messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: La politique américaine comme si vous y étiez... Dim 11 Mar 2012 - 20:39
Rappel du premier message :
Citation :
Ce militant démocrate qui défie Barack Obama
Candidat à la présidence, Darcy Richardson exprime la frustration d’une partie des progressistes états-uniens face au bilan du président sortant. Il participe aux primaires démocrates afin de «r amener,dit-il, Obama à gauche ».
Il n’a eu droit qu’à quelques entrefilets dans deux, trois journaux mais le New York Times ne l’a pas cité une seule fois dans l’un de ses articles. Il ne collecte que quelques milliers de dollars de-ci, de-là. Il ne bénéficie donc ni de la puissance financière ni de la couverture médiatique, éléments indispensables à toute campagne électorale aux États-Unis. Pourtant Darcy Richardson est bel et bien candidat à la présidence des États-Unis (www.darcy2012.com). Mieux même, il est le seul à défier Barack Obama dans plusieurs États. Même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
« Je suis le premier à admettre que je n’ai aucune chance de battre, voire d’inquiéter le président sortant », répète Darcy Richardson en préambule des rares interviews que des chaînes locales lui accordent. Même si Eugene McCarthy constitue sa référence politique (les deux hommes ont notamment milité ensemble au début des années quatre-vingt-dix dans l’aile gauche du Parti démocrate), ce féru d’histoire sait que 2012 n’est pas 1968. Cette année-là, le sénateur progressiste du Minnesota, Eugene McCarthy, avait défié, au nom du mouvement antiguerre, Lyndon Johnson, président depuis 1963, embourbé dans son escalade militaire au Vietnam. Après des premières primaires très serrées, Johnson renonça finalement à se représenter.
Pourquoi dès lors se lancer dans une telle bataille à cinquante-six ans ? Parce qu’Obama doit répondre de son bilan, rétorque en substance cet ancien assureur devenu auteur et bloggeur (www.battleground.com). « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. » L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. « Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush. »
Darcy Richardson a reçu le soutien de la Nouvelle Alliance progressiste (www.newprogs.org), organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Aucune des personnalités évoquées depuis plusieurs mois (Jeffrey Sacks, Robert Reich, Bernie Sanders, Dennis Kucinich…) n’a relevé le gant. Darcy Richardson, si. Son slogan de campagne : « Un démocrate progressiste pour président. » Et son espoir : « Ramener Obama à gauche. »
Aux États-Unis, il n’y a pas que Lyndon LaRouche pour accuser Obama d’avoir trahi ses promesses. Bien que boudé par la grande presse, le démocrate progressiste Darcy Richardson défie le président Barack Obama dans plusieurs États dans la course à la présidentielle. Car, même si le barnum ultradroitier des républicains l’a occulté, il n’en reste pas moins que le Parti démocrate organise lui aussi un processus de désignation de son candidat.
Pour Darcy Richardson, qui mène lui aussi campagne pour rétablir la séparation des banques d’affaires des banques de dépôt (retour au Glass-Steagall Act), le bilan du mandat d’Obama est plus que calamiteux : « Il n’a accompli aucune des choses dont il a parlé en 2008. L’administration Obama est un cas d’école de l’influence corruptrice de l’argent de Wall Street dans la politique américaine. Le président a abandonné sans mener le combat. »
Et comme le précise un article paru dans l’Humanité du 8 mars : « L’accusation est rude mais le ton toujours posé. Il cite : renoncement de la réforme du système bancaire et de Wall Street et de la création d’un véritable système public de santé, poursuite de la guerre en Afghanistan, reconduction des réductions d’impôts pour les plus riches votés sous George Bush. "Les frustrations et les déceptions de l’électorat démocrate sont immenses, ajoute-il. De plus en plus de gens se rendent compte que le premier mandat d’Obama est en fait un troisième mandat de Bush. Nous ne voulons pas d’un quatrième mandat de Bush." »
La référence politique de Darcy Richardson reste Eugene McCarthy (rien à voir avec l’anti-communiste Joseph McCarthy). Ce sénateur progressiste du Minnesota avait défié en 1968, au nom du mouvement contre la guerre du Vietnam, Lyndon Johnson, président depuis 1963. Eugene McCarthy était aussi en très bonnes termes avec Lyndon LaRouche et s’était fait remarquer en 1988 en faisant campagne en faveur de l’Initiative de défense stratégique (IDS), initiative anti-guerre initié par LaRouche et caricaturé par la presse comme « la guerre des étoiles ». Il avait également signé l’appel pour un Nouveau Bretton Woods de LaRouche.
Aujourd’hui, Darcy Richardson dispose du soutien de la Nouvelle Alliance progressiste, organisation créée par le philosophe noir Cornel West, très critique envers l’hôte de la Maison-Blanche et qui avait appelé à une candidature unifiée pour défier Obama. Le slogan de campagne de Richardson : « Un démocrate progressiste pour président. » Son espoir : « Ramener Obama à gauche. »
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 27 Nov 2020 - 18:05
A titre perso je pense que y'aura pas beaucoup de chamboulement au niveau de la politique extérieure US, les seuls pour qui cette administration risque de poser de problème c'est la Turquie et l'Arabie Saoudite sinon à mon avis au front interne ils ont beaucoup à faire entre la Covid les dissensions interne, cette administration je la vois comme une transition pour préparer le terrain à Kamala Harris.
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Ven 27 Nov 2020 - 21:07
Les Européens n'ont qu'une envie géostratégique : servir de serpillière aux US et surtout quand ils sont du parti démocrate
Pour les US, le seul sujet qui les obnubile, c'est la CHINE
Invité Invité
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 30 Nov 2020 - 18:44
Citation :
Joe Biden se fracture le pied en jouant avec son chien
Joe Biden, président élu des États-Unis, c’est fracturé le pied en jouant avec son chien, apprend-on ce lundi 30 novembre. https://www.ouest-france.fr/monde/etats-unis/joe-biden/joe-biden-se-fracture-le-pied-en-jouant-avec-son-chien-7067149
chibani hada(ce papy) , il va pas tenir le coup
Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 30 Nov 2020 - 18:56
Il va battre tout les record ( Catholique et plâtré)
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Adam Modérateur
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 3 Déc 2020 - 12:45
Thomas L. Friedman - The New York Times a écrit:
Biden Made Sure ‘Trump Is Not Going to Be President for Four More Years’
Here’s what Joe Biden had to say about the future in our interview.
President-elect Joe Biden was in a good mood as we talked on the phone Tuesday evening for an hour — he in Delaware and me in Bethesda, Md. He apologized, though, for being late. He had been following the breaking news that Attorney General William Barr had announced that the Justice Department had not uncovered any significant fraud that could have affected the results of the presidential election. It’s all over.
Biden joked that Barr had just called him, “asking if I can get him in the witness protection program for endorsing me.”
Considering the Trump team’s hurricane of dishonest claims about the election, the president-elect was entitled to a little laugh at its expense. Otherwise, he was all business.
Biden had a lot to say about how he intends to approach the current Senate majority leader, Mitch McConnell, and his Republican colleagues in order to get his cabinet nominees — and as much of his agenda as possible — through the Senate; how he intends to reshape U.S.-China strategy; and why he is ready to return to the Iran nuclear deal, if Iran does, and end President Trump’s sanctions on Iran.
Biden also spoke in depth about his strategy to connect with rural Americans, who have become estranged from the Democratic Party.
I did ask one personal question: What has it been like to win the presidency under such weird circumstances — with a deadly pandemic and an infodemic of Trump propaganda falsely claiming that the election was rigged?
“I feel like I’ve done something good for the country by making sure that Donald Trump is not going to be president for four more years,” Biden said. “But there’s been no moment of elation. It kind of reminds me of what’s going on with all my grandkids. You know, here I got a granddaughter who graduates with honors from Columbia. There’s no commencement. I’m the commencement speaker. It’s virtual. These kids are graduating with no parties. It’s just one of those moments. There’s a lot of work to do. I’m just focused on getting some things done as quickly as I can.”
Exactly how much he will get done will depend to a large degree on two things, Biden noted. One is how Republicans in the Senate and the House behave once Trump is truly gone from power. And the other is how McConnell behaves if he continues to control the Senate.
Biden’s top priority, he said, is getting a generous stimulus package through Congress, even before he takes office.
We are courting serious long-term economic harm if we don’t deal with the fact that “you have over 10 million people out there who are worried [how] they can pay their next mortgage payment,” and “you have a significantly higher number of people who have no ability to pay their rent.”
When people “are out of the work force too long, you know, that makes it a hell of a lot harder for them to get back in the work force,” Biden said. “Many of them are losing years and years of opportunity.”
The same is true when kids miss significant time in school. “They don’t just lose that semester,” he said. “They end up sometimes two and three years behind.”
A generous stimulus will actually generate economic growth without long-term fiscal harm if in the future “everybody pays their fair share, for God’s sake,” he insisted. “And by that fair share, I mean there’s no reason why the top tax rate shouldn’t be 39.6 percent, which it was in the beginning of the Bush administration. There’s no reason why 91 Fortune 500 companies should be paying zero in taxes.”
But the big question is whether he can get it past McConnell today or tomorrow if the Republicans continue to hold the Senate. A significant number of Republican senators could decide that they want to become deficit hawks again under a President Biden, after four years of uncontrolled spending under Trump that has brought the national debt to record highs.
Biden was careful about how he talked about McConnell, who has been careful not to call Biden “president-elect.” Biden obviously wants to keep the prospects of cooperation open — but also make clear that he may have more leverage with the American people than the G.O.P. realizes if Senate Republicans opt for full-on obstruction.
“Let me put it this way,” he said. “There are a number of things that when McConnell controlled the Senate that people said couldn’t get done, and I was able to get them done with [him]. I was able to get them to, you know, raise taxes on the wealthy.”
“I think there are trade-offs, that not all compromise is walking away from principle,” Biden added. “He knows me. I know him. I don’t ask him to embarrass himself to make a deal.”
At the same time, if Republicans clearly “let all this go down the drain” just so a Biden administration will not get a win, that “may have an impact on the prospect of Republicans running for re-election in 2022.”
“When you have cops and firefighters and first responders across the board being laid off, when you’re not getting the kind of distribution of vaccines out to rural America,” he said, “it has to have some consequences.”
Having been through a lot of political seasons, Biden added, the world could change a lot for Republican lawmakers once Trump is gone, although he certainly will not be forgotten.
“My favorable rating is now 55 percent,” he said. “Trump is down to 42 percent.” A significant number of independents and some Republicans could start to look at the world very differently in the next few weeks, he said.
“I’m not sure [they] can sustain the position that we’re not going to do anything to help the circumstances of keeping businesses open, making sure we could open our schools safely. It is kind of hard to go home” if you are a Republican senator who says “let the states go bankrupt.” Republicans live in those states, too.
On foreign policy, Biden made two significant points. First, I asked him whether he stood by his views on the Iran nuclear deal that he articulated in a Sept. 13 essay on CNN.com. He answered, “It’s going to be hard, but yeah.”
He had written that “if Iran returns to strict compliance with the nuclear deal, the United States would rejoin the agreement as a starting point for follow-on negotiations,” and lift the sanctions on Iran that Trump imposed.
The Iranians are clearly hoping for that. The Iranian foreign minister, Javad Zarif, said on Nov. 17 that a return to full implementation by the United States and Iran can be “done automatically” and “needs no negotiations.”
The nuclear deal was signed in 2015. Trump unilaterally withdrew from it in May 2018, reimposing crippling oil sanctions on Iran, claiming that it was a bad deal to begin with and that Iran was cheating — which was not the view of our European allies or international inspectors.
The view of Biden and his national security team has been that once the deal is restored by both sides, there will have to be, in very short order, a round of negotiations to seek to lengthen the duration of the restrictions on Iran’s production of fissile material that could be used to make a bomb — originally 15 years — as well as to address Iran’s malign regional activities, through its proxies in Lebanon, Iraq, Syria and Yemen.
Ideally, the Biden team would like to see that follow-on negotiation include not only the original signatories to the deal — Iran, the United States, Russia, China, Britain, France, Germany and the European Union — but also Iran’s Arab neighbors, particularly Saudi Arabia and the United Arab Emirates.
Earlier this week, I wrote a column arguing that it would be unwise for the United States to give up the leverage of the Trump-imposed oil sanctions just to resume the nuclear deal where it left off. We should use that leverage to also get Iran to curb its exports of precision-guided missiles to its allies in Lebanon, Syria, Yemen and Iraq, where they threaten Israel and several Arab states. I still believe that.
Biden and his advisers are aware of that argument, and do not think it is crazy — but for now they insist that America’s overwhelming national interest is to get Iran’s nuclear program back under control and fully inspected. In their view, Iran’s development of a nuclear weapon poses a direct national security threat to the United States and to the global nuclear weapons control regime, the Treaty on the Non-Proliferation of Nuclear Weapons.
“Look, there’s a lot of talk about precision missiles and all range of other things that are destabilizing the region,” Biden said. But the fact is, “the best way to achieve getting some stability in the region” is to deal “with the nuclear program.”
If Iran gets a nuclear bomb, he added, it puts enormous pressure on the Saudis, Turkey, Egypt and others to get nuclear weapons themselves. “And the last goddamn thing we need in that part of the world is a buildup of nuclear capability.”
Then, Biden said, “in consultation with our allies and partners, we’re going to engage in negotiations and follow-on agreements to tighten and lengthen Iran’s nuclear constraints, as well as address the missile program.” The U.S. always has the option to snap back sanctions if need be, and Iran knows that, he added.
There is going to be a lot of debate about this in the coming months.
On China, he said he would not act immediately to remove the 25 percent tariffs that Trump imposed on about half of China’s exports to the United States — or the Phase 1 agreement Trump inked with China that requires Beijing to purchase some $200 billion in additional U.S. goods and services during the period 2020 and 2021 — which China has fallen significantly behind on.
“I’m not going to make any immediate moves, and the same applies to the tariffs,” he said. “I’m not going to prejudice my options.”
He first wants to conduct a full review of the existing agreement with China and consult with our traditional allies in Asia and Europe, he said, “so we can develop a coherent strategy.”
“The best China strategy, I think, is one which gets every one of our — or at least what used to be our — allies on the same page. It’s going to be a major priority for me in the opening weeks of my presidency to try to get us back on the same page with our allies.”
China’s leaders had their issues with Trump, but they knew that as long as he was president, the United States could never galvanize a global coalition against them. Biden’s strategy, if he can pull it off, will not be welcome news for China.
While Trump was focused on the trade deficit with China, with little success, despite his trade war, Biden said his “goal would be to pursue trade policies that actually produce progress on China’s abusive practices — that’s stealing intellectual property, dumping products, illegal subsidies to corporations” and forcing “tech transfers” from American companies to their Chinese counterparts.
When dealing with China, Biden concluded, it is all about “leverage,” and “in my view, we don’t have it yet.” Part of generating more leverage, though, is developing a bipartisan consensus at home for some good old American industrial policy — massive, government-led investments in American research and development, infrastructure and education to better compete with China — and not just complain about it. Both Democratic and Republican senators have draft bills calling for such a strategy. The U.S. semiconductor industry in particular has been lobbying for such an approach.
“I want to make sure we’re going to fight like hell by investing in America first,” said Biden. He ticked off energy, biotech, advanced materials and artificial intelligence as areas ripe for large-scale government investment in research. “I’m not going to enter any new trade agreement with anybody until we have made major investments here at home and in our workers” and in education, he said.
And this time, he insisted, rural America will not be left behind. There is no way Democrats can go another four years and lose almost every rural county in America. For their sake and the country’s, Democrats have to figure out what is going on there and speak to rural voters more effectively.
“You know, it really does go to the issue of dignity, how you treat people,” Biden said. “I think they just feel forgotten. I think we forgot them.”
“I respect them,” Biden added, and he plans to prove it by “tackling the virus” in “red and blue areas alike.”
We have “got to end the rural health care crisis right now by building on Obamacare, assuming it survives at all, with a public option [and] automatically enroll people eligible for Medicaid. There’s strong support for that — and particularly [from] people in rural states, like Texas and North Carolina, that reject expansion. We can boost funding. I visited 15 rural hospitals. And the biggest problem is there’s not enough reimbursement for them to be able to keep open.” And they are often the biggest employer in that town or city.
A lot of these rural hospitals and clinics could benefit from telemedicine, but they don’t have the broadband connectivity. “We should be spending $20 billion to put broadband across the board,” Biden said. “We have got to rebuild the middle class,” but “especially in rural America.”
Before we signed off, I asked the president-elect just how he reacted to Republican senators threatening not to confirm Neera Tanden as director of the Office of Management and Budget, because of her trail of nasty tweets about Republicans. Should nasty tweets be disqualifying in this day and age?
“That disqualifies almost every Republican senator and 90 percent of the administration,” Biden chuckled. “But by the way, she’s smart as hell. Yeah, I think they’re going to pick a couple of people just to fight [over] no matter what.”
Biden closed by reflecting on the ugliness of the last four years — first seeing the glass half empty but then deciding in the end, who knows, maybe it’s half full.
“Seventy-two million people is a lot of people to vote for” Trump, he said. But maybe, just maybe when Trump is gone from the immediate scene, “I’m not so sure that ugliness stays. There may be 20 percent of it. Twenty five percent of it, I don’t know.”
But some portion has to come back to a place where we can collaborate.
“We got to figure out how to work together,” he said. Otherwise, “we’re in real trouble.”
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Fahed64 et QuickShark aiment ce message
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 8:17
beaucoup de choses sont en train de se passer aux USA , mais il règne une censure TOTALE chez les mass média du Main stream
Le fils Biden va être interrogé par un Juge du Delaware sur des sommes faramineuses qu'il a touché de la part d'officiels chinois, à l’époque où son père était VP...
17 Etats US poursuivent 4 autres Etats US devant la SCOTUS pour Fraude électorale
Un représentant Démocrate (à la Chambre US) qui a passé 4 ans à accuser D. Trump d'être un agent Russe, avait (hors mariage) une copine Chinoise, fausse étudiante et membre des services secrets chinois, la fille s'est volatilisée quand le FBI est venue l'arrêter il y a 3 jours
etc ..etc...
Depuis le 6 Novembre et la "défaite" de Trump, les actualités US ont disparu des radars de la presse internationale..
romh et AIT aiment ce message
Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 9:14
ca va finir en un immense film sur netflix ou en prochaine saison de walding dead
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 10:37
L'Indiana se joint à la procédure du Texas contre GA, WI, MI et PA devant la Cour suprême.
Ce sont désormais 19 états qui s'engagent contre la fraude des 4 états ....
19 Etats US qui rejettent l'élection de Biden ....Et c'est le puissant Senateur du Texas : Ted Cruz qui va plaider devant la SCOTUS , en plus du Procureur Général du Texas, Ken Paxton,
Et toujours ZERO info dans la presse Main-Stream qui ne parle que des belles chaussettes de Joe Biden qui a beaucoup de goût vestimentaire selon elle ....
Le Journalisme "à l'occidentale" est mort et enterré ...
rafi, romh et AIT aiment ce message
simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 11:06
ce qui est sur c'est que Trump ne lâchera pas la proie facilement
,
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 12:28
Les médias ne rapportent que les décisions de justice défavorables à Trump.
Merci marques pour les informations
J’ai un pressentiment que Trump va vouloir se représenter en 2024 ...
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 12:37
A mon avis c'est mort pour Trump, je pense pas que la cour suprême des us va inverser les résultats de ces élections,le seul moyen c'est qu'un tribunal inférieur agisse avant elle ce qui improbable pour ne pas dire impossible vu que John Roberts est là.. Par contre ce qui est intéressant c'est la médiatisation du Hunter Gate..on prépare doucement le Kamala time à mon avis
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simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 12:44
même si Trump quitte ses fonctions il ne va jamais reconnaitre sa défaite, ce qui fera de Biden un président fragile principalement au niveau intérieur
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 12:58
simplet a écrit:
même si Trump quitte ses fonctions il ne va jamais reconnaitre sa défaite, ce qui fera de Biden un président fragile principalement au niveau intérieur
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Je pense pas, malgré ses défauts , Trump reste un pragmatique et il a toujours dit que si les tribunaux ne reconnaissent la défaite de Biden, il reconnaitrait sa défaite..
simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 13:28
Bruce Wayne a écrit:
simplet a écrit:
même si Trump quitte ses fonctions il ne va jamais reconnaitre sa défaite, ce qui fera de Biden un président fragile principalement au niveau intérieur
.
Je pense pas, malgré ses défauts , Trump reste un pragmatique et il a toujours dit que si les tribunaux ne reconnaissent la défaite de Biden, il reconnaitrait sa défaite..
je pense pas qu'il va félicité Biden surtout qu'il a vraiment gagné et pas qu'il est mauvais perdant
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 13:44
Le mal est fait et il restera profond ..
Les magouilles électorales surtout dans les comtés urbains démocrates, l'alignement politique des mass médias comme CNN qui est devenu La Prvada ,une succursale du parti Démocrate, la censure des réseaux sociaux etc vont laisser des traces indélébiles aux USA ..
Une cassure profonde s'installe aux USA :
Pour info, beaucoup d'entreprises hich tech , des entrepreneurs (comme Elon Musk..) sont en train de quitter la Californie, NY , des états démocrates quasi en faillitte, vers le Floride et le Texas , 2 états Républicains ..
Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 14:07
Ce que tu dis est vrai marques ! Le jour d’une nouvelle guerre civil est à prendre très au sérieux !
Et il y aura un bis repetita historique entre des sudiste sur-armée sur-entraînés et des « yankee » au corps de lâches pour ne pas dire plus
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 14:21
marques a écrit:
Le mal est fait et il restera profond ..
Les magouilles électorales surtout dans les comtés urbains démocrates, l'alignement politique des mass médias comme CNN qui est devenu La Prvada ,une succursale du parti Démocrate, la censure des réseaux sociaux etc vont laisser des traces indélébiles aux USA ..
Une cassure profonde s'installe aux USA :
Pour info, beaucoup d'entreprises hich tech , des entrepreneurs (comme Elon Musk..) sont en train de quitter la Californie, NY , des états démocrates quasi en faillitte, vers le Floride et le Texas , 2 états Républicains ..
Très juste Ssi Marques , une cassure non pas entre démocrates et républicains mais entre pilgrims (aujourd'hui les élites puritaines héritière de la pensée anglo-saxonne) et des immigrés ceux qui croient au rêve américain (dont fait partie trump , vu que trump incarne parfaitement la pensée jacksonienne) Cette élection a vu malheureusement un nombre de magouilles incroyable elle me rappelle celle de la mairie de paris où des morts ont voter pour chirac Par exemple cette plainte allègue plusieurs violation en Géorgie des nons-inscrits des mineurs etc..
https://publicrecordsaccess.fultoncountyga.gov/app/RegisterOfActions/#/8AC58FA3E74D313EE950B76978C31FD3F1B59334F84E6E89B0B3A2FA59C9DB008F9597326FEAB55063675E9C184B47E4/anon/portalembed a écrit:
AIT Victime
messages : 612 Inscrit le : 02/02/2019 Localisation : Ait Hdiddou Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 14:28
Ces États qui ont déposé ces recours, me rappellent presque les États sudistes esclavagistes pendant la guerre de Sécession. C'est la même scissure qui revient, mais ça reste gérable. Quelle sera l'evolution de l'exploitation par les élites de ces sentiments d'appartenance, ça c'est une autre histoire, parce que souvent les élites pervertissent encore plus ce genre de divergences.
_________________
ⵜⴰⵢⵔⵉ ⵏ'ⵜⵎⴰⵣⵉⵔⵜ
simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 15:01
marques a écrit:
Le mal est fait et il restera profond ..
Les magouilles électorales surtout dans les comtés urbains démocrates, l'alignement politique des mass médias comme CNN qui est devenu La Prvada ,une succursale du parti Démocrate, la censure des réseaux sociaux etc vont laisser des traces indélébiles aux USA ..
Une cassure profonde s'installe aux USA :
Pour info, beaucoup d'entreprises hich tech , des entrepreneurs (comme Elon Musk..) sont en train de quitter la Californie, NY , des états démocrates quasi en faillitte, vers le Floride et le Texas , 2 états Républicains ..
Elon Musk veut quitter la Californie pour sa politique de confinement, sinon la Californie demeure l’état le plus riche des USA . autre chose la Floride est un état mi démocrate mi républicain elle est souvent de la couleur du président, d'ailleurs c'est bizarre que la Floride vote Trump et c'est Biden qui est déclaré président
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 15:22
AIT a écrit:
Ces États qui ont déposé ces recours, me rappellent presque les États sudistes esclavagistes pendant la guerre de Sécession. C'est la même scissure qui revient, mais ça reste gérable. Quelle sera l'evolution de l'exploitation par les élites de ces sentiments d'appartenance, ça c'est une autre histoire, parce que souvent les élites pervertissent encore plus ce genre de divergences.
Ce qui est rigolo est qu'en 2020, les élites (High Tech, bobos des grandes villes souvent democrates, Hollywood, les fonctionnaires d'Etat, CNN, Facebook, Twitter, Rupert Murdoch patron de Fox News etc...) sont du côté Démocrate ...
Par contre, les travailleurs, les petits salaires, les ouvriers , les petits commerçants , les agriculteurs, les Latinos, les Noirs (proportion assez élevée qq même) etc.. ont voté Républicain
Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 15:40
marques a écrit:
AIT a écrit:
Ces États qui ont déposé ces recours, me rappellent presque les États sudistes esclavagistes pendant la guerre de Sécession. C'est la même scissure qui revient, mais ça reste gérable. Quelle sera l'evolution de l'exploitation par les élites de ces sentiments d'appartenance, ça c'est une autre histoire, parce que souvent les élites pervertissent encore plus ce genre de divergences.
Ce qui est rigolo est qu'en 2020, les élites (High Tech, bobos des grandes villes souvent democrates, Hollywood, les fonctionnaires d'Etat, CNN, Facebook, Twitter, Rupert Murdoch patron de Fox News etc...) sont du côté Démocrate ...
Par contre, les travailleurs, les petits salaires, les ouvriers , les petits commerçants , les agriculteurs, les Latinos, les Noirs (proportion assez élevée qq même) etc.. ont voté Républicain
Tout à fait il me semble que plus de la moitié des latinos ont voté trump et autour de 45% d'afro-américains ont voté aussi pour Trump
AIT Victime
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 16:48
marques a écrit:
AIT a écrit:
Ces États qui ont déposé ces recours, me rappellent presque les États sudistes esclavagistes pendant la guerre de Sécession. C'est la même scissure qui revient, mais ça reste gérable. Quelle sera l'evolution de l'exploitation par les élites de ces sentiments d'appartenance, ça c'est une autre histoire, parce que souvent les élites pervertissent encore plus ce genre de divergences.
Ce qui est rigolo est qu'en 2020, les élites (High Tech, bobos des grandes villes souvent democrates, Hollywood, les fonctionnaires d'Etat, CNN, Facebook, Twitter, Rupert Murdoch patron de Fox News etc...) sont du côté Démocrate ...
Par contre, les travailleurs, les petits salaires, les ouvriers , les petits commerçants , les agriculteurs, les Latinos, les Noirs (proportion assez élevée qq même) etc.. ont voté Républicain
Oui c'est une hrira psychologique et de positionnement idéologique. Les nouveaux citoyens, font de la surenchère de nationalisme, d'appartenance vis à vis des vieux citoyens (la plus part des clons français étaient des fils d'Italiens,...). Les pauvres aiment le sentiment de puissance (clients d'oeil à la populace DZ), et aiment pas la dégénérescence des valeurs (homosexualité, famille, franchise...). Alors que le sentiment de justice exigent un niveau plus élevé de conscience et de dépassement de soi vers le commun et l'humanisme.
D'un autre côté, en réalité les démocrates n'ont rien de partie des pauvres ni de social-démocratie, ce partie est un partie de centre-batard et de faux-Q, de baratin progre... L'aile gauche à été tourpillé aux USA. Les pauvres ne s'y retrouvent pas dans ce partie de jeunes éduqués et de bourgeois progre... d'ailleurs, la réponse démocrate aux manifestations des Blacks, latinos... Étaient de leurs jeté à la figure un white négro comme disait Malcom X: Obama, Kamala, Ocasio-Cortez, Ilhan... Politique des figures en sommes.
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ⵜⴰⵢⵔⵉ ⵏ'ⵜⵎⴰⵣⵉⵔⵜ
marques General de Brigade
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Jeu 10 Déc 2020 - 18:49
JUST IN:
President @realDonaldTrump will be meeting with 12 state Attorneys General at the White House within the hour who have joined the motion filed by @KenPaxtonTX in the United States Supreme Court to challenge election fraud & unlawful changes to state election codes.
Traduction :Le Pdt @realDonaldTrump rencontrera 12 procureurs généraux des États, à la WH qui se sont joints à la motion déposée par @KenPaxtonTX à la Cour suprême des États-Unis pour contester la fraude électorale et les modifications illégales du code électoral de l'État
simplet General de Brigade
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 14 Déc 2020 - 17:05
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez... Lun 14 Déc 2020 - 23:18
https://ledesk.ma/encontinu/la-victoire-de-joe-biden-la-presidentielle-confirmee-par-le-college-electoral/ a écrit:
Biden est officiellement élu par le collège électoral, le travail (re)commence aussi pour notre pour bien travailler cette nouvelle administration , qu'allah soit avec nous dans notre juste cause
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
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Sujet: Re: La politique américaine comme si vous y étiez...