Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... | |
|
+59replaysat moncef Darkvador Baloo marques jrad-killer Vamtac fighter-jet romh Maure Warrior 2 dudux Atlantic QuickShark ALMERIA Shugan188 Hotel ECHO YASSINE kolopoi12 Bruce Wayne AIT RecepIvedik Cherokee simplet mourad27 ralek1 Adam WRANGEL bradli23 Socket-error vinseeld Amgala Winner Fox-One moro kurahee b46reich pyromane FAR SOLDIER RadOne Barsdz BOUBOU jf16 youssef_ma73 arsenik ScorpionDuDesert juba2 annabi thierrytigerfan RED BISHOP leadlord charly farewell rafi Inanç sas Viper Fahed64 Yakuza PGM jonas 63 participants | |
Auteur | Message |
---|
jonas General de Brigade
messages : 3370 Inscrit le : 11/02/2008 Localisation : far-maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Mer 9 Mai 2012 - 16:02 | |
| Rappel du premier message :nouveau topic sur l'actualité européenne dans tous les domaine (économique, politique scientifique etc ...) - Citation :
Merkel travaille sa contre-offensive face à Hollande
Des ministres du gouvernement allemand reprochent au président français de ne pas avoir les moyens de sa politique. Angela Merkel peaufine sa contre-offensive face à François Hollande. La chancelière allemande, qui continue de dominer la politique européenne, où elle a imposé sa stratégie fondée sur la discipline budgétaire dans la lutte contre la crise de la dette, n'a aucune intention de céder aux pressions du président français. Plusieurs ministres de son gouvernement sont montés au créneau pour rappeler la France à ses engagements et tacler le nouveau président socialiste, lui reprochant de ne pas avoir les moyens de sa politique.
Lundi, Merkel avait fermement réitéré son refus de renégocier le pacte de stabilité budgétaire, comme le souhaite son nouveau partenaire. La chancelière, qui a adressé mardi un message de félicitations au nouveau président français, a laissé entrevoir clairement à Hollande quelles concessions il pourrait obtenir de Berlin: la formulation d'un nouveau pacte de croissance et l'augmentation des moyens de la Banque européenne d'investissement en font partie. Mais elle rejette catégoriquement tout programme de stimulation de la conjoncture qui creuserait la dette.
«L'Allemagne n'est pas là pour financer les promesses électorales des socialistes, a lancé plus brutalement son lieutenant, le ministre de l'Écologie et vice-président de la CDU, Norbert Röttgen. Le gouvernement fédéral défend clairement la poursuite de la politique de discipline budgétaire.» Au bout du compte, si la croissance est financée par de nouvelles dettes, ce sera à l'Allemagne de payer pour «la victoire des socialistes français», tranche-t-on à Berlin, où l'on rappelle qui tient les cordons de la bourse en Europe.
Réduction des déficits budgétaires Merkel mise sur une double stratégie. «L'économie de la France et les finances du pays demeurent dans un état précaire, décrypte Peter Altmaier, dirigeant du groupe parlementaire CDU au Bundestag et fidèle de la chancelière. Tout pays qui essaierait de mener une politique de l'offre en accroissant ses déficits se mettrait très vite les marchés à dos et verrait ses taux d'intérêt augmenter. La France n'a aucune marge de manœuvre.»
Berlin déplore notamment qu'Hollande ait promis pendant sa campagne d'augmenter le salaire minimum, de créer des postes de fonctionnaires et de revenir sur le recul de l'âge de la retraite. Altmaier juge qu'une fois les élections législatives françaises terminées, il sera possible pour Berlin de parvenir à un compromis avec Paris pour réaffirmer «une fois pour toutes» que la réduction des déficits budgétaires est la seule voie possible pour l'Europe.
Berlin juge crucial pour Hollande de prendre à bras-le-corps les réformes nécessaires pour que la France retrouve sa compétitivité. Si Hollande s'entête dans la voie tracée pendant sa campagne, Merkel entend désamorcer le soutien dont il jouit auprès des sociaux-démocrates et des Verts, qui se sentent portés par la victoire des socialistes français, en faisant d'eux un épouvantail en Allemagne. Elle n'hésitera pas à dénoncer les «recettes archaïques» d'un François Hollande accusé d'aller dans le mur, pour laisser entendre que les sociaux-démocrates veulent expérimenter la même politique en Allemagne s'ils remportaient les législatives de septembre 2013. La stratégie de Merkel a ses limites. Si Hollande parvient à inverser le rapport de force dans la zone euro en mobilisant contre la politique d'austérité allemande, la chancelière ira au compromis avant de plonger dans l'isolement.
Lefigaro
- Citation :
Europe: les Bourses demeurent angoissées par Athènes.
Les Bourses européennes ne parviennent pas à se remettre de leur séance déprimante de la veille, les graves incertitudes liées au blocage politique de la Grèce continuant d'angoisser les investisseurs.
Francfort grappille certes 0,1%, mais Londres perd 0,3%, Milan 0,6%, Zurich 0,7% et Madrid dévisse de 2,5%. Sur Euronext, Amsterdam recule de 0,4%, Paris et Lisbonne de 0,6%, et Bruxelles de 0,8%. Wall Street a cédé 0,6% mardi.
'Le résultat indécis des élections grecques ce week-end a conduit à une incertitude renouvelée sur les perspectives du plan de sauvetage grec à court terme et, plus généralement, sur l'appartenance du pays à la zone euro', indique un économiste de Crédit Suisse.
Ce dernier considère cependant que l'échec vraisemblable de la formation d'un gouvernement conduira à de nouvelles élections le mois prochain, probablement le 17 juin, qui pourraient déboucher sur un gouvernement d'unité nationale destiné à renégocier le plan de sauvetage.
'La situation demeure volatile et cela devrait rendre les investisseurs prudents et nerveux après la relative période de stabilité que nous avons connue depuis le début de l'année, comparativement à 2011', estime pour sa part Cameron Peacock, chez IG Markets.
Sur le plan des données économiques, l'Allemagne a dégagé un excédent commercial stable à 13,7 milliards d'euros en mars, tandis que la France a vu son déficit baisser à 5,7 milliards contre 6,3 milliards en février.
En hausse de 2,5% à 5,1 euros, ING Group prend la tête de l'AEX à Amsterdam, l'établissement financier néerlandais ayant observé une certaine amélioration de ses résultats au premier trimestre 2012 par rapport aux trois derniers mois de 2011.
De même, Commerzbank figure dans le haut de classement sur le DAX, prenant 3,1% à près de 1,6 euro, grâce à des résultats illustrant une amélioration de sa solidité financière malgré un contexte de marché pénalisant pour son segment BFI.
E.On recule par contre de 1,4% à 15,4 euros à Francfort, bien que les résultats trimestriels du groupe énergétique aient pu résister à la baisse des prix électriques européens et de la production nucléaire allemande.
Carlsberg s'adjuge 3,3% à 488 couronnes danoises sur l'OMX, malgré des résultats en baisse au premier trimestre pour le brasseur, du fait du déstockage opéré en Russie et de ses investissements en marketing.
Lefigaro
- Citation :
L'Europe sous la pression des extrêmes
Le contraste entre le dénouement du scrutin présidentiel français, dimanche 6 mai, ouvrant la voie à une alternance ordonnée et incontestée à la tête de l'Etat, et le chaos créé par le résultat des élections législatives en Grèce, où, trois jours plus tard, aucune perspective de gouvernement ne se dessine encore, ne doit pas faire oublier la tendance commune révélée par ces deux scrutins : la montée de mouvements minoritaires, mais de plus en plus vocaux, contestant l'ordre établi par les partis traditionnels. Cette tendance est de plus en plus sensible à travers l'Europe.
En France, 18 % des électeurs ont choisi d'exprimer, au premier tour de l'élection présidentielle, leur rejet de l'Europe et de l'immigration en votant pour Marine Le Pen. En Grèce, le 6 mai, 7 % des électeurs ont envoyé au Parlement 21 députés du parti néonazi Aube dorée, dont le programme prévoit de miner la frontière avec la Turquie pour bloquer l'immigration. En Italie, les "antipolitiques" du mouvement "5 étoiles" du comique Beppe Grillo ont réalisé une percée aux élections municipales, en dénonçant la corruption et l'austérité.
Dans un autre genre, le Parti pirate, militant du téléchargement gratuit sur Internet, a fait une irruption spectaculaire dans la politique allemande et parvient à inquiéter les grands partis à la veille d'une importante élection partielle, le 13 mai.
Ces mouvements ont peu de chose en commun. Il est difficile, par exemple, de rapprocher la vague des jeunes indignados espagnols, née il y a un an à Madrid, des mouvements xénophobes et anti-islam que l'on voit monter depuis des années dans le nord de l'Europe ou en Autriche.
Pourtant, qu'ils soient d'extrême droite, d'une gauche radicale qui conteste l'orientation actuelle de la politique européenne ou totalement à la marge du système, ces mouvements bousculent les formations traditionnelles, et en particulier les grands courants politiques qui ont pris en charge le projet européen depuis des décennies. Ils les bousculent d'autant plus que la crise économique et la question de la dette ont créé une problématique commune à l'ensemble du paysage politique européen.
L'Europe politique existe, et chaque élection nationale résonne beaucoup plus que par le passé dans les autres pays de l'UE.
La tentation est grande, pour les partis traditionnels, de réagir en incorporant certains des thèmes des contestataires. L'inflexion donnée par Nicolas Sarkozy à sa campagne présidentielle sous la pression de l'ascension du Front national, par exemple sur la question des frontières, a parfaitement illustré les risques de cette dynamique.
De toute évidence, ce n'était pas la bonne stratégie. Le défi, pourtant, reste à relever : aucune institution, aucun mouvement à l'échelle européenne ne paraît en mesure aujourd'hui de répondre aux questions posées par ce front du refus. C'est un chantier auquel doivent s'atteler d'urgence les grands partis, sous peine de se voir déborder.
Lemonde
- Citation :
Barroso : "Il n'y aura pas de renégociation du pacte budgétaire"
Renégocier le pacte de discipline budgétaire : voila qui figure dans le programme du président élu François Hollande. Mais le président de la Commission ne l'entend pas de cette oreille. Le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, a estimé mercredi qu'il n'y aurait pas de renégociation du pacte de discipline budgétaire qui a été signé en mars par 25 pays de l'UE, contrairement au souhait du nouveau président français, François Hollande.
Interrogé lors d'un colloque au Parlement européen à Bruxelles pour savoir s'il y aurait renégociation du pacte budgétaire, M. Barroso a simplement répondu "non", sans étayer sa réponse. Egalement présent, le président du Parlement européen, Martin Schulz, a apporté la même réponse à cette question.
Les deux responsables politiques se sont en revanche montrés ouverts à la mise en place d'un autre pacte économique européen qui ne soit pas uniquement consacré à la discipline budgétaire. Interrogé sur un tel scénario, ils ont répondu positivement. "Parlez-vous de nouveau traité ou de contrat politique ? Si vous me dites un contrat politique, je vous dis oui", a affirmé M. Barroso. Il n'a pas donné de précision sur le format que pourrait prendre ce contrat et s'est contenté de dire qu'il ne serait pas financé par de nouvelles dettes ou par l'inflation, en réponse à une question lors de ce colloque sur l'avenir de l'Europe au Parlement européen.
Le socialiste François Hollande, qui a été élu dimanche président de la république française, souhaite "renégocier" ou "compléter" le pacte budgétaire par des mesures censées doper la croissance, mais se heurte au non catégorique de la chancelière allemande Angela Merkel sur ce point.
Mardi, un membre du directoire de la Banque centrale européenne, Jörg Asmussen, a également affirmé que la France devait appliquer le pacte "tel quel". M. Hollande et Mme Merkel doivent se rencontrer le 16 mai, au lendemain de la prise de fonction de du nouveau président français, et ce sujet sera au coeur d'âpres discussions avant un dîner informel des dirigeants européens le 23 mai, consacré à la croissance et à l'emploi.
lalibre.be
| |
| | |
Auteur | Message |
---|
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 11 Juil 2015 - 0:23 | |
| la restructuration prochaine de la dette grecque se soldera par un coup d'éponge entre 80 et 100 mds € Quand on veut, on peut - Citation :
Économie Un accord sur la Grèce marquerait un succès pour la France
François Hollande est très investi dans la quête d'un compromis pour éviter le scénario catastrophe d'un Grexit, une éviction d'Athènes de la zone euro.AFP
François Hollande s'est révélé l'un des meilleurs soutiens d'Alexis Tsipras pour que la Grèce reste dans la zone euro.
Un accord in extremis entre la Grèce et ses créanciers marquerait, selon des experts, un succès pour la France, très investie dans la quête d'un compromis pour éviter le scénario catastrophe d'un Grexit, une éviction d'Athènes de la zone euro.
Les nouvelles propositions du gouvernement d'Alexis Tsipras font la part belle à la position médiane de Paris, qui n'a cessé de plaider le maintien d'une « solidarité » à l'égard d'Athènes sans l'affranchir du « respect des règles européennes », exigence incontournable pour l'Allemagne. Tout en maintenant sa revendication d'une restructuration de la dette de son pays, le Premier ministre grec s'affiche désormais prêt aux réformes (TVA, fiscalité, retraites) exigées par ses partenaires, contre lesquelles il avait réussi à mobiliser son peuple lors du référendum du 5 juillet.
Le président français a été le premier dirigeant européen à saluer vendredi le revirement d'Athènes avec des propositions « sérieuses » et « crédibles ». « Les Grecs viennent de montrer une détermination à vouloir rester dans la zone euro », s'est félicité François Hollande. « C'est indéniablement un succès pour lui, dans la mesure où, sur la base de l'agenda de réformes de Tsipras, les 18 autres pays de la zone euro peuvent s'entendre pour maintenir la Grèce dans cette zone », analyse Hans Stark de l'Institut français des relations internationales (Ifri).
« On ne joue pas avec l'Histoire, on ne joue pas avec un pays comme la Grèce » (Valls)
Pour ce politologue allemand basé à Paris, « la part de Hollande n'est pas négligeable » dans « l'atmosphère beaucoup plus positive qu'au lendemain du référendum [grec] où quelques-uns disaient ça y est, nous voilà quasiment dans le Grexit ».
« Si l'accord a lieu, il confirmera la pertinence de la position française », abonde Xavier Ragot, président de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). « La clarification de la France disant il faut absolument un accord a été un élément décisif », estime-t-il. « Hollande mais aussi [le Premier ministre] Manuel Valls [...] ont appuyé sur le frein » pour mettre en garde contre les risques d'une éviction de la Grèce de la monnaie unique, souligne Hans Stark.
Mardi, Manuel Valls avait vivement mis en garde contre les risques d'un Grexit tant « pour la croissance et l'économie mondiales » qu'au plan géopolitique. « On ne joue pas avec l'Histoire, on ne joue pas avec un pays comme la Grèce », avait-il lancé.
« Cette semaine, dans les derniers jours, le rôle joué par la France est réel », a confirmé à l'AFP vendredi le ministre grec de la Fonction publique Georges Katrougalos, refusant d'en dire plus sur la nature de ce soutien.
Selon des sources concordantes, des diplomates et de hauts fonctionnaires du Trésor français se sont activés en coulisses pour jouer les « traits d'union » auprès de la Grèce face à ses créanciers.
Appui de poids d'Obama
La médiation française a bénéficié d'un appui de poids en la personne de Barack Obama, lui aussi inquiet de l'« impact significatif » d'un Grexit pour « l'économie mondiale dans son ensemble ». Le président américain, après avoir souligné avec François Hollande lundi la nécessité de « compromis difficiles de tous les côtés », a relayé ce message le lendemain auprès d'Alexis Tsipras et de la chancelière allemande Angela Merkel.
Le Fonds monétaire international (FMI) a aussi aidé en jugeant « nécessaire » une restructuration de la dette grecque, revendication d'Athènes jusqu'alors taboue à Berlin. « Si le FMI nous dit que le rééchelonnement, la restructuration de la dette grecque est un passage obligé, je crains qu'il n'ait raison [...] Je pense que nous n'y échapperons pas », a concédé jeudi soir le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble. « Il y a une inflexion du côté de l'Allemagne qui reconnaît l'inévitable [...] L'Allemagne était relativement consciente de la nécessité [d'une forme de restructuration], mais elle voulait un engagement ferme de la Grèce [sur des réformes] vis-à-vis de son opinion publique », estime Xavier Ragot.
En France, un accord sur la Grèce offrirait à François Hollande un crédit bienvenu à deux ans de la présidentielle de 2017. Très impopulaire, le président socialiste a essuyé pendant deux semaines les critiques de l'opposition de droite, l'accusant de désolidariser la France de l'Allemagne, et de la gauche radicale, le pourfendant comme le « premier coupable » d'un « coup d'État financier » européen contre la Grèce.
Le point | |
| | | arsenik General de Division
messages : 4636 Inscrit le : 19/05/2012 Localisation : juste a coté Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 11 Juil 2015 - 0:24 | |
| du vol _________________ | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 11 Juil 2015 - 0:32 | |
| De toute façon même s'ils quittaient l'euro et rétablissaient la drachme, ils feraient défaut. Le choix à été fait de faire défaut de manière organisée au sein de l''euro. Je pense que c'est le fmi/BCE qui épongeront le plus. Les banques européennes ont déjà renoncer à une fraction importante sur leurs obligations. Maintenant c'est sure, les prochaines frégates grecques seront des fremm | |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25538 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 11 Juil 2015 - 0:50 | |
| Il n'y a rien d'officiel sur une remise de dette! Perso y'a un truc que je comprends, pourquoi les plan d'aide et les mesures d'austérité n'ont fait qu'augmenter la dette de ce pays alors que c'est l'effet inverse qui devait se produire ? Autre question, pourquoi si une banque fait faillite on doit forcement la sauvé? _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Dim 12 Juil 2015 - 0:02 | |
| - AFP a écrit:
- Berlin envisage un Grexit temporaire de 5 ans
Bruxelles - L'Allemagne envisage une sortie temporaire de la Grèce de la zone euro, d'une durée de cinq ans, si le pays n'améliore pas ses propositions de réformes, a indiqué une source européenne au fait des discussions, même si le sujet n'a pas été abordé samedi lors d'une réunion de l'Eurogroupe à Bruxelles.
Il y a deux alternatives: soit une amélioration des propositions, ou un +Grexit+ temporaire, a affirmé cette source à l'AFP, citant un document de préparation allemand en circulation, mais qui n'a pas été distribué samedi aux ministres des Finances de la zone euro.
C'est un papier de préparation interne, a souligné cette source, confirmant des informations du quotidien allemand Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung (FAZ).
Ce document aurait été transmis aux autres Etats membres car les propositions de réformes avancées par Athènes ne sont pas suffisantes aux yeux de Berlin. Il manque des domaines de réformes importants, aurait écrit le ministère allemand des Finances, cité par la FAZ.
Interrogé à Bruxelles, le porte-parole du ministre, Wolfgang Schäuble, s'est refusé samedi à tout commentaire.
Ce document n'a pas été discuté samedi à Bruxelles lors de la réunion de l'Eurogroupe consacrée au sort de la Grèce, selon plusieurs sources proches des discussions.
(©AFP / 11 juillet 2015 19h36) | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:07 | |
| - Viper a écrit:
- ou se qui reste de Chypre ...
Oui, ils viendront bientôt chez nous, mendiez pour qu'on les accepte en Turquie. Comme disaient leurs ancêtres : « Plutôt le turban que le chapeau de cardinal » ou « plutôt le turban turc que la mitre latine ». Je suis cynique, mais la situation en Grèce nous ai beaucoup profitable. Leur puissance militaire et économique est out. Leur faiblesse est notre force même si les politiques Turcs pensent le contraire pour plaire à l'UE comme une prostituée. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:13 | |
| - Fahed64 a écrit:
- Il n'y a rien d'officiel sur une remise de dette! Perso y'a un truc que je comprends, pourquoi les plan d'aide et les mesures d'austérité n'ont fait qu'augmenter la dette de ce pays alors que c'est l'effet inverse qui devait se produire ?
Autre question, pourquoi si une banque fait faillite on doit forcement la sauvé? Ce sont les banques qui prête l'argent à l'économie (Etat, particulier, entreprise) par le biais de la BCE. Si une banque fait faillite, c'est l'argent qui se perd. Si tu as 1000€ dans ton compte bancaire, tu peux dire au revoir à ton argent. Car, la Grèce pompe plus de fric pour mener ces réformes qui s'avèrent foireuse. Il n'y a pas assez d'entrée d'argent. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:14 | |
| - Baybars a écrit:
- Fahed64 a écrit:
- Il n'y a rien d'officiel sur une remise de dette! Perso y'a un truc que je comprends, pourquoi les plan d'aide et les mesures d'austérité n'ont fait qu'augmenter la dette de ce pays alors que c'est l'effet inverse qui devait se produire ?
Autre question, pourquoi si une banque fait faillite on doit forcement la sauvé? Ce sont les banques qui prête l'argent à l'économie (Etat, particulier, entreprise) par le biais de la BCE. Si une banque fait faillite, c'est l'argent qui se perd. Si tu as 1000€ dans ton compte bancaire, tu peux dire au revoir à ton argent.
Car, la Grèce pompe plus de fric pour mener ces réformes qui s'avèrent foireuse. Il n'y a pas assez d'entrée d'argent. dans le cas de la france c'est tout ce que tu a dans ton compte de plus de 75 000 euro qui saute, si tu as 1000 euro meme en cas de faillite tu les retrouvera. si tu a 100 000 on te rendra 75 000 les banque sont assuré pour chaque compte. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:21 | |
| - kabylius a écrit:
- Baybars a écrit:
- Fahed64 a écrit:
- Il n'y a rien d'officiel sur une remise de dette! Perso y'a un truc que je comprends, pourquoi les plan d'aide et les mesures d'austérité n'ont fait qu'augmenter la dette de ce pays alors que c'est l'effet inverse qui devait se produire ?
Autre question, pourquoi si une banque fait faillite on doit forcement la sauvé? Ce sont les banques qui prête l'argent à l'économie (Etat, particulier, entreprise) par le biais de la BCE. Si une banque fait faillite, c'est l'argent qui se perd. Si tu as 1000€ dans ton compte bancaire, tu peux dire au revoir à ton argent.
Car, la Grèce pompe plus de fric pour mener ces réformes qui s'avèrent foireuse. Il n'y a pas assez d'entrée d'argent.
dans le cas de la france c'est tout ce que tu a dans ton compte de plus de 75 000 euro qui saute, si tu as 1000 euro meme en cas de faillite tu les retrouvera. si tu a 100 000 on te rendra 75 000 les banque sont assuré pour chaque compte. C'est pour donné l'exemple.. Chaque pays a ces quotas. Pour la France, c'est 34 950 euros qui sont assuré par l'Etat Français (LA+LDD). Le reste de ton argent, tu le retrouvera pas. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:26 | |
| c'etait 70 000 et maintenant 100 000 depuis la crise de 2008 il a jamais été question de 34950
http://www.cbanque.com/placement/garantie-depots.php |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:39 | |
| - kabylius a écrit:
- c'etait 70 000 et maintenant 100 000 depuis la crise de 2008 il a jamais été question de 34950
http://www.cbanque.com/placement/garantie-depots.php Pas toutes les banques! Il y a une nuance dans ça. L'Etat Français ne garantie pas toutes les banques, la limite est de 34 590 euros pour les épargnants. Après tout dépends de la banque. Surtout que la banque qui fait faillite ou en difficulté peut bien pomper l'argent d'un compte de ces clients sans autorisation (bail-un). L'Etat Français n'a pas la capacité de garantir les 100 000 euros par client et par banque. Il faut arrêté de rêver.. Regarde l'exemple de Chypre. Au pire, tes 100 000€ seront confisqué, au mieux, ils seront bloqué. J'aime bien ta naïveté. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 19:45 | |
| - Baybars a écrit:
- kabylius a écrit:
- c'etait 70 000 et maintenant 100 000 depuis la crise de 2008 il a jamais été question de 34950
http://www.cbanque.com/placement/garantie-depots.php Pas toutes les banques! Il y a une nuance dans ça. L'Etat Français ne garantie pas toutes les banques, la limite est de 34 590 euros pour les épargnants. Après tout dépends de la banque.
Surtout que la banque qui fait faillite ou en difficulté peut bien pomper l'argent d'un compte de ces clients sans autorisation (bail-un). L'Etat Français n'a pas la capacité de garantir les 100 000 euros par client et par banque. Il faut arrêté de rêver.. Regarde l'exemple de Chypre.
Au pire, tes 100 000€ seront confisqué, au mieux, ils seront bloqué.
J'aime bien ta naïveté. de toute facon j'ai pas 100 000 dans mon compte et ceu qui on autant on du prendre des mesure de garantie avec les divers placement . je suis loin d'etre naife |
| | | Invité Invité
| | | | Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 20:35 | |
| Baybars tu peux enfin acheter une plage en grece,la privatisation va commencer. _________________ | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 20:54 | |
| Dans le cas de faillites en cascade (systémique), aucun état ne peut garantir quoi que se soit. Faut pas se faire d'illusion. Un état qui dans le cas extrême, ne peut injecter 100 mds pour sauver son système bancaire, ne peut à fortiori aligner 500 mds aux déposants. C'est juste des textes pour se rassurer. la garantie en France est bien passée à 100k€. | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 13 Juil 2015 - 22:29 | |
| Les USA. - Citation :
- The Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) is an independent agency of the United States government that protects the funds depositors place in banks and savings associations. FDIC insurance is backed by the full faith and credit of the United States government. Since the FDIC was established in 1933, no depositor has lost a penny of FDIC-insured funds.
FDIC insurance covers all deposit accounts, including: Checking accounts Savings accounts Money market deposit accounts Certificates of deposit FDIC insurance does not cover other financial products and services that banks may offer, such as stocks, bonds, mutual funds, life insurance policies, annuities or securities. The standard insurance amount is $250,000 per depositor, per insured bank, for each account ownership category. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Mar 14 Juil 2015 - 1:12 | |
| - Baybars a écrit:
Ce sont les banques qui prête l'argent à l'économie (Etat, particulier, entreprise) par le biais de la BCE. . Pour la première fois de son histoire la BCE utilise la planche a billet ,(de la monnaie de singe) pour renflouer les banques ,c'est la FED qui donne les instruction a suivre ,dissimulé derrière l'Allemagne . |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Ven 17 Juil 2015 - 13:29 | |
| |
| | | Invité Invité
| | | | b46reich Caporal chef
messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Ven 17 Juil 2015 - 21:51 | |
| c'est vraiment un pays d'assisté | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Ven 17 Juil 2015 - 22:10 | |
| c'est surtout un pays qui est sur un point géostratégique trés important.
ce pays a combattu noblement contre le fachisme de Hitler, puis aprés les résistants se sont fait liquider par les USA et les fachistes mis au pouvoir.
aprés on a combattu les patriotes de ce peuples parce que ils sont pas des esclaves US. et le pouvoir mis dans les mains de corrompu, qui acheté leurs élections.
aprés on l'a fait rentré à l'UE en maquillant ses compte pour aussi des décisions géostratégique US.
puis a été attaqué par les banques allemande, et US afin de voler les richesses de ce peuple. une nation mise au chantage par l'UE, et qui a donné une leçon au monde en disant NON. beaucoup de peuple d'europe vivent un peu la même chose et sans inmobile. ce peuple crée de la richesse mais on veut le rendre une propriété privé de chacals. |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Ven 17 Juil 2015 - 23:51 | |
| C'est le peuple qui l'a cause donner leur des sauts d'eau pour l'eteindre ,c'est con comme meme un peuple qui veut tout gratuit depuis 1977. | |
| | | kurahee Colonel-Major
messages : 2475 Inscrit le : 16/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Sam 18 Juil 2015 - 1:25 | |
| | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 10 Aoû 2015 - 9:48 | |
| Premier Selfie pour les réfugiés Syriens en terre d'Europe (Grèce), ils sont venu de Turquie. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... Lun 17 Aoû 2015 - 23:24 | |
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... | |
| |
| | | | actualité européenne : Economie, politique, diplomatie... | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|