Sujet: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 6 Mai 2016 - 16:15
Rapport des combats au Sud d'Alep .
Les rebelles ciblent BMP du régime au TOW dans la province de Hama .
Une quinzaine de pro-régime capturer par les rebelles au sud d'Alep ,pas vraiment une tête qui répond au stéréotype du soldat de la grande Armée Arabe Syrienne !
jf16 General de Division
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Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 6 Mai 2016 - 16:32
Citation :
Syrie : la guerre clandestine de Washington
Alors qu’après huit semaines de trêve, les hostilités ont repris de plus bel en Syrie, les révélations de la presse libanaise pourraient bien marginaliser le rôle diplomatique de Washington dans le règlement du conflit et renforcer celui de Moscou.
Après avoir échoué à monter une armée de volontaires syriens luttant à la fois contre les forces loyalistes et djihadistes, le Pentagone a perdu la fidélité du YPG kurde rallié à Moscou. Par ailleurs le Los Angeles Times révélait fin mars que la CIA jouait son propre jeu à l’ouest, près d’Alep, avec un groupe djihadiste proche des frères musulmans et financé par le Qatar, Fursan al-Haq. Alors que le Congrès américain avait interdit toute aide en matériel à ce groupe en décembre 2014, la découverte que la moitié des missiles TOW aient été trouvés en possession du Front Al-Nosra, lié à Al-Qaida, laissait supposer que la CIA avait poursuivi sa coopération avec ce groupe pour tenir en échec l’offensive russe.
Puis, selon le quotidien L’Orient/Le Jour, 3 000 tonnes d’armes et de munitions auraient été livrées depuis le mois de décembre 2015. Un premier cargo serait parti de Bulgarie le 5 décembre pour Constanza, en Roumanie, puis arrivé à Aqaba dix jours plus tard avec à son bord 81 containers, dont 994 tonnes de mitrailleuses AK-47 et PKM mais aussi de calibres 12,7 mm et 14,5 mm pour véhicules, ainsi que 864 tonnes de missiles antichars russes Fagot et Factoria, et de lance-roquettes RPG-7, destinés à être acheminés par la route jusqu’en Syrie en traversant le territoire jordanien. Un second cargo aurait quitté la Bulgarie le 28 mars avec à son bord 2 007 tonnes d’armements et 162 tonnes d’explosifs.
Une opération dont le manque de discrétion frise la caricature, puisque l’achat de ces matériels à la Bulgarie et leur transport par des sociétés américaines avaient fait l’objet d’un appel d’offres publié sur le site FedBizGov.org en septembre dernier !
Cette stratégie pourrait se révéler des plus périlleuses, depuis les révélations de l’ancien leader d’Al-Nosra, Jabhet el-Thouwar, sur les stratégies de rachat des armements livrés aux groupes alliés des Américains, et de là leurs disséminations sur d’autres théâtres, au Yémen, en Somalie, mais surtout en Afrique du Nord et au Mali.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Sam 7 Mai 2016 - 6:50
http://www.lorientlejour.com/article/984580/les-structures-medicales-nouvel-enjeu-du-conflit-syrien-.html a écrit:
Les structures médicales, nouvel enjeu du conflit syrien ?
L'ONG Médecins sans frontières (MSF) s'est penchée, au cours d'une conférence à Beyrouth, sur une nouvelle forme de guerre face à laquelle le droit international reste impuissant.
Entre mars 2011 et février 2016, quelque 358 attaques contre des structures médicales auraient été perpétrées en Syrie. Parmi ces frappes, 288 ont été perpétrées par le régime, 16 par la Russie, 13 par l'État islamique (EI) et 11 par des groupes armés rebelles, selon l'ONG américaine Physician for Human Rights (PHR). Dernières attaques en date, celles de structures médicales à Alep, dans le Nord syrien. Dénonçant fermement ces attaques lors d'une conférence organisée mercredi 4 mai à l'Université américaine de Beyrouth (co-organisée avec Issam Farès Institute), Médecins sans frontières (MSF) rappelle qu'aux yeux du droit international, cette pratique, devenue courante en Syrie, constitue « un crime contre l'humanité ».
Une nouvelle stratégie militaire semble donc naître en Syrie, et l'hôpital civil d'al-Qods en a fait les frais la semaine dernière. « Non moins de 54 personnes sont mortes suite à des frappes aériennes. Six d'entre elles faisaient partie du personnel médical », indique à L'Orient-Le Jour Muskilda Zancada, chargée de mission pour MSF en Syrie, de passage dans la capitale libanaise. « Il n'y a plus de laboratoire. Près de 80 % de la pédiatrie a disparu également. On découvre petit à petit les dégâts, mais le 3e et le 4e étages sont entièrement détruits », ajoute-t-elle, précisant que l'hôpital ne pourra rouvrir que dans deux semaines. De leur côté, les rebelles ne sont pas en reste : ils ont ainsi attaqué mardi une maternité à l'ouest d'Alep, faisant 19 morts, dont un bébé venant tout juste de naître. « Ce phénomène est vraiment nouveau. Nous avons découvert cela en Syrie », s'étonne Françoise Bouchet-Saulnier, directrice juridique de MSF, également présente lors de la conférence. Devant une telle escalade de violence, la question de l'intentionnalité est soulevée. « Personne n'avoue avoir bombardé volontairement », réfute aussitôt la juriste de MSF, affirmant à L'Orient-Le Jour que « ces attaques doivent cesser. Peu importe qu'elles soient justifiées ou non ».
Méthode de la double frappe De plus en plus fréquents, ces bombardements ont plusieurs objectifs. Avant tout, le personnel de santé est visé, puni donc pour ses affiliations politiques présumées qui, pour beaucoup, sont visibles en fonction des personnes soignées, d'après Fouad Fouad, chirurgien de formation et physicien syrien, originaire d'Alep, qui ajoute que les attaques « visent également à faire peur aux médecins de l'ennemi ». La méthode de la double frappe témoigne de cette intentionnalité. « Elle consiste à frapper une première fois les civils. Un deuxième bombardement vient frapper les urgences lorsqu'ils se réfugient dans les hôpitaux. L'objectif est de porter un coup au moral de l'adversaire », en plus des dégâts considérables occasionnés par les deux frappes, précise le praticien.
Pour endiguer ce phénomène, une résolution a été votée mardi aux Nations unies sous l'impulsion de MSF et de Human Rights Watch (HRW), réaffirmant que les personnels médicaux et les centres de santé doivent impérativement être protégés lors des conflits. « Ce n'est que le début d'une bataille », explique Mme Bouchet-Saulnier. « Jusqu'à présent, nous vivions dans l'hypocrisie absolue disant que l'État ne faisait que se battre contre des groupes criminels. Le recours à la force des États était légitimé dans ses atrocités par le caractère démoniaque qu'il attribuait aux rebelles. »
Le problème vient du fait que le droit international se heurte au droit syrien. En effet, le régime, à la fois partie prenante dans la guerre et État souverain, peut édicter les règles du conflit. La législation internationale devrait garantir la sécurité des hôpitaux et l'accès aux soins, mais tout cela est effacé sur le terrain, le régime s'estimant en état de légitime défense, selon la directrice juridique de MSF. « L'État impose aux blessés de se faire soigner dans les hôpitaux militaires, développe la juriste. La présence de blessés dans les hôpitaux civils étant "interdite" » au regard des autorités syriennes, « le régime peut les bombarder sans inquiétude, ce qui constitue un moyen de dissuasion extrêmement fort ». Beaucoup se demandent si ces bombardements resteront impunis, mais « à ce niveau d'atrocité, l'idée d'une punition ne nous suffit pas », déplore Mme Bouchet-Saulnier.
Pendant ce temps, une aide logistique et médicale continue d'arriver aux hôpitaux d'Alep à travers un réseau de médecins syriens vers les zones contrôlées par les rebelles avec l'aide de MSF. Elle se fait de manière clandestine, car le gouvernement s'y oppose, explique la juriste. « Les Nations unies essayent d'autoriser l'approvisionnement en médicaments », sans succès, s'indigne la directrice juridique de MSF, alors que « des stocks sont prêts à être livrés ». En attendant, les médecins et les civils payent le prix fort du conflit, notamment à Alep où il ne reste plus que 70 à 80 médecins pour 250 000 habitants dans la partie non gouvernementale de la ville, selon Muskilda Zancada.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Sam 7 Mai 2016 - 6:55
http://www.lorientlejour.com/article/984579/alep-une-bataille-determinante-pour-lavenir-de-la-syrie.html a écrit:
Alep, une bataille déterminante pour l’avenir de la Syrie
Plus qu'aucune autre bataille, la deuxième ville syrienne est un épitomé des cinq ans de guerre qu'a connus la Syrie.
Quarante-huit heures. C'est le temps de répit que le régime et les rebelles ont offert aux Alépins, en acceptant de conclure une trêve après d'intenses pressions diplomatiques menées par Washington et Moscou. Après deux semaines de combats ayant fait plus de 280 morts, la ville plurimillénaire profitait ainsi hier d'un certain retour au calme. Plusieurs considérations amènent toutefois à penser que cette accalmie pourrait être de très courte durée.
La bataille d'Alep est d'une importance stratégique majeure pour toutes les parties au combat. Plus qu'aucune autre bataille, elle est un épitomé des cinq ans de guerre qu'a connus la Syrie. La communauté internationale est complètement absente et ce sont les civils qui souffrent le plus. Surtout, tous les grands acteurs du conflit y jouent un rôle important : le régime et ses alliés, qui contrôlent l'ouest de la ville et qui mènent une offensive pour ceinturer les zones occupées par les rebelles et pour couper les routes d'approvisionnement qui relient ces zones à la Turquie ; les « rebelles modérés » qui contrôlent l'est de la ville et qui tentent de résister à la triple offensive des forces du régime, des Kurdes du PYD (Parti de l'Union démocratique) et des jihadistes de l'État islamique (EI) ; le Front al-Nosra (branche syrienne d'el-Qaëda en Syrie) qui profite de cette bataille pour gagner de l'influence dans la région d'Alep où il n'est pas le plus important ; les Kurdes du PYD qui tentent de relier le canton d'Afrin à ceux de Kobané et de Jazira pour disposer d'une zone kurde unifiée à la frontière syro-turque; l'EI qui essaye de grappiller du terrain aux rebelles et qui défend ses positions dans les campagnes au nord-est d'Alep, notamment la ville de Dabiq où doit se dérouler, selon les jihadistes, la dernière bataille avant l'apocalypse.
Moscou maître du jeu À ces acteurs, plus ou moins locaux, s'ajoute le jeu des grandes puissances qui participent directement ou non aux combats. Les Russes, les Iraniens et leurs affranchis libanais, afghans, pakistanais, irakiens sont en première ligne pour soutenir le régime. L'opposition peut compter sur le soutien des Saoudiens, des Qataris et surtout des Turcs pour qui la bataille d'Alep est d'autant plus importante qu'elle les concerne directement : il s'agit d'éviter que le régime, les Kurdes du PYD ou l'EI mettent la main sur la dernière zone aux mains des rebelles à la frontière turco-syrienne.
La position américaine est, pour sa part, nettement plus ambivalente. Le porte-parole américain des opérations contre l'EI, le colonel Warren, affirmait le 20 avril, soit avant le début des opérations, que la partie est de la ville était essentiellement occupée par le Front al-Nosra pour expliquer pourquoi Alep était exclue de la zone de cessation des hostilités. Une affirmation pas tout à fait exacte puisque d'autres groupes, comme Ahrar el-Cham, sont plus importants qu'al-Nosra dans cette zone – affirmation donc qui pouvait signifier que Washington ne s'opposait pas à une reprise des hostilités à Alep. Washington aurait pourtant, dans le même temps, fourni de nouveaux armements aux groupes rebelles et a critiqué à plusieurs reprises la reprise des hostilités.
Les Américains, dont la marge de manœuvre sur le terrain syrien s'est considérablement réduite depuis l'intervention russe en septembre 2015, ne semblent pas faire de la bataille d'Alep une priorité. Tout juste sont-ils prêts à fournir assez d'armes aux rebelles pour faire durer l'offensive du régime et pour éviter que le Front al-Nosra ne gagne davantage d'importance par rapport aux autres groupes. L'administration Obama continue de faire de la lutte contre l'EI et de la préparation de la bataille de Raqqa sa priorité en Syrie. On est loin du fameux plan B annoncé par le secrétaire d'État américain John Kerry au moment des dernières négociations de Genève.
Compte tenu de la passivité américaine, Moscou est le seul maître du jeu de la bataille d'Alep. La Russie, qui considère que cette bataille fait partie intégrante de la lutte contre le terrorisme, sait à quel point son issue peut être déterminante pour l'avenir de la Syrie. Si les rebelles perdent la partie est d'Alep, ils seront totalement isolés tant sur le plan militaire que diplomatique. S'il reprend la partie est de la ville, Bachar el-Assad se retrouvera une nouvelle fois renforcé et il sera encore plus difficile de négocier son départ. L'enjeu est vital pour les rebelles. Capital pour la Syrie. Primordial pour la crédibilité de la communauté internationale...
http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160506-syrie-camp-deplaces-idleb-assad-nosra-al-qaida a écrit:
Syrie: indignation après l'attaque d'un camp de déplacés
La France a demandé une enquête « impartiale et indépendante » pour faire la lumière sur le bombardement d'un camp de déplacés en Syrie. Au moins 28 personnes dont des femmes et des enfants ont perdu la vie dans cette attaque qui s'est produite jeudi soir dans la province d'Idleb, dans le nord de la Syrie. Le régime de Damas comme son allié russe nient être les auteurs du bombardement.
« Ces camps de tentes étaient installés depuis plusieurs semaines et faciles à voir du ciel » déclare le Haut-commissaire de l'ONU pour les droits de l'homme. Selon lui, le bombardement est très probablement « délibéré » et dans ce cas constitue un « crime de guerre ».
Dans le même communiqué, le Haut-commissariat des Nations unies pour les droits de l'homme évoque des rapports préliminaires suggérant que le gouvernement syrien est à l'origine de l'attaque. « Des informations qui restent à vérifier », précise toutefois cette même source.
De son côté, l'état-major syrien dément avec force, parlant « d'information fausse ». Même démenti de la part de Moscou, allié du régime de Bachar el-Assad : « aucun aéronef russe ou autre n'a survolé le camp », assure le ministère de la Défense.
Selon la Russie, le camp a pu être victime d'une attaque d'artillerie « préméditée ou accidentelle » de la part du Front al-Nosra, mouvement rebelle syrien lié à al-Qaida.
L'ONG Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) note que les victimes étaient des habitants de la province voisine d'Alep qui tentaient de fuir les combats dans cette région.
■ L’ONU condamne et pointe Damas du doigt
Avec notre correspondante à New York,Marie Bourreau
Si le régime de Bachar el-Assad avait voulu prouver qu’il n’était prêt à aucune concession, il ne s’y serait pas pris autrement. L’attaque du camp de réfugiés d’Idleb par les forces du régime ne fait guère de doute ici dans les couloirs de l’ONU, et ce, alors qu’une trêve avait été négociée de haute lutte entre Américains et Russes.
Les Russes comme les Syriens rejettent d’ailleurs la responsabilité de l’attaque aux rebelles qui ne disposent pas de moyens d’aviation. « C’est difficile à croire », a estimé le porte-parole de Ban Ki-moon alors que ce dernier se disait scandalisé de cette nouvelle attaque contre les civils syriens. Il a aussi demandé au Conseil de sécurité de saisir la Cour pénale internationale, la seule habilitée à ouvrir des enquêtes pour crimes de guerre en Syrie.
Mais les Syriens ont toujours bénéficié du soutien des Russes qui ont bloqué toutes les initiatives sur le sujet. Il y a peu de chance qu’il en aille autrement cette fois encore. Moscou a d'ailleurs démontré son soutien sans faille en s’opposant cette semaine à une déclaration du Conseil de sécurité condamnant l’offensive militaire sur Alep.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Sam 7 Mai 2016 - 7:12
http://www.lorientlejour.com/article/984676/nasrallah-accuse-larabie-de-mener-la-lutte-contre-le-hezbollah.html a écrit:
Nasrallah accuse l'Arabie de mener la lutte contre le Hezbollah
Le secrétaire général du parti chiite a également évoqué les élections présidentielle et municipales.
Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a accusé vendredi l'Arabie saoudite de mener la lutte contre le Hezbollah et les forces de la résistance dans la région. Sur le plan local, le leader du parti chiite a exhorté les Libanais à voter massivement aux élections municipales. Il a également appelé ceux qui accusent le Hezbollah d'entraver l'élection présidentielle de discuter avec les véritables parties prenantes de ce dossier.
Violente diatribe contre Riyad "L'Arabie saoudite est à la pointe du combat contre le Hezbollah et fait tout pour l'inscrire sur la liste noire", a déclaré Hassan Nasrallah lors d'un discours télévisé à l'occasion d'une cérémonie en l'honneur des soutiens à la Résistance islamique. Selon lui, "l'Arabie menace de couper ses aides à plusieurs pays afin de les pousser à adopter la position de Riyad".
"Ils ont toujours cherché à nous décrédibiliser", a expliqué M. Nasrallah, affirmant que "Riyad a placé sa puissance diplomatique et médiatique au service de sa guerre contre l'Iran". "Après nous avoir qualifié d'organisation terroriste, les tenants du projet américano-sioniste tentent de nous dépeindre comme une organisation criminelle, en nous accusant de blanchiment d'argent et de trafic de drogue", a-t-il expliqué. "La Ligue arabe et le Conseil de coopération du Golfe ont créé une liste d'organisations terroristes avec pour seul objectif d'attaquer le Hezbollah et les organisations liées à la Résistance", a souligné Hassan Nasrallah, saluant les pays arabes qui se sont opposés à la qualification de terroriste apposée au Hezbollah.
En mars, les pays du Golfe, emmenés par l'Arabie saoudite, avaient déclaré le Hezbollah "organisation terroriste". Cette décision était intervenue alors que les relations entre l'Iran et l'Arabie, les deux puissances régionales, sont au plus bas. Pour le royaume wahhabite, le Hezbollah, poids lourd du gouvernement libanais, sert de tête de pont à l'Iran pour s'ingérer dans les affaires des pays arabes. L'Arabie saoudite a suspendu en février une aide de 2,6 milliards d'euros au Liban et demandé à ses ressortissants de quitter ce pays. D'autres pays du Golfe ont arrêté et expulsé des citoyens libanais en les accusant de liens avec le Hezbollah.
Dénonçant les accointances de l'Arabie saoudite avec Israël, dont "l'amitié est devenue publique", M. Nasrallah a également dénoncé l'action de Riyad en Syrie et au Yémen. "L'Arabie saoudite déploie des efforts pour envenimer la situation sur le terrain au Yémen, plutôt que d'agir en vue de préserver le cessez-le-feu. Pour ce qui est de la Syrie, Riyad exerce de fortes pressions pour éviter toute idée de trêve, en particulier à Alep", a-t-il déclaré, mettant en cause le torpillage des négociations au Koweït et à Genève.
Présidentielle : "Rien de nouveau" Sur le plan local, Hassan Nasrallah, a exhorté vendredi ceux qui accusent le parti chiite d'entraver l'élection présidentielle de discuter avec les véritables parties prenantes de ce dossier. Le leader du parti chiite a également évoqué la question des élections municipales.
"Il n'y a rien de nouveau dans le dossier de l'élection présidentielle. Nous entendons les mêmes discours accusant le Hezbollah d'entraver cette échéance", a déclaré Hassan Nasrallah. "Ceux qui cherchent une solution à la vacance à la tête de l’État doivent discuter avec les véritables parties prenantes de ce dossier afin de sortir de cette situation", a-t-il poursuivi.
Le Liban est sans président depuis le 25 mai 2014. Les deux candidats favoris pour le moment sont le fondateur du Courant patriotique libre, Michel Aoun et le chef des Marada, Sleiman Frangié, tous deux issus de la coalition du 8 Mars. M. Aoun a reçu le soutien officiel du Hezbollah et du leader des Forces libanaises, Samir Geagea. M. Frangié est, lui, soutenu par Saad Hariri.
Le secrétaire général du Hezbollah a par ailleurs appelé les Libanais à voter nombreux aux élections municipales. "Il est très important de participer massivement à cette échéance dans toutes les localités du pays", a-t-il affirmé, soulignant l'importance de ménager les sensibilités politiques et familiales. "Le fait que les partis politiques soient parties prenantes de ces élections locales permet de calmer le jeu, notamment au vu de la situation dans le pays. Laisser les sensibilités familiales diriger seule l'échéance serait une erreur", a-t-il ajouté.
Les dates des élections municipales ont été fixées selon le calendrier suivant : le 8 mai à Beyrouth et dans la Békaa, le 15 mai au Mont-Liban, le 22 mai au Liban-sud, à Nabatiyé et à Jezzine, et enfin le 29 mai au Liban-nord et au Akkar.
Ils accusent l'AS d'ingérence !! doit t-on la prendre comme un blague ? lui et ça milice que font t-ils alors chez les autres ?? sa s’appelle comment si ce n'est pas de l’ingérence ??
Il parle "d'axe de la résistance" au motif qu'il seraient la résistance à l'oppression americano-sioniste !! encore une blague de ça part sans doute ! alors qu'a peine quelques semaines ils étaient appuyé en partie par l'aviation US dans les combats pour la reprise de Palmyre face l'EI !! manipulateur a 2 balle !
Ça sen la panique du coté des sbires de Téhéran !!
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Sam 7 Mai 2016 - 17:49
Images de drone lors de la bataille de Khan Tuman (Sud d'Alep) ,a peu prés 70 miliciens chiites tué dans les combats ,la plus part sont des étrangers (Iraniens ,libanais ,Afghans ....)
Armes saisi par le parti Islamique du Turkistan dans la bataille de Khan Tuman .
Jaysh Al-Fatah shoot un camion de munitions avec un ATGM dans le sud d'Alep .
Jaich Al-Fatah pousse vers le Sud d'Alep et soutenu par l'artillerie de Ahrar Al-Sham .
Les groupes rebelles lancent une campagne dans la région de Dera'a dans le Sud Ouest pour reprendre le dernier terrain encore sous contrôle de l'EI .
La brigade Saif Al-Sham (ASL) cible les dernières positions de l'EI dans cette zone .
Une mutinerie d'un millier de prisonniers dans les goles de Hama pour protester des conditions inhumaine de la prison et des exécutions a mort faite a l’intérieure ,le régime a procéder à un assaut a l'intérieur utilisant armes a feux et gaz .
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Sam 7 Mai 2016 - 21:49
vinseeld a écrit:
Soldats Iraniens tué lors des combats au Sud d'Alep .
http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160507-syrie-treize-militaires-iraniens-tues-region-alep a écrit:
Syrie: treize militaires iraniens tués dans la région d’Alep
Treize Gardiens de la révolution iraniens ont été tués en Syrie ces derniers jours, et 21 autres ont été blessés, dans la région d'Alep dans le nord du pays. Ils sont présentés comme des « conseillers militaires » par les médias iraniens.
C'est le plus grand nombre de militaires iraniens tués en Syrie. Selon les Gardiens de la révolution, il s'agit de 13 « conseillers militaires » tués dans la région d'Alep.
L'agence officielle Irna a affirmé que ces militaires ont été tués dans la région de Khan Touman, une localité située à une dizaine de kilomètres au sud-ouest d'Alep. Cette localité a été prise vendredi par les rebelles du Front al-Nosra, branche armée d'al-Qaïda.
L'Iran soutient financièrement et militairement le régime du président Bachar al-Assad. Ces derniers jours, les responsables iraniens ont répété qu'ils allaient continuer leur soutien pour combattre les groupes rebelles en Syrie.
Officiellement, l'Iran envoie seulement des conseillers militaires en Syrie. Mais il y a également de nombreux volontaires iraniens, Afghans ou Pakistanais qui se battent sur le terrain.
Ces dernières semaines, les médias iraniens ont fait état d'un renforcement de la présence des militaires iraniens sur le terrain. Un responsable de l'armée iranienne a également révélé que des soldats membres des troupes d'élite de l'armée iranienne étaient également envoyés sur place depuis peu pour conseiller l'armée syrienne.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Dim 8 Mai 2016 - 1:28
Kerry : "Assad est un dictateur brutal". Merci l'ami, à la semaine prochaine pour une autre déclaration.
Le hezb commence a manqué d'hommes ,c'est leurs enfants maintenant qu'ils envoient à la boucherie..... je comprend la panique et les diatribes de Nasralat dernièrement .....
Sinon une MAP de l'avancées de l'EI autour de la ville de Palmyre.
N: Territoire contrôlé par l'EI post-perte de Palmyre R: Territoire contrôlé aujourd'hui par le régime Syrien V: Positions prises par l'EI
kurahee Colonel-Major
messages : 2475 Inscrit le : 15/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Dim 8 Mai 2016 - 9:55
L'artillerie turque tue 55 membres de l'EI au nord d'Alep
kurahee Colonel-Major
messages : 2475 Inscrit le : 15/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Dim 8 Mai 2016 - 16:50
un avion de la chasse syrien a été descendu par un Manpad à Lattaquié
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Lun 9 Mai 2016 - 4:45
Les rebelles repoussent une attaque de milices iraniennes à Khan Tuman des dizaine ont été tués ou capturés .
Vidéo de la contre offensives du régime sur Khan Tuman .
Intense bombardement sur Khan Tuman .
Réunion assadiste brutalement interrompue par un tire de TOW rebelle à Khan Tamun .
Infographie des différentes factions qui s'affrontent dans le Sud d'Alep .
Capture d'ecran d'un téléphone d'un milicien chiite sur ce qui leur est arrivé à Khan Tuman ,je vous laisse lire l'échange !
Sur les miliciens tué à Khan Tuman ,du cash iranien .
Ces 4 combattants du régime sont tous frères ,tous tués à Khan Tuman pour l'amour de la chaussure d'Assad .
Semaine dure pour le régime ,un décompte rebelle des pertes gouvernementales dans les combats au Sud d'Alep ; 3 tanks, 3 BMP, 2 canons de 23mm , 8 Hezbollat, 30 IRGC tué, 46 Liwa al-Quds tué, 20 soldats du régime tué, 12 Hashd, et 20 Afghans .
Une arme vu pour la 1ère fois utilisé par le régime et les Russes au sud d'Alep .
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Lun 9 Mai 2016 - 4:59
vinseeld a écrit:
Une mutinerie d'un millier de prisonniers dans les goles de Hama pour protester des conditions inhumaine de la prison et des exécutions a mort faite a l’intérieure ,le régime a procéder à un assaut a l'intérieur utilisant armes a feux et gaz .
Spoiler:
http://www.lorientlejour.com/article/984802/un-mutin-de-la-prison-de-hama-temoigne-la-liberte-ou-la-mort.html a écrit:
"La liberté ou la mort" : un mutin de la prison de Hama livre son témoignage à L'Orient-Le Jour
Mazen* raconte ses conditions de détention et revient sur la mutinerie entamée par les prisonniers lundi dernier.
Depuis lundi dernier, la prison de Hama, dans le centre de la Syrie, est le théâtre d'une mutinerie. Les quelque 800 détenus, qui retiennent dix gardiens en otages, protestent contre le transfèrement de prisonniers vers la prison militaire de Saydnaya, près de Damas, où de nombreuses exécutions de détenus ont été recensées, d'après l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Parmi les mutins, Mazen*, un Syrien de 32 ans, incarcéré à Hama depuis quatre ans.
Interrogé par téléphone par L'Orient-Le Jour, Mazen, au bout de l'espoir, se montre ferme et résolu. « Nous n'avons plus d'avenir, on ne cesse de nous mentir. Ailleurs, des détenus ont été libérés : à Damas, à Homs, à Lattaquié, à Tartous, mais jamais à Hama. On nous dit que nous sommes des fauteurs de troubles ».
Ce n'est pas la première fois que Hama est le théâtre d'une mutinerie. Par le passé, les prisonniers avaient refusé d'être présentés devant un tribunal. Finalement, la mascarade de justice avait eu lieu au sein de la prison. « C'est pourquoi cette fois, la mutinerie ne s'arrêtera qu'avec notre libération ou notre mort ».
Depuis le début de la révolte en Syrie, Mazen est passé à plusieurs reprises par la case prison. Aux premiers jours de la révolte, en 2011, ce photographe et jeune marié participe aux manifestations contre le régime. Rapidement, il est arrêté. « Après six mois de détention, j’ai déboursé une grosse somme d’argent et j’ai été libéré. Mon épouse venait d’accoucher », raconte-t-il, joint par téléphone, à L'Orient-Le Jour.
« J’ai vu la mort dans ses yeux » Alors que le soulèvement populaire, brutalement réprimé par le régime, dégénère en conflit armé, Mazen décide de prendre ses distances. « Je me suis enfermé à la maison parce que mon seul souci était de travailler et de garantir l'avenir de mon enfant », confie le jeune homme. Mais un jour d’octobre 2011, alors qu’il se rend à Alep, il est arrêté à un barrage par une milice relevant du régime. « Ils voulaient me confisquer ma voiture, j’ai refusé. Ils m’ont alors traité de traître et d’ancien prisonnier politique. ». Après un vif échange, Mazen est emmené au siège des services de renseignements à Hama. « Ils m’ont interrogé et battu pendant six mois. Ils m’ont humilié, insulté, traité de terroriste. On voulait faire de moi un meurtrier alors que je suis incapable de tuer un insecte ou de frapper un être humain ».
Pendant longtemps, Mazen s’accroche à la vérité : s'il reconnaît avoir manifesté contre le régime, il refuse d’admettre, comme on le lui demande, qu’il a pris les armes. « Plutôt mourir que de dire que j'étais un terroriste. Mais un jour, alors que j’étais interrogé par un sergent, j’ai vu la mort dans ses yeux : il a clairement menacé de me tuer si je ne disais pas avoir pris les armes ».
Ne supportant plus les coups et les menaces, Mazen avoue tout ce qu'on lui demande d'avouer. « On m’a emmené chez le juge, je lui ai montré mon bras cassé et mon dos brûlé. Je lui ai assuré que je n’avais jamais tué qui que se soit, que j’étais passé aux aveux sous la torture. Mais le juge de Hama n’a aucun pouvoir ».
C’est alors que débutent de longues années d'incarcération. « A chaque fois que je devais passer devant un juge, on reportait le procès de trois mois. Après plusieurs reports, j’ai refusé de me rendre au tribunal où j’étais sans cesse humilié, insulté et roué de coups...»
(Pour mémoire : Les enquêteurs de l'Onu accusent Damas d'« exterminer » des détenus)
« Il faudra marcher sur nos cadavres » Plus de 200 000 personnes ont été détenues dans les prisons du régime depuis 2011, selon l'OSDH qui s'appuie sur un vaste réseau d'informateurs à travers le pays. Plusieurs dizaines de milliers de prisonniers politiques seraient morts sous la torture, 14 000 cas ayant été répertoriés par l'ONG.
C'est pour éviter que les noms de détenus de Hama ne viennent grossir la liste des victimes, qu'a été lancée la mutinerie lundi dernier.
« Nous protestons contre le transfert de certains d’entre nous, dont deux ingénieurs, vers la prison militaire de Saadnaya, raconte Mazen. Ils vont être exécutés là-bas. Lorsque les policiers sont arrivés à 6h du matin lundi dernier pour les emmener, nous les avons protégés. Nous avons dit aux policiers : Il faudra marcher sur nos cadavres pour emmener ces détenus ».
Et Mazen de poursuivre : « La police militaire est alors intervenue et a demandé au directeur de la prison de livrer les prisonniers. Ce dernier assurant qu'il ne pouvait rien faire, ils ont alors essayé de les prendre par la force. Nous nous sommes alors munis de tout ce qui peut servir d'armes, des morceaux de fer ou de bois, et nous avons pris le contrôle de la prison. Nous avons également pris les gardiens en otage. Quand les négociations ont commencé, nous en avons profité pour avancer des revendications concernant notre libération et notre avenir. »
« Nous n’ouvrirons la prison que pour en sortir » Selon Mazen, les autorités ont promis de libérer progressivement les prisonniers. « Nous leur avons répondu que nous ne leur faisons pas confiance. Près de 1 500 éléments armés ont alors encerclé la prison. Ils ont coupé l’eau et l'électricité avant de tirer des bombes lacrymogènes en nous insultant ».
Les prisonniers ont alors demandé que la Croix-Rouge mène les négociations, mais les forces du régime ont refusé. « Vendredi, après la prière du matin, nous avons su que les forces de sécurité allaient lancer un assaut et occuper la prison par la force, poursuite le jeune Syrien. A partir de 9h, ils ont lancé des grenades lacrymogènes, tiré des balles en caoutchouc, puis des balles réelles. Il y a eu des cas d’asphyxie et plusieurs prisonniers ont été blessés, mais heureusement, aucun n'est mort ».
Samedi, on apprenait que l'assaut lancé par les forces de sécurité avait échoué. Ces dernières ont néanmoins arrêté des proches de détenus qui s'étaient rassemblés autour du bâtiment, inquiets du sort des prisonniers.
L'affaire dépasse désormais les frontières syriennes. L'opposition a exhorté la communauté internationale à « assumer ses responsabilités et empêcher des représailles du régime à l'encontre des détenus ». Un grand nombre de détenus sont des prisonniers politiques, selon Paris qui a dit son inquiétude et appelé les alliés de Damas à faire pression «pour éviter un nouveau massacre en Syrie». L'Onu a également fait part de sa préoccupation.
Les négociations se sont poursuivies pendant le week-end. Mais Mazen et tous les prisonniers campent sur leur position : « Nous n’ouvrirons la porte de la prison que pour en sortir ».
Le leader de Jaish Al-Islam offre au régime d'Assad un échange de prisonniers en échange des 800 détenus de la prison de Hama .
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Lun 9 Mai 2016 - 5:06
kurahee a écrit:
L'artillerie turque tue 55 membres de l'EI au nord d'Alep
Le YPG n'est pas épargné non plus par les Turcs dans le secteur ,tous les deux considérer comme terroriste .
http://www.rfi.fr/moyen-orient/20160509-armee-turque-affirme-avoir-tue-55-membres-groupe-ei-syrie a écrit:
L’armée turque affirme avoir tué 55 membres du groupe EI en Syrie
La Turquie a mené d'intenses bombardements samedi soir contre des positions du groupe Etat islamique dans la région d'Alep, 55 djihadistes auraient été tués dans ces tirs d'artillerie. Une réponse d'Ankara aux tirs de roquettes qui ont visé sa frontière ces derniers mois, tuant notamment une vingtaine de personnes dans la ville de Kilis. En parallèle de cette offensive militaire, le président turc Recep Tayyip Erdogan mène une offensive verbale et diplomatique contre la coalition anti-jihadiste.
Depuis plusieurs semaines, pas un jour ne passe à Kilis – ville turque à une dizaine de kilomètres de la frontière syrienne, en face d’Alep – sans que l’artillerie turque ne réponde à des tirs de roquettes venus de l’autre côté des zones contrôlées par le groupe Etat islamique. Ces roquettes, souvent meurtrières, ont tué depuis janvier au moins 21 personnes, côté turc.
Ce week-end, la riposte semble avoir été particulièrement intense, causant, selon Ankara, de lourdes pertes dans les rangs des jihadistes. L’armée turque frappe Daech, mais elle renforce aussi sa coopération avec les pays de la coalition, partageant des renseignements sur les cibles jihadistes dans le nord de la Syrie.
Une coopération que le président turc juge toutefois insuffisante. Recep Tayyip Erdogan a même accusé la coalition d’avoir laissé la Turquie « seule » contre les jihadistes, qui attaquent non seulement Kilis mais ont aussi mené une série d’attentats-suicides sur le territoire turc.
« Aucun de ceux qui disent lutter contre Daech n’a payé un tel prix et infligé autant de pertes à l’organisation », a lancé le président turc, qui multiplie ces derniers jours les diatribes contre l’Europe et l’Occident en général.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Mar 10 Mai 2016 - 6:19
Vidéo pro-gouvernementale mettant en vedette les combats autour de Khan Tuman .
Liste du régime des miliciens Iraniens et affiliés tué dernièrement .
Citation :
Syria, list of regime militias, iranians and affiliates documented on 9/05/2016 as killed
Homs Documentary has published the following list of names documented on 09/05/2016 as killed in Syria.
Overall view : 8 officers killed in Khan Toman
1 Brigadier General (Iran)killed in Khan Toman : Shafi Shafi’i 1 Captain from Homs killed in Khan Toman 7 iranians killed killed in Khan Toman (5 First officers and 2 with no grades)
________________________________ نشرة قتلى مرتزقة أســد في #سورية الإثنين 9-5-2016 فيه ضباط
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Mar 10 Mai 2016 - 7:36
Ils avaient fuit la guerre dans leur pays d'origine pour aller la faire chez les autres ,Des Hazaras chiites (Afghans) importés par l'Iran .
Ce qui reste des miliciens chiites afghans tué à Khan Tuman .
Documents retrouver sur leurs cadavres .
Nouvelle attraction à Téhéran lors du salon du livre ,Prendre des photos en tant que combattants iraniens sur un arrière-plan du pays syrien en guerre .
A leur place je m'abstiendrai de cela .......la planète tourne très vite ,et pas impossible de voir un jour chez eux ce décor d’arrière-plan se matérialisé dans leurs villes .
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Mer 11 Mai 2016 - 5:38
http://www.telegraph.co.uk/news/2016/05/10/almost-700-iranian-troops-killed-in-syria-to-preserve-bashar-al/ a écrit:
Almost 700 Iranian troops and militia fighters 'killed in Syria' to preserve Bashar al-Assad
Almost 700 Iranian soldiers and militia fighters have been killed in Syria’s civil war, laying bare the scale and cost of Tehran’s intervention to preserve Bashar al-Assad’s grip on power.
Officially, Iran maintains that only “military advisers” have been deployed in Syria. But the state media has reported numerous battlefield casualties, with the Islamic Revolutionary Guard Corps (IRGC) disclosing last week that 13 of its fighters were killed near Aleppo.
About 2,000 troops from the Quds Force - the special forces wing of the IRGC - are present in Syria, according to the International Institute for Strategic Studies (IISS). In addition, 13 Shia militias have been identified among the forces fighting for Assad’s regime.
The IRGC provides these units with recruits, weapons, training and military planning. In total, at least 3,000 Iranian military personnel are believed to be in Syria.
Their losses on the battlefield are becoming increasingly severe. About 280 Iranians were killed in Syria between the onset of Russia’s intervention on Sept 30 last year and May 2, according to a tally compiled by the Levantine Group, a risk consultancy. The Iranian media reported another 400 “martyrs” in Syria between 2013 and mid-2015.
The 13 deaths in the most recent battle near Aleppo would bring the total number of Iranian dead to 693 in the last three years. Given that the first IRGC personnel arrived in Syria in 2012 and many losses have probably gone unreported, the real toll is almost certainly higher.
But the scale of the casualties casts doubt over Iran’s denials of any combat role. On Feb 16, Mohammad Javad Zarif, the Iranian foreign minister, told the European Parliament: “Iran does not have boots on the ground in Syria.” He added: “We have military advisers in Syria, as we have them in other places.”
As Mr Zarif spoke those words, Iranian military personnel were helping Assad’s forces to break through rebel lines and encircle Aleppo from the north. In the 16 days before Mr Zarif’s denial, at least 51 Iranian troops were killed in Syria, amounting to Tehran’s heaviest combat losses since the beginning of the war, according to the Levantine Group.
The presence of Iranian forces in Syria – along with their allies from Hizbollah, the Lebanese militia – has proved “indispensable” for Assad’s regime, said Emile Hokayem, a senior fellow at the IISS. “It is complicated, but certainly Iran’s support - both material and financial - has been a decisive factor in Assad’s survival,” he added.
Assad is one of Iran’s few allies in the Arab world. His survival in office provides Iran with a crucial overland supply route to Hizbollah in Lebanon.
But Iran has been less anxious to conceal its military role in Syria since the emergence of the Islamic State of Iraq and the Levant (Isil) as a formidable threat in 2014. Since then, Iran has presented itself as being foremost in the struggle against Isil.
“The emergence of Isil has given the Iranians a retrospective pretext for their presence in Syria,” said Mr Hokayem. “It’s easier for them today to justify the intervention in Syria. They have martyrs to celebrate.”
The mask slipped still further last month when the regime disclosed that soldiers from the army’s 65th Airborne Brigade had been sent to Syria. This was Iran’s first deployment of regular troops – as opposed to IRGC fighters – in a war outside the country since the conflict with Iraq in the 1980s.
At least two soldiers from the 65th Brigade have since been killed. The arrival of regular soldiers could be the army’s attempt to claim credit for joining the struggle against Isil. Their presence may also be a sign that the IRGC is short of manpower, particularly as its personnel are also present in Iraq, Lebanon and Yemen.
“It could be that the Revolutionary Guard is overstretched,” said Mr Hokayem. “It has many missions around the region and it could need the manpower.”