Actualités nationales

Rappel du premier message :

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et à la tête des coupables l'Ex DG de la CNSS et actuel maire d'Essaouira pale

dire que les souiris ont voté pour un escroc

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"La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu

FAMAS a écrit:: et à la tête des coupables l'Ex DG de la CNSS et actuel maire d'Essaouira dire que les souiris ont voté pour un escroc

non pas voté il ya eu tricherie de la part du amil , ( actuelle gouverneur de warzazate ) , corruption , et c'est pas la CNSS , mais la cnops , il est déjà jugé 4 an de prison , mais risque d'être blanchi dans la cours appelle , il risuqe de faire coulé des personnes influente avec lui .

pour la CNSS c'est une grosse affaire plus grosse que la cnops , et la majorité des personnes conserné on deja quitté le pays au début du règne de mohamed 6.

ps : il voulais gagné les élections a tout prix parlementaire et communal , pour l’immunité , actuellement la marie de essaouira a pas droit a son budget , c'est la préfecture qui gère la ville .

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Pro rege, saepe, pro patria semper

اقسم بالله العظيم ان اكون مخلصا لله و لملكي و ان اتفانى في خدمة وطني و دفع كل خطر يهدده و ان انفد اوامرقائدي الاعلى صاحب الجلالة

RNI-PAM-MP-UC Rolling Eyes

Citation :: Quatre partis appellent à la tenue des prochaines échéances dans un délai ne dépassant pas fin octobre

Rabat- Le Rassemblement national des Indépendants (RNI), le Mouvement Populaire (MP), le Parti Authenticité et Modernité (PAM) et l'Union Constitutionnelle (UC) ont appelé à la tenue des prochaines échéances dans un délai ne dépassant pas fin octobre.

Dans un communiqué conjoint parvenu vendredi à la MAP, les quatre formations ont également appelé à "accélérer le rythme des réformes, à définir un calendrier clair pour l'adoption des lois ainsi que la date de la tenue de la session extraordinaire de la Chambre des Représentants", à "réunir les garanties nécessaires" pour le déroulement en toute honnêteté et transparence des prochaines échéances et "à les immuniser contre tout risque de corruption et de dépravation".

Dans ce communiqué publié mercredi soir suite à la réunion des directions de ces formations, consacrée à la poursuite de leurs concertations et à l'examen des derniers développements sur la scène politique nationale, des exigences pour la mise en oeuvre de la nouvelle Constitution et l'interprétation démocratique de ses dispositions, les quatre partis estiment que cette dynamique et de nature "à redonner confiance et espoir, à rendre ses lettres de noblesse à l'action politique et à renforcer l'adhésion des élites et la participation des citoyens à ce chantier démocratique et de développement".

Les partis estiment qu'il appartient à tous les intervenants, gouvernement, partis politiques, société civile, à faire preuve de responsabilité en mettant en avant l'intérêt suprême de la patrie loin de tout chantage et surenchère politique. Ils appellent, à ce propos, à la mobilisation responsable de tous en vue de trouver des solutions efficientes et intelligentes aux différents défis de l'étape actuelle.

Les quatre partis ont souligné "l'extrême importance du moment historique que vit le Maroc, à l'heure du nouveau pacte politique entre le trône et le peuple afin de consacrer les choix de notre pays dans l'édification de l'Etat de droit, du développement durable et de la bonne gouvernance". Ils soulignent avec "une grande préoccupation les tendances visant à porter atteinte à la dynamique enclenchée par la nouvelle Constitution".

Ces partis considèrent que "le Maroc a besoin d'institutions puisant leur légitimité des dispositions de la nouvelle Constitution reflétant ainsi l'adhésion des citoyens à cette dynamique à travers le choix de représentants comptables de leurs actes" et ce en tenant compte de la situation régionale et internationale sur les plans politique, économique et financier "en totale symbiose avec les ambitions des citoyens aspirant à la dignité, la liberté et à la justice sociale".

MAP

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Toujours les mêmes : les M Party

Citation :: Les prochaines élections de la chambre des représentants auront lieu le vendredi 25 novembre (ministre de l'Intérieur)
Rabat- Le ministre de l'Intérieur annonce que les prochaines élections de la Chambre des représentants auront lieu le vendredi 25 novembre au terme des consultations avec les partis politiques sur les projets de textes électoraux et la préparation des prochaines échéances électorales.
Les consultations avec les partis politiques se poursuivront sur tout ce qui se rapporte à la préparation des prochaines échéances électorales.

MAP

PGM

Citation :: Arrestation des auteurs présumés de l'attaque à main armée contre les convoyeurs de la confection de bijoux "Oro Mecanica" à Casablanca

Vue aérienne de l'usine Oro-Mecanica, à Casablanca. /DR

Les auteurs présumés de l'attaque à main armée ayant ciblé le 1 aout les convoyeurs de la société de confection de bijoux "Oro Mecanica" à Casablanca, ont été arrêtés, a annoncé la Direction générale de la sureté nationale (DGSN).

"Après plusieurs jours d'investigation soutenue, la police judiciaire de Casablanca vient de lever le voile sur les circonstances ayant accompagné la préparation et l'exécution, de l'attaque à main armée, ayant ciblé, le 1 août 2011, les convoyeurs de la société de confection de bijoux "Oro Mecanica", dont deux ont été blessés par balles", indique la DGSN dans un communiqué parvenu mardi à la MAP.

L'auteur principal présumé a pu être identifié suite à l'exploitation d'indices relevés sur les lieux de l'agression. Il s'agit d'un jeune homme âgé de 29 ans, ancien réparateur de bijoux. Deux co-auteurs et un complice ont été également arrêtés.

Les différentes perquisitions opérées ont abouti à la saisie, entre autres, de trois armes de poing en bon état de fonctionnement, d'un important lot de munitions, de cagoules et d'importantes sommes d'argent en monnaie nationale et devises étrangères, ajoute la même source.

En outre, l'enquête a établi l'implication de cette bande de malfaiteurs dans la tentative de vol avec usage d'arme à feu, dont a été victime un bijoutier à Berrechid, le 26 août 2010. Ce dernier a été blessé par balle, en raison de la résistance qu'il a opposée aux assaillants.

Conformément aux instructions du parquet général, les mis en cause, arrêtés, ont été placés en garde à vue, en attendant leur présentation devant la justice, dès clôture de l'enquête, précise le communiqué.

MAP

Bravo pour la DGSN efficace comme d'habitude.

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Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.

Comme le rappelait Yak, peu de chance pour eux d'échapper après l'usage d'armes de point. jmaa ou twi.
Bravo la Police Actualités nationales - Page 23 Icon_sal

PGM

Ils ont enfreint la règle non écrite du Maroc, dès qu'il est question d'armes à feu, le taux de tolérance chute à zéro Actualités nationales - Page 23 Icon_mrg

Même les plus pourris et les plus paresseux des keufs se mobilisent jusqu'à mettre la main sur ceux qui ont osé bravé cette règle Actualités nationales - Page 23 364227

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Citation :: Télécoms: Un satellite panafricain de 800 millions de dollars
Le projet Panafsat (satellite panafricain), initié autour des pays de l’UMA par l’ex-DG de l’Organisation internationale des télécommunications par satellite, le Marocain Ahmed Toumi, se précise. Près de 800 millions d’euros d’investissement seront nécessaires pour mettre en orbite les 2 satellites prévus. Le pacte d’actionnariat se tiendra le 21 octobre prochain et devrait réunir 4 fonds d’investissement et trois groupes institutionnels marocains, les groupes européen Eutelsat et émirati Yasat.

l'Economiste.

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un petit dessin vaut mieux qu'un long discours scratch

faut qu´ils precisent euro ou dollars,bande d´amateurs

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Yakuza a écrit:: faut qu´ils precisent euro ou dollars,bande d´amateurs

ce que je me suis demandé avant de le poster, mais l important c'est l'infos.

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un petit dessin vaut mieux qu'un long discours scratch

Citation :: Une alliance Koutla-PJD en réponse au communiqué des "4" ?

On ne peut nier l'importance du communiqué commun des quatre partis (PAM-RNI-UC-MP) qui sont unis par ce qu'eux savent les unir, et je me prends à penser qu'il ne s'agit en fait que d'un seul parti et de ses vassaux. Et à mon humble avis, aussi, il semblerait que cela soit de nature à aider l'opinion publique à comprendre les arcanes d'un paysage politique complexe. Car il est impossible à un observateur neutre d'admettre que des partis gouvernementaux, et à ce titre responsable du bilan de l'Exécutif, signent un communiqué commun avec des formations appartenant à l'opposition. Et le mystère ne s'arrête pas là en cela qu'il apparaît également curieux que des partis se positionnant dans l'opposition acceptent de coordonner une action avec des partis de la majorité alors qu'il aurait été plus logique de s'opposer, justement, à cette majorité.

je pense que l'opinion publique ne sera pas étonnée de cette coordination qui en est arrivée au point de publier un communiqué commun, parce que cette opinion a parfaitement compris que "ce sont tous les mêmes", et que la division de ce groupe entre opposition et majorité n'était qu'une contrainte momentanée. D'autres vont plus loin en considérant que certains de ces partis ont été chargés "d'y aller", pour un moment déterminé et en faveur d'une partie donnée, que certains n'hésitent pas à définir comme étant le PAM.

Ce qui s'est passé est en effet important car "les mêmes" ont décidé de revenir effectivement les "mêmes", et de constituer leur bloc, ne laissant aux autres que le choix de faire pareil, et personnellement, je ne vois rien d'autre qu'un communiqué commun entre les partis de la koutla démocratique et le PJD, pour clarifier la situation.

Al Alam

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un petit dessin vaut mieux qu'un long discours scratch

Citation :: La voiture du roi bloquée dans des embouteillages casablancais

Deux hauts responsables de la police casablancaise ont été convoqués par leur hiérarchie pour s'expliquer sur les embouteillages du dimanche soir dans la capitale économique. Ces bouchons ont empêché la voiture du roi de circuler auux abords du Mégarama. Le directeur de la DGSN, Charki Draïss est revenu à Casablanca, interrompant sa visite dans les provinces, spécialement pour suivre cette affaire et en identifier les responsables. Le roi est ainsi resté bloqué, comme n'importe quel citoyen, dans l'attente de la reprise de la fluidité de la circulation. Des mesures disciplinaires devraient être prises, mais une autre source impute cet incident à l'absence d'une politique de circulation dans la métropole, malgré les sommes colossales qui lui ont été affectées depuis 5 ans. Il est à noter que ces embouteillages de la circulation sur la Côte interviennent alors même que les travaux du tramway n'ont pas encore atteint cette zone. D'autres sources informées mettent en garde contre toute mesure à l'encontre de responsables connus pour leur droiture et leur honnêteté, comme cela s'est a été le cas dans le passé, où certains responsables ont été envoyés aux confins du pays en guise de sanction.

al massae

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un petit dessin vaut mieux qu'un long discours scratch

je pense que si punition il y'a c'est surtout du a la sécurité du roi malgré qu'il soit aimer de la grande majorité de son peuple (et dieu sais que c'est mon cas aussi ) il n’empêche qu'il a la priorité absolument partout regardez meme dans les grande démocratie on bloque les route lorsque Obama ou Sarkozy passent par mesure de sécurité
par contre ce n'est pas une excuse pour ne pas travailler a améliorer la circulation dans les ville marocaines surtout les plus grande parce que cela devient un véritable problème qui va en grandissant

jonas a écrit:: je pense que si punition il y'a c'est surtout du a la sécurité du roi malgré qu'il soit aimer de la grande majorité de son peuple (et dieu sais que c'est mon cas aussi ) il n’empêche qu'il a la priorité absolument partout regardez meme dans les grande démocratie on bloque les route lorsque Obama ou Sarkozy passent par mesure de sécurité
par contre ce n'est pas une excuse pour ne pas travailler a améliorer la circulation dans les ville marocaines surtout les plus grande parce que cela devient un véritable problème qui va en grandissant

Le problème, c'est se résigner a résoudre un problème qui touche tout le monde, uniquement parce que Sa Majesté y a été confronté

PGM

+1. Y'en à marre de cette mentalité à la con qui veut que l'on bouge ses fesses une fois que Jalalatou ait été confronté à la réalité de la vie marocaine Mad

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

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Je suis heureux pour les quelques têtes qui vont tomber ... y en a marre de ces responsables qui ne sont responsables que de causer le malheur pour le citoyen.

quelques petites décisions vont suivre comme d'habitude ... c'est une bonne chose

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Il s'agit quand même d'un problème structurel, je ne crois pas qu'un changement de responsables puisse changer quoi que ce soit à la situation. A moins de bloquer la circulation pendant de longues heures dans la capitale économique, en prévision du passage du cortège royal, ce qui va occasionner de lourdes pertes.
J'ai toujours défendu l'idée de réseaux de villes petites et moyennes, plus faciles à gérer que les mégapoles sur tous les plans. Les responsables marocains ont, pendant des décennies, laissé Casa grandir de manière exponentielle, sans tenir compte de la gestion future de ce méga-espace urbain, et voilà ce que rapporte le laisser-faire...

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Je ne sais si tu as été sur casa dernièrement, mais c'est impossible de circuler ... et c'est pas juste à cause des travaux du tramway ni la période d'été ou le Ramadan !!

Des programmes d'urgences sont là mais non réalisés, et on alloue bien des budgets pour !! ??... en ce moment les crédits pour voitures prennent du terrain rendant l'accés à ce qui a été un prestige un certain temps, au plus diminué du peuple plus facile ... sans une infrastructure bien préparée pour !!

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Small is beautiful, Fremo, c'est un principe de base de la gestion d'entreprise. Plutôt que de laisser grandir une ville jusqu'au moment ou même un génie ne peut plus trouver de solutions à ses problèmes, créer un chapelet de villes petites et moyennes, dans lesquels il est possible d'effectuer des transformations sans trop se casser la tête, ni casquer des milliards pour de maigres résultats.
Hjira, qui est un filou mais un professionnel du secteur, l'a très bien compris. Mais il n'a pas trouvé un véritable appui politique à ce sujet. Pour bâtir une ville nouvelle, il faut du foncier, des fonds et une collaboration de tous les départements pour y parvenir. La ville de Tamesna, aux environs de Rabat, par exemple, est morte-née, faute d'une ligne de chemin de fer pour la desservir.

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Invité

il ya un bus qui déssert Tamesna à la gare de Temara à seulement 7 km..

Citation :: Tamesna une ville pour l’avenir de Rabat
07-03-2009

La ville de Tamesna a était Inaugurée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le 13 mars 2007. Tamesna est située à 20 km de la capitale Rabat et à 8 km de la ville de Témara. Tamesna est au centre d’une conurbation en pleine expansion et d’un réseau de transport dense.

L’objectif de Tamesna est ambitieux, l’émergence d’un centre urbain autonome, à travers la création de centres universitaire, commerciaux et industriels, d’établissements scolaires et de santé. La ville nouvelle de Tamesna repose sur une approche globale et intégrée de la ville et offrira des habitats de types variés pour assurer une véritable mixité sociale.

Les trois grands principes fondateurs de Tamesna sont le partenariat public-privé, la mixité sociale et le développement socio-économique durable. Pour réaliser ces objectifs ambitieux, une synergie positive de tous les partenaires impliqués dans l’édification d’une ville se met en place progressivement, sachant que sans ces efforts collectifs de plusieurs parties prenantes, il serait vain de croire qu’un nouvel ensemble urbain peut naître et se pérenniser dans de bonnes conditions.

La filiale du groupe d’aménagement Al Omrane, la société Al Omrane-Tamesna, est en charge de l’aménagement de Tamesna en partenariat avec promoteurs privés. La nouvelle ville accueillera une population de quelques 250 000 habitants afin de faire face aux besoins croissants de la région Rabat-Salé-Skhirat-Témara et contribuer à l’éradication de la zone des bidonvilles.

Ville moderne, Tamesna offrira à ses habitants une qualité de vie exceptionnelle et sera dotée de 145 équipements publics dont un hôpital régional, un complexe sportif, un campus universitaire, une médina traditionnelle, un centre d’affaires, une grande mosquée et un centre de loisirs. Tamesna sera également dotée de 120 hectares d’espaces verts au cœur de la ville dont 18 hectares de parc central qui comprendra des jardins andalous, un lac Méditerranée de 12 000m2, des restaurants à thème, une piscine semi olympique de 2000m2 ainsi que des monuments symbolisant les différents pays du bassin méditerranéen.

Tamesna sera desservie par trois voies d’accès existantes qui seront élargies, et bénéficiera à moyen terme d’une grande autoroute de contournement qui rejoindra l’échangeur de Salé et de Témara. Une liaison ferroviaire reliera Tamesna à la ville de Témara et au réseau ferroviaire national, la ville sera également dotée d’une gare routière.
Deux ans après le lancement des travaux, les succès sont multiples. Plus de 120 000 demandes ont été exprimées à travers le Royaume. Une trentaine de promoteurs privés ont adhéré au projet, dont cinq partenaires étrangers. La quasi totalité des travaux d’infrastructures sont déjà achevés et quelques 3300 unités de logements a était achevées pendant 2008 et 12 000 unités nouvelles seront mises en chantier entre 2008 et 2009.

http://www.maisons-maroc.com/blog/158-tamesna-une-ville-pour-lavenir-de-rabat.html

Citation :: Maroc : que valent les partis ?

17/08/2011 à 08h:38 Par Youssef Aït Akdim, à Rabat

Le Parlement devra se réunir en session extraordinaire. © Reuters.

Depuis l’adoption de la nouvelle Constitution, la classe politique marocaine a les yeux rivés sur les élections législatives anticipées, prévues le 25 novembre. Tour d’horizon des principales forces en présence.

Dans son discours du Trône du 30 juillet, le roi du Maroc Mohammed VI n’avait pas tranché sur la question de la date du prochain scrutin législatif. Tout juste avait-il appelé « tous les acteurs concernés à adopter un échéancier rigoureux », indiquant qu’il « importe de commencer par l’élection de la nouvelle Chambre des représentants ». Le ministre de l’Intérieur, Taïeb Cherkaoui, a mené des concertations et finalement annoncé la date du 25 novembre.

Précipitation ou retour à la normale, c’est la déprime postréférendaire, après le « printemps » de la rue. « Une nouvelle Constitution en gardant les mêmes élites, ça fait désordre, note un diplomate. Après le plébiscite en faveur du oui lors du référendum constitutionnel, tout le monde attend un nouveau gouvernement. » Solder la réforme, donner un nouveau souffle… La promesse de rupture est alléchante, mais les habitudes perdurent.

Les textes nécessaires à la préparation d’un scrutin équitable et réussi ne sont pas débattus au Parlement, ni sur la place publique, mais en conclaves fermés. L’État impose son rythme : loi sur les partis politiques, loi sur les observateurs des élections, code électoral, loi organique de la première Chambre… Un joli embouteillage législatif en vue pour le Parlement, qui devra se réunir en session extraordinaire afin de valider tous ces projets de loi portés par l’omniprésent ministère de l’Intérieur. Au sein des partis, la bataille fait rage pour les premières investitures. Panorama.
Istiqlal : un bilan dans la balance

La scène résume la situation dans le parti du Premier ministre : mardi 19 juillet, devant le siège de l’Istiqlal, à Rabat, des bus déposent des gros bras rameutés par Hamid Chabat, député-maire de Fès et secrétaire général de l’Union générale des travailleurs du Maroc (UGTM, syndicat istiqlalien). Le nouvel homme fort du parti conservateur entend déloger les dizaines de diplômés-chômeurs qui occupent les lieux. Le coup de force ne dure pas, et les squatteurs ne repartiront que le lendemain, après négociations. Mais le symbole est là : l’Istiqlal n’accepte plus de se faire marcher sur les pieds.
Du côté de la jeunesse...

Fer de lance du « printemps arabe », la jeunesse peine à se positionner dans la compétition électorale. Et ce d’autant plus que, ces derniers mois, les cartes ont été rebattues. De nouvelles figures ont émergé dans les médias avec lesquelles il faudra désormais compter. En outre, le conflit générationnel se double d’une crise de la représentation. Organisations de la jeunesse marginalisées, mainmise des fondateurs et de leurs héritiers sur les directions… La démocratie interne redevient la lutte prioritaire des jeunes militants.

De son côté, le Mouvement du 20 février maintient sa méfiance vis-à-vis des élites, même si certains de ses leaders sont courtisés par les partis. On murmure ainsi qu’Oussama El Khlifi, surnommé « le Che de Salé », sera candidat de l’USFP aux prochaines législatives. Une rumeur relancée par le projet de liste nationale pour les jeunes. Sur le modèle de la liste nationale des femmes lancée en 2002, l’État souhaite appliquer la discrimination positive pour les moins de 35 ans.

Abbas El Fassi, après quatre années à la tête du gouvernement, fait l’expérience de l’usure du pouvoir. Il est prêt à passer le témoin, après les législatives. En attendant, les caciques remettent en marche l’appareil pour les élections, alors que les quadras comme Karim Ghellab (ministre des Transports) ou Adil Douiri (ancien ministre du Tourisme) prennent quelques mèches grises et rongent leur frein.
RNI : objectif primature

Le Rassemblement national des indépendants (RNI) est de toutes les coalitions gouvernementales depuis trente ans. Mais depuis que son fondateur, Ahmed Osman, a quitté le poste de Premier ministre en 1979, personne du parti de centre droit n’a repris cette fonction. Porté à la tête du RNI en 2010, Salaheddine Mezouar renoue avec cette ambition : l’actuel ministre de l’Économie se prépare à un destin de chef de gouvernement. La législature qui s’achève a permis de tester une future alliance avec l’Union constitutionnelle (parti de l’administration, moribond) et de préparer celle avec le puissant Parti Authenticité et Modernité (PAM).

Le RNI a lancé il y a deux ans un ballon d’essai en évoquant un pôle libéral. Reste à savoir qui va animer ce pôle. Depuis quelques mois, les problèmes internes priment, avec la démission de Jaafar Heikel, directeur général du parti, et l’exclusion d’Abdelhadi Alami, magnat du tourisme et de la presse. Très sollicitées lors du « putsch » qui avait intronisé Mezouar, les agences de communication du RNI comptent s’appuyer sur le charisme de ses jeunes ministres : le télégénique Yassir Znagui (Tourisme) et l’ambitieux Moncef Belkhayat (Jeunesse et Sports).
PJD : la marche du crabe

Jeudi 21 juillet, la jeunesse du Parti de la justice et du développement (PJD) accueille en grande pompe le leader d’Ennahdha, le parti islamiste tunisien : Rached Ghannouchi a enflammé la salle omnisports de Kenitra… mais il a aussi dîné à la table du Premier ministre, Abbas El Fassi. Le PJD a gagné en respectabilité, même quand son secrétaire général, Abdelilah Benkirane, souffle le chaud et le froid. Au lendemain du référendum, il avait mis en doute le taux de participation officiel (73 %) dans les colonnes du quotidien britannique Financial Times, avant de se rétracter dans un communiqué officiel.

Lui qui tonnait hier contre l’inscription de la liberté de conscience dans la nouvelle Constitution invite aujourd’hui Nabil Benabdellah, du Parti du progrès et du socialisme (PPS), à rejoindre son gouvernement « [s’il] gagne ». « Face à l’apathie des forces de gauche et des autres partis, le PJD est sorti gagnant de la réforme », note un membre de la Commission consultative de révision de la Constitution. Évitant les obstacles, drapé dans sa référence à l’islam, le « parti de la lampe » marche comme son chef. En crabe.

USFP : cure d’opposition ?

Le parti historique de la gauche marocaine a bien négocié le virage du 20 février. Ses jeunes militants ont d’abord abondé dans les rangs du mouvement, et le parti en a soutenu l’esprit contestataire sans se laisser entraîner dans ses querelles. Pendant le processus de réforme de la Constitution, sa direction s’est rassemblée autour d’un texte pragmatique dont « 97 % des revendications » ont été retenues, selon son secrétaire général, Abdelouahed Radi.

L’Union socialiste des forces populaires (USFP) a logiquement fait campagne pour le oui au référendum, en réservant ses combats pour les législatives. En 2007, le parti avait reculé à la cinquième place, avec 38 députés (sur 325). Revenu au centre du jeu politique, il voudra peser sur la formation du futur gouvernement. Seule une partie de la base souhaite un retour à une stratégie de confrontation, qui passerait par un retour dans l’opposition. Parti d’intellectuels et de fortes têtes, l’USFP a décidé de reléguer ses luttes intestines au congrès, qui se tiendra en fin d’année.
PAM : patchwork insolite

Visé par les manifestants comme le symbole de l’affairisme et des conflits d’intérêt, Fouad Ali El Himma a fait le dos rond pendant plusieurs mois. L’ex-ministre délégué à l’Intérieur et ami du roi, en compagnie duquel il a encore été aperçu récemment, a pris ses distances avec le parti qu’il a créé en 2008. Sans lui, le curieux attelage d’anciens gauchistes, de notables de région, d’affairistes recyclés et d’ambitieux de la politique commence à ressembler à un patchwork de plus en plus insolite.

Le Parti Authenticité et Modernité vit aujourd’hui au rythme des défections. Début juillet, l’avocate Fatima Zahra Mansouri a mis sur la table sa démission de son mandat de maire de Marrakech et de membre du parti – lequel a rejeté sa demande. Le 20 juillet, c’était au tour de Khadija Rouissi, militante des droits de l’homme et fondatrice du parti, de claquer la porte, dénonçant l’absence d’un réel projet moderniste. Malade, le PAM ? Pas sûr… Arrivé en tête lors des communales de 2009, il s’est transformé en redoutable machine électorale, attirant de nombreux adhérents en un temps record.
PSU, PADS, CNI : nouvelle gauche

Relancés par le Mouvement du 20 février, les partis de l’Alliance de la gauche démocratique – Parti socialiste unifié (PSU), Parti de l’avant-garde démocratique et socialiste (PADS) et Congrès national Ittihadi (CNI) – hésitent à convertir leur capital sympathie en résultats électoraux. Parmi eux, le PSU fait figure de leader. Issu de la fusion de l’Organisation de l’action démocratique populaire (extrême gauche) et de transfuges de l’ancienne jeunesse de l’USFP, c’est un parti de militants implantés dans de nombreuses villes moyennes. Mais, coincé entre un penchant pour le plaidoyer (mouvements sociaux, droits de l’homme) et des ambitions réformistes, il doit trancher. Après l’appel au boycott du référendum, balayé par la forte participation, les législatives testeront les intentions de la « nouvelle gauche »

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAJA2639p030-032.xml0/pjd-parlement-election-legislative-droits-de-l-hommemaroc-que-valent-les-partis.html

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Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.

apparemment le préfait de casablanca ex patron de l'interpole , mostafa mousouni serai deja a zagoura comme chef de la police laba , et le divisionnaire d'anfa , pour figig .... c'est pas encore certain , mais beaucoup de source en parle .

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une belle chose pour honorer la mémoire de nos champions

Citation :

Lancement de la « Fondation Mohammed VI des Champions sportifs »

Sous les Hautes Directives de Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu le glorifie, et afin d’honorer la mémoire des champions et sportifs marocains de haut niveau, le Ministère de la Jeunesse et des Sports annonce la création de la « Fondation Mohammed VI des Champions Sportifs ».

Lors des deuxièmes Assises du Sport, tenues le 24 Octobre 2008 à Skhirat, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a rappelé dans un message adressé aux participants à quel point le Sport est profondément enraciné dans notre identité collective et qu’il est important pour la nation d’encourager et d’honorer ses champions qui réalisent tant d’exploits et hissent si haut le drapeau marocain dans les rencontres internationales.

C’est dans l’esprit de ces Hautes Orientations Royales, que procède aujourd’hui le Ministère de la Jeunesse et des Sports à la création de la « Fondation Mohammed VI des Champions Sportifs ». Convaincus que le Sport, au même titre que la Culture et l’Environnement, est un formidable levier de développement, d’intégration et de progrès social.

La Fondation a pour mission première d’assurer aux sportifs marocains une vie digne et honorable, en apportant aux bénéficiaires ainsi qu’à leur ayant droit toute l’assistance sociale nécessaire en termes de couverture médicale et de retraite.

En honorant l’apport de ces champions, leurs exploits, leurs réalisations et leur mérite, la Fondation se veut aussi un espace de reconnaissance et d’hommage à la mémoire des hommes et des femmes qui ont tant donné pour hisser l’image du Maroc dans le concert des nations, et servir d’exemple aux générations futures.

Les bénéficiaires de la Fondation Mohamed VI des Champions Sportifs seront à titre principal les « gloires » sportives en activité ou ayant cessé leurs parcours sportif qui ont représenté dignement le Royaume du Maroc dans des compétitions internationales. De même que les sportifs marocains qui ont un parcours sportif exceptionnel et dont la notoriété est reconnue au niveau national et international, ainsi que les acteurs du monde sportif qui ont œuvré pour améliorer les performances de nos athlètes et faire rayonner le sport national.

La Fondation Mohammed VI des Champions Sportifs est dotée d’une mission d’intérêt général, et fera appel à des fonds publics et privés, afin de financer son ambitieux plan d’action.

L’assemblée générale qui s’est réunie le mercredi 17 aout 2011 a élu à l’unanimité les membres du conseil d’administration.

Réuni à cette occasion le Conseil d’administration a délibéré et nommé à l’unanimité les membres du bureau exécutif suivants:

Président : M. Moncef Belkhayat
1er Vice-président : M. Hicham El Guerrouj
2ème Vice Président : M. Hamid Hazzaz
Secrétaire Général : M. Nawfal Laarabi
Assesseur & porte-parole de la fondation : Mme Nezha Bidouane
Assesseur : M. Kamal Lahlou
Conseiller : M. Abdelaziz Bouderbala
Conseiller : M. Salaheddine Bassir

A la fin des travaux, les membres fondateurs ont adressé un message de fidélité et de loyalisme à Sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu l’assiste, et d’attachement au glorieux Trône Alaouite.

MJS

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leadlord a écrit:: apparemment le préfait de casablanca ex patron de l'interpole , mostafa mousouni serai deja a zagoura comme chef de la police laba , et le divisionnaire d'anfa , pour figig .... c'est pas encore certain , mais beaucoup de source en parle .

information démenti par la DGSN

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Pro rege, saepe, pro patria semper

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