Tout y est fait dans la pure tradition du sud ouest mais Halal! Je garantie la qualité des produits qui y sont excellents Ils envoient même à l'étranger ...
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Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Mer 29 Oct - 17:32
Résultat du mépris de la république pour le peuple
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Fahed64 Administrateur
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Ven 31 Oct - 0:48
La France en doit une au Maroc
Citation :
Maroc: les djihadistes arrêtés projetaient des attaques en France et au Maroc
Deux djihadistes arrêtés en début de semaine par les autorités marocaines "projetaient des assauts contre des agences bancaires et des multinationales en France et au Maroc", selon un communiqué du ministère de l'Intérieur marocain publié aujourd'hui.
Les deux hommes, un Français et un Franco-Marocain, interpellés alors qu'ils s'apprêtaient à rejoindre le groupe Daech, "instrumentalisaient leur activisme propagandiste sur le net" pour "attiser la fibre djihadiste de jeunes" et les pousser à "des actes terroristes individuels au Maroc et en France", selon la même source, citant les premiers résultats de l'enquête.
Ils voulaient "s'inspirer (...) du terroriste franco-algérien Mohamed Merah", tué par la police française en mars 2012 après avoir tué sept personnes, dont plusieurs enfants dans une école juive, poursuit le communiqué.
Selon l'enquête, le Franco-Marocain avait contracté "plusieurs emprunts" auprès de banques françaises et marocaines à l'aide de "pièces justificatives contrefaites" pour financer ces activités. Les deux hommes avaient été arrêtés lundi à Kénitra (nord), alors qu'ils "s'affairaient pour rallier les rangs de l'organisation Daech", avait annoncé en début de semaine le ministère de l'Intérieur.
Un "extrémiste d'origine algérienne" qui séjournait illégalement au Maroc, a également été interpellé lundi à Fès (nord), alors qu'il "projetait de rejoindre son épouse", une Marocaine ayant déjà rallié l'EI, d'après la même source. Les trois personnes interpellées seront déférées devant la justice dès la fin des enquêtes.
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yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Dim 2 Nov - 16:32
_________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Jeu 6 Nov - 0:02
Un jour j'avais repondu à in sioniste qui perorraient sur dome de fer la puissance de tsahal, qu'il avait interet à prier pour avoir toujours de l'électricité
Pas d'energie pas d'occident imperialiste
_________________
""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
jf16 General de Division
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Dim 16 Nov - 20:33
Citation :
France : un collectionneur sud-coréen achète un chapeau de Napoléon à 1,8 million d'euros
AFP 16/11/2014
Un chapeau de Napoléon a été acheté 1.884.000 euros par un collectionneur sud-coréen dimanche, au cours d'une vente aux enchères de souvenirs napoléoniens près de Paris, a-t-on appris auprès de la maison de vente Osenat. Ce chapeau, l'un des dix-neuf bicornes authentifiés de l'empereur existant encore dans le monde, faisait partie de la prestigieuse collection du Palais princier de Monaco. Le nom du collectionneur sud-coréen n'a pas été communiqué par la maison de vente. Le bicorne en feutre est l'objet le plus emblématique de la collection qui compte 1.000 objets, réunis par Louis II de Monaco (1870-1949), arrière grand-père du prince Albert, et conservés au Musée des souvenirs napoléoniens sur le rocher. La vente était attendue fébrilement tant en France qu'à l'étranger par les nombreux passionnés de l'ancien empereur, sans doute le personnage historique français le plus connu dans le monde. Le chapeau était estimé entre 300.000 et 400.000 euros. En quinze ans de règne, Napoléon a usé environ 120 chapeaux, presque tous confectionnés par la maison Poupard à Paris, selon l'expert de la vente, Jean-Claude Dey. D'autres pièces rares devaient passer sous le marteau, notamment les "trophées" saisis par les troupes prussiennes à Waterloo dans les berlines de l'empereur (gants, argenterie, épée, ordres de chevalerie...)
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Lun 17 Nov - 14:24
jf16 General de Division
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Mer 19 Nov - 15:29
Enfin !
Citation :
La France se dote d'une procédure d'impeachment de son président
AFP 19/11/2014
La France est désormais dotée d'un procédure d'impeachment de son président en cas de manquement grave à l'exercice de son mandat, par une loi validée mercredi par le Conseil constitutionnel.
Cette loi prévoit qu'une procédure de destitution peut être engagée à l'encontre du président de la République devant le Parlement réuni en Haute Cour en cas de "manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat". Le mécanisme doit être enclenché par 10% des sénateurs ou 10% des députés qui signent une résolution.
L'une des deux chambres adopte alors une proposition de réunion de la Haute Cour, à la majorité des deux tiers. Cette proposition doit être immédiatement transmise à l'autre chambre qui doit l'adopter elle aussi.
Il a fallu douze ans pour que la France adopte cette réforme annoncée en 2002 par le président de droite Jacques Chirac, mais examinée seulement en janvier 2012 par les députés à la fin de la présidence de Nicolas Sarkozy et votée par les sénateurs en octobre dernier. Le président continue cependant à ne pas pouvoir être poursuivi pénalement pendant son mandat.
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Mer 19 Nov - 16:22
majorité des 2 tiers....en effet, il y a bien dorénavant une loi, mais qui n'est pas prête de s'appliquer
jf16 General de Division
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Mer 26 Nov - 18:24
Citation :
Plantu [Page officielle]
40 ANS APRÈS LA LOI SUR L'IVG. Encore des questions. Le dessin du Monde de ce mercredi 26 novembre.
Yakuza Administrateur
messages : 21656 Inscrit le : 15/09/2009 Localisation : 511 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Jeu 27 Nov - 14:20
ou sont les ong des bobo gauchistes et autres donneurs de lecons
Citation :
Plaintes contre l'Etat français pour un massacre de tirailleurs africains en 1944
Paris - Une association française, le Conseil représentatif des associations noires (Cran), a annoncé jeudi avoir intenté deux actions en justice contre l'Etat français pour obtenir une révision et réparation, 70 ans après le massacre de dizaines de tirailleurs africains en 1944 à Thiaroye, près de Dakar.
Le Cran a précisé avoir saisi la Commission de révision des condamnations pénales pour obtenir la réhabilitation de l'un des tirailleurs condamnés. Le Tribunal de grande instance de Paris a par ailleurs été saisi d'une plainte pour disparition inquiétante ou meurtre, a indiqué le président du Cran, Louis-Georges Tin.
Cette action est intentée alors que le président français François Hollande doit rendre hommage dimanche aux tirailleurs, ces soldats africains de l'armée coloniale française. Il doit également, en marge d'un sommet de la Francophonie organisé à Dakar, remettre les archives de la France sur ce dossier, conformément à un engagement pris en 2012.
La demande de révision concerne le procès d'Antoine Abibou, un tirailleur condamné en 1944 pour rébellion. La plainte pour disparition inquiétante vise à faire reconnaître le nombre de victimes, volontairement sous-évalué, selon le Cran.
Près de 1.300 tirailleurs, anciens prisonniers de guerre des Allemands et démobilisés, s'étaient mutinés pour réclamer le paiement de leurs primes et un traitement équitable par rapport à celui de leurs anciens frères d'armes français. Un bilan officiel, qui n'a jamais fait l'unanimité parmi les historiens, faisait état de 24 tirailleurs tués.
Mais les travaux récents de l'historienne Armelle Mabon démontrent qu'il y a eu environ 300 disparus, a affirmé M. Tin à l'AFP. Comme les corps n'ont pas été retrouvés, il n'y a pas de prescription, a-t-il souligné. La mutinerie est une invention forgée de toutes pièces pour justifier a posteriori un massacre destiné à régler le problème de manière sommaire, a-t-il ajouté.
De son côté la Ligue française des droits de l'homme (LDH) a demandé à la France de reconnaître les faits et d'assumer ses responsabilités dans cette affaire.
Soixante-dix ans après, la LDH estime que la France s'honorerait à reconnaître clairement les faits, a-t-elle affirmé dans un communiqué.
A l'occasion du Sommet de la francophonie, la LDH demande aux autorités françaises de rendre publics les noms des tirailleurs, de reconnaître la spoliation dont ils ont été victimes et d'exprimer les regrets officiels de la France pour la répression qui les a frappés.
Les autorités françaises doivent aussi s'engager au paiement aux descendants de ces tirailleurs du complément de solde dont ils ont été spoliés, ajoute le communiqué.
La mutinerie des tirailleurs de Thiaroye a inspiré un film, Camp de Thiaroye, réalisé par l'écrivain et cinéaste sénégalais Ousmane Sembène et son compatriote Thierno Faty Sow.
messages : 25540 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Jeu 27 Nov - 14:58
Yakuza a écrit:
ou sont les ong des bobo gauchistes et autres donneurs de lecons
Chez les autres comme d'habitude à donner des leçons Ils ont 0 crédibilité, tout comme les US et leur affaire de fergusson
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jf16 General de Division
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Ven 28 Nov - 14:16
Citation :
La France échappe aux sanctions. Comment cette décision a été prise ? (maj) Récit…
27 nov 2014 Croissance, Déficit, Dombrovskis, France, Francois Hollande, Jean-Claude Juncker, Katainen, Matteo Renzi, Réformes structurelles
(BRUXELLES2) La France va échapper à l’opprobre de la Commission européenne pour son dérapage budgétaire. Du moins pour l’instant. Les responsables de la Commission vont le confirmer officiellement ce vendredi (28 novembre). Des efforts doivent être faits, mais l’heure n’est pas aux sanctions. C’est en substance le message que veut faire passer l’exécutif européen. La décision est repoussée à début mars. L’hexagone ne sera pas le seul à bénéficier de ce qui pourrait apparaitre, aux yeux de certains, comme une certaine mansuétude mais est en fait une décision très politique, durement négociée. L’Italie ou la Belgique, en mauvaise passe, pour leur dette échappent également à une procédure spécifique pour dette excessive.
Pas le bon moment
Au Berlaymont, le siège de la Commission, on estime ce n’était pas le moment, ni technique ni politique, de prendre une décision, que ce soit une mesure de sanction, une nouvelle recommandation ou un nouveau délai à la France pour se mettre en conformité avec les délais. Il « s‘agit de maintenir la pression » précise un bon connaisseur du dossier. La Commission estime que ce n’est pas le moment de donner plus de temps ni un autre objectif. Du coup, elle devrait répéter la phrase standard qui veut à la fois tout dire et rien dire : « Nous invitons le pays à faire des efforts supplémentaires pour atteindre les recommandations et les objectifs fixés ». Un message qui signifie de demander plus efforts à la France. « C’est d’abord, les efforts. Et ensuite on verra pour un délai supplémentaire ou d’adopter une nouvelle recommandation » explique un expert. Celle qui est en vigueur à l’égard de la France (qui fixe un objectif de 0,8% de déficit structurel – hors inflation – et 2,8% de déficit — apparait largement irréalisable).
20 heures de vol
Pour arriver à ce résultat, cela n’a pas été évident, surtout les derniers jours… En interne, on raconte. Il y a eu un débat à la Commission européenne pour savoir s’il fallait adopter des sanctions. Un débat mené à trois entre le président Jean-Claude Juncker, le vice-président Valdis Dombrovskis (chargé de l’Euro et du dialogue social) et le commissaire Pierre Moscovici (chargé de l’Economie). Ce débat aurait dû se poursuivre en Australie, en marge du G20, où Juncker et Moscovici avaient prévu de rencontrer Matteo Renzi (le Premier ministre italien) et François Hollande (le président de la République française). La vie en décide autrement. Moscovici doit partir. Son père est mourant. Et le commissaire français décide d’aller à son chevet…
Dombrovskis, en père fouettard
« Dombrovskis s’est alors précipité à Brisbane » explique une source européenne, avec une idée fixe assez simple : « on ne discute pas politiquement, la règle c’est la règle, et il faut des sanctions ». L’ancien Premier ministre letton arrive à convaincre Jean-Claude Juncker, le président de la Commission de la justesse de sa position. Les 20 heures d’avion ont joué. « Une ligne kamikaze ». L’entretien avec les 2 chefs de gouvernement en difficulté ne « s‘est pas bien passé » selon des témoignages intérieurs. L’Italien Renzi a expliqué à Juncker sa ligne : l’Italie déjà fait beaucoup d’effort, le déficit est ramené sous la barre des 3%, les réformes structurelles sont engagés, que voulez-vous de plus ? Pour Hollande, çà a été plus dur. Car la jauge des réformes côté français semblait faible. Personne ne se fait d’illusion sur le plan Macron qui ne contient pas de réformes capables de générer une réelle réforme de structure.
Juncker revient sur une ligne dure
Résultat, quand Juncker revient à Bruxelles, c’est sur une « ligne dure ». « La France est hors les clous ». Une instruction est donnée aux services : « préparer un texte sanctions ». Mission est donnée à Pierre Moscovici d’aller voir avec Rome et Paris pour qu’ils proposent de nouvelles mesures. Coup de chance. Dombrovskis revient 3 jours dans son pays. Il laisse le champ libre. Les « Mosco » – comme on les appelle à la Commission – remontent le handicap sur les « Dombro », et reprennent la main. « Il a fallu ramer ensuite une semaine pour ramener la balle au centre ». Le risque d’un message brouillé
Le président Jean-Claude Juncker semble bien conscient que l’arme des sanctions est dangereuse à manier. A peine vient-il d’annoncer un grand plan d’investissement, qui entend marquer un tournant en Europe. Remettre une louche sur les sanctions serait un retour en arrière. Cela risquerait de « brouiller le message » plaident ceux qui ne veulent pas passer aux sanctions. Jean-Claude Juncker vient à peine Tout en examinant à fond les choses. Le vice-président Katainen, ancien Premier finlandais, pourtant classé parmi les durs, se révèle un précieux allié. « Il s’est pris au jeu, de son portefeuille en charge de l’investissement ». La descente économique de la Finlande n’est aussi pas étrangère à cet assouplissement de position d’un homme qu’on avait connu très dur, intransigeant, vis-à-vis des Grecs.
On négocie, Hollande avance des réformes supplémentaires
Le commissaire européen Pierre Moscovici prend son bâton de pèlerin pour discuter avec Rome et Paris. Les téléphones chauffent. On discute et on s’échange des grilles de chiffres, des propositions de réformes, de contreparties. A la manoeuvre, côté français, Bercy et le SGAE (le secrétariat général des affaires européennes), et côté européen, les spécialistes de la DG EcFin, au niveau l’aspect technique ; les ministres Sapin et Macron, et le commissaire Moscovici pour les aspects politiques. Matteo Renzi fait très vite une proposition de réforme supplémentaire, avec une lettre de son ministre des Finances adressée à la Commission (qui « fuit » dans la presse italienne, télécharger Letttre de Padoan ici) et des annexes plus détaillées (avec tableurs et autres propositions).
François Hollande fait, de même, avec une lettre proposant des réformes supplémentaires, à celles présentées en France. La lettre est gardée d’abord discrète. Paris se garde bien de la faire fuiter, comme l’a fait Rome. Différence d’approche des médias mais aussi de pratique politique… Finalement, avec l’accord de Paris, la Commission européenne le publie. Cette lettre, sensée contenir des « réformes qui n’ont pas encore été présentées publiquement en France », ne contient en fait qu’un long récapitulatif des réformes engagées (Réforme territoriale, Pacte de responsabilité, Loi Macron) et se termine par une ode optimiste aux données de l’OCDE : + 3% de PIB à l’horizon … de 10 ans (télécharger Lettre de Valls). Mais, apparemment, Paris a d’autres arguments. Cela convainc le trio Juncker-Dombrosvkis-Moscovici que la solution est proche. L’heure des sanctions s’éloigne…
Oettinger dans le rang des pourfendeurs
Seul, en fait, le commissaire allemand Günther Oettinger (*) campe sur une ligne dure, en droite ligne avec la position de Berlin, du moins de la frange CDU du gouvernement fédéral. Pire, il rompt la règle de la collégialité en se fendant d’une tribune publiée en Allemagne et en France, dans les Echos, pour expliquer pourquoi face au Déficit français : Bruxelles ne doit pas céder ! Une diatribe qui boute le feu parmi les responsables politiques français et passe mal au sein de la Commission. Une « explication de gravure » a lieu entre les chefs de cabinet, qui sont chargés, dans ce type de conflits entre commissaires, de « s’expliquer » franchement mais aussi d’éviter que la situation ne dégénère en conflit politique.
La sanction n’est pas une fin en soi
Finalement, Juncker choisit une ligne consensuelle : rappeler les principes, ne pas sanctionner, et se laisser un peu de temps pour décider. « Cette décision est sage » commente un proche du cercle de décision. « Techniquement, il était difficile d’avoir un avis aujourd’hui. Si à la fin de l’année, l’exécution budgétaire en France, se révèle meilleure qu’on ne le dit. » Et politiquement « c’est toujours mieux d’inciter aux réformes. Les sanctions sont faites pour ne pas être utilisées. Car les sanctions sont un échec pour l’Europe car elle n’a pas réussi à convaincre et un échec pour le pays qui n’a pas réussi à faire des réformes. »
(Nicolas Gros-Verheyde)
(*) Oettinger est en charge de l’Economie numérique. Mais dans ce type de débat, tout commissaire ou son équipe participe à la discussion et peut exprimer ses vues, même si ce n’est pas son dossier. C’est le principe de collégialité, souvent mal compris en France, car ce n’est pas vraiment la pratique ministérielle.
Pas de chèque en blanc pour Sarkozy l'"hypoprésident"
Revue de presse AFP 01/12/2014
Pour la presse française, la victoire de Sarkozy à la présidence de l'UMP samedi a des relents de demi-victoire, on ne lui a pas signé de "chèque en blanc" pire l'hyperprésident de naguère se voit rebaptiser "l'hypoprésident".
Même Le Figaro y va de son bémol pour la suite : "Chef incontestable, Nicolas Sarkozy n'est pas, loin s'en faut, un candidat incontesté", écrit Alexis Brézet.
"Il tient l'appareil. Mais Juppé a l'opinion, Fillon le programme et Le Maire la nouveauté. Ils vont entamer une bataille épuisante qui va déchirer la droite", analyse Laurent Joffrin dans Libération. "L'hypoprésident compte gagner en agressivité ce qu'il a perdu en influence. Il sera tueur plus que rassembleur. Il y a de meilleures nouvelles", juge le patron du quotidien de gauche.
Dans Les Echos, Cécile Cornudet constate que "l'UMP lui offre un nouveau départ. Mais un départ lesté". "Bruno Le Maire (...) lui renvoie implicitement cette question de l'âge, dont il aimait tant jouer contre les autres", note-t-ellen le jugeant "déconnecté" pour avoir été "persuadé que la dureté des Français à l'égard des politiques l'épargnerait lui." " Ni taulier ni otage de ses troupes, il ne dispose en aucun cas du chèque en blanc qu'il espérait en se lançant dans la course", estime Philippe Waucampt (Le Républicain lorrain).
"Pour parodier un chanteur qui lui est proche, Nicolas Sarkozy n'a pas donné envie d'avoir envie de le revoir à l'oeuvre dans une campagne présidentielle", s'amuse Jean-Michel Helvig (La République des Pyrénées). "Voici donc Nicolas Sarkozy, comme il y a dix ans, chef de parti. La différence vient de ce qu'entre-temps, il a exercé une fonction présidentielle et que ce qui apparaissait comme une marche en avant sous Chirac pourrait passer aujourd'hui pour un retour en arrière", pense Patrice Carmouze de L'Eclair des Pyrénées.
Dans La Voix du Nord, Matthieu Verrier fait chorus : " la dynamique imprimée depuis son annonce de candidature n'est pas celle d'un ancien chef de l'État", et de souligner qu'en plus "les sarkolâtres de 2007 ont laissé la place à des soutiens souvent critiques." "Le visage creusé comme par une défaite, Sarkozy le vainqueur découvrait, samedi soir, qu'il avait perdu vingt points en dix ans chez les militants de son propre parti," raconte Christine Clerc dans Le Télégramme.
"La magie Sarkozy n'est décidément plus ce qu'elle était", constate Bruno Dive dans Sud-Ouest. "Il devait plier le match, il a tout juste gagné la partie ; il pensait gagner la guerre, il n'a fait que remporter, plus difficilement que prévu, une bataille", résume l'éditorialiste. Pour Patrice Chabanet (Le Journal de la Haute-Marne) : "c'est bien connu, les conflits internes sont plus usants que le combat avec un ennemi externe dûment identifié. Ou comment cohabiter avec des partenaires qui, en se rasant le matin, pensent plus à la présidentielle qu'à la rénovation du parti?"
"Nicolas Sarkozy est un peu en cohabitation dans son propre camp", confirme Alain Dusart de L'Est Républicain. De son côté, Olivier Pirot (La Nouvelle République du Centre Ouest) voit un répit pour François Hollande. "Cristallisant les tensions à droite, son retour pourrait donc permettre à François Hollande de retrouver son rôle de président normal. Un personnage construit en opposition à Nicolas Sarkozy et qui pourra à nouveau exister", pense-t-il.
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Mer 3 Déc - 18:44
jf16 General de Division
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Mer 3 Déc - 18:55
Citation :
EXCLUSIF. Les "grandes oreilles" de Pékin en France
En banlieue de Paris, "l'Obs" a découvert un centre secret chinois d'écoutes satellitaires. Il espionnerait une partie des communications entre l'Europe, l'Afrique et le Moyen-Orient. Pourquoi la France laisse-t-elle faire ?
Les "grandes oreilles" de Pékin en France - Bruno Coutier Les "grandes oreilles" de Pékin en France - Bruno Coutier
C'est une annexe discrète de l'ambassade de Chine en France. Elle est située dans une rue paisible de Chevilly-Larue, banlieue pavillonnaire au sud de Paris. Il s'agit d'un territoire inviolable de plus de un hectare où, selon les conventions internationales, la police française n'a pas le droit de pénétrer. Il abrite un court de tennis, un parking et deux immeubles de trois étages. Sur l'un des toits trônent trois immenses antennes paraboliques. La dernière, qui fait plus de 5 mètres de haut, est flambant neuve. A quoi sert vraiment cette étrange "annexe" ?
Rien n'indique sa fonction véritable. A l'entrée, des caméras de surveillance mais pas de plaque. La sonnette ne fonctionne pas et lorsqu'on compose le numéro de téléphone inscrit dans l'annuaire, personne ne répond jamais. "Ce qu'ils font là-bas ? Je n'en sais rien", confie le numéro deux de la mairie de Chevilly-Larue, Cyrille Bernardin. "Ce sont des voisins mystérieux mais, depuis le temps, nous avons pris l'habitude", dit un riverain.
En vidéo : un centre secret chinois d'écoutes satellitaires en Ile-de-France :
Cela fait plus de 40 ans que cette dépendance diplomatique chinoise est nichée au 148 de la rue du Lieutenant-Petit-Leroy. Au début, dans les années 1970 et 1980, elle hébergeait les bureaux du conseiller commercial ainsi que des logements de fonction pour des employés de l'ambassade principale, elle-même située dans un quartier chic de Paris, avenue George-V. Aujourd'hui, des dizaines de diplomates vivent toujours au 148, dans les deux immeubles de type HLM. Mais, à l'évidence, cette annexe, qui est surveillée de près par la DGSI, n'est pas qu'un dortoir - et ses antennes géantes, dont les premières ont été installées il y a trois ou quatre ans, ne servent pas à recevoir China TV...
Selon Mme Li, attachée de presse à la représentation chinoise à Paris, l'extension de Chevilly-Larue est un "service logistique" de l'ambassade, "les antennes sont pour la communication", dit-elle sans plus de précisions. Et pour cause ! Pour les services français, cette dépendance héberge, en réalité, depuis peu, un centre secret d'écoutes satellitaires. D'après une source fiable, ce centre dépend de l'équivalent chinois de la NSA américaine, l'APL-3, c'est-à-dire le troisième département de l'état-major de l'Armée populaire de Libération dont le siège est dans la banlieue de Pékin, et est probablement rattaché à son unité 61046 chargée de l'Europe. (...)
Consulté par "l'Obs", un spécialiste des interceptions satellitaires, ancien cadre technique d'un service occidental, a étudié le dispositif des trois antennes déjà opérationnelles à Chevilly-Larue. Il estime que, probablement, deux paraboles servent à écouter et la troisième à transmettre vers la Chine la "production" (comme on dit dans le jargon) ainsi récoltée.
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Sujet: Re: Actualités Françaises Ven 5 Déc - 20:16
Donnez do do donnez moi ..... l'argent du contribuable !
Citation :
La SNCF versera 60 millions de dollars pour indemniser les victimes américaines de la Shoah
Un accord entre la France et les Etats-Unis a été signé pour immuniser la SNCF contre des poursuites sur le territoire américain visant sa responsabilité dans la Shoah. Pour cela, la compagnie ferroviaire indemnisera les victimes américaines à hauteur de 100.000 euros.
La France a fini par trouver un accord avec Washington sur la question épineuse de l'indemnisation des Américains transportés vers les camps de concentration durant la Seconde Guerre mondiale. La SNCF versera 60 millions de dollars au titre de leur indemnisation.
100.000 dollars par victime
Cet argent sera versé dans un fonds qui sera géré par les autorités américaines. Plusieurs milliers de déportés non-français sont concernés. Chaque victime recevra 100.000 dollars. La compagnie ferroviaire française qui souhaite étendre ses activités outre-Atlantique risquait de se voir bloquer dans ses projets en raison de cette période sombre de l'histoire européenne. Durant la seconde guerre mondiale, la SNCF a transporté près de 76.000 de juifs vers les camps de la mort. Seuls 3.000 d'entre eux en sont revenus.
Avec cet accord, l'Etat américain s'engage à immuniser la SNCF contre toutes poursuites judiciaires. Il faut dire que la SNCF était désireuse de déposer des dossiers dans plusieurs Etats dans le cadre d'appels d'offres, mais le risque juridique était devenu un obstacle.
La SNCF n'a pas participé aux négociations
Pour l'ambassadrice française aux Droits de l'homme, Patrizianna Sparacino-Thiellay qui a annoncé cet accord lors d'une visio-conférence de presse, "la SNCF n'a jamais été tenue pour responsable de la déportation. Elle a été un instrument de la déportation. (...) c'est de la responsabilité des autorités françaises" d'en assumer les conséquences, a rappelé la diplomate française. Par conséquent l'entreprise publique SNCF "n'est pas partie dans les discussions (ni) ni dans la mise en oeuvre" de l'accord.
Le parlement français doit encore amender la loi de 1948
L'accord sera officiellement paraphé lundi par Patrizianna Sparacino-Thiellay et le conseiller spécial du secrétaire d'Etat américain John Kerry sur ce dossier, Stuart Eizenstat. Il entrera en vigueur quand le Parlement français l'aura validé sous forme d'amendement à la loi de 1948. Aux Etats-Unis, il s'agit d'un "executive order" qui n'a pas besoin d'être validé par le Congrès.
La Tribune
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b46reich Caporal chef
messages : 174 Inscrit le : 18/07/2012 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Françaises Ven 5 Déc - 21:05
SHOABIZNESS
arsenik General de Division
messages : 4636 Inscrit le : 19/05/2012 Localisation : juste a coté Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Sam 6 Déc - 0:03
b46reich a écrit:
SHOABIZNESS
shoah vole plutot
jf16 General de Division
messages : 41616 Inscrit le : 20/10/2010 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Françaises Sam 6 Déc - 20:57
Citation :
Une rue de Béziers devrait porter le nom du commandant Hélie Denoix de Saint-Marc
Posté dans Histoire militaire par Laurent Lagneau Le 06-12-2014
Le maire de Béziers, Robert Ménard, a l’art et la manière de faire parler de lui en suscitant des polémiques. Ainsi, il entend donner le nom du commandant Hélie Denoix de Saint-Marc à une rue de sa ville. Mais pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de celle du « 19 mars 1962″, date des accords d’Évian.
Les dépêches de presse ne retiennent du commandant Denoix de Saint-Marc que son passé putschiste. En effet, commandant en second du 1er Régiment Étranger de Parachutistes (REP), il participa au putsch des généraux à Alger, en avril 1961. « J’ai préféré le crime de l’illégalité au crime de l’inhumanité », expliquera-t-il dans ses mémoires.
Seulement, le commandant, décédé en août 2013 à l’âge de 91 ans, n’était pas qu’un putschiste. Résistant, déporté à Buchenwald (il fut l’un des 30 survivants d’un convoi de 1.000 prisonniers) et saint-cyrien, il fut marqué par son expérience en Indochine, où il reçut l’ordre d’abandonner un village, le livrant ainsi aux représailles du Vietminh. Cet épisode expliquera beaucoup de choses lors de l’affaire algérienne. Plus qu’un putschiste donc… Hélie Denoix de Saint-Marc incarnait la grandeur et la servitude du militaire. Un thème exploré par le cinéaste Pierre Schoendoerffer (voir le « Crabe-Tambour », inspiré de la vie du commandant Pierre Guillaume)
« Nous nous souvenions des villages abandonnés par nous et dont les habitants avaient été massacrés. Nous nous souvenions des milliers de Tonkinois se jetant à la mer pour rejoindre les bateaux français. Nous pensions à toutes ces promesses solennelles faites sur cette terre d’Afrique. Nous pensions à tous ces hommes, à toutes ces femmes, à tous ces jeunes qui avaient choisi la France à cause de nous et qui, à cause de nous, risquaient chaque jour, à chaque instant, une mort affreuse. Nous pensions à ces inscriptions qui recouvrent les murs de tous ces villages et mechtas d’Algérie : ‘L’Armée nous protégera, l’armée restera’. Nous pensions à notre honneur perdu », plaida-t-il devant le haut tribunal militaire, le 5 juin 1961.
Condamné à 10 ans de prison, grâcié au bout de 5 ans de détention, le commandant Denoix de Saint-Marc avait fini par être réhabilité en 1978 par le président Giscard d’Estaing, puis élevé à la dignité de Grand Croix de la Légion d’Honneur en 2011. Et, lors de son décès, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait publié un communiqué pour lui rendre hommage. Certes en pesant bien ses mots.
« De sa complexité, il faut retenir aujourd’hui la force de son engagement d’officier et la générosité de son dévouement aux hommes dont il était responsable », avait-il écrit, avant d’ajouter : « Par ailleurs, il a su garder à travers les péripéties de l’Histoire [ndlr, donc le putsch d'Alger], un esprit curieux et novateur, notamment dans le dialogue avec l’ancien ennemi allemand, en publiant avec le colonel August Von Kageneck le livre commun ‘Notre histoire, 1922-45′ ».
Pour autant, la décision de l’actuel maire de Béziers, pour qui ce sera « rendre hommage à un héros », fait polémique. Pour certains, notamment les milieux gaullistes, il est impensable de donner le nom d’un « putschiste » à une rue. L’opposition municipale est elle aussi vent debout contre ce projet.
« Juridiquement, il a le droit de faire ça. Mais il s’agit d’une faute politique et morale. Le rôle du maire n’est pas de dresser les uns contre les autres. Il ne faut pas réécrire l’histoire au profit de la frange la plus radicale des partisans de l’Algérie française », a déploré, dans les colonnes de Libération, Jean-Michel du Plaa, président du groupe PS au conseil municipal. « Il ne peut pas effacer le souvenir des appelés pour qui cette date est importante, car elle signe la fin des hostilités, le moment où ils pouvaient rentrer chez eux », a-t-il ajouté.
Quant à la Fédération nationale des anciens combattant d’Algérie, Maroc, Tunisie (Fnaca), la « couleuvre » a du mal à passer, comme l’a affirmé Jean-Pierre Labeur, le président de son comité biterrois, au Midi Libre.
Visiblement, ce n’est pas le choix du nom du commandant Denoix de Saint-Marc qui est remis en cause par la FNACA mais la rue qui doit être rebaptisée. Pour cette fédération (qui s’oppose à d’autres associations de vétérans sur ce sujet), il est en effet impensable de toucher au « 19 mars 1962″, devenue « journée nationale du souvenir à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc » en novembre 2012.
Mais là encore, cette date suscite bien des commentaires… Pour Robert Ménard, « dire que cela marque la fin de la guerre d’Algérie, c’est un pur mensonge historique! Une pure fiction! Il n’y a jamais eu autant de victimes de pieds-noirs et de harkis après. C’est du révisionnisme historique ». Une position qu’il n’est pas le seul à partager. Car la journée d’hommage aux combattants de l’AFN avait été précédemment fixée au 5 décembre par le président Chirac, suite aux recommandations de la commission Favier. Et, officiellement, les opérations ont pris fin le 2 juillet 1962.