Armée Française / French Armed Forces

Rappel du premier message :

Citation :: France selects ThalesRaytheonSystems to supply its third Ground Master 400 3d air defense radar
The French defense procurement agency (DGA) has selected ThalesRaytheonSystems (TRS) to supply the French Air Force with a third Ground Master 406 radar for the Lyon Mont-Verdun airbase. The order follows an earlier award announced on September 7, 2012 to provide an identical radar for the Nice Mont-Agel base.
Wednesday, February 27, 2013, 05:10 PM

http://www.armyrecognition.com/february_2013_army_military_defense_industry_news/index.php

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Citation :: L’équipe de France militaire de parachutisme et l’équipe parachutiste de présentation de l’ @Armee_de_lair inscrit un 60 dans le ciel salonais, à l'occasion des 60 ans de la Patrouille de France.

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Citation :: La garnison de Metz a remis 40.000 euros de dons au profit des militaires blessés
9 juin 2013 – 10:37

Au cours d’une grande opération de solidarité organisée les 1er et 2 juin derniers, 40.000 euros de dons ont été récoltés par la garnison de Metz auprès des habitants de la ville, au profit des militaires blessés et de leurs familles. Ce qui fait tout de même une jolie somme par ces temps de morosité économique.

Ainsi, le 8 juin, le gouverneur militaire de Metz, le général Patrick Ribayrol, a pu remettre à l’Association pour le Développement des Oeuvres d’entraide dans l’armée (ADO) un chèque correspondant à la somme des dons recueillis grâce à la belle générosité messine.

A cette occasion, le général Ribayrol n’a pas manqué de remercier “l’ensemble des partenaires de cet évènement ainsi que les particuliers qui ont contribué à la fois financièrement mais aussi matériellement au succès de cette opération de solidarité.”

Les dons récoltés vont “permettre notamment d’améliorer l’appareillage des blessés et de fournir l’aide d’urgence dont certaines familles ont besoin pour faire face aux conséquences liées à une blessure”, a fait savoir un communiqué publié par la garnison de Metz.

L’ADO, dont la devise est “la solidarité n’est pas obligatoire mais juste indispensable”, est une association reconnue d’utilité publique créée en 1939. Forte de 9.000 membres et sympathisants, son but est de porter assistance au personnel militaire et civil du ministère de la Défense, en activité ou en retraite, ainsi qu’à leur famille.

http://www.opex360.com/

Citation :: lundi 10 juin 2013

Le 2e A400M français a volé

On ne l'apprend que ce matin, le deuxième A400M destiné l'armée de l'air française (MSN008) a fait
son premier vol samedi. Soit avec quelques jours de retard, puisqu'il était prévu initialement avant le 30 mai. Il doit être livré au troisième trimestre, assure par ailleurs Airbus Military.
Toujours pas de date précise pour la livraison du MSN007, premier A400M destiné à l'armée de l'air. AM annonce une livraison "dans les semaines à venir".
Selon des sources non officielles -l'armée de l'air semble avoir renoncé à fixer une date pour l'instant-, cette livraison pourrait intervenir le 12 juillet.

http://lemamouth.blogspot.fr/2013/06/le-2e-a400m-francais-vole.html

Citation :: Enquêtes à Nouméa et Marseille sur des déménagements surfacturés

Sur la depeche.fr du 17 avril dernier, on pouvait lire un article portant sur les "Surfacturations, rétro-commissions et autres petits arrangements" qui abonderaient dans "le vaste marché du déménagement des militaires vers l'outre-mer".

L'enquête a rebondi à Nouméa comme l'annonçait le 28 mai le journal Les Nouvelles Calédoniennes.

L'AFP qui a repris l'article des confrères calédoniens raconte que "l'Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) a été chargée d'enquêter en Nouvelle-Calédonie sur des surfacturations présumées de déménagements de militaires et de gendarmes".

Elle précise que "la justice soupçonne plusieurs sociétés de déménagement de l'archipel de gonfler artificiellement les devis de déménagement de gendarmes et de militaires. Ces déménagements, dont les montants sont plafonnés, sont pris en charge par le ministère de la Défense. En échange, les sociétés de déménagement offriraient des cadeaux aux militaires telles que des locations de voiture, des tablettes numériques ou des billets de train."

http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2013/06/10/enquetes-a-noumea-et-marseille-sur-des-demenagements-surfact.html

Citation :: Armée française - opérations militaires OPEX (page officielle)

Du 26 au 28 mai, à 70 km au Nord-Est de Gao, le GTIA Désert a mené l’opération Ceuze. Elle avait pour objectif d’exploiter les renseignements collectés lors d’une opération préalable tout en affichant à la fois la présence et la détermination de la force dans la région située entre Gao et In Zekouan.

Pour cette opération, le GTIA Désert a déployé plus de 300 militaires français aux côtés d’une soixantaine de militaires des forces de sécurité maliennes. Lors de cette action, les renseignements transmis par l’avion de patrouille maritime Atlantique 2 et un drone Harfang, combinés à l’action des chasseurs, ont fourni au commandement des troupes au sol un appui important.

En dépit des conditions climatiques extrêmes et les premières tempêtes de sable, l’opération Ceuze a atteint ses objectifs : poursuivre les opérations de sécurisation visant à affaiblir les groupes terroristes ainsi que leurs moyens logistiques.

Crédit : EMA / armée de Terre

Citation :: Armée française - opérations militaires OPEX (page officielle)

21 mai 2013, aéroport de Douchanbé, les hommes du 25e régiment du génie de l’air (25eRGA) poursuivent les travaux de reconstruction de l’ancienne bretelle Delta de l’aéroport. Débutée le 2 mai dernier, leur mission est d’aplanir le sol après une première phase de déconstruction de la piste. La dernière étape sera celle de la pose d’enrobé effectué par les ingénieristes à bord d’engins « finisseurs ». La fin des travaux est prévue pour le mois de septembre.

Le 25e RGA est implanté, pour sa partie centrale à Istres et dispose de deux compagnies basées à Mont -de -Marsan et Avord. Une soixantaine de militaires de ce régiment sont présents sur l’aéroport de Douchanbé.

Depuis 2003, dans le cadre des accords franco-tadjike, le 25e RGA entretient et rénove des parties de l’aéroport de Douchanbé (parkings, taxiways, pistes…).

Crédit : EMA/armée de Terre

Citation :: Armée française - opérations militaires OPEX (page officielle)

Crédit : EMA / armée de Terre

28 mai 2013, 12h57, Nord-Est de Gao, opération Ceuze, l’équipage d’un hélicoptère Tigre se prépare à redécoller pour aller appuyer les troupes au sol. Du 26 au 28 mai, à 70 km au Nord-Est de Gao, le GTIA Désert a mené l’opération Ceuze. Elle avait pour objectif d’exploiter les renseignements collectés lors d’une opération préalable tout en affichant à la fois la présence et la détermination de la force dans la région située entre Gao et In Zekouan.

https://www.facebook.com/photo.php?fbid=538068319572231&set=a.339889002723498.75992.290726467639752&type=1&theater

Citation :: CRASH D’UN MIRAGE 2000-5F :

LES CAUSES SONT IDENTIFIÉES. C'EST UN COUP DUR POUR LA BA116 QUI PERD AINSI UN DEUXIÈME APPAREIL EN MOINS D'UN AN.
UNE FAMILLE D’AGRICULTEURS EST QUITTE POUR UNE BELLE FRAYEUR...

La semaine dernière, dans la soirée du Mercredi 5 juin 2013, un Mirage 2000-5F de l’escadron EC-1/2 « Cigognes » rattaché à la BA116 de Luxeuil s’écrasait dans un champ.
L’appareil jouait le rôle de « plastron » (ennemi) et pour ce faire, volait bas et à la vitesse réduite de 200 nœuds (environ 370 km/h). Un autre appareil avait pour mission de l’intercepter et devait le forcer à atterrir.

Ce qui a causé le crash de l’appareil constitue la hantise de tous les pilotes du monde : un oiseau.
Du fait de ces conditions de vol, le Mirage était particulièrement exposé aux volatiles. L'oiseau a été aspiré dans le réacteur du chasseur, provoquant probablement une rupture d’aube de turbine, entraînant l’arrêt du moteur.
Son Mirage devenu incontrôlable, le pilote avait respecté la procédure : il s’était éjecté après avoir largué ses deux bidons de carburant qui étaient tombés dans le jardin de Mme Michèle Triboud, de part et d’autre de sa maison. Les deux bidons RP541/542 de 6,30 mètres de longueur et pouvant contenir jusqu’à 2000 litres de kérosène chacun, avaient ainsi miraculeusement épargnés l’habitation (voir photo).

Son fils, Gérald Triboud, avait assisté à toute la scène :
« J’étais dans mon champ, abrité sous un hangar. J’ai vu le Mirage passer très bas, il était tout cabré. Il est passé derrière un bosquet et j’ai vu une grosse fumée noire. Mais j’ai surtout regardé où était tombé le pilote et j’y suis allé. Quand je suis arrivé, il était debout. Je l’ai aidé à passer un fossé et je l’ai hissé sur mon tracteur. Il souffrait de sa cheville et de la colonne vertébrale [probablement à cause de la compression due à la violence de l’éjection, NDLR] (…) Il lui manquait une chaussure, il l’a perdu quand il a été éjecté. ».
Ironisant sur le fait qu’un agriculteur voisin finira bien par « remonter la godasse » lors d’une prochaine récolte, Gérald a ensuite expliqué avoir ramené le pilote – un commandant de 36 ans – « à bord de son tracteur ».

Mme Triboud, quant à elle, a déclaré :
« Il n’était pas très causant. On voyait que ça le travaillait. Il nous a juste demandé une serviette pour s’essuyer car il était trempé à cause de la pluie. (…) Une demi-heure après, je n’avais jamais eu autant de monde dans ma cuisine, les pompiers, les gendarmes… Il a même fallu enlever la table ! ».

Légèrement blessé à la cheville, le militaire est sorti de l’hôpital de Remiremont (Vosges) le lendemain, dans l'après-midi du jeudi 6 juin 2013.
Souhaitons à ce commandant, dont l'identité demeure inconnue, un prompt rétablissement. Espérons également qu'à l'issue de l'enquête, il soit reconnu non responsable de ce crash et que ses états de services n'en soient pas affectés.

UN OISEAU DUR À DIGÉRER POUR LES CIGOGNES…

C’est un coup dur pour l’EC-1/2 « Cigognes » car il s'agit en effet du deuxième Mirage 2000-5 perdu en moins d'un an.

En effet, en octobre 2012, peu après le décollage d’une patrouille de quatre avions et également par mauvais temps, un 2000-5 s’était écrasé sur la commune de Froideconche, à proximité de Luxeuil. Le pilote aux commandes était un lieutenant-colonel de l’armée de l’Air taïwanaise qui participait à un échange.
Selon les témoins, le pilote aurait eu le temps de s’éjecter mais ne l’aurait pas fait, probablement afin d’éloigner son appareil le plus loin possible des habitations. Il avait alors payé de sa vie, ce geste héroïque…
Concernant ce premier crash, pour l’heure, l’armée de l’Air n’a toujours pas communiqué les conclusions de l'enquête. Le sujet étant particulièrement sensible, il n'est pas certain que la « Grande Muette » les rende publiques un jour.

Avec ces deux crashes, l'armée de l'Air ne compte plus que 30 Mirage 2000-5F. Si les cellules de ces appareils sont relativement anciennes, elles ont été modernisées dans les années 90, notamment avec un système d'armes plus performant, dédié à la défense aérienne.
Les Mirage 2000-5F se sont récemment illustrés durant l'opération « Harmattan », du 19 mars au 31 octobre 2011, au dessus du territoire libyen, assurant des missions « No Fly Zone » (interdiction aérienne) au-dessus du territoire ennemi.

AFP / SDIS70 / L’Est Républicain / D. Roquelet

Pas jolie jolie la securité nucleaire en france.....

Citation :: Île Longue : des failles dans la dissuasion nucléaire française

Après plusieurs mois d'enquête, Le Télégramme révèle de nombreuses lacunes dans la sécurité de la base qui accueille quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins en rade de Brest.

L'île Longue, située en rade de Brest dans le Finistère, est le «fleuron» de la dissuasion nucléaire française. Quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins y sont stationnés, chacun d'entre eux peut contenir jusqu'à seize têtes nucléaires, l'équivalent de 960 Hiroshima. Après plusieurs mois d'enquête, le quotidien régional Le Télégramme révèle de nombreuses failles dans la sécurité de ce site ultrasensible. Plusieurs événements récents en témoignent. En juin 2012, deux individus se sont introduits sur le site. Ils ont pu matérialiser un engin explosif dans un sous-marin nucléaire et repartir comme si de rien n'était. Il ne s'agissait là que d'un exercice de sécurité, mais les faits font tout de même froid dans le dos.

En cause: les badges de sécurité. Pour entrer sur la base, un simple badge nominatif équipé d'une bande magnétique suffit. Or, ces derniers sont aisément copiables. Un contrôle visuel est également assuré à l'entrée par les vigiles et gendarmes présents. La diffusion de ces précieux sésames laisse également à désirer. Des personnes ayant quitté leur emploi n'auraient pas eu à restituer leur badge. Ils pouvaient toujours entrer dans la base, plusieurs mois après. Le journaliste du Télégramme, Hervé Chambonnière, a aussi pu consulter le document qui recense et détaille tous les badges d'accès, ce dernier n'étant pas classé «confidentiel ou secret défense». À partir de ces informations, il a eu accès à la base de vie du site.

«Un vulgaire morceau de feuille de papier blanc»

Quant aux contrôles routiers, ils seraient très sommaires. «Le sésame pour l'accès des véhicules, quant à lui, est un vulgaire morceau de feuille de papier blanc, où figurent quelques informations basiques, explique Le Télégramme. Un enfant de 12 ans pourrait le reproduire.» De plus, la base ne dispose d'aucun scanner pour contrôler les véhicules. Selon le journal, des commandos de l'armée, chargés il y a quelques années d'éprouver la sécurité de la base, sont parvenus à entrer sur le site dans un camion poubelle. D'autres ont pu entrer cachés dans des caisses en bois.

L'île Longue serait de cette manière vulnérable face à une attaque terroriste. Plusieurs photos ou vidéos d'apparence anodines et disponibles sur Internet permettraient de préparer un attentat. «Ces éléments révèlent quels sont la protection et l'équipement individuels des gendarmes et fusiliers marins», rapporte un spécialiste de la sécurité consulté par le journal. Les terroristes auraient notamment en face d'eux 115 gendarmes maritimes débutants - 230 fusiliers marins les accompagnent - l'île Longue étant pour une bonne partie d'entre eux leur première affectation. «À noter, également, l'absence de chicane devant l'entrée de la base et dans la base, ajoute le quotidien. Impossible d'empêcher un camion-suicide de parvenir jusqu'à la “cathédrale” principal sas d'accès au cœur du site.» Dépourvus de missiles sol-air - l'installation d'une batterie a été envisagée en mars - et de moyens suffisants pour intercepter un bateau, les militaires ne pourraient pas contrer une attaque par les airs ou la mer. Le tout à seulement quelques kilomètres d'une agglomération de près de 150.000 habitants.

Figaro

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Armée Française / French Armed Forces - Page 15 13650610

"Nous trouverons un chemin… ou nous en créerons un": Hannibal

Citation :: Des munitions de gros calibre et des missiles commandés
10 juin 2013 – 17:19 A l’occasion d’un déplacement à Bourges, ce 10 juin, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a fait plusieurs annonces concernant l’acquisition de munitions de gros calibre ainsi que le lancement de plusieurs programme de missiles.

Sur le site de MBDA d’abord, M. Le Drian a ainsi confirmé le programme de missiles anti-navires légers (ANL), ce qui était attendu non sans impatience de l’autre-côté de la Manche.

Développé en coopération avec le Royaume-Uni, l’ANL doit armer les hélicoptères NH-90 Caïman et Panther de la Marine nationale, ainsi que les Lynx Wildcat de la Royal Navy. A Londres, où ce programme est considéré comme prioritaire, l’on avait laissé entendre qu’il serait lancé unilatéralement si la décision françaises tardait trop…

Toujours dans le même domaine, le ministre également confirmé la production du Missile de croisière naval (MdCN), encore appelé Scalp Naval, destiné aux frégates multimissions (FREMM) et aux sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) Barracuda, ainsi que le lancement du Missile Moyenne Portée (MMP), destiné à remplacer le Milan, actuellement en service au sein de l’armée de Terre. Les premières livraisons sont attendues en 2017.

Par ailleurs, M. Le Drian et Antoine Bouvier, le Pdg du missilier, ont signé une nouvelle convention bilatérale dans le cadre du Pacte Défense PME, lancé le 27 novembre 2012.

Une convention similaire a également été signée avec Nexter, lors de la visite du ministre au site de l’industriel dédié aux munitions, situé à La Chapelle St Ursin, près de Bourges. Une occasion, là encore, de faire de nouvelles annonces.

“La défense premier investisseur de l’Etat est une réalité concrète, et je suis heureux, aujourd’hui, de pouvoir annoncer que la DGA vient de notifier à NEXTER Munitions, pour un montant de 175 millions d’euros, la suite du contrat de munitions de gros calibres dont la première partie avait été contractualisée fin 2011″, a déclaré M. Le Drian.

“Ce contrat regroupe la production et le développement de 7 types de munitions différentes, utilisés pour nos armes en particulier au Mali, où nous sommes actuellement engagés. Ce marché, d’un montant total de 313 millions d’euros, permet d’assurer le besoin exprimé par les forces tout en donnant une visibilité importante au groupe et ce, jusqu’à la fin de la décennie”, a-t-il ajouté.

Sont donc notamment concernées les munitions de calibre de 155mm, 120mm et 105mm, destinées à l’armée de Terre. Cette commande permettra à Nexter Munitions de créer 20 emplois et d’avoir un plan de charge pour au moins deux ans.

Enfin, M. Le Drian a brièvement évoqué le programme Scorpion, qu’il a qualifié “d’essentiel pour le niveau d’équipement de l’armée de Terre”, puisqu’il prévoit le remplacement des VAB, AMX-10RC et autres ERC-90 Sagaie. “Je suis très attaché à son lancement dans les mois qui viennent et le niveau de ressources que le président de la République a alloué à la mission défense nous permet de le proposer dans la LPM (ndlr, Loi de Programmation Militaire) en cours de préparation”, a expliqué le ministre.

http://www.opex360.fr/

une joie pour les espions Mad

Citation :: Enquête ouverte sur des failles de sécurité dans la dissuasion nucléaire française

Après plusieurs mois d'enquête, Le Télégramme révèle de nombreuses lacunes dans la sécurité de la base de l'île Longue, qui accueille quatre sous-marins nucléaires en rade de Brest. Le ministre de la Défense demande une enquête approfondie.

L'île Longue, située en rade de Brest dans le Finistère, est le «fleuron» de la dissuasion nucléaire française. Quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins y sont stationnés, chacun d'entre eux peut contenir jusqu'à seize têtes nucléaires, l'équivalent de 960 Hiroshima. Après plusieurs mois d'enquête, Le Télégramme révèle de nombreuses failles dans la sécurité de ce site ultrasensible. Face à ces révélations du quotidien régional, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, a demandé à l'inspection générale des armées une «enquête approfondie sur la sécurité» du site. Plusieurs événements récents témoignent de défaillances en la matière. Lors d'un exercice de sécurité en juin 2012, deux individus se sont introduits sur le site. Ils ont pu déposer un faux engin explosif dans un sous-marin nucléaire et repartir comme si de rien n'était. En cause: les badges de sécurité. Les deux hommes étaient équipés d'un «badge noir» les dispensant de contrôle.

Pour entrer sur la base, un simple badge nominatif équipé d'une bande magnétique suffit. Or, ces derniers peuvent aisément être copié. Un contrôle visuel est néanmoins assuré à l'entrée par les vigiles et gendarmes présents. La diffusion de ces précieux sésames laisse également à désirer. Des personnes ayant quitté leur emploi n'auraient pas eu à restituer leur badge. Ils pouvaient toujours entrer dans la base, plusieurs mois après. Le journaliste du Télégramme, Hervé Chambonnière, a aussi pu consulter le document qui recense et détaille tous les badges d'accès, ce dernier n'étant pas classé «confidentiel ou secret défense». À partir de ces informations, il a eu accès à la base de vie du site.

«Un vulgaire morceau de feuille de papier blanc»

Quant aux contrôles routiers, ils seraient très sommaires. «Le sésame pour l'accès des véhicules, quant à lui, est un vulgaire morceau de feuille de papier blanc, où figurent quelques informations basiques, explique Le Télégramme. Un enfant de 12 ans pourrait le reproduire.» De plus, la base ne dispose d'aucun scanner pour contrôler les véhicules. Selon le journal, des commandos de l'armée, chargés il y a quelques années d'éprouver la sécurité de la base, sont parvenus à entrer sur le site dans un camion poubelle. D'autres ont pu entrer cachés dans des caisses en bois.

L'île Longue serait de cette manière vulnérable face à une attaque terroriste. Plusieurs photos ou vidéos d'apparence anodines et disponibles sur Internet permettraient de préparer un attentat. «Ces éléments révèlent quels sont la protection et l'équipement individuels des gendarmes et fusiliers marins», rapporte un spécialiste de la sécurité consulté par le journal. Les terroristes auraient notamment en face d'eux 115 gendarmes maritimes débutants - 230 fusiliers marins les accompagnent - l'île Longue étant pour une bonne partie d'entre eux leur première affectation. «À noter, également, l'absence de chicane devant l'entrée de la base et dans la base, ajoute le quotidien.

Impossible d'empêcher un camion-suicide de parvenir jusqu'à la “cathédrale” principal sas d'accès au cœur du site.» Dépourvus de missiles sol-air - l'installation d'une batterie a été envisagée en mars - et de moyens suffisants pour intercepter un bateau, les militaires ne pourraient pas contrer une attaque par les airs ou la mer. Le tout à seulement quelques kilomètres d'une agglomération de près de 150.000 habitants.

lefigaro.fr

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."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية

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Je savais nos politiques incompétent mais là, si cela touche a ce secteur "classifier" et dangereux a cause des lots de M 51 et M 45
cela devient vraiment inquiétant Twisted Evil

Citation :: L'île Longue : le ministère de la Défense veut rassurer

Le Point.fr - Publié le 11/06/2013 à 12:56 - Modifié le 11/06/2013 à 13:37

Une enquête du "Télégramme" fait état de "nombreuses failles de sécurité" sur le site qui abrite les sous-marins nucléaires français.

Source AFP

"La sécurité de notre dissuasion" nucléaire "n'est pas en défaut", a assuré mardi Pierre Bayle, porte-parole du ministère de la Défense. "Je tiens à rassurer tous ceux qui craindraient pour la sécurité de notre dissuasion, celle-ci n'est pas en défaut", a déclaré lors d'un point de presse Pierre Bayle, après la publication par le quotidien Le Télégramme d'une enquête faisant état de "nombreuses failles de sécurité" sur le site de l'île Longue qui abrite les sous-marins nucléaires français, en rade de Brest.

Dans son édition de mardi, le quotidien breton souligne notamment que sur la base, il n'y a "pas de système de contrôle biométrique, qui offre pourtant une incomparable garantie d'authentification grâce à la reconnaissance digitale et/ou de l'iris de l'oeil". L'identification des personnels autorisés à y pénétrer "s'effectue au moyen de badges nominatifs équipés d'une simple bande magnétique (très facilement copiable) et d'une photo", explique le journaliste qui signe l'enquête, Hervé Chambonnière, en ajoutant que "ces badges ne permettent pas non plus de tracer leurs porteurs, et notamment de savoir s'ils ont bien quitté la base en fin de journée". Quant aux véhicules, le sésame consiste en "un vulgaire morceau de feuille de papier blanc, où figurent quelques informations basiques", selon le quotidien.

http://www.lepoint.fr/societe/l-ile-longue-le-ministere-de-la-defense-veut-rassurer-11-06-2013-1679624_23.php

J'espère qu'il n'y a pas d'espions (chinois ou autres Armée Française / French Armed Forces - Page 15 Icon_big

) sur le forum car avec les photos ci-dessous, ils vont copier les trains avant du Rafale ainsi que sa crosse d'appontage ! Armée Française / French Armed Forces - Page 15 Planetesmileycom

Armée Française / French Armed Forces - Page 15 Planetesmileycom

Citation :: BA 125, les Rafale Marine arrivent !!

Dimanche soir, une dizaine de Rafale Marine va arriver à Istres sur la BA 125. Comme l'an dernier, les ''marins'' viennent à Istres s'entraîner à l'appontage. Une semaine durant la plus longue piste d'europe va se transformer en porte-avion !Le marquage au sol est déjà fait ! La dizaine de Rafale marine de la 11F va venir à Istres s'entraîner à l'appontage. Une piste de porte-avion est déjà dessinée et un miroir d'appontage à été installé.
Les marins vont s'entraîner jour et nuit à l'appontage, une étape nécessaire avant d'intégrer le groupe aéronaval qui partira avec le PA Charles de Gaulle en juillet prochain.
200 marins accompagneront pilotes et avions.

Des vols de nuit sont bien sur prévus, si les marins s'en tiennent aux pratiques en cours à Istres ces vols devraient normalement se dérouler les mardi et jeudi dans la nuit.

Les Rafale vont s'entraîner de jour et de nuit !

Le rafale marine dispose d'un train avant renforcé pour les catapultages

Sur Porte-avions, le rafale se sert d'une crosse pour se poser en quelques mètres

En 2012, un détachement originaire de Landivisiau était déjà venu à Istres

http://www.maritima.info/actualites/societe/istres/4711/ba-125-les-rafale-marine-arrivent-.html

jf16 a écrit:

Citation :: L'île Longue : le ministère de la Défense veut rassurer

Le Point.fr - Publié le 11/06/2013 à 12:56 - Modifié le 11/06/2013 à 13:37

Une enquête du "Télégramme" fait état de "nombreuses failles de sécurité" sur le site qui abrite les sous-marins nucléaires français.

Source AFP

"La sécurité de notre dissuasion" nucléaire "n'est pas en défaut", a assuré mardi Pierre Bayle, porte-parole du ministère de la Défense. "Je tiens à rassurer tous ceux qui craindraient pour la sécurité de notre dissuasion, celle-ci n'est pas en défaut", a déclaré lors d'un point de presse Pierre Bayle, après la publication par le quotidien Le Télégramme d'une enquête faisant état de "nombreuses failles de sécurité" sur le site de l'île Longue qui abrite les sous-marins nucléaires français, en rade de Brest.

Dans son édition de mardi, le quotidien breton souligne notamment que sur la base, il n'y a "pas de système de contrôle biométrique, qui offre pourtant une incomparable garantie d'authentification grâce à la reconnaissance digitale et/ou de l'iris de l'oeil". L'identification des personnels autorisés à y pénétrer "s'effectue au moyen de badges nominatifs équipés d'une simple bande magnétique (très facilement copiable) et d'une photo", explique le journaliste qui signe l'enquête, Hervé Chambonnière, en ajoutant que "ces badges ne permettent pas non plus de tracer leurs porteurs, et notamment de savoir s'ils ont bien quitté la base en fin de journée". Quant aux véhicules, le sésame consiste en "un vulgaire morceau de feuille de papier blanc, où figurent quelques informations basiques", selon le quotidien.

http://www.lepoint.fr/societe/l-ile-longue-le-ministere-de-la-defense-veut-rassurer-11-06-2013-1679624_23.php

Grosso modo ,la vérité, se situe dans le contraire que les grosses huiles nous disent.............. Neutral

Citation :: Mali: la France diffère le retrait de ses forces du Mali jusqu'à la fin de la présidentielle

BAMAKO - La France a décidé de retarder l'échéance de retrait progressif de ses forces au Mali après la nomination d'un général français comme chef d'état-major de la Minusma (la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali), a-t-on appris mardi d'une source militaire.

Au lieu des 2000 hommes prévus initialement pour rester sur le territoire malien jusqu'en juillet, la force "Serval" vient de décider de conserver 3500 militaires jusqu'à la fin de l'élection présidentielle, selon la même source militaire.
Depuis la reconquête des deux principales régions du Mali, ( Gao et Tombouctou), ainsi que le nettoiement des bases logistiques des groupes islamistes et la montagne du Tigharghar, l'état-major des armées de la France avait commencé le réduction de son effectif dit non essentiel sur le territoire du Mali.
Deux mille soldats sur les 5000 que comptait l'effectif de la force française ont rejoint leurs bases respectives en France.
Source: Xinhua

http://www.malijet.com/actualte_dans_les_regions_du_mali/rebellion_au_nord_du_mali/73867-mali-la-france-differe-le-retrait-de-ses-forces-du-mali-jusqu-a-.html

Citation :: Jean-Yves Le Drian confirme les programmes MMP et ANL chez MBDA

Le MMP est confirmé, mais la cible globale sera sans doute revue à la baisse.

A l'occasion d'une visite sur le site MBDA de Bourges, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a aujourd'hui confirmé avoir inscrit dans la prochaine loi de programmation militaire (LPM) le lancement des programmes d'armement MMP (missile moyenne portée) et ANL (antinavire léger), tous deux cruciaux pour le missilier européen.

"Le lancement du MMP est tellement évident que ça n'est même plus un sujet", a ainsi déclaré le ministre devant les employés de MBDA. Le missile antichar, censé remplacer le Milan dans l'armée de Terre, sera lancé à un horizon qui n'a pas été précisé par le ministre. Déjà, près de 70 millions d'euros ont été investis en fonds propres par l'industriel pour le développement de ce nouvel armement, et la société prévoit de pousser cet effort d'autofinancement jusqu'à 150 millions d'euros au cours des années à venir. Un lancement du programme d'ici à la fin de l'année reste envisageable, mais le contexte budgétaire contraint devrait toutefois amener une réduction de la cible globale qui avait précédemment été fixée à 3.000 missiles.

Du côté de l'antinavire léger, la situation est légèrement différente. "Il s'agissait d'une décision complexe, mais j'ai tranché en faveur du lancement de ce programme pour renforcer notre partenariat avec le Royaume-Uni et faire que le projet de "One MBDA" devienne réalité", a déclaré le ministre devant les employés du missilier. Sauvé de justesse des arbitrages budgétaires pré-LPM, l'ANL sera donc bien lancé "prochainement" même si là aussi, des mesures d'économies sont à prévoir, par exemple en décalant à l'horizon 2019-2020 les premières livraisons pour la France.

Le ministre a également profité de son déplacement dans le Cher pour visiter les installations de Nexter Munitions, situées à La Chapelle Saint-Ursin. A cette occasion, Jean-Yves Le Drian a confirmé l'affermissement d'une tranche conditionnelle pour un contrat portant sur la production de munitions de gros calibre. Au titre de cet accord d'une valeur de 175 millions d'euros, Nexter livrera essentiellement des obus de 155 mm, destinés à équiper les canons Caesar.

Chez les deux industriels, le ministre a également signé des conventions bilatérales au titre du "pacte défense PME", conventions par lesquelles le ministère et les sociétés s'engagent notamment à favoriser la croissance des PME qui agissent à leur profit en qualité de sous-traitantes.

http://www.air-cosmos.com/defense/jean-yves-le-drian-confirme-les-programmes-mmp-et-anl-chez-mbda.html

Citation :: Mali : du drone Harfang au Reaper

Le 12/06/2013 à 08:38 | Par Guillaume Steuer

Les trois drones Harfang de Niamey ont réalisé 100 missions depuis le 17 janvier.
C'est l'Etat-Major des armées (EMA) qui l'a annoncé hier soir : le détachement drones stationné sur la base de Niamey (Niger) en soutien à l'opération "Serval" a franchi dans la nuit du 5 au 6 janvier le cap symbolique des 100 sorties réalisées dans le cadre de la surveillance du Sahel. Un bilan qui correspond à un peu plus de 1.600 heures de vol, menées de jour comme de nuit depuis le 17 janvier.

Trois drones Harfang sont actuellement déployés au Niger et mis en oeuvre par les personnels de l'escadron ED-1/33 "Belfort", habituellement basés à Cognac. A l'origine constitué de deux engins, le détachement avait été renforcé par un troisième drone afin de pouvoir mettre deux drones en l'air simultanément si la situation l'exigeait, ce qui a été réalisé à plusieurs reprises.

A Niamey, les drones français cohabitent avec les MQ-9 Reaper américians (photo ci-dessous), dont deux à trois exemplaires seraient déployés sur place par Washington. Si leur maintenance est assurée localement par des "contractors", ces drones sont en revanche mis en oeuvre par des personnels de l'US Air Force ; les échanges entre ceux-ci et les aviateurs français vont bon train et devraient se renforcer au cours des mois à venir, à la faveur d'une commande "en urgence" par Paris de deux Reaper qui seront utilisés par la France depuis Niamey afin d'accroître les capacités de surveillance de la bande sahélienne dès fin 2013, ou début 2014.

Dès cet été, un premier groupe d'une vingtaine de personnels du "Belfort" devrait gagner les Etats-Unis pour y être formé au maniement du Reaper. Un stage qui pourrait avoir lieu sur la base de Creech AFB (Nevada), où s'entraînent les opérateurs américains, ou sur celle d'Holloman AFB (Nouveau-Mexique) où est assurée la formation des personnels britanniques sur Reaper.

Par rapport au Harfang, le Reaper apportera une plus-value considérable en termes d'endurance, de capacité d'emport et de capteurs. Les deux premiers MQ-9 livrés devraient l'être au même standard que celui utilisé actuellement par l'US Air Force (Block 1), selon un opérationnel ; il n'est donc pas certain qu'ils soient équipés d'une capacité d'atterrissage et de décollage automatiques comme le Harfang. Le MQ-9 Reaper Block 5, équipé en sortie d'usine de ces fonctionnalités, doit commencer son expérimentation opérationnelle aux Etats-Unis à la fin de cette année. Le premier vol d'un Reaper à ce standard avait été mené en septembre 2012 par General Atomics.

http://www.air-cosmos.com/defense/mali-du-drone-harfang-au-reaper.html

Citation :: OperationServal, Mali, AMX-10RC, Frencharmy

Citation :: Tchad : relève du groupement Terre et des détachements de Faya et Abéché

Mise à jour : 13/06/2013 11:39
Le 4 juin 2013, le colonel du Gardin, chef de corps du 1^errégiment de Tirailleurs (1^erRTir) d’Epinal a pris le commandement du groupement Terre de la force Epervier. Il succède au colonel Waché, chef de corps du 110^e régiment d’infanterie (110^e RI) de Donaueschingen, en Allemagne.

Le groupement Terre, composé du 110^e RI, du 3^e régiment de Hussards (3^e RH) de Metz et du 8^e régiment d’artillerie (8^e RA) de Commercy a réalisé un mandat alliant exercices, opérations de nomadisation, détachements d’instruction opérationnelles (DIO) au profit des forces armées tchadiennes et actions civilo-militaires (ACM) auprès de la population.
Le 1^er RTir arme désormais pour 4 mois l’état-major du groupement Terre ainsi que la compagnie motorisée ; le 1^er régiment de Spahis (1^er RS) de Valence arme l’escadron blindé et le 1^er régiment d’artillerie de marine (1^er RAMa) de Laon-Couvron l’unité élémentaire de protection terrestre détachée à Abéché.
Le 10 juin 2013, le lieutenant-colonel Fabrice Chapuy et le chef de bataillon Yann Begue ont pris respectivement le commandement du détachement de l’opération Epervier stationné à Abéché et à Faya-Largeau.

Le lieutenant-colonel Fabrice Chapuy du 35^e régiment d’artillerie parachutiste (35e RAP) succède ainsi au lieutenant-colonel Bruno Hotier. Pendant les six prochains mois, il commandera plus d’une centaine de militaires qui assureront tous les jours des missions opérationnelles et de soutien au profit de l’ensemble de la force Epervier. Le détachement est stationné sur le camp « capitaine Michel Croci ».
Le chef de bataillon Begue, du 1^er régiment d’artillerie de marine (1^er RAMA), succède au lieutenant-colonel Jacques Urlacher du 110^e RI. Il exerce le commandement tactique sur les moyens humains et matériels positionnés à Faya-Largeau et les renforts éventuels mis en place.
Le groupement Terre constitue près d'un tiers de l’effectif du dispositif Epervier. Avec le groupement Air et la base de soutien à vocation interarmées (BSVIA), il assure deux missions permanentes : la protection des intérêts français (tout particulièrement la sécurité des ressortissants français résidant au Tchad), et conformément à l’accord de coopération technique signé entre la France et le Tchad, il apporte un soutien logistique (ravitaillement, carburant, transport, formation) ainsi qu’un appui renseignement aux forces armées et de sécurité (FADS) tchadiennes.

Le 4 juin 2013, le colonel du Gardin, chef de corps du 1e régiment de Tirailleurs (1e RTir) d’Epinal a pris le commandement du groupement Terre de la force Epervier. Il succède au colonel Waché, chef de corps du 110e régiment d’infanterie (110e RI) de Donaueschingen, en Allemagne.

Le 4 juin 2013, le colonel du Gardin, chef de corps du 1e régiment de Tirailleurs (1e RTir) d’Epinal a pris le commandement du groupement Terre de la force Epervier. Il succède au colonel Waché, chef de corps du 110e régiment d’infanterie (110e RI) de Donaueschingen, en Allemagne.

Le 4 juin 2013, le colonel du Gardin, chef de corps du 1e régiment de Tirailleurs (1e RTir) d’Epinal a pris le commandement du groupement Terre de la force Epervier. Il succède au colonel Waché, chef de corps du 110e régiment d’infanterie (110e RI) de Donaueschingen, en Allemagne.

Le 4 juin 2013, le colonel du Gardin, chef de corps du 1e régiment de Tirailleurs (1e RTir) d’Epinal a pris le commandement du groupement Terre de la force Epervier. Il succède au colonel Waché, chef de corps du 110e régiment d’infanterie (110e RI) de Donaueschingen, en Allemagne.

Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense

http://www.defense.gouv.fr/operations/actualites/tchad-releve-du-groupement-terre-et-des-detachements-de-faya-et-abeche

Citation :: Baltic 2013 : contrôles d’aéronefs russes

Mise à jour : 13/06/2013 14:15
Les 8 et 11 juin 2013, les Mirage F1 CR déployés en Lituanie, dans le cadre de la mission Baltic, ont intercepté et contrôlé des aéronefs russes qui transitaient vers l’enclave russe de Kaliningrad.

Le 8 juin, « taskés » à 12 h 26, deux Mirage F1 CR ont décollé en moins de dix minutes de la base de Šiauliai, en Lituanie, pour rechercher l’identification de deux groupes d’aéronefs. Ils ont rejoint une première patrouille d’aéronefs russes composée de deux chasseurs de défense aérienne Sukhoi-27 « Flanker » et de deux chasseurs d’assaut Sukhoi-24 « Fencer » au-dessus de la mer Baltique, près du golfe de Riga (Lettonie). Deux chasseurs JAS-39 Grippen suédois étaient déjà présents. Après identification visuelle, ils ont mis le cap vers le deuxième groupe situé à une trentaine de nautiques. Deux nouveaux intercepteurs armés, de type Sukhoi-27 «Flanker», escortaient un avion de détection aéroporté Iliouchine A-50 «Mainstay». L’A-50 « Mainstay » est un avion russe d’alerte et de contrôle aérien avancé. Grâce à son radar embarqué, il peut conduire des missions complexes de défense aérienne. La patrouille française a escorté ce groupe avant de rompre le contact à l’approche de l’espace aérien de Kaliningrad.

Le 11 juin, une patrouille de 2 Mirage F1 CR a décollé à 9h25 pour contrôler des aéronefs survolant la mer Baltique. Guidés par le centre de contrôle de Karmelava, en Lituanie, ils ont dans un premier temps identifié un avion de reconnaissance russe de type A50 « Mainstay ». Dans un deuxième temps, ils ont rejoint une formation russe composée de deux bombardiers Tupolev 22M3 « Backfire », escortés par deux intercepteurs Sukhoi-27 « Fencer ». Après identification et surveillance du groupe, les deux Mirage F1 CR ont regagnés la base de Šiauliai à 10 h 15. Quelques heures plus tard, à 13h28, une patrouille de Mirage F1 CR est à nouveau taskée pour intercepter et contrôler un contact inconnu. Il s’agit d’un aéronef de recueil électromagnétique de type Iliouchine-20 COOT A qui survole la mer Baltique. Après identification, la patrouille a rejoint le terrain de Šiauliai.
Depuis le 30 avril 2013, près de 90 militaires français et 4 Mirage F1CR assurent la mission Baltic, sous mandat de l’OTAN. Durant 4 mois, le détachement conduit des missions d’assistance et de police du ciel de l’espace aérien de la Lituanie, de la Lettonie et de l’Estonie.

Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense

http://www.defense.gouv.fr/operations/autres-operations/operation-baltic/baltic-2013-controles-d-aeronefs-russes

Photos des contrôles d’aéronefs russes pendant Baltic 2013 (Sources : EMA - Droits : Ministère de la Défense)

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chasseur de défense aérienne russe Sukhoi-27 « Flanker » et Mirage français F1 CR
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chasseur d’assaut Sukhoi-24 « Fencer » au-dessus de la mer Baltique
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avion de détection aéroporté Iliouchine A-50 «Mainstay»
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chasseurs de défense aérienne Sukhoi-27 « Flanker »
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de haut en bas : Mirage F1 CR, chasseur de défense aérienne Sukhoi-27 « Flanker » et chasseur d’assaut Sukhoi-24 « Fencer » au-dessus de la mer Baltique
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de gauche à droite :chasseurs d’assaut Sukhoi-24 « Fencer », Mirage F CR, chasseur de défense aérienne Sukhoi-27 « Flanker » au-dessus de la mer Baltique
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de gauche à droite : chasseur de défense aérienne Sukhoi-27 « Flanker », Mirage F1 CR et chasseur d’assaut Sukhoi-24 « Fencer » au-dessus de la mer Baltique
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de gauche à droite : bombardier Tupolev 22M3 « Backfire » et Mirage F1 CR

Citation :

L'ensemble de parachutage du combattant (EPC)

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L'EPC permet de mettre à terre des combattants plus lourdement équipés, à une hauteur de largage plus réduite avec un vent plus fort. © Armée de Terre

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L'EPI est toujours en service. Par rapport à l'EPC, ce parachute doté d'une voile de 74 m2 a une vitesse de descente plus rapide et il est plus sensible au vent. © EMA

Succédant à l'ensemble de parachutage individuel (EPI), l'ensemble de parachutage du combattant (EPC) est le nouveau matériel utilisé par les parachutistes de l'armée de Terre. Destiné à équiper toutes les unités des troupes aéroportées de la 11ème BP, cet équipement de nouvelle génération possède des capacités particulièrement intéressantes pour l'engagement opérationnel de masse. Rappelons que la mission première de la 11e BP est de garantir une porte d'entrée et de sortie aux forces armées; elle est le spécialiste de l'ouverture de théâtre. Elle est ainsi capable de saisir une plateforme aéroportuaire par la 3ème dimension en lançant une OAP complexe. L'EPC va véritablement apporter des améliorations dans une opération aéroportée. Grâce à sa voile orientable, il supporte des combattants lourdement équipés – jusqu'à une masse totale équipée de 165 kg – et permet des largages à une hauteur de seulement 85 mètres en toute sécurité. L'EPC est composé d'un parachute principal, d'une voilure de secours, d'une gaine filet prévue pour l'emport de charges lourdes et d'une housse de transport. Le nouveau parachute est compatible avec le système du combattant Felin, les avions de transport tactique de l'armée de l'Air (Transall, Hercules et Casa C-235) et bientôt l'A400M.

Produit par la société Airborne Systems Europe qui a déjà livré 3600 exemplaires, l'EPC commence depuis 2012 à remplacer l'EPI (type 696/26) mais compte tenu de l'étalement des livraisons, les deux ensembles sont utilisées par les unités aéroportées. A ce jour, l'EPC a été livré principalement à l'Ecole des troupes aéroportées et au 8e régiment parachutiste d'infanterie de marine de Castres. Les personnels ont débuté leur formation sur ce nouveau parachute qui présente de nombreux avantages. La préparation et la vérification du matériel est moins compliquée, le parachutiste s'équipe et se déséquipe plus rapidement grâce au système quick ejector, la préparation est beaucoup plus simple et il procure plus de confort. Il offre aussi plus de sécurité. Lors d'un saut, l'EPC s'adapte au vent grâce à sa grande voilure de 115 m2. Il est désormais possible de sauter avec une vitesse de vent supérieure à 8 m/s avec un maximum de 12 m/s. Alors que l'EPI ne permet qu'un saut avec moins de 8 m/s de vent.

Une des spécificités du nouvel équipement, c'est la nécessité du parachutiste de se mettre "dos au vent" et non plus atterrir face au vent. Cette technique permet d'arrêter d'avancer pour se poser en douceur et toucher le sol sans casse. Désormais, si les consignes sont convenablement respectées (enchaînement orientation et affichage) le parachutiste limite les risques d'accident au moment du contact. D'après les premiers retours d'expérience, l'EPC présente un déventement (affaissement du parachute lorsqu'il cesse de soutenir le poids de la charge arrivée au sol) plus naturel avec une bonne prise ergonomique. De la sortie de l'avion au déventement, en passant par les opérations sous voile et le roulé-boulé, tout y est plus sécurisant pour le personnel. Par exemple à l'ouverture du parachute, le choc est moins dur grâce à la SOA équipée d'absorbeurs de chocs. L'EPC est adaptable aux différentes configurations du Felin et un combattant pourra être largué entre 80 et 200 mètres à une vitesse de 132 nœuds soit environ 250 km/h. Avec l'arrivée de cet équipement adossé au Felin, l'armée de Terre se dote ainsi d'un matériel moderne et performant pour pérenniser le parachutisme de masse au sein des unités aéroportées. Armée Française / French Armed Forces - Page 15 Carrev

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L'EPC va radicalement changer les façons de faire des parachutistes puisqu'il faut atterrir avec le vent dans le dos. Les instructeurs vont donc revoir la formation. © Armée de Terre	Près de 11000 EPC ont été commandés par la DGA et 18000 parachutes EPI sont actuellement en service dans les troupes aéroportées. © Armée de Terre

Philippe Nôtre

http://www.focus-defense.com/equipement.html

Citation :: FAZSOI : Instruction opérationnelle aux Comores

Mise à jour : 13/06/2013 18:42
Du 24 mai au 4 juin 2013, une vingtaine de militaires du détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM) des forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) ont mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit d’une soixantaine de garde-côtes comoriens, sur l’île de Grande Comore.

Cette instruction avait pour objectif de former les fusiliers marins comoriens aux diverses missions des garde-côtes. Durant 10 jours, ils ont réalisé des exercices de franchissement, des activités nautiques et de l’entrainement au tir.
Le 3 juin, une cérémonie de clôture et de remise de diplômes à l’Ecole nationale des Forces Armées et de la Gendarmerie (ENFAG) au camp de Vaouadjou s’est déroulée en présence du ministre comorien de la défense, de l’attaché de défense et de nombreuses autorités locales. A cette occasion, les stagiaires ont effectué une démonstration des savoir-acquis durant ce DIO.
Les forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) garantissent la protection du territoire national et animent la coopération régionale depuis La Réunion et Mayotte. Elles constituent le point d’appui principal du Théâtre océan Indienpour lutter contre de nouvelles menaces comme la piraterie ou l’immigration illégale, assurer la surveillance des zones économiques exclusives (ZEE) associées à l’ensemble des îles de la zone de responsabilité (en particulier les îles Eparses et terres australes et antarctiques françaises (TAAF)) et conserver une capacité régionale d’intervention rapide.

http://www.defense.gouv.fr/ema/forces-prepositionnees/la-reunion-mayotte/actualites/fazsoi-instruction-operationnelle-aux-comores

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Du 24 mai au 4 juin 2013, une vingtaine de militaires du détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM) des forces armées
en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) ont mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit d’une soixantaine
de garde-côtes comoriens, sur l’île de Grande Comore.
Armée Française / French Armed Forces - Page 15 Dio-garde-cotes-aux-comores_3

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Du 24 mai au 4 juin 2013, une vingtaine de militaires du détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM) des forces armées en zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) ont mené un détachement d’instruction opérationnelle (DIO) au profit d’une soixantaine de garde-côtes comoriens, sur l’île de Grande Comore.(Sources : EMA - Droits : Ministère de la Défense)

Citation :: Djibouti : campagne de tir au profit des FFDj

Mise à jour : 13/06/2013 18:53
Du 18 au 30 mai 2013, une vingtaine de pilotes et une soixantaine de mécaniciens des escadrons de chasse 3/11 « Corse » des Forces françaises stationnées à Djibouti (FFDj) et de l’escadron de chasse 3/30 « Lorraine » ont participé à une campagne de tir air/air et air/sol sur le champ de tir de Maryam Koron, à trente kilomètres à l’Ouest de Djibouti.

Cette campagne de tir avait pour objectif de renouveler les qualifications au tir de plusieurs pilotes dans le cadre de scénarios tactiques variés et réalistes.
Durant deux semaines, 3 Rafale de l’escadron de chasse 3/30 « Lorraine » ont été déployés aux côtés de 3 Mirage 2000D et de 4 Mirage 2000-5 de l’escadron de chasse 3/11 « Corse ».
Cette campagne de tir a permis à six pilotes de l’escadron « Lorraine » de se qualifier au tir canon air-sol. 10 pilotes de l’escadron « Corse » accompagnés de 4 navigateurs ont quant à eux effectué des tirs d’entraînement de différents types d’armement, sur le stand de tir de Maryam Koro. Ils ont délivré des bombe d’exercice de 16 kg reproduisant la balistique d’une bombe à fragmentation MK 82 ; des bombes à guidage laser d’entraînement (LGTR) et des GBU 12, bombes de 250 kg à guidage laser.
Les pilotes des deux escadrons ont également conduit diverses missions de défense aérienne, d’assaut conventionnel, d’appui aérien. A cette occasion, cinq joint tactical air controler (JTAC) ont effectué un entraînement interarmées à la qualifications de Forward Air Controler (FAC) avec le détachement de l’aviation légère de l’armée de Terre (DETALAT). Le DETALAT a également engagé un hélicoptère Gazelle et un hélicoptère Puma afin de sécuriser la zone de travail et d’extraire le plastron jouant le rôle du pilote éjecté. Les éléments du JTAC ont ainsi pu renforcer leurs compétences en matière de guidage air-sol.
Ce type d’exercice permet d’engager l’ensemble des moyens aériens comme cela se ferait en condition réelle, et de travailler la coordination air-air et air-sol, contribuant ainsi au maintien des capacités opérationnelles des FFDj.
Les Forces Françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) dans le cadre des accords de défense entre la République de Djibouti et la France, constituent depuis 2011 la base opérationnelle avancée française sur la côte Est de l’Afrique. Les FFDj participent au dispositif militaire français prépositionné, permettant de disposer de réservoirs de forces pouvant être projetées rapidement en cas de crise. Parmi leurs missions, les FFDj apportent un soutien logistique essentiel au profit des bâtiments français et étrangers engagés dans les opérations de lutte contre la piraterie, notamment l’opération Atalante (soutien des bâtiments de guerre et des actions de patrouille maritime, soutien santé), ainsi qu’à la République de Djibouti dans le cadre de sa mobilisation contre la piraterie. Les FFDj bénéficient également d’une capacité d’entrainement permanente avec le centre d’entrainement au combat et d’aguerrissement de Djibouti (CECAD). Régulièrement, le CECAD accueille des unités permanents ou en mission de courte durée des FFDj, les unités ou écoles de métropole ainsi que les forces armées djiboutiennes et étrangères.

Sources : EMA
Droits : ministère de la Défense

http://www.defense.gouv.fr/ema/forces-prepositionnees/djibouti/actualites/djibouti-campagne-de-tir-au-profit-des-ffdj

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