Actualités nationales

Rappel du premier message :

elle a eu 2 prix: meilleure note (1,0) avec une autre

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et prix de recherche physique avec 3 autres

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Relis ma phrase j'ai dit impulsé ca veut dire qu'ils ont exprimé la demande et l'Etat, comme tu l'as si bien dit, est intervenu pour répondre a cette demande avec les moyens de contraception et les campagnes.
On a vécu la même chose avec cette histoire d'avortement cette année, les gens ont demandé à l'Etat d'intervenir et il l'as fait..

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Actualités nationales - Page 6 Marche12

Toute nos politiques économiques social et politique ont été conseillé voir imposé par la banque mondial et FMI. Que ça soit la planification familial , la privatisation , l'alternance au gouvernement ...

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#LtBahti_Martyr #كلنا_البحتي #الشهيد_البحتي

Vision simpliste et colonialiste que de dire ca, les marocains (peuple et gouvernement) ne sont pas assez intelligent pour développer eux-mêmes leurs propres politique socio-économique...
Toujours cette images des coloniser qui ont besoin des blancs pour réfléchir a leur place, heureusement la réalité est tout autres...

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Amgala Winner a écrit:: Toute nos politiques économiques social et politique ont été conseillé voir imposé par la banque mondial et FMI. Que ça soit la planification familial , la privatisation , l'alternance au gouvernement ...

la planification familial et la privatisation ça va plus loin que el fmi c'est plutot un imperatif dans le monde actuelle on epux pas faire une equipe de foot a moin d'avoir une paye de 10 000 euros par mois,on peux pas faire que du public quand on a pas de pétrole ou autre système rentier qui peux renflouer les caisse sinon c'est un crash assuré simple logique

pour l'alternance au gouvernement c'est quelque chose qui a été decidé en haut lieu et par le peuple, l'alternance au pouvoir et dans certains cas plus handicapante que l'inverse car quand on fait la course au voix on fait n'importe quoi n'impore comment en depit du bon sens(voir la france pour ce cas)

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Eh oui , c'est dur de l'accepter mais c'est la vérité

http://lnt.ma/etude-12-les-relations-du-maroc-avec-le-fmi-un-partenariat-ancien-mais/

Citation :: Crise de la dette et programme d’ajustement structurel :

Les relations de coopération du Maroc avec le FMI déjà anciennes1, se sont intensifiées lors de la crise de la dette entre 1983 et 1993, période au cours de laquelle le Maroc était tenu de souscrire à des programmes de stabilisation soutenus par le FMI, pour pouvoir bénéficier de rééchelonnements et d’allégements de dettes auprès des ses créanciers publics et privés. Six accords de confirmation furent ainsi conclus par le Maroc avec le FMI entre 1983 et 1993, marquant l’engagement du Maroc dans une phase d’ajustement structurel qui va durer dix ans.

Le FMI continua d’influer et d’orienter la politique économique suivie par les autorités marocaines même au-delà de la période de l’ajustement structurel qui avait pris fin en 1993 ; et ce à travers les consultations au titre de l’article IV de ses statuts, et son appréciation positive de la viabilité du cadre macroéconomique préalablement à l’engagement par d’autres bailleurs de fonds, dont notamment la Banque Mondiale, de financements d’appui aux réformes dont la mise en œuvre continua après 1993. Ses recommandations sont ainsi fort écoutées par la technostructure tenant les commandes de la politique économique marocaine et ses évaluations sont devenues, pour elle, le critère par excellence pour juger d’une bonne gouvernance économique.

Certes le Maroc qui était pratiquement en situation de cessation de paiement vis-à-vis de l’extérieur en 1983, est parvenu, à la fin de la période de l’ajustement structurel sous l’égide du FMI, à rétablir la viabilité de sa balance des paiements et à ramener à un niveau soutenable son déficit budgétaire.

À cet égard, le déficit, hors dons, du compte courant de la balance des paiements fut ramené de 12,9 % du PIB en 1982 à 2,5 % en 1992, et les réserves de change qui étaient presque totalement épuisées en 1982, atteignirent l’équivalent de six mois d’importations de bien et services à fin 1993. En matière de redressement des finances publiques, la politique de stabilisation menée a permis de ramener le déficit budgétaire sur base ordonnancement et hors dons, de 12,4 % du PIB en 1982 à 2,8 % onze années plus tard.

De même, un ensemble de réformes structurelles essentielles, soutenues par des prêts de la Banque Mondiale2 complétèrent le programme de stabilisation. Le Maroc a ainsi bénéficié auprès de la Banque Mondiale, entre 1984 et 1995, de 10 prêts d’ajustement structurel et d’appui aux réformes sectorielles : deux prêts à l’ajustement structurel et huit prêts sectoriels d’appui aux réformes qui ont intéressé le commerce et l’industrie, l’agriculture, les entreprises publiques, l’éducation et le secteur financier. L’approfondissement de ces réformes et leur extension à d’autres secteurs (habitat, administration publique, fiscalité) continuèrent au-delà de 1993.

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Citation :: Une première au Maroc ! Le parlement auditionnerait des généraux et des patrons du renseignement

Adam Sfali - publié le Vendredi 3 Juillet 2015 à 01:17

Rabat : Les Chambres des représentants et des conseillers s’apprêteraient à autoriser des hauts responsables militaires et sécuritaires, à comparaitre en auditions officielles devant leurs commissions. Se serait une première au Maroc.

En effet, le Parlement marocain s’apprêterait à convoquer les plus hauts responsables sécuritaires du Maroc, civils et militaires, pour auditions devant ses commissions compétentes.

Selon le journal arabophone Assabah, qui rapporte cette information dans son tirage de vendredi 3 juillet, le parlement adresserait des convocations au Général Hosni Benslimane, commandant de la Gendarmerie Royale, à Mohamed Yassine Mansouri, DG de la DGED (contre-espionnage extérieur du royaume) et à Abdellatif Hammouchi, DG de la DGSN (Police) et de la DGST (contre-espionnage intérieur).

Ces responsables et d’autres, seraient auditionnés en commissions parlementaires à propos de la situation sécuritaire interne et extérieure du royaume, indique la même source.

UN MILITAIRE A-T-IL DROIT D’ACCÉDER AU PARLEMENT ?
A priori non ! Nous rapportions sur Lemag.ma, le Mardi 1er Juillet 2014, un incident au Parlement marocain, qui avait été causé par la présence, à une réunion d’une commission parlementaire, d’un officier général des FAR.

En effet, durant une réunion de la commission de justice, de législation et des droits de l’homme à la chambre des représentants, consacrée à l’étude d’un projet de loi portant sur la justice militaire, les députés qui recevaient le ministre délégué à la défense nationale, Abdellatif Loudiyi, ont dit leur étonnement de voir le ministre se faire accompagné à ces travaux parlementaires, par un officier supérieur des FAR, au grade de Général.

A l’entame de la réunion, le ministre Abdellatif Loudiyi s’était adressé aux députés de la commission en leur disant : ‘Je vous présente monsieur le Général, directeur de la justice militaire, au ministère délégué de la défense’.

La présentation de l’officier, par son grade militaire, avait suscité la controverse parmi les députés, qui ont protesté en affirmant qu’un Général de l’armée n’a le droit d’accéder au siège du parlement que s’il accompagne le Roi. Les députés avaient indiqué que les ministres sont autorisés par la loi, de se faire accompagnés au parlement par leurs délégués civils et non militaires.

http://www.lemag.ma/Une-premiere-au-Maroc--Le-parlement-auditionnerait-des-generaux-et-des-patrons-du-renseignement_a90390.html

On est bien d'acc Red Wink

arsenik a écrit:

juba2 a écrit:

Citation :: Zakaria Boualem. Le vivre ensemble commence à devenir problématique, les amis
Les amis, ça ne va pas très fort, il faut bien l’avouer. Longtemps, Zakaria Boualem a rigolé sans complexes des incohérences que produit notre paisible contrée. Il a ainsi eu l’occasion, au fil des années, de parcourir l’ensemble de la très large gamme du rire, du ricanement étouffé à l’éclat à gorge déployée. Oui, il s’est gaussé, le Guercifi, il en a même fait un business, de l’absurde national. Il était presque mignon, notre absurde. Pas toujours très agréable mais pas si dangereux non plus, en fait. Mais il semble bien que nous soyons passés collectivement à une nouvelle étape. Il y a quelques semaines, une foule a menacé physiquement deux jeunes filles à Inezgane, coupables de porter des jupes. La police intervient pour les protéger et elles se retrouvent poursuivies en justice, par un de ces tours de passe-passe, classique chez nous, où les victimes se révèlent soudain coupables. Elles attendent aujourd’hui leur jugement. On a demandé à un chanteur de charme ce qu’il pensait de la situation, et l’homme a expliqué benoîtement qu’elles méritaient leur traitement, c’est le ramadan quand même, un peu de respect ! Il a même produit quelques explications détaillées sur la longueur idéale d’une jupe, sa position par rapport au genou, organe soudain promu centre érogène visuel. Étonnamment, il n’avait pas demandé la même pudeur aux actrices de son dernier vidéo clip, qui ont pourtant largement exhibé leurs genoux respectifs, et même parfois plus 7achakoum. Mais ce n’était pas le ramadan, donc ce n’est pas la même chose. Je vous laisse analyser ça. On aura du mal à trouver un cas aussi spectaculaire de dislocation de la parole et de l’action.

Ce n’est pas très grave, après tout, juste un spectaculaire benêt de plus, qu’une sorte de médiocrité générale a fini par propulser dans des débats de société on ne sait trop comment. Revenons au sujet de base : les demoiselles ont failli être lynchées au souk d’Inezgane. Toujours cette semaine, c’est un homme supposé homosexuel qui a subi le même sort à Fès. Une foule hargneuse, certaine de son bon droit, a roué le malheureux de coups pendant de longues minutes. Ok. Le vivre ensemble commence à devenir problématique, les amis. Si cette nouvelle mode qui consiste à se ruer sur ce qui ne nous convient pas dans la rue se propage, on va traverser des moments difficiles. Et on ne voit pas très bien ce qui ferait que cette mode s’arrête. Au contraire, tous les éléments pour sa propagation sont réunis. Nous avons installé un état d’esprit général qui consiste à laisser chaque citoyen penser qu’il est le garant d’une vertu menacée. Pendant des années, nous avons eu des prêcheurs qui nous ont expliqué que Bob L’Eponge était gay et Mickey Mouse sataniste, à moins que ce ne soit l’inverse. Nous avons eu de doctes savants de la foi qui ont essayé de convaincre les collègues de bureau de s’allaiter entre eux dans l’open-space. De nombreux illuminés de cet acabit ont confisqué la parole publique sur la religion.

On a sponsorisé la version la plus menaçante de l’islam, on a excité l’intolérance des gens, transformé notre religion en code vestimentaire.On a aussi fabriqué une école rétrograde qui produit des sujets qui ne doivent pas trop réfléchir. On connaît tous le raisonnement : les débiles sont plus contrôlables que les esprits éclairés. Mais ce raisonnement a une limite : passé un niveau de débilité collective, plus rien n’est contrôlable du tout. Il semble bien que nous nous approchions de ce point de rupture. Il suffit de faire un tour sur les réseaux sociaux pour s’en convaincre : une bonne partie des Marocains trouve que Daech a parfaitement raison de trucider les gens qui leur déplaisent. Zakaria Boualem écrit « une bonne partie » juste pour ne pas vous casser le moral, hein, parce qu’entre ça et l’hypoglycémie, on ne va pas réussir à finir la journée correctement. D’ailleurs, cette journée est presque finie, on reprend la semaine prochaine, la harira n’attend pas. Salut à vous, et merci.

http://telquel.ma/2015/07/05/zakaria-boualem-3_1454370

ce genre d'auteur est ce qui me dérange le plus il ya pour lui d'un coté les gens éclairé c'est a dire les bouffeur de ramadan qui ont etudié et qui parle français et de l'autre les sauvages les pro daesh ils parlent arabe et sont inculte et illétré pensée manichéenne et absurde par dessus le marché qui refléte d'ailleurs un manque de culture et révèle certaines facette de notre société

dans notre société pour paraitre intelligent tu doit dire quelque mot de français et quand tu peux, parler carrément le français entierement(il y a qu'a voir certaines serie telivisé clown

) ainsi que "etre ouvert d'esprit"(terme très ouvert a l'interpretation) une société ou seul l'apara compte et le fond est délaissé nous avons beaucoup de progrès a faire

et lutté contre un phénomène que j'appellerai les "ignorant lettré"(genre de personne qui est allé un peu a l'école,et qui lit 2-3 truc sur le net et se présente comme un grand spécialiste de son domaine) que vosu pouvez voir sur cetaines émission ou l'on donne la parole a nos cher étudiant j'ai assisté un jour a uen emission sur 2m ou des étudiant pourtant spécialisé dans l'economie expliquait la crise du logement et le chomage de masse j'ai été effaré du bas niveau

Je ne connais pas ce Mr Boualem, s'il est bouffeur de Ramdan et combien même cela ne regarde que lui et notre créateur 3aza wa jal, par contre je ne sais pas si son article te déranges également!! Parce-que me concernant je trouve qu'il tire une petite sonnette d'alarme légitime...

Toues les sociétés disposent de conservateurs, de gens plus ou moins ouverts ou fermés (tout dépend ou on situe les portes) d'ailleurs c'est la raison pour laquelle on l'appelle une société, un ensemble d'individu, qui sont censé être libre de leurs agissements, une société régis par des lois qui valent pour tout le monde ceux qui ne les respectent pas doivent en subir les conséquences, et un appareil étatique administratif et juridique est censé les faire respecter, ce n'est pas à chaque individu de faire sa loi au gré de son humeur ...
Le conservatisme n'a jamais été un drame, en revanche ce qui devient dramatique c'est quand l’extrémisme et/ou le totalitarisme est déguisé en conservatisme; là ça devient dramatique... Avoir des convictions c'est une chose, agresser d'autres personnes qui n'ont pas les mêmes convictions c'en est une autre...On franchi un palier et ça devient extrêmement grave docteur...

Si on banalise ce genre de fait divers, si la société ne s'indignent pas massivement face à ces agissements agressives, ce sera la porte ouverte à siba, au farwest, à une société sans foi ni loi ce qui fera la nid de qui vous savez et qui n'attendent que ça...

Au même titre qu'il ne faut pas jouer le jeu des laicards qui veulent nous priver de notre identité, il ne faut pas jouer le jeu des ignares qui veulent nous priver de notre liberté... Un juste milieu et un discours de bon sens s'impose avant qu'il ne soit trop tard.

moro a écrit:

On est bien d'acc Red Wink

arsenik a écrit:

juba2 a écrit:: http://telquel.ma/2015/07/05/zakaria-boualem-3_1454370

ce genre d'auteur est ce qui me dérange le plus il ya pour lui d'un coté les gens éclairé c'est a dire les bouffeur de ramadan qui ont etudié et qui parle français et de l'autre les sauvages les pro daesh ils parlent arabe et sont inculte et illétré pensée manichéenne et absurde par dessus le marché qui refléte d'ailleurs un manque de culture et révèle certaines facette de notre société

dans notre société pour paraitre intelligent tu doit dire quelque mot de français et quand tu peux, parler carrément le français entierement(il y a qu'a voir certaines serie telivisé clown

) ainsi que "etre ouvert d'esprit"(terme très ouvert a l'interpretation) une société ou seul l'apara compte et le fond est délaissé nous avons beaucoup de progrès a faire

et lutté contre un phénomène que j'appellerai les "ignorant lettré"(genre de personne qui est allé un peu a l'école,et qui lit 2-3 truc sur le net et se présente comme un grand spécialiste de son domaine) que vosu pouvez voir sur cetaines émission ou l'on donne la parole a nos cher étudiant j'ai assisté un jour a uen emission sur 2m ou des étudiant pourtant spécialisé dans l'economie expliquait la crise du logement et le chomage de masse j'ai été effaré du bas niveau

Je ne connais pas ce Mr Boualem, s'il est bouffeur de Ramdan et combien même cela ne regarde que lui et notre créateur 3aza wa jal, par contre je ne sais pas si son article te déranges également!! Parce-que me concernant je trouve qu'il tire une petite sonnette d'alarme légitime...

Toues les sociétés disposent de conservateurs, de gens plus ou moins ouverts ou fermés (tout dépend ou on situe les portes) d'ailleurs c'est la raison pour laquelle on l'appelle une société, un ensemble d'individu, qui sont censé être libre de leurs agissements, une société régis par des lois qui valent pour tout le monde ceux qui ne les respectent pas doivent en subir les conséquences, et un appareil étatique administratif et juridique est censé les faire respecter, ce n'est pas à chaque individu de faire sa loi au gré de son humeur ...
Le conservatisme n'a jamais été un drame, en revanche ce qui devient dramatique c'est quand l’extrémisme et/ou le totalitarisme est déguisé en conservatisme; là ça devient dramatique... Avoir des convictions c'est une chose, agresser d'autres personnes qui n'ont pas les mêmes convictions c'en est une autre...On franchi un palier et ça devient extrêmement grave docteur...

Si on banalise ce genre de fait divers, si la société ne s'indignent pas massivement face à ces agissements agressives, ce sera la porte ouverte à siba, au farwest, à une société sans foi ni loi ce qui fera la nid de qui vous savez et qui n'attendent que ça...

Au même titre qu'il ne faut pas jouer le jeu des laicards qui veulent nous priver de notre identité, il ne faut pas jouer le jeu des ignares qui veulent nous priver de notre liberté... Un juste milieu et un discours de bon sens s'impose avant qu'il ne soit trop tard.

comme tu l'as dis ce sont des fait divers et la tu as un type qui te dis que la plupart des gens sont des pro dae3shi et veulent faire le coup de feu le moment venu il y a de la marge ce même bouallem se prend pour je ne sais qui dans son texte il est plein de condescendance quand tu lis entre els lignes il explique clairement que les autres sont trop cons pour debatre(saf lui niensur) et qu'un conservateur n'est qu'un ignare illetré(ce n'est biensur pas son cas lui il est tellement plus intelligent) qui ne comprend rien

les faits divers reste des faits divers il ne faut aps en faire une généralité quand aux petits cons de cette mminorité microscopique qui multiplie les coup de force il faut aps s'ettoner qui si l'etat laisse faire d'autre apartenant a la majorité silencieuse risque de prendre les choses en main et a ce moment la comme tu dis ce sera le far west notre état est laxiste avec ses propres lois et si ils continu comme ça il va donner du credit a ce genre de voyou qui se permettent de se substituer a l'etat il en va de même avec la delinquance qui est monté en flêche il y a un f ort mecontentement de la population qui voit une police absente et ou qui laisse faire quand le seuil de delinquance ne passera plus les ge,s vont descendre das les rues et s'occuper de la merde qui a prit ses aises et avec eux HRW ou pas ça va mal se passer le lacisme judiciare la population en ras le bol

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Invité

En confirmation de la très bonne année céréalière 2015 (11 MT) en bas de l'article:

http://www.terre-net.fr/marche-agricole/actualite-marche-agricole/article/avec-une-recolte-attendue-en-hausse-la-france-fait-bande-a-part-1395-109880.html

En regard, l'Algérie ne produira cette année que 4,5 MT et à déjà dépensé 1,6 mds $ entre janvier et mai.
http://www.tsa-algerie.com/20150706/hausse-des-importations-algeriennes-de-cereales/

Ou comment économiser 3 mds $ en année pleine.

Un grand merci à nos fellahs.

Et dire que les algériens nous cassent la tête avec leur fameux : on produit mieux que vous le céréale. Yea Right.

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Citation :: Les Tunisiens de moins de 35 ans interdits de voyage au Maroc

http://www.leseco.ma/maroc/33171-les-tunisiens-de-moins-de-35-ans-interdits-de-voyage-au-maroc.html

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Citation :: Par le prêche et par l’image, les messages du roi Mohammed VI à la société

La société marocaine est aujourd’hui secouée par plusieurs affaires qui se suivent et se ressemblent dans le fonds. Les uns et les autres s’activent, et souvent s’invectivent. Mais le roi n’est jamais loin, intervenant de la manière que lui confère la constitution, c’est-à-dire en arbitre. Et quand on sait qu’au niveau du palais royal, rien n’est laissé au hasard et que les actes et gestes sont soigneusement calibrés, on peut prendre la mesure de deux faits récents quant à leur signification.

Le prêche de la mosquée

Vendredi dernier, le roi a accompli sa prière à la mosquée Assafa de Casablanca. L’imam a délivré son prêche, partant de la bataille de Badr, avec le rappel, de certains propos du Prophète.

La dépêche de la MAP rapporte l’activité royale par cette phrase : « la grande bataille de Badr "Rhazwat Bard Al Kobra" qui fut une rupture entre le droit et le non droit, une bataille aux profondes significations dont les musulmans doivent s'inspirer de nos jours afin d'en perpétuer les valeurs ». Quelles sont ces valeurs ?

La première est « l'impératif pour le musulman de ne pas se fier aux fausses nouvelles et à la rumeur comme indiqué dans le verset du Saint Coran: "O vous qui croyez ! Si un homme pervers vous apporte une nouvelle, vérifiez-en la teneur, de crainte de faire du tort à des innocents, par ignorance, et d'en éprouver ensuite des remords ». On peut rapporter cela aux deux femmes d’Inezgane, vilipendées par la foule, agressées et insultées pour leur port de jupe et accusées d’être des filles de mauvaise vertu, et la foule s’en était prise à elles, suite à cette « nouvelle », sans en « vérifier la teneur », « causant du tort à des innocentes »…

La seconde valeur est « la nécessité pour les musulmans d'obéir et de se soumettre aux ordres de la direction, une soumission qui est porteuse de bien pour l'ensemble de la communauté ». Si on remplace le terme « direction » par « loi et justice », on comprend de ce message que les gens ne doivent pas se faire eux-mêmes justice mais doivent en référer aux autorités établies, à savoir la police et la justice, comme l’a rappelé aussi bien le chef du gouvernement que ses ministres de l’Intérieur et de la Justice suite au lynchage dont a été victime la semaine dernière l’homosexuel de Fès.

Le troisième message suggéré par l’imam de la mosquée Assafa devant le roi est « l'impératif pour les musulmans d'unifier leurs rangs », un rappel utile en cette phase particulière où la société marocaine se trouve quasiment scindée entre deux camps exclusifs l’un de l’autre, qui ne se parlent pas et ne s’écoutent pas, qui s’insultent, se rejettent et s’invectivent.

Une telle pratique du prêche du vendredi servant à distiller un message n’est pas une première… En avril 2013, un avis du Conseil Supérieur des Oulémas autorisait « la peine de mort contre le musulman qui renonce à sa religion », suscitant une controverse au sein de la société. Le vendredi suivant, à Safi, le roi Mohammed VI accomplissait sa prière à la mosquée et l’imam avait fait un long prêche sur les libertés individuelles et collectives garanties par l'islam, citant le verset de la sourate 256 al Baqara : « Nulle contrainte en religion ». L’avis du Conseil des Oulémas avait ainsi recadré…

La photo

C’est en passe de devenir une tradition, que des Marocains de l’étranger prennent la pose avec le roi du Maroc, et cette tradition commence à concerner également, depuis peu, les Marocains du Maroc. Le roi, quand il n’est pas en activité officielle, se promène dans les rues et les avenues des villes, en tenue décontractée et avec une sécurité allégée, hors protocole.

A Casablanca, il a posé avec plusieurs personnes croisées au gré du hasard. Une de ces photos montrent un Mohammed VI souriant, portant un t-shirt, en compagnie de cinq ravissantes jeunes filles en jeans moulants et t-shirts elles aussi. Cette photo fait suite à une autre, où l’on voit le roi en voiture et en compagnie de son épouse Lalla Salma, puis à une autre, avec un homme en pantacourt et tongs accompagné de ses enfants…

L’image de Mohammed VI avec les 5 jeunes filles a été mise en ligne sur la fameuse page de Soufiane Elbahri samedi dernier 4 juillet, deux jours avant l’ouverture du procès des deux femmes « accusées » d’être vêtues de manière provocante. Elle a reçu 130.000 likes et a fait l’objet de plus de 3.000 partages en 24 heures.

Il est peu probable que si une mise vestimentaire (jeans serré, ballerine…) est vraiment « provocante », le roi se laisse prendre en photo et laisse publier cette photo sur un réseau social.

Le prêche, donc, et la photo renvoient l’image d’un pays moderne où le roi, commandeur des croyants, marque par sa présence officielle ou personnelle la tolérance et l’ouverture que devraient montrer bien des personnes.

Aziz Boucetta

http://www.panorapost.com/article.php?id=10984

Lisez l'article avant de peter les plombs.

Citation :: In Morocco, It’s Jennifer Lopez Versus Jihad
By Jonathan Broder 6/24/15 at 6:11 AM

On a windy day on Morocco’s Atlantic coast, kitesurfers tear across the turquoise water, their colorful sails pulling them at breakneck speed. The wind here is so consistent that Dakhla, a coastal town in Morocco’s Western Sahara region, recently hosted the World Kitesurfing Championships, drawing contestants from as far away as Australia.

When it comes to the Middle East and North Africa, kitesurfing is about the last thing that comes to mind. But Morocco, a close American ally, stands out as an improbable haven of tranquility in a region caught up in the violent aftershocks of the U.S. invasion of Iraq, the Arab Spring and the rise of the Islamic State, better known as ISIS.
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At first glance, Morocco’s stability appears counterintuitive. Poverty, corruption and youth unemployment—some of the same problems that sparked the Arab Spring—also plague this arid North African kingdom. Morocco hasn’t been immune to violent extremism, either. In 2003 and 2007, suicide bombers linked to Al-Qaeda killed 46 people in Casablanca. And by the government’s own reckoning, some 1,500 Moroccans are fighting for ISIS in Syria and pose a potential threat if they return home. Yet just last month, Pharrell Williams, Usher, Sting, Maroon 5 and Jennifer Lopez felt secure enough to headline an outdoor music festival in Rabat, the Moroccan capital, before a crowd of 160,000 cheering fans. And when some conservative Islamists took offense at Lopez’s booty-shaking performance, they filed a lawsuit, which is still pending against the singer and her Moroccan promoter. But there was no violence.

“There’s something schizophrenic about Morocco,” Sarah Feuer, a North Africa expert at the Washington Institute for Near East Policy, tells Newsweek. “On one hand, the country is stable. At the same time, some people are joining the jihad.”

Moroccans say their long tradition of religious moderation is one of the main reasons why the country is relatively stable. Many here follow the Maliki and Sufi traditions of Islam, perhaps the most liberal and tolerant strains of the faith. Another factor is the cautionary tales of other Middle Eastern countries rocked by violent Islamist extremism in recent years. “Moroccans look at their neighborhood and say they don’t want to go that route,” says Abdellatif Begdouri Achkari, chief of staff at the Ministry of Islamic Affairs.

Middle East experts also credit Morocco’s young king, Mohammed VI, who assumed the throne in 1999 and moved quickly to end the widespread arrests, torture and disappearance of dissidents that marked the reign of his late father, Hassan II. Following anti-government protests in 2011, during the early months of the Arab Spring, the king instituted a series of liberal reforms that set him apart from other embattled Arab leaders. Unlike Egypt’s Hosni Mubarak, who tried to cling to power when similar demonstrations erupted, Mohammed agreed to share it. In short order, he unveiled a new constitution, surprising many by relinquishing his claim to his divine rights as king—no small concession in a region where power is a zero-sum game. Later that same year, he even held parliamentary elections, and when a moderate Islamist party won, the king chose its leader, Abdelilah Benkirane, to be Morocco’s prime minister. (It was Benkirane who complained about J.Lo’s performance, which was broadcast on Moroccan TV, calling it “sexually suggestive” and full of “disgraceful scenes.”)

Elections are now part of Morocco’s political landscape. Parliament has a say on all matters with the exception of national security, foreign policy and religious affairs, which are the king’s prerogatives. While the king no longer has the power to dissolve Parliament, he still retains the authority to dismiss the prime minister and appoint another.

But those who closely follow events in Morocco wonder how long the country’s stability can last. A big question is whether corruption and unemployment will eclipse Mohammed’s political reforms, sending protesters back to the streets to demand more change. For now, the king’s concessions and the public’s fears of instability have quieted opposition groups. But Haim Malka, an expert on Morocco and North Africa at the Center for Strategic and International Studies, notes that Morocco’s reforms have focused largely on constitutional issues “rather than addressing less tangible drivers of instability, such as feelings of marginalization, injustice and the lack of opportunity, which are what most people in the region care about.”

Morocco’s stability is particularly important to the United States, which relies on the king’s intelligence services to help track the growing terrorist threat in the region. Morocco, the first country to recognize the newly independent United States, in 1777, also has joined the anti-ISIS coalition, cracking down hard on ISIS members and sympathizers in Morocco. In addition to military aid, Washington has provided Rabat with $1 billion in assistance since 2007 to boost employment across the Moroccan economy.

So far, however, the king’s efforts to boost Morocco’s economy have produced mixed results. On one hand, his drive to modernize the country’s infrastructure has produced desalinization plants, new highways and good cellphone service. With the help of Saudi investors, he’s also made laudable strides in harnessing Atlantic winds and the desert sun for energy to make up for the country’s lack of oil. Reversing his father’s deliberate neglect of Morocco’s north, which fought a bloody rebellion against the monarchy in the late 1950s, Mohammed has poured money into the region over the past decade. Tangier, long a crumbling port city best known for its libertine lifestyle, has received a much-needed face-lift, with clean streets, new hotels and a bustling new port.

Meanwhile, in the Western Sahara, which Morocco reclaimed from Spain in 1975, Mohammed has invested heavily in infrastructure and housing, despite rival claims to the territory by the Algerian-backed Polisario Front separatist movement. The provincial capital of La’ayoun, once a dusty Spanish garrison town, now boasts a population of some 250,000. Last year, the government cut spending in other sectors, including subsidies for food and fuel, which resulted in smaller budget deficits.

Yet according to the World Bank, lackluster performances by Morocco’s agriculture and manufacturing sectors sliced economic growth in half to 2.6 percent last year, while unemployment was 30 percent for those under 34—a figure consistent with jobless rates across the region. The World Bank predicts growth in gross domestic product will double to 5 percent in 2015, but economists say the king’s big infrastructure projects have benefited only a tight circle of palace cronies. Unless Mohammed moves to make his economy more competitive and democratic, most Moroccans “will remain suspicious of entrepreneurs, large businesses will remain suspect of cronyism and corruption, and growth will remain elusive,” write Harvard economist Ishac Diwan and Mustapha Nabli, a former governor of Tunisia’s Central Bank.

Corruption has made the sting of unemployment even worse for those who haven’t benefited from the king’s investments. In 2010, WikiLeaks published secret U.S. diplomatic cables alleging officials in the royal palace coerced businessmen to grant benefits to the king’s holding company, which owns shares in virtually every major sector of the Moroccan economy.

But after the 2011 demonstrations, the palace instituted another reform to maintain stability: The king’s advisers divested his holdings in enterprises that produced and distributed food staples; that way it didn’t seem as if he was profiting from high food prices, which were hurting the lower classes.

What’s also helped stabilize Morocco is its internal security services, which the king personally controls. Morocco was reportedly one of the countries where the CIA detained and tortured terrorist suspects in secret prisons. Last month, Amnesty International released a report alleging that Morocco’s security services continue to torture dissidents, but local activists say the situation in nothing like it was under Hassan II. “There are still some cases of ill treatment, but there is no systematic policy of torture,” says Driss el-Yazami, president of Morocco’s National Human Rights Council.

In the wake of the Casablanca bombings, Moroccan intelligence and the police have kept a close eye on the country’s Islamists, rounding up those suspected of ties to extremist groups. In their latest bust last month, authorities arrested a 10-member ISIS cell in Casablanca and Boujniba for plotting terrorist attacks inside the kingdom and recruiting young Moroccans to fight with the jihadi group in Syria and Iraq.

But the king is using more than his security services to fight against the threat of violent Islamist extremism. As a direct descent of the Prophet Muhammad, he also enjoys widespread legitimacy as the country’s spiritual leader. And in one of his most forward-looking moves, Mohammed funds a Rabat seminary the size of a small college, where religious scholars oversee the training of both male and female clerics. In classes and seminars, teachers discredit Wahhabism, Saudi Arabia’s austere interpretation of Islam that preaches a return to the way the religion was originally practiced in the seventh century. They also promote Maliki values of moderation and tolerance in a bid to inoculate the population against radical groups like ISIS.

Achkari, the Ministry of Islamic Affairs official, says that in creating the seminary a decade ago, the king was inspired by a late 18th century exchange of letters between Wahhabi scholars and his ancestor, Moroccan King Mulay Suleiman. In their letter, the Wahhabis accused the Moroccans of heresy and idol worship, demanding they adopt the Wahhabi credo. Suleiman, who maintained his court in Fez, one of North Africa’s oldest centers of Maliki Islamic learning, fired back. He criticized the Wahhabis for their destruction of Muslim tombs and shrines—“what ISIS is doing now,” Achkari says—and reminded them that Morocco’s Maliki traditions were firmly rooted in the Koran and the Sunna, the body of religious customs based on the Prophet’s words and deeds. “They never heard back from the Wahhabis,” Achkari says.

At the seminary’s modern campus of white-washed classroom buildings and dormitories, instructors teach not only Moroccan clerics but also religious scholars from other countries where Islamist extremism poses a threat—Mauritania, Mali, Chad and Niger—as well as Sub-Saharan countries like Nigeria, home of the violent militant group Boko Haram. Later this year, school officials say, the seminary will also teach a class of French and Italian clerics. Ahmed Abbadi, who directs the seminary’s religious scholars, says the instruction reflects the king’s determination to push back against years of Saudi-funded Wahhabi education in Morocco, Africa and Europe, as well as the extremist messages of groups like ISIS and Al-Qaeda that reach young people through the Internet.

Both Moroccan and Western experts say it’s too soon to judge whether the king’s campaign to counter Islamic extremism with Malachite teachings is working. “This is a generational project to define a legitimate set of Islamic values and practices, in part by clarifying who has the authority to speak in the name of Islam,” says Malka. “It’s ultimately about shaping ideas and a religious identity that can compete with more radical interpretations and resonate with young people.”

For those young Moroccans who can afford to go kitesurfing or watch J.Lo’s steamy act, few have reason to doubt their country’s stability. But the king knows far too many of his subjects can only dream of that life, so he’ll have to work hard to keep them from turning to darker pursuits.

http://www.newsweek.com/jennifer-lopez-morocco-isis-346185

je l'ai lu entierement et il est vrai que le titre et le contenu diffère ici on parle surtout de isis et du faite que nous soyons un ilot de stabilité

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Alloudi a écrit:: il y a le topic "actualité nationale" pour debattre de çe qu il se passe au pays.

Je reprends le débat initié dans le topic "monde musulman" ici du coup, et j'espère qu'il va continuer dans le respect des convictions de chacun...

Mon intervention consiste juste à faire une mise au point relative aux divergences de points de vue sur ce sujet si sensible que les libertés individuelles dans un pays censé être libre comme le Maroc...

Je trouve dommage la manière avec laquelle quelques personnes essayent d'étouffer le débat en essayant de stigmatiser les défenseurs de libertés en les traitant soit de laîcards soit des pures produits de mama frança (sic)

Ils ne valent pas plus que ceux qu'ils critiquent, à savoir les journalistes qui dans l’excès et très certainement dans une envie similaire de fuir le débat sur le fonds, s'attaquent à la forme d'une manière extrême en traitant les conservateurs de fils de mama Saudia et baba daech... c'est kiff kiff...

D'un côté comme de l'autre, c'est purement et simplement une insulte à l'intelligence citoyenne, l'incapacité de l'individu Marocain de disposer de lui même d'analyser et de choisir ses convictions himself, non il faut qu'il soit manipulé... Envie de dire lol même si ce n'est pas drôle, car au final on a un serpent qui se mords la queue et qui va finir par tous nous mordre et nous envenimer!!!

Et si on se contentait tout simplement de l'idée que dans notre pays on a des lois et on a une justice et ceux qui enfreignes la loi auront affaire à la justice et que chacun vive sa vie sans se soucier de celles des autres, que chacun balaie devant sa porte? Que chacun regarde ses propres défauts et essaye de les corriger avant de crier au scandale en portant un jugement morale sur des "soi disant" défauts des autres, ces malheureux égarés qui ne réfléchissent ou ne se comportent pas de la manière que la notre?

Bref chaque être humain naît libre et doit vivre libre, du moment qu'il est en phase avec les lois de la société dans laquelle il vit... Le reste n'est que fitna et la fitna mène au chaos alors rjou3 lilah ya 3ibad allah!!

Bon shour à tous

Bien dit Moro Like a Star @ heaven

Invité

oui des extremes qui se nourrissent les uns les autres

aux autorité de faire rentrer tout le monde dans le rang, prison, amende pour les provocateurs, les inquisiteurs...

Alloudi a écrit:: oui des extremes qui se nourrissent les uns les autres

aux autorité de faire rentrer tout le monde dans le rang, prison, amende pour les provocateurs, les inquisiteurs...

je suis d'accord mais tu peux toujour rêver avec le laxisme ambiant

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Je trouve dommage que ce soit des médias étrangers qui donnent la parole à nos élites pour décortiquer ce qui se passe chez nous Rolling Eyes

Mais bon enfin un éclairage purement sociologique en dehors des clivages et des sentiments subjectifs

Entretien avec Dr Mehdi Alioua, docteur en sociologie et chercheur au Laboratoire d’Etudes Politiques et de Sciences Humaines et Sociales de l’Université Internationale de Rabat,

Citation :: Maroc : "On est loin de Mai 68, mais ça se prépare !"

"En prison à cause de robes trop courtes ?", "Un travesti passé à tabac à Fès", "Faut-il brûler les homos ?" Les titres de la presse marocaine semblent témoigner d'un retour au conservatisme au Maroc. Entretien.

Très attendu par l'opinion publique, le verdict de la Cour marocaine concernant les deux jeunes filles inculpées pour atteinte aux bonnes moeurs, sera finalement rendu le 13 juillet prochain. Un regard rapide sur l'actualité marocaine semble attester d'un durcissement des préjugés sociétaux au Maroc. Mehdi Alioua, docteur en sociologie et chercheur au Laboratoire d’Etudes Politiques et de Sciences Humaines et Sociales de l’Université Internationale de Rabat, nous livre son analyse sur la question.

Le ministre marocain de la Justice et des Libertés Mustapha Ramid s'est de nouveau prononcé, le 29 juin dernier, contre la dépénalisation des relations sexuelles hors mariages, de l'homosexualité ou encore de la rupture du jeûne en public. Est-ce révélateur de l'état d'esprit général de la société marocaine aujourd'hui, et plus particulièrement depuis l'arrivée au pouvoir des islamistes l'an dernier ?

- L'état d'esprit de la société n'est pas aussi vindicatif mais ce discours est révélateur de ce que j'appelle la "dictature des moeurs". Il s'agit d'une partie de la population, surtout des hommes, même si certaines femmes participent à ce processus, qui impose son point de vue à la société pour dire comment bien se tenir, bien se comporter. Les femmes et les jeunes sont les premiers soumis à ce diktat.

Ce phénomène est très présent dans les grandes villes. Et c'est d'ailleurs dans les endroits où ces dictateurs sont les plus actifs que le parti du ministre de la justice, le PJD [le Parti de la justice et du développement : NDLR], a remporté le plus de suffrages.

Tout cela s'explique par le fait que la société s'est transformée. Dans les villes comme dans les campagnes, on se marie de plus en plus tard, en moyenne 27 ans chez les femmes et 30 ans chez les hommes, on a de moins en moins d'enfant -environ 2 par femme-, la cellule familiale a changé de forme, la sexualité aussi. Dans la sphère privée, les communautés ont évolué mais dans la sphère publique on se veut conservateur, respectueux des traditions, alors, on s'autocensure. Le ministre de la justice et les électeurs du PJD défendent un certain conservatisme qui diverge de la réalité, car maintenant les femmes divorcent, sont célibataires, s'émancipent...

Ce paradoxe, l'Europe l'a vécu il y a une trentaine d'années. Et c'est curieux parce qu'au Maroc, dans les années 1970, c'est la situation contraire qui prévalait. C'est-à-dire que ce sont les familles qui étaient très rigides quant à tout ce qui relevait des moeurs et des traditions, alors que dans l'espace public, ça choquait moins les gens. Les artistes marocains ont donné un nom à ce phénomène, ils parlent de "pays schizophrène". Moi, je parle plutôt de "société ambivalente".

D'un autre côté, le procès des "deux filles d'Izegane" inculpées pour atteinte à la pudeur, le titre "Faut-il brûler les homos" ou encore l'interdiction de la diffusion du film "Much Love" sur la vie de quatre prostituées, montrent que le débat est désormais lancé dans la sphère publique. Paradoxalement, il s'agirait d'une bonne chose ?

- Tout à fait ! L'évolution sociétale se fait dans la contradiction et le conflit. Dans l'histoire des deux filles, ce n'est pas tant les robes qui ont gêné mais l'émancipation de la femme qui se cachait derrière. Et, aujourd'hui, on a toute une partie de la société marocaine qui se mobilise et descend manifester dans les rues pour la reconnaissance de ces libertés. Le gouvernement et le parti du PJD ont entraîné la manifestation de personnes qui ne s'étaient jamais exprimées jusque-là. Ils ont échoué sur tous les niveaux en ne tenant aucune des promesses électorales qu'ils avaient faites, comme l'augmentation du salaire minimum, et le peu de choses réalisées sous leur mandature avaient déjà été amorcées par le gouvernement précédent; il ne leur restait que le "combat des valeurs" pour préserver intact leur popularité. Sauf qu'ils se heurtent de plus en plus à la société civile.

Quid de la jeunesse en proie à la mondialisation et aux mouvements revendicatifs ? Le conservatisme ambiant est-il une affaire de générations ?

- C'est définitivement un problème de générations. Cela ne veut pour autant pas dire que certains jeunes ne défendent pas les valeurs conservatrices, on observe des clivages au sein même de la jeunesse. Le Maroc est un pays extrêmement jeune, puisque plus de 50% de la population à moins de 30 ans, et les générations au-delà de 40 ans craignent de voir disparaître le Maroc qu'ils ont connu.

Dans un pays si jeune, c'est affligeant de voir que tous les ministres ont l'âge des grands-parents de la plupart des Marocains. Certains partis politiques essaient de jouer la carte de la jeunesse, mais sans grand succès, puisque cette jeunesse se veut réformatrice et porteuse de changement, même au sein des partis islamistes, et cela fait peur. La "dictature" mise en place sert justement à empêcher que cela puisse arriver. On cherche à préserver une société patriarcale où les jeunes obéissent sans sourciller à leur parents.

Il ne s'agit pas, comme on peut souvent l'entendre, d'un conflit entre modernistes et conservateurs, mais d'une opposition entre démocrates et autoritaires. Parmi les autoritaires, il y a par exemple des modernistes qui défendent la liberté de boire de l'alcool ou de ne pas jeûner pendant le ramadan. Les démocrates exigent un dialogue public sur toutes les questions pour éviter que la société ne s'ancre dans des idéaux rétrogrades. Les jeunes se mobilisent davantage, on est loin de Mai 68, mais ça se prépare! La jeunesse n'obéit plus aveuglément.

Quel rôle joue l'islam dans ces débats?

- Je ne pense pas que l'islam entre dans ces débats. Le Coran n'est pas un code mais une inspiration. On trouve des sourates telles que "Nulle contrainte en religion" et d'autres qu'on pourrait qualifier de plus "liberticides". Ce n'est pas l'islam le problème, mais plutôt ce qu'en font les gens. Le Maroc est entré dans une phase de modernité et les communautés traditionnelles volent en éclat. Aussi, le Coran peut-être utilisé pour justifier certains comportements ou législations, contre les homosexuels par exemple, même si rien n'en fait état dans le livre sacré. Dans un pays à majorité musulmane, ce n'est pas étonnant que ce soit l'islam qui soit utilisé, mais il ne s'agit en aucun cas d'une affaire de religion, il s'agit d'un problème de société.

Propos recueillis par Armelle Sae-Jeanne

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20150707.OBS2271/maroc-on-est-loin-de-mai-68-mais-ca-se-prepare.html

Moi ce que je trouve dommage c'est que l'actualité du Maroc durant ce mois du ramadan ne s'est résumé qu'a ces histoires de jupes, de films de mauvais gout etc

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+ l'histoire d'amour entre le marocain et l'américaine.

J'ai l'impression à chaque ramadan on cherche des histoires débile pour passer le temps, telement tout le monde à la maison branché sur internet.

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#LtBahti_Martyr #كلنا_البحتي #الشهيد_البحتي

RED BISHOP a écrit:: Moi ce que je trouve dommage c'est que l'actualité du Maroc durant ce mois du ramadan ne s'est résumé qu'a ces histoires de jupes, de films de mauvais gout etc

nos laïcard et leurs soutient étrangers ont essayer de perturbé ce mois bénis de ramadan qu'ils detestent tant de toutes leurs forces c'est aussi simple que cela il faut les ostracisé et emêcher de faire leurs coup meditaique un peux comme avec els femen qui voulais se faire un coup de pub comme en tunisie mais n'en ont pas eu le temps

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Selon vous les amis on doit taire ce genre d'agressions ou faits de société??

Au mieux c'est de la censure, au pire c'est du totalitarisme... Dans les deux cas c'est pas bon Wink

moro a écrit:: Selon vous les amis on doit taire ce genre d'agressions ou faits de société??

Au mieux c'est de la censure, au pire c'est du totalitarisme... Dans les deux cas c'est pas bon

ces agression ont été permise car l'etat ne veux pas faire respecté les lois avec moin de laxisme il aurait barré la route a ces 2 extrême

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Par le prêche et par l’image, les messages du roi Mohammed VI à la société