Armée Française / French Armed Forces

Rappel du premier message :

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Citation :

MBDA Aster surface to air missile to be tested against supersonic target

The Marine Nationale (French Navy) will test the naval version of the Aster 30 against a US made GQM 163A Coyote simulating a sea skimming supersonic anti-ship missile. This follows the succesful interception of an Israeli made Black Sparrow missile (simulating a SCUD missile) by Aster SAM.

The GQM-163 Coyote is a supersonic seaskimming target built by Orbital Sciences and used by the United States Navy since 2006 for target practice.

GQM 163A Coyote
(picture: Orbital Science)

The GQM 163A Coyote flies at Mach 2,5 (3000 km/h) with an altitude of less than 5 meters and it can conduct evasive maneuvers. It was designed to simulate the Russian made missiles that Western fleets may face such as the SS-N-22 (P-270 Moskit), SS-N-26 (P-800 Oniks, Yakhont) or the Brahmos.

Aster 15 launched from the French nuclear powered aircraft carrier Charles de Gaulle
(picture: MBDA)

The Aster familly of SAM missiles (15 and 30) made by MBDA has established itself as a technical success. They are the result of cooperation between France and Italy

.navyrecognition.com

Le Kit Azur comprend :

Citation :

- un kit de blindages rapportés optimisés contre les menaces type roquettes anti-char d'infanterie,

- un kit de protection contre la pénétration de projectiles et liquides enflammés,

- un système de communication sans fil avec les fantassins débarqués,

- un avertisseur sonore de recul, un moyen d'observation panoramique des abords immédiats du char,

- un armement de 7,62 télé-opéré avec système de visée jour / nuit,

- des coffres de ravitaillement fixés à l'arrière du châssis sur les interfaces des bidons largables,

- une interface électrique pour matériels civils.

Les éléments les plus lourds sont le kit de blindage additionnel et le tourelleau (calibre12,7).
un tourelleau 12,7 (le bloc complet) doit peser entre 200 et 300 kg.
le faible différentiel de poids ne m'étonne pas trop (+ 1T pour les blindages additionnels et 500kg pour le reste).
Les 2 reservoirs additionnels et largables font 200 litres chacun. Donc a pleine charge (carburant + munitions) la bête doit faire à peine 2 T de plus.

Nota: un tourelleau Konksberg de 12,7, hors arme et munition fait 128 kg.
PGM

Citation :

Afghanistan : der des ders pour les Mirage 2000D
Le 06/07/2012 à 13:18 | Par Guillaume Steuer


L'Etat-major des armées l'annonce aujourd'hui : hier 5 juillet, les Mirage 2000D du détachement chasse de Kandahar ont mené leur dernière mission de guerre sur le théâtre afghan. Comme nous l'annoncions en exclusivité dès le 29 juin, les monoréacteurs de l'armée de l'Air devraient avoir regagné leur port d'attache de Nancy avant le 14 juillet.

L'EMA livre, en chiffres, le bilan de l'activité des avions de combat français (2000D, Rafale, F1CR, SEM) sur la plateforme afghane depuis 2007. Les chasseurs-bombardiers auraient ainsi accumulé 7.200 sorties pour environ 26.000 heures de vol, ponctuées par 12.700 ravitaillements en vol. Au total, plus de 380 "délivrances d'armement" (canon ou bombes) ont été réalisées au profit des troupes au sol.

Derniers avions de combat français à quitter le théâtre afghan, les Mirage 2000D avaient été déployés dès la fin février 2002 en soutien à l'opération "Enduring Freedom". Ils étaient alors basés à Manas, au Kirghizistan, d'où ils larguèrent une première GBU-12 sur l'Afghanistan le 2 mars. A partir de septembre 2007, les 2000D prennent leurs quartiers à Kandahar. GBU-49, Rover, nacelle Damocles: au fil des années, le chasseur-bombardier a évolué pour s'adapter à sa mission de chasse à l'insurgé, qui était loin d'être celle pour laquelle il fut conçu...

Après avoir retiré ses capacités de reconnaissance tactique (F1CR / nacelle Presto), de surveillance aéroportée (drones Harfang et SDTI) et, bientôt, d'attaque au sol (hélicoptères Tigre), la France sera entièrement dépendante des autres nations de la Coalition pour assurer ces missions bien spécifiques et malgré tout indispensables pour assurer la sécurité du désengagement des éléments français.



http://www.air-cosmos.com/defense/afghanistan-der-des-ders-pour-les-mirage-2000d.html

je crois que c´est le grand gagnant francais de cette guerre d´astan,le M2000.
s´il ne l´aurait pas faite il serait probablement dans le compte des app retirés,comme quoi les armées savent bien comment sauver par une belle guerre leur bebés du mechant stylo rouge

des sites secrets de l'armée française voir les videos en bas de l'article

http://lci.tf1.fr/france/societe/exclusif-penetrez-dans-les-sites-secrets-de-l-armee-7400873.html

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Guyane : les armées sécurisent le lancement de la fusée Ariane 5 v.207

Mise à jour : 06/07/2012 19:10

Du 2 au 5 juillet 2012, près de 250 militaires des forces armées en Guyane (FAG), étaient à pied d’œuvre à terre, en mer ou dans les airs pour assurer la sécurité du lancement de la fusée Ariane depuis Kourou. C’est la mission Titan.



Principale mission des Forces armées en Guyane (FAG), Titan s’effectue sur une zone inhospitalière de 750km² composée à 80% de forêt primaire. Elle consiste, avec l’appui des légionnaires du 3e régiment étranger d’infanterie (3e REI) et du centre de contrôle militaire, à protéger les principaux points d’intérêts vitaux ainsi que les alentours du centre spatial guyanais.

Pour la partie terrestre placée sous les ordres du chef de corps du 3e REI, le cœur de la mission se déroule en forêt. Aguerris par une formation spécifique de vie en « jungle », les légionnaires assurent des missions de contrôle de zone, fixe et mobile, lors de patrouilles à pied, en quad ou même en Kayak.

La compagnie d’appui sol-air met en œuvre des postes d’observation équipés de Missiles Transportables Antiaériens Légers (MISTRAL) et de caméras thermiques. Elle participe ainsi au dispositif particulier de sûreté aérienne, placé sous les ordres du commandant de la base aérienne de Cayenne, la Haute Autorité de Défense Aérienne, (HADA). Des équipages d’hélicoptères Fennec avec tireur d’élite en alerte « très court préavis » complètent ce dispositif. Les Fennec sont en vol quelques minutes avant le lancement et jusqu’à disparition de la fusée.

Enfin, en mer, un patrouilleur (P400) et une vedette côtière de surveillance maritime de la Marine Nationale assurent la protection des approches maritimes du plateau de lancement, dissuadant toute tentative d’intrusion par une embarcation. Un Falcon 50 veille également depuis le ciel à ce qu’aucun aéronef ou navire ne soit sous la trajectoire de la fusée.

Le 5 juillet 2012 à 18h36, le 207e lancement de la fusée Ariane a eu lieu. Quelques minutes plus tard, deux satellites de communication ont pu être mis en orbite.






Crédits : EMA / armée de Terre Du 2 au 5 juillet 2012, le lancement de la fusée Ariane a nécessité un dispositif de sécurité assuré par les forces armées françaises - Ministère de la Défense

http://www.defense.gouv.fr/ema/forces-prepositionnees/guyane/actualites/guyane-les-armees-securisent-le-lancement-de-la-fusee-ariane-5-v.207

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Un Rafale de la Marine s'abîme en mer (actualisé)

Le taux d'attrition des avions de combat modernes est d'environ 1,5 pertes d'appareil pour 100.000 heures de vol.

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Un-Rafale-de-la-Marine-s-abime-en-mer-actualise_a672.html

5 Rafale ont été perdu (le B316/7-HL pour l'armée de l'air et les M18, M22, M24, M25 pour la marine nationale)

rafi a écrit:

Citation :

Un Rafale de la Marine s'abîme en mer (actualisé)

Le taux d'attrition des avions de combat modernes est d'environ 1,5 pertes d'appareil pour 100.000 heures de vol.

http://www.marianne2.fr/blogsecretdefense/Un-Rafale-de-la-Marine-s-abime-en-mer-actualise_a672.html

5 Rafale ont été perdu (le B316/7-HL pour l'armée de l'air et les M18, M22, M24, M25 pour la marine nationale)

Ce que je trouve quand même bizzare c'est cette proportion très importante Rafale Marine, Alors que c'est l'armée de l'air qui en détient un nombre plus important! Est ce en rapport avec le fait que marine l'a mis en service la première?

En septembre 2011 les Rafale de l'armée de l'air avaient atteint les 30.000 heures de vol, le premier ayant été livré en 2004. Le premier Rafale M a été livré à la marine nationale en juillet 2000.

http://www.dassault-aviation.com/fr/passion/actu/archives/2011/la-mise-en-peinture-du-rafale-pour-les-30-000-heures-de-vol-dans-larmee-de-lair.html?cHash=8328870e9f

http://www.defense.gouv.fr/dga/equipement/aeronautique/le-rafale

Citation :

Les essais du Caïman vont bon train

Depuis maintenant plusieurs semaines le GAMSTAT, le Groupement Aéromobile de la Section Technique de l’Armée de Terre sis à Valence dans la Drôme, réalise les essais de validité du premier des 22 NH-90 TTH que l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (ALAT) mettra en oeuvre dès l’année prochaine. Outre les phases de pur vol d’essais les ingénieurs et pilotes doivent également établir des procédures communes avec l’ensemble des moyens dont dispose l’Armée de Terre.

C’est ainsi que désormais les personnels du GAMSTAT réalisent des vols d’essais en compagnie de la majorité des aéronefs avec lesquels le Caïman « terrestre » devra opérer, dont le Tigre, en version HAP et HAD. Remplaçant officiel du Puma le Caïman est pour l’instant un appareil nouveau plein de promesses mais dont on ignore totalement les réactions sur le champ de bataille, qu’il soit urbain ou rural. Quoi qu’il en soit la signature radar réduite de l’appareil et sa relative discrétion en feront un taxi apprécié des fantassins. Reste juste à savoir s’il réussira le pari de faire oublier la robustesse, la rusticité, et finalement la force du gros félin d’Aérospatiale. Seul l’avenir nous le dira.

avions légendaires

Je devrais avoir la semaine prochaine des photos du meeting du GAMSTAT de Valence qui a lieu aujourd'hui ,j'ai vu passé 2 2000N sur la tranche a 90m du sol ,c'est assez impressionnant.

Citation :

Tchad : exercice de sauvetage interarmées



Mise à jour : 08/07/2012 18:08
Le 27 juin 2012, la force Epervier a déployé une dizaine de militaires pour conduire un exercice de Search and Rescue (SAR) au Nord de la capitale Tchadienne, N’Djamena.

Les pilotes de l’Aviation Légère de l’Armée de Terre (ALAT), des fusiliers commandos de l’Air et un médecin du Service de santé des armées de l’opération Epervier ont effectué un exercice Search and Rescue (SAR) ayant pour objectif le repérage et la récupération dans un délai contraint d’un pilote éjecté en zone semi-permissive.

Simulant une éjection, un pilote a déclenché sa balise depuis un endroit isolé, situé à quelques kilomètres au nord de N’Djamena. Sans être hostile, l’endroit n’était pas sécurisé mais imposait une intervention rapide. Les militaires en alerte sur la base Kosseï ont alors eu quelques minutes pour préparer leur mission à partir des informations recueillies: localiser la zone, préparer la mission et intervenir rapidement. Pour élever la difficulté de l’exercice, le pilote s’est déclaré blessé, nécessitant sa prise en charge médicalement.

Trente minutes à peine après le déclenchement de l’alerte, un hélicoptère Puma déposait l’équipe SAR composée de commandos de l’air, dont deux « médics » (commandos formés au sauvetage de combat) et d’un médecin sur la zone de crash. Le sauvetage s’est alors organisé sous les ordres du chef d’équipe qui, chronomètre à la main, a suivi toutes les étapes de la mission : sécurisation du périmètre, authentification du pilote, réalisation des premiers soins, conditionnement et évacuation par hélicoptère. Trente minutes ont suffit pour réaliser cette exfiltration en toute sécurité. Une mission « intéressante et, surtout, très utile » de l’avis du médecin, le capitaine Anne-Camille P., qui participait pour la première fois à ce genre de mission.

Ces entraînements sont régulièrement organisés sur le théâtre pour maintenir l’interopérabilité de la Force Epervier. 950 soldats français arment cette mission parmi lesquels les pilotes d’aéronefs du groupement air composé de 4 Mirage F1, de 4 hélicoptères Puma, de 3 appareils de transport tactique (2 Transall C160 et 1 CASA CN 235) et d’1 appareil de ravitaillement en vol C-135.






Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense

http://www.defense.gouv.fr/operations/tchad/actualites/tchad-exercice-de-sauvetage-interarmees

liens TF1 de l'émission sept à huit sur la patrouille de France

http://videos.tf1.fr/sept-a-huit/les-acrobates-du-ciel-7406741.html

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Une perte de contrôle « irrécupérable » pour expliquer le dernier accident d’un Rafale en Méditerranée
8 juillet 2012 – 11:31
Le 2 juillet dernier, le Rafale M24, appartenant à la Flottille 12F, s’abîmait en Méditerranée, au large des côtes espagnoles. Le pilote de l’appareil avait eu le temps de s’éjecter. Récupéré sain et sauf par un hélicoptère de l’US Navy, il fut ramené à bord du porte-avions Charles de Gaulle, d’où il avait été catapulté pour une mission d’entraînement.

Cette dernière consistait en un combat rapproché avec un F-18 Hornet du porte-avions américain USS Einsenhower. Pour cela, le Rafale M24 avait été doté d’un bidon de carburant ventral et de missiles inertes Mica IR.

Depuis, l’épave du Rafale a été localisée par la Marine nationale dans un secteur où les fonds marins peuvent atteindre une profondeur de 2.000 mètres. Mettre la main sur les enregistreurs de vol permettrait d’avoir des certitudes quant aux causes de l’accident.

A ce sujet, etelon des informations publiées dans le dernier numéro d’Air&Cosmos, « le flux des réacteurs du Hornet aurait perturbé les capteurs de pression et de température situés sur le nez du Rafale, envoyant ainsi des informations incohérentes au logiciel des commandes de vol ».

Du coup, poursuit l’hebdomadaire spécialisé, l’avion serait alors « entré dans une attitude irrécupérable par le pilote », lequel a donc été contrait à s’éjecter à 3.000 pieds environ. Et d’évoquer l’hypothèse d’une « entrée dans vrille à plat », comme le F-14 de « Maverick » dans le film Top Gun.

Cependant, il est théoriquement impossible de mettre un Rafale dans une telle situation. Mais, avance Air&Cosmos, « les conditions dégradées dans lesquelles se trouvait alors le système de commandes de vol, ‘nourri’ par des informations incohérentes, pourraitent accréditer cette thèse ».

En attendant, la perte de cet avion fait que la Marine nationale ne dispose plus que de 18 Rafale M pour les flottilles 12F et 11F. Pour le moment, les 10 appareils au standard F1 qui avaient été mis sous cocon sont en train d’être portés au standard F3 à l’atelier industriel de l’aéronautique (AIA) de Clermont-Ferrand, qui dépend du Service Industriel de l’Aéronautique (SIAé). Trois nouveaux appareils sont en attente d’être livrés en 2012 et seulement deux en 2013.
http://www.opex360.com/2012/07/08/une-perte-de-controle-irrecuperable-pour-expliquer-le-dernier-accident-dun-rafale-en-mediterranee/

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Premier tir de qualification réussi pour l’AASM à guidage terminal laser
Premier tir de qualification réussi pour l’AASM à guidage terminal laser
7 juillet 2012 – 10:22
L’Armement Air-Sol Modulaire (AASM), désigné Hammer pour l’exportation, comprend déjà deux versions, lesquelles sont déjà en dotation au sein de l’aviation française. Ce système est composé par des kits de guidage et d’augmentation de portée qui s’adaptent sur des corps de bombe standards, les transformant ainsi en munitions de précisions.

La première version de l’AASM, dite INS/GPS (guidage par inertie et GPS), d’une précision décamétrique, a connu son baptême du feu en Afghanistan en 2008. La seconde, encore plus précise, dite INS/GPS+IR, (guidage par inertie et GPS + Infrarouge), a été livrée en 2009.

Une troisième a ensuite été développée par Sagem. Désignée SBU-64 Hammer par l’industriel, il s’agit de la version du kit AASM à guidage GPS/inertiel/laser. En clair, l’imageur infrarouge a été remplacé par un autodirecteur semi-actif laser, ce qui permet de viser des cibles mobiles ainsi que de corriger la trajectoire de la munition larguée en cas de mauvaises coordonnées GPS.

Après des essais concluants réalisés au cours de ces derniers mois, la Direction Générale de l’Armement (DGA) a effectué le premier tir de qualification du SBU-64 Hammer le 31 mai dernier, à Cazaux. Pour un raison inexpliquée, les annonces de ce type sont toujours faites avec un retard relativement important…

Quoi qu’il en soit, ce tir de qualification, effectué par un Rafale de série, a consisté à viser une pile de pont située à plus de 50 km du point de largage. Les coordonnées GPS de la cible, « éclairée par un illuminateur aéroporté activé lors des dernières secondes de vol de la munition », avaient été volontairement décalées d’une cinquantaine de mètres.

« Grâce à ses algorithmes de navigation, de détection de la tache laser et de guidage terminal, l’AASM a atteint sa cible avec une précision métrique. Avant l’impact, l’arme a adopté une pente de 20°, comme souhaité pour ce type de scénario opérationnel » a expliqué Sagem dans un communiqué.

Les premiers kits ASSM SBU-64 Hammer seront disponibles pour l’armée française dès la fin de cette année. La commande passée auprès de Sagem prévoit la livraison de « plusieurs centaines d’exemplaires ».
http://www.opex360.com/2012/07/07/premier-tir-de-qualification-reussi-pour-laasm-a-guidage-terminal-laser

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Corymbe : appui au déploiement d’une compagnie guinéenne

Mise à jour : 09/07/2012 17:54
Le 7 juillet 2012, le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude, engagé depuis le 23 juin dernier dans le cadre du 115e mandat de l’opération Corymbe, a fait escale à Conakry en Guinée, afin d’assurer le transport de 140 soldats des forces armées guinéennes jusqu’à Dakar, au Sénégal.


Crédits : EMA / Marine nationale
Un marin guinéen devant le chaland de transport de matériel (CTM) du détachement embarqué de la flottille amphibie du BPC Dixmude

Associé dans le cadre de la mission Jeanne d’Arc à la frégate anti-sous-marine (FASM) Georges Leygues, le BPC patrouillait au large du Golfe de Guinée entre Abidjan et Dakar, où il fera escale du 9 au 11 juillet, lorsque les autorités guinéennes ont demandé un appui des forces françaises afin de mettre en place une compagnie des forces armées guinéennes au Sénégal. Du 9 au 20 juillet, cette compagnie participera à l’exercice multinational « Western accord 2012 », conjointement avec les forces armées sénégalaises et américaines.

Le groupe Jeanne d’Arc a immédiatement changé de cap et s’est organisé rapidement pour répondre au mieux à cette mission. L’embarquement à bord du Dixmude des militaires guinéens a nécessité le débarquement dans le port de Conakry du chaland de transport de matériel (CTM) du détachement embarqué de la flottille amphibie. Les marins français ont également préparé l’accueil à bord des guinéens pour 48h, ainsi que leur arrivée à Dakar.

Cette mission au profit des militaires guinéens souligne l’amitié qui unit la France et la Guinée, ainsi que l’a souligné Son Excellence Monsieur (SEM) Bertrand Cochery, ambassadeur de France en Guinée, qui est monté à bord du BPC avec les troupes guinéennes, avant le départ du bâtiment français.

L’opération Corymbe est une mission de présence permanente des forces armées françaises dans le golfe de Guinée, en place depuis 1990. Corymbe assure notamment des missions de coopération bilatérale avec les forces armées des pays riverains de la zone afin d’accompagner leur montée en puissance.


Crédits : EMA / Marine nationale
Le chaland de transport de matériel (CTM) du détachement embarqué de la flottille amphibie du groupe Jeanne d'Arc accoste au port de Conakry pour embarquer 138 militaires guinéens sur le bâtiment de projection et de commandement (BPC) Dixmude.


Crédits : EMA / Marine nationale
Sous une pluie battante, les militaires français et guinéens s'affairent pour embarquer sur CTM et rejoindre le BPC Dixmude.


Crédits : EMA / Marine nationale
Le premier CTM transporte 70 militaires guinéens, le deuxième CTM embarquera les 68 autres soldats.


Crédits : EMA / Marine nationale
Les officiers-élèves participent à l'opération d'embarquement des troupes guinéennes à bord du CTM 23 du groupe Jeanne d'Arc.


Crédits : EMA / Marine nationale
68 militaires guinéens sont à bord du CTM 27, prêt à appareiller du port de Conakry afin de rejoindre le BPC Dixmude.


Crédits : EMA / Marine nationale
Les militaires guinéens arrivent à bord du BPC Dixmude pour 48 heures de transit opérationnel vers Dakar.

http://www.defense.gouv.fr/operations/autres-operations/operations-ponctuelles/corymbe-appui-au-deploiement-d-une-compagnie-guineenne

jonas a écrit:

avant cette vidéo, j'avais des doutes au sujet du rafale, je pensais que s'était un chasseur moyen au dessous de ses concurrents,

,,, mais ça s'était avant

Quand tu vois cette video, tu te rends compte surtout que la France reste en haut de la chaine alimentaire technologique et ce dans pas mal de domaine militaire. Respect

l´aisance avec laquelle il tourne,le post stall vers 3,45..tjs un regale pour les yeux le Rafale
les BAE ont surement apprecié le show du rival bien aimé chez eux..

Citation :

Un Rafale Marine a tiré pour la première fois une bombe GBU-49
9 juillet 2012 – 16:23

Jusqu’à présent, et au sein de l’aéronautique navale, seuls les Super Etendard Modernisés (SEM) portés au standard 5 étaient en mesure de tirer des bombes GBU-49 grâce au kit Enhanced Paveway II ou E-Paveway qui permet le guidage laser/GPS de cette dernière. Ce qu’ils firent d’ailleurs, lors du déploiement de trois d’entre eux à Kandahar, en Afghanistan, en 2008, puis, plus tard, lors de l’opération Harmattan en Libye.

Désormais, ce ne sera plus le cas. En effet, d’après un communiqué diffusé le 7 juillet par le groupe américain Raytheon, un Rafale Marine a tiré avec succès une bombe GBU-49 lors d’un essai mené sur le polygone de la Direction générale de l’armement (DGA) de Biscarosse.

Pour l’occasion, l’appareil avait été équipé d’un kit « Wipak » afin de permettre à son système d’arme d’envoyer des informations via une liaison sans fil au boîtier de contrôle de la GBU-49, doté d’un récepteur.

Selon Raytheon, cette solution offre l’avantage d’éviter de modifier les câblages et les logiciels de gestion de l’avion, comme cela avait dû être nécessaire avec les SEM et les Mirage 2000D de l’armée de l’Air.

« Le Wipak permet l’utilisation de la famille des bombes Raytheon Paveway II par des avions autrefois incapables de d’emporter de telles armes de précision » a précisé le missilier américain.

Avec ce tir d’essai, et alors que la date du retrait des SEM approche, la Marine nationale se donne ainsi la possibilité d’armer de GBU-49 ses Rafale M, lesquels sont capables de mettre également en oeuvre l’Armement Air Sol Modulaire (AASM) de Sagem.

https://far-maroc.forumpro.fr/post?t=3474&mode=reply

Citation :

Un mirage 2000D se pose sur la piste de la base de Kandahar après une patrouille de 4h20 au dessus du territoire afghan. Le 5 juillet 2012, Kandahar.
Le jeudi 5 Juillet 2012, le détachement de chasse KAF29 de la base de kandahar effectue sa dernière mission opérationnelle au dessus du sol afghan. De reoutr de mission, ils sont accueillient par le personnel du dédtachement chasse, du détachement air et du CDAOA venu pour l'occasion. Crédits : EMA / ECPAD




Le commandant Bureau, commandant du détchasse, et son navigateur, le capitaine Coudray se dirigent vers leur mirage 2000D pour leur dernière mission. Le 5 juillet 2012, Kandahar.
Le jeudi 5 Juillet 2012, le détachement de chasse KAF29 de la base de kandahar effectue sa dernière mission opérationnelle au dessus du sol afghan. Sécuriser un axe routier pour le désengagement d'une COP dans la zone de responsabilité italienne. Le général Noguier, commandant le CDAOA, est venu assister à cette mission. Crédits : EMA / ECPAD




Le commandant Bureau remercie une mécanicien du détachement au retour de son vol pour la mis en oeuvre de son aéronef. Le 5 juillet 2012, Kandahar.
Le jeudi 5 Juillet 2012, le détachement de chasse KAF29 de la base de kandahar effectue sa dernière mission opérationnelle au dessus du sol afghan. De reoutr de mission, ils sont accueillient par le personnel du dédtachement chasse, du détachement air et du CDAOA venu pour l'occasion. Crédits : EMA / ECPAD

Citation :

A picture taken from a US Boeing C-135 refueling aircraft shows

US Boeing C-135 refueling aircraft and French 'Rafale' jets fly over the Arc de Triomphe on July 9, 2012, during a training session ahead of the Bastille day military air parade.

Citation :

Découvrez le 44e Régiment de transmission au sommet de son art! A l'occasion du 70e anniversaire de l'arme des transmissions, le TITI-TATA sera remis au goût du jour : le 13 et 14 juillet des messages en morse seront envoyés de la tour Eiffel....une vidéo inédite!

Citation :

Les vraies questions sur l’arme nucléaire

E Directeur de l’Institut de relations internationales et stratégiques et enseignant à l’Institut d’études européennes de l’université Paris-VIII
En proposant que la France renonce à son arsenal nucléaire afin de contribuer à la réduction du déficit budgétaire, Michel Rocard a lancé un pavé dans la mare. De façon moins brutale, d’autres personnalités ayant exercé des responsabilités en la matière (Paul Quilès, le général Norlain) remettent en cause la politique française de dissuasion. D’autres responsables ou spécialistes affirment à l’inverse qu’il ne faut pas baisser la garde et donc continuer comme avant. La fin de la guerre froide et les grandes mutations stratégiques en cours conduisent cependant à redéfinir le rôle de l’arme nucléaire dans notre stratégie globale de puissance et notre politique de sécurité. Entre ne rien changer et tout abandonner, il y a d’autres options possibles. Lorsque le général de Gaulle avait décidé de doter notre pays de l’arme nucléaire, l’objectif était de rester dans la cour des grands. Puisque les Etats-Unis et l’URSS avaient l’arme nucléaire, que celle-ci apparaissait comme l’arme suprême, la France devait l’avoir si elle voulait rester une grande puissance. Ce n’est que par la suite qu’il y eut une conceptualisation de la dissuasion qui sera gravée dans le marbre par le livre blanc sur la défense de 1972. Le concept de la dissuasion française sera par la suite développé dans de multiples interventions de François Mitterrand.

L’arme nucléaire, au cours de la guerre froide, a eu deux fonctions essentielles. Elle a assuré notre sécurité contre la menace soviétique et garanti notre indépendance vis-à-vis de Washington. Le traumatisme de la guerre de Suez de 1956 avait conduit les responsables français à conclure que notre pays ne pouvait compter pour sa garantie ultime sur une protection extérieure. La problématique a complètement changé aujourd’hui. Nous n’avons plus de menaces clairement identifiées sur notre territoire. Pour autant, celui-ci nécessite toujours une protection. L’arme nucléaire reste la garantie ultime de notre sécurité mais n’a plus le rôle central qu’elle avait auparavant. L’argument répété en boucle - «il ne faut pas baisser la garde» - cache souvent des intérêts particuliers ou corporatistes et un vide conceptuel. Il n’est en rien irrationnel de poser la question de la dissuasion nucléaire et de son utilité. Quelles sont les menaces qui pèsent sur nous ? Quel est le rôle de notre force nucléaire pour les contrer ? Quelle est la fonction de la dissuasion ? Quel est notre concept de dissuasion nucléaire ? Il n’est plus possible de répéter des arguments dans un environnement stratégique complètement bouleversé, faut-il pour autant renoncer à l’arme nucléaire ?

Les aspects budgétaires ne peuvent être le seul critère d’appréciation. Il en va de même pour les intérêts du complexe nucléaire. Ils existent et sont légitimes, mais ne peuvent être la seule variable de jugement. Même si nous renoncions totalement à l’arme nucléaire, nous n’économiserions pas l’ensemble des dépenses qu’elle suscite. La reconversion, le démantèlement coûtent également. Faut-il par ailleurs opérer un renoncement unilatéral sans tenir compte de ce que font les autres ? Il est clair que, si la France procédait à un tel geste, même si elle ne remettait pas fondamentalement en cause sa sécurité, à moyen terme, elle entamerait sa crédibilité comme puissance internationale. Elle donnerait le sentiment d’un pays qui réduit la voilure, renonce à un positionnement et conduit une autorétrogradation sur le plan stratégique. Faut-il pour autant garder les composantes océanique et l’aérienne ? L’ultime avertissement (avant le déclenchement du feu stratégique) qu’est censée délivrer la composante aérienne a-t-il encore un sens ? N’y a-t-il pas un risque de glisser vers un concept non plus de dissuasion, mais d’emploi de l’arme nucléaire ? La question peut être posée. Ne faut-il pas par ailleurs relancer une politique active de désarmement ? Ce n’est pas forcément incompatible avec le maintien d’un socle nucléaire. Mitterrand a répété à maintes reprises que désarmement et sécurité sont les deux faces d’une même pièce. Il a lancé des plans et propositions ambitieux de désarmement, tout en montrant son attachement au concept français de dissuasion. Depuis, la France s’est montrée frileuse, se contentant souvent de présenter comme démarche de désarmement ce qui n’était que la résultante de réduction budgétaire. La France pourrait utilement reprendre l’initiative en ce domaine

libération

Citation :

Hires


Hires

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MEDITERRANEAN SEA (July 1st, 2012) The French aircraft carrier Charles de Gaulle (R 91) is alongside the Nimitz-class aircraft carrier USS Dwight D. Eisenhower (CVN 69).