messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: TURQUIE : Economie, politique, diplomatie... Mer 5 Juin 2013 - 21:14
Rappel du premier message :
y'a eu une centaine de personne qui ont manifester accompagner du front de gauche et de tous les autres parties d’extrême gauche, c'est navrant. Nous somme vraiment dans un pays poubelle du monde, j'espere que plus tard la TURQUIE ne fera pas les même erreur sur l’immigration que la France, je suis plus en faveur du modele Japonais.
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Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Le PKK n'a pas respecté son engagement de retrait, dit Erdogan
Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a accusé les séparatistes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) de ne pas avoir respecté leur engagement de retirer leurs combattants de Turquie, pris dans le cadre d'un processus de paix engagé cette année. Recep Tayyip Erdogan ne s'est pas prononcé sur l'avenir du processus de paix, qui a pour objectif de mettre fin à un conflit qui a tué plus de 40.000 personnes depuis 1984, mais a annoncé qu'une série de mesures sur les droits des Kurdes serait bientôt présentée. "Les promesses par le PKK de retrait du sol turc n'ont pas été remplies", a-t-il dit vendredi soir, cité par le journal Vatan. "Seuls 20% ont quitté la Turquie, et il s'agit surtout de femmes et d'enfants." Le PKK a précédemment prévenu que le cessez-le-feu déclaré en mars, pour le moment relativement respecté, prendrait fin si Ankara ne prenait pas des mesures concrètes d'ici le début septembre. Un responsable du ministère de la Justice a déclaré à Reuters que les mesures prévues élargirait notamment l'enseignement en langue kurde, mais Recep Tayyip Erdogan l'a démenti auprès de Vatan, et a déclaré que le projet dit de "démocratisation" ne "perturberait pas l'opinion turque".
Je me demande parfois si cette histoire de paix n'est pas un bluff du gouvernement pour gagner du temps, jusqu'à que les nouveaux matos rentre en jeu (T-129, Anka + armé, Altay, karakol, etc..).
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
Je me demande parfois si cette histoire de paix n'est pas un bluff du gouvernement pour gagner du temps, jusqu'à que les nouveaux matos rentre en jeu (T-129, Anka + armé, Altay, karakol, etc..).
Pour moi, c'est pour avoir un process électoral calme (ils l'ont déjà fait à Oslo) et surtout négocier avec le BDP (= PKK) la nouvelle Constitution avec régime présidentiel.
J'ai déjà dit RTE négocierait avec le diable pour changer le régime.
Si tu remarques, il est moins "chaud" pour le régime présidentiel en ce moment.
Faut relire ce qui est apparu dans Milliyet, ce qui a été négocié avec l'autre bâtard.
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
Baybars , le nouvo matos tu dit mais si on decide d'aller les soulever , ne profieraient-ils pas pour vehiculer a la population un message stipulant que le gouvernement est traitre , et qu'il faut chercher "droits kurdes " par la force est diviser le pays en deux pour monter des action d'envergure dans les grande ville cette fois avec le soutien de ceux qui ont mis la main a la pate dans les affaire de Gezi ?
inanc notre politique etrangere a l'heure actuelle n'est pas des plus attrayante , maintenant je te pose la question , quel serait ta position , en tenant compte des point sensible en interne tantot manip economique et soutien de certain boss des multinationale holding , des interet ici et la , des mouvement etranger sur notre territoire , donc je reprend ta ou tes position sur le dossier suriye misr , pkk ?
Les relation turco simarik cocuk sont elle effective encore ? Economiquement certainement tant le nombre d'entreprise du gamin sont presente chez ~ 800 il me semble , y a t'il toujours des programme universitaire et de r et d en commun tant universitaire que industriele ?
Notamment en terme de Technologie , grand public et avancer , puis strategique mais bon sa on doit pas voir tres peu avoir d'info la dessus
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme
Les Turcs recourent de plus en plus à la chirurgie esthétique pour se faire épaissir la moustache.
Broussailleuse à la Staline, fine, façon Clark Gable, épaisse comme Brassens ou encore à l’américaine. La moustache fait l’objet d’un culte en Turquie où, en mal de poils suffisamment fournis, de plus en plus d'hommes s'empressent de se faire greffer de respectueuses bacchantes dignes de leur rang.
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme L’attribut masculin par excellence. Si elle a tendance à disparaître en Occident, la moustache reste un attribut masculin très en vogue en Turquie et au Moyen-Orient. Au point que les hommes les moins bien dotés par la nature n'hésitent plus à remettre le sort de leur système pileux déficient entre les mains de chirurgiens esthétiques.
"Je veux que l'on voie que j'ai des poils". Le Dr Selahattin Tulunay est l'un d'eux. A la tête d'un prospère cabinet privé jusque-là spécialisé dans les transplantations de cheveux, ce chirurgien esthétique s'est rapidement adapté à cette nouvelle demande. "Cela fait environ trois ans que je fais des implants de moustaches", confie-t-il, "beaucoup d'hommes sont venus me voir en me disant "j'ai 40 ans, je suis à la tête d'une grosse entreprise et à l'étranger, on ne me prend pas au sérieux, je veux que l'on voie que j'ai des poils".
La moustache, symbole de la virilité turque. Tout juste trentenaire, Engin Koç s'est longtemps désespéré de son visage glabre. Avant de s'offrir, il y a sept mois, la "brosse" de ses rêves sur une table d'opération. "J'ai voulu ressembler aux anciens Turcs, aux Ottomans, et comme j'ai l'âme assez nostalgique et une admiration pour cette époque, j'ai fait ces implants", raconte-t-il avec fierté, "la moustache est un symbole de la virilité turque".
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme
Depuis des lustres, la moustache est effectivement une affaire très sérieuse en Turquie. Un dicton populaire y affirme d'ailleurs qu'un "homme sans moustache est comme une maison sans balcon". Et la forme de la moustache que vous portez, est même un indicateur de votre orientation politique.
L’anthropologie de la moustache. "Broussailleuse, façon Staline, elle est plutôt l'apanage de la gauche ou des Kurdes", explique l'anthropologue Benoît Fliche, de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul. "Mince, comme celle du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, elle devient religieuse et conservatrice (...) Et si elle descend en forme de crocs de part et d'autre de la bouche, elle est alors marquée à l'extrême droite".
Même si elle séduit aujourd'hui un peu moins les Turcs des grandes villes, plus tournés vers la mode occidentale, la moustache et la barbe restent un "must" pour la gent masculine des pays arabes ou des républiques turcophones d'Asie centrale, qui font le voyage d'Istanbul pour satisfaire leur appétit de poils.
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme
Les stars de série, icônes moustachues. "Les séries télévisées turques diffusées dans le monde arabe ont une grande influence", assure le Dr Tulunay, "c'est en voyant nos acteurs que ces patients sont venus nous demander les mêmes barbes ou les mêmes moustaches". Ces clients constituent l'essentiel de ce nouveau marché de la "pilosité faciale". Rien qu'à Istanbul, quelque 250 cliniques ou cabinets privés se livrent une concurrence acharnée pour vendre leurs services, à grands coups de promotions.
Les forfaits moustache. La plupart se sont associés à des agences de voyage et proposent des formules qui incluent l'opération et le séjour à l'hôtel de leurs patients, qu'elles prennent en charge dès l'aéroport... Les plus compétitifs proposent des forfaits "moustaches" très avantageux à partir de 2.000 euros, bien moins chers que chez leurs concurrents européens ou américains. Le tourisme du poil bat son plein donc, confortablement assis sur la progression constante du nombre de visiteurs étrangers qui se pressent en Turquie. Plus de 35 millions en 2012, selon les estimations.
La moustache est en passe de les rejoindre au rang des spécialités mondialement reconnues de la Turquie, où de plus en plus d'hommes en mal de poils viennent se faire greffer les respectueuses bacchantes dignes de leur rang.
Jusque-là, il y avait les bains, le café et les fameux "délices" sucrés. La moustache reste un attribut masculin très en vogue en Turquie et au Moyen-Orient. Au point que les hommes les moins bien dotés par la nature n'hésitent plus à remettre le sort de leur système pileux déficient entre les mains de chirurgiens esthétiques.
Le Dr Selahattin Tulunay est l'un d'eux. A la tête d'un prospère cabinet privé jusque-là spécialisé dans les transplantations de cheveux, ce chirurgien esthétique s'est rapidement adapté à cette nouvelle demande.
"Cela fait environ trois ans que je fais des implants de moustaches", confie-t-il, "beaucoup d'hommes sont venus me voir en me disant +j'ai 40 ans, je suis à la tête d'une grosse entreprise et à l'étranger, on ne me prend pas au sérieux, je veux que l'on voie que j'ai des poils".
Tout juste trentenaire, Engin Koç s'est longtemps désespéré de son visage glabre. Avant de s'offrir, il y a sept mois, la "brosse" de ses rêves sur une table d'opération. "J'ai voulu ressembler aux anciens Turcs, aux Ottomans, et comme j'ai l'âme assez nostalgique et une admiration pour cette époque, j'ai fait ces implants", raconte-t-il avec fierté, "la moustache est un symbole de la virilité turque".
Depuis des lustres, la moustache est effectivement une affaire très sérieuse en Turquie. Un dicton populaire y affirme d'ailleurs qu'un "homme sans moustache est comme une maison sans balcon". Sa forme y est même lue politiquement.
"Broussailleuse, façon Staline, elle est plutôt l'apanage de la gauche ou des Kurdes", explique l'anthropologue Benoît Fliche, de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul. "Mince, comme celle du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, elle devient religieuse et conservatrice (...) Et si elle descend en forme de crocs de part et d'autre de la bouche, elle est alors marquée à l'extrême droite".
Forfaits moustache
Même si elle séduit aujourd'hui un peu moins les Turcs des grandes villes, plus tournés vers la mode occidentale, la moustache et la barbe restent un "must" pour la gent masculine des pays arabes ou des républiques turcophones d'Asie centrale, qui font le voyage d'Istanbul pour satisfaire leur appétit de poils.
"Les séries télévisées turques diffusées dans le monde arabe ont une grande influence", assure le Dr Tulunay, "c'est en voyant nos acteurs que ces patients sont venus nous demander les mêmes barbes ou les mêmes moustaches".
Ces clients constituent l'essentiel de ce nouveau marché de la "pilosité faciale". Rien qu'à Istanbul, quelque 250 cliniques ou cabinets privés se livrent une concurrence acharnée pour vendre leurs services, à grands coups de promotions.
La plupart se sont associés à des agences de voyage et proposent des formules qui incluent l'opération et le séjour à l'hôtel de leurs patients, qu'elles prennent en charge dès l'aéroport... Les plus compétitifs proposent des forfaits "moustaches" très avantageux à partir de 2.000 euros, bien moins chers que chez leurs concurrents européens ou américains.
Le tourisme du poil bat son plein donc, confortablement assis sur la progression constante du nombre de visiteurs étrangers qui se pressent en Turquie. Plus de 35 millions en 2012, selon les estimations.
"Chaque semaine, nous accueillons entre 50 et 60 patients pour une greffe de cheveux, et 5 à 6 pour une greffe de moustaches", se réjouit le Dr Meral Tala, chirurgienne au Istanbul Hair Center, "et comme nos résultats sont bien meilleurs qu'avant, nous prévoyons une très grande augmentation des demandes". Les chirurgiens esthétiques d'Istanbul n'ont pas fini de se friser les moustaches.
Avec AFP
arsenik General de Division
messages : 4636 Inscrit le : 19/05/2012 Localisation : juste a coté Nationalité : Médailles de mérite :
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme
Les Turcs recourent de plus en plus à la chirurgie esthétique pour se faire épaissir la moustache.
Broussailleuse à la Staline, fine, façon Clark Gable, épaisse comme Brassens ou encore à l’américaine. La moustache fait l’objet d’un culte en Turquie où, en mal de poils suffisamment fournis, de plus en plus d'hommes s'empressent de se faire greffer de respectueuses bacchantes dignes de leur rang.
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme L’attribut masculin par excellence. Si elle a tendance à disparaître en Occident, la moustache reste un attribut masculin très en vogue en Turquie et au Moyen-Orient. Au point que les hommes les moins bien dotés par la nature n'hésitent plus à remettre le sort de leur système pileux déficient entre les mains de chirurgiens esthétiques.
"Je veux que l'on voie que j'ai des poils". Le Dr Selahattin Tulunay est l'un d'eux. A la tête d'un prospère cabinet privé jusque-là spécialisé dans les transplantations de cheveux, ce chirurgien esthétique s'est rapidement adapté à cette nouvelle demande. "Cela fait environ trois ans que je fais des implants de moustaches", confie-t-il, "beaucoup d'hommes sont venus me voir en me disant "j'ai 40 ans, je suis à la tête d'une grosse entreprise et à l'étranger, on ne me prend pas au sérieux, je veux que l'on voie que j'ai des poils".
La moustache, symbole de la virilité turque. Tout juste trentenaire, Engin Koç s'est longtemps désespéré de son visage glabre. Avant de s'offrir, il y a sept mois, la "brosse" de ses rêves sur une table d'opération. "J'ai voulu ressembler aux anciens Turcs, aux Ottomans, et comme j'ai l'âme assez nostalgique et une admiration pour cette époque, j'ai fait ces implants", raconte-t-il avec fierté, "la moustache est un symbole de la virilité turque".
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme
Depuis des lustres, la moustache est effectivement une affaire très sérieuse en Turquie. Un dicton populaire y affirme d'ailleurs qu'un "homme sans moustache est comme une maison sans balcon". Et la forme de la moustache que vous portez, est même un indicateur de votre orientation politique.
L’anthropologie de la moustache. "Broussailleuse, façon Staline, elle est plutôt l'apanage de la gauche ou des Kurdes", explique l'anthropologue Benoît Fliche, de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul. "Mince, comme celle du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, elle devient religieuse et conservatrice (...) Et si elle descend en forme de crocs de part et d'autre de la bouche, elle est alors marquée à l'extrême droite".
Même si elle séduit aujourd'hui un peu moins les Turcs des grandes villes, plus tournés vers la mode occidentale, la moustache et la barbe restent un "must" pour la gent masculine des pays arabes ou des républiques turcophones d'Asie centrale, qui font le voyage d'Istanbul pour satisfaire leur appétit de poils.
En Turquie, si t’as pas de moustache, t’es pas un homme
Les stars de série, icônes moustachues. "Les séries télévisées turques diffusées dans le monde arabe ont une grande influence", assure le Dr Tulunay, "c'est en voyant nos acteurs que ces patients sont venus nous demander les mêmes barbes ou les mêmes moustaches". Ces clients constituent l'essentiel de ce nouveau marché de la "pilosité faciale". Rien qu'à Istanbul, quelque 250 cliniques ou cabinets privés se livrent une concurrence acharnée pour vendre leurs services, à grands coups de promotions.
Les forfaits moustache. La plupart se sont associés à des agences de voyage et proposent des formules qui incluent l'opération et le séjour à l'hôtel de leurs patients, qu'elles prennent en charge dès l'aéroport... Les plus compétitifs proposent des forfaits "moustaches" très avantageux à partir de 2.000 euros, bien moins chers que chez leurs concurrents européens ou américains. Le tourisme du poil bat son plein donc, confortablement assis sur la progression constante du nombre de visiteurs étrangers qui se pressent en Turquie. Plus de 35 millions en 2012, selon les estimations.
La moustache est en passe de les rejoindre au rang des spécialités mondialement reconnues de la Turquie, où de plus en plus d'hommes en mal de poils viennent se faire greffer les respectueuses bacchantes dignes de leur rang.
Jusque-là, il y avait les bains, le café et les fameux "délices" sucrés. La moustache reste un attribut masculin très en vogue en Turquie et au Moyen-Orient. Au point que les hommes les moins bien dotés par la nature n'hésitent plus à remettre le sort de leur système pileux déficient entre les mains de chirurgiens esthétiques.
Le Dr Selahattin Tulunay est l'un d'eux. A la tête d'un prospère cabinet privé jusque-là spécialisé dans les transplantations de cheveux, ce chirurgien esthétique s'est rapidement adapté à cette nouvelle demande.
"Cela fait environ trois ans que je fais des implants de moustaches", confie-t-il, "beaucoup d'hommes sont venus me voir en me disant +j'ai 40 ans, je suis à la tête d'une grosse entreprise et à l'étranger, on ne me prend pas au sérieux, je veux que l'on voie que j'ai des poils".
Tout juste trentenaire, Engin Koç s'est longtemps désespéré de son visage glabre. Avant de s'offrir, il y a sept mois, la "brosse" de ses rêves sur une table d'opération. "J'ai voulu ressembler aux anciens Turcs, aux Ottomans, et comme j'ai l'âme assez nostalgique et une admiration pour cette époque, j'ai fait ces implants", raconte-t-il avec fierté, "la moustache est un symbole de la virilité turque".
Depuis des lustres, la moustache est effectivement une affaire très sérieuse en Turquie. Un dicton populaire y affirme d'ailleurs qu'un "homme sans moustache est comme une maison sans balcon". Sa forme y est même lue politiquement.
"Broussailleuse, façon Staline, elle est plutôt l'apanage de la gauche ou des Kurdes", explique l'anthropologue Benoît Fliche, de l'Institut français d'études anatoliennes d'Istanbul. "Mince, comme celle du Premier ministre Recep Tayyip Erdogan, elle devient religieuse et conservatrice (...) Et si elle descend en forme de crocs de part et d'autre de la bouche, elle est alors marquée à l'extrême droite".
Forfaits moustache
Même si elle séduit aujourd'hui un peu moins les Turcs des grandes villes, plus tournés vers la mode occidentale, la moustache et la barbe restent un "must" pour la gent masculine des pays arabes ou des républiques turcophones d'Asie centrale, qui font le voyage d'Istanbul pour satisfaire leur appétit de poils.
"Les séries télévisées turques diffusées dans le monde arabe ont une grande influence", assure le Dr Tulunay, "c'est en voyant nos acteurs que ces patients sont venus nous demander les mêmes barbes ou les mêmes moustaches".
Ces clients constituent l'essentiel de ce nouveau marché de la "pilosité faciale". Rien qu'à Istanbul, quelque 250 cliniques ou cabinets privés se livrent une concurrence acharnée pour vendre leurs services, à grands coups de promotions.
La plupart se sont associés à des agences de voyage et proposent des formules qui incluent l'opération et le séjour à l'hôtel de leurs patients, qu'elles prennent en charge dès l'aéroport... Les plus compétitifs proposent des forfaits "moustaches" très avantageux à partir de 2.000 euros, bien moins chers que chez leurs concurrents européens ou américains.
Le tourisme du poil bat son plein donc, confortablement assis sur la progression constante du nombre de visiteurs étrangers qui se pressent en Turquie. Plus de 35 millions en 2012, selon les estimations.
"Chaque semaine, nous accueillons entre 50 et 60 patients pour une greffe de cheveux, et 5 à 6 pour une greffe de moustaches", se réjouit le Dr Meral Tala, chirurgienne au Istanbul Hair Center, "et comme nos résultats sont bien meilleurs qu'avant, nous prévoyons une très grande augmentation des demandes". Les chirurgiens esthétiques d'Istanbul n'ont pas fini de se friser les moustaches.
Avec AFP
et toi barbaros tu as bien sur la moustache
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
L'équipe de foot que je supporte (Galatasaray) a remporté son 1er match de la saison en gagnant 2-1.
Nos buteurs n'ont pas eu de gestes politiques vis à vis de la situation en Egypte.
Cela démontre la maturité politique et patriotique de nos joueurs, très soucieux de protéger les intérêts géostratégiques de la Turquie, avec un pragmatisme appuyée en favorisant la neutralité dans ces événements.
Une attitude qui encourage le gouvernement Turc a être neutre pour ainsi ne pas être exclu d'une solution politique pacifiste.
Félicitations les gars
rafi General de Division
messages : 9496 Inscrit le : 23/09/2007 Localisation : le monde Nationalité : Médailles de mérite :
La Turquie a répondu à cette déclaration (info ou intox), ou compte laisser couler...
http://www.dreuz.info/2013/08/le-president-egyptien-par-interim-declare-reconnaitre-le-genocide-des-armeniens/ a écrit:
En possible réponse aux gesticulations du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, qui a dernièrement déclaré condamner le “coup d’état“ en Egypte, reconnaissant l’islamiste Mohamed Morsi comme unique représentant légitime du peuple égyptien, le sunnite Adly Mansour, Président d’Egypte par intérim, a publié le 17 août, sur son compte Twitter, une déclaration de reconnaissance du génocide des Arméniens. Laquelle devrait être officiellement présentée et signée par la représentation égyptienne aux Nations Unies dès lundi.
Inanç Genelkurmay Başkanı
messages : 6351 Inscrit le : 13/07/2009 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
La jeune compagnie turque à bas coûts Pegasus Airlines connaît des taux de croissance à deux chiffres qui furent dans le passé ceux de ses “grandes soeurs” Ryanair et EasyJet. Le trafic de Pegasus a fait un bond de près de 23 % au premier semestre 2013 par rapport à la même période de 2012 pour atteindre les 7,55 millions de passagers transportés. Il est vrai que le transporteur a inauguré pas moins de 15 nouvelles lignes intérieures et internationales au cours des six premiers mois de 2013.
Avec un taux de remplissage en progression pour atteindre les 79,3 % tandis que les revenus annexes ont augmenté de 15 % à près de 8 euros par passager. Une forte croissance qui est toujours rentable puisque Pegasus revendique un bénéfice d’exploitation avant amortissement de près de 77 ME et un profit net de 45 ME.