Économie marocaine

Rappel du premier message :

Whaou un marché aussi grand que le Maroc

Explique plus PGM

Bien vue PGM comme toujours, dérnièrement il y'avais un colloque d'entrepreneurs russes à Moscou, le Maroc était le seul invité, ce que j'ai vue mais je viens de le comprendre à travers ta brillante devination, c'est que le chef de la diplomatie russe pour la région MENA Bogdanov était là avec de haut responsable politique russe, ils ont parlé des relations maroco russe et des entreprises qui ont investie au Maroc et des relations stratégiques futur entre nos deux pays, alors que du coté marocain, il y'avais Maroc Export et des gens de l'ambassade marocaine en Russie.

les Russes sont en train de faire rentré les produits marocains dans leurs super marché, en plus de réservé une langue durée pour la promotion des produits marocains en plein Place Rouge!

Amgala Winner a écrit:

Explique plus PGM

Sa Majesté ne se déplace que pour du concret. et avant tout déplacement, plusieurs mois avant, gvt et patronat doivent préparer ce qui sera signé. Le Roi ne goûté pas trop les réunions vides de sens dont certains sont friand, ou ça parle mais walou au bout. Aussi il y a toujours tout un tas de rencontres et d'événements qui préparent le terrain pour une visite réussie.
Des que vous verrez ce type de manifestations avec les chinois, alors on spéculera sur une visite en Chine.
en Inde c'était politique pour faire pièce aux adversaires de notre intégrité.

PGM a écrit:

Amgala Winner a écrit:

Explique plus PGM

Sa Majesté ne se déplace que pour du concret.  et avant tout déplacement,  plusieurs mois avant, gvt et patronat doivent préparer ce qui sera signé. Le Roi ne goûté pas trop les réunions vides de sens dont certains sont friand, ou ça parle mais walou au bout. Aussi il y a toujours tout un tas de rencontres et d'événements qui préparent le terrain pour une visite réussie.
Des que vous verrez ce type de manifestations avec les chinois, alors on spéculera  sur une visite en Chine.
en Inde c'était politique pour faire pièce aux adversaires de notre intégrité.

Bien dit PGM on se deplace pas pour des photos d'opportunites

BCP prend son envol américain
Ouverture officielle du bureau de Washington

Citation :

L’inauguration de son bureau de représentation hier à Washington – ce qui en fait la première banque marocaine à s’implanter sur ce marché – est un projet que les équipes de Mohamed Benchaâboun (président-directeur général du groupe Banque Populaire) couvent depuis quelques années. Il fallait au préalable préparer le terrain. Au-delà de la symbolique, le choix de la capitale américaine est aussi motivé par le potentiel de prospections. Les districts de Columbia mais aussi les Etats avoisinants de la Virginie et du Maryland abritent une forte communauté marocaine. Le bureau aura dans un premier temps un rôle de facilitateur d’affaires.

Plusieurs facteurs ont convaincu la BCP que les conditions étaient réunies pour pouvoir monter une offensive: importance de la diaspora marocaine (450.000 Marocains résidant aux USA), avec près de 250 millions de dollars de transferts d’argent reçus des États-Unis en 2014.
Même si la banque est sur son terrain de prédilection (avec un réseau qui gère plus de 900.000 clients marocains résidant à l’étranger, soit plus de 35% des transferts d’argent en provenance de l’étranger, plus de 5,8 milliards de dollars en 2014), le bureau de Washington est un exploit technique puisqu’il aura fallu se soumettre aux règles sourcilleuses de la Fed. Un travail de convergence qui n’aurait pas été atteint sans la mobilisation de Bank Al-Maghrib, reconnaissent les équipes de BCP. Les autorités monétaires américaines ont finalement donné leur feu vert en 2014, l'année suivante ayant été consacrée à la préparation logistique et au recrutement.

Un autre axe stratégique du bureau de Washington sera plus corporate, en exploitation les possibilités qui existent dans le cadre de l’ALE avec les USA et en promouvant les différentes stratégies sectorielles menées au Maroc. Une orientation jugée importante par Benchaâboun: «Dans ce cadre, notre bureau de représentation à Washington a un rôle extrêmement important à jouer. Il devra, dans un premier temps, donner aux investisseurs américains potentiels une plus grande visibilité sur les opportunités que recèlent ces programmes et mobiliser, dans un second temps, toutes les expertises du Groupe pour les concrétiser»

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Salam

Citation :

LES SAVEURS DU MAROC S’INVITENT EN RUSSIE
DNES À MOSCOU, YOUNESS SAAD ALAMI
NOUVELLE OPÉRATION DE SÉDUCTION SIGNÉE MAROC EXPORT
OBJECTIF: POSITIONNER LES PRODUITS MAROCAINS DANS LA GRANDE CONSOMMATION
         
Les saveurs du Maroc s’invitent en Russie DNES à Moscou, Youness SAAD ALAMI
Grâce au forcing de Maroc Export, les grandes surfaces russes ouvrent leurs rayons à plus de 200 produits marocains. Ici, à l’entrée de la galerie Modney Season, à Moscou, la signature «Maroc» rayonne (Ph. YSA)
Tomates, mandarines, poissons, huîtres, huiles, jus, thé, épices… et bien d’autres produits marocains se vendent désormais en Russie. En effet, plus de 200 produits de l’agroalimentaire, la mer et le textile ont intégré le marché russe de la grande consommation cette année. Un positionnement réussi grâce aux opérations Bto
C (Business to Consumer), initiées par Maroc Export à Moscou. Un travail de longue haleine (connaissance du marché, portefeuille relationnel, équipes rodées) qui a porté ses fruits, surtout suite au succès du «Grand festival du Maroc en Russie». L’événement a permis, lors de sa 1re édition, de mieux positionner les produits marocains sur ce nouveau marché. Pour consolider le projet, une 2e édition de ce festival s’est ouverte, vendredi dernier, à l’occasion de la célébration du 40e anniversaire de la Marche verte. Elle se poursuivra jusqu’au 20 novembre dans des magasins chics et raffinés, où le panier moyen du consommateur russe atteint les 4.000 euros. La Russie présente un débouché très intéressant pour les exportateurs nationaux du fait de l’augmentation du pouvoir d’achat des Russes, mais aussi du changement des habitudes de consommation. En fait, le consommateur russe dépense près de 80% de son revenu, dont 50% dans l’achat de produits alimentaires. Le Maroc doit pouvoir se positionner pour y accroître ses parts de marché. «Et le potentiel est énorme, mais pas encore exploité», estime Abdelkader Lecheheb, ambassadeur du Maroc à Moscou. Même son de cloche auprès de Zahra Maâfiri, directrice de Maroc Export, qui a démultiplié les opérations dans les différentes régions de la Russie, pays de 150 millions de consommateurs. Pour la dirigeante, «cette année, l’opération Bto
C permet un  référencement de produits marocains des secteurs du textile de maison, de l’agroalimentaire (produits frais, transformés et produits de la mer) dans 3 grandes enseignes regroupant 50 magasins de la grande distribution en Russie». L’objectif est de faire découvrir directement les produits marocains aux consommateurs russes. Ainsi, des produits, comme le couscous Dari, les jus Marrakech, les épices Choumicha.

. sont exposés et vendus pendant une période de 2 semaines à la galerie Modney Season (à côté de la Place Rouge), le Globus Gourmet et le marché central Dorogomilovo, à Moscou. «Ceux qui enregistreront de bonnes ventes pourraient être référencés à terme dans les magasins sélectionnés. D’où l’importance de cette opération-séduction qui pourrait déboucher sur de nouvelles opportunités pour de nombreux produits marocains», explique Maâfiri. Et d’ajouter: «Notre souhait est de développer davantage notre partenariat avec ce pays dans les secteurs des produits de la mer, l’agroalimentaire et le textile». A ce titre, Maâfiri a signé un accord de partenariat avec la célèbre chaîne de grande distribution russe «X5 Retail Group» (l’équivalent de Carrefour). Accord qui permettra aux produits marocains d’être de plus en plus présents et visibles en Russie, à travers les 2.500 hypermarchés de la chaîne. Voilà  ce qui devrait fortifier les échanges maroco-russes. «Dans cet échange à double sens, le blé russe (10% des exportations) continuerait de trouver son chemin vers le Maroc. Pour notre part, nous dégusterons avec plaisir les produits frais (légumes, fruits…), l’huile d’olive ainsi que les poissons marocains. Pour les conserveries, il faut lever certains verrous sanitaires de la part des Russes», relève Petrov Guéarguy, vice-président de la Chambre de commerce de Moscou. Sur le volet économique, ce dernier propose la signature d’accords sectoriels approfondis entre le Maroc et la Russie qui serviraient de garantie pour favoriser les échanges d’investissement entre les deux parties. En effet, les Russes veulent une base juridique, des mesures fiscales avantageuses, ainsi que l’engagement des deux Etats à accompagner les opérateurs. C’est cette vision qui est prônée pour encourager la coopération bilatérale. Le festival organisé par Maroc Export a permis de tisser des liens forts entre exportateurs marocains et importateurs russes. Une mission jusque-là réussie et qui sera bizarrement concédée, à partir du 1er janvier 2016, à l’Etablissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (Eacce). Pour rappel, cet organisme devrait avoir l’exclusivité de la promotion à l’export des produits agricoles et de la mer, deux secteurs qui représentent environ 40% des activités de Maroc Export.

La diplomatie culinaire

200 kg de semoule et 350 kg de légumes pour préparer un couscous géant. C’était la mission du traiteur Rahal, samedi dernier, au grand marché de Moscou. In fine, les saveurs du Maroc ont invité des milliers de Moscovites à un voyage gustatif, proposé par le groupe. Enfin, un menu marocain a été mis au point spécialement pour l’évènement par les prestigieux restaurants du groupe Novikov. Ce menu gastronomique est déjà disponible dans 5 restaurants du groupe et ce, jusqu’à la fin du festival. Le menu a été spécialement préparé en collaboration avec le groupe Rahal et le groupe Novikov, l’un des leaders de la restauration de prestige en Russie.

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Citation :

LE MADE IN MAROC SÉDUIT PLUS DE 180 MARCHÉS
EXPORT: 22,3% DU PIB
NOUVELLE CIBLE: LES PME/TPE
         
Chaque année, le Made in Morocco fait ses preuves à l’international. L’offre exportable se multiplie et pèse lourd dans l’économie nationale. A titre d’exemple, l’export a globalement atteint une part de 22,3% du PIB national en 2014! Une évolution de 7,3% par rapport à 2013. A présent, les exportations évolueraient deux fois plus vite que les importations. Voilà qui devrait rééquilibrer la balance commerciale. Le Maroc exporte de l’agriculture/pêche, phosphates et engrais, des pièces aéronautiques, du terroir, du textile, du service, de l’ingénierie… «L’offre exportable est présente sur 180 marchés dans le monde, avec des quotes-parts diversifiées», précise Zahra Maafiri, directrice générale du Centre marocain des exportations (Maroc Export). Sur ces marchés, 5.400 exportateurs marocains proposent 5.659 positions SH (systèmes harmonisés) exportées, en plus des services. De plus, l’an passé, 77% des entreprises traitant avec Maroc Export se disent satisfaites. Elles ont même affirmé que les activités promotionnelles organisées par le centre ont donné lieu à une croissance considérable de leur chiffre d’affaires. Si le centre a accompagné 250 entreprises à travers 130 actions promotionnelles en 2014, il compte en mener plus de 150 cette année. Pour rappel, en 2013, le centre n’accompagnait que 84 missions, il s’agit donc d’une progression de 54% ! Malgré un chiffre croissant des événements organisés, l’enquête de satisfaction réalisée par Maroc Export explique que seules les grandes entreprises y sont généralement représentées. En effet, seules les firmes qui dépassent les 40 millions de DH à l’export participent régulièrement à de telles opérations de prospection. Il faudrait donc davantage intégrer les PME/TPE, qui pourraient être séduites par un investissement très rentable. Pour rappel, chaque dirham investi par Maroc Export en rapporterait 98 (Voir aussi L’Economiste du 19 septembre 2015). De plus, selon un constat du centre lors des déplacements nationaux et internationaux, les opérateurs marocains ne se connaissent pas forcément entre eux. Un maillage qui, pourtant pourrait les mener à collaborer notamment pour répondre avec la taille critique à des appels d’offres internationaux. Maroc Export ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. En effet, le centre a intégré une base de données de 400 projets. Elle concerne 13 pays africains, dans 16 différents secteurs… De plus, le Centre a pour objectif de consolider les marchés avec les partenaires traditionnels (France, Espagne, Angleterre, Allemagne…). «Nous comptons aussi diversifier ces marchés. A titre d’exemple, sur notre continent, le quart de notre activité sera assuré chez les pays voisins», explique Maafiri. Il faudra donc renforcer l’action promotionnelle sur les pays du Golfe, compte tenu de leur rôle stratégique. Enfin, le Centre a pour objectif de créer une nouvelle image de marque du Made in Maroc, en Chine. D’ailleurs, suite au salon Intertextile, Jay Zhang, directeur général de International business China import food limited a été séduit par le made in Maroc. De ce fait, le DG octroie un espace d’exposition et de vente Maroc de 319 m² au sein du magasin. Un espace promotionnel pendant toute une année.

Pêche et agroalimentaire hors zone

A partir de l’année prochaine, les activités pêche et agroalimentaire ne seront plus sous la tutelle de Maroc Export. Ces segments devraient, à l’avenir, relever du ministère de l’Agriculture et de la pêche maritime, lui-même, plus précisément sous l’aile de l’établissement autonome de contrôle et de coordination des exportations (EACCE). L’enjeu étant de maîtriser toute la chaîne de ce secteur d’activité. Le Centre marocain de promotion des exportations n’a, cependant, pas de souci à se faire au vu des résultats en progression de l’activité exportable, notamment par le textile, l’automobile…

Sabrina EL-FAÏZ

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les pays qui investissent au Maroc, et le 2éme tableau pour les secteurs qui reçoivent ses inversions.

Une chose a dire vis a vis de ce tableau :
La première c'est effectivement de développer l'investissement dans l'industrie, 40% dans l'immobilier c'est beaucoup...
et la seconde c'est de faire quelque chose avec l'Espagne, je vais faire mon Algérien, mais c'est déplacer que ce soit les premier pour nous refourguer leurs camelote et qu'il soit 7ème pour investir chez nous....

J'aurai pense plus pour l'Espagne !!!!!????

L'Espagne n'investit pas en masse tout simplement parce que elle est en crise economique grave depuis 2008 comme tout le monde le sait d'ailleurs ils n'investissent nul part en masse , le taux de chomage chez eux est de 20 pour cent, et vous croyez qu'ils vont investir au Maroc et creer des emplois chez nous . Impensable a part si ils veulent une revolte de la jeunesse chez eux .

FAR SOLDIER a écrit:

L'Espagne n'investit pas en masse tout simplement parce que elle est en crise economique grave depuis 2008 comme tout le monde le sait d'ailleurs ils n'investissent nul part en masse , le taux de chomage chez eux est de 20 pour cent, et vous croyez qu'ils vont investir au Maroc et creer des emplois chez nous . Impensable a part si ils veulent une revolte de la jeunesse chez eux .

Je parle des sociétés....pas du gouvernement.....

atlas a écrit:

FAR SOLDIER a écrit:

L'Espagne n'investit pas en masse tout simplement parce que elle est en crise economique grave depuis 2008 comme tout le monde le sait d'ailleurs ils n'investissent nul part en masse , le taux de chomage chez eux est de 20 pour cent, et vous croyez qu'ils vont investir au Maroc et creer des emplois chez nous . Impensable a part si ils veulent une revolte de la jeunesse chez eux .

Je parle des sociétés....pas du gouvernement.....

le gouvernement dissuade les entreprises d'investir à l'étranger.

Samir. Al Amoudi n’a pas effectué le versement promis et accuse l’Etat marocain

http://www.medias24.com/ECONOMIE/ENTREPRISES/159592-Samir.-Al-Amoudi-n-a-pas-effectue-le-versement-promis-et-accuse-l-Etat-marocain.html

RadOne a écrit:

Samir. Al Amoudi n’a pas effectué le versement promis et accuse l’Etat marocain

http://www.medias24.com/ECONOMIE/ENTREPRISES/159592-Samir.-Al-Amoudi-n-a-pas-effectue-le-versement-promis-et-accuse-l-Etat-marocain.html

ca sent la fin pour la samir. depuis la modernisation des ports, la societe n'est plus en position de force pour négocier car on peut facilement se passer d'elle pour l'approvisionnement! (5 port d'entrée possible pour les carburants dans le royaume)

Citation :

Samir. Al-Amoudi défie l'Etat marocain et ne renflouera pas les caisses

http://www.medias24.com/ECONOMIE/ENTREPRISES/159630-Samir.-Al-Amoudi-defie-l-Etat-marocain-et-ne-renflouera-pas-les-caisses.html

Voilà maintenant on sait à quoi il joue, ce dossier a été très mâle géré, il fallait faire bouger une poursuite judiciaire quand il n'a pas payé, mais attendre 4 ans à manger des promesses...

Pudge c'est un saudis at ami de salman le roi ne laisser personne le toucher encore plus benki que son parti est aide finaciierement par les Sauds et les khalijis.

Juba c'est peut être vrai, mais on peut aussi dire que c'est dans l'intérêt d'al amoudi de nous faire croire qu'il est protégé par l'AS et de faire de cette affaire une affaire politique. or ce n'est pas forcément vrai, c'est pour ça qu'il fallait être intransigeant et le mettre dos au mur du premier jour, car ce n'est pas dans l'intérêt du roi Salman de protéger un voleur, mais on l'invitant a des "négociation" notre gov lui a donné de la crédibilité, qu'il a réutilisé pour nous faire encore plus chanter.
Aussi je ne comprends toujours pas son end-game, il pense vraiment qu'on va oublier l'argent? ou c'est juste une tactique pour sortir avec le plus de gain possible

On en a rien à fiche ni d'al moudi ni de ksa. Si on nous donne une aide 200 millions $ pour nous prendre 1 millards $ ça ne sert à rien. Autant rester un pays indépendant qui avance avec ses propres moyens. Idem pour les "investissement khaliji". Il investissent 20 millions $ dans un hotel minable (tjrs les même invest) et on leur offre une centrale à 9 millard $ tezzz. ils mettent 100 millions dans un complexe touristique et on leur offre tanger med !! sans parler des actifs qu'on leur a offert sans que les invests derrière ne soient fait ! Kheliha 3elah

juba2 a écrit:

Pudge c'est un saudis at ami de salman le roi ne laisser personne le toucher encore plus benki que son parti est aide finaciierement par les Sauds et les khalijis.

non, c'est un Erythréen qui était proche du roi Fahd

le financement de son achat de la Samir a été assuré par un fond nord américain et pas saoudien, maintenant pour faire les chose dans les règles de l'art le gouvernement doit prendre conseil auprès d'un cabinet spécialisé pour ne laisser aucune chance a cet  escroc de gagner un procès qu'il pourrait tenter

.

simplet a écrit:

juba2 a écrit:

Pudge c'est un saudis at ami de salman le roi ne laisser personne le toucher encore plus benki que son parti est aide finaciierement par les Sauds et les khalijis.

non, c'est un Erythréen qui était proche du roi Fahd

le financement de son achat de la Samir a été assuré par un fond nord américain et pas saoudien, maintenant pour faire les chose dans les règles de l'art le gouvernement doit prendre conseil auprès d'un cabinet spécialisé pour ne laisser aucune chance a cet  escroc de gagner un procès qu'il pourrait tenter

.

On a des très bons juristes au secrétariat général du gouvernement pas besoin de cabinet. Sinon c'est une bonne nouvelle pour moi car ca veut dire que la Samir reviendra enfin dans le giron de l'état.

Salmane avait refusé de recevoir almoudi à tanger et l'avais sommé de régler le dossier. Il n'a pas l'appui de son pays. Soit donc nous portons le dossier devant le roi ksa (plus dans nos traditions avec ce pays), soit donc nous intentons un procès à ce monsieur tout en confisquent la totalité de ses actifs au Maroc (dont la raffinerie). Ce qui sera un très mauvais signe pour ce groupe a l'international.
Mais je n'imagine pas la solution 2 avant la une.

Rien à foutre si il connait salmane ou pas, c'est l'économie du pays on s'en fou méme de salmane et sa famille car c'est l'énérgie du Maroc qui est en jeu, donc il faut faire ce qu' on doit faire et vite.

si salmane etait contre lui ca n´aurait pas passé sur acharq alawasat,semi officiel
je dirai encore un coup de pressing saoudien pour va savoir quel interet(troupes yemen?),ces gens la sont champions de chantage..il n´aurait pas franchit le pas du recours a la Cirdi sans consentement de ryadh,encore un coup bas