Économie marocaine

Rappel du premier message :

JSOW a écrit:

ait atta a écrit:

Citation :

juba2 a écrit:




Il n'y a rien pour etre fier de cet argent,il faut compter sur soit meme,cette somme peut etre gagner en diminuant le budger des ministre en leur donnant qu'une seule voiture de service avec un chauffeur seulement, rien pour madame la ministre et les enfant ministres,pas de cuisnier.pas de maison ni de vouture au dessous du ministre.les parlementaires pas de voitures,pour les generaux une voitures ,pas pas de cuisinier ni de femmes de menage au dessous du general nad rien que le salaire mais correcte,a la retaraite en leur retire tout pour vivre comme citoyen normale,least but last diminuer a grand echelle le budget du palais et le nombre des conseillers .En additinant tout cela il y aura diminussionn automatic des frais de deplacement et tout ce qui vient avec.Je vous promet que'a la fin vous trouverais entre 3 et 4 milliards de dollars. A vous les calculs.Faisant tous des recherches comme des vrais patriotes et ouvrons topic special comment economiser dans le bdget de l'etat .


Juba, comme d'habitude, ton racism anti arabe te fait dire des stupidities. Ils nous donnent 2.5mrds et toi tu dis qu'il suffit de reduire les budgets de fonctionnement des ministers pour trouver le meme montant? STUPIDE
Nous avons besoin de devises et de profondeur strategique a l'Est et au Sud. Nous avons besoin d'investisseurs qui comprennent que nous sommes dans le meme bateau et nous ne pouvons pas compter sur les Europeens (pas d'argent)
Alors arretes un peu ton Arabs bashing, nous connaissons tous ta tendance Amazigh chretien. Merci

salam nous sommes tous musulmans la n'est pas le débats, juba signale juste le gachis qui est fait avec l'argent des marocains(arabes,juifs,imazighnes)un exemple trouve -tu normale qu'un caïd qui est bien payé a un logement de fonction, une voiture de fonction et monsieur le caid de tazarine dans la régions de draa se permet de commencer sa journée a 11h00 trouve tu cela normale? alors que les citoyens l'attende depuis 8 h 30.

et comme les petits ruisseaux fonts les grandes rivière effectivement notre chère mère patrie devrait aisément économiser ceux quelle va demander au CCG .

pas tous dans ce forum nous sommes musulmans mon ami,il ya vraiment des Juifs sionistes qu'ils cachent leur véritable identité parmi nous dans ce forum,salam.

Typiquement mentalité obscure et dictatoriale si tu n'est pas d'accord avec nous Tu es un sioniste, juif, chretienne,atheist etc.
C'est pour cela que tous les pays arabes sans exception et musulman inclus le mien ne se developeront jamais car il sont condamnes a suivre une ideè, comme j'ai display avant une nation see develope avec un debat constructif avec differentes ideè
Allah yestar.

alphatango a écrit:

FAMAS a écrit:

La tournée royale en Afrique a exclu le plus grand groupe immobilier marocain à savoir Groupe Chaabi !! pourtant ils étaient les premiers à investir en Afrique bien avant Doha ou Alliances
ça doit avoir des raisons politiques. Safrioui ne fait que confirmer les rumeurs à son égards !!!

Je pense qu'il s'agit de quelque chose de plus large et plus profond que juste Sefrioui.
Premièrement, Chaabi est proche du PJD (meme si il etait un Istiqlalien à l'origine) ce qui n'est pas bien vu par notre "élite" francophone.
Deuxiemement, le groupe Chaabi a toujours combatu les avantages et les privillèges que se donnent quelques familles qui vivent de la rente. Le groupe Chaabi s'est ainsi fait massacré lors de l'introduction en bourse d'une de leurs filliales. La patronne de patrons (la fille Bensalah qui a hérité de sa fortune et qui bénéficie de la rente Sidi Ali - Oulmes) déteste Haj Chaabi et fait tout pour rendre leurs vie difficile.
Troisièmement, le fait que Aswak Salam refuse de vendre de l'alcool a toujours été mal vu par les sécuritaires et les francophones.
Quatrièmement, le début de la "légende Chaabi" comprend une phase trouble. Le Haj a du quitter le pays et est allé faire sa fortune en Afrique. Pourquoi a-t-il du partir? Y avait-il un conflit avec le palais comme le disent certains journaux?

Bref, le groupe Chaabi ne fait pas partie de l'establishment et du cercle privilegié. Le groupe joue sur son caractère "beldi" et proche du peuple en dehors des cercles du pouvoir... clean. Ils sont certainement détesté par les grandes familles rentières...

mskiin le pauvre chaabi hhh mais réveillez vous mon ami allez voir comment chaaabi a profiter pleinement de l économie de la rente dans plusieurs région du Maroc de laaraiech a agadir en plus de la couverture douanier pour son usine de pvc qui a laissé les marocain brûlés avec les prix que Mr chaabi pratiquer sans que personne ne puisse dire un mots chaabi sefrioui ben jaloune extr se sont des hommes d affaire qui ont su comment profiter du système(politique,social,economique...)pour construire leurs fortune, je vais te dire quelque chose au début dans les projet d habita au maroc sefrioui se charge de la construction alors que chaabie lui de l assainissement et l eau hhhh des partenaire quoi (charkine t3aam) il n y a pas de bon ou de mauvais ici il n y a que du business

la rente tout le monde en profite chaabi Doha et autres ma remarque reste vraie le concurrent majeur d' l'ONA-SNI a été écarté de cette tournée pour X raison

Non il n'a pas été écarté .. Benchaaboun faisait partie de la délégation qui a accompagné le souverain. Il a signé plusieurs convention de partenariat au Mali, Guinée et le Gabon.

Il semble par ailleurs que Yenna H. vit une crise ces derniers temps l'obligeant à revoir sa stratégie vers plus de concentration ..

D'un autre côté les projets qui ont profité à Addoha par exemple, c'est pas des projets qui se sont décidé à la dernière minutes, plusieurs d'entre eux, notamment les projets CIMAF datent d'au moins 2 3 ans ..

Je pense qu'il ne faut pas voir le mal partout . Chaabi n'a pas été écarté on a juste choisit le leader marocain dans le domaine et le plus a même de mener vers le succes ces projets aucun risque ne doit etre prit car c'est la vitrine et le projet pilote du Maroc en Afrique qui va nous ouvrir d'autre projet.
Le choix de Sefrioui et de Addoha pour mener ces projets est pour moi logique car Addoha est le leader incontesté du logement social au Maroc . Ils sont rodé dans le domaine , notamment avec le "guichet unique" qui donne un gros avantage aupres de la clientèle et les differencie cmairement de leurs concurrents direct comme le groupe Chaabi .

Avant la signature, je pense qu'il y en a eu des negotiations au prealable. Et avec ce discours a l'algerienne comme quoi un milliardaire a ete ecarte par les elites fracophones et autres... je reste bouche be'... Chaabi Halal/clean vs Sefrioui Haram/dirty. Et alors le Roi du Maroc qui appui les elites fracophones verdeurs d'alcool contre les pauvres milliardaires populaires qui partagent leurs richesses avec le peuple lambda.

C'est comme dans le topic du conflit syrien a la fin tout se reduit a Halal/Haram selon les octroyeurs de ce genre de cachet sur le forum...

Si sur nptre forum ca va continuer a reduire toute discussion au binome Halal/Haram je crois que je n'aurais plus ma place ici.

j'ai souligné un constat l'absence de YNNA Holding 2ème groupe privé au Maroc après l'Ona de cette tournée. je ne défends personne c'est pourtant simple

Leo Africanus a écrit:

Avant la signature, je pense qu'il y en a eu des negotiations au prealable. Et avec ce discours a l'algerienne comme quoi un milliardaire a ete ecarte par les elites fracophones et autres... je reste bouche be'... Chaabi Halal/clean vs Sefrioui Haram/dirty. Et alors le Roi du Maroc qui appui les elites fracophones verdeurs d'alcool contre les pauvres milliardaires populaires qui partagent leurs richesses avec le peuple lambda.

C'est comme dans le topic du conflit syrien a la fin tout se reduit a Halal/Haram selon les octroyeurs de ce genre de cachet sur le forum...

Si sur nptre forum ca va continuer a  reduire toute discussion au binome Halal/Haram je crois que je n'aurais plus ma place ici.

Leo, Si tu veux reduire ce que j'ai ecrit à un discours manichéen c'est ton droit mais cela montre que tu n'as pas lu mon texte ou que tu ne l'a pas compris (peut etre que tu es toi-meme victime de la faiblesse du systeme educatif Marocain).

Ne penses pas que je ne sois pas au courant de ce que fait Chaabi à Essaouira ni que j'approuve son atavisme. Mais le fait est que quelque chose c'est passé dans les années soixantes et qu'il a fait sa fortune en dehors du Maroc (donc en dehors de la rente locale). Il est un fait que c'est un self made man qui ne doit sa fortune a personne et cela enerve l'establishment local qui le lui fait savoir (encore une fois regardes les manipulations qu'il y a eu lors de l'introduction en bourse de la filliale de YNNA). Mais comme je l'ai ecrit, il joue de cet antagonisme et le cultive.

Pour ce qui est de la protection douaniere sur les produits PVC, il faudrait savoir ce que vous vouler. Vous preferez laisser les entreprises etrangeres faire du dumping pour detruire la competition locale et ensuite vendre au prix qu'ils veulent comme cela a été fait dans le transport maritime, dans le transport routier international... Le Maroc doit proteger son industrie et doit faire attention au dumping pratiqué par les entreprises etrangeres. Le gouvernement soutient les producteurs d'acier (Maghreb Steel), le PVC, les producteurs d'electromenager etc... Sachant que les pays Europeens font tout pour que nos produits ne rentrent pas chez eux en utilisant des barrieres non tarifaires, j'estime que le Maroc n'en fait pas assez.

Enfin, je critiquerai les cercles privilégiés francophones autant que je l'estime nécéssaire. Je trouve que ce forum a une tendance à accepter et favoriser l'anti arabisme le plus primaire alors un peu d'equilibre ne fera certainement pas de mal au debat.

Edit modération : Ah bon ! ne pas confondre l'opinion de certains membres avec ce qui serait une "tendance" du forum.

Le cannabis, une valeur sûre à l export.

http://www.leconomiste.com/article/919381-le-cannabis-une-valeur-s-re-l-export

Citation :

On l’attendait cette année, mais elle ne sera déployée qu’en 2015


Le Maroc s’apprête à opérer le grand saut technologique de la 4G et il a besoin de bien préparer le terrain. L’enjeu est de taille, avec des gains économiques jugés importants. Après les recommandations d’un atelier sur «Les meilleures pratiques pour réussir le déploiement de réseaux haut débit dans la région arabe», abrité par le Maroc, les 4 et 5 mars derniers, une étude qui vient d’être publiée par la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) apporte de nouvelles propositions. Les auteurs de cette étude, qui porte sur le déploiement de la téléphonie mobile de quatrième génération au Maroc, proposent des «voies de progrès» qui peuvent être explorées pour le déploiement de la 4G dans le pays.
Il s’agit, en premier lieu, d’assurer la disponibilité des bandes de fréquences. Pour ce faire, ils recommandent le passage de la télévision analogique à la télévision numérique pour libérer les fréquences qui peuvent être réaffectées pour le déploiement de la 4G.

Deuxièmement, ils appellent à garantir une bonne couverture de la 4G.
Les auteurs de l'étude estiment qu'il est nécessaire de veiller à ce que le déploiement des réseaux de quatrième génération se fasse concomitamment dans les zones urbaines et rurales en identifiant les zones prioritaires où seront pris en compte des critères tels que la densité démographique, l’activité économique et le degré de rentabilité.

Selon la DEPF, «il serait particulièrement indiqué d’assurer la couverture par le haut débit mobile des zones d'intérêts touristiques et économiques, ce qui leur permettrait d’améliorer leur attractivité et de leur conférer une réelle plus-value et produire une incidence positive sur leur développement socio-économique». En troisième lieu, l'étude insiste sur la mutualisation des réseaux à très haut débit mobile entre les opérateurs. Cette mutualisation permettrait, soutient le document, un gain aussi bien en termes de coût d'investissement pour le déploiement de la technologie qu'en termes d'amélioration de la qualité de service.
Quatrièmement, la DEPF appelle à assurer l’aménagement numérique des territoires, garantissant un accès égal à la 4G, pour résorber la fracture numérique et les inégalités territoriales.
Pour ce faire, il est recommandé d’accélérer la mise en œuvre de la vision d’aménagement numérique des territoires développée par le ministère de l’Urbanisme et de l’aménagement du territoire et de renforcer la coordination entre l’ensemble des intervenants dans ce domaine.

Cinquièmement, l’étude propose d’accélérer le développement et l’usage des services e-gov via le m-gov. Le m-gouvernement est, selon l’étude de la DEPF, un nouveau système en pleine évolution, mais qui est déjà très développé dans certains pays, telle l’Inde qui a développé un portail Internet présentant des services dans le domaine de la santé, de l’agriculture, de l’éducation ou encore de l’énergie. «Le m-gouvernement représente un avantage considérable pour le gouvernement en permettant une dématérialisation du service public et en accédant à un plus grand nombre de citoyens, qui ont accès à Internet par le téléphone mobile», détaille l’étude.

Sixièmement, il faudra renforcer les nouveaux services de m-commerce, d’après les auteurs de l’étude qui affirment qu’il existe au Maroc un potentiel pour le développement des activités de m-commerce et m-paiement, notamment un parc d'abonnés au mobile de 42,4 millions, un taux de pénétration de 130% et 9,6 millions de cartes bancaires. Enfin, l'étude évoque la nécessité d’assurer la sécurité des transactions pour un développement de l’usage des services TIC.
Des gains pour la compétitivité et la productivité des entreprises

Le déploiement de la 4G au Maroc profitera de certains préalables qui existent déjà.
Il s’agit notamment, d’après l’étude de la DEPF, de l’existence d’un tissu d’entreprises dominé par les PME et «pour lesquels l’usage de la 4G constitue une opportunité pour tirer le meilleur parti du potentiel offert
par cette technologie en termes d’échange de données et d’applications développées». Ces usages sont même en mesure de renatreprises et l’augmentation de leur productivité à travers, entre autres, le machine to machine (M2M) et le Cloud, note la DEPF. Par conséquent, est-il estimé, les entreprises verront leur chiffre d'affaires augmenter et leurs coûts diminuer.
L’édification de l’écosystème 4G au Maroc profiterait, également, de la progression prévue au Maroc d’acquisition de tablettes et d’ordinateurs personnels. L'étude relève que près d'un foyer marocain sur cinq (20%) a l'intention d'acquérir ou de remplacer un ordinateur et 5% manifestent l'envie d'acquérir une tablette.
De même pour l’équipement en smartphones, une croissance de 30% a été enregistrée entre 2011 et 2012, avec des intentions d’équipement de 20% à fin 2013, indique la DEPF.

http://www.lematin.ma

Un article du Financial Time Consacré à l'Huile d'Argan considéré comme de l'or qui pousse sur les arbres   

Citation :

Moroccan argan oil: the ‘gold’ that grows on trees

http://www.ft.com/cms/s/2/1b30e5a2-a53d-11e3-8988-00144feab7de.html

Construction de plusieurs barrages et gestion de l eau à l horizon 2030.


http://www.afriquinfos.com/articles/2014/3/17/maroc-projette-construire-barrages-dici-2030-247799.asp

Citation :

Le magazine économique américain Forbes s’intéresse à la plateforme aéronautique au Maroc. La publication estime, par ailleurs, que la Maroc est en passe de devenir une plateforme aéronautique de “référence” pour l’Afrique comme en témoigne l’implantation du géant canadien “Bombardier” avec son investissement de 200 millions de dollars dans le Royaume. Un investissement qui va sans doute “soutenir l’essor” du secteur de l’aéronautique dans le continent, écrit mercredi Forbes Magazine.

Selon Ray Jones, vice-président principal, Ventes, marketing et gestion des actifs de Bombardier, encontré par Forbes dans les locaux de Bombardier Maroc à Casablanca: "L'Afrique est le continent de l'avenir à plusieurs égards, y compris pour le secteur aéronautique. Nos avions commerciaux comme le CSeries, le Q-series ou le CRJ-series - dont nous produisons déjà une parties au Maroc - sont l'avenir de l'aviation. C'est une démarche logique pour nous de commercialiser nos avions en Afrique où nous nous attendons à ce qu'ils contribuent de manière significative à la croissance du secteur".

En ce qui concerne le Maroc, Jones ajoute que "Fort de ses atouts économiques et infrastructurels et de sa proximité avec l’Europe, le Royaume est en train de s’ériger en plaque tournante dans le domaine de l’industrie aéronautique, “qui va contribuer au développement économique” du continent africain, indique Forbes.

Bombardier a commencé à exploiter des installations provisoires situées à l’aéroport international Mohammed-V à Nouaceur, dans la région métropolitaine de Casablanca, où la multinationale canadienne produit actuellement des commandes de vol pour les appareils de la série CRJ.

http://www.aeronautique.ma/Forbes-La-plateforme-aeronautique-au-Maroc-est-une-reference-pour-l-Afrique_a3457.html

Citation :

Légère hausse de la production manufacturière

L’ONUDI publie son rapport relatif au quatrième trimestre de 2013


La production manufacturière a enregistré une hausse de 4,3% au Maroc au 4ème trimestre 2013 par rapport à la même période de l'année précédente, a relevé le dernier rapport sur les statistiques mondiales de croissance de la production manufacturière, publiées par l'Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI).
Les économies en développement de l'Afrique du Nord ont profité de la reprise en Europe, explique le rapport, précisant que la production manufacturière a augmenté de 6,9% en Tunisie, alors qu'elle a baissé de 2,6% en Egypte à cause de l'instabilité politique persistante.
La production manufacturière mondiale a connu, quant à elle, une hausse de 3,3% en raison de la reprise économique continue des pays industrialisés, note l'ONUDI, soulignant que les estimations les plus récentes de croissance montrent une tendance à la hausse de la production manufacturière, ce qui suggère que la croissance actuelle pourrait se poursuivre tout au long de 2014.
Dans les pays industrialisés, la production manufacturière a augmenté de 2,2%. En revanche, elle a continué de ralentir dans les pays en développement et dans les économies industrielles émergentes où la production manufacturière a augmenté de 5,9% au quatrième trimestre.
Le rapport de l'ONUDI signale que, pour la première fois lors des deux dernières années, la croissance de la production manufacturière a augmenté dans toutes les grandes régions industrialisées, à savoir l'Amérique du Nord, l'Asie de l'Est et l'Europe.
Pour la première fois depuis 2011, l'Europe affiche une croissance positive et la production manufacturière a augmenté de 1,5% au quatrième trimestre par rapport à la même période de l'année précédente.
Les pays en développement et les économies émergentes industrielles ont maintenu un taux de croissance élevé dans la plupart des secteurs industriels tandis que les pays industrialisés ont atteint une croissance particulièrement forte dans la fabrication de véhicules automobiles, de machines de bureau et d'ordinateurs.
Pour la première fois depuis le deuxième trimestre de 2011, les pays industrialisés ont montré un taux de croissance positif dans la fabrication de textiles.
D'après le rapport de l'ONUDI, la fabrication de véhicules automobiles aurait augmenté considérablement au dernier trimestre de 2013, avec un taux de croissance de 6,6%, ce qui laisse croire qu’elle pourrait atteindre le niveau d'avant la récession dans les prochaines années.

http://www.libe.ma

Citation :

Une mine d’argent évaluée à 1,7 milliard de DH

La société canadienne Maya Gold & Silver Incorporation, spécialisée dans l’exploitation minière, avait conclu en septembre 2011 un accord avec l’Office nationale marocain des hydrocarbures et des mines (Onhym) lui conférant 85% des parts de la mine d’argent de Zgounder. Après une estimation des ressources réalisée par la société, un rapport indique que cette mine serait exploitable sur une durée de 10 ans et permettrait de rapporter 1,7 milliard de DH. La rentabilité du projet peut encore être améliorée, une nouvelle étude devrait sortir d’ici la fin de ce mois, selon le PDG de Maya. Dans tous les cas, le gouvernement touchera 15% de ce qui sera généré par son exploitation.

http://www.challenge.ma

j'ai toujour dit qu'il fallait miser sur les mines (Argent, Or, Zinc et surtout l'Etain de Meknes)

Citation :

http://www.leconomiste.com/article/923791-exploitation-mini-re-au-c-ur-de-l-expertise-de-managem

Exploitation minière: Au cœur de l’expertise de Managem
Extraction du cuivre, du zinc et du plomb à 1,1 km de profondeur à Draa Sfar
Le complexe Guemassa génère le tiers du chiffre d’affaires du groupe
Sept brevets d’invention pour le centre de recherche et développement

Située à 13 km au nord de Marrakech, la mine de Draa Sfar produit du zinc, du plomb ou encore du cuivre. Le gisement est estimé à 12 millions de tonnes


Managem extrait 2.000 tonnes de minerai par jour à plus d’un kilomètre de profondeur à Draa Sfar. L’industriel espère doubler sa capacité d’extraction à 1 million de tonnes d’ici trois ans


Reminex, le centre de recherche et développement de Managem compte 120 chercheurs. Ses activités se focalisent sur la R&D, l’appui industriel, l’analyse et la caractérisation


Le groupe minier s’est positionné sur des produits à forte valeur ajoutée depuis quelques années notamment la cathode de cobalt. Le cobalt est utilisé pour la fabrication des batteries. Il est également employé dans l’industrie de l’armement

Citation :

Appels d’offres de la 4G : l’ANRT a le feu vert du gouvernement


l’Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT) a reçu le feu vert du gouvernement pour lancer les appels d’offres pour l’octroi des licences d’exploitation de la quatrième génération de la téléphonie mobile, dite 4G. L’ANRT espère déployer les services 4G en 2015. Rappelons que la 4G permet aux téléphones mobiles d’accéder au très haut débit, donc un transfert de données supérieur à 100 Mb/s.

www.challenge.m

Citation :

Les premiers responsables des principales entreprises marocaines ont ressemblé ces jours-ci à une armée en ordre de bataille, en pleine conquête des territoires d’Afrique francophone, et leur général était un Roi. Il sera cependant essentiel de vérifier quelles seront les retombées à moyen terme de cette grande mission marocaine et à qui elles bénéficieront.

La tournée que Mohamed VI a effectuée en Afrique de l’Ouest et Centrale du 18 février au 8 mars 2014, successivement au Mali, en Côte d’Ivoire, en Guinée et au Gabon, a une allure, une ampleur et un contenu totalement nouveaux. Elle avait certes sans doute des objectifs politiques importants : renforcement en Afrique subsaharienne de l’influence globale du Maroc, seul rescapé à ce jour d’une Afrique du Nord affaiblie et pour l’instant repliée sur le règlement de ses problèmes internes ; utilisation par le monarque de cette audience accrue pour régler plus facilement les problèmes économiques et politiques du pays ; recherche d’un rôle plus déterminant dans le règlement de questions sensibles pour les deux parties, comme celui du Nord Mali. Mais la composante économique de cette mission est peut-être plus essentielle et, dans tous les cas, plus impressionnante.

La délégation marocaine n’a pas compté moins d’une vingtaine des chefs d’entreprises les plus emblématiques du pays, qui étaient épaulés des principaux Ministres à responsabilité économique et de conseillers du Cabinet royal. Les trois grandes banques marocaines, le secteur des assurances, la société nationale de télécommunications, la compagnie aérienne, les principales sociétés de construction et de promotion immobilière, l’industrie du ciment, l’Office Chérifien des ¨Phosphates (OCP), constituaient l’ossature de la représentation des secteurs économiques. Ce n’est pas un hasard. Royal Air Maroc avait agi en pionnier et, depuis plus d’une décade, emplit pour une part non négligeable ses avions à destination de l’Europe et des Etats-Unis grâce aux passagers africains qu’il vient chercher par ses nombreuses dessertes africaines. Les trois banques marocaines sont devenues sur les cinq dernières années les premiers acteurs des systèmes bancaires de l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) en prenant le contrôle de réseaux régionaux existants ou en rachetant in extenso les filiales d’une banque française, selon la stratégie choisie par les intervenants. Une percée de moindre ampleur a eu lieu en Afrique Centrale francophone mais devrait s’intensifier à l’avenir. En rachetant l’un des plus importants groupes régionaux d’assurances, une compagnie marocaine est devenue d’un coup incontournable en zone francophone. Maroc Télécom s’est implantée progressivement au Gabon, au Burkina Faso, en Mauritanie et au Mali et est maintenant un acteur qui compte dans la région. De manière plus diffuse, certains produits de l’agriculture marocaine se déversent de plus en plus fréquemment sur quelques pays du Sahel. D’autres secteurs sont impatients de suivre cette voie de croissance externe. Les quelques grands de la construction, qui ont réussi avec brio dans le domaine du logement, et de l’habitat social en particulier, voient dans la forte croissance de la population et des villes africaines sur les trente prochaines années une chance unique de développement d’activités actuellement moins allantes au Maroc. De puissantes industries liées à ce secteur, comme les cimenteries, sont aux aguets de telles opportunités pour les même raisons. L’OCP, géant parmi les géants au Maroc, se sent un appétit nouveau mais gigantesque pour approvisionner toute l’Afrique subsaharienne en engrais.

Toutes ces entreprises ont été représentées dans la mission royale par leurs plus hauts dirigeants, de façon que des décisions effectives de coopération puissent être ratifiées sans délai. Elles ont été rejointes à quelques endroits clés de ce voyage, comme Abidjan et Libreville, par un nombre beaucoup plus élevé de chefs d’entreprises marocaines, ce qui a permis de tenir dans ces villes un grand forum économique. Fort de cet accompagnement solide, Mohamed VI s’est efforcé avec succès d’être très concret. Passant de quatre à cinq jours dans chaque pays, il a littéralement labouré tous les domaines qui pouvaient répondre aux visées expansionnistes des capitaines d’industrie de son pays et s’est efforcé de repartir à chaque fois avec des résultats tangibles. La moisson a été riche : 18 accords de partenariat et de coopération signés au Mali, 26 conclus en Côte d’Ivoire par exemple. Les domaines concernés ont été nombreux et souvent analogues. Certaines conventions sont globales et prévoient des avantages réciproques : pour l’encouragement des investissements, l’appui aux exportations, la coopération touristique, les zones industrielles, la pêche et les activités portuaires dans certains pays côtiers. Certaines couvrent des aspects sociaux ou culturels, allant d’accords-cadres pour l’enseignement supérieur et la recherche en Côte d’Ivoire à la formation des imams au Mali. Mais l’essentiel concerne des projets d’implantations d’entreprises ou d’octrois de financements : ceux-ci sont d’ailleurs souvent conclus directement entre les Etats subsahariens intéressés et les sociétés marocaines leaders des secteurs visés, sous le patronage très rapproché du roi du Maroc. Les actions surtout mises en valeur de part et d’autre ont été celles des banques et des sociétés de promotion immobilière. Les dernières ont annoncé la construction dans chacun des quatre pays de milliers de logements sociaux, économiques et de standing – jusqu’à 10000 en Cote d’Ivoire -, mais aussi de plusieurs complexes hôteliers. Les Présidents de chacune des trois banques présentes, pour leur part, se sont relayés pour signer une pleiade de conventions de financement de grande envergure, dont une bonne part était, directement ou non, au bénéfice des Etats visités.

Stratégiquement comme tactiquement, ce voyage est donc une réussite éclatante pour le Maroc et pour son souverain. Ceux-ci ont tous deux occupé totalement l’espace médiatique des quatre pays visités durant ces vingt jours. En choisissant à chaque fois ce séjour prolongé, Mohamed VI a en effet délibérément adopté une approche différente des visites éclairs que les Présidents des premières nations du monde, France comprise, effectuent toujours en Afrique. Pour les Africains, pour lesquels le temps n’est pas une denrée rare, ce choix est très apprécié et le message est clair : à la différence de beaucoup, le Maroc ne voit pas l’Afrique comme une destination parmi d’autres mais comme une vraie priorité, De plus, l’organisation, méticuleusement préparée selon les souhaits marocains, a été spécialement efficace. Le nombre élevé des conventions signées, le large spectre et le caractère stratégique des activités choisies pour ces accords, l’importance des engagements financiers pris par les principales compagnies du royaume ont donné une impression de puissance des acteurs marocains et de confiance de leur part en l’Afrique. Ces deux aspects s’accordent parfaitement aux souhaits des Autorités des pays hôtes, avides d’investissements étrangers, pour alimenter leur croissance économique, et de considération internationale, pour rehausser leur crédibilité auprès de leur propre opinion publique. En fin stratège qu’il est, le souverain chérifien a donc bien atteint tous ses objectifs économiques et, au moins dans son pays, politiques comme semblent le montrer les commentaires émis à la suite de sa mission. La balle est maintenant dans le camp de ses grandes entreprises, auxquelles il a donné un « coup de pouce » de premier plan et qui seront ainsi très logiquement ses obligées

En Afrique subsaharienne le bilan ne peut encore être totalement tiré. A court terme, celui-ci est incontestablement positif. L’attention accordée par le Maroc – deuxième investisseur du continent dans les pays d’Afrique subsaharienne après l’Afrique du Sud – flatte les pays visités et ouvre pour ceux-ci des perspectives séduisantes d’implantation de nouvelles entreprises et de réalisation de divers investissements, et donc de soutien au développement annoncé aux populations. Celles-ci ont par ailleurs, avec leur placidité habituelle, globalement accepté la place omniprésente laissée au Maroc dans leur pays pendant près d’une semaine. A moyen terme, l’appréciation dépendra d’abord de la capacité des entreprises marocaines et de leurs filiales subsahariennes à passer des effets d’annonce à des réalités vérifiables sur le terrain et capables de produire dans des délais raisonnables tous les effets annoncés. En la matière, les « tycoons » marocains, comme bien d’autres, sont susceptibles de mettre plus de temps que prévu à concrétiser leurs projets alors que la rapidité d’exécution est décisive pour les pays d’Afrique de l’Ouest et Centrale. La déception serait alors à la hauteur de l’espoir initial suscité par cette visite en fanfare. De plus, si tous les projets prennent corps, il serait laissé peu d’espace aux entreprises subsahariennes pour conquérir une place de choix dans leurs propres pays au sein des secteurs les plus prometteurs et les plus importants, alors que la réciprocité affichée des conventions signées, qui ouvre la porte à des investissements subsahariens au Maroc, risque de rester essentiellement virtuelle.

Les accords conclus doivent donc être observés avec attention pour apprécier leur application réelle et leurs aspects positifs. Il serait toutefois injuste de faire la fine bouche. Par cette visite inédite, le Maroc apporte un appui de premier plan à l’Afrique au moment où les besoins et les ambitions de celle-ci se multiplient grâce au retour durable de sa croissance. Cette arrivée en force d’un nouvel acteur va également permettre de faire jouer la concurrence, toujours utile pour améliorer les prestations reçues. Il appartient donc aux Autorités africaines de profiter au mieux de l’aubaine pour accélérer et renforcer le développement de leurs pays respectifs, et d’utiliser cette étape pour faire éclore sur leurs territoires de nouveaux talents et de nouvelles opportunités. Alors, ce partenariat avec le Maroc sera bien gagnant-gagnant comme annoncé.

Paul Derreumaux

http://www.paul-derreumaux.com/?p=713

Institut Thomas More.: Le Maroc, hub de l intégration financière.africaine.

http://www.medias24.com/ECONOMIE/ECONOMIE/10289-Le-Maroc-future-pierre-angulaire-de-l-integration-financiere-du-continent-africain.html

Maroc / Grande-Bretagne
Le maire de la Financial City of London au Maroc en juin prochain
Publié le : 27 mars 2014 - LE MATIN

Le Maire de la Financial City viendra à la tête d'une importante délégation d'hommes d'affaires en prospection de projets d'investissement.
Le ministre de l'Equipement, du Transport et de la Logistique, Aziz Rabbah s’est entretenu mardi dernier à Rabat avec l'ambassadeur de Grande-Bretagne au Maroc, Clive Alderton.
A cette occasion, le diplomate britannique a annoncé que le Maire de la Financial City of London effectuera une visite de travail au Maroc en juin prochain à la tête d'une importante délégation d'hommes d'affaires en prospection de projets d'investissement.
Il a également invité Rabbah à participer aux travaux du 6ème Forum annuel Port Finance International, qui se tiendra à Casablanca les 15 et 16 septembre prochains.
Au terme de cette rencontre, les deux parties ont décidé de «mettre en place un comité de suivi et de réalisation des actions de coopération convenues et qui concernent essentiellement le jumelage portuaire et aéroportuaire, le partenariat public privé ainsi que le montage de projets de formation technique».




http://www.lematin.ma/exclusif/2014/maroc--grande-bretagne-_le-maire-de-la-financial-city-of-london-au-maroc-en-juin-prochain/199390.html

Citation :

• L’italien Alenia Aermacchi en prospection
Une délégation du constructeur aéronautique italien Alenia Aermacchi sera en prospection au Maroc du lundi 31 mars au 2 avril. Le constructeur italien devrait visiter une dizaine d’entreprises à Nouaceur et à Tanger. Alenia Aermacchi souhaite signer des contrats d’approvisionnement auprès de sous-traitants marocains. Le constructeur aéronautique fabrique plusieurs modèles d’avions tels que le C-27J (déjà fourni à l’armée marocaine), M-346, M-311… et construit en partenariat avec EADS les avions ATR. H.E. - See more at:

http://www.leconomiste.com/categorie/de-bonnes-sources#sthash.f1bWcvqH.dpuf

y´aura donc quelquechose a signer a l´AE14