messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Sujet: Actualités Algeriennes Mar 17 Nov 2015 - 15:57
Rappel du premier message :
mourad27 a écrit:
soral sur l'algérie
wow il dit cash la réalité du pays , je retient ce qu'il dit : l'armé algérien a pour fonction elle ne fait la guerre à personne d'autres qu'a son propre peuple
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 1:07
Amgala Winner a écrit:
hahahaha mais ils sont sérieux ?
j'ai déjà dis que soit ils sont désespérés soit devenus fous pour fréquenter les n coréens, même les russes et chinois, n'en veulent pas!!
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 10:20
Nous entretenons des relations avec tout les pays du monde. En terme de presse, il ne fait aucun doute que nous avons la presse la plus libre des pays arabe et la plus critique contre le gouvernement. Ça n’empêche pas bouteflika d'avoir reçu l'ambassadeur de Corée du sud 3 jours avant
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 11:57
Arrête de dire n'importe quoi Fulcrum, tu parle de presse mais c'est du média votre pseudo président est intouchable et quand Semmar révèle les gâteries de sellal (fille) parues dans le livre alger-paris sur eldzairia weekend limite ils ont failli envoyer tout le monde en prison bien sur l’émission arrêtée et tous le monde mis au placard, votre presse est totalement à la faveur du régime et glaciale, les quelques soit disant libre, vivent l'enfer avec les coups bas, les descentes d'inspection de tous genre et d’ailleurs il ont presque tous mis la clé sous la porte, l'imagination faut l’arrêter.
mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 13:46
Citation :
« Réintroduire un vice-président en Algérie aurait pour objectif d’apaiser les craintes liées à la succession » de Bouteflika
L'interminable révision constitutionnelle est revenue sur le devant de la scène en Algérie. Le 19 décembre, le secrétaire général du FLN, Amar Saâdani, a déclaré que cette révision " interviendrait en janvier ", sans donner de précision quant à sa date ou à sa procédure d'adoption. Nous avons passé en revue les points chauds du débat avec la constitutionnaliste algérienne Fatiha Benabbou.
Annoncée dans la foulée des révoltes arabes en 2011 par le président Abdelaziz Bouteflika, la révision en profondeur de la Loi fondamentale est devenue l’Arlésienne de la politique en Algérie. Elle est régulièrement sortie des tiroirs pour montrer les bonnes intentions du pouvoir en matière de réforme institutionnelle. Le 19 décembre, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Amar Saâdani, a déclaré que cette réforme interviendrait finalement en janvier. Un avant-projet a été examiné la semaine dernière par un comité restreint de ministres présidé par Abdelaziz Bouteflika. Même si peu de contenu a filtré, quelques éléments de réforme commencent à cristalliser le débat en Algérie. Décryptage de Fatiha Banabbou, professeure de droit public à l’Université d’Alger.
Jeune Afrique : L’un des projets de la révision constitutionnelle serait de limiter à nouveau les mandats présidentiels. N’est-ce pas étrange, puisque c’est Abdelaziz Bouteflika lui-même qui a décidé de changer les textes à ce sujet, en 2008, pour pouvoir briguer un troisième et puis un quatrième mandat ?
Fatiha Benabbou : Pour tenter de comprendre ce revirement du président, on peut avancer deux hypothèses. La première est peut être que le pouvoir en place veut donner des gages de démocratie aux institutions internationales et aux partenaires de l’Algérie. La deuxième est que la suppression du verrou a été tellement critiquée par l’opposition, qu’il est fort probable que sa réintroduction dans la nouvelle révision relève de la tactique de la » vente concomitante » : » On vous concède ce point mais on règle la succession au pouvoir par le biais du dauphinat comme cela se passait dans le bon vieux temps dans les pays africains (un outil pratique garantissant la transmission du pouvoir présidentiel à un héritier sur mesure, ndlr) « . C’est là que la création d’un poste de vice-président entre en jeu.
La création d’un poste de vice-président vous semble-t-elle être une mesure pour pallier à une éventuelle vacance de pouvoir due à la maladie d’Abdelaziz Bouteflika ?
La création d’une vice-présidence était déjà prévue par l’article 112 de la Constitution de 1976 pour seconder et assister le président de la République dans sa charge. Mais elle a été grevée d’une double tare. D’abord, elle demeurait une simple faculté entre les mains du chef de l’État qui pouvait, à sa guise, s’adjoindre un ou plusieurs vice-présidents. Ce qui, finalement, n’est jamais arrivé. De surcroît, simplement nommé, le vice-président ne disposait d’aucune légitimité élective en mesure de faire ombrage au président.
L’institution d’une vice-présidence n’a jamais vu le jour, tant était grande la hantise de voir cette autorité s’instituer en centre de pouvoir autonome. Par ailleurs, ses fonctions s’inscrivaient dans un strict rapport de délégation et étaient réduites à leur portion congrue par l’effet de l’article 116 qui rétrécissait considérablement les matières susceptibles d’être déléguées. Simple délégataire, il ne pouvait, en aucune manière, concurrencer le Président.
Par conséquent, quoique confiné dans son statut, l’institution d’une vice-présidence n’a jamais vu le jour, tant était grande la hantise de voir cette autorité s’instituer en centre de pouvoir autonome. Or, en habile et fin connaisseur du système politique algérien, le défunt Président Boumediène savait pertinemment que les turbulences et les crises étaient inévitables dès qu’une forme ou une autre de polycentrisme apparaissait.
Aujourd’hui, la création de ce poste de vice-président aurait pour objectif d’apaiser les craintes nées du problème toujours pénible et délicat de la succession présidentielle. Un vice-président pourrait éviter les surprises inévitablement liées à l’intérim, de même que les tensions ravivées par les convoitises et les appétits du pouvoir. Dans un pays où le processus d’institutionnalisation du pouvoir est inachevé, l’intérim s’est révélé le talon d’Achille de la légitimité constitutionnelle. Signe d’une instabilité politique chronique, le pays s’apprête, actuellement, à vivre une succession à hauts risques.
Selon l’entourage du président, la prochaine Constitution pourrait consacrer un État » civil « . L’Algérie n’est pourtant pas un État militaire. Que signifie ce concept ?
Il s’agit tout simplement d’une expression inadéquate. Dans le schéma théorique, tout État moderne en tant que pouvoir politique institutionnalisé est, par définition, un État civil puisque toute sa socio-genèse est l’illustration de son émancipation vis-à-vis des autres pouvoirs (notamment du pouvoir religieux).
De prime abord, et à un niveau superficiel tel qu’il ressort de la lecture de la Constitution de 1996, celle-ci confère la souveraineté au seul peuple. De même, l’article 25 de la Constitution ne reconnaît que des attributions classiques à l’Armée nationale populaire (sauvegarde de la souveraineté nationale et défense du territoire). C’est la mission de toutes les armées du monde. Ce qui signifie clairement que l’Algérie n’est pas un État militaire. C’est pour cela qu’il est préférable de parler de pouvoir politique civil, et non pas « d’État civil ».
Il est possible que cette notion d’État civil veuille marquer le dépassement de ce qui a longtemps été un État dirigé de fait par la Direction du renseignement et de la sécurité (DRS). Les derniers changements intervenus récemment au sein des services (limogeage du général Toufik et son cercle rapproché, procès, etc.) pourraient être une évolution dans ce sens…
L’opération » d’effeuillage » des prérogatives des services algériens (le DRS, ndlr) s’est effectuée au profit du ministère de la Défense nationale. Elle ne peut donc pas nous renseigner sur la volonté politique d’aller vers la primauté du politique sur le militaire. De plus, l’organisation de l’institution militaire (et avec elle le DRS), qui façonne la vie politique depuis l’indépendance du pays, n’est, la plupart du temps, pas régie par des textes publiables au Journal officiel.
Les interférences de l’armée dans le champ politique ont brouillé toute visibilité des lieux du pouvoir. Donc, il est pratiquement impossible, à l’heure actuelle, de savoir s’il y a eu un changement ou non. La frontière entre le politique et le militaire a toujours été très ténue et remonte à la guerre de libération nationale. Dès l’indépendance, les interférences de l’armée dans le champ politique ont brouillé toute visibilité des lieux du pouvoir.
Pouvez-vous nous donner des exemples de ces interférences ?
Prenons l’exemple de 1989 où, effectivement, l’ANP s’est officiellement retirée du comité central du FLN. Dans les faits, ce retrait n’a pas rompu le cordon ombilical entre la » grande muette » et l’exercice politique. Par ailleurs, on ne doit pas oublier que le président actuel a pris soin de s’adjuger le portefeuille du ministère de la Défense nationale, en sus de l’attribution classique de chef suprême des armées que lui confère la Constitution. Croyez-vous vraiment que l’armée soit encline à se retirer du jeu politique ?
Dans le débat sur la Constitution, il serait aussi également question d’introduire des notions de liberté de conscience et de liberté religieuse…
La liberté de conscience est déjà consacrée et est même considérée comme inviolable par l’article 36 de la Constitution de 1996. D’ailleurs, toutes les constitutions algériennes ont garanti l’inviolabilité de la conscience et de l’opinion. Et de plus, elles sont accompagnées par l’affirmation parallèle de l’interdiction de toute discrimination pour cause d’opinion, ce qui permet à tout un chacun d’avoir des convictions profondes, en son for intérieur, et interdit à l’administration d’en tenir compte, c’est-à-dire, qu’il ne peut y avoir de police de la pensée. C’est que l’État algérien ne connaît que des citoyens. Croyants ou non, ils sont tous égaux en droit devant lui.
Le constituant algérien ne voudra pas heurter la sensibilité religieuse de la majorité des Algériens. En revanche, le problème se pose pour les libertés religieuses. Certes, une ordonnance de février 2006 est déjà venue régir les cultes autres que musulman. Mais les consacrer dans la Constitution sera peut-être plus délicat. Le constituant algérien ne voudra pas heurter la sensibilité religieuse de la majorité des Algériens.
Sous la pression des fondamentalistes, les rédacteurs de la future Constitution vont peut-être hésiter à franchir le pas, craignant d’être mal compris, sinon délégitimés. Le référent religieux et sa symbolique constituent un instrument de légitimation du pouvoir, dont ce dernier ne se prive pas, au risque, d’ailleurs, d’en être prisonnier. La surenchère est une initiative périlleuse, peu crédible et profite à terme à la contestation islamiste qui radicalise ses positions.
Brahimi sera certainement le vice président. Pour assurer la transition.
Amgala Winner Colonel
messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 14:08
Fox-One a écrit:
Amgala Winner a écrit:
hahahaha mais ils sont sérieux ?
j'ai déjà dis que soit ils sont désespérés soit devenus fous pour fréquenter les n coréens, même les russes et chinois, n'en veulent pas!!
incroyable, la cooperation avec la corée du nord dans le domaine de communication et de propagande, je comprend mieux pourquoi l'algérie n'a pas décolé malgré 205 milliards de dollars dans la poche
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 18:14
Il y a une lois qui interdit ca en Algérie ?
mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 18:21
rip
_________________
Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 18:37
RIP. C'est eux les vrais révolutionnaires et artisans de l'indépendance algérienne, pas Boukharouba et sa clique de putchiste qui été planqué à Oujda bien tranquilles loin des vrais combats. Ils se sont accaparé le pouvoir et les richesses du pays et ont sauté et exilé les Hocine Ait Ahmed et autres . Il a passé presque toute sa vie en exil, comme Boudiaf d'ailleurs qui a eu le destin que l'on connaît. C'est troublant tout les vrais artisans de l'indépendance on eu des destin tragique où on été exilé à vie , les putschistes se sont accaparé leur exploits mais on écarté ou fait assassiner les initiateurs de ces exploits.
Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 18:50
L'algerie cherche t'elle a se doter de l'arme nuck ou missilles balestiques aupres de la coree du nord?
Que risque t'elle ?
Amgala Winner Colonel
messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 18:53
Fox-One a écrit:
L'algerie cherche t'elle a se doter de l'arme nuck ou missilles balestiques aupres de la coree du nord?
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 19:25
le nuke? cette news elle sort d'où? ils sont serieux?
_________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 19:37
Qu'on arrive déjà fabriqué une voiture et on verra pour le nucléaire
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 19:59
Fox,
De tous ceux qui n'ont rien à dire les plus agréables sont ceux qui se taisent.(p.Desproges)
En d'autres termes : Cesses d'aligner des posts sans plus value.
_________________
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 20:04
RIP pour ait Ahmed . Je garde en mémoire que quand la presse algérienne a salie la mémoire d'hassan 2 lors de l'épisode du détournement de l'avion du fln de retour du Maroc, ait Ahmed était sorti du bois pour rétablir la vérité et saluer le soutien constant du Maroc.
Allahyerhmou.
_________________
Amgala Winner Colonel
messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 20:35
PGM a écrit:
RIP pour ait Ahmed . Je garde en mémoire que quand la presse algérienne a salie la mémoire d'hassan 2 lors de l'épisode du détournement de l'avion du fln de retour du Maroc, ait Ahmed était sorti du bois pour rétablir la vérité et saluer le soutien constant du Maroc.
Allahyerhmou.
+1 Ait hmed les a giffler , ils l'ont traiter de traitre pendant une semaine je me rappelle
messages : 177 Inscrit le : 17/01/2010 Localisation : France Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 21:00
Allah yrahmou
Effectivement, sa sortie sur Medi1TV avait fait grand bruit... Sa disparition était d'autant plus déplorable qu'il était un ami du Maroc. Et c'est là ou le bas blesse: toutes les personnalités marocaines et algériennes (issues de la résistance) qui pouvaient faire le lien entre les 2 pays sont soit vieillissantes (octogénaire ou nonagénaire), et donc sans avenir politique, soit mortes.
Fini le temps où les caciques (Basri, Belkheir, Guedira, Taleb Ibrahimi, Nezzar,Filali, Ibrahimi),les chefs d'Etat (Hassan 2 et Chadli) et les figures politiques (Boudiaf, El Youssoufi, Bensaid Ait Idder, Ben Bella) entretenaient un semblant de relation entre le Maroc et l'Algérie.
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 21:21
PGM a écrit:
RIP pour ait Ahmed . Je garde en mémoire que quand la presse algérienne a salie la mémoire d'hassan 2 lors de l'épisode du détournement de l'avion du fln de retour du Maroc, ait Ahmed était sorti du bois pour rétablir la vérité et saluer le soutien constant du Maroc.
Allahyerhmou.
_________________
""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
Invité Invité
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 22:06
Allah Yerhmou
Amgala Winner Colonel
messages : 1670 Inscrit le : 14/11/2010 Localisation : Pole Nord Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 23 Déc 2015 - 23:04
Ils massacrent et exilent les vrais moujahidines tel que Abane Boudiaf et Ait ahmed et laisse les herkas gouverné tel que Boukaroussa (3abd al 9ader el mali) et autres Dafistes.
messages : 1750 Inscrit le : 25/11/2008 Localisation : FR13 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 24 Déc 2015 - 10:01
Un Grand Homme , RIP
kurahee Colonel-Major
messages : 2475 Inscrit le : 16/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 24 Déc 2015 - 17:35
RIP . a vécu farouche opposant et mort comme tel
WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 24 Déc 2015 - 23:57
http://www.actu-maroc.com/le-new-york-times-dresse-un-tableau-noir-de-la-vacance-du-pouvoir-en-algerie/ a écrit:
Le New York Times dresse un tableau noir de la « vacance du pouvoir » en Algérie
Les révélations quotidiennes sur un coup d’état « soft » et sur la lutte entre les différentes sphères d’influence rythment la vie quotidienne des Algériens, écrit, jeudi, l’influent New York Times, qui dresse un tableau noir autour de la « vacance du pouvoir » en Algérie.
Dans un article intitulé: « Qui dirige l’Algérie ? Beaucoup doutent que ce soit le président souffrant Abdelaziz Bouteflika », le journal note que « la lutte au sein même du cercle proche du pouvoir, qui a dirigé l’Algérie tout au long des dernières décennies, est étalée sur la place publique avec des accusations sur un coup d’état soft, sur fond de spéculations sur l’état de santé du chef de l’Etat ».
L’auteure de l’article, Carlotta Gall, fait aussi état de « suspicions qui vont crescendo selon lesquelles une clique au sein même de la clique au pouvoir, dirigée par le frère du Président, Said Bouteflika, avait effectivement mis en œuvre un coup d’état interne et dirige le pays au nom du chef de l’Etat ».
« Nous avons le sentiment que le Président a été pris en otage par son entourage immédiat », a déclaré Lakhdar Bouregaa, une figure de la lutte pour l’indépendance, cité par le New York Times, qui révèle que ce dernier était parmi un groupe de personnes ayant demandé publiquement de rencontrer le Président « pour s’assurer que c’est bien lui qui prend les décisions ».
L’éditeur du journal Al-Watan, Omar Belhouchet, pointe du doigt, pour sa part, « une lutte féroce pour la succession », en tranchant qu’aujourd’hui « personne ne peut dire quand quelque chose va arriver ».
Le New York Times rappelle, en conclusion, que « l’Algérie est depuis longtemps dirigée par un collectif militaro-politique opaque, au sein duquel les décisions sont prises en coulisse par consensus », en faisant observer que « ce consensus parait aujourd’hui brisé.
http://www.nytimes.com/2015/12/24/world/africa/suspicions-mount-that-ailing-president-abdelaziz-bouteflika-is-no-longer-running-algeria.html a écrit:
Who Runs Algeria? Many Doubt It’s Ailing President Abdelaziz Bouteflika
ALGIERS — A power struggle within the closed circle that has ruled Algeria for decades has spilled into the open in recent weeks, with accusations of a soft coup, as questions intensify about the health of President Abdelaziz Bouteflika.
The almost daily revelations have both intrigued and worried Algerians, and have raised fears far beyond this North African country, whose oil reserves and relative stability have made it a critical bulwark against the jihadist movements encroaching in the region.
The condition of Mr. Bouteflika, 78, is so uncertain, after two strokes in recent years, that even a prominent group of his closest associates has publicly demanded to see him to make sure he is still making the decisions. The president remains so sequestered that none of them have met with him in more than a year.
Police in Algiers grappling with an anti-government protester in April 2014.Op-Ed Contributor: The Algerian ExceptionMAY 29, 2015 Short of a meeting, which has not been granted, suspicions have mounted that a clique within the ruling clique, led by the president’s brother, Saïd Bouteflika, has effectively carried out an internal coup and is running the country in the president’s name.
Mr. Bouteflika, in a wheelchair after his 2014 re-election. Credit Mohamed Messara/European Pressphoto Agency
“We have this feeling that the president has been taken hostage by his direct entourage,” Lakhdar Bouregaa, one of those who requested the audience, said in an interview with El-Watan, one of the country’s few independent daily newspapers.
“What motivated us was this abysmal void that we feel at the level of the presidency of the Republic,” added Mr. Bouregaa, a prominent former fighter of the war of independence from France.
In the meantime, whether it is the president or those working behind him making the decisions, a stunning series of firsts have taken place apparently in preparation for a transition: a purge of the intelligence service, the jailing of top army generals and a series of laws that guarantee new and stiff penalties for journalists and others who disturb “the morale of the nation.”
“There is today a ferocious struggle concerning the succession,” said Omar Belhouchet, the publisher of El-Watan, which has been publishing many of the revelations from the president’s inner circle. “No one can say when something is going to happen.”
One of the most startling developments has been the public questioning of the president’s ostensible decisions by the Group 19, as the well-connected figures who have requested an audience with the president are known.
Algerian President Fires Intelligence Chief in a Shake-Up of Security ForcesSEPT. 14, 2015 A commercial harbor in Algiers. The Algerian economy relies heavily on energy-related exports.In Algeria, Entrepreneurs Hope Falling Oil Prices Will Spur InnovationMAY 2, 2015 Among them are national heroes like Mr. Bouregaa; Zohra Drif, also a fighter in the war for independence; and Louisa Hanoune, a feisty politician who was imprisoned during the years of dictatorship, when political parties were banned.
Ms. Hanoune, now the leader of the Workers’ Party, said she doubted that the president had even seen their letter requesting a meeting.
“I am convinced that if he had read it, he would have called certain members of the group,” she said in a separate interview with El-Watan. “When one is diminished by sickness and one cannot move, one becomes dependent on others.”
Ms. Hanoune has directly accused a clique of oligarchs and ministers of manipulating the president in order to pass decisions that benefit their business interests.
She and Mr. Bouregaa have questioned several recent government decisions that they say are out of character for the president, particularly the jailing of two senior generals.
They are not alone. Ali Benflis, a former prime minister who was the runner-up in last year’s presidential election, said the president’s ill health had left a “vacancy of power” that allowed a clan around him to take control.
“Extraconstitutional forces have seized powers, outside the Constitution, from him who is charged with the presidency,” he said.
He described those responsible as people with shady business dealings who were gravitating around the president.
“It is those forces that have taken power and manage affairs in the place of the president,” he said. “If there was not a vacancy of power, you would not have that.”
Opposition parties warn of wider repercussions. “It worries me for the whole country, for overall stability,” said Abderrazak Makri, the leader of the Movement of Society of Peace, the country’s largest legal Islamist party.
“Besides the political problems,” he added, “there are economic problems, too,” driven in large part by a steep drop in the price of oil, which hit an 11-year low this week.
Algeria has long been run by an opaque military and political collective — often referred to as “le pouvoir,” or “the power” — in which decisions are reached behind the scenes through a system of consensus. That consensus may now be breaking down, political commentators say.
The purge of the intelligence service, and the removal of its feared chief, Gen. Mohamed Mediène, in September, was a political earthquake for Algeria.
Mr. Mediène, better known as Toufik, led the intelligence service, the DRS, for 25 years. A dark and influential figure who never appeared in the news media or spoke in public, he led the brutal “dirty war” against Islamist insurgents in the 1990s, manipulated elections and dominated politics through files he held on almost everyone.
Opposition parties say Mr. Mediène arranged the presidential election in April 2014 to secure a fourth term for the ailing Mr. Bouteflika. Despite spending months in a hospital after a stroke in 2013, and never appearing in public or delivering a single campaign speech, Mr. Bouteflika won 81 percent of the vote.
Yet after Mr. Bouteflika’s re-election, Mr. Mediène fell out of favor. The president, or the group around him, appeared set on consolidating power without him.
Oligarchs linked to the president’s brother and adviser gained prominence, while former favorites like those in the Group 19 were pushed away.
Three generals have been jailed and several dozen officers dismissed since the summer. In August, Gen. Abdelkader Ait-Ouarabi, better known as General Hassan, the deputy head of the intelligence service responsible for counterterrorism, was arrested.
By November, he had been sentenced to five years in prison for destroying documents and breaching regulations.
General Hassan’s lawyers have protested that he was not given a fair trial and in particular that he was not permitted to call his superior, Mr. Mediène, as a witness.
CONTINUE READING THE MAIN STORY 29 COMMENTS Mr. Mediène finally went public himself, a first in his career, declaring in an open letter that General Hassan was carrying out his orders and should be immediately released.
“Everything became suddenly clear,” the commentator Nour-Edine Boukrouh wrote in the daily newspaper Le Soir d’Algerie. The high-level corruption and the president’s fourth term had divided the top military and political leadership, he wrote, and it was spilling out in the news media in a way never seen before.
Through it all, President Bouteflika has remained silent, communicating through occasional letters to the government, leaving even those closest to him to wonder who is really in command.
A version of this article appears in print on December 24, 2015, on page A1 of the New York edition with the headline: Who Runs Algeria? Many Doubt It’s the President
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""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi""
“L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.”
badr le patriotique Sous lieutenant
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 25 Déc 2015 - 0:57
jviens de voir ça
_________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 25 Déc 2015 - 10:16
Citation :
Crise du pétrole : l’Algérie veut supprimer un million d’emplois
Face à la chute du prix du pétrole, le gouvernement envisage des mesures radicales, notamment la suppression de pas moins d’un million de postes de fonctionnaires dans le pays.
L’Algérie fait face à une grave crise du pétrole liée notamment à la chute du prix du baril de l’or noir. Les comptes publics algériens tendant vers le rouge, une situation inquiétante se profile à l’horizon, poussant le gouvernement à envisager des mesures radicales, notamment la suppression de pas moins d’un million de postes de fonctionnaires dans ce pays d’Afrique du Nord.
L’Algérie retire des hydrocarbures 98% de ses exportations, près de la moitié de son PIB et 60% de l’ensemble des recettes fiscales de l’Etat. Le pays important la quasi-totalité de ce qu’il consomme, la balance commerciale algérienne a plongé : 8 milliards de dollars de déficit sur les 7 premiers mois de l’année 2015, une première pour le pays depuis 1994.
C’est une des conséquences directes de la chute des prix des hydrocarbures depuis la fin de l’année 2014. Le gouvernement algérien a annoncé sa volonté de supprimer pas moins d’un million de postes de fonctionnaires dans le pays. Un dégraissage brutal et massif, puisqu’il représente quelque 40% de l’ensemble des 2,5 millions de fonctionnaires algériens, souligne Le Parisien.
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mohamed El Ghazi avait évoqué que des « départs en retraite dans certains postes administratifs classiques (...) ne seront plus remplacés dans le cadre de la relève, notamment dans le poste d’agent d’administration ». C’est dans ce même sillage que le gouvernement avait annoncé, au mois de septembre dernier, que les CDD dans les administrations ne seraient pas reconduits.
Selon les chiffres de la Banque mondiale, la population active algérienne s’élève à environ 12,3 millions de personnes sur une population totale de près de 40 millions. La fonction publique n’en représente donc que 20%.