports de téléchargement Marocains de contrôler les quantités de ce qui a été attrapé. "
Le Parlement européen a rejeté aujourd'hui, par 326 voix pour, 296 contre et 58 abstentions, l'extension de l'accord de pêche UE-Maroc, estimant que la surexploitation cause de certaines espèces et est illégal au regard du droit international, car elle interfère avec les ressources locaux population sahraouie.
L'accord de pêche qui a gouverné le Maroc depuis 2007, a offert 119 licences pour la flotte européenne, majoré des frais supplémentaires pour des espèces telles que l'anchois, le maquereau ou le hareng, qui a mis à 138 le nombre de bateaux ont bénéficié.
En retour, l'UE verse un an à 36,1 millions d'euros pour le pays d'Afrique du Nord, une partie pour le secteur et une partie pour les mesures de développement.
(Agence EFE)
Rabat, 14 dic.- La Federación Nacional de Asociaciones de Pesca Costera marroquí (FNAPC) expresó hoy su satisfacción con la decisión de la Eurocámara de no prorrogar el acuerdo de pesca UE-Marruecos, vigente desde 2007, y el consiguiente cese inmediato de la actividad pesquera europea en aguas marroquíes.
El secretario general de la FNAPC, Abderrahim Laabidi, dijo a Efe que su federación está "siempre en contra de los acuerdos de pesca firmados con la Unión Europea" porque para él, "el único beneficiado siempre ha sido la flota española", que tiene un centenar de las 119 licencias de pesca concedidas por el acuerdo.
Hasta el momento, el gobierno marroquí no se ha expresado sobre la decisión del Parlamento Europeo, y la agencia oficial MAP ni siquiera ha recogido la noticia del voto en la Eurocámara.
"La decisión de la Eurocámara es una señal de buen augurio para los pescadores marroquíes", precisó Laabidi quien añadió que "los profesionales marroquíes no han sacado gran provecho de este acuerdo".
El secretario general de la FNAPC exigió que, en caso de que se reanuden las negociaciones para firmar un nuevo acuerdo, se deben "respetar las normas internacionales en vigor y crear empresas mixtas especialistas en el ámbito pesquero para garantizar puestos de empleo para los profesionales marroquíes".
Laabidi acusó a la flota española que faena en Marruecos de recurrir a prácticas pesqueras agresivas (y citó el empleo de redes de deriva y la pesca con explosivos), que "destruyen la fauna marina marroquí", así como de "no descargar en los puertos marroquíes para controlar las cantidades de lo que se ha pescado".
La Eurocámara rechazó hoy -por 326 votos a favor, 296 en contra y 58 abstenciones- la prórroga del acuerdo pesquero UE-Marruecos, porque considera que causa la sobreexplotación de algunas especies y es ilegal, según el derecho internacional, porque interfiere en los recursos de la población local saharaui.
El acuerdo pesquero que ha regido desde 2007 con Marruecos ofrecía 119 licencias a la flota europea, más una cuota adicional para especies como la anchoa, caballa o arenque, que sitúan en 138 el número de embarcaciones beneficiadas.
A cambio, la UE paga al año 36,1 millones de euros al país magrebí, una parte para su sector y otra para medidas de desarrollo.
(Agencia EFE) |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 16 Déc 2011 - 8:28 | |
| - L'Antidote a écrit:
-
- Citation :
- et le site de la MAP n'a même pas fait part de la nouvelle du vote au Parlement.
... (Agence EFE) ? 14/12/2011 Aucune activité de pêche de la flotte européenne ne sera tolérée dans les eaux territoriales marocaines à partir de ce mercredi Le Maroc comptera sur ses propres moyens pour poursuivre le développement du secteur halieutique (ministre) ... MAP |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 16 Déc 2011 - 9:37 | |
| - L'Antidote a écrit:
- Spoiler:
- Citation :
- Les pêcheurs marocains satisfaits de la non-reconduction de l'accord de pêche avec l'UE
Traduction google :
Rabat, Décembre 14 .- La Fédération nationale des côtes marocaines Pêche (FNAPC) s'est dit satisfaite de la décision du Parlement de ne pas prolonger l'accord de pêche UE-Maroc, en vigueur depuis 2007, et la cessation immédiate de la conséquence pêche européens dans les eaux marocaines.
Le secrétaire général de l'FNAPC, Abderrahim Laabidi, a déclaré à Efe que la fédération est "toujours contre les accords de pêche avec l'Union européenne», car pour lui, "le seul bénéficiaire a toujours été la flotte espagnole", qui a une centaine des 119 licences de pêche accordées par l'accord.
Jusqu'ici, le gouvernement marocain ne s'est pas exprimé sur la décision du Parlement européen et le site de la MAP n'a même pas fait part de la nouvelle du vote au Parlement.
«La décision du Parlement est un bon présage pour les pêcheurs marocains", a déclaré en ajoutant que Laabidi "professionnels marocains ont grandement bénéficié de cet accord."
Le secrétaire général de l'FNAPC exigé que, si la reprise des négociations pour signer un nouvel accord devrait «respecter les normes internationales existantes et d'établir des joint-ventures dans le secteur de la pêche des spécialistes afin d'assurer des emplois pour les professionnels marocains ».
Laabidi accusé la flotte de pêche espagnole dans les pratiques de pêche marocaine de recourir à agressif (et a cité l'utilisation de filets dérivants et la pêche aux explosifs), qui "détruisent la marine marocaine" et "pas de ports de téléchargement Marocains de contrôler les quantités de ce qui a été attrapé. "
Le Parlement européen a rejeté aujourd'hui, par 326 voix pour, 296 contre et 58 abstentions, l'extension de l'accord de pêche UE-Maroc, estimant que la surexploitation cause de certaines espèces et est illégal au regard du droit international, car elle interfère avec les ressources locaux population sahraouie.
L'accord de pêche qui a gouverné le Maroc depuis 2007, a offert 119 licences pour la flotte européenne, majoré des frais supplémentaires pour des espèces telles que l'anchois, le maquereau ou le hareng, qui a mis à 138 le nombre de bateaux ont bénéficié.
En retour, l'UE verse un an à 36,1 millions d'euros pour le pays d'Afrique du Nord, une partie pour le secteur et une partie pour les mesures de développement.
(Agence EFE)
Rabat, 14 dic.- La Federación Nacional de Asociaciones de Pesca Costera marroquí (FNAPC) expresó hoy su satisfacción con la decisión de la Eurocámara de no prorrogar el acuerdo de pesca UE-Marruecos, vigente desde 2007, y el consiguiente cese inmediato de la actividad pesquera europea en aguas marroquíes.
El secretario general de la FNAPC, Abderrahim Laabidi, dijo a Efe que su federación está "siempre en contra de los acuerdos de pesca firmados con la Unión Europea" porque para él, "el único beneficiado siempre ha sido la flota española", que tiene un centenar de las 119 licencias de pesca concedidas por el acuerdo.
Hasta el momento, el gobierno marroquí no se ha expresado sobre la decisión del Parlamento Europeo, y la agencia oficial MAP ni siquiera ha recogido la noticia del voto en la Eurocámara.
"La decisión de la Eurocámara es una señal de buen augurio para los pescadores marroquíes", precisó Laabidi quien añadió que "los profesionales marroquíes no han sacado gran provecho de este acuerdo".
El secretario general de la FNAPC exigió que, en caso de que se reanuden las negociaciones para firmar un nuevo acuerdo, se deben "respetar las normas internacionales en vigor y crear empresas mixtas especialistas en el ámbito pesquero para garantizar puestos de empleo para los profesionales marroquíes".
Laabidi acusó a la flota española que faena en Marruecos de recurrir a prácticas pesqueras agresivas (y citó el empleo de redes de deriva y la pesca con explosivos), que "destruyen la fauna marina marroquí", así como de "no descargar en los puertos marroquíes para controlar las cantidades de lo que se ha pescado".
La Eurocámara rechazó hoy -por 326 votos a favor, 296 en contra y 58 abstenciones- la prórroga del acuerdo pesquero UE-Marruecos, porque considera que causa la sobreexplotación de algunas especies y es ilegal, según el derecho internacional, porque interfiere en los recursos de la población local saharaui.
El acuerdo pesquero que ha regido desde 2007 con Marruecos ofrecía 119 licencias a la flota europea, más una cuota adicional para especies como la anchoa, caballa o arenque, que sitúan en 138 el número de embarcaciones beneficiadas.
A cambio, la UE paga al año 36,1 millones de euros al país magrebí, una parte para su sector y otra para medidas de desarrollo.
(Agencia EFE)
Bien sûr,maintenant tous nous peuvent profiter de la richesse de pêche de notre pays, pas seulement les pêcheurs,imaginez avec moi,avant,un travailleur marocain qui gagne 100 dirhams par jour,ne peut jamais manger du poisson de bonne qualité,les poissons était très cher. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Économie marocaine Ven 16 Déc 2011 - 10:08 | |
| 8% des prises ne changera pas grand chose, tu veux interdire aux chalutiers marocains d'exporter leurs produits? |
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| Sujet: Re: Économie marocaine | |
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| | | | Économie marocaine | |
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