Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| Actualités nationales | |
|
+61daama94 systra TYBBND4 iznassen FAMAS Shugan188 jimmyhendrix ScorpionDuDesert Ichkirne rmaf vinseeld QuickShark Socket-error yassine1985 WRANGEL Adam Arbalo metkow Magreb777 FAR SOLDIER charly jf16 F-35 butters badr le patriotique mbarki_49 Anassfra93 kurahee RadOne FarLouati pyromane dan Spadassin gigg00 socrat docleo YASSINE leadlord @Winners felipe21 KapMajid youssef_ma73 Fremo Amgala Winner lemay PGM juba2 moro atlas BOUBOU simplet mourad27 Yakuza romh jrad-killer Cherokee RED BISHOP Fahed64 zouhair6666 Fox-One forcemarok 65 participants | |
Auteur | Message |
---|
forcemarok sergent
messages : 248 Inscrit le : 15/10/2008 Localisation : france Nationalité :
| Sujet: Actualités nationales Mer 2 Déc - 15:32 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
POURQUOI LE MAROC TOURNE LE DOS À LA MER UN COLLOQUE PORTANT SUR LA QUESTION À L’IRES UNE STRATÉGIE GLOBALE S’IMPOSE Le Maroc a-t-il vraiment la conscience politique et géopolitique de sa puissance maritime? «Il est gâté par la géographie. Il a deux façades, une méditerranéenne et une atlantique. Cette dernière est une autoroute maritime. Mais cela ne se traduit pas dans la pensée stratégique des décideurs», estime Jamal Machrouh, professeur à l’Université Ibn Tofail à Kénitra. C’est ainsi que la mer, sujet d’un colloque international de l’Institut royal des études stratégiques (IRES), ne semble pas représenter une source de puissance géostratégique pour le Maroc. Le premier argument à cette thèse est que l’on a un ensemble de politiques sectorielles telles que Azur et Halieutis, mais qui restent disparates. Ce qui implique la création d’un département ministériel spécifique qui aura pour rôle la conception et l’exécution d’une stratégie nationale globale. La stratégie devrait remédier à l’absence d’une construction navale. «C’était pourtant le cas dans l’histoire comme à l’époque des Almohades quand le Maroc disposait de 400 navires. A Maamoura (devenue aujourd’hui Kénitra), il y avait une véritable industrie navale qui bénéficiait de l’existence de la forêt de la région», ajoute le chercheur. Depuis, les choses ont empiré avec la disparition de la flotte maritime et de l’unique acteur national Comarit-Comanav, en 2015. Le chercheur trouve aussi que l’armée marocaine est «moyennement» équipée comparée à ses principales concurrentes à l’échelle régionale. «On reste très loin des niveaux d’équipement de l’Espagne ou encore l’Algérie qui, elle, est munie de sous-marins», insiste-t-il. Ce qui nécessite de doter la marine royale des moyens de rétablir l’équilibre des forces, mais également contrer le risque terroriste, en particulier la piraterie maritime et la prolifération d’activités illicites (trafic de drogues et d’armes, migration clandestine…). Une stratégie globale pour la mer devrait prendre en compte les changements que connaît le monde. D’une part, la prolifération des flux du commerce international se fait essentiellement (90%) par voie maritime. «Il n’y a plus de guerre sur les territoires dans le monde d’aujourd’hui. La compétition entre les pays concerne surtout les ressources maritimes. Tous les Etats sont dans une course effrénée pour l’appropriation des voies maritimes», tient à préciser Machrouh. Le Maroc sera d’ailleurs miné davantage avec la redéfinition des routes maritimes. «Un chemin se fraye dans le grand nord en Arctique. Ce qui aura pour conséquence une marginalisation de l’Atlantique et le Maroc avec», explique le chercheur. L’autre volet est la formation de ressources humaines. Il s’agira surtout de juristes pour défendre l’intérêt stratégique du Maroc dans les discussions sur la délimitation des frontières maritimes. L’autre enjeu est de s’insérer dans le commerce mondial en reconstituant le chantier naval. «D’autres pays émergents comme le Brésil et la Corée du Sud ont commencé leur insertion dans le commerce international. Pour nous, les chantiers en cours avec Dakhla et Kénitra devront renforcer l’offre», précise le chercheur.
Sauvegarde de l’environnement maritime
La vulnérabilité des espaces littoraux, aggravée par le réchauffement climatique, place la gestion durable de ces espaces au rang des priorités des politiques publiques. En plus du besoin de la mise en œuvre de règlements adéquats, les spécialistes réunis lors du colloque international de l’Institut royal des études stratégiques s’accordent sur la nécessité de la sensibilisation des acteurs concernés.
M. L.
- See more at: http://www.leconomiste.com/article/980989-pourquoi-le-maroc-tourne-le-dos-la-mer#sthash.LSvOPHhC.dpuf | |
| | |
Auteur | Message |
---|
juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 26 Mar - 15:59 | |
| | |
| | | WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 29 Mar - 12:15 | |
| - http://aujourdhui.ma/emploi/formation/grandes-ecoles-lessec-debarque-au-maroc a écrit:
Grandes écoles: L’ESSEC débarque au MarocL’obtention du BBA donne la possibilité aux étudiants d’accéder à un Master dans d’autres universités françaises, anglaises ou américaines.
C’est fait. La prestigieuse Ecole supérieure des sciences économiques et sociales de Paris proposera, dès la rentrée universitaire prochaine, son Global BBA au Maroc, au même titre que le cursus, enseigné à Paris ou à Singapour.
L’accessibilité conditionnée par le concours Sesame notamment et des entretiens à l’écrit et à l’oral, les étudiants seront assujettis au même niveau de tests que leurs homologues à Paris ou à Singapour. Thierry Sibieude, professeur de l’ESSEC, titulaire de la Chaire d’entrepreneuriat et entrepreneuriat social, en fait un point d’honneur. Et c’est lui qui tiendra les mannettes du campus ESSEC Afrique Atlantique sis à Rabat sur pas moins de 350 m2. Le Groupe Addoha/Prestigia a été choisi pour construire le campus selon le cahier des charges de l’établissement français qui en sera locataire. L’investissement est estimé à 5 millions d’euros.
La stratégie de développement de l’ESSEC est claire: faire du Maroc un hub Afrique. «Nous souhaitons former des Africains pour l’Afrique et qui reviennent en Afrique». Le message du dirigeant de l’antenne Maroc rejoint la vision déjà affichée depuis des années quand le Programme Emergence s’est vu freiné à cause des compétences non disponibles pour porter tous les projets structurants qui en ont découlé. Le processus s’était tout de suite enclenché. Il est juste de le rappeler à un moment où le Maroc a déjà accueilli l’Ecole Centrale de Paris, l’EM Lyon, TBS et encore d’autres universités internationales pour diversifier l’offre pédagogique et répondre à ce besoin pressant. Aujourd’hui, la stratégie se confirme avec l’une des plus prestigieuses Grandes écoles de commerce de France. Son offre se décline en formation initiale et continue. La première couvre une durée de quatre années pédagogiques démarrant sur le site de Rabat mais se poursuivant en 3ème année à Paris pour poursuivre l’année suivante, selon son choix de destination en fonction tout de même des résultats.
«Le diplôme délivré à l’issue du Bachelor of Business Administration est le même que celui délivré en France», assure le directeur du campus ESSEC Maroc. «Les examens ont lieu les mêmes dates et ce sont les mêmes correcteurs qui corrigent», poursuit-il. Toujours est-il que la confrontation de la réalité marocaine fera que 60% des enseignants seront recrutés du Maroc. Le corps enseignant de l’ESSEC France assurera le reste du volume horaire des enseignements pour rester conforme au contenu pédagogique français. L’obtention du BBA donne la possibilité aux étudiants d’accéder à un Master dans d’autres universités françaises, anglaises ou américaines. Celui de l’ESSEC est tout aussi envisageable sous réserve de réussir le concours. Les dirigeants sont clairs à ce niveau. «Il n’y a pas d’automatisme pour poursuivre en cycle Master à l’ESSEC Paris et ce cursus est destiné aux bacheliers qui préfèrent ne pas passer par les classes préparatoires», explique Thierry Sibieude.
Loin d’être réducteur, le BBA ESSEC est en pole position en France. Selon les statistiques, «près de la moitié des diplômés du Global BBA commencent à travailler après l’obtention de leur diplôme. 88% des étudiants trouvent leur premier emploi en moins de 4 mois avec un salaire à l’embauche moyen de 37.000 euros et 75% travaillent dans un contexte international. L’autre moitié poursuit ses études en master, à l’ESSEC ou dans d’autres institutions prestigieuses come l’Université Paris Dauphine, la London School of Economics, la London Business School, la Bocconi à Milan, l’IE à Madrid, la New York University…».
De quoi finalement faire rêver bien des bacheliers en somme qui souhaitent emprunter la voie royale pour entreprendre des études de commerce. Ce rêve coûtera néanmoins 11.000 euros ! Les frais ayant été alignés sur ceux pratiqués en France compte tenu de la qualité de l’enseignement. Des bourses au mérite ou d’excellence sont toutefois offertes après étude de dossiers des candidats ayant passé avec succès le concours et les entretiens prévus.
La seconde s’est matérialisée par des accords de partenariat avec d’autres établissements marocains. Un Executive MBA est prévu, en effet, en partenariat avec l’Ecole d’ingénieurs centrale de Casablanca. L’ESSEC entend, également, développer en partenariat cette fois-ci avec l’Université Internationale de Rabat, un mastère spécialisé en management des villes, des territoires et de l’immobilier (MS MVTI). Avec l’Ecole Centrale Casablanca, un mastère spécialisé en gestion des ressources humaines et un autre spécialisé en excellence opérationnelle et gestion du changement sont prévus aussi d’ouvrir. Bref, les billes sont lancées au Maroc et les dirigeants tablent sur une première promotion d’au moins 40 étudiants, voire 80 dans les cas les plus optimistes. Il faut dire que les 10% inscrits au Sesame (regroupant 10 écoles de management international) ont formulé leur souhait d’étudier à l’ESSEC Maroc. Le concours aura lieu le 20 avril sur deux sites à Rabat (lycée Descartes) et Casablanca (lycée LyauteyI).
_________________ ""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi"" “L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.” | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 30 Mar - 19:45 | |
| Une foi j'ai été en vacance à Imilchil, le Roi est venue visiter cette région, et y'est resté des jours, étrangement personne ne lui a rien demandé ni avaient de lettre à lui offrir. Les gens sont habituer à cultivé leurs terre et à ne rien attendre d'un pouvoir central. Les chefs de villages locales ont souhaité des routes et des écoles, d'autres dirant qu'ils sont naïfs.
Désolant de voir des professionnels qui chassent les visites royales, ou des gens obligé de court circuité une justice défaillante, en s'adressant directement au Roi, sauveur des pauvres et juge ultime.
Il faut crier au bon endroit pour se faire entendre, ex quelques manifestants diplômé chômeurs qui savent manier les foules derrière elle, peuvent sous la table avoir des postes dans la fonction publique et après faire capoter la manifestation, même choses se fait par les notables pour leurs enfants en mobilisant leur masse ignorante.
Le fils du montagnards lui, après un bon diplôme, et en absence de bonne connaissance des rouages Rabat, retournera cultiver la terre de son père.
D'ailleurs ce jeune montagnard, fort en math et sciences, mais en absence d'argent de stages, de cours de langues, d'orientation, surtout de piston, sera obligé de retourner chez lui cultiver sa terre ou vendre à la sauvette.
Alors qu'un fils à papa, sortit de Lyautey, maniant le français comme il se doit et bien habillé, sera après des stages dans de grandes boîtes nationales, et un diplôme privé de management, de se trouvé manager à Royal Air Maroc. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 31 Mar - 14:58 | |
| | | | Le méda Jeune Afrique vient de sortir un article titulé RABATGATE, soit disant elle accès à un rapport interne de l'inspection du ministère de l'intérieur et celui des finances, sur un lien de conflit d'intérêts entre l'actuel maire PJD de Rabat et Redal, celui la était cadre de la compagnie puis mis à la retraite anticipée pour santé, et qu'il bénéficie d'un logement à travers cette retraite, et qu'il a un lien avec chef d'inspection de contrat chez Redal mais en retraite pour les même raison, et ajoute que plus de 68 cadres ont bénéficié du même régime.
Elle ajoute qu'il doit sûrement démissionner de son actuelle fonction.
Ce média fer de lance des intérêts français met en cause un maire PJD, avec une compagnie française VEOLIA, et oublié tout le vol en total impunité de cette compagnie au Maroc.
Les intérêts français veulent régler leur compte à un maire PJD, Pour l'intérêt de cette compagnie ou une autre vue qu'ils sentent exclu d'un marché ou autres.
Cette compagnie doit être sanctionné pour pour ce jeu tiers mondiste. Le problème est qu'il y'a déjà une attaque en toute règle du ministère de l'intérieur aux villes gouvernées par le PJD, on leurs demandent de s'acquitter des dettes accumulées durant des des décennies en une année, afin de les priver d'une manne financière qui leurs permettra d'appliquer leurs programmes, la plus part des grandes sont casi faillite à cause de cela, ils peuvent gouverner durant leurs mandats les caisses vides. |
|
| | | mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 31 Mar - 15:11 | |
| Cette polémique est connue et a fait l'objet de tout un tapage de la part du PAM qui accuse le maire d'avoir obtenu une retraite anticipée vu sa situation de santé mentale. Ce même procédé a été utilisé pour mettre à la retraire anticipée plus de 70 cadres de la redal à Rabat dont de nombreux membres du PJD dont le maire. Celui-ci a d'ailleurs déclaré que si benki lui demandait de démissionner du poste de maire il le ferait. Je pense que c'est ainsi que se terminera cette sombre histoire pas très propre que le PJD ne peut pas laisser traîner à quelques mois des élections. A suivre | |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 31 Mar - 15:13 | |
| - Ameqran a écrit:
| | | ... Le problème est qu'il y'a déjà une attaque en toute règle du ministère de l'intérieur aux villes gouvernées par le PJD, on leurs demandent de s'acquitter des dettes accumulées durant des des décennies en une année, afin de les priver d'une manne financière qui leurs permettra d'appliquer leurs programmes, la plus part des grandes sont casi faillite à cause de cela, ils peuvent gouverner durant leurs mandats les caisses vides. |
Vous y croyez vraiment quand vous écrivez ça!!? _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
| |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 2 Avr - 7:23 | |
| - Adria Lawrence - Yale University & the MacMillan Center - Washington Post a écrit:
The mixed record of Morocco’s February 20 protest movement #Lien
On Feb. 20, 2011, tens of thousands of Moroccans took to the streets in over 50 towns to demand freedom and democracy. In the euphoria that followed the initial protests, 40 civil rights groups and political organizations came together to support the youth of the newly named February 20th movement, which continued to organize nationwide protests in Morocco’s major cities and towns. King Mohammed VI responded to the movement’s demands on March 9, promising far-reaching constitutional reforms, including an independent judiciary, better rule of law, and an elected government that reflects the will of the people. He appointed a committee to draft constitutional reforms, and on July 1, 2011, they were approved in a nationwide referendum; 98.5 percent of voters favored the changes, according to the Ministry of the Interior. In November of 2011, parliamentary elections brought a new government to power, headed by the Party of Justice and Development (PJD), a moderate Islamist-oriented party that had not previously played a leadership role in parliament.
Were the Moroccan protests successful?
Five years later, how should we think about the consequences of the Arab Spring for Morocco? Were the Moroccan protests successful? Along a number of dimensions, the answer appears to be yes. First, the February 20th movement managed to organize sustained, mass mobilization. The protests that began in February reached their peak in April, a remarkable achievement when we consider that the protests in nearby Tunisia crested with the Jan. 14, 2011, overthrow of President Ben Ali, less than a month after the self-immolation of Mohammad Bouazizi triggered the initial Arab Spring protests. Protests in Morocco persisted despite the absence of a dramatic achievement such as regime overthrow. They took place in a country where mass protest had historically been tolerated only when it criticized other states and international actors, not the Moroccan regime itself.
Second, the protests did not lead to violence. The monarchy, unlike its counterparts in Bahrain and Syria, chose not to brutally repress the demonstrators, and the protests did not give way to the civil violence that has threatened or undermined stability in other parts of the region since 2011.
Third, the February 20th movement forced the king to respond: he promised reform, changed the constitution, and allowed a new party to form the government; the PJD continues to lead a coalition government, with new elections scheduled for October 2016.
For these reasons, Morocco looks like a pretty successful outcome, particularly in comparison with other states in the region. Indeed, there has been much discussion of a “Moroccan Exception,” referring either to the kingdom’s overall stability or to the king’s savvy move to defuse protest by offering constitutional reforms. The monarchy advertised its reforms as evidence of Morocco’s gradual movement toward democratization, an alternative to the authoritarian stasis or instability that prevailed elsewhere.
Foreign leaders praised the king’s moderate approach. A year after the Arab Spring, Secretary of State Hillary Clinton called Morocco “a leader and a model,” commending the regime for “holding free and fair elections, empowering the elected parliament, taking other steps to ensure that the government reflects the will of the people.”
Was Morocco really a model of peaceful progress toward democracy?
If the reforms had actually empowered parliament and led to a democratic transition, there would be little reason to doubt that the Arab Spring in Morocco was remarkably successful. But our assessment of Morocco’s fate five years later should be informed not only by government claims, or by comparing Morocco to other states in the region, but also by asking whether or not the February 20th movement made progress toward its goals. Erica Chenoweth and Maria Stephan, who have written extensively on nonviolent resistance, argue that an important metric of movement success is the achievement of campaign objectives.
By this measure, the Arab Spring in Morocco has been an abject failure. Moroccan writer Laila Lalami and independent journalists such as Ahmed Benchemsi, have torn apart the notion of a “Moroccan Exception,” arguing that this claim better reflects successful public relations by the monarchy and its foreign supporters than it does the real political situation in Morocco.
The key demand of the February 20th movement was a “king who reigns but does not rule.” In interviews with activists during the fall of 2011 and winter 2012, I learned that they envisioned a genuine constitutional monarchy, like England or Spain. If the king could be persuaded to democratize from above, Moroccans would be able to increase their rights while avoiding the violence and instability that has so often accompanied regime overthrow in the Arab world — not just since the Arab Spring, but after the U.S. invasion of Iraq, and after the coups that overthrew monarchs in Egypt, Libya, and Iraq during the immediate postcolonial period.
Only Tunisia has fared well after regime change, and it is smaller, wealthier, and has higher rates of literacy than its North African neighbors. “Who is to say we will be like Tunisia?” one activist told me, “We could end up in a civil war, like Syria. It is better to let the king take the lead.” The promise of constitutional monarchy — regime change without instability — shaped the February 20th movement’s objectives.
The hope that the king would limit his power helps to explain why his promises of reform proved effective in reducing the size of the protests. Many Moroccans thought that he ought to be given the chance to make meaningful reform, although core activists worried that the king would not voluntarily give up power without continued pressure from the street. Their fears proved well founded. Even as leaders in France, the United States, and elsewhere praised the king for his tolerance and willingness to democratize gradually, Morocco was arguably becoming less democratic.
What changed after the Arab Spring protests?
The first sign that the monarchy was not serious about increasing the voice of the people came from the process of constitutional reform itself; activists criticized the regime for appointing a commission, rather than seeking to represent opposition voices, in constructing the constitutional amendments.
Second, the reforms themselves did little to alter the balance of power between the elected parliament and the king and his court (known in Morocco as the makhzen). The king retained his prerogatives and parliament remained a neutered institution with a severely fragmented party system that includes over 30 parties. The most important change was a requirement that the king select the prime minister from the party with the most votes, a change that did little to address the parliament’s overall weakness.
Third, once the reform process had played out, and media attention was no longer focused on Morocco, the state began a campaign of outright repression of protesters and regime critics. Over the past four years, February 20th activists and independent journalists have been detained and arrested for criticizing the reforms and the regime.
Two years ago, Ali Anouzla, editor-in-chief of the independent online newspaper Lakome, which the monarchy has blocked, was arrested for publishing an article that linked to an article in the Spanish newspaper El País that discussed a video posted by al-Qaeda in the Islamic Maghreb. Anouzla was charged with providing material assistance to a terrorist group, defending terrorism, and inciting terrorist attacks. Anouzla, now out of jail on conditional leave, still faces these charges. His case demonstrates how the regime has masked its use of repression by claiming to be fighting terrorism.
The regime’s crackdown has been savvy, with few outright attacks on protesters. Instead, activists and journalists have been harassed, brought up on minor charges, and jailed for brief periods. These acts appear to be intended to silence criticism and discourage further contentious action in the kingdom.
Morocco five years later
Morocco in 2016 is stable. It is a reliable ally of the United States. It has taken steps to develop its economy and improve the well-being of Moroccans. It is not even close to resembling the most brutal of regimes the Arab world has seen. There are thus many reasons to appreciate the state of affairs in Morocco today.
But it is important not to mistake stasis for progress.
The biggest winner of the Moroccan Arab Spring was the monarchy itself, as I thought it might be on the first anniversary of the Arab spring. The February 20th movement’s objective — a monarch constrained by democratic procedures — has not been achieved. Instead, the king paid lip service to democratic aspirations while quietly shutting down critical voices.
Today, the king’s power appears more assured than ever. Some February 20th activists say that Moroccan politics has returned to the pre-2011 era, but in fact, circumstances are far less promising for democratic reform now than they were before the Arab Spring. First, the very fact that the regime survived unchanged makes it appear less vulnerable than it was before. Second, the regime has made opposition harder by targeting dissidents and limiting the independent media. Finally, pressure for democratization is unlikely to come from outside Morocco.
The relative importance of Morocco to the United States and France has risen as other allies have fallen or proven less reliable. The United States needs a stable ally in North Africa and does not want to put pressure on the monarchy.
Although stability in Morocco appears assured in the near term, a new article of mine, forthcoming in the British Journal of Political Science, suggests that targeted repression may lay the groundwork for future protests. In surveying Moroccan youth, I found that many protest leaders came from families that had experienced repression in the past. They were the sons and daughters of dissidents imprisoned during the era of the current king’s father, Hassan II. Their family’s experiences of repression left a lasting legacy. When the opportunity arose, these youth were already organized and ready to take to the streets. The repression of the past five years may similarly come back to haunt the regime in future years.
In the long term, the smart way to prevent renewed — and potentially more serious — protests, given that the king’s promises of reform were hollow, is for the regime to begin taking meaningful steps toward a constitutional monarchy in which power is more evenly shared with an elected parliament.
By sharing power, the king and the government would also share responsibility for economic growth and development. Dismal employment and growth prospects were a key motivator in 2011, and while the government has taken serious steps to improve the economic situation, growth has slowed and youth unemployment remains high. Democratization alone won’t solve these problems, but giving the country as a whole a greater stake in decision making may make it less likely that, the next time around, the king himself is held accountable for the country’s challenges. _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 13:29 | |
| http://www.noonpresse.com/%D8%A7%D9%84%D8%A7%D8%AA%D8%AD%D8%A7%D8%AF-%D8%A7%D9%84%D8%A3%D9%88%D8%B1%D9%88%D8%A8%D9%8A-%D9%8A%D9%84%D8%BA%D9%8A-%D9%82%D8%B1%D8%A7%D8%B1-%D8%A7%D9%84%D9%85%D8%AD%D9%83%D9%85%D8%A9-%D8%A7%D9%84/ |
| | | kurahee Colonel-Major
messages : 2473 Inscrit le : 15/02/2014 Localisation : maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 13:55 | |
| ss400 la cour n'a pas encore statué ! la derniere nouveauté du dossier de recours c'est pour l'instant ça :
http://www.leseco.ma/maroc/44397-accord-agricole-le-maroc-gagne-une-bataille-au-tribunal-europeen.html | |
| | | KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 02/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 15:47 | |
| Vraiment pas de chance que notre roi soit toujours mal entouré mais qui choisit ses conseillers ? Aveuglement quand tu nous tient: http://www.slateafrique.com/661765/panama-papers-mohamed-6 | |
| | | simplet General de Brigade
messages : 3183 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 16:00 | |
| - Ameqran a écrit:
Ce média fer de lance des intérêts français met en cause un maire PJD, avec une compagnie française VEOLIA, et oublié tout le vol en total impunité de cette compagnie au Maroc.
Les intérêts français veulent régler leur compte à un maire PJD, Pour l'intérêt de cette compagnie ou une autre vue qu'ils sentent exclu d'un marché ou autres.
Cette compagnie doit être sanctionné pour pour ce jeu tiers mondiste. Le problème est qu'il y'a déjà une attaque en toute règle du ministère de l'intérieur aux villes gouvernées par le PJD, on leurs demandent de s'acquitter des dettes accumulées durant des des décennies en une année, afin de les priver d'une manne financière qui leurs permettra d'appliquer leurs programmes, la plus part des grandes sont casi faillite à cause de cela, ils peuvent gouverner durant leurs mandats les caisses vides.[/size][/td] [/tr] [/table]
c'est ce genre d’élus opportunistes qui portent préjudice au PJD. le parti doit faire le tri avant de présenter ses candidats aux élections. monsieur le Maire pensait vraiment que ses adversaire vont le raté sur un dossier aussi facile a découvrir. il doit vraiment souffrir d'une maladie mentale pour croire a ça . _________________ . "Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option." Bob Marley. . | |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 16:21 | |
| - KapMajid a écrit:
- Vraiment pas de chance que notre roi soit toujours mal entouré mais qui choisit ses conseillers ? Aveuglement quand tu nous tient:
http://www.slateafrique.com/661765/panama-papers-mohamed-6 La SMM6 n'a rien fait de mal je connais cette companie ,tout ce qu'elle fait c'est d'etre l'intermediaire et courtier pour les transfer des fonds les achats et les prets a l'internationale securises..M6 a achete le boughaz legalement a travers une companie serieuse,ce qui c'est passe c'est que cette companie son server vient d'etre hacked.c'est tout. | |
| | | KapMajid Aspirant
messages : 517 Inscrit le : 02/08/2013 Localisation : Canada Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| | | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 16:31 | |
| Apparemment ce truc c'est pour les dirigeants qui veulent dissimuler leur patrimoine au fiscs de leurs pays. Je ne pense pas que la question soit posée au Maroc. Je ne vois pas le fisc marocain faire des inspections ... Il se contenterait de ce qu'on lui donne.. _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 17:10 | |
| - Adam a écrit:
- Apparemment ce truc c'est pour les dirigeants qui veulent dissimuler leur patrimoine au fiscs de leurs pays. Je ne pense pas que la question soit posée au Maroc. Je ne vois pas le fisc marocain faire des inspections ... Il se contenterait de ce qu'on lui donne..
Non, cette affirmation n'est pas correcte. Les societes offshore sont une necessité dans le systeme financier actuel. On ne peut pas critiquer alors qu'au Maroc nous mettons en place des zones offshores comme le Casa Finance City, alors que nous avons la zone franche de Tanger etc... De meme, les Americains ont le Delaware et les Europeens ont le Luxembourg et l'Irlande Dans le cas du roi, il faut savoir que de nombreux biens sont packagés dans des sociétés offshore pour eviter d'avoir à payer une taxe sur la revente du bien. Par exemple, en Grande Bretagne, on a longtemps placé les biens immoobiliers (au delà de 2 millions £) dans des sociétés offshores. Lorsque l'on veut vendre la maison (ou l'appart), on vend la société offshore. Ainsi, on évite de payer la "stamp duty" (5% de la valeur de la transaction tout de meme) et, on evite de payer la taxe sur le gain en capital (les lois ont changé et ce n'est plus aussi avantageux). La meme chose est vrai pour les bateaux/yachts/jets privés. Dans la plus part des cas, ils sont packagés dans une société offshore dans le but d'eviter de payer des taxes inutiles à des pays dont on n'est ni les citoyens ni les résidents. La goelette appartenait à une famille Americaine qui l'avait placé comme actif dans une société des British Virgin Islands. Lorsque le roi a voulu acheté ce yacht, la seule possibilité offerte par le proprietaire etait d'acheter la societé dont le navire etait le seul actif. Le roi (et son conseillé) n'avait pas le choix. Dés que le yacht a été acheté, ils l'ont enregistré sous pavillon Marocain (et non plus sous pavillon des BVI) et ils ont liquidés la société. Maintenant, il est certain que tous ces journalistes cherchent à faire du sensationnel sans fondement et sans raison. Les societes offshore ne sont pas illegales. Chercher à minimiser le montant d'impots que nous payons (en suivant la loi) est notre droit à tous. Eviter de payer des impots dans des pays dont on n'est pas les ressortissants est une bonne chose (pourquoi payer la TVA quand j'achete du parfum en France alors que je ne vis pas en Europe)... C'est une tempete dans un verre d'eau qui ne soulève pas du tout les vrais problemes de systeme. Pour revenir au cas de notre roi, je pense que le vrai probleme est que son secretaire particulier utilise des methodes d'investissement et de transactions qui viennent du private banking. Ces banques appliquent toujours les memes recettes et utilisent toujours les memes intermediaires. Siger devrait etre gerée plus professionellement par des individus qui connaissent le coté institutionnel de la finance et sauront maintenir le niveau de confidentialité nécéssaire. A titre de comparaison, Benjelloun fait des choses nettement plus "etranges" mais la structure qu'il a mis en place pour gerer ses actifs internationaux (au sein de finance.com International) est nettement plus élaborée que ce que le roi a en place. |
| | | juba2 General de Division
messages : 6954 Inscrit le : 02/04/2008 Localisation : USA Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 17:28 | |
| Well analyze Alphatango. | |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 17:52 | |
| Merci Mr Alpha .. Les lecteurs excuseront l'expéditivité d'un novice _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
| |
| | | RadOne Capitaine
messages : 815 Inscrit le : 11/10/2009 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 4 Avr - 18:01 | |
| Très bonne analyse alpha. Moi ce qui me fait "tiqué" dans cette histoire, c'est ce passage de l'article du monde: - Citation :
Contrairement aux déclarations de ses gestionnaires lors de sa liquidation, SMCD a aussi été le véhicule offshore pour un investissement royal dans une entreprise cotée à la Bourse de Casablanca : Alliances Développement Immobilier (ADI), dirigée par Mohamed Alami Lazrak Nafakh, un ancien cadre de l’Omnium nord-africain. L’ONA, holding royale, a été repris en 2010 par SNI, la société nationale d’investissement, désormais l’outil principal des activités économiques du Palais. En février 2008, avant son introduction en Bourse, ADI comptait déjà SMCD Ltd dans son tour de table, comme l’a révélé le site d’informations ledesk.ma. Or, si SMCD Ltd semble bien avoir été liquidée en août 2013, elle apparaît aujourd’hui encore dans les registres d’actionnaires d’ADI. Pire : en août 2015, ADI émettait un emprunt obligataire remboursable en actions pour un milliard de dirhams (environ 90 millions d’euros). La note d’information, visée par le conseil déontologique des valeurs mobilières, mentionne encore SMCD comme titulaire de 185 000 actions, soit 1,4 % du capital. Ailleurs, une information erronée sur les actionnaires d’une entreprise cotée provoquerait un scandale boursier. Pas au Maroc.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/04/maroc-mohammed-vi-aime-les-iles-vierges_4895300_3212.html#yoTVZVW4L5Yk9UCX.99
Si ces informations sont bonnes, là sa remet quand meme en question les autorités boursières ... | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 5 Avr - 1:17 | |
| - RadOne a écrit:
- Très bonne analyse alpha.
Moi ce qui me fait "tiqué" dans cette histoire, c'est ce passage de l'article du monde:
- Citation :
Contrairement aux déclarations de ses gestionnaires lors de sa liquidation, SMCD a aussi été le véhicule offshore pour un investissement royal dans une entreprise cotée à la Bourse de Casablanca : Alliances Développement Immobilier (ADI), dirigée par Mohamed Alami Lazrak Nafakh, un ancien cadre de l’Omnium nord-africain. L’ONA, holding royale, a été repris en 2010 par SNI, la société nationale d’investissement, désormais l’outil principal des activités économiques du Palais. En février 2008, avant son introduction en Bourse, ADI comptait déjà SMCD Ltd dans son tour de table, comme l’a révélé le site d’informations ledesk.ma. Or, si SMCD Ltd semble bien avoir été liquidée en août 2013, elle apparaît aujourd’hui encore dans les registres d’actionnaires d’ADI. Pire : en août 2015, ADI émettait un emprunt obligataire remboursable en actions pour un milliard de dirhams (environ 90 millions d’euros). La note d’information, visée par le conseil déontologique des valeurs mobilières, mentionne encore SMCD comme titulaire de 185 000 actions, soit 1,4 % du capital. Ailleurs, une information erronée sur les actionnaires d’une entreprise cotée provoquerait un scandale boursier. Pas au Maroc.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2016/04/04/maroc-mohammed-vi-aime-les-iles-vierges_4895300_3212.html#yoTVZVW4L5Yk9UCX.99
Si ces informations sont bonnes, là sa remet quand meme en question les autorités boursières ... La seule chose sur lequel le régulateur des marchés au Maroc est critiquable dans ce que tu soulève plus haut est le fait qu'il n'ait pas verifié le registre des actionnaires. Si la société SMCD a ete liquidé en 2013, elle ne peut pas etre actionnaire de Alliance. Le fait d'utiliser une société offshore pour investir dans une société Marocaine de la part de SIGER n'est pas illégal en soit. Cela pause des questions sur l'introduction en bourse et son succes rapide... Si il ne s'agissait pour le palais que de soutenir une entreprise privée à devenir un champion national, je n'y voit pas de probleme. Le fait de le faire discretement, via une entreprise offshore est comprehensible mais les mauvaises langues diront que l'entreprise Alliance a eu des avantages car le palais etait derriere... et dés qu'il est sorti du tour de table les problemes ont commencés. Le cas SMCD - Alliance mérite une explication de la part de SIGER. Juste pour clarifier leur role durant l'introduction en bourse et pourquoi ils ont revendus leurs actions (et à qui). |
| | | yassine1985 Colonel-Major
messages : 2948 Inscrit le : 11/11/2010 Localisation : Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mar 5 Avr - 15:49 | |
| celà reste de l'évasion fiscal !
Les sociétés bidons qui disparaissent du jour au lendemain ne sont pas une nouveauté pour la haute sphère au Maroc _________________ ."قال الرسول صلى الله عليه وسلم : "أيما امرأة استعطرت فمرّت بقوم ليجدوا ريحها فهي زانية
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 6 Avr - 2:54 | |
| Le roi n'est pas soumis à l'impot. C'est dans la loi pour autant que je me souvienne et cela avait été expliqué au Monde lors de l'affaire d'HSBC Switzerland. Il ne peut pas y avoir d'evasion fiscale quand ton taux d'imposition est ZERO!
Ne tombez pas dans le jeu du Monde et d'autre torchons qui ne cherchent qu'à pousser leur propre agenda. |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 11/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 6 Avr - 9:47 | |
| http://www.le360.ma/fr/blog/el-arbi-el-harti/le-desinteret-des-marocains-pour-panama-papers-explique-au-journal-le-monde-67505 _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 6 Avr - 12:50 | |
| - alphatango a écrit:
- Le roi n'est pas soumis à l'impot. C'est dans la loi pour autant que je me souvienne et cela avait été expliqué au Monde lors de l'affaire d'HSBC Switzerland.
Il ne peut pas y avoir d'evasion fiscale quand ton taux d'imposition est ZERO!
Ne tombez pas dans le jeu du Monde et d'autre torchons qui ne cherchent qu'à pousser leur propre agenda. je savais pas que le Roi ne paye pas d'impôts (j'imagine toute la famille et la famille de la famille)!!! Maintenant, je comprend un peu les implications du mot juridique "sujets du Roi". On existe pas (peuple) dans la triangulaire Allah-Alwatan-Almalik, on appartient au Roi. En plus des gros salaires et coût de fonctionnement du palais, qu'il soit privilégié dans les affaires, Ok. Mais delà à ne pas payé d'impôt, c'est peu élégant, ça fait gourmand et prédateur, et non solidaire dans la construction de cette Nation. C'est de la que vient cette mentalité au Maroc, si t'a le pouvoir du Makhzen, tout est permis. |
| | | badr le patriotique Sous lieutenant
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 6 Avr - 13:02 | |
| Le roi paye ces impots il est le 1e par cotiation au Maroc _________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
| |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Actualités nationales | |
| |
| | | | Actualités nationales | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|