messages : 1409 Inscrit le : 30/03/2010 Localisation : oum dreyga Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Dim 23 Sep 2012 - 21:55
Rappel du premier message :
wa hadoo maboullllllllll regardez el watan d'hier
Citation :
Accidents de la route: le Maroc 1er dans le monde arabe et 6è au rang mondial
Les routes marocaines sont classées parmi les plus mortelles au monde (1er rang au niveau du monde arabe et 6e rang mondial) et le coût social des accidents de la route au Maroc dépasse les 11milliards de dirhams (1 euro = 11 DH environ) annuellement soit, 2, 5 % du Produit intérieur brut (PIB), a déclaré à Marrakech (335 km au de Rabat) un haut responsable marocain.
Le coût social de ces accidents constitue un véritable fardeau pour la société et équivaut à des sommes colossales pouvant être consacrées à la construction d'équipements sociaux (écoles, espaces sportifs, et autres), a précisé le vice-président de la Chambre du commerce, de l'industrie et des services à la préfecture de Marrakech, Ibrahim Erramili lors d'une rencontre sur les "accidents de la route et leur impact sur l'économie nationale et leurs répercussions sociales". Il a ajouté que les répercussions des accidents de la route sur le développement social et sur l'économie nationale ont atteint même certains secteurs comme le tourisme qui en subit les conséquences indirectement.
Les autorités marocaines font face à un vrai fléau sur les routes où l'on enregistre une moyenne de onze morts par jour et un blessé toutes les sept minutes. L'année dernière, les statistiques officielles ont signalé 67.082 accidents corporels qui ont fait 4.222 morts, 12.482 blessés graves et 89.529 blessés légers. Environ 75 % de ces sinistres ont été enregistrés en milieu urbain.
21.520 accidents en 2011 : L’Algérie troisième pays au monde Une nouvelle ligne dans le triste palmarès de l’Algérie en matière de la circulation automobile. L’Algérie a enlevé «haut la main» la 3ème place du triste podium mondial des pays où sont enregistrés le plus d’accidents de la circulation. Comparée à l’année 2010, notre pays a régressé puisque il a enregistré plus d’accidents se classant juste derrière les Etats-Unis et la Russie avec leurs parc automobiles à plusieurs fois supérieur.
En effet, selon les chiffres communiqués aujourd’hui mardi par les services de la gendarmerie nationale sur les ondes de la radio, pas moins de 21.520 accidents ont été enregistrés lors des dix premiers mois de l’année en cours, ayant causé la mort de 3.286 personnes et blessé 38.903 autres. Terrifiant, d’autant plus que ces chiffres marquent une hausse fulgurante en une année puisque durant la même période de l’année 2010, les services de la gendarmerie nationale font état de 16.343 accidents qui se sont soldé par la mort de 2.525 morts et 29.058 blessés.
A titre de comparaison avec l’année 2010, cela se traduit par une hausse de 31,68% du nombre d’accidents, alors que le nombre de morts à crû de l’ordre de 30, 14% et celui des blessés de 33,88%.
Sétif n°1 au hit parade
Et comme il fallait s’y attendre, la wilaya de Sétif trône en haut de ce classement macabre avec 1209 accidents et 139 morts, suivie de Blida avec 595 accidents et 85 morts et Bouira ferme le triste podium avec 557 accidents et 133 morts.
La capitale Alger n’est pas indemne de ces accidents de la circulation puisque pas moins de 957 accidents ont été enregistrés ayant provoqué la mort de 72 personnes.
C’est dire que ni les nouveaux plans de circulation dans les villes, ni les retraits de permis et encore moins l’augmentation des amendes n’ont pu juguler ce phénomène qui tue chaque année plus de 4000 algériens. Il ressort des statistiques de la gendarmerie que le conducteur est responsable «dans 81% des accidents survenus en 2011». Dans le détail, on explique que l’excès de vitesse, 21% des cas et les dépassements dangereux 10,14% des cas, sont les principales causes des accidents mortels. C’est dire que les autorités à du mal à trouver la solution idoine pour mettre fin au «terrorisme routier» qui tue autant sinon plus que le terrorisme tout court.
http://www.algerie1.com/magazine/21-520-accidents-en-2011-l%E2%80%99algerie-troisieme-pays-au-monde/ ils veulent concurencer en tout c'est des
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mar 2 Avr 2013 - 17:50
JA donne son point de vue de la visite de FH demain
Citation :
Diplomatie
Hollande au Maroc : le coeur ou la raison ?
Après sa visite "historique" en Algérie fin 2012, François Hollande est attendu dans le royaume les 3 et 4 avril. L'occasion de dissiper certains malentendus. Mais aussi de marquer un rapprochement avec Mohammed VI, qu'il connaît mal.
«Entre nous, ça va tellement bien que l'on n'a même pas besoin de se voir ! » Adressée à son homologue français Jean-Marc Ayrault, la boutade du chef du gouvernement marocain Abdelilah Benkirane prêterait à sourire. En pleine visite à Casablanca, mi-décembre 2012, elle soulignait en tout cas la bonne santé de la relation bilatérale, à quelques jours de la visite « historique » du président François Hollande en Algérie. « Partenariat d'exception », « réunion de haut niveau », « confiance », les termes employés devant un parterre de quatre cents patrons des deux pays dénotaient une pointe d'autosatisfaction. Alors, méthode Coué ? La patronne des patrons marocains, Miriem Bensalah Chaqroun, relevait même, sans qu'on puisse la démentir, que, « entre le Maroc et la France, il n'y a pas de passe difficile ni de conflit douloureux ». Ces définitions négatives visent bien sûr le voisin algérien. Quelques jours plus tard, François Hollande s'est rendu de l'autre côté de la frontière hermétiquement fermée de Zouj Beghal pour sa première visite d'État au Maghreb. Dire que la préférence - chronologique - donnée à Alger a déplu aux Marocains serait exagéré. Mais il est vrai que la bouderie a été évitée de justesse. Reçu en audience au palais royal de Casablanca, Jean-Marc Ayrault avait anticipé la réaction du roi. « Pour lui, ça ne pose aucun problème que le président de la République rende une visite à Alger et au peuple algérien. Et ensuite, il viendra au Maroc », expliquait-on du côté de Matignon.
En juillet 2007, le Palais s'était fâché tout haut de la visite « en sauts de puce » projetée par Nicolas Sarkozy dans les trois pays du Maghreb. L'étape marocaine avait alors simplement été reportée. « Au début de son quinquennat, Sarkozy a eu l'illusion de pouvoir ouvrir une nouvelle page avec Alger, en oubliant Rabat. La suite des événements lui a donné tort », note un diplomate marocain. « Équilibre » est donc aujourd'hui le maître mot du côté français. « Ce n'est pas un jeu à sommes nulles. Pas besoin de se fâcher avec les Marocains pour gagner la confiance des autorités algériennes », renchérit, un brin optimiste, un socialiste qui connaît bien le dossier.
Funambule
Pour la gauche française, l'Algérie a longtemps été la destination de coeur, tant que l'idéal progressiste occultait les errements du socialisme FLN. « Jusqu'à l'arrivée de François Mitterrand à l'Élysée, en 1981, les socialistes ont totalement vécu sous un tropisme résolument pro-Algériens et vaguement antimonarchiste, analyse Ali Bouabid, délégué général de la Fondation Abderrahim Bouabid et l'une des chevilles ouvrières de l'unique visite qu'avait effectuée François Hollande, à l'époque premier secrétaire du Parti socialiste (PS), en 2006. Les réformes entreprises par Hassan II dans les années 1990 et le blocage politique en Algérie ont depuis changé cette perception. » Avec l'ouverture politique voulue par « notre ami le roi », les socialistes français ont commencé à découvrir le Maroc, et pas seulement les fastes de la Mamounia. Lionel Jospin et Jean-Pierre Chevènement, entre autres, qui s'intéressaient aux affaires internationales, ont fini par prendre leurs distances avec les thèses du Polisario, dont le conflit avec le Maroc autour du Sahara occidental continue de peser sur les relations entre Paris, Rabat et Alger.
Un homme a joué un rôle primordial dans la « grande révision » des socialistes vis-à-vis du royaume : Hubert Védrine, qui fut secrétaire général de l'Élysée (1991-1995) puis ministre des Affaires étrangères du gouvernement Jospin (1997-2002). Il conserve des liens solides avec le pays dont son père, Jean Védrine, a ardemment défendu l'indépendance, et a encore l'oreille du président. Car François Hollande est arrivé à la plus haute fonction de l'État sans avoir de connexion au Maroc. Ce n'est pas le cas de nombre de ses camarades du PS : Martine Aubry, Dominique Strauss-Kahn, Élisabeth Guigou. Sauf que ceux-là ne sont pas des hollandais historiques. Hormis une conférence à la fondation Bouabid en 2006, une escapade près de Tanger, qui avait dévoilé sa liaison avec Valérie Trierweiler, à l'été 2007, le royaume et ses arcanes ne sont guère familiers au républicain Hollande, qui connaît bien mieux l'Algérie.
On peut compter, d'ailleurs, quelques Français d'origine algérienne dans le premier cercle présidentiel, comme Faouzi Lamdaoui ou Kader Arif. L'idée que la gauche est moins proche du Maroc est aussi confortée par les froides relations entretenues par tous les présidents de droite avec Alger. « Il faut que l'on sorte des clichés, s'agace presque un proche du président français. La gauche n'est pas plus algérienne que la droite serait marocaine. » Mais il faut bien reconnaître que le chemin parcouru avec le Maroc ferait pâlir les plus enthousiastes des algérophiles. « Au Maroc, nous célébrons notre amitié, nous sommes en phase sur la plupart des sujets, poursuit la même source. Une visite en Algérie, c'est toujours pour se réconcilier. »
Tête-à-tête
Comme ses prédécesseurs, l'ambassadeur de France à Rabat, Charles Fries, arrivé en juin 2012, s'est employé à déminer le terrain en affirmant à tous ses interlocuteurs marocains que l'embellie de la relation franco-algérienne ne peut nuire à celle existant avec le Maroc. « On part de tellement loin en Algérie que l'on ne peut parler de rééquilibrage », affirme-t-il. Les diplomates savent marcher sur des oeufs sans éclabousser leurs souliers vernis. Cette visite présidentielle sera en tout cas utile, ne serait-ce que pour dissiper certains malentendus. Ainsi, Rabat aurait parié sur une réélection de Nicolas Sarkozy, après avoir d'abord misé sur DSK puis sur Aubry. Sans succès. Tout cela est oublié. M6, en voyage privé à Paris, n'a d'ailleurs pas manqué d'aller rencontrer le nouveau locataire de l'Élysée, le 24 mai 2012. Au téléphone, ils se sont parlé à deux reprises avant la rencontre de leurs chefs de gouvernement respectifs puis le déclenchement de l'opération Serval au Mali. Les communiqués très arides sortis de ces deux entretiens ne permettent pas de saisir la qualité de leur relation.
D'après une source au Château, le « courant passe entre les deux hommes ». Sans plus. Ces deux-là sont encore loin d'afficher la complicité que pouvaient avoir Hassan II et Chirac ou la camaraderie bling-bling entre Sarkozy et M6. C'est l'un des enjeux de cette visite : rapprocher les deux chefs d'État. Pour les présentations, les Marocains sortent le grand jeu. Réception à Casablanca, accueil intimiste du président et de sa compagne, le 3 avril, par le roi, sa femme et ses frères et soeurs à la résidence royale d'Anfa, où ils passeront la nuit. Le soir même, à l'occasion d'un grand dîner rassemblant quatre cents invités, les deux chefs d'État prendront la parole. Est également prévu un tête-à-tête où seront abordés le dialogue politique, la diplomatie, l'économie. « Ce n'est pas parce que l'on est en phase sur tous les sujets qu'il n'y a rien à construire, ajoute le proche de Hollande. Ce n'est pas une visite banale. »
Soutien
Côté marocain, on scrutera les mots employés par François Hollande sur le dossier numéro un : le Sahara. Devant le Parlement algérien, en décembre 2012, le président français avait dit soutenir l'initiative onusienne pour sortir du conflit. Devant les parlementaires du royaume, réunis en congrès pour un discours présidentiel lors du deuxième jour de la visite, il devra trouver les mots justes pour réitérer son soutien aux pourparlers en cours, sans rien renier de la position très avancée défendue par le Quai d'Orsay depuis Sarkozy : « Le plan de large autonomie [proposé par Rabat en 2007] est une base sérieuse et crédible » pour mettre fin au conflit. Toute formulation a minima serait considérée comme un désaveu côté marocain, à quelques semaines du renouvellement du mandat de la Mission des Nations unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso) au Conseil de sécurité.
Les diplomates se veulent confiants : « L'Algérie a intérêt à maintenir le Maroc sous pression, explique l'un d'entre eux. C'est d'ailleurs toujours Rabat qui fait le premier pas. On doit encourager les deux pays à se parler, car, à un moment ou à un autre, il faudra une solution négociée avec le Polisario et l'Algérie. » Le Mali, où Rabat apporte un appui humanitaire et militaire discret, sera au centre des discussions. Pour les Français, il s'agit de voir avec leur partenaire quel rôle il pourrait jouer dans le futur cadre onusien. En Côte d'Ivoire, comme plus récemment au Mali, la coopération entre les deux pays est totale en matière de renseignements. Au point que la rumeur d'une présence sur le sol de trois cents soldats des forces spéciales marocaines n'a jamais été sérieusement démentie.
Pas de rupture envisagée par le successeur de Nicolas Sarkozy sur l'appréciation faite par Paris de la transition démocratique en cours au Maroc. « Ce n'est pas encore la démocratie idéale, mais les autorités font de gros efforts et sont sur la bonne voie », explique un conseiller de Hollande. Paris devra encore se montrer disponible pour accompagner les réformes en cours. En somme, quoi qu'en dise Benkirane, le président français devra certainement méditer la phrase prêtée à Jean Cocteau : « Il n'y a pas d'amour. Il n'y a que des preuves d'amour. »
Citation :
Sidi Sarkozy
Les rois du Maroc n'ont jamais coupé les ponts avec les chefs d'État battus aux élections. Nicolas Sarkozy a bénéficié, juste après sa défaite en mai 2012, de l'avion royal pour venir se reposer à Marrakech, où il avait préparé, avec ses proches et conseillers, la victoire électorale de 2007. Depuis sa défaite, il y est retourné plusieurs fois avec son épouse, Carla Bruni-Sarkozy. Il a vu le roi à plusieurs reprises, a reçu Abdelilah Benkirane, le Premier ministre, et a passé Noël 2012 au palais Antares. Il projetterait par ailleurs d'acquérir à Marrakech une villa de 1 500 m2 avec vue sur l'Atlas, piscine et spa. Mais cela n'a pas été confirmé. Ce qui est sûr, c'est que les Marocains, dans leur majorité, n'apprécient guère le côté bling-bling de l'ex-président et préféraient le couple Chirac, qui passait de discrètes vacances à Taroudant, dans le sud du pays. De plus, la politique restrictive de Sarkozy en matière de visas n'a jamais été vraiment goûtée...
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messages : 2010 Inscrit le : 23/05/2010 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 4:40
El Oualid Ben Talal parle du Maroc à partir de 1h 00 minute, il parle du Maroc comme exemple pour les autres pays arabes.
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 10:00
Citation :
France-Maroc: une amitié particulière
Le président Hollande est en visite au Maroc pour consolider les liens entre la France et son premier partenaire au Maghreb. Investissements, commerce, crédits, soutien diplomatique, coopération culturelle: la proximité entre la France et le Maroc n'a pas d'équivalent. Et s'explique par le maillage serré d'échanges entre les deux pays.
La France est très directement impliquée dans l'économie du royaume. Un investissement étranger sur deux est français. François Hollande et le roi Mohamed VI, à l'Élysée, le 24 mai 2012.
C'est une relation très singulière que celle qui lie la France et le Maroc. "Nous sommes complices", résume Youssef Amrani, ministre délégué auprès du ministre des Affaires étrangères et de la Coopération. Ce professionnel de la diplomatie, ancien secrétaire général de l'Union pour la Méditerranée, évoque à la fois des "intérêts partagés", des "valeurs communes" et "une grande confiance mutuelle". "Notre relation, ajoute-t-il, repose non seulement sur les liens qui unissent les deux Etats mais aussi sur des réseaux constitués à travers le temps. Elle est faite de proximité et d'intimité."
Au Maroc, un investissement étranger sur deux est français La France est très directement impliquée dans l'économie du royaume. Un investissement étranger sur deux est français. Les entreprises françaises emploient dans le royaume environ 120 000 Marocains. Le seul pays où le business tricolore investit davantage est la Chine! Par ailleurs, la France "fournit" au Maroc 40% des recettes du tourisme ainsi que 40% des transferts des Marocains résidant à l'étranger. Le royaume est enfin le premier bénéficiaire de l'aide publique française. Avec une particularité: plutôt que de financer, ponctuellement, des projets, l'Agence française de développement accompagne par ses concours financiers les politiques publiques et les plans sectoriels du pays, notamment le plan Emergence, pour l'industrie, ou le plan Maroc vert, pour l'agriculture. Elle accorde des prêts à l'Etat marocain, mais également à des opérateurs publics. Paris a ainsi récemment octroyé son appui financier à l'agence chargée de mettre en oeuvre le plan solaire (Masen) ainsi qu'à l'Office chérifien des phosphates (OCP) pour un programme de traitement des eaux usées et de dessalement de l'eau de mer visant à économiser les ressources de la nappe phréatique. Entre 2000 et 2010, l'aide publique française au Maroc est passée de 100 millions d'euros par an à 363 millions. Et en 2011 elle a battu un nouveau record, avec un total de 541 millions, du fait notamment du programme de l'OCP. Une part importante de ces crédits est consacrée à la formation des ressources humaines.
L'absence de barrière de la langue est évidemment l'une des clefs de cette proximité. Aujourd'hui encore 61% des Marocains qui étudient à l'étranger le font en France. Ils y sont 30.000 et représentent le premier contingent, avant les Chinois. Le royaume compte 30 écoles françaises, dont la moitié des 30.000 élèves sont Marocains, y compris dans les prestigieux lycées Descartes à Rabat, Lyautey à Casablanca ou Victor-Hugo à Marrakech. Afin de faire face à la demande, Paris a dernièrement proposé aux autorités un partenariat qui déboucherait sur la création, dans les établissements marocains, de filières internationales. Celles-ci délivreraient un baccalauréat ouvrant l'accès à l'enseignement supérieur européen. Le projet est actuellement à l'étude.
De tels partenariats existent déjà dans l'enseignement supérieur. Pas moins de 150, qui débouchent sur des diplômes homologués, notamment dans les matières telles que le commerce, la gestion, les licences d'ingénieur. Par ailleurs, quelque 60.000 jeunes apprennent le français dans les établissements dépendant de l'Institut français du Maroc. Cette langue partagée permet une coopération culturelle qui a peu d'équivalent ailleurs. L'Institut français, qui produit ses propres spectacles et conférences - une soixantaine par an - est égalemeny associé à un grand nombre d'événements. "Nous cherchons à accompagner le bouillonnement culturel marocain en privilégiant les formes artistiques qui s'adressent à la jeunesse", souligne Bertrand Commelin, directeur de l'Institut français à Rabat. En sera-t-il toujours ainsi ? Pas sûr. Les nouvelles classes moyennes, moins cosmopolites, plus arabisées et plus conservatrices, n'ont pas la même intimité avec la France.
100 000 Français présents chaque jour sur le sol marocain Car une telle proximité n'existerait pas sans les échanges humains, permanents, entre les deux pays. L'ambassade de France, la deuxième par son importance, immédiatement après celle des Etats-Unis, ne compte pas moins de 350 fonctionnaires ou agents contractuels payés par l'Etat. Les six consulats français délivrent 160.000 visas par an, dont la moitié sont des visas de circulation, valables pour une longue durée et pour plusieurs voyages. L'ambassade estime pour sa part que 100 000 Français, résidents ou touristes, sont présents chaque jour sur le sol marocain : entre 70 000 et 80 000 résidents français, dont un peu plus de 40 % de binationaux, et de 20 000 à 30 000 touristes. Ces derniers constituent, de loin, le premier contingent de visiteurs du royaume : 1,8 million sur un total de 9,3 millions, selon les statistiques marocaines pour l'année 2010.
Ce tissu de relations personnelles fonde une véritable intimité... qui parfois dérape au point que certains observateurs n'hésitent pas à parler d'une relation "incestueuse" (1). Il est en tout cas presque impossible de trouver un décideur marocain qui ne séjourne pas de temps à autre en France, tandis que le Maroc est, de très loin, celui des pays étrangers que la classe politique française, toutes tendances confondues, et au-delà le "microcosme", fréquente le plus assidûment. Certaines personnalités y sont nées, beaucoup y passent leurs vacances.
Une très fine connaissance des Français et de leur culture « Le Maroc a su se constituer un réseau d'"amis", qui dépasse largement les clivages politiques et constitue un vrai lobby » En mars, lors de son voyage au Maroc, Martine Aubry a été reçue par le Premier ministre, et par le roi Mohammed VI. Ce dernier n'a pas oublié le stage qu'il avait fait, alors qu'il était prince héritier, à la Commission de Bruxelles, auprès de Jacques Delors, père de Martine Aubry. A l'époque, Hassan II avait invité toute la famille du mentor de son fils, dont Martine, alors ministre. Depuis, lors de ses séjours au Maroc -elle a jumelé sa ville de Lille avec celle d'Oujda- il n'est pas rare qu'elle soit conviée au Palais. "Nous vous connaissons mieux que vous ne nous connaissez", avait coutume de dire le roi Hassan II. Le Maroc utilise avec intelligence sa très fine connaissance de la France, des Français et de leur culture. Il a su se constituer un réseau d'"amis", qui dépasse largement les clivages politiques et constitue un vrai lobby. La France elle aussi est gagnante: le royaume ne représente pas seulement le plus gros excédent de sa balance commerciale (1 milliard d'euros), mais aussi un partenaire dont l'appui est précieux sur le plan international. Ce fut le cas, par exemple, lors de l'adoption de la résolution 1973, du Conseil de sécurité des Nations Unies, autorisant l'intervention en Libye, ou lors des débats à l'ONU sur la Syrie.
Reste à comprendre comment le Maroc et la France ont tissé de tels liens. Sans doute parce que le Maroc n'a pas été un pays colonisé comme les autres. Il a certes souffert de l'arrogance coloniale, notamment au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lors de l'affirmation du mouvement national, puis lors de la déposition et de la déportation du sultan Mohammed V, en 1953. Mais, grâce à la politique d'administration indirecte choisie par Lyautey, premier résident général du protectorat français, la France a su, ici mieux qu'ailleurs, préserver la culture et les traditions locales. L'Histoire l'y a aussi aidée: le Maroc est le seul des pays arabes colonisés par la France à ne pas avoir été, auparavant, soumis par l'Empire ottoman. Lorsque Lyautey est arrivé, à la veille de la Première Guerre mondiale, il a découvert un royaume gouverné depuis le xviie siècle, sans discontinuité, par la dynastie des Alaouites. D'où, en France, à l'époque, une véritable fascination pour ce "vieux pays", si différent des autres "colonies".
Le protectorat, une parenthèse dans l'histoire du Maroc Les Français rêvaient d'en faire une nouvelle Californie. Les Marocains, eux, ont vécu la période comme une parenthèse dans leur très longue histoire. Cela explique sans doute en partie qu'en dépit des épreuves, leur regard sur la période du protectorat soit dépourvu de ressentiment. L'autre raison de la spécificité franco-marocaine tient à l'héritage du roi Mohammed V. En 1939 il avait appelé ses sujets à porter secours à la France. Au lendemain de l'indépendance, il choisit d'oublier les années d'exil pour nouer une alliance avec l'ancienne puissance coloniale, qu'il concevait probablement aussi à l'époque comme une alliance de revers face à l'Espagne. Mais pas seulement. Quelques années plus tôt, avant d'avoir eu à subir les vicissitudes de la IVe République, il avait été fait compagnon de la Libération par le général de Gaulle. Une distinction que le chef de la France libre n'a décernée qu'à deux personnalités étrangères. L'autre était Winston Churchill.
l'express
mourad27 Modérateur
messages : 8010 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 12:59
fuite de sportif
marques General de Brigade
messages : 3996 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 13:21
mourad27 a écrit:
fuite de sportif
sportif ? aux Jeux olympiques à Londres, les 3 boxeuses marocaines se sont fait "tabasser" et éliminer au 1er tour ..
là elle veut partir ailleurs, pour faire de la boxe "professionnelle" en Belgique , au Maroc la boxe féminine n'a aucun public et aucun budget pour faire vivre quelqu'un ..
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 14:15
Yakuza a écrit:
comme deja dit,takhalouf et l´incivisme va encore plomber ce pays..
L'incivilité règne sur le quotidien des marocains
Pourquoi cette image , le gars ne fait que transporter son mouton sur sa bécane histoire d'économiser son temps et son argent . Ca n'a rien d'incivile !
par contre faire pipi au coin de la rue ... je suis d'accord!
Dernière édition par thewa3r le Mer 3 Avr 2013 - 14:43, édité 1 fois
BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 14:43
vous aurez remarque pendant le bain de foule pris par SM Le roi et F.Hollande, l'orchestre de la marine royale et la garde royale jouait la fameuse musique de la marche verte! tout un symbole et lourd de sens! ;-)
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
PGM Administrateur
messages : 11678 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 14:45
allons Thewaar, transporter un mouton a moto n'est pas non plus un truc a légitimer. Imagine un instant que tu traverses la rue au moment ou ce gars doit freiner....ou que tu roules derrière lui au moment ou il perd sa marchandise... ça coute combien de le faire ramener dans un "honda", entre 30 et 50 dhs. Cela vaut-il le coup de risquer sa vie et celle des autres pour si peu ? surtout quand tu as déboursé 2500/3000 dhs !
PGM
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 14:50
Sois sûr qu'il y a des bikers marocains qui maitrisent leur mobylette à merveille en transportant n'importe quelle marchandise
Tu crois que le gars aurait risqué un seul instant s'il n'était pas sûr de son pilotage et puis qui va ramener la moto s'il revient chez lui en Honda ?!
RED BISHOP Modérateur
messages : 12327 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 14:54
oui c'est vrai qu'on voit tous les jours la maitrise de la conduite des marocains avec les (trop) nombreux accident de la circulation...
_________________
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 15:10
il n'y a pas vraiment d'études exhaustives qui se penchent sur le type de véhicule qui est le plus impliqué dans les accidents chez nous . c'est pas le mouton qui augmentera la probabilité de l'accident . Des gens avec des Ferrari sont allés dans le décor ! leur freins carbone ne leur ont été d'aucune utilité , ni leur ABS ...
Le secret c'est de connaitre ses limites !
Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 16:10
Citation :
Hollande compte sur l'allié marocain au Sahel
Le président de la République effectue une visite d'État de deux jours au Maroc, premier partenaire de la France au Maghreb.
Certes, Mohammed VI a été le premier chef d'État étranger invité à l'Élysée, quelques jours après l'installation de François Hollande. En outre, le nouveau président et le roi se sont parlés au téléphone, notamment en janvier, peu après le lancement de l'opération «Serval» au Mali. Et Jean-Marc Ayrault a été dépêché en éclaireur à Rabat, mi-décembre, à la tête d'une importante délégation. Il n'en reste pas moins que François Hollande est attendu de pied ferme mercredi au Maroc pour sa première visite d'État. D'autant plus qu'il avait fait grincer des dents dans le royaume en se rendant d'abord en Algérie, fin décembre, contrairement à l'usage de ses prédécesseurs. À Alger, Abdelaziz Bouteflika avait finalement donné son aval à l'intervention militaire française au Mali. Cette semaine à Rabat, le Mali et la situation au Sahel seront également bien présents dans les entretiens, largement consacrés par ailleurs au renforcement des liens économiques. Comme l'Algérie, le Maroc a appuyé l'initiative militaire française, en fournissant du renseignement et en ouvrant son espace aérien aux chasseurs venus frapper les colonnes djihadistes lancées sur Bamako. Sur le Mali, «nous avons été en phase dès le début avec le Maroc», assure un conseiller de l'Élysée. Le 6 février, «M 6» s'est rendu au Caire pour défendre devant le sommet islamique l'opération «Serval». Quelques semaines plus tard, le chef du gouvernement marocain, l'islamiste Abdelillah Benkirane, saluait à son tour le «courage» de la France au Mali. Légitimement, François Hollande va donc s'employer à remercier le Maroc mais aussi à s'assurer de son soutien pour l'après-guerre, qui s'annonce semé d'embûches. L'exercice sera plus compliqué qu'il n'y paraît, compte tenu notamment de l'extrême sensibilité des relations, fort mauvaises, entre ses deux «soutiens» au Maghreb, le Maroc et l'Algérie, qui se disputent le Sahara occidental. L'ex-colonie espagnole est contrôlée par le Maroc qui propose pour la région une large autonomie sous sa souveraineté. Ce plan est rejeté par le Front Polisario, appuyé par l'Algérie, qui milite pour un référendum d'autodétermination. De laborieuses tentatives de règlement sont menées par l'ONU, qui maintient sur place une mission d'interposition, la Minurso, chargée de surveiller le cessez-le-feu depuis 1991. L'envoyé spécial des Nations unies, Christopher Ross, est actuellement en tournée dans la région. Son rapport est attendu le 22 avril. Selon lui, «la situation très grave au Sahel exige une solution rapide de la crise du Sahara occidental». «La situation très grave au Sahel exige une solution rapide de la crise du Sahara occidental» Christopher Ross, envoyé spécial de l'ONU La crise malienne est venue compliquer le paysage. Des experts, comme le spécialiste de l'islamisme Mathieu Guidère, soulignent la proximité des ambitions nationalistes des Touaregs et des Sahraouis. Pour les uns comme pour les autres, les perspectives politiques restent incertaines. En revanche, la menace sécuritaire aux franges du théâtre malien apparaît bien réelle. Elle s'est accrue récemment avec l'éparpillement des combattants djihadistes traqués par les militaires français et tchadiens. Certains jeunes proches du Polisario sont «descendus» faire le coup de feu à Gao et à Tombouctou. Inversement, des groupes repoussés vers le Nord auraient récemment rejoint des combattants du Polisario. Vu du Maroc, ce risque inquiète au plus haut point. La prise d'otages meurtrière du site gazier d'In Amenas, en Algérie en janvier, a été vécue comme un choc. La sécurité a été renforcée aux frontières et les autorités marocaines ont indiqué depuis avoir démantelé plusieurs cellules terroristes. Dans ce contexte d'instabilité, les interlocuteurs de François Hollande à Rabat tiennent à s'entendre rappeler que la France soutient le plan d'autonomie marocain. Une ligne dont Paris ne déviera manifestement pas, sans l'appuyer de façon démonstrative non plus, pour laisser une petite chance à l'introuvable «dynamique régionale», comme on le dit à l'Élysée - et surtout pour ne pas se priver de l'appui d'Alger dans cette phase épineuse. En donnant malgré tout des gages à Rabat sur le Sahara occidental, François Hollande attendra en retour le soutien du Maroc, membre non permanent du Conseil de sécurité, sur plusieurs dossiers chauds: le Mali - la résolution sur le déploiement de Casques bleus doit être votée fin avril -, mais aussi la Syrie.
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yassine1985 Colonel-Major
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 17:04
à part la comparaison avec l'équipe nationale j'approuve :
Citation :
Avec la venue du PJD au pouvoir tout le monde joue au expert en politique / économique
http://www.marocfier.com/jeune/961
_________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:04
La MRM rend les honneurs ... la classe
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Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:09
Citation :
Casablanca - Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid et de LL.AA.RR. les Princesses Lalla Salma, Lalla Meryem et Lalla Hasna, et le Président de la République Française, M. François Hollande, accompagné de Mme Valérie Trierweiler, ont présidé, mercredi au Palais Royal à Casablanca, la cérémonie de signature de plusieurs conventions de coopération bilatérale dans divers domaines.
La première convention est relative au financement du projet FSP d'appui aux formateurs de français des Centres régionaux des métiers de l'éducation et de la formation. Elle a été signée par le ministre français des Affaires étrangères, M. Laurent Fabius et le ministre de l'Education nationale, M. Mohamed El Ouafa. La deuxième convention est une déclaration conjointe sur les droits des femmes, signée par Mme Najat Vallaud-Belkacem, ministre française des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement, et Mme Bassima Hakkaoui, ministre de la Solidarité, de la femme, de la famille et du développement social.
La troisième est une convention-cadre pour la création d'un Institut international euro-méditerranéen de la Technologie (INSA International) au Maroc. Elle a été signée par Mme Geneviève Fioraso, ministre française de l'Enseignement supérieur et de la recherche, M. Jean-Louis Billoet, coordonnateur Maroc du Groupe INSA, et M. Lahcen Daoudi, ministre de l'Enseignement supérieur, de la recherche scientifique et de la formation des cadres. La quatrième, une Convention de partenariat et de coopération dans les domaines de l'agriculture, du développement rural et de l'agro-alimentaire, a été signée par M. Stéphane Le Foll, ministre français de l'agriculture, de l'agroalimentaire et de la forêt et M. Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime. La cinquième convention est un protocole de coopération en matière de valorisation des produits de la Mer, signé par M. Stéphane Le Foll, ministre de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, M. Frédéric Cuvillier, ministre délégué auprès de la ministre de l'Ecologie, du Développement durable et de l'Energie, en charge des transports, de la mer et de la pêche et M. Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime. La sixième convention, un protocole d'accord relatif à la poursuite du financement du pilier II du Plan Maroc Vert (20 millions d'euros), a été signée par MM. Dov Zerah, Directeur général de l'Agence Française de développement, Nizar Baraka, ministre de l'Economie et des Finances, Aziz Akhannouch, ministre de l'Agriculture et de la pêche maritime et Tariq Sijilmassi, président du Directoire du Crédit agricole du Maroc. La septième convention est relative à la création de l'Ecole centrale de Casablanca. Elle a été signée par Mme Geneviève Fioraso, et MM. Abdelkader Amara, ministre de l'Industrie, du Commerce et des nouvelles technologies, Nizar Baraka et Lahcen Daoudi. La huitième convention est un protocole d'accord relatif au financement du programme emploi et développement des compétences (50 millions d'euros), signée par MM. Dov Zerah, Nizar Baraka et Abdelouahed Souhail, ministre de l'Emploi et de la formation professionnelle. La neuvième convention porte sur un prêt de 30 millions d'euros à l'Office national de l'électricité et de l'eau potable (ONEE) pour le financement du programme d'amélioration des performances des réseaux d'eau potable. Elle a été signée par MM. Dov Zerah, Nizar Baraka et Ali Fassi Fihri, directeur général de l'ONEE. La dixième convention est un protocole d'accord avec Attijariwafa Bank relatif à l'accompagnement d'entreprises marocaines et françaises dans leur stratégie d'implantation en Afrique subsaharienne, signée par MM. Dov Zerah et Mohamed El Kettani, PDG d'Attijariwafa Bank. La onzième convention porte sur un prêt de 150 millions d'euros à la société d'aménagement Zenata (SAZ), filiale de la Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG), pour le financement de l'aménagement de l'éco-cité de Zenata. Elle a été signée par MM. Dov Zerah et Anass Houir Alami, directeur général de la CDG (Garant). La douzième convention est passée entre la Fondation nationale des Musées du Royaume du Maroc et l'Institut du monde Arabe (IMA) pour l'organisation d'une exposition sur l'Art contemporain marocain à l'IMA de Paris en 2014. Elle a été signée par MM. Jack Lang, président de l'IMA et Mehdi Qotbi, président de la Fondation nationale des Musées du Royaume du Maroc. La treizième convention, un protocole d'accord entre le Moroccan Financial Board (société chargée de la promotion institutionnelle et du pilotage de Casablanca Finance City) et Paris Europlace, a été signée par MM. Gérard Mestrallet, PDG du Groupe GDF Suez et président de l'Association Paris Europlace, et Said Ibrahimi, directeur général du Moroccan Financial Board. La quatorzième convention est un contrat relatif à la fourniture du lot signalisation et télécommunications de la Ligne à Grande Vitesse entre Tanger et Kénitra, signée par MM. Gilles Pascault, Vice-président d'Ansaldo STS France et Mohamed Rabii Khlie, directeur général de l'Office national des chemins de Fer. La quinzième convention, un protocole d'accord définitif pour la création d'un Institut de formation ferroviaire, a été signée par Guillaume Pépy, directeur général de la SNCF et Mohamed Rabii Khlie. La seizième convention est un protocole d'accord pour la création d'une Joint Venture SNCF/ONCF pour la maintenance de la ligne LGV, signée par Guillaume Pépy et Mohamed Rabii Khlie. La dix-septième convention est un contrat relatif à la fourniture du lot "caténaire/base travaux" de la ligne à grande vitesse entre Tanger et Kénitra. Elle a été signée par MM. Patrick Guénolé, PDG de Colas Rail et Mohamed Rabii Khlie. La dix-huitième convention porte sur un contrat relatif à la fourniture du lot "sous-station et alimentation caténaire" de la Ligne à Grande Vitesse entre Tanger et Kénitra. Elle a été signée par M. Nicolas Héritier, directeur Rail de Cegelec Mobility et Mohamed Rabii Khlie. La dix-neuvième et dernière convention relative au Parc éolien de Taza a été signée par Mme Fabienne Bémol, directrice exécutive d'EDF Energies Nouvelles et M. Ali Fassi Fihri. A cette occasion, M. Anass Houir Alami a présenté à SM le Roi et à Son illustre hôte une maquette représentant la future éco-cité de Zenata. Cette éco-cité marocaine et ville de services à taille humaine sera destinée principalement à la classe émergente et favorisera une mixité sociale et spatiale. A terme, elle accueillera 300.000 habitants et créera 100.000 emplois conformément aux standards internationaux de développement durable. Cette nouvelle organisation spatiale, sociale et économique, créatrice de valeur contribuera fortement au rééquilibrage du Grand Casablanca. Cité avant-gardiste, la future ville de Zenata favorisera une mobilité collective et durable grâce à un réseau de transports complet (train, RER, tramway, bus à haut niveau de service ) et des infrastructures modernes. De plus, Zenata disposera de 470 hectares - soit 30 pc de sa superficie- d'espace verts répartis à travers des parcs et des corridors écologiques conçus pour favoriser la biodiversité et la mobilité douce. Enfin, Zenata offrira l'accès à l'éducation, à la santé, au commerce et loisirs par la création de pôles de productivité majeurs qui en feront une ville attractive pour sa qualité de vie unique et son dynamisme économique. La cérémonie de signature des conventions s'est déroulée en présence notamment du Chef du Gouvernement, des conseillers du Souverain, de membres du gouvernement et de la délégation officielle accompagnant le président français et les membres du comité d'Honneur.
Map
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klan General de Brigade
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:13
oui Fremo la classe
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RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:14
Fremo a écrit:
La MRM rend les honneurs ... la classe
Hommage au 100 ans du Port de Casa ( qui est une création française)
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:21
Fremo a écrit:
La MRM rend les honneurs ... la classe
La musique joué derrière "AL Massira Al Khadra" tout un symbole et beaucoup de fierté
14 min 45 remarquez comment hollande sourit à la vu de Benkiran Si il y en à bien un capable de l'amadouer c'est lui, entre blagueur du dimanche
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Dernière édition par Fahed64 le Mer 3 Avr 2013 - 21:38, édité 1 fois
RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:34
Au Mechouar, la Garde Royale jouait la Marche Consulaire de Napoléon qui est jouer lors des passage du Président Français
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rmaf Administrateur
messages : 15620 Inscrit le : 18/03/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:40
egarder la cavalerie de la garde
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و كان حقا علينا نصر المؤمنين - حب الأوطان من الإيمان
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klan General de Brigade
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:43
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Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:48
Citation :
Le commandant ( ex ? ) de la RMN hassan II je pense
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Invité Invité
Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 21:59
le grade SVP
Fremo Administrateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 22:05
Capitaine de Vaisseau ( Colonel ) ... capitaine Essaadi en fait
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RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Re: Actualités nationales Mer 3 Avr 2013 - 22:11
Pas de chance FH, quand il est devenu président, il a eu la pluie, le premier voyage a l'étranger ( Allemagne) il a eu la pluie, il viens au Maroc, il a encore la pluie !