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 Guerre civile au Yémen

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MessageSujet: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeDim 21 Sep 2014 - 14:48

Rappel du premier message :

Mauvaise rumeur venant du Yémen. Les Houthis Chiites seraient entrain de lancer une offensive vers la capitale Sana'a. Sans parlé de l'AQPA qui a conquit des villes dans le sud Sunnite.
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General Dlimi
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeLun 6 Avr 2015 - 18:21

Des informations sur notre armée sur place ? 6 F-16 apparement.
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arsenik
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeLun 6 Avr 2015 - 18:53

General Dlimi a écrit:
Des informations sur notre armée sur place ? 6 F-16 apparement.


va voir le topic guerre

https://far-maroc.forumpro.fr/t4039-intervention-militaire-contre-les-houthis-decisive-storm

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General Dlimi
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeLun 6 Avr 2015 - 19:26

arsenik a écrit:
General Dlimi a écrit:
Des informations sur notre armée sur place ? 6 F-16 apparement.


va voir le topic guerre

https://far-maroc.forumpro.fr/t4039-intervention-militaire-contre-les-houthis-decisive-storm
Thanks !
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeMer 8 Avr 2015 - 19:23

Citation :

Yémen-Aqpa offre 20 kg d'or pour la capture du chef des Houthis

DUBAI, 8 avril (Reuters) - Dans une vidéo diffusée sur internet, Al Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) offre vingt kilos d'or à qui ramènera morts ou vifs le chef des miliciens chiites houthis Abdel-Malek al Houthi et son allié l'ancien président yéménite Ali Abdallah Saleh, rapporte mercredi le service de surveillance SITE.

Les Houthis et leurs alliés, des militaires restés fidèles à Saleh, ont pris en septembre le contrôle de la capitale yéméniteSanaa et tentent actuellement de prendre Aden, le grand port du sud du pays, malgré les frappes aériennes de la coalition sunnite conduite par l'Arabie saoudite.

Les islamistes d'Aqpa, eux, cherchent à profiter du chaos pour renforcer leurs positions dans le pays.
http://www.challenges.fr/monde/20150408.REU7491/yemen-aqpa-offre-20-kg-d-or-pour-la-capture-du-chef-des-houthis.html

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“Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert Einstein.
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annabi
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeDim 12 Avr 2015 - 0:32

Citation :
Yémen : une faillite américano-saoudienne


Pendant deux décennies, la Somalie a constitué l’exemple presque chimiquement pur d’un Etat failli. Des autorités centrales dépourvues de légitimité, n’exerçant qu’un contrôle marginal sur un territoire abandonné à des milices islamo-mafieuses. Des populations forcées au déplacement et à l’exil par les violences et un sous-développement endémique. La guerre ponctuellement alimentée par des pays voisins.
En face de la Corne de l’Afrique, le Yémen est à ce point de bascule qui pourrait le faire passer de la catégorie des Etats faibles à celui des Etats déliquescents. Il pourrait alors devenir le cauchemar de ceux qui y ont opéré au cours des dernières années, à commencer par les Etats-Unis et l’Arabie saoudite, en favorisant l’implantation des ennemis qu’ils entendent pourtant y combattre : les djihadistes d’Al-Qaida et de l’Etat islamique, et la République islamique d’Iran.
Le 27 mars, le porte-parole de la Maison Blanche, Josh Earnest, l’a rappelé d’une manière brutale. « La stratégie que l’administration a poursuivie au Yémen n’est pas une stratégie d’édification d’une nation, mais de contre-terrorisme », a-t-il assuré. Depuis l’attaque d’Al-Qaida contre le destroyer USS-Cole, en 2000, les Etats-Unis font la guerre aux groupes djihadistes yéménites à grand renfort de tirs de drones Predator.
Cette guerre produit des résultats statistiques qui ont poussé Barack Obama à la qualifier de succès le 10 septembre 2014, mais aucun gain territorial. Qui pourrait affirmer aujourd’hui, alors que l’Etat islamique, absent jusqu’alors, vient de revendiquer ses premiers attentats à Sanaa, que les groupes djihadistes sont plus faibles qu’en novembre 2002, date du premier assassinat par missile Hellfire interposé ?

Choix discutables

Le déluge de feu déclenché depuis le 26 mars par Riyad avec la bénédiction de Washington pour mettre un terme à l’avancée des milices houthistes, de confession zaïdite, une variante du chiisme, se prête à la même analyse. L’Arabie saoudite était déjà passée à l’attaque en 2009 contre ces groupes armés, alors cantonnés dans les montagnes du nord-ouest du pays. Les résultats de cette offensive avaient été assez piteux pour provoquer la disgrâce du prince Khaled bin Sultan bin Abdelaziz, le vice-ministre de la défense. Six ans plus tard, voici les mêmes milices maîtresses du territoire de l’ancien Yémen du Nord et installées dans les faubourgs d’Aden, la capitale sudiste.
Washington et Riyad subissent aujourd’hui les conséquences de choix discutables. Les Etats-Unis ont privilégié l’endiguement des groupes djihadistes en se reposant sur un régime usé par trente années de funambulisme politique, le président Ali Abdallah Saleh navigant au gré des alliances possibles, parfois contradictoires. Riyad a toujours souhaité disposer d’un Yémen faible à sa porte, jouant des ressorts tribaux ou du sentiment séparatiste toujours vivace dans l’ancien Yémen du Sud pour le brider.
L’un comme l’autre ont fait l’impasse sur ce qui mine le pays aussi sûrement qu’un factionnalisme que la transition engagée après la mise à l’écart du président Saleh en novembre 2011 n’a pas été en mesure de juguler : l’état de sous-développement accentué par une croissance démographique qui sollicite dramatiquement des ressources naturelles déjà passablement surexploitées (à commencer par l’eau, qui manquera dans la capitale yéménite dans dix ans) et une corruption qui a placé l’économie du pays dans les mains de quelques-uns. Les riches pays du Golfe n’ont cessé de tenir le Yémen à la marge au lieu de l’aider, et les « Amis du Yémen », coalition de bonnes volontés naguère pilotée par Londres, sont aux abonnés absents.

Prophétie autoréalisatrice

C’est sur le sentiment d’abandon par rapport à une élite politique, militaire et tribale s’entre-déchirant pour le pouvoir et ses prébendes que le mouvement houthiste a prospéré en dehors de son bastion montagneux au moins aussi sûrement que par sa combativité. Il est apparu comme un nouveau mouvement des déshérités, capable de ramener l’ordre, ce qui explique les sympathies qu’il s’est attirées et la rapidité de sa progression, vers la capitale yéménite tout d’abord, en septembre 2014, puis vers le sud à partir de février. Il est peu probable que les frappes saoudiennes, avec leur cortège de dommages collatéraux (un autre point commun avec les opérations américaines) modifient cette donnée essentielle.
Aux choix hasardeux du passé s’ajoute désormais une lecture des conflits qui minent le Yémen relevant de la prophétie autoréalisatrice : l’extension du domaine de la guerre entre chiites et sunnites qui irradie un axe de pays défaillants, de Bagdad à Beyrouth. Il ne saurait être question de sous-estimer la composante religieuse de la rébellion lancée en 2003 par Hussein Badreddin Al-Houthi. Elle avait été provoquée en grande partie par la poussée salafiste soutenue par le régime dans la place forte du zaïdisme, Saada. Mais la coexistence a longtemps été la norme entre zaïdites et sunnites.
La relativité de cette fracture se vérifie avec l’ancien président Saleh. De confession zaïdite lui-même, il a été l’instigateur des six « sales » guerres conduites contre les houthistes de 2004 à 2010. Une fois écarté, il n’a pas hésité à nouer une alliance avec ses anciens ennemis pour tenter d’évincer son successeur, Abdel Rabbo Mansour Hadi, un ancien sudiste aujourd’hui réfugié en Arabie saoudite. Dans un pays surarmé comme l’est le Yémen, le rôle de l’Iran a probablement été assez relatif jusqu’à présent. Mais il ne cessera de grandir si le conflit relancé par l’intervention des pays du pacte sunnite scellé au Caire s’enkyste.
Pour l’ancienne Arabie heureuse, les conséquences immédiates seraient dramatiques. Une crise humanitaire sans possibilité d’intervention extérieure dans un pays réduit à une addition de milices et de bandes armées.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/04/07/une-faillite-americano-saoudienne_4610823_3232.html#k4wK1uY0R5fj5ruB.99


http://www.lemonde.fr/idees/article/2015/04/07/une-faillite-americano-saoudienne_4610823_3232.html
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kurahee
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeLun 13 Avr 2015 - 23:19

Citation :
L’Iran accusé d’ingérence au Yémen
Guerre civile au Yémen - Page 7 4613631_6_c154_mohammad-javad-zarif-le-9-avril-a-islamabad_6a9a9b9ee00ac8c950e2fa640be49f48
mohammad javad zarif le 9 avril à islamabad

Le ton monte contre l’Iran, suspecté d’ingérence auprès de la rébellion chiite houthiste au Yémen. Dimanche 12 avril, le ministre des affaires étrangères saoudien, le prince Saoud Al-Fayçal, a exhorté Téhéran à faire le nécessaire pour « ne pas aider les activités criminelles des houthistes contre le régime légitime du Yémen », les appelant notamment à « arrêter la livraison d’armes. » Trois jours plus tôt, le chef de la diplomatie américaine avait lui aussi pointé un doigt accusateur en direction de l’Iran, offrant aux puissances sunnites une justification à leur intervention militaire au Yémen lancée le 26 mars pour mettre fin à « l’ingérence » iranienne. « L’Iran doit savoir que les Etats-Unis ne resteront pas les bras croisés alors que la région est déstabilisée et que certains lancent une guerre ouverte à travers les frontières internationales des autres pays », a déclaré John Kerry.
Un soupçon ancien

Dès juillet 2012, le président yéménite Abd Rabo Mansour Hadi dénonçait les interventions de l’Iran en faveur de la rébellion houthiste, encore cantonnée dans son fief du nord du pays, l’accusant d’être derrière les envois d’armes interceptées sur des navires venus du port érythréen d’Assab. L’ouverture d’une ligne aérienne directe entre Téhéran et Sanaa, après la prise de la capitale par les houthistes en septembre 2014, a renforcé les soupçons, tout autant que la multiplication des visites de chefs rebelles houthistes en Iran pour assister à des séminaires. « Les accusations d’intrusions de pasdarans, les gardiens de la révolution iraniens, n’ont jamais été confirmées, même s’il y a de forts soupçons. Ce qui est avéré, c’est l’arrivée, ces derniers mois, d’un nombre conséquent de cadres du Hezbollah libanais pour apporter l’expertise acquise en guerre asymétrique », indique David Rigoulet-Roze, chercheur à l’Institut français d’analyse stratégique.

L’Iran n’a cessé de dénoncer les « accusations sans fondement » des monarchies sunnites, les renvoyant à leurs propres « interférences ». Dans un discours télévisé, le Guide suprême de la révolution iranienne, l’ayatollah Ali Khamenei, a dénoncé jeudi « l’agression saoudienne au Yémen », l’accusant de « génocide » contre un « peuple innocent. » Le président iranien Hassan Rohani a renchéri en critiquant l’Arabie saoudite, qui répéterait au Yémen les « erreurs » commises au Liban, en Syrie, en Irak en attisant les rivalités entre chiites et sunnites. « Réfléchissons à ramener les Yéménites à la table des négociations pour qu’ils décident de leur avenir », a-t-il plaidé, alors que le ministre des affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, propose de faciliter des négociations de paix visant à former un gouvernement inclusif.

Guerre civile au Yémen - Page 7 4613632_6_f641_le-navire-de-guerre-alborz-le-7-avril-dans_a56df9bcfe0dd9a46a696e03ef39ac2d
le navire de guerre "alborz" le 7 avril dans le detroit d'Ormuz

Lutte d’influence

Le conflit yéménite constitue un nouveau front dans la guerre d’influence que se livrent les deux puissances dans la région. Bien qu’ils s’en défendent tous deux. Dans une rhétorique savamment orchestrée, mais qui peine à convaincre, l’Iran évite les écueils d’un discours opposant sunnites et chiites au profit d’un appel au « réveil islamique », la résistance des peuples libres face à l’impérialisme des Etats-Unis et de ses alliés régionaux, l’Arabie saoudite et Israël. Une rhétorique dont Téhéran a usé auprès de la Turquie et du Pakistan dans le but de briser le consensus sunnite autour de l’intervention au Yémen et, avec lui, son propre isolement régional.

« Nous ne sommes pas en guerre avec l’Iran sauf si l’Iran a soudainement changé de position géographique. Nous sommes en guerre au Yémen qui a demandé notre intervention », a cru bon de souligner pour sa part, dimanche, le prince saoudien Saoud Al-Fayçal. Les monarchies sunnites ne cessent pourtant d’agiter la menace d’une déstabilisation de leurs royaumes par l’Iran, à l’image des actions perpétrées dans les années 1980 et 1990 par des groupes terroristes soutenus par Téhéran. « L’idée de répandre la révolution islamique a vécu, tempère François Nicoullaud, ancien ambassadeur de France à Téhéran. Ce sont des querelles d’Etat. Les Iraniens s’emparent des opportunités et s’installent dans le chaos existant. »
Redistribution des cartes

Le rôle croissant que joue Téhéran au Liban, en Syrie et en Irak, et son rapprochement avec les Etats-Unis autour des négociations sur le nucléaire, sont vus par les puissances sunnites comme une dangereuse montée en puissance du rival perse. Pour sa part, « l’Iran réagit à 35 ans de développement saoudien dans le Golfe en faisant tout ce qui peut être une épine dans le pied des Saoudiens », note Bernard Hourcade, spécialiste de l’Iran. L’expansion des groupes djihadistes sunnites tels qu’Al-Qaida et l’Etat islamique a renforcé le sentiment d’encerclement de l’Iran. « Depuis la guerre en Syrie et en Irak, les pasdarans ont le sentiment de faire face à une stratégie d’agression de l’Arabie saoudite par l’intermédiaire des groupes djihadistes. Les plus virulents veulent rendre coup pour coup », souligne le chercheur Thierry Coville.

L’annonce de l’envoi, mercredi, de deux navires de guerre iraniens au large du Yémen, officiellement pour protéger la marine marchande de la menace des pirates, s’apparente davantage à un nouveau pied-de-nez à la coalition arabe, qui impose un blocus maritime et aérien, qu’à une déclaration de guerre.
Risques d’escalade

« La guerre par procuration entre l’Arabie saoudite et l’Iran a glissé vers une guerre de plus en plus ouverte depuis le conflit syrien. Aucun ne veut faire du Golfe un champ de bataille mais, comme pour la guerre de 14-18, il y a des logiques d’alliance qui peuvent échapper aux acteurs », estime le spécialiste Olivier Roy.

Le sentiment de lâchage des monarchies sunnites par l’allié américain accentue la fuite en avant saoudienne. Le Guide suprême iranien n’a pas manqué de railler l’inhabituel manque de « sang-froid » de Riyad et « l’approche sauvage » de « quelques jeunes hommes inexpérimentés », allusion à peine voilée au fils du roi Salman, le ministre de la défense Mohammed Ben Salman.

L’Iran a fait le pari de l’enlisement des monarchies sunnites au Yémen. L’Arabie saoudite, a averti le dirigeant suprême iranien, ne sortira pas victorieuse de ce conflit. L’incapacité de la coalition arabe à endiguer l’avancée houthiste et l’expansion d’Al-Qaida dans la péninsule Arabique, à rallier les alliés sunnites sur le terrain et à épargner les populations civiles joue en faveur des houthistes et de Téhéran.

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/04/10/les-etats-unis-denoncent-le-jeu-de-l-iran-au-yemen_4613633_3218.html
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeDim 26 Avr 2015 - 19:10

Citation :
«Nous sommes arrivés» : le réseau de Daesh au Yémen a diffusé la première vidéo menaçant les Houthis
Daesh a déclaré sa présence officielle au Yémen dans une vidéo où ils menacent de «couper les gorges» aux rebelles houthis actuellement en guerre contre le gouvernement central et la coalition arabe.

Comme la plupart de vidéos de Daesh, la vidéo de neuf minutes a été filmée professionnellement et bien montée – avec des combattants et une musique entraînante en arrière-plan.

Elle montre environ deux dizaines de combattants de Daesh avec tout l’équipement militaire s’entraînant dans une zone déserte qui serait située près de la capitale yéménite Sanaa.

Les djihadistes portent des kalachnikovs, des mitrailleuses lourdes et des lance-roquettes. Ils laissent échapper quelques tirs pendant l’enregistrement.

Après cela, le commandant apparent du groupe enfonce un drapeau noir de l’EI dans le sable et déclare que «les soldats du Califat» sont arrivés au Yémen pour «couper la gorge» aux Houthis.

«Nous sommes arrivés au Yémen avec des gens assoiffés de votre sang pour venger les sunnites et reprendre la terre qu’ils occupent», menace le commandant de Daesh dans la vidéo.
Ensuite, il appelle tous les sunnites en bonne santé à le rejoindre dans la lutte contre les Houthis.

La vidéo a été diffusée sur Internet vendredi, un jour après qu’une branche de Daesh fraîchement annoncée, le Brigade verte, a pris la responsabilité d’une attaque meurtrière contre les rebelles shiites.

Mercredi, cinq miliciens houthis ont été tués dans un attentat à la voiture piégée dans la province d’Ibb au centre du Yémen.

C’était la seconde attaque revendiquée Daesh dans le pays après que 142 personnes ont été tuées et 350 blessées dans une série des attentats-suicides à Sanaa le 20 mars.

Les sunnites de Daesh et d’Al-Qaïda qui était traditionnellement le groupe djihadiste dominant au Yémen considèrent les Houthis shiites comme des hérétiques.

En savoir plus : Al-Qaïda s’est emparé d’une base militaire dans le sud-est du Yémen

Les rebelles houthis ont pris le contrôle de Sanaa en septembre 2014, forçant le président sunnite Abd Rabo Mansour Hadi à fuir en Arabie Saoudite. La ville portuaire stratégique d’Aden est encore disputée à l’heure actuelle.

L’Arabie saoudite et ses allés sunnites effectuent  des bombardements contre les rebelles shiites depuis le 25 mars, plus de 550 civils ont été tués depuis le début des raids aériens, selon les estimations de l’ONU.

http://francais.rt.com/international/1957-daesh
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeMar 16 Juin 2015 - 0:00

plusieurs sources crédibles annoncent la mort de Nasir al-Wahishi, n°1 d'AQPA, dans une frappe de drone US au Yémen . Si l'information de la mort de Nasir al-Wahish était confirmée, il serait le 6e haut-responsable d'AQPA éliminé en seulement 4 mois.

Romain Caillet
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeMer 17 Juin 2015 - 22:35

photos d'exécutions "d'agents des américains impliqués dans la frappe de drone qui a tué al-Anssi "
d'AQPA
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Adam
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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeMer 31 Mar 2021 - 20:01

Brookings a écrit:

The end of Yemen


Six years ago today, Saudi Arabia announced the beginning of Operation Decisive Storm from Washington, DC. Riyadh said the initial airstrikes were designed to push the rebel Houthis out of Yemen’s capital of Sanaa and restore interim President Abdu Rabbu Mansour Hadi to power. The war, which Saudi Arabia told Obama administration officials would take about “six weeks,” has not gone according to plan. Saudi Arabia has not achieved any of its military objectives in Yemen. President Hadi remains in exile, his government is weak and in disarray, and the Houthis are stronger now than they were when the fighting began.

Indeed, after six years of war, thousands of missiles and bombs, hundreds of thousands of deaths, and the world’s worst humanitarian crisis, Yemen has fractured to the point that it is unlikely ever to be reconstituted as a single state. Nor will the country revert to a pre-1990 north-south division. Instead of one or two Yemens, there are now multiple Yemens, tiny statelets and zones of control held by an expanding number of armed groups, all of which have different goals and trajectories.

The seven Yemens


In the northern highlands, where much of Yemen’s population lived prior to the war, the Houthis hold sway. In 2015, Saudi Arabia decided it had to intervene militarily to prevent the Houthis from becoming a Hezbollah-like group — backed and armed by Iran — on its southern border. But the war has only driven the Houthis and Iran closer together. Iran smuggles missile components to the Houthis, provides them with trainers, and supports them economically. In 2019, the Houthis named an ambassador to Iran, and the following year Iran reciprocated, installing Hassan Irloo, a member of the Islamic Revolutionary Guard Corps (IRGC), as its ambassador in Sanaa.

When Saudi Arabia intervened in 2015, the Houthis ruled the highlands in partnership with former Yemeni President Ali Abdullah Saleh. The two had been enemies: The Houthis and Saleh fought six wars against one another between 2004 and 2010. While they distrusted one another, they made common cause against Hadi and the Saudis. Over time, and thanks to a poorly conceived U.N. sanctions regime, which disproportionately weakened Saleh’s network, the Houthis were able to outmaneuver their domestic rival, eventually killing Saleh in December 2017. Since then, the Houthis have embarked upon an ambitious program of restructuring governance in areas under their control, which is designed to make removing the Houthis and re-unifying Yemen impossible.

Along the Red Sea coast, Saleh’s nephew, Tariq Saleh, heads a group of fighters, backed by Saudi Arabia and the United Arab Emirates (UAE), who are positioned against the Houthi frontlines in Hudaydah.

Further inland in Taiz, the conflict is largely between members of the anti-Houthi alliance. The Houthis hold the northern part of the governorate, but Islah, a political party with ties to the Muslim Brotherhood, has won the battle within the anti-Houthi alliance, defeating rival fighters from the 35th Armored Brigade and the Abu al-Abbas group for control of the city of Taiz and much of the countryside south of the city.

The secessionist-minded Southern Transitional Council (STC) holds the southern port city of Aden after pushing Hadi’s forces out in August 2019. The STC and its affiliated military units are backed by the UAE, which opposes Islah based on its ties to the Muslim Brotherhood.

North of Aden, another UAE-backed group, the Salafi-led Giants Brigades, is active in Lahj. Many of these fighters favor secession as well, just not STC-led secession.

In Marib, the site of the current Houthi offensive, Islah is in charge. Hadramawt is split between the UAE-backed Hadrami Elite Forces, who control the coast, and Islah-affiliated units in the interior.

In al-Mahra, on Yemen’s eastern border, Saudi Arabia and Oman are playing a not-so-secret game for influence with local tribes. Saudi Arabia has built up its military presence on the Omani border, establishing at least two dozen bases over the past three years and recruiting locals for paramilitary groups. Oman, which sees al-Mahra as within its sphere of influence, has grown increasingly concerned with the Saudi military presence on its border and is working to undermine it. The STC has control of the island of Socotra, and Hadi’s units hold Yemen’s “triangle of power,” the oil and gas fields of Marib, Shabwa, and Hadramawt.

Yemen will not be put back together again


None of these various armed groups — whether Hadi’s forces, the Houthis, or the STC — are strong enough to impose their will on the rest of the country. Yet nearly all of these groups possess enough men and munitions to act as a spoiler to any national peace deal they feel does not adequately address their interests. More concerning still is the fact that the longer the fighting continues, the more armed groups are likely to emerge. The STC didn’t exist in 2015; today it holds Hadi’s temporary capital of Aden.

Combine that with the fact that Yemen has a shrinking economic pie — exports are largely limited to the oil and gas fields in Marib, Shabwa, and Hadramawt — and the recipe is in place for years of conflict to come. In the future, more and more groups will be fighting over fewer and fewer resources. This is already on display in Marib. The Houthis know that in order to survive as an independent state in the highlands they will need export revenue. This calculation is a major reason for the Houthis’ latest offensive, which is aimed at both the city of Marib as well as the surrounding oil fields.

None of the various peace efforts — whether the U.N. or U.S. special envoys, or Saudi Arabia’s latest offer of a ceasefire — seem to understand this. The Houthis do not want to be part of a state; they want to be the state. They are not about to give up at the bargaining table what they believe they have won on the battlefield.

Even if the Houthis and the STC were willing to negotiate to be part of a restructured Yemeni state, there is no guarantee that, at this late date, the state could actually be put back together. Thanks to a shortsighted decision by Hadi to split Yemen’s Central Bank in 2016, the country has two separate economies. The Yemeni Riyal trades at one rate in Houthi-controlled Sanaa and another in STC-controlled Aden. Newly printed riyal bills, which were issued by Hadi’s government, are banned in Houthi areas.

Yemen’s fragmentation raises a number of challenges for the United States. The U.S. isn’t going to recognize all of the different warlords and armed groups that hold sway on the ground in Yemen. But for a variety of reasons, from counterterrorism to humanitarian and refugee concerns to Red Sea shipping lanes, the U.S. is going to have to deal with many of them.

The nation-state system is the key building block of diplomacy, international relations, and national security. The United States, like most countries, is set up to deal with other nation-states. The military prefers to work “by, with, and through” local partners. But what happens when there is no partner on the other side, when the gulf between what Yemen’s internationally recognized government claims and what it actually controls becomes so great the fiction of a single state finally collapses?

The answer isn’t clear, but increasingly in countries like Yemen, Syria, and maybe even Libya, it is a question the U.S. is going to have to solve.

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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeMer 26 Mai 2021 - 20:56

Independent a écrit:

Mysterious air base built on volcanic island off Yemen


Runway allows whoever controls it to easily launch airstrikes into mainland Yemen and provides base for operations in Red Sea, Gulf of Aden and East Africa


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A mysterious air base has been built on a volcanic island off Yemen that could allow whoever controls it to project power in one of the world’s most crucial maritime checkpoints for both energy shipments and commercial cargo.

While no country has claimed the Mayun Island air base in the Bab el-Mandeb Strait, shipping traffic associated with a prior attempt to build a massive runway across the 5.6km (3.5 mile)-long island years ago links back to the United Arab Emirates.

Military officials in Yemen's internationally recognised government have said the Emiratis are behind this latest effort as well, even though the UAE announced in 2019 it was withdrawing its troops from a Saudi-led military campaign battling Yemen's Houthi rebels, the Associated Press reported.

The military officials said recent tension between the UAE and Yemen’s president, Abed Rabbo Mansour Hadi, came in part from an Emirati demand for his government to sign a 20-year lease agreement for Mayun. Emirati officials have not acknowledged any disagreement.

"This does seem to be a longer-term strategic aim to establish a relatively permanent presence," Jeremy Binnie, the Mideast editor at the open-source intelligence company Janes who has followed construction on Mayun for years, told the Associated Press. It is "possibly not just about the Yemen war and you've got to see the shipping situation as fairly key there."

The runway on Mayun Island allows whoever controls it to easily launch airstrikes into mainland Yemen, which has been wrecked by years of civil war. It also provides a base for any operations into the Red Sea, the Gulf of Aden and nearby East Africa.

Satellite images from Planet Labs Inc showed heavy construction vehicles building a 1.85km (6,070-foot) runway on the island on 11 April. By 18 May, the work appeared complete, with three hangars constructed on a tarmac just south of the runway.

Such a runway can accommodate attack, surveillance and transport aircraft, while an earlier effort which began toward the end of 2016 and was later abandoned saw workers try to build an even-larger runway over 3km (9,800ft) long, which would allow for the heaviest bombers.

The initial, failed construction project came after Emirati and allied forces retook the island from Iranian-backed Houthi militants in 2015. By late 2016, satellite images showed construction underway there.

Construction initially stopped in 2017, likely when engineers realised they could not dig through a portion of the volcanic island's craggy features to incorporate the site of the island's old runway.

The building restarted in earnest on the new runway site around 22 February, satellite photos show, several weeks after the US president, Joe Biden, announced he would end US support for the Saudi-led offensive against the Houthis.

The apparent decision by the Emiratis to resume building the air base comes after the UAE dismantled parts of a military base it ran in the East African nation of Eritrea as a staging ground for its Yemen campaign.

Mayun, also known as Perim Island, sits some 3.5km (two miles) off the southwestern edge of Yemen. World powers have recognised the island's strategic location for hundreds of years, especially with the opening of the Suez Canal linking the Mediterranean and Red Seas.

Britain kept the island up until its departure from Yemen in 1967. The Soviet Union, allied with South Yemen's Marxist government, upgraded Mayun's naval facilities but used them "only infrequently," according a 1981 CIA analysis.

The base still may interest American forces, however, as US troops operated from Yemen's al-Anad Air Base running a campaign of drone strikes targeting al-Qaida in the Arabian Peninsula until the Houthi advance forced them to withdraw in 2015. The Defense Department later acknowledged on-the-ground American troops supported the Saudi-led coalition around Mukalla in 2016. Special forces raids and drones also have targeted the country.

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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeVen 3 Sep 2021 - 20:44


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MessageSujet: Re: Guerre civile au Yémen   Guerre civile au Yémen - Page 7 Icon_minitimeMar 28 Sep 2021 - 18:32


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