Actualités nationales

Rappel du premier message :

rien à ajouter

Al Fizazi n'a pas terminé son discours du vendredi en priant en faveur du roi comme le veut la norme !!!

Si, si il l'a fait dans les normes, il l'a fait en faveur du roi, du prince héritier, de moulay rachid et de la famille royale

Citation :

Belle performance des marocaines



● Belle performance des marocaines Zouak et Niang, lors du Grand Prix de Samsun en Turquie de judo
● Rizlene Zouak, double championne d'Afrique, a remporté la médaille d'argent après sa défaite en finale contre l'Autrichienne Kathrin Unterwurzacher, médaillée d'or.

Les judokates marocaines Rizlene Zouak (-63 kg) et Asmaa Niang (-70 kg) ont signé une bonne prestation lors du Grand Prix Samsun en Turquie en décrochant la 2e et 3e places de leurs catégories respectives.

Zouak, double championne d'Afrique, a remporté la médaille d'argent après sa défaite en finale contre l'autrichienne Kathrin Unterwurzacher, médaillée d'or. La médaille de bronze est revenue à la Hongroise Bzabina Gercbak.

Niang, championne du Maroc et de l'Afrique et victorieuse de l'or au Grand Prix de Düsseldorf (Allemagne), a décroché le bronze en battant l'Israélienne Lior Wildikan.

La médaille d'or a été remportée par l'Allemande Laura Vargad Kroch alors que sa compatriote Sally Conway a obtenu l'argent.

L'édition a connu la participation de 44 pays (350 judokas) dont l'Afrique représentée par 6 pays (21 judokas).
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www.lematin.m

Citation :

John Kerry, le secrétaire d’Etat américain, en visite au Maroc les 04 et 05 avril

Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry effectuera les 04 et 05 avril une visite au Maroc, au cours de laquelle il co-présidera avec le ministre des affaires étrangères et de la coopération, M. Salaheddine Mezouar, les travaux de la 2è session du dialogue stratégique Maroc-Etats-Unis.

Cette session du dialogue stratégique Maroc-Etats-Unis, qui se tiendra sous le thème :”la consolidation des relations de coopération solides entre les deux pays”, se veut l’occasion pour les deux parties de promouvoir et dynamiser leur partenariat dans les domaines politique, économique, social, éducatif et culturel, indique lundi un communiqué du ministère des affaires étrangères et de la coopération.

Elle ouvrira également de nouveaux horizons pour les relations bilatérales, en application des recommandations contenues dans le communiqué conjoint sanctionnant la dernière visite de SM le Roi Mohammed VI à Washington, dans le cadre d’un dialogue stratégique profond et permanent au service des intérêts des deux pays.

La tenue de cette deuxième session après celle organisée le 13 septembre 2012, reflète l’excellence des relations privilégiées et l’amitié séculaire ayant toujours lié le Royaume du Maroc et les Etats-Unis d’Amérique, deux pays qui partagent les mêmes valeurs et les mêmes intérêts, selon une vision claire visant la consolidation de la confiance mutuelle pour la consécration de leur partenariat stratégique dans divers domaines vitaux, poursuit le communiqué.

Cette deuxième session sera aussi l’occasion pour les deux pays d’approfondir leurs concertations politiques sur les questions bilatérale, régionale et internationale d’intérêt commun.

LNT
MAP

Citation :

Tanger Med à l'honneur ce soir

(www.infomediaire.ma) - Ce soir, vendredi 4 Avril à 18h45 GMT (19h45 heure locale), CNN International diffusera un reportage sur le Maroc dans le cadre de CNN Marketplace Africa. Un focus sera mis sur le port de Tanger. Pour rappel, ce reportage est le 5ème d’une série dédiée au Maroc sur CNN International. Les récents reportages sur le Maroc ont permis aux téléspectateurs à travers le monde de porter un regard sur l'économie et le développement diversifié du pays ainsi que son patrimoine culturel. Dans la même lignée, le reportage de CNN Marketplace Africa sur le port de Tanger couvrira les besoins en commerce maritime de la région ainsi que de longs entretiens avec un certain nombre de personnes clés impliquées dans la surveillance du port. A noter que les récents reportage sur le Maroc diffusés par CNN International sont disponibles sur CNN.com.

  

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L’évasion fiscale, le sport favori du prince Moulay Hicham en Suisse


04 avril 2014

Depuis des années, le prince Moulay Hicham est le client attitré d’un cabinet d’avocats d’affaires suisse qui a fait du conseil aux évadés fiscaux fortunés une de ses plus lucratives spécialités.

Sa plaquette promotionnelle le présente sous les meilleurs atours : Clarence Peter, avocat d’affaires genevois spécialiste du private equity a conseillé aussi bien des investisseurs que des entrepreneurs de start-up. Son expertise fine lui permet de tailler un costume juridique adapté aux sociétés en phase de démarrage.

Des affaires dans les paradis fiscaux
Depuis de longues années, ce lauréat de la Georgetown University de Washington au milieu des années 80 a pris soin de tailler un costume à la mesure des ambitions d’un client de renom : le prince Moulay Hicham. De son étude familiale (Python et Peter Associés) située dans une batisse de pierre de taille au n°6 de la rue François-Bellot au cœur d’un des quartiers les plus cossus de Genève, Clarence Peter gère et fructifie avec un succès relatif la colossale fortune du prince. Il est de tous ses projets, de la création de sa fondation éponyme qu’il domicilie à Vaduz au Liechenstein, à l’investissement hasardeux dans la pisciculture dans les Emirats Arabes Unis ou dans des aventures sans lendemain dans la production d’énergie verte en Thaïlande. Rien n’est trop beau pour satisfaire aux caprices du prince qui en piètre businessman recherche avant tout des moyens de faire des affaires logées dans des paradis fiscaux. Un crédo qu’il affectionne, celui de ne payer que peu d’impôts même lorsqu’il s’agit de transactions au Maroc. En litige familial sur un terrain de 93 hectares dans la région de Rabat, Moulay Hicham souhaitait en effet déclarer, au moment de la séparation du bien, une valeur approchant les prix du marché afin de minimiser la plus-value qu'il réalisera lors d'une éventuelle cession, soumise à un impôt de 20 à 30%...
Fuite du pays et fuite des capitaux
Le cabinet Python & Peter est connu pour gérer dans la plus grande discrétion les affaires d’arbitrage sensibles entre Etats voyous (Iran et Israël par exemple) et entre multinationales aux dents longues. Mais lorsqu’il est sollicité par des grosses fortunes étrangères, c’est dans un but bien précis. Celui d’échapper au régime fiscal de leurs pays de résidence. On le sait, Moulay Hicham a quitté le Maroc en 2002 pour s’établir aux Etats-Unis. Pour fuir la critique, il a du inventer des histoires grotesques pour ne pas investir un clou dans le royaume et poussé des cris d’orfraie dans les colonnes de la presse qui le soutenait à l’époque, notamment Le Journal Hebdomadaire d’Aboubakr Jamaï qui a, ironie de l’histoire, été contraint des années après à mettre la clé sous la porte pour défaut de paiement d’arriérés d’impôts et de côtisations à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).
Des ficelles pour échapper au fisc
Dans son article « La domiciliation des personnes fortunées étrangères : un seul lit pour plusieurs rêves » publiée dans la revue de la Fédération des avocats suisses en 2006, Philippe Kenel, autre membre du même cabinet, livre toutes les ficelles pour aider les évadés fiscaux à contourner l'obligation légale de résider au minimum 6 mois et un jour dans un canton suisse pour pouvoir bénéficier du forfait fiscal helvétique extrêmement avantageux. En 2012, il publie un ouvrage de 389 pages, une sorte de guide pour milliardaires qui passe en revue toutes les règles qui s’appliquent aux étrangers désireux de s’installer en Suisse. On y apprend notamment comment acheter un bien immobilier, obtenir la nationalité suisse ou encore faire reconnaître son permis de conduire grâce à des passe-passes juridiques où la morale n’a pas droit de cité. Kenel anime un blog dans le magazine suisse L’Hebdo. Dans une de ses tribunes, il fait l’apologie de l’évasion fiscale à la française en citant assez cyniquement le cas du chanteur Johnny Halliday : « Merci Johnny Hallyday, car vous avez démontré, par les actes, que le système suisse fonctionne ! ».
10 millions d’euros en cash
Moulay Hicham n’a pas besoin de papiers suisses, mais recourt systématiquement aux bons conseils de Clarence Peter pour des affaires souvent interlopes. L’une d’elles concerne encore une fois Le Journal Hebdomadaire. En 2006, alors criblés de dettes, la société MediaTrust (transformée illégalement en Trimédia) est en faillite. Les créanciers se bousculent à sa porte et les huissiers l’assignent à tour de bras. Le prince qui y trouve toujours tribune ouverte pour y raconter ses récits imaginaires tente de voler à son secours. Rendez-vous est pris à Genève dans les locaux du fameux cabinet Python & Peter. Là, l’avocat Clarence Peter reçoit le trio Aboubakr Jamaï, Ali Amar et l’assureur Fadel Iraki. Il leur propose une entrée au capital du prince pour les sortir de l’ornière. Le montage qu’il imagine est destiné à camoufler une participation de Moulay Hicham. 10 millions d’euros sont posés sur la table. Il s’agit alors de trouver un moyen de les faire transiter par l’ONG Reporters Sans Frontières (RSF) dans un paradis fiscal au profit du Journal Hebdomadaire. Les actionnaires de la publication sont séduits par l’offre, mais les négociations achoppent sur la manière d’enfouir la transaction à travers des coquilles vides disséminées dans les places financières off-shore, sur le montant de l’investissement, et la part dans le capital à céder au prince.
Opération « Jus d’orange »
Quelques jours plus tard, Moulay Hicham reçoit les patrons du Journal Hebdomadaire dans les salons du Plaza Athénée à Paris pour clôturer le deal. La rencontre est tendue. Dépités, Jamaï et Iraki quittent l’hôtel et laissent le prince et Ali Amar en tête-à-tête. Selon des sources concordantes, Moulay Hicham a alors proposé à Ali Amar de revoir l’avocat Clarence Peter pour l’ouverture d’un compte off-shore au Crédit Agricole des Savoie à Annemasse sur la frontière franco-suisse pour le dépôt de l’argent en liquide. Nom de code de l’opération : « Jus d’orange ». Officiellement, ce compte devait recevoir les subsides reçus par Ali Amar de la part de Reporters Sans Frontières (RSF) en tant que correspondant de l’organisation au Maroc. Robert Ménard, maire assimilé FN de Béziers, est à l’époque secrétaire général de RSF. Il est mis dans la confidence. Il acquiesce, lui qui espérait aussi une aide financière du prince pour renflouer sa revue Medias qu’il venait de fonder avec sa compagne Emmanuelle Duverger. Une revue qui, comme Le Journal Hebdomadaire, allait faire faillite. La publication très droitiste avait souffert de sa réputation sulfureuse après la parution d'interviews de Jean-Marie Le Pen, de Marine Le Pen ou d'Alain Soral. L’opération « Jus d’orange » finira par tomber à l’eau, le prince ayant fait marche arrière à la dernière minute ayant bien compris qu’il ne pourrait pas davantage profiter d’un journal déjà moribond.
Benoit Alphand

médiapart

http://blogs.mediapart.fr/blog/marocnews/040414/l-evasion-fiscale-le-sport-favori-du-prince-moulay-hicham-en-suisse

Citation :

Surnommé « le prince rouge » pour ses prises de position iconoclastes sur la monarchie marocaine, Moulay Hicham El-Alaoui, 50 ans, récidive. Dans le Journal d'un prince banni (Grasset), à paraître le 9 avril, le cousin de Mohammed VI dresse un portrait intime et féroce de la cour chérifienne, où il a été élevé. L'auteur, qui vit depuis 2002 aux Etats-Unis, plaide surtout pour l'abolition du Mahkzen, terme qui a donné en français « magasin » et qui désigne la cour, les institutions liées au palais et les proches conseillers du roi.

Pourquoi publier aujourd'hui un livre que vous avez commencé à écrire en 2007 ?

Moulay Hicham El- Alaoui : Dès le début des années 1990, j'ai peu à peu conquis ma liberté — ma liberté critique et ma liberté intellectuelle. Non seulement je l'ai conquise, mais je l'ai défendue bec et ongles. Ce livre est le couronnement de cette libre pensée à laquelle je suis très attaché. Petit à petit, j'ai subi une transformation qui m'a rendu étranger, non au Maroc, mais étranger à la famille et au milieu dans lesquels j'ai grandi. J'ai senti que, dans mon itinéraire, une séquence était fermée, et aussi que quelque chose avait profondément changé avec le « printemps arabe ». Tout ce que j'ai dit pendant des années trouve maintenant une actualité brûlante.

Je veux éclairer les gens, contribuer au débat et, dans ce cas précis, faire comprendre une partie de l'histoire contemporaine de mon pays. Je suis allé au cœur du réacteur. Beaucoup diront : « Vous êtes tombé du carrosse et vous cherchez à revenir. » Non. Dans ma culture, ce n'est pas comme cela que l'on revient. On revient en intriguant, en faisant amende honorable.

Vous affirmez ne prétendre à aucun rôle, mais vous ne vous interdisez rien…

C'est exact. On ne sait pas de quoi est fait l'avenir. Si l'occasion se présentait, j'apporterais ma contribution, mais je ne crois pas que cela viendra du Palais. Cela dépend de l'interaction de forces à un moment particulier : va-t-on vers un scénario de rupture, de changement apaisé ? Aucune idée ! Mais j'ai quitté ma maison, et je n'y reviendrai pas.

Vous dites qu'il faut « démanteler le Makhzen ». Mais celui-ci n'est-il pas constitutif de la monarchie ?

Le Makhzen s'appuie sur la monarchie pour vivre et la monarchie s'appuie elle-même sur le Mahkzen pour vivre à sa manière ; c'est une relation symbiotique et il faut redéfinir complètement cette interdépendance. Tout l'exercice des trois rois qui se sont succédé a été de maintenir cette dualité, chacun à sa manière. Je pense, moi, que le Maroc ne peut pas se développer avec le Makhzen. Et s'il ne peut pas, c'est la monarchie qui en paiera le prix. La mise à mort du Makhzen est indispensable. C'est un pouvoir néo-patrimonial qui empêche le développement économique, un système de prédation et de subjugation. Il ne peut donc pas libérer les énergies économiques et donc il ne pourra pas, non plus, faire monter l'eau de la source. Le deuxième volet, c'est la création d'un véritable Etat moderne, un Etat de droit. Aujourd'hui, nous avons une monarchie avec une Constitution, nous n'avons pas une monarchie constitutionnelle.

Vous paraissez plus indulgent pour votre oncle Hassan II à la fin de son règne que pour votre cousin Mohammed VI…

Indulgence n'est pas le mot. Mais à la fin de son règne, Hassan II a trouvé le ressort de voir qu'il était dans une impasse. Or, lorsque Mohammed VI accède au pouvoir, il hérite d'une situation de consensus et d'apaisement inédite dans la monarchie marocaine. C'est la première fois que le passage de témoin se passe dans des conditions aussi favorables, tous les autres ont eu lieu dans un moment de troubles et de tensions. Au début, Mohammed VI a hésité. Mais, finalement, nous sommes restés dans la même logique. C'est un rendez-vous raté avec l'Histoire.

Sous Hassan II, il y a eu une alternance avec un gouvernement socialiste coopté. Cela aurait pu mener à la démocratie. Or qu'a fait Mohammed VI ? Il a abandonné la logique démocratique pour un gouvernement de technocrates en 2002 , puis cinq ans après, avec un autre issu de l'Istiqlal qui a été vidé de toutes ses prérogatives avec la création de commissions royales et de hautes instances. A partir de 2007-2008, Mohammed VI s'apprêtait à donner le coup de grâce avec la création d'un nouveau parti, le PAM . Il ne reculera qu'avec les mouvements populaires et le « printemps arabe », le secours d'une nouvelle Constitution qui crée beaucoup d'ambiguïtés, et une méthode utilisée avec les socialistes : créer un renouvellement de façade avec les islamistes du PJD . On amène de nouvelles élites que l'on vampirise, pour les lâcher ensuite comme des zombies sans vie. Pour moi, tout cela rentre dans la logique de la continuité. On joue le temps, on vide la coquille de sa substance et on attend que la pression descende.

Hassan II avait trop de passion pour le métier de roi, ce qui l'a poussé vers l'absolutisme. Avec Mohammed VI, c'est le contraire : un manque de passion qui a fait que la démocratisation n'a pas abouti. Un même résultat avec deux personnalités différentes.

Vous avez soutenu le « printemps arabe » et prédit la chute des monarchies arabes, mais pas une n'a bougé…

Bahreïn est une occupation saoudienne ! Oui, j'ai été proche des familles royales saoudienne et jordanienne, mais se respecter, c'est aussi respecter les opinions des autres. Aujourd'hui, ces monarchies m'en veulent beaucoup, parce qu'on estime que je me suis retourné contre ma race. Il n'y a pas d'exception marocaine, il y a un avantage monarchique. C'est un système qui n'est pas entièrement fermé : il y a des vannes et des soupapes. Mais je pense que les soupapes ne sont pas assez grandes pour évacuer la pression. Le changement de génération, de classe moyenne, la récession en Europe, sont autant de nouveaux paramètres. La vraie exception, ce n'est pas le Maroc. La vraie exception du monde arabe, c'est la Tunisie, et ça le reste. Mais la fascination pour l'autoritarisme dans la région s'est cassée. Le sentiment d'impuissance aussi.

Quelle solution pour le Sahara occidental, qui reste un problème épineux ?

Le Maroc bute sur le Sahara parce qu'il n'a pas de projet de démocratisation. Le problème du Sahara est le même que celui du Maroc : au lieu d'engager les gens sur une base citoyenne, on les a engagés sur des bases clientélistes. Et le clientélisme ne donne rien. Cette décentralisation va forcément devoir intégrer des principes de droit international. Je veux m'en tenir là, parce que si je dis « autodétermination », nous allons entrer dans des qualificatifs de « traître à la patrie », etc. Mais forcément, cette décentralisation doit être au diapason du droit international. Tout le reste est une question de négociations.

Isabelle Mandraud
Journaliste au Monde

LE MONDE

Je le trouve très ambigu sur le Sahara  

non, il n'est pas ambigu du tout, il parle bien d'autodetermination.
Je l'ai toujours soutenu le Maroc est, avant tout, victime des marocains.
Si un membre de la famille royale est pour l'autodetermination, qu'est ce que vous pouvez attendre des autres?.
Il est bien riche ce prince rouge... si c'est vrai ce qui ce dit dans l'article poste' en haut, 10 millions d'euros, rien que pour taquiner le cousin...

La marche des Syndicats, bien avant son commencement ... est simplement un échec phénoménal !

Les syndicats et les partis potiques marocains  doivent se refaire un lifting. Vivement que les jeunes s intéressent à la politique pour mettre à la retraite les dirigents actuels des partis et syndicats Je crois que ces derniers sont en déphasage flagrant avec la société marocaine.  Celle ci a trop d avance sur les état majors des syndicats et des partis.

Citation :

Espagne : Le gouvernement déclare le Maroc "pays prioritaire"
Posté le lundi, 07 avril 2014 - 8:57 am

(www.infomediaire.ma) - Le Maroc est l’un des pays "prioritaires" du Plan annuel d’action extérieure pour l’année en cours, approuvé vendredi par le Conseil des ministres espagnol. Fruit des efforts de plusieurs départements gouvernementaux et instituts privés, ce plan vise à améliorer l’image de l’Espagne à l’étranger et à consolider les relations du pays ibérique avec ses partenaires dans les domaines économique, commercial, culturel et sportif. Ainsi, selon le Plan annuel d’action extérieure, élaboré sur la base de plusieurs études, une vingtaine de pays/marchés, dont le Maroc, constituent une "priorité" pour l’Espagne, indique la Présidence du gouvernement espagnol dans un communiqué publié au terme de sa réunion hebdomadaire.

Je crois qu'on avance :

Citation :

Le ministre marocain de la communication, porte parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi a assuré que le livre du Prince Moulay Hicham, "Journal d’un prince banni", ne sera pas du-tout interdit au Maroc.

Cette déclaration a été faite par le ministre marocain, au site arabophone goud, qui assure avoir obtenu de El Khalfi, que le gouvernement n'interviendra pas pour interdire la distribution au Maroc, de l'ouvrage paru en France aux éditions Grasset.

L'ouvrage 'Journal d'un Prince Banni' est un livre autobiographique du prince Moulay Hicham, il y raconte ses mémoires depuis son enfance jusqu’à l’heure actuelle. Il couvre de ces récits, trois périodes principales : son vécu avec son père le prince Moulay Abdellah jusqu’au décès de ce dernier en 1983, puis avec son oncle le défunt Roi Hassan II, et enfin celle qui commence en 1999 avec le règne actuel de son cousin le Roi Mohammed VI.

http://www.lemag.ma/Le-ministre-El-Khalfi-Pas-question-d-interdire-le-livre-de-Moulay-Hicham-au-Maroc_a82354.html

Après le passage 'Royale' ... retour au vrai Maroc :

vaut mieux ramasser avant que ça soit embarqué par Hamid qui veut mettre du gazon sur son balcon ...

yassine1985 a écrit:

Après le passage 'Royale' ... retour au vrai Maroc :

C'est juste lamentable. C'est une insulte au peuple et au roi.

alphatango a écrit:

C'est juste lamentable. C'est une insulte au peuple et au roi.

Tu sais pas ce qui c'est passé un jour avec la visite de Feu Hassan II au Souissi (Rabat) dan sles 90's?? Et bein notre bien aimé (Allah Yrhamhou) c'est devié de la route prevu dans l'hopital...et il a découvert l'etat réel du site...imagine...

Ça se fait depuis toujours et n'import ou...

Un changement dans la paysage audio visuel marocain : des émiratis entrent dans le capital de Medi 1 TV pour 95 millions de $

Citation :

http://www.medias24.com/A-suivre/10760-Des-emiratis-dans-le-capital-de-Medi1-TV-pour-95-millions-de-dollars.html?utm_source=MailingList+alerte+12.04&utm_medium=email&utm_campaign=Alerte+12.04.14

lol

Taduction?

c'est le directeur d'une chaine egyptienne qui affirme que bcp de gens sont sortis ds des manifestations contre le gouvernement "majoritairement Issu d'une mouvance très proche des FM" parceque le Maroc connait de grave difficultés ainsi que la corruption bla bla bla  

et j'ai oublié il les qualifi egalement de terroristes!!    

Citation :

La police, les forces auxiliaires et les moqadems initient des rondes

avril 2014 9 h 17 min0 commentaires

Sécurité renforcée à Casablanca. Face à l’insécurité galopante dans la capitale économique, la police, les forces auxiliaires et les moqadems se joignent pour des rondes régulières dans les quartiers. L’objectif est clair : préserver la sécurité des citoyens à tout prix

http://www.challenge.ma

enfin sa aura pris plus de 10 ans a fès aussi là-bas ils en ont besoin

Citation :

Publié le 10-04-2014 Modifié le 10-04-2014 à 08:40
Le Maroc en lutte contre le phénomène du «Tcharmil» sur Internet
par RFI

Au Maroc, le gouvernement s'attaque depuis la semaine dernière à un phénomène en vogue sur internet pour certains adolescents et que l'on appelle le « Tcharmil ». Même si certains jeunes ne voient cette mode que comme une manière de se vanter et de séduire les filles, elle a malgré tout été portée à l'attention du roi, lequel a donné ordre à la police de sévir.

Le « Tcharmil » tire son nom, dit-on, de la tcharmila, une marinade de viande que les bou hers émincent avec un grand couteau. Mais pour certains adolescents marocains, il s'agit de se prendre en photo sur Facebook avec des armes blanches, exhibant fièrement de coûteux survêtements ou des scooters trafiqués ou encore des montres, des bijoux, des téléphones portables ou des liasses de billets prétendument soutirés lors de petits braquages.

Le phénomène apparu l'an dernier est désormais suffisamment pris au sérieux pour que le roi Mohammed VI en personne s'en mêle. Après que plusieurs agressions ont été signalées par la presse, surtout dans la mégapole de Casablanca, le souverain a donné la semaine dernière des instructions pour stopper cette mode qui, dit le gouvernement, « inquiète les Marocains ».

Une dizaine d'arrestations

Depuis lundi, le ministre de l'Intérieur préside des réunions quotidiennes avec les responsables régionaux de la sécurité. Une dizaine d'adeptes imprudents du « Tcharmil » ont été arrêtés. Des renforts en hommes ont été annoncés pour la police. L'idée est de renforcer la présence d'uniformes dans les rues et de pratiquer une police de proximité.

Il faut dire que l'exaspération des Casablancais commençait à mobiliser au-delà des cages d'escaliers. Une marche contre l'insécurité a un temps été annoncée sur Facebook, réunissant plus de 20 000 internautes.

http://www.rfi.fr/afrique/20140410-le-maroc-lutte-contre-le-phenomene-tcharmil-internet/