Économie marocaine

Rappel du premier message :


maroc-comment-lindustrie-corrige-la-balance-commerciale

http://www.h24info.ma/economie/maroc/maroc-comment-lindustrie-corrige-la-balance-commerciale/23221

juba2 a écrit:

Faux leadlord ,la scolarite est prise d'une partie des impots paye sur chaque valeur de propriete quelle soit construite ,habitable ou il y a rien terrain vierge par an par le citoyen, 100 et 200 par mois c'est la rigolade. la totale des impots depend des etats des villes est de provinces c'est 1 a 2% par an sur la valeur immobiliere et de ses pourcentage l'education prend une part .Si vous etes interesse je vous envoie un snap shot.tu n'as pas a avoir un PIB de milliards mais des impots bien structures par des gens intelligents et qui ont la volonteprogresse leur nation

ici au canada il y a une différence alors , sa revient au même un pourcentage des impôts sa veut dire des impôts plus chères.

Tunisie : Attijari bank 1er réseau bancaire du pays

Citation :

Le 29 décembre dernier, Attijari bank (filiale du Groupe bancaire marocain Attijariwafa bank) a inauguré sa 200ème agence à Sousse.

Et à travers 200 agences modernes et implantées sur tout le territoire tunisien, la banque possède le 1er réseau bancaire du pays, composé d’agences et de centres d’affaires.

http://www.infomediaire.net/news/afrique/tunisie-attijari-bank-1er-reseau-bancaire-du-pays

On devrait peut etre créer un topic dédié aux invests marocain à l'étranger ?

Bonne idée !

http://economie.jeuneafrique.com/regions/maghreb-a-moyen-orient/23834-maroc--la-reprise-cest-bientot.html a écrit:

CONJONCTURE

Maroc : la reprise, c'est bientôt

En 2015, le royaume devrait voir sa croissance accélérer et son déficit budgétaire et commercial se réduire. Mais cela suffira-t-il à inverser la courbe du chômage ?

Alors que le Nigeria et l'Afrique du Sud, deux autres poids lourds économiques du continent, sont en proie à des difficultés, le royaume chérifien envisage 2015 d'un bon oeil. Tous les indicateurs le montrent, cette nouvelle année sera meilleure que la précédente. À commencer par la pluie, véritable baromètre de bonne tenue d'une économie marocaine encore très dépendante du ciel.

"La pluviométrie de ces deux derniers mois a dépassé de 40 % la moyenne nationale. Si elle garde ce rythme, nous allons avoir une excellente année agricole. Ce qui tirera sensiblement la croissance du pays", soutient un haut responsable du ministère de l'Économie et des Finances. Pas étonnant quand on sait que le secteur agricole fait vivre près de la moitié de la population marocaine et participe à hauteur de 14 % à la valeur ajoutée nationale.

Autre indicateur qui pousse à l'optimisme : la reprise des activités commerciales et industrielles. D'après les chiffres publiés en novembre par l'Observatoire international du commerce de l'assureur Euler Hermes, les exportations marocaines devraient augmenter en valeur de 3,6 % par rapport à 2014 et atteindre 240 milliards de dirhams (21,6 milliards d'euros) l'an prochain. Une progression qui sera portée par la demande indienne et chinoise, mais aussi celle d'Afrique subsaharienne.

Au total, le Maroc devrait enregistrer une croissance globale de 4,4 % l'année prochaine, selon le projet de la loi de finances. Soit deux points de plus que ces deux dernières années. C'est bien mieux, mais cela reste insuffisant pour renverser la courbe du chômage, dont le taux vient de dépasser la barre symbolique des 10 %.

"Le nombre de chômeurs dépasse 1 million, sachant que 180 000 personnes s'ajoutent chaque année à la masse des demandeurs d'emplois. Pour résorber le chômage, l'économie marocaine doit progresser d'au moins 7 % chaque année. On en est encore très loin", regrette l'économiste Redouane Mfadel.

Courageux

Cette croissance reste aussi bien en deçà des ambitions des pouvoirs publics, qui souhaitent faire entrer le Maroc dans le club des pays émergents. "On ne peut pas prétendre à ce statut avec une activité économique dépendant encore de la pluie. Et une industrie qui détruit toujours des emplois", lance le spécialiste.

L'année 2015 verra aussi le rétablissement des déficits jumeaux du pays. Celui du budget, qui culminait il n'y a même pas trois ans à 7,2 %, tombera, selon les prévisions de la loi de finances, à 4,3 % en 2015. Résultat de la suppression courageuse, mais impopulaire, des subventions publiques aux hydrocarbures en 2014.

"L'État ne déboursera pas un seul dirham pour soutenir les prix des hydrocarbures en 2015. Cela coïncide avec la baisse des cours du pétrole, et c'est tant mieux", indique le même haut responsable du ministère de l'Économie et des Finances.

Cette baisse des cours du pétrole aura également un impact très positif sur le déficit de la balance commerciale, qui représentait jusque-là un très grand risque pour l'économie du pays. "Le Maroc importe 90 % de l'énergie dont il a besoin. Cette baisse des cours va certainement alléger notre facture pétrolière et, de facto, réduire sensiblement notre déficit commercial."

Le redressement est déjà visible cette année : le stock de devises du royaume, qui fondait comme neige au soleil depuis 2010, couvre désormais plus de cinq mois d'importations. Dans ces conditions, le Maroc pourrait bien se passer de la ligne de précaution et de liquidité de 5 milliards de dollars (4 milliards d'euros) ouverte (et renouvelée) par le Fonds monétaire international en juillet...

Coïncidence heureuse...

Citation :

Pêche : les industriels marocains innovent

http://economie.jeuneafrique.com/entreprises/entreprises/agro-industrie/23773-peche-les-industriels-marocains-innovent.html

Les gars, je ne sais pas où écrire, donc je vais écrire ici.

Aujourd'hui, dans un magasin, j'ai vu jus de Marrakech, vous commencez à nourrir la Russie (dans les moments difficiles, sanctions).

La Russie est un marché a ne pas négliger

WRANGEL a écrit:

La Russie est un marché a ne pas négliger

On viit bien les dégâts de 2011

Une bonne nouvelle pour le secteur de logistique marocain.

http://economie.jeuneafrique.com/index.php?option=com_content&view=article&id=23964

klia a écrit:

Le Maroc met en avant son modèle unique dans la région

Ecris comme tout le monde

Comme je le disait sur un autre topic. Si on va vers une période plus ou moins longue de prix de l'énergie bas, je pense vraiment qu'une véritable fenetre est grande ouverte pour nous. On a des concurrents (Tunisie-Egypte) qui ont du mal a repartir mais je pense qu'ils vont repartir assez rapidement. Et la on a des prix énergétique bas, il y a vraiment une opportunité pour accélérer l'industrialisation du Maroc et la montée en puissance de ses principaux secteur économique (agriculture, tourisme, services, artisanat, etc). On a 2-3 ans pour franchir le cap qui permettra à l'économie marocaine d'atteindre une taille critique pour devenir un pays émergent. Si on ne fait rien on aura rater le rendez vous avec l'Histoire. Surtout que l'actuel situation du Maroc n'est pas celle des années 80 ( pas de guerre au Sahara, pas de PAS, pas de prix de phosphate au rabais, et les Métiers Mondiaux qui se développe)

RED BISHOP a écrit:

Comme je le disait sur un autre topic. Si on va vers une période plus ou moins longue de prix de l'énergie bas, je pense vraiment qu'une véritable fenetre est grande ouverte pour nous. On a des concurrents (Tunisie-Egypte) qui ont du mal a repartir mais je pense qu'ils vont repartir assez rapidement. Et la on a des prix énergétique bas, il y a vraiment une opportunité pour accélérer l'industrialisation du Maroc et la montée en puissance de ses principaux secteur économique (agriculture, tourisme, services, artisanat, etc). On a 2-3 ans pour franchir le cap qui permettra à l'économie marocaine d'atteindre une taille critique pour devenir un pays émergent. Si on ne fait rien on aura rater le rendez vous avec l'Histoire. Surtout que l'actuel situation du Maroc n'est pas celle des années 80 ( pas de guerre au Sahara, pas de PAS, pas de prix de phosphate au rabais, et les Métiers Mondiaux qui se développe)

faut régler le problème de l'administration, c'est la priorité des priorités.

Une administration moderne, efficace loin de la bureaucratie va donner confiance et va booster l'investissement local et étranger

.

Pour ceux qui aiment les chiffres.

http://ieconomics.com/morocco-economy

ils donnent 2.500 dollars de PIB par habitant en 2013 cest faux

Meme Boussaid pense encore que notre PIB est de moins de 1000 milliards de dirhams. Je pense qu'il faut juste taper sur ce sujet encore et encore jusqu'à ce que tout le monde comprenne que le PIB est au moins le double de ce chiffre.

On ne peut pas nous dire que la moitié de notre économie est ds l'informelle (pas illégale juste non reglementéé) et croire que notre PIB donne une representation réelle de notre situation economique.

L'agriculture ne paye pas d'impots et les petits agriculteurs (qui utilisent les reseaux de distibution traditionnels) ne sont pas du tout comptabilisés.

Les ecoles privées ainsi que les cliniques ne sont pas controlées et ne payent pas d'impots. Perssonne ne sait quelle est leurs contribution à la richessse du pays.

Les professions liberales qui ne sont pas du tout controlés et dont nous ne connaissons pas la contribution à la richesse du pays.

Les importations qui sont surevaluées pour réduire le profit des entreprises (et donc les benefices imposables).

Les exportations qui sont sous-evaluées pour les memes raisons.

Les filliales etrangeres qui ne ramenent jamais leurs profits au Maroc.

Tout le travail non déclaré par les entreprises et par les personnes. Combien de bonnes sont déclarées?

Sans parler de ce qui n'est pas légale et qui devrait etre ajouté au calcul du PIB malgré tout (comme en Grande Bretagne et een Italie).

On cherche à calculer la contribution immaterielle alors que nous ne sommes meme pas capable de calculer correctement la contribution materielle

Je suis d'accord

alphatango a écrit:

Meme Boussaid pense encore que notre PIB est de moins de 1000 milliards de dirhams. Je pense qu'il faut juste taper sur ce sujet encore et encore jusqu'à ce que tout le monde comprenne que le PIB est au moins le double de ce chiffre.

On ne peut pas nous dire que la moitié de notre économie est ds l'informelle (pas illégale juste non reglementéé) et croire que notre PIB donne une representation réelle de notre situation economique.

L'agriculture ne paye pas d'impots et les petits agriculteurs (qui utilisent les reseaux de distibution traditionnels) ne sont pas du tout comptabilisés.

Les ecoles privées ainsi que les cliniques ne sont pas controlées et ne payent pas d'impots. Perssonne ne sait quelle est leurs contribution à la richessse du pays.

Les professions liberales qui ne sont pas du tout controlés et dont nous ne connaissons pas la contribution à la richesse du pays.

Les importations qui sont surevaluées pour réduire le profit des entreprises (et donc les benefices imposables).

Les exportations qui sont sous-evaluées pour les memes raisons.

Les filliales etrangeres qui ne ramenent jamais leurs profits au Maroc.

Tout le travail non déclaré par les entreprises et par les personnes. Combien de bonnes sont déclarées?

Sans parler de ce qui n'est pas légale et  qui devrait etre ajouté au calcul du PIB malgré tout (comme en Grande Bretagne et een Italie).

On cherche à calculer la contribution immaterielle alors que nous ne sommes meme pas capable de calculer correctement la contribution materielle

la masse monétaire progressent au même rythme que le PIB. La banque du Maroc peut facilement faire une estimation du PIB

.

La preuve par l'amnistie fiscale, une partie de la masse monétaire n'est plus dans le pays. Le PIB actuel est au moins à majorer de 30/40%

PGM a écrit:

La preuve par l'amnistie fiscale, une partie de la masse monétaire n'est plus dans le pays. Le PIB actuel est au moins à majorer de 30/40%

Les devises oui, sinon son équivalent en dirhams est bel est bien éjecter par BankAlMgherb dans l’économie.

La Banque du Maroc peut faire une estimation du PIB avec + au- 15% de précision.

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