Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial -

Rappel du premier message :

Baybars a écrit:

Les choses vont se calmée, au moins le message est passé: "la Russie fait attention à toi. On est ni l'Ukraine, ni la Géorgie. Tu joue à ma porte.."

Après tout dépendra de la riposte russe. Une riposte militaire est exclure, car la Russie n'a pas moyens d'une guerre contre la Turquie.

Est ce que la turquie est devenue une superpuissance
Si une guerre éclate les usa et l'otan vont lacher la turquie comme ils ont fait avec saddam en 91 ,
sincérement vous ne jouer pas dans la cour de la russie ,vous êtes fort mais pas assez et la confrontation direct détruira tout ce que vous avez construit pendant des décénnies et bienvenue l age de pierre ,donc allez y mollo vs n'etes pas face au pkk ou autres .

Citation :

Four soldiers the Iranian elite troops Killed in Syria



ElDorar AlShamia:
Iranian media announced on Monday the killing of four elements, including a lieutenant colonel of the Iranian elite forces, who are fighting alongside the al-Assad regime in Syria.
«Four military advisers to the army of the  Iranian Islamic Republic have been killed in Syria by the takfiri groups», The Iranian news agency «Tasnim» reported .

The agency added that one of them called "Muhsin Kitaslo" from the Iranian special forces, but they did not mention the names of the others.
For its part, other Iranian site revealed the killing of three members of the regular Iranian army, and they are: Colonel, "Zulfikar Nasbi", who recently arrived in the southern countryside of Aleppo, and First Lieutenant "Mojtaba yad allah," in addition to "Mohsen Kitaslo " all from the Brigade-65 for Special Forces,in which  Iran had announced that it sent last week in a decision took place for the first time.
It is noteworthy that Iran had previously being merely said that it has only «counselors» to help the al- Assad's army, after the losses incured the al-Assad's forces and the Iranian militias in Aleppo at the hands of the rebels in the southern countryside of Aleppo.

http://en.eldorar.com/node/1998

Citation :

Les offensives jihadistes menacent le cessez-le-feu

Pour de Mistura, le prochain round de négociations à Genève sera « crucial » pour trouver une solution politique au confli

Les jihadistes d'el-Qaëda, alliés à des rebelles, étaient à l'offensive dans le nord, le centre et la région côtière de la Syrie, mettant en danger la trêve, deux jours avant la reprise des négociations de paix à Genève, selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme. Même si le Front al-Nosra, branche syrienne d'el-Qaëda, et le groupe État islamique EI ne sont pas concernés par la trêve conclue le 27 février sous les auspices des États-Unis et de la Russie, ces opérations militaires, notamment contre l'armée syrienne, risquent de faire effondrer le fragile cessez-le-feu. « Al-Nosra, allié à des groupes rebelles, mène trois offensives synchronisées » dans les provinces d'Alep, de Hama et de Lattaquié, a indiqué à l'AFP le directeur de l'OSDH Rami Abdel Rahmane. Jusqu'à présent, les jihadistes ont réussi à s'emparer d'une colline dans la région montagneuse de la province de Lattaquié, berceau du président Bachar el-Assad et de sa communauté alaouite. Une source militaire a confirmé que des « groupes armés » avaient « tenté d'attaquer plusieurs positions militaires dans les provinces de Lattaquié et de Hama, mais sans réussir à avancer ». Dans le même temps, le groupe État islamique (EI) a repris la localité d'al-Raï, un point de passage de première importance avec la Turquie voisine, dont les rebelles s'étaient emparés jeudi, a indiqué hier l'OSDH. « Le fait que les rebelles ne puissent pas tenir al-Raï démontre qu'il leur est impossible de conserver une position contre l'EI sans couverture aérienne », estime le directeur de l'OSDH.
De son côté, l'armée syrienne a envoyé d'importants renforts autour d'Alep, dans le Nord-Est, rapporte la presse locale. Selon la chaîne de télévision al-Mayadine, des chars et des lance-roquettes multiples ont été vus se dirigeant vers la ville. Selon le Premier ministre syrien Waël el-Halaki, cité dimanche, les forces gouvernementales soutenues par des milices chiites et l'aviation russe ont l'intention de reprendre Alep, qui était la première ville du pays avant la guerre, mais le ministère russe de la Défense a nié tout projet d'assaut. Le département d'État américain a ainsi fait part de l'inquiétude des États-Unis face à la multiplication des violences qu'il impute aux forces gouvernementales syriennes juste avant des pourparlers de paix prévus cette semaine à Genève. « Nous sommes très inquiets de la récente poussée de violences, et cela concerne des opérations qui vont à l'encontre de la cessation des hostilités », a déclaré Mark Toner, porte-parole du département d'État. Le secrétaire d'État John Kerry a fait part de ses inquiétudes à son homologue russe Sergueï Lavrov lors d'une conversation téléphonique dimanche, a ajouté Mark Toner. Pour sa part, l'armée russe signale l'arrivée massive de combattants du Front al-Nosra en prévision d'une offensive de grande envergure. À en croire Sergueï Roudskoï, chef du commandement des opérations de l'état-major général, les hommes d'al-Nosra envisagent de couper l'axe routier entre Alep et la capitale syrienne, Damas. Roudskoï a parlé de 9 500 combattants d'al-Nosra, qui se sont regroupés au sud-ouest et au nord d'Alep.

Round crucial
Sur le front diplomatique, le ministre syrien des Affaires étrangères, Walid Moallem, a reçu hier à Damas l'émissaire de l'Onu pour la Syrie Staffan de Mistura qui a affirmé que le prochain round de négociations à Genève sera « crucial » pour trouver une solution politique au conflit. « La prochaine phase des pourparlers de Genève est cruciale car nous allons nous concentrer sur la transition politique, sur la gouvernance et les principes constitutionnels », a-t-il expliqué. Les discussions indirectes entre représentants du régime et de l'opposition doivent reprendre à partir de mercredi à Genève, où s'était tenu le précédent round du 14 au 24 mars. Il s'agit du point le plus délicat car l'opposition veut la création d'un corps exécutif doté de tous les pouvoirs, mais dont serait exclu le président Bachar el-Assad, tandis que le régime veut un gouvernement élargi à des membres de l'opposition et sous la présidence d'Assad, comme le stipule la Constitution actuelle. « Nous espérons et avons l'intention de les (pourparlers) rendre constructifs et concrets », a précisé M. de Mistura. En outre, M. de Mistura a abordé avec son interlocuteur le fragile cessez-le-feu en place depuis le 27 février. « Nous avons soulevé et discuté de l'importance de protéger et de maintenir la cessation des hostilités, qui est peut-être fragile mais qui existe. Nous devons nous assurer qu'elle va se poursuivre même s'il y a des incidents contenus », a dit l'émissaire. Selon l'agence officielle Sana, M. Moallem a confirmé que la délégation gouvernementale était prête pour cette nouvelle session. « Il a réaffirmé durant sa rencontre avec M. de Mistura la position syrienne sur la solution politique de la crise actuelle et l'implication (du régime) dans le dialogue syrien, dirigé par les Syriens, sans préconditions », a indiqué l'agence. Il a également accusé la Turquie et l'Arabie saoudite d'encourager les insurgés à violer l'accord de « cessation des hostilités » en vigueur depuis la fin février. Les deux hommes ont également abordé le volet humanitaire et l'accès aux localités assiégées. Il a rendu hommage au Programme alimentaire mondial (Pam) qui a pu livrer par voie aérienne des provisions, dimanche, à 200 000 personnes assiégées par l'EI à Deir ez-Zor.
(Sources : agences)

http://www.lorientlejour.com/article/980434/les-offensives-jihadistes-menacent-le-cessez-le-feu.html

Les troupes du régime saisissent la zone de stockage près du bastion rebelle dans Damas .




Les forces du régime reprennent le contrôle d'une montagne stratégique dans la zone de Lattakié .





Quant au hezb ,il essaye de mener une offensive sur Al Eis au Sud d'Alep .




MAP du camp de Yarmouk dans Damas ,en noir l'EI ,en rouge le régime .

Au bout de 2 jours de batailles (encore en cours) après la contre-offensive de l'EI dans le Nord d'Alep et les pertes des rebelles .





Sur ses deux MAP en voit le terrain perdu par les rebelles au détriment de l'EI .

Spoiler:

GreatAtlas a écrit:

@Vinsleed: en fait c'était 3-3 et penalties apres !!
Ce qui se passe prouve que ce que la turquie est entrein de faire pour convaincre les americains qu'il peuvent utiliser des groupes arabes et turkmens pour combattre Daech au lieu des kurds ne marche pas !!

Merci pour la rectif ,

Concernant le terrain ,les rebelles qui luttes contre l'EI sur la frontière turco-syrienne dans la poche d'Azaz ne dépasse pas 500 combattants ,les kurds sans l'appui massive des occidentaux ,seraient actuellement dans des camps de réfugier dans le Kurdistan Irakien ,les turkmènes lutte dans la région de Lattakié prés de la frontière .

Je ne sais pas si tu es Russe ,mais apparemment ils mettent leurs lutte contre l'EI entre parenthèse et préparent une offensive majeur sur les rebelles à Alep .

Citation :

Russia says there are no plans to storm Syria's Aleppo



Lieutenant General Sergei Rudskoi, Chief of the Main Operational Directorate of the General Staff of the Russian Armed Forces, attends a news briefing, with a map of Aleppo in Syria and its surrounding areas displayed in the background, in Moscow, Russia, April 11, 2016.
Reuters/Sergei Karpukhin



There are no plans to storm the Syrian city of Aleppo despite thousands of Al-Nusra militants massing around the city, the Russian military general staff, which is providing air support to the Syrian army, said on Monday.

Fighting between rebels opposed to Syrian President Bashar al-Assad and forces loyal to Damascus has flared around Aleppo in recent weeks, threatening a fragile ceasefire in the run-up to the a new round of peace talks on the conflict.

Sergei Rudskoy, head of the Russian General Staff's main operations command, said around 9,500 Al-Nusra fighters had gathered to the south-west and north of Aleppo and were planning a large-scale offensive to cut the city off from the Syrian capital of Damascus.

"All actions of the Syrian military and Russian air force are directed at disrupting the plans of Jabhat al-Nusra. No storming of the city of Aleppo is planned," he said.

Syrian Prime Minister Wael al-Halaki said on Sunday the Russian air force and Syrian military were preparing a joint operation to take full control of Aleppo from rebel forces.

Half of the city, Syria's largest before the war, has been in rebel hands for years.

Syrian media reported a large build-up of troops and equipment by the Syrian army and its allies around Aleppo on Monday, with the pro-Damascus al-Mayadeen TV station reporting it had seen tanks and rocket launchers heading towards the city.

AFP

http://tass.ru/en/defense/868922

Citation :

Russian combat helicopter crashes in Syria — defense ministry

Mil Mi-28N

MOSCOW, April 12. /TASS/. A Mil Mi-28N strike helicopter of the Russian Aerospace Forces has crashed in Syria, two its crewmembers have been killed. The helicopter was not downed, the Russian Defense Ministry’s press service reported on Tuesday.

"At 01:29, Moscow time on April 12, 2016, a Mi-28N helicopter of the Russian Aerospace Forces crashed during a mission in the area of the city of Homs [in the Syrian Arab Republic]. Two crewmembers [of the helicopter] were killed," the ministry said in a statement received by TASS.

"According to a report from the crash site, the helicopter did not come under fire," the press service said.

The Defense Ministry added that rescuers have evacuated the bodies of the pilots to the Khmeimim airbase. According to the ministry, a team of flight investigation experts was dispatched to the helicopter crash scene for a probe. The causes of the flight accident were being ascertained.

A high-ranking source in the Russian defense industry told TASS the helicopter's home base was the Budyonnovsk military airbase in the Stavropol territory of Russia.

"This aircraft is from Budyonnovsk," he said, answering a corresponding question.

Mi-28N Night Hunter is a strike helicopter armed with a 30-mm cannon, guided missiles and free rockets. The Night Hunter can locate and destroy armored vehicles, personnel, small surface ships, and low-speed air targets and fortifications, as well as lay mine fields day or night in adverse weather conditions.

The recently provided footage showed the military hovercraft make its debut in Syria. The footage shows the usage of at least one Mi-28N helicopter in fighting against the Islamic State terrorists near the city of Palmyra (Homs province). The rotor-wing aircraft used both types of 'Ataka' (AT-9 Spiral 2) guided missiles, namely, 9M120 with anti-tank shaped-charge warhead and anti-personnel 9M120F with combined high-explosive/aerosol-explosive warhead. Mi-28N eliminated hostile infantry fighting vehicle and destroyed a small building with terrorists inside. The helicopter`s gunner was guiding the missiles using radio command guidance system. The footage also shows image from the helicopter`s TV camera.

vinseeld a écrit:

GreatAtlas a écrit:

@Vinsleed: en fait c'était 3-3 et penalties apres !!
Ce qui se passe prouve que ce que la turquie est entrein de faire pour convaincre les americains qu'il peuvent utiliser des groupes arabes et turkmens pour combattre Daech au lieu des kurds ne marche pas !!

Merci pour la rectif ,

Concernant le terrain ,les rebelles qui luttes contre l'EI sur la frontière turco-syrienne dans la poche d'Azaz ne dépasse pas 500 combattants ,les kurds sans l'appui massive des occidentaux ,seraient actuellement dans des camps de réfugier dans le Kurdistan Irakien ,les turkmènes lutte dans la région de Lattakié prés de la frontière .

Je ne sais pas si tu es Russe ,mais apparemment ils mettent leurs lutte contre l'EI entre parenthèse et préparent une offensive majeur sur les rebelles à Alep .

Normal qu'ils mettent la lutte contre l'EI entre parenthése, il faut securisé le terrain et affaiblir l'al nosra ou rebelle comme tu prefere qui remplaceront a terme l'EI. Ca permet de securisé les arriere et eviter d'etre pris a revers si ils se concentrent que sur l'EI. les stratege russe sur le terrain ne sont pas dupe, ilssavent ce qu'ils font

Kab ,je te réédite un de mes poste

vinseeld a écrit:

Une petite analyse s'impose ,n'est ce pas !!?

Une mauvaise estimation des forces rebelles et a plus forte raison de leur détermination ,a obliger les russkov ,et de fait ,négocier un accord de cessez le feux avec la rébellion et ainsi ,éviter un enlisement a l’Afghane qui se profiler a fur a mesure du temps ,mais d'un autre coté ,contraint de se réajuster militairement de son objectif initiale (empêcher la chute du régime fasse aux révolutionnaires) pour la réorienter sur "l'épouvantail Daech" ,du moins pour le moment ! et par la ,peut être brulé la carte joker du régime qui lui ,trouver a travers cet armée terroriste (surement monter de toute pièces) cette légitimation d'écraser une révolution dans le sang ,une révolution d’ailleurs vue par l'ensemble de de la communauté internationale d'un très mauvais œil (et pourquoi d'ailleurs ?   ),d’ou le laisser faire et le silence radio de leur part ,pour les Russes avaient-ils le choix dans leur changement d'agenda sur la ligne a suivre du début ??? sans nul doute ,non ! pour ce retrouver en porte a faux et ainsi se retrouver dans une position incongrue et mettre a nue leur motivation principale (écraser le peuple syrien pour sauver son boucher) et être pris dans un flagrant-délit de mensonge (lutte contre le terrorisme) devant l'opinion mondiale et surtout le leur ???? et les voila un piégé par leurs propre stratagème !!!

Leur intervention a pour seul motif de maintenir Assad et son clan à la tête du pays ,après avoir donné l'illusion aux coalitions occidentale/islamique de s’être concentrer uniquement dans la lutte contre l'EI en libérant une moyenne et petite ville contre l'armée terroriste ,ils estiment maintenant pouvoir retourner sur leur objectif initiale ,les rebelles .

La reprise d'Alep sera certainement un enfer pour eux si ils décident de s'aventurer dans cette aventure ,pour différentes raisons :

-La première ,un bourbier les attendent ,la preuve les pertes énormes que subissent toutes les milices chiites (Hezb,irakienne,Iranienne) dans cette zone depuis des mois .
-la deuxième ,les rebelles en anticipaient le siège de la zone en ce préparant massivement en stockant d'énorme quantités d'armes .
-La troisième ,les allié des rebelles (KSA ,Turquie...) réagirons en aident les rebelles avec plus de livraisons d'armes .
-Et la quatrième ,et pas des moindres ,manpads ,les rebelles en possèdent quelques-uns ,livrer par leurs soutiens ,la preuve ,juste avant le réajustement militaire des Russes ,un Su à eux a été abattue par les rebelles ,et si les Russkov changent d'objectif en se réorientant sur les révolutionnaires ,alors livraisons de sol-aires en plus grandes quantités ,l’Afghanistan aura été une promenade comparer à ce qui les attendra .

vinseeld a écrit:

Quant au hezb ,il essaye de mener une offensive sur Al Eis au Sud d'Alep .

L'attaque des milices chiites pro-régime à Al-Eis a complètement échouée ,des dizaines de soldats tués et plusieurs autres faits prisonniers .

(vidéo disponible )

Citation :

Is Russia’s withdrawal from Syria a ruse?



The Russia announcement on March 14 that it was planning to partially withdraw troops from Syria did indeed result in recalling part of its forces from the battlefield. However, Moscow’s overall military involvement in Syria’s conflict was not reduced, as Russian fighting jets have continued to conduct nearly two dozen sorties daily against rebel groups, Russian military officials report. More importantly, the movement of Russian ships to Syria since President Vladimir Putin's announcement of the partial withdrawal indicates that Moscow has shipped more equipment and supplies to Syria than it has brought back in the same period, a Reuters report shows. Therefore, it is important to carefully reexamine Putin’s announcement in light of the news report and verify if Putin’s announcement was a trick to fool everyone, including his allies, and gain more leverage in the conflict.



Russia’s intervention in Syria was announced on September 30, 2015 and its aim was mainly to stabilize the Syrian regime and secure a better position at the negotiating table to end Syria's five-year conflict. Russia’s air campaign focused on bombing armed opposition groups and civilians opposing Assad’s regime, which enabled the regime to recapture key areas across the country from rebels. But suddenly, Putin made his shock announcement on March 14, ordering the withdrawal of the major part of his country's forces in Syria. “I feel that the objective set before the Defense Ministry and the Armed Forces is generally fulfilled, so I order the Defense Ministry to begin withdrawing the main part of our military group from the Syrian Arab Republic beginning tomorrow,” Putin stated. However, Russia has kept a considerable part of its forces, along with its main air and naval installations, active in Syria, which allows it to resume operations with relative ease and rapidity.



Analysts interpreted the Russian partial withdrawal in differing ways, with the majority of interpretations focusing on projecting their ideas rather than investigating beyond the surface of the announcement. It is fair to say that there are some indications that the withdrawal is genuine; there is also solid evidence that the withdrawal could be a ruse. Military officials in Moscow stated on March 18 that Russian aircrafts would continue to fly tens of missions a day against targets in Syria despite the announced pull-out. The heavy presence of Russian airstrikes was obvious last week in the Syrian regime’s offensive to recapture villages in south Aleppo on April 6. This indicates that the Russian partial withdrawal didn’t significantly affect the military capacity of the Russian forces in Syria to support regime during key operations.



Moscow has in fact shipped more equipment and supplies to Syria than it has brought back in the same period, according to an exclusive report by Reuters. While it’s unknown what the ships were carrying, the Reuters report claims the movements suggest a massive effort by Moscow to maintain its military infrastructure in Syria and keep regime forces supplied. The report argues that there is no sign of any slowing down on the scale of equipment and supplies sent to Syria. Furthermore, Russia is also likely to have reinforced its naval force in the Mediterranean Sea and now appears to have more warships near the Syrian coast than at the time of Putin’s withdrawal declaration. These warships, which reportedly number more than a dozen, are equipped with long range cruise missiles and give Moscow the option of firing missiles from the sea. Moscow had previously reported the launching Kalibr cruise missiles at targets inside Syria.



If the reports of continued military build are true, why would Putin go through all the trouble to convey the perception that Russia was withdrawing? According to Danielle Ryan, a media analyst, Putin’s quick withdrawal proves that Putin’s decision to intervene was right and successful, contradicting the Western narrative on Russia’s intervention. “The Western narrative of the Russian intervention revolved around the idea that Vladimir Putin was making a huge gamble, setting himself up to get bogged down indefinitely and that it would be his ultimate undoing,” Ryan argued. Additionally, Moscow gains more leverage on both its enemies and allies by scaling back its direct military support. The limited withdrawal could scare Assad and push him to make more compromises. Russia in the past challenged the Syrian regime’s ambitious declaration that its stated goal was to retake the whole country. Furthermore, the Russian announcement will please the US, who will be keen to compromise and work with what appears to be a moderating Moscow.



“Moscow had been planning to scale down its operations in Syria due to financial reasons and in order to push the political solution forward while it still had the upper hand. Putin played his cards right by claiming a victory and scaling down publically instead of discreetly,” said a diplomatic source based in Brussels who spoke on condition of anonymity.



The announcement was a clever tactical move as it has allowed the Russians to frame a partial withdrawal as a victorious end to a limited, focused military campaign. “It really is a brilliant move to call something by another name. It is as if it started to rain and we announced a program to clean the city,” said Pavel Felgenhauer, a Russian military analyst. The partial withdrawal announcement could also serve to protect Putin from future failures in Syria, as he has already labeled his intervention there as a victory.



The importance of differentiating between a necessary scaling down and a partial withdrawal is not just a technical detail, it helps one understand the strategy behind the Russian move. More research is needed to reveal what Russian military capacity in Syria truly is and whether their partial withdrawal was a strategic decision or tactical necessity. The assumption is that Putin cannot be so devious. But seriously, can’t he?

https://now.mmedia.me/lb/en/commentaryanalysis/566860-is-russias-withdrawal-from-syria-a-ruse

Citation :

Syrie: Législatives alors que chaque camp se prépare à la grande bataille d'Alep

En Syrie, le régime organise, ce mercredi 13 avril, les deuxièmes élections législatives depuis le début de la crise, en 2011, dans les régions qu’il contrôle. Quelque 11000 candidats se présentent à ce scrutin, non reconnu par les capitales occidentales alors que les combats font rage dans la province d’Alep, entre l’armée syrienne et les groupes rebelles.

Les violents combats qui se déroulent au sud et au nord d’Alep, après un mois de calme, ne sont qu’un avant-goût de ce qui attend cette province. L’armée syrienne et le Front al-Nosra, la branche syrienne d’al-Qaïda, se préparent à une grande bataille, jugée décisive par le directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme, Rami Abdel Rahman.

Le régime et ses alliés attendent la fin des élections législatives, ce mercredi 13 avril, pour lancer une vaste offensive dans la province d’Alep, estiment les experts. Le Front al-Nosra, lui, n’a pas attendu. Selon un général russe, Sergueï Roudskoï, les jihadistes et leurs alliés ont massé 9500 hommes pour cette bataille, avec pour objectif de couper la route Alep-Damas et de reprendre le terrain perdu en janvier et février.

Au sud d’Alep, les rebelles ont gagné du terrain après plusieurs jours d’offensive. Des sources concordantes avancent le bilan de centaines de morts et de blessés dans les deux camps. Parmi les victimes, figurent 14 combattants du Hezbollah et 16 militaires iraniens, selon l’OSDH.

Pour l’instant, l’armée syrienne et ses alliés restent dans une logique défensive. Mais en prévision de la vaste offensive qu’ils planifient, ils acheminent à Alep d’importants renforts en hommes et en matériel

http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160413-syrie-chaque-camp-fourbit-armes-grande-bataille-alep

Citation :

Moins d’avions russes en Syrie mais toujours autant d’implication

Après la victoire de Palmyre, qui a eu un retentissement international, Moscou joue toujours un rôle important dans les combats.

Un mois après l'annonce surprise du « retrait » partiel des forces russes de Syrie, les incessants décollages d'avions de combat ne déchirent plus le ciel de la base aérienne de Hmeimim mais Moscou joue toujours un rôle-clé dans les combats. Une dizaine d'avions sont stationnés sur le tarmac de ce site militaire du nord-ouest de la Syrie, dans un fief du régime de Bachar el-Assad. Non loin, le radar géant d'un S-400 – le plus moderne des systèmes de défense aérienne dans l'arsenal russe – tournoie sans discontinuer. Mais lors d'une récente visite organisée et étroitement encadrée par les autorités russes, un journaliste de l'AFP a pu constater que l'activité y avait considérablement baissé depuis décembre, lorsque les opérations russes de bombardements battaient leur plein dans le ciel Syrien. À cette époque, lors d'une première visite de ce type, le bruit assourdissant des appareils russes était incessant. Cette fois, aucun décollage n'a eu lieu et le nombre d'avions visibles a baissé. « Plus de 20 appareils ont été retirés – notamment des Su-34, des Su-24 et tous nos Su-25, ainsi que des hélicoptères Mi-8 et Mi-24 », explique à l'AFP un porte-parole militaire russe. « Moins de la moitié de nos avions sont restés » sur la base de Hmeimim, affirme Igor Konashenkov.
Fin septembre, Moscou avait accouru en soutien à son allié Bachar el-Assad en déployant des forces conséquentes en Syrie, pays déchiré depuis cinq ans par un conflit complexe qui a fait plus de 270 000 morts et contraint des millions de personnes à fuir leurs foyers.
En mars, Vladimir Poutine a pris tout le monde de court en annonçant un « retrait » de l'« essentiel » du dispositif russe, quelques jours après le début d'une trêve entre régime et rebelles initiée par Moscou et Washington et alors qu'une session de négociations intersyriennes se tenait sous l'égide de l'Onu à Genève. Le président russe estimait alors que la mission du contingent russe avait été « globalement accomplie », l'intervention de Moscou – quelque 9 000 raids aériens – ayant permis aux forces prorégime de reprendre du terrain face aux rebelles.

« Rôle essentiel »
Mais la Russie l'avait prévenu, elle allait garder une présence militaire en Syrie. Et depuis ce « retrait », Moscou a effectivement continué d'appuyer Damas, l'aidant à enregistrer plusieurs victoires contre les jihadistes du groupe État islamique (EI), exclus de la trêve. Palmyre, une ville dont la cité antique est classée au patrimoine mondial de l'humanité, a été reprise fin mars par les forces prorégime. Peu après, c'est la localité d'al-Qaryatayn (centre) qui est revenue dans le giron gouvernemental. L'armée russe insiste sur le fait que son implication dans ces offensives a essentiellement été aérienne, avec le bombardement des positions de l'EI autour de ces villes puis des convois de renforts jihadistes qui tentaient de les atteindre.
En ce qui concerne les troupes au sol, le discours officiel de Moscou reste que l'artillerie et l'infanterie n'étaient pas présentes au front, même s'il admet que des conseillers et des forces spéciales au sol ont joué un rôle « essentiel » dans la préparation et l'exécution des opérations.
L'armée russe a toutefois reconnu la mort d'un de ses soldats au sol à Palmyre, expliquant qu'il avait demandé que sa position soit bombardée car il était encerclé par des combattants jihadistes.
Après la victoire de Palmyre, qui a eu un retentissement international, l'implication russe en Syrie semble loin d'être terminée.
Alors qu'un deuxième round de négociations intersyriennes de paix doit commencer aujourd'hui en Suisse, le cessez-le-feu semble de plus en plus fragile, surtout autour de la ville d'Alep (Nord), où les Russes accusent les jihadistes du Front al-Nosra, branche syrienne d'el-Qaëda, d'avoir convaincu des groupes rebelles de se battre à leurs côtés contre le régime malgré le cessez-le-feu et d'avoir ainsi mobilisé des milliers de combattants.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), al-Nosra est également passé à l'offensive contre le régime dans les provinces de Hama (centre) et Lattaquié (Nord-Ouest), berceau d'Assad et de sa communauté alaouite. Au moment de l'annonce du « retrait » russe, Poutine avait prévenu qu'il ne faudrait que « quelques heures » à Moscou pour se redéployer en cas de besoin. « Tout ce dont nous avons besoin (pour mener des opérations en Syrie) est toujours » à Hmeimim, prévient Igor Konashenkov, le porte-parole militaire russe.

http://www.lorientlejour.com/article/980631/moins-davions-russes-en-syrie-mais-toujours-autant-dimplication.html

La 1er division Côtière cible avec un ATGM un camion de transport de troupes du régime dans la zone de Lattakié .




Et sur celle-la c'est une pièce D'artillerie qui est pris pour cible ,toujours avec un ATGM ,Alep .

Après avoir divisé les rebelles dans une poche au nord d'Alep à proximité des frontières Turc ..



L'EI se fait repousser au Nord de Baraghitah par les rebelles qui reprennent le contrôle de Haw Killis et Ikdah .

MAP de l'offensive et contre-offensive .

MAP sur lesoffensives de ses derniers heures dans la région d'Alep .

Un T55 du régime pris pour cibles par un TOW sur le front de Handart ,Alep .




D'autre tire de TOW toujours sur Handarat .

Les réfugies syriens fuyant l'EI coincé à la frontière Turc .

Soldat Russe en mode camouflage ,endroit inconnue .




La garde républicaine syrienne .










Gazelle du régime a Palmyre .

Offensive de l'EI sur les rebelles à Tall Shair (Nord d'Alep) .




Sinon les rebelles reprennent à l'EI KafrGhan et Baraghida (Nord d'Alep) .

Hier soir l'EI c'est attaquer aux positions du régime à l'Est de Khanaser dans la région de Jebel Shoebat .








Énormément d'armes saisi par l'EI .

MAP de l'attaque de l'EI sur les position du régime .









Prises de l'EI sur les forces du régime à Khanasir (Sud d'Alep) ,les forces d'Assad très généreuse !








































Document des milices chiites iraniennes et irakiennes tué dans l'attaque .

De l'équipement lourd Russe vient d'arrivé dans le dessert de Palmyre (radar pour localiser l'artillerie ennemie) .






Entièrement chargé un navire russe de Minsk transite vers le sud du Bosphore en route vers Tartous .

MAP dans la zone de Khanasir (Sud d'Alep) .






D'uatre photo des prise de l'EI .

Réfugiers syriens fuyant les combats au Nord d'Alep ,coincer à la frontière Turco-Syrienne .

Citation :

Refugees Caught Between ISIS and Turkey Border Wall

Yesterday ISIS successfully counterattacked against rebel forces in the north of Syria, forcing them to retreat to more secure areas of the Azaz pocket. This retreat brought ISIS close to a large number of internally displaced persons (IDP) camps along the border with Turkey.

According to reports from activists on the ground, ISIS then proceeded to overrun these camps causing several deaths and large fires. Photos as well show many refugees fleeing the area, while Human Rights Watch claims that up to 30,000 people had been displaced by the fighting over the last 48 hours.


http://www.conflict-news.com/articles/refugees-caught-between-isis-and-turkey-border-wall

Citation :

Netanyahu: le plateau du Golan «restera pour toujours dans les mains d'Israël»




Au moment où à Genève la communauté internationale discute et négocie l'avenir de la Syrie, Israël entend bien jouer ses cartes. Le Premier ministre israélien promet que le plateau du Golan, un territoire syrien annexé en 1981 resterait « pour toujours » dans les mains d’Israël. Ce dimanche, Benyamin Netanyahu a même animé un Conseil des ministres au grand complet sur le plateau du Golan.

C'est la première fois, depuis la conquête du Golan en juin 1967, que le gouvernement israélien se réunit sur le plateau pour sa réunion hebdomadaire. Un acte symbolique à un moment où une solution à la guerre civile syrienne est envisagée.

Et le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a tenu d'emblée à faire passer son message. « Le temps est venu que la communauté internationale comprenne la réalité et surtout deux éléments de base : d'abord, quoiqu'il arrive la frontière ne va pas bouger et deuxièmement, il est grand temps après 50 ans que le monde reconnaisse finalement que le Golan restera de manière permanente sous souveraineté israélienne », a-t-il déclaré.

Déjà la semaine dernière Netanyahu avait visité des positions militaires sur le Golan et avait laissé entendre que l'armée israélienne avait effectué denombreuses opérations en territoire syrien pour empêcher le renforcement du Hezbollah et de ses alliés.

L'avenir du plateau a également été évoqué, il y a quelques jours, lors d'une conversation téléphonique entre le chef du gouvernement israélien et le secrétaire d'Etat américain John Kerry et devrait être au centre de la rencontre entre Netanyahu et Poutine, le mois prochain à Moscou.

http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160417-netanyahu-declare-plateau-golan-restera-toujours-israelien