Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC

Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine
 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal

 

 Actualités au Moyen Orient

Aller en bas 
+46
ScorpionDuDesert
@Winners
F-35
atlas
Djaaf
QuickShark
Cherokee
docleo
ralek1
FAMAS
daama94
Barsdz
Adam
WRANGEL
Shugan188
Socket-error
romh
BOUBOU
charly
vinseeld
Viper
b46reich
FarLouati
simplet
KapMajid
kurahee
leadlord
YASSINE
sraboutibada
FAR SOLDIER
RadOne
mourad27
hakhak
Arbalo
PGM
Yakuza
RED BISHOP
jf16
moro
youssef_ma73
Fox-One
juba2
Amgala Winner
RecepIvedik
Fahed64
pyromane
50 participants
Aller à la page : Précédent  1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 36 ... 40  Suivant
AuteurMessage
pyromane
Colonel-Major
Colonel-Major
pyromane


messages : 2380
Inscrit le : 22/06/2011
Localisation : Ailleurs
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeLun 14 Déc 2015 - 10:38

Rappel du premier message :

Sinon pour parler des choses sérieuses, le Liban s'apprête à élire un allié du Hezb et de Bachar à sa tête, combiné au cessez le feu au Yémen, l'Arabie saoudite vient de se faire sévèrement rappeler à l'ordre, à mon grand plaisir bien sur Smile .

_________________
Actualités au Moyen Orient - Page 32 12118610
Revenir en haut Aller en bas

AuteurMessage
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 10:19

PGM a écrit:
Ça va être le braquage du siècle. En fin de compte ils n'auront peut être pas à introduire aramco en bourse. Le tout nymbé d'une tension géopolitique,  à même de faire s'envoler le cours
Du barils. Ça gagne sur tout les tableaux

On parle de 900 Milliards ! ils pourront financer le plan de diversification économique de 2030 !
Revenir en haut Aller en bas
simplet
General de Brigade
General de Brigade



messages : 3204
Inscrit le : 20/05/2012
Localisation : MONTREAL
Nationalité : Maroco-Canadien
Médailles de mérite :
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena11

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 11:55

Citation :

Nabil Mouline: «En Arabie saoudite, le prochain roi devra choisir entre sa famille et ses sujets»


En quoi les personnes arrêtées menaçaient le pouvoir du prince héritier Mohamed Ben Salmane, que l’on dit être le véritable inspirateur de la purge ?

Cette question nous renvoie à l’architecture du pouvoir en Arabie Saoudite et à son mode de succession. Depuis 1953, le mode de domination est horizontal dans ce pays. Après la disparition du roi Abdelaziz, son charisme s’est dispersé entre ses fils. Et chacun d’eux s’est taillé un fief. Et de 1953 à 2015, le roi n’était qu’un primus inter pares, c’est-à-dire le premier parmi ses pairs, ce qui veut dire qu’il ne pouvait avoir qu’une prééminence symbolique s’il n’a pas une faction, une coalition très large derrière lui pour le soutenir, c’est à dire : princes, oulémas, officiers, bureaucrates, hommes d’affaires, intellectuels, etc. La configuration du pouvoir était donc collégiale. Le principal problème qu’engendrait ce mode de gouvernement, ce sont les luttes de factions. Chaque faction essaie de thésauriser le maximum de ressources symboliques et matérielles en vue d’affaiblir l’autre.


Par ailleurs, le mode de succession en Arabie saoudite n’est pas patrilinéaire mais adelphique. C’est la personne la plus «forte» de la famille qui monte sur le trône, quel que soit son âge et son rang. Ce qui fait que les luttes pour le pouvoir sont incessantes. Et justement, il y a une lutte entre plusieurs factions vu que la transition générationnelle a commencé depuis plusieurs années déjà entre les princes de la 3e génération (les petits-fils d’Abdelaziz). Dans un premier temps, la faction dite des Sudayri avait gagné. Mais depuis 2015, il y a eu une lutte à l’intérieur même de cette faction. Et c’est Mohamed Ben Salmane qui en est sorti vainqueur, du moins pour l’instant. Et il essaie par conséquent d’éliminer tous les autres potentiels rivaux.

L’Arabie saoudite se dirigerait-elle vers un changement de mode de succession pour adopter un mode de succession patrilinéaire ?

Tous les grands princes de la famille, et pas seulement Mohamed Ben Salmane, considèrent le mode de succession actuel et le mode de gouvernement qui en découle comme préjudiciable pour l’Arabie saoudite à plusieurs niveaux. D’abord au niveau interne. Car le mode horizontal de distribution du pouvoir, ce que j’appelle la multidomination, engendre des dysfonctionnements énormes dans le processus de prise de décision. Pour prendre une décision importante, il faut toujours avoir un consensus, ce qui bloque un certain nombre de décisions.

Ce mode de gouvernance faisait peut-être l’affaire lorsque l’Arabie saoudite était peuplée de quatre millions d’habitants. Aujourd’hui, le pays est peuplé d’une vingtaine de millions de Saoudiens (sans compter les immigrés) et s’étend sur une surface de 2 millions de km². Il faut donc répondre aux attentes économiques et sociales de la population, dont quasiment 50% a moins de 25 ans. Ce mode de succession cause également problème au niveau économique. La multidomination a un coût. Les membres de la famille royale, et notamment les chefs de faction s’accaparent une grande partie du revenu saoudien. On parle de 10 à 30% du PIB saoudien accaparé par la famille royale. Et ce que prend la famille royale n’est pas injecté dans le budget de l’Etat et ne peut pas servir à acheter la paix sociale et à reconsolider le pacte social, qui dépend essentiellement de la redistribution d’une partie de la rente pétrolière à la population. Car c’est ça le deal initial. Les Saoud monopolisent le pouvoir et la population n’a aucun droit de regard sur le processus de prise de décision tant que la famille royale leur assure un niveau de vie confortable. Vu la démographie galopante du pays et les changements quasi-coperniciens de cette société, le futur chef de l’Etat, quel qu’il soit, doit traiter un véritable dilemme: choisir entre sa famille et ses sujets.

Mohamed Ben Salmane a donc choisi ses sujets !

Il essaie de le faire en tout cas. Ce n’est pas une question de personne. Quelle que soit la personnalité du jeune prince qui va monopoliser le pouvoir, il aura ce choix à faire. Car la situation actuelle est très couteuse politiquement et économiquement.

Au niveau de la politique extérieure, la multidomination provoque des dysfonctionnements de la diplomatie saoudienne. Avant 2015, les observateurs, les chercheurs et même un certain nombre de politiciens étrangers avaient du mal à lire la politique étrangère saoudienne. On disait notamment qu’elle était contradictoire, voire dysfonctionnelle. Cela revient à une réalité très simple : l’Arabie saoudite n’avait pas une seule diplomatie, mais plusieurs diplomaties parallèles. Il y avait la diplomatie de Bandar, celle de Turki al Faysal, celle de MBS, ou encore celle Mohammed Ben Nayef. Chacun avait ses propres réseaux et ses propres intérêts. Chacun essayait de capitaliser en politique extérieure pour réinvestir son capital dans la politique intérieure et gagner la bataille de la succession. C’est pour cette raison-là que depuis 2015, on assiste à une uniformisation de la politique extérieur. On dit que cette dernière est plus directe, plus agressive. La simple raison est qu’il n y en a plus beaucoup. Il y en a une seule et c’est celle de Mohammed Ben Salmane.


Le roi Salmane et le prince héritier Mohammed Ben Salmane. Crédit: DR.
Comment expliquer la récente montée des tensions avec le Liban ?

Le Premier ministre démissionnaire Saad Hariri est considéré par les Saoudiens comme un simple pion dans un échiquier plus large, c’est-à-dire la lutte entre l’Arabie saoudite et l’Iran. On va utiliser le champ politique libanais pour créer des tensions et des rapports de force avec l’Iran. Il faut inscrire cela dans un espace un peu plus large.

La démission de Hariri a-t-elle pu être influencée par l’Arabie saoudite ?

Elle est bien entendu influencée par l’Arabie saoudite. Ne serait-ce que par le lieu où il l’a annoncé (Arabie Saoudite) et le temps (quelques heures avant l’annonce de la purge). Sa démission était une sorte de démonstration de force de l’Arabie saoudite. Cette dernière voulait montrer que, d’une part, elle pouvait contrôler un client, et d’autre part, perturber les projets de l’Iran. Même si on ne sait toujours pas quel était l’objectif à moyen terme de cet agissement.

Peut-on s’attendre à ce que Salmane abdique en faveur de son fils ?

On peut s’attendre à tout, mais cela va être très risqué pour le fils. On oublie souvent que pour l’instant, MBS profite énormément du capital symbolique du père, de la force de son caractère, de son réseau étendu, de son aura au sein de la famille royale et surtout de sa puissance juridique. Salmane est certes diminué au niveau de sa santé, mais plus son règne dure, plus Mohamed Ben Salmane a des chances de consolider son pouvoir et éliminer tous les autres rivaux
. Il ne faut pas oublier que toutes les décisions qui ont récemment été prises, y compris la purge, ont été prises au nom du père.

Peut-on s’attendre à ce que les princes arrêtés soient condamnés à mort ?

De toute façon, les princes arrêtés ont déjà été condamnés à mort symboliquement. Les condamner à mort physiquement va néanmoins être très difficile, mais pas impossible. MBS a franchi le Rubicon. Il ne peut plus reculer. Le monarque de facto d'Arabie saoudite sera amené à prendre des décisions capitales à moyen terme, ce qui fera de lui soit un grand roi, soit le dernier !


https://www.h24info.ma/monde/nabil-mouline-arabie-saoudite-prochain-roi-devra-choisir-entre-famille-sujets/

_________________
.


"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."  Bob Marley.

.
Revenir en haut Aller en bas
Adam
Modérateur
Modérateur
Adam


messages : 6300
Inscrit le : 25/03/2009
Localisation : Royaume pour tous les Marocains
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena15

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 15:20

Citation :

US Hoping to Feed Middle East Nations’ Growing Appetite for Warplanes




Defense sector analysts see a surging market for fighter jets among Middle East nations over the next five years.




During the Dubai Airshow, which runs from November 12 to November 16, plenty of US aircraft manufacturers will be looking to pitch US-made aircraft to potential buyers, Defense News reports.

In recent years, countries like Bahrain, Morocco, Israel, the United Arab Emirates, Qatar and Saudi Arabia have been shelling out cash on aircraft contracts left and right to grow their air forces.

“A lot of these contracts have come to completion,” says Derek Bisaccio, an analyst at Forecast International. “They’ve started signing orders. They’ve been approved. So that does limit what they need to be purchasing for the time being.”

Notably, in March, US President Donald Trump lifted an arms embargo on Bahrain based on state-sponsored human rights abuses, thus allowing a deal for 19 F-16 jets to move forward. In June, Qatar and the US signed off on a $12 billion deal for F-15s.

“What I think is notable is that a lot of these countries feel they need to get more. They definitely have the budgets for it, the resources for it, even with the collapse of energy prices,” Bisaccio told Defense News.

The Teal Group’s Richard Aboulafia expects Middle East nations to buy at least 245 “new-build” aircraft, as opposed to refurbished or modernized ones, in the next five years.

The question is who will supply them. The biggest suppliers of combat aircraft are overwhelmingly the US and Russia. In descending order, the F-16, F-18, Su-27, F-15, MiG-29, MiG-21 and Su-25 have been the top seven sellers worldwide since production started for each plane, according to Motley Fool.

Israel is on pace to buy 50 fifth-generation F-35s, and the first F-35I Nadirs are slated to become operational in just under a month. The UAE may become the first Middle East partner not named Israel to get approval to buy F-35s after the Trump administration decided to “consider” a longstanding request from Abu Dhabi.

#Sputnik

..........
..........

Citation :

Saudi Arabia’s New Strongman Wants the Kingdom to Become a Middle East Arms Powerhouse

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Defens10

The crown prince’s surprise arrests of rivals puts him in position to execute a sweeping diversification of the country’s economy.


What does Saudi Arabia’s crown prince want to do now that he’s holding potential rivals prisoner at the Riyadh Ritz? Among other things: turn his country into a major weapons manufacturer.

Currently, Saudi Arabia is one of the world’s biggest arms importers. In May, Riyadh pledged to buy U.S.-made weapons worth up to $110 billion (a deal that Donald Trump claimed credit for, though it was in the works long before his election). The package includes THAAD missiles, spy planes, tanks, and more. But Crown Prince Mohammad bin Salman bin Abdulaziz Al Saud — informally, MBS — wants his country to produce a lot more of its own arms.

MBS is believed to have been the guiding voice behind last year’s Saudi Vision 2030, which lays out an agenda for diversifying the Saudi Arabian economy beyond oil. Among other things, the plan aims to enable the country to build half of its own military weapons in less than two decades.

“We have already begun developing less complex industries such as those providing spare parts, armored vehicles, and basic ammunition,” the plan says. “We will expand this initiative to higher value and more complex equipment such as military aircraft. We will build an integrated national network of services and supporting industries that will improve our self-sufficiency and strengthen our defense exports, both regionally and internationally.”

Mohammed bin Salman’s surprise arrests of 11 Saudi princes and several other officials — a move that many in the West saw as a massive consolidation of power, particularly over the military and security services — turns the crown prince into a one-stop shop for the Kingdom’s arms decisions. He’s in a perfect position to execute on his strategy with no opposition.

In theory, as the Kingdom builds more weapons internally, his Western arms suppliers might expect to lose profits. But that ignores the market’s see-saw nature, said one defense industry analyst. A former senior manager at a top U.S. defense company, the analyst spoke on condition of anonymity, citing the sensitive nature of his current work with various defense firms.

“People like to think that [Saudi Arabia] is this multi-billion dollar market every single year. That’s just not the case. They maintain what they have” — such as tanks and other vehicles, said the analyst. “From a Lockheed Martin perspective or from a Northrop Grumman perspective, it’s been a big chase.”

Contractors have opened up to the idea of working to build up Saudi companies, which isn’t necessarily less lucrative than simply exporting arms to the Kingdom. Lockheed Martin has rushed to ink deals to co-build Black Hawk helicopters and satellites with Saudi firms. Boeing, too, is looking to establish a foothold in the Kingdom’s nascent arms industry through a company called Alsalam Aerospace, a nominally Saudi company that operates as a subsidiary of BITG Corporation, a Boeing subsidiary.

In effect, these firms are agreeing to something much more like a marriage than a traditional buyer-seller relationship. But with Mohammed bin Salman in the mix, such long-term partnerships carry a lot of risks — dangers that were apparent even before the weekend’s power moves. MBS is seen as the driving force behind Saudi Arabia’s increasingly violent proxy war with Iran in Yemen. He’s also credited with the Kingdom’s hardball economic tactics against Qatar. The recent arrest spree is yet another move sure to make future business wary. Who wants to be in a long-term relationship with a guy who just arrested 11 relatives?

“You would be cautious for sure,” said the analyst. “It is certainly a watch point. The rest of the story is: will business continue to flow? No one was predicting what happened [over the weekend] but business has not been affected. Arguably, Western businesses— yes they are cautious. But the signs are still positive because modernization is required to do some of the big things that they [the Saudi Arabian government] are talking about. And, like it or not, this was a step toward more modernization and openness.”

The analyst said defense contractors would look to the U.S. government for reassurance that the relations with the Kingdom are normal. “You would weigh it in terms of everything else, in terms of what the discussion is like government to government. You would want to make sure that the U.S. embassy and the State Department are engaging closely and directly with MBS and his people,” he said.

Gerald Feierstein, director for Gulf affairs and government relations at the Middle East Institute, put it in starker terms. “By upending the Saudi tradition of consensus in decision-making and centralizing political and economic control, the Crown Prince takes sole ownership of Saudi Arabia’s future in a way that no predecessor has attempted. The success of Vision 2030 requires enormous social and economic reforms, and its success is far from certain. To a large extent, Mohammed bin Salman has gambled his own fate on its outcome,” Feierstein said in a statement.

#Defense One

_________________
Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 18:52

Actualités au Moyen Orient - Page 32 23319043_1544409885628076_1011342717886715114_n
Ils ont au moins une faracha Laughing !
Revenir en haut Aller en bas
PGM
Administrateur
Administrateur
PGM


messages : 11678
Inscrit le : 12/12/2008
Localisation : paris
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena23Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena20
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 19:00

Bédouin un jour bédouin toujours 😁

_________________
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Marche12
Revenir en haut Aller en bas
Shugan188
Modérateur
Modérateur
Shugan188


messages : 5674
Inscrit le : 12/05/2015
Localisation : Maroc
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena11
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena11

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 19:46

Actualités au Moyen Orient - Page 32 DOSkoTAX0AETxN6
Revenir en haut Aller en bas
Shugan188
Modérateur
Modérateur
Shugan188


messages : 5674
Inscrit le : 12/05/2015
Localisation : Maroc
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena11
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena11

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 10 Nov 2017 - 23:53

Apparemment ces clichés sont faits par des acteurs libanais
https://twitter.com/khalil_charbel/status/929008972526489600
Revenir en haut Aller en bas
youssef_ma73
General de Brigade
General de Brigade
youssef_ma73


messages : 3005
Inscrit le : 04/08/2014
Localisation : France
Nationalité : Maroc-France
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeSam 11 Nov 2017 - 0:14

Shugan188 a écrit:
Apparemment ces clichés sont faits par des acteurs libanais
https://twitter.com/khalil_charbel/status/929008972526489600
Je m'en doutais un peu ... il est impensable de laisser des smartphones à des gens en détention, même des emirs...

_________________
“Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert Einstein.
Actualités au Moyen Orient - Page 32 8-photos-incroyables-qui-vous-feront-revivre-limpressionnante-Marche-Verte_feat
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeSam 11 Nov 2017 - 13:08

youssef_ma73 a écrit:
Shugan188 a écrit:
Apparemment ces clichés sont faits par des acteurs libanais
https://twitter.com/khalil_charbel/status/929008972526489600
Je m'en doutais un peu ... il est impensable de laisser des smartphones à des gens en détention, même des emirs...
Pour les photos c'est du fake ! Par-contre tu sous estime le pouvoir de ces gens qui ne se résume pas à l'argent ! . Il y aurais même eu des princes qui se sont échappe de leurs détention par complicité.

Derrière chaque personnalité de la famille régnante il y a des centaines de personnes appartenant au même clan dans tous les leviers de commandes de l’état. Rien que pour les abdelaziz on parle de plus 1000 personnes.

Revenir en haut Aller en bas
Adam
Modérateur
Modérateur
Adam


messages : 6300
Inscrit le : 25/03/2009
Localisation : Royaume pour tous les Marocains
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena15

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 14:32

Citation :

Sales target: Russia sets its sights on the Middle East


In mid-October, Russian Defense Minister Sergey Shoigu met with a Middle Eastern counterpart to discuss the war in Syria and “military-technological cooperation.”

At the meeting, Shoigu made a familiar declaration, according to state-run Russian news outlets, stating that Russia’s military campaign in Syria “is about to be completed.” It was not the first time Russia claimed to be on the verge of completing its military objectives in Syria. And last year, President Vladimir Putin even announced a partial withdrawal from the country — which ultimately turned out to be a restructuring of its presence.

To be sure, Moscow has accomplished a lot since it’s surprise September 2015 intervention in the Syrian conflict. Entering the fray in support of Syrian President Bashar Assad’s then-beleaguered military, Russian aircraft and an alleged murky mix of special operations forces and mercenaries decisively altered the course of the conflict in Assad’s favor. In doing so, Moscow spared an ally from an uncertain fate and secured regional bases.

But the Syria operation has paid off in another, unexpected way: The operation became a live-fire advertisement for a wide range of Russian weapons systems. Though Russian systems, especially aircraft, have always had a reputation as a cheap and decent alternative to more expensive Western systems, the campaign demonstrated they could be used to alter the course of a high-stakes conflict. And Russia is cashing in.

“Syria was indeed a testing ground for Russian weapons that allows it to market its arms globally,” said Yury Barmin, a Middle East expert with the Russian International Affairs Council. “However, this is something that Russia did not discover until after it went to fight in Syria. It certainly was not something that motivated Moscow to intervene in the conflict. I wouldn’t call it opportunism, but there’s no coherent strategy either.”

At a meeting of Russia’s military-industrial commission in April, Putin claimed that Russian arms export contracts were growing and that this was “largely a result of the more effective use of our weapons in real combat conditions,” the Tass news agency quoted him as saying. “This opportunity for gaining a firmer foothold in the world arms market should not be missed,” he told his defense industry leaders.

On the offensive

With arms exports plateauing as traditional clients like India and China pursue evermore domestic production, or customers like Venezuela go broke, Russia is actively pursuing all opportunity it can find in the Middle East.

In many ways, Russia’s approach to the Middle East arms market is opportunistic. As ties between the U.S. and Egypt, for example, strained in 2014, Russia swept in with a $3.5 billion arms deal to fill the void. Since then, Russia has been working to expand or restore arms sales to Soviet-era regional partners like Iraq, Iran, Libya and Algeria.

According to the Stockholm International Peace Research Institute, Russia’s arms trade volumes generally grew in the Middle East last year. Though far from its main buyers, Moscow saw healthy trade with old regional partners. It delivered more than $1.5 billion in arms to Algeria, $37 million to Egypt, $374 million to Iran and $300 million to Iraq. Russia is courting Libyan Gen. Khalifa Haftar to reactivate an old billion-dollar deal.

But Russia’s most noteworthy efforts have been in pursuing deals with new partners, some of whom are reliable customers for the American defense industry — bolstering a sense in Washington that Moscow is pursuing a strategy of challenging U.S. dominance on all fronts. Last month, Russian-Saudi ties leaped forward as King Salman bin Adbul-Aziz Al Saud Salman descended a golden elevator in Moscow for the first time.

The visit saw much fanfare in Russia, and according to Saudi state television, the two signed contracts to purchase high-end Russian systems such as the S-400 air-defense system, Kornet-EM anti-vehicle weapons, some small arms and one of Russia’s nastier pieces of hardware: the TOS-1A thermobaric multiple rocket launcher system. Though not publicly announced, Russian media reports suggest a total value of $3 billion.

Russia has been flirting with other U.S. allies in the Gulf, too. Though mostly symbolic, Russia has signed “military-technical cooperation” agreements with Qatar, and it maintains close ties with Jordan. Concrete deals were made with the United Arab Emirates to the tune of $700 million last year, and this year, the two announced the co-development of a fifth-generation fighter based on the MiG-29.

But according to Andrey Frolov, the editor-in-chief of Moscow Defense Brief, a publication of the Moscow-based Center for Analysis of Strategies and Technologies, it is hard to attribute recent gains to the apparent success of Russia’s campaign in Syria. “Assessing the impact on arms sales is not easy since the negotiating process takes several years,” he said. However, customers are now asking for Kalibr cruise missiles on ships.

The view from Washington

Moscow’s efforts have not gone unnoticed in Washington, which is still struggling to come to terms with Russia elbowing its way into the Middle East. By far, Russia is causing greatest consternation in its ongoing flirtation with NATO member Turkey. Putin and Turkish President Recep Tayyip Erdogan, both strongmen leaders with similar political instincts, have been playing a back-and-forth game when it comes to arms sales.

The process seemed to conclude in September when Turkey made good on its threats to sign a significant arms contract with Russia for the receipt of the top-of-the-line S-400 air-defense system. Though Erdogan says a deposit has already been paid, there is some lingering doubt about the deal. Turkey has since made demands for Russia to locally produce the S-400s, something Moscow is unlikely to do.

Putin and Erdogan are still playing their game, it seems, and Erdogan is also playing a game with its NATO partners. And Turkey’s behavior has certainly ruffled feathers in Washington. Asked how the U.S. might respond to S-400s going into service in a NATO military, an administration official told Defense News on background that “we have made our views clear.”

“While we certainly acknowledge that individual countries will exercise their own sovereign decisions about defense procurements,” the official said, “we also strongly believe that it is particularly important that NATO countries procure military equipment that is interoperable with NATO systems. A Russian system would clearly not meet that standard.”

The official also said that Turkey’s purchase of the S-400 would be “inconsistent” with pledges made by NATO allies at the 2016 Warsaw Summit to address existing dependencies on Russian-sourced legacy military equipment — a lingering vulnerability among the militaries of NATO’s newer members, who inherited swaths of their armed forces kit from the defunct Warsaw Pact.

While annoying to the U.S., Russia doesn’t seem to be pursuing a concerted strategy of undermining Washington’s status in the region, according to Becca Wasserman, an analyst at the think tank Rand. When asked if she believed Russia was intentionally trying to undermine interoperability among U.S. allies, Wasserman said: “I don’t think it’s the intention. I think it’s a happy byproduct.”

“In the same way that selling weapons to the Gulf states Russia happens to also undercut the U.S., this [complicating interoperability among U.S. allies] is just a happy secondary thing that happens,” Wasserman said. “It is more about the economic gain as well as the political relationship they strengthen through these sales.”

The view from Moscow

Russia’s arms sales in the Middle East do not take place in a vacuum. While driven by defense industry interests, they are seen in Moscow as part of a broader Russian effort to reassert itself as a player of major consequence. Russia’s expert community likes to talk of an emerging multipolar world order, and Moscow in many ways tries to act as if that is already the case. But it is difficult to attribute any strategy to its actions.

“Russia is not seeking to displace the U.S. in the Middle East, just cut it down to size,” says Vladimir Frolov, an independent Russian foreign affairs analyst. “Russia sees weapons sales as additional leverage and a tool to create dependency on Moscow. Sales to the Gulf, particularly to Saudi, are seen as a tool for other foreign policy objectives, to facilitate agreements on political issues and create stakeholders in relations with Russia.”

While arms sales are certainly seen by the government as tools in a larger game, the arms trade in Russia is a little more complicated than that. “To a great extent these deals are often worked out independently,” according to CAST’s Andrey Frolov. “For example, deliveries to Syria are handled by the Defense Ministry and taken from military stores. The state export agency Rosoboronexport has nothing to do with this.”

This jibes with the sometimes diffused nature of decision-making in Russia. Contrary to common perception, Putin does not preside over everything that happens. He sets the general tone and path, and hundreds of officials below him try to interpret and act according to perceived wishes. This makes dealing with Russia difficult, but it also makes formulating and pursuing broad strategy difficult for the Kremlin.

As far as Russia’s competition with the U.S. in the Middle East arms trade goes, the situation was best described by independent analyst Vladimir Frolov: “Russia’s strategy in weapons sales is to sell everything to everyone with little geopolitical consideration and zero human rights concern. And Russians will try to seize every opportunity where the U.S. is seen as an unreliable partner. Egypt and Turkey are just the most recent examples.”

#Defense News

_________________
Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 20:20

Un séisme puissant touche tout le Moyen-Orient, l'épicentre du séisme est la frontière irako-iranienne aux alentours de Soulaymaniyah. Le séisme vient d'être ressenti en Irak et en Iran, en Turquie, Syrie, Israël, Jordanie, Arabie Saoudite, Koweït, EAU, Qatar. Une zone de 1500 km de diamètre a ressenti le séisme.

Actualités au Moyen Orient - Page 32 DOdAonMWsAEopm5

Ici a Koweït city:

Actualités au Moyen Orient - Page 32 DOdBNDFW4AQGyPw
Revenir en haut Aller en bas
BOUBOU
General de Division
General de Division
BOUBOU


messages : 4848
Inscrit le : 07/08/2008
Localisation : en territoire hostile
Nationalité : Maroc-France
Médailles de mérite :
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena24
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena26Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 20:32

je pense à un éssai nucléaire iranien dans les montagnes frontralières avec l'Irak.

_________________
L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.

feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
Revenir en haut Aller en bas
PGM
Administrateur
Administrateur
PGM


messages : 11678
Inscrit le : 12/12/2008
Localisation : paris
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena23Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena20
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 20:39

Non je ne crois pas. Pas sûre que Téhéran ait atteint ce stade et dans le contexte actuel ça serait pas judicieux.
C'est un zone sismique . Peut être le ras le bol divin devant la bêtise Moyen-Oriental 🤔

_________________
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Marche12
Revenir en haut Aller en bas
BOUBOU
General de Division
General de Division
BOUBOU


messages : 4848
Inscrit le : 07/08/2008
Localisation : en territoire hostile
Nationalité : Maroc-France
Médailles de mérite :
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena24
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena26Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 21:41

ce qui m'intrigue, c'est l'on parle d'épicentre alors qu'un tremblement de terre est provoqué par un glissement. et ce glissement implique une trés large bande (en général, 2 plaques de plusieurs centaines voir de milliers de km).

il y a épicentre que pour une explosion à un point précis.

mais je reste perplexe...

_________________
L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.

feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
Revenir en haut Aller en bas
PGM
Administrateur
Administrateur
PGM


messages : 11678
Inscrit le : 12/12/2008
Localisation : paris
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena23Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena20
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 22:54

Non Boubou, on parle toujours d épicentre  dans un séisme :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9isme_de_2011_de_la_c%C3%B4te_Pacifique_du_T%C5%8Dhoku

La plaque arabique est très étendue  et couvre toutes les régions citées :

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Plaque_arabique

_________________
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Marche12
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeDim 12 Nov 2017 - 23:18

On dénombre une centaine de morts, beaucoup de zones non accessible. La Turquie envoi une aide humanitaire d'urgence au Kurdistan Irakien:

1 000 tentes
100 000 couvertures
1 restaurant mobile
3 000 chauffages (les nuits sont froides)
10 000 lits et matelas

Je pense aussi que c'est un séisme, la plaque arabique pousse la Turquie et crée une friction à la frontière irako-iranienne.

Actualités au Moyen Orient - Page 32 ArabianPlate
Revenir en haut Aller en bas
Adam
Modérateur
Modérateur
Adam


messages : 6300
Inscrit le : 25/03/2009
Localisation : Royaume pour tous les Marocains
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena15

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeMar 14 Nov 2017 - 14:20

Alastair Crooke - ex-agent secret britannique a écrit:


Israeli-Saudi Tandem Adjusts to Syria Loss



Facing defeat in the proxy war in Syria, the Israeli-Saudi tandem is planning a new front against Hezbollah, presaged by Lebanese Prime Minister Hariri’s sudden resignation, as ex-British diplomat Alastair Crooke explains.



It seems that matters are coming to a head in the Middle East. For many states, the coming period will likely prove to be the moment in which they determine their futures — as well as that for the region as a whole.

The immediate peg for “crunch time” is Russia’s fast-track proposal of a conference to be held in Sochi, with the near-full kaleidoscope of Syrian opposition invited, which, if all goes as planned, might mean 1,000 delegates arriving in Sochi as soon as Nov. 18.

The Syrian government has agreed to attend. Of course, when one hears of attendance in these numbers, it suggests that this is not intended as a “sleeves rolled-up” working session, but rather as a meeting in which Russian thoughts will be mooted on the constitution, the system of government, and the place of “minorities” – with a chaser that Russia wants fresh elections pretty darned quick: which is to say, in six months’ time. In short, this is to be the “last chance saloon” for opposition figures: come aboard now, or be shut out, in the cold.

This initiative has plenty of push behind it, including President Putin’s personal endorsement, but no guarantee of success. Both Iran and Turkey (the co-guarantors of Astana) privately may have reservations, not knowing precisely what Moscow might unveil. Iran is insistent on Syria retaining a strong centralized government, and Turkey is likely to worry about whether the Kurds might receive too much from Moscow; it will also have reservations about sitting down with the YPD (Syrian Kurds), which it views to be little more than a re-branded PKK, which Turkey regards as a terrorist organization. If Turkey does pull out, it will take an important slice of the opposition with it.

Critical moments in history, however, do have a habit of proving to be less critical than first imagined, but this one effectively marks the beginning of the winding up process of the Syrian war and of the 20-year “New Middle East” project (as devised by the U.S. and Israeli governments). How each state responds, will determine the Middle East landscape for the next years.

Military Mop-up

Late last week, the Syrian army took the rest of Deir Ezzor city, and with it its rear now secure, the Syrian army is free to continue the 30 or so kilometers to reach Abu Kamal (al-Bukumal) – the last ISIS urban outpost – and the vital border crossing on the Euphrates with Iraq.  It is estimated that there may be 3,500 Da’esh (another name for the Islamic State or ISIS) in Abu Kamal. But Abu Kamal’s “twin” (on the Iraqi side of the border), al-Qaim, was taken by the Iraqi government’s PMU militia forces on Friday. The Iraqi forces are now clearing the city of its estimated 1,500 Da’esh fighters.

The Syrian army, backed up by several thousand recently injected Hezbollah forces, is poised to enter Abu Kamal in the coming days from two directions – and from the south, a co-ordinated thrust north up and into Abu Kamal by the Iraqi Hash’d a- Sha’abi (PMU) militia, will form a pincer.

American-supported SDF (Syrian Democratic Forces), however, are also trying to reach Abu Kamal from the east (the U.S., pressured by Israel, would like to seal and close the border crossing). U.S. allied forces can move more quickly, as U.S. officers are seeking to bribe local tribal leaders who formerly had sworn allegiance to ISIS (with Saudi money), to switch sides, or at least to allow the SDF forces to advance unhindered by ISIS (as happened in the environs of Deir Ezzor).

In short, the military outcome in Syria is done (after six years of war), and now comes the political bargaining. How this plays out will determine the relative strengths of the forces that will shape the Middle East in the coming years. The outcome will likely see whether Turkey can be bullied back towards NATO (by threats such as that by General Petr Pavel, head of NATO’s military committee, warning of “consequences” for Turkey’s attempts to buy Russian air defenses), or whether Turkey’s determination to limit Kurdish aspirations will see Turkey position itself alongside Iran and Iraq (who share a common interest).

Turkey’s role in Idlib, in overseeing the de-escalation zone there, remains opaque. Effectively, its forces are positioned more to control the Afrin Kurdish “canton” (rather than monitor the Idlib de-escalation zone). It is possible that President Recep Tayyip Erdogan is hoping to use Turkish troops to carve out a buffer zone along the Turkish-Syrian border – in contravention to the Astana understandings. If so, this will place him at odds with both Moscow and Damascus (but will not necessarily imply a return to the NATO camp, either).

Syria’s Future

The bargaining at Sochi will also make clearer whether Syria will be a strong centralized state (as Iran prefers), or a looser federal state as America (and perhaps Russia) would prefer. Sochi will be something of a litmus for the extent to which American influence can shape outcomes in today’s Middle East. At present, it looks as if there is co-ordination between Moscow and Washington for a speedy political settlement in Syria, a U.S. declaration of victory over ISIS, Syrian elections, and an American exit from the Syrian theatre.

The outcome of the conference will also perhaps clarify whether the Syrian Kurds finally will remain with the U.S. CentCom project for retaining a permanent U.S. presence in northeast Syria (as Israel wants), or whether the Syrian Kurds will cut a deal with Damascus (after witnessing the crushing of the Barzani Kurdish independence project by neighboring powers).

If the latter occurs, the argument for retaining a longer-term U.S. presence in northeast Syria would lose force. The Saudis will have either to accept defeat in Syria, or act the party-pooper (by trying to re-ignite the remaining proxy forces in Idlib) – but, for that, the kingdom would need Turkey’s compliance, and that may not be forthcoming.

Iraq too, irked by U.S. Secretary of State Rex Tillerson’s comments suggesting that the PMU are Iranian – and must “go home” – has already shown signs of re-orientating towards Russia. (It has recently signed an expansive energy and economic protocol with Russia – after having reclaimed control of its borders and of Iraq’s energy resources – and is procuring Russian arms). Evidence of Iraq’s close connections with Syria, Turkey and Iran was very manifest in the quick execution of the put-down to the Kurdish independence gambit.

But the state facing the biggest dilemma in respect to the Syrian outcome is Israel. Alex Fishman, the doyen of Israeli defense columnists, has written that Israel simply has failed to adjust to strategic change, and is locked in a narrow “cold war” mentality:

“The Syrians fire rockets at open areas: Israel destroys Syrian cannons in response; the Iranians threaten to deploy Shiite forces in Syria: Israel announces ‘red lines’ and threatens a military conflict; Fatah and Hamas hold futile talks on a unity government: the prime minister declares Israel is suspending talks with the Palestinans – and everyone here applauds the security and political echelons: – ‘there, we showed them the meaning of deterrence’, [the Israeli leadership repeats].

“But what we are seeing here is a provincial defense policy, a false representation of a leadership that barely sees beyond the tip of its nose, and is busy putting out fires day and night.

“It’s a leadership that sees national security through a narrow regional viewpoint. It’s as if everything beyond Hezbollah, Hamas and Iran doesn’t exist. It’s as if the world around us hasn’t changed in the past decades, and we are stuck in the era of aggressive solutions in the form of reward and punishment as the main political-security activity. The current political-security echelon isn’t solving problems, isn’t dealing with problems, but simply postponing them, passing them on to the next generation”

Missing the Strategic Picture

What Fishman is pointing to is profound: Israel has gained some tactical victories in the neighborhood (i.e. over the Palestinians generally, and in weakening Hamas), but it has lost sight of the wider strategic picture. In effect, Israel has lost its ability to dominate the region. It had wanted a weakened and fragmented Syria; it had wanted a Hezbollah mired in the Syrian mud, and an Iran circumscribed by Sunni sectarian antipathy towards the Shi’a generally. It is unlikely to get any of these.

Rather, Israel finds itself being deterred (rather than doing the deterring) by the knowledge that it cannot now overturn its strategic weakness (i.e. risk a three-front war) – unless, and only if, America will fully enter into any conflict, in support of Israel. And this is what worries the security and intelligence echelon: Would America now contemplate a decisive intervention on behalf of Israel – unless the latter’s very survival was at risk?

In 2006, Israeli officials recall, the U.S. did not enter Israel’s war against Hizbullah in Lebanon, and after 33 days, it was Israel that sought a ceasefire.

Fishman is right too that attacking Syrian factories and radar positions “out of old habit” solves nothing. It may be sold to the Israeli public as “deterrence,” but rather it is playing with fire. Syria has started to fire back with aged surface-to-air missiles (S200s) at Israeli aircraft. These missiles may not have hit an Israeli jet yet, and maybe were not even intended so to do. The Syrian message however, is clear: these missiles may be old, but they have a longer range than the newer S300: Potentially, their range is sufficient to reach Ben Gurion Airport outside Tel Aviv.

Are the Israelis sure that Syria and Hezbollah don’t have more modern missiles? Are they certain that Iran or Russia will not provide them such? The Russian defense minister was very angry on his visit to Tel Aviv to have been faced with an Israeli retaliatory air attack on a Syrian radar and missile position – as a welcome gift on landing in Israel. To his protests, his Israeli counterpart, Defense Minister Lieberman condescendingly said that Israel needed nobody’s advice in respect to Israel’s security. General Sergey Shoygu reportedly was not amused.

Can Israel come to terms with its new strategic situation? It seems not. Ibrahim Karagul, a Turkish political commentator and an authoritative voice of President Erdogan, writing in Yeni Safak, notes that “the foundations of a new disintegration [and] division are being laid in our region. Saudi Arabia’s ‘We are switching to moderate Islam’ announcement contains a dangerous game. The U.S.-Israel axis is forming a new regional front line.”

Karagul continues: “We have been watching the strange developments in Saudi Arabia, the United Arab Emirates (UAE), Egypt, Israel and the U.S. for some time now. There is a new situation in the region, which we know is [principally aimed] against Iran; but has recently taken an open anti-Turkey state, aimed at limiting Turkey’s influence in the region … You will see, the ‘moderate Islam’ announcement will be immediately followed by a sudden and unexpected strengthening of Arab nationalism. This wave will not differentiate between Shiite or Sunni Arabs, but it will isolate the Muslim Arab world from the entire Muslim world.

“This separation will be felt most by the Shiite Arabs in Iraq. With this new block, Iraq and Iran are going to stage a new power showdown [i.e. will react forcefully to counter it]. Iraqi Prime Minister Haider al-Abadi’s future in power is also most likely going to [become contingent on the outcome to] this showdown.”

An American ‘Buy-in’

To give this project American “buy-in,” Israel and Saudi Arabia are focusing it on Lebanese Hezbollah, which the U.S. has declared to be a terrorist entity though the movement was part of Lebanon’s government, which was headed by Prime Minister Saad Hariri until he ominously resigned today in an announcement made in Riyadh, Saudi Arabia. (Hariri is a dual Saudi-Lebanese national.)

Saudi State Minister for Gulf Affairs Thamer al-Sabhan (in Beirut last week) called for “toppling Hezbollah” and promised “astonishing” developments in “the coming days. Those who believe that my tweets are a personal stance, are delusional … the coming developments will definitely be astonishing.”

Al-Sabhan added that the kingdom’s escalation against Hezbollah could take several forms that would “definitely affect Lebanon. Politically, it might target the government’s relations with the world. At the economic and financial levels, it could target commercial exchange and funds, and militarily it might involve the possibility of a strike on Hizbullah by the U.S.-led coalition, which labels Hizbullah a terrorist organization.” (Comment: this latter point probably was made more in hope, than in expectation. Europe and the U.S. set considerable store on maintaining Lebanon as stable).

Karagul reflects further on this U.S.-Gulf-Israeli initiative:

“The moderate Islam project was tried the most in Turkey. We always said this is ‘American Islam’ and opposed it. The February 28 military intervention is the product of such a project. It was implemented by the U.S./Israel extreme right-wing and their partners on the inside. The Fetullah Terrorist Organization (FETO) is the product of such a project, and the Dec. 17/25 and July 15 attacks were made for this very reason. They were all aimed at trapping Turkey within the U.S./Israel axis.

“But Turkey’s local and national resistance has overcome them all. Now they are burdening Saudi Arabia with the same mission. That is how they are making it appear. I do not think that it is possible for Saudi Arabia to undertake such a mission. This is impossible both in terms of the regime’s character and its social structure. This is impossible because of the ‘Israel/U.S. sauce’.

“The discourse of making the switch to moderate Islam will cause serious confusion in the Saudi administration and grave social reactions. The actual conflict is going to take place within Saudi Arabia. Also, the Riyadh administration has no chance of exporting something to the region or setting an example.

“Especially once it is further revealed that the project is security-based, that a new front line has been formed, that it is all planned by the U.S.-Israel, it will result in a fiasco. This project is suicide for Saudi Arabia, it is a destruction plan; it is a plan that will destroy it unless it comes to its senses.”

Karagul makes the point well: the attempt to make Islam in the Christian “Westphalian” image has a disastrous history. The metaphysics of Islam are not those of Christianity. And Saudi Arabia cannot be made “moderate” by Mohammad bin Salman just ordering it. It would entail a veritable cultural revolution to shift the basis of the kingdom, away from the rigors of Wahhabism to some secularized Islam.

More War?

Where is this taking the Middle East: to conflict? Maybe. But Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu is not noted for his audacity: he his noted more for rhetoric which often has proved empty; and Israeli security officials are being cautious, but both sides are preparing against the possibility of what Karagul calls a “great power showdown.” It looks, though – from this and other Turkish statements – as if Turkey will be with Iran and Iraq, and standing against America and Saudi Arabia.

And President Trump? He is wholly (and understandably) preoccupied with the low-intensity war being waged against him at home. He probably tells Netanyahu whatever it is that might advance his domestic battles (in Congress, where Netanyahu has influence). If Bibi wants a fiery speech at the U.N. berating Iran, then, why not? Trump can then call on the trifecta of White House generals to “fix it” (just as he did with JCPOA, passing it to Congress “to fix”), knowing that the generals do not want a war with Iran.

The danger is a “black swan.” What happens if Israel goes on attacking the Syrian army and industrial premises in Syria (which is happening almost daily) – and Syria does shoot down an Israeli jet?

#Source

_________________
Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Revenir en haut Aller en bas
jf16
General de Division
General de Division
jf16


messages : 41820
Inscrit le : 20/10/2010
Localisation : france
Nationalité : France
Médailles de mérite :
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena24
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena25Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena26
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Cheval10Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena15
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeMar 14 Nov 2017 - 15:03

Citation :
Le pétrolier russe Rosneft a versé une avance de 1,3 milliard de dollars au Kurdistan irakien


AFP 14/11/20
17

Le géant semi-public russe des hydrocarbures Rosneft a indiqué mardi avoir versé une avance de 1,3 milliard de dollars aux autorités du Kurdistan irakien dans le cadre d'un accord signé récemment qui avait été vivement critiqué par Bagdad.

"Au troisième trimestre 2017 le groupe a payé des avances pour un total de 1,3 milliard de dollars (1,1 milliard d'euros au taux actuel, ndlr) dans le cadre d'un contrat d'achat de pétrole brut avec le gouvernement du Kurdistan", a annoncé le groupe dans ses résultats financiers.

Visé par des sanctions occidentales et dirigé par un proche de Vladimir Poutine, Igor Setchine, Rosneft joue un rôle croissant dans les ambitions stratégiques de la Russie en signant des accords majeurs avec la Chine, l'Inde, le Venezuela...

Le groupe a ainsi versé plusieurs milliards de dollars en avances à la compagnie pétrolière vénézuélienne, ce qui est souvent considéré comme une manière déguisée pour Moscou de soutenir Caracas face à ses difficultés financières.

Rosneft a annoncé en octobre la signature un accord avec les autorités du Kurdistan irakien pour exploiter ses vastes ressources en hydrocarbures, disputées avec le pouvoir central de Bagdad. La société n'avait pas précisé la localisation de ces projets, qui représentent selon elle des réserves estimées à 670 millions de barils de pétrole.

L'exploration est prévue pour commencer en 2018 et la production en 2021, a précisé Rosneft, qui a récemment annoncé négocier avec les autorités du Kurdistan pour y construire un réseau de gazoducs.
Le gouvernement irakien a vivement critiqué cet accord, sans le nommer, le qualifiant d'"ingérence flagrante dans les affaires intérieures irakiennes".

Le ministère irakien du Pétrole avait déclaré que "ce département et le gouvernement fédéral irakien sont les deux seules parties avec lesquelles il faut traiter pour conclure des accords concernant le développement et les investissements dans le secteur de l'énergie".
"S'il y a des problèmes entre le gouvernement irakien et le Kurdistan, c'est à eux de les résoudre", avait réagi le directeur général de Rosneft Igor Setchine.

Les autorités irakiennes et la région autonome du Kurdistan sont en crise ouverte depuis le référendum du 25 septembre sur l'indépendance kurde.

https://www.lorientlejour.com/article/1083900/le-petrolier-russe-rosneft-a-verse-une-avance-de-13-milliard-de-dollars-au-kurdistan-irakien.html
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeMer 15 Nov 2017 - 13:53

Quelques traditions, coutumes et us au Moyen-Orient qui ne sont plus pratiqués de nos jours.

1- Les Assyriens tout comme les autres peuples de la région avaient des cheveux longs (en partie tressée) avec une barbe épaisse et bien taillée. Et portaient pratiquement tous des boucles d'oreilles. Ils donnaient de l'importance à leur apparence.

Actualités au Moyen Orient - Page 32 DOoZU3eW4AUyiCu

2- Les femmes égyptiennes faisaient leur besoin mineures debout selon Hérodote.

3- Il était coutume que les souverains orientaux s'appelaient par "frère" ente eux et s'offraient des présents précieux dont les plus précieux étaient les soeurs des autres souverains (homogamie).

4- La pratique de la polygamie était courante, surtout chez les souverains orientaux qui pouvaient se marier plusieurs fois avec les princesses étrangères.

5- Les Orientaux pratiquaient plus formes de mariage, outre le mariage traditionnel avec une ou plusieurs épouses, que les Arabes pratiquèrent jusqu'à l'avènement de l'Islam. Un homme échangé sa soeur contre la soeur d'un autre homme, ce dernier épousé la soeur du premier.

6- Lorsqu'un homme marié mourrait, son frère épousé la veuve de son défunt frère. La femme pouvait refuser en crachant sur son beau-frère. Mariage pratiqué par plusieurs peuples orientaux.

7- Les hommes mettaient pratiquement tous du khôl dans les yeux et aimaient porter des bracelets en or et en argent en outre des boucles d'oreilles.

8- Contrairement aux Grecs, les Orientaux n'étaient pas frugal, selon les Grecs anciens, cela a eu pour conséquence leur défaite face aux armées d'Alexandre le Grand.

9- Les châtiments étaient sévères dans l'Orient antique, l'instauration de la loi du talion ne fera que durcir les châtiments, un chef arabe a eu la mâchoire attachée à une porte de Ninive par le roi Assyrien Assurbanipal pour sa rébellion.

10- Les peuples soumis étaient pratiquement massacrés ou réduit en esclavage. Les rois orientaux s'en glorifier par leur acte, le récit le plus détaillé fut écrit par le roi Assurbanipal concernant sa campagne en Elam (Iran du sud, région d'Arabistan).

11- La chasse étaient courante, ils massacraient les animaux par simple instinct de chasse, aujourd'hui, plusieurs animaux ont disparu dans la région, comme le lion, le léopard, l'éléphant.

Actualités au Moyen Orient - Page 32 4f41b117de6d1

12- A Babylone, la femme pouvaient être acheté comme un objet et faisaient objet de transaction et négociation entre plusieurs prétendants au mariage. Elles risquaient la mort en cas d'adultère. Un homme endetté pouvait se retrouver esclave en cas de défaillance dans le paiement.

13- Les pratiques de Babylone évoluèrent dans le temps, un contrat de mariage fut imposé et le mari devait payer une compensation à son épouse en cas de répudiation sans faute. La femme pouvait pas divorcé sauf au cas de délaissement du mari. Le mari étaient polygame.

Résumé: les lois étaient dures et les traditions rudes surtout pour les femmes et les plus faibles dans une région compliquée source de tension.
Revenir en haut Aller en bas
Adam
Modérateur
Modérateur
Adam


messages : 6300
Inscrit le : 25/03/2009
Localisation : Royaume pour tous les Marocains
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena15

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeMer 15 Nov 2017 - 13:58

Professor Valentin KATASONOV - Russian Academy of Economic Science and Business a écrit:


The Intrigue at the Heart of the Beijing-Riyadh-Washington Triangle


Saudi Aramco (the Saudi Arabian Oil Company) is the world’s largest petroleum business. It owns more than 100 oil and gas fields in Saudi Arabia with reserves of at least 264 billion barrels of oil, which is estimated to be approximately one-fourth of the world’s known reserves of this raw material. The company’s production figures do not give the full picture, as data exists only for a few years. But as an example, in 2013 Saudi Aramco produced 3.4 billion barrels of crude oil. Analysts calculate that every year the Saudi company extracts about twice as much oil and gas, in terms of barrels of oil equivalent, as the largest US company ExxonMobil. Interestingly, Saudi Aramco never appears in the rankings of the world’s largest oil producers, since it does not publish financial information such as profit, sales, assets, or market capitalization. Therefore America’s ExxonMobil and Chevron, China’s Sinopec and PetroChina, the Anglo-Dutch company Royal Dutch Shell, Great Britain’s BP, and France’s Total top the rankings. But everyone knows perfectly well that these leaders in the global oil industry are mere dwarfs compared to Saudi Aramco.

Saudi Aramco’s management set off a real bomb in early 2016 when they announced their plans to privatize part of the company through a stock market IPO. The proposal was to sell shares in Saudi Aramco equal to about 5% of the company. But an estimate of the company’s potential market price is needed in order to understand how much this would be in absolute terms. Almost the next day after the announcement of the potential sale of part of the company (in January 2016), the global media published a stunning evaluation by the independent oil analyst Mohammad Al Sabban, a former senior adviser to the Saudi Arabian oil ministry. He estimated the company’s worth at $10,000,000,000,000 (ten trillion USD). For comparison I should add that in 2016 the largest US oil company, ExxonMobil, barely exceeded $350 billion in share capital. And yes, It’s true that later on some of the hype in the assessments died down and more rational numbers were cited, most often $2 trillion. This meant that Saudi Arabia would be able to rake in approximately $100 billion from the sale of 5% of the company. But the company’s biggest trump card isn’t even the current record levels of oil production, but rather the reserves of hydrocarbon raw materials at Saudi Aramco’s disposal. And that’s a number that none of the companies named in the rankings of the global oil industry can even begin to approach.

At present, Riyadh adjusts and verifies the data on the hydrocarbon reserves in the fields owned by Saudi Aramco. Financial reports are painstakingly drafted in the needed formats for a public offering of shares. The company is being restructured to optimize the way it is organized and managed. And finally, a crucial step was taken to lower the taxes on the company’s profits. The traditional tax rate has been 90%, but this year it was set at 50%, which roughly corresponds to the level at which the leading Western oil companies are taxed. Lowering the tax rate raises dividends and makes the company a more attractive target for investment.

But beginning in early 2017, the estimates of Saudi Aramco’s market value have unexpectedly begun to decline. Appraisals began to surface that claimed the company’s share capital was only worth $1.5 trillion, then $1 trillion. The consulting firm Wood Mackenzie estimated Saudi Aramco’s worth at $400 billion overall, bringing it closer to US-based ExxonMobil. And suddenly Western consultants began talking about the need to “discount” the value of the Saudi company, since it is state-owned, and in the securities markets all government issues are by convention sold “at a discount.” They point out that although Saudi Aramco currently pays 50% of its profits in taxes, since the government owns the company anyway it could restore the 90% tax rate tomorrow with a simple stroke of the pen. There is also the fear that oil prices could be low for the next few years, and Saudi Aramco might not be able to generate big profits. But none of that can remotely explain why the valuations of the Saudi company have dropped so precipitously in the past year.

Analysts blame this on the pressure Washington is putting on Riyadh, for reasons that have as much to do with the currency market as the oil market. And the pressure coming from Washington is, in turn, a response to the pressure also being exerted on Riyadh by China, which wants to buy oil from Saudi Aramco in renminbi instead of dollars. China is currently the world’s biggest oil importer, knocking the US out of its former first-place position. China is also the Saudi oil industry’s biggest customer, and Beijing does not want to pay extra for that black gold using American currency. A number of oil exporters that sell to China have already partially or entirely transitioned to settling their accounts in renminbi. Topping that list are Nigeria and Iran. Russia has also recently begun to sell some oil to China for renminbi (although only small percentage as yet).

Saudi Arabia, however, is heavily dependent on the US and has thus far refused to settle its accounts in renminbi. And that rebuff is costing the country dearly: Beijing is gradually finding other suppliers to take Riyadh’s place. The Saudis used to be China’s biggest foreign supplier of oil, but recently Russia has squeezed them out for that number-one spot. If this continues, Saudi Aramco might lose its Chinese market altogether.

Riyadh now finds itself caught between a rock and a hard place. It’s hard to imagine what Saudi Arabia could be hit with from across the Atlantic, should it sell even one barrel of oil for Chinese currency. After all, that would be a direct challenge to the petrodollar, which was born right there in Saudi Arabia in the 1970s, midwifed by the negotiations between Henry Kissinger and King Faisal.

Washington has sternly warned Riyadh to refrain from any ill-considered move to replace the dollar with the renminbi in its transactions with China, lest other players in the oil market follow suit (oil might then be traded for rubles, rupees, rials, etc.) And tomorrow that epidemic of transitioning to national currencies could infect other commodity markets. Incidentally, this year Beijing will begin to trade oil futures priced in renminbi on its commodity exchanges and claims that this is only the first step.

Voices have already been heard within the US president’s entourage that suggest blocking the listing of Saudi Aramco shares on the New York Stock Exchange. Signs have emerged of an organized campaign to short-sell the Saudi oil company. In light of that development, Riyadh has announced that it will put off its share listing until a later date. But its problem isn’t going to go away - Saudi Arabia will still have to make a choice between the dollar and the renminbi.

Although Beijing is upping its pressure on Riyadh, it is also simultaneously offering to directly buy out 5% of Saudi Aramco, while allowing the Saudis to forgo the usual ritual of listing shares on Western stock markets. And China is prepared to shell out a “fair” price (about $100 billion). The Chinese government has already announced that it is forming a consortium of energy and finance companies, plus China’s sovereign wealth fund, in order to purchase a “chunk” of the Saudi company. The Chinese media reports that that consortium is ready to become a cornerstone investor in Saudi Aramco.

Beijing’s winning move in its chess game against Washington has neutralized the US threat to disrupt the sale of Saudi Aramco, while simultaneously pushing Riyadh toward a decision to transition Saudi oil sales to the renminbi.

And so the plot thickens inside the Beijing-Riyadh-Washington triangle of intrigue.

#Source

_________________
Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
Revenir en haut Aller en bas
jf16
General de Division
General de Division
jf16


messages : 41820
Inscrit le : 20/10/2010
Localisation : france
Nationalité : France
Médailles de mérite :
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena32Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena24
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena25Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena26
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Cheval10Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena15
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Medail10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeMer 15 Nov 2017 - 23:08

Citation :
En visite au Qatar, Erdogan promet une aide militaire à Doha


AFP 15/11/2017


Le président turc Recep Tayyip Erdogan a promis mercredi lors d'une visite au Qatar qu'Ankara continuerait à apporter une aide militaire à ce pays, alors qu'une crise diplomatique sans précédent dans le Golfe oppose Doha à Ryad depuis juin.

Il a aussi indiqué que le secteur privé turc était prêt à aider Doha dans les projets en construction dans le cadre des préparatifs pour la Coupe du monde 2022 qu'organise le Qatar, selon l'agence de presse officielle QNA.

Lors de sa visite, le président turc a eu un entretien avec l'émir du Qatar, Cheikh Tamim ben Hamad al-Thani, selon l'agence. Il a annoncé que les deux pays avaient signé plusieurs accords dans les secteurs financier, touristique et de la recherche.

"Erdogan a souligné le soutien continu de la Turquie à l'Etat du Qatar dans différents domaines, tout spécialement industriel et militaire", selon QNA.

La Turquie a établi une base militaire au Qatar, où elle dit disposer d'installations pour quelque 3.000 hommes.

Il s'agit de la deuxième visite de M. Erdogan au Qatar depuis que les tensions entre Riyad et Doha ont éclaté au grand jour il y a cinq mois.

Le 5 juin 2017, l'Arabie saoudite et plusieurs de ses alliés ont rompu leurs relations diplomatiques avec le Qatar, l'accusant de soutenir des groupes "terroristes" --ce que dément Doha-- et lui reprochant de se rapprocher de l'Iran.

Le royaume a notamment interrompu les liaisons aériennes et maritimes avec le Qatar et a fermé la seule frontière terrestre de l'émirat.

M. Erdogan visitait Doha après s'être rendu au Koweït, qui avait tenté une médiation dans cette crise.
Les relations entre le Qatar et la Turquie sont très étroites.

Cheikh Tamim avait été le premier leader étranger à téléphoner à M. Erdogan lors du coup d'Etat manqué en Turquie en juillet 2016, selon des médias publiques turcs.

Après le début de la crise avec les pays du Golfe, l'émirat gazier s'est tourné vers la Turquie et l'Iran, notamment pour importer des produits alimentaires.

https://www.lorientlejour.com/article/1084228/en-visite-au-qatar-erdogan-promet-une-aide-militaire-a-doha.html
Revenir en haut Aller en bas
PGM
Administrateur
Administrateur
PGM


messages : 11678
Inscrit le : 12/12/2008
Localisation : paris
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena23Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena20
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeJeu 16 Nov 2017 - 9:54

Pour éprouver les affirmation de MBS sur la liberté de circulation de Saad Hariri, Paris l'invite pour quelques jours ....


Citation :
Après s'être rendu en Arabie Saoudite il y a quelques jours pour s'entretenir le prince héritier sur la situation du Premier ministre libanais, le président de la République a annoncé vouloir aider Saad Hariri et sa famille.

Emmanuel Macron a invité le Premier ministre démissionnaire libanais Saad Hariri et sa famille en France, après un entretien avec le prince héritier saoudien, a annoncé ce mercredi la présidence de la République française.

"Après s'être entretenu avec le prince héritier d'Arabie Saoudite Mohamed ben Salman et le Premier ministre libanais Saad Hariri, le président de la République a invité Saad Hariri et sa famille en France", a déclaré l'Elysée dans un communiqué.

Le premier ministre démissionnaire Saad Hariri devrait arriver en France "dans les prochains jours", a affirmé l'Élysée à nos confrères de l'AFP. Suite à son discours à la COP 23, Emmanuel Macron a affirmé devant quelques journalistes que Saad Hariri et sa famille n'étaient invité que pour "quelques jours".
*
Saad Hariri a annoncé sa démission le 4 novembre à la surprise générale alors qu'il se trouvait à Ryad, la capitale saoudienne, disant craindre pour sa vie et accusant l'Iran et le Hezbollah libanais de semer la discorde dans le monde arabe.
Il a réaffirmé mercredi sur Twitter qu'il allait bien et regagnerait son pays dans les prochains jours.

LCI

_________________
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Marche12
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeJeu 16 Nov 2017 - 22:21

Citation :
Accord sur un couloir de transport reliant l'Afghanistan à la Turquie

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Yeni_Ipekyolu_Projesi__One_Belt_One_Road____Bir_Kusak_Bir_Yol__eminonen.com_33

Un accord sur la mise en place d'un couloir routier et ferroviaire reliant l'Afghanistan à la Turquie puis à l'Europe a été signé mercredi par des responsables des cinq pays participant au projet lors d'une cérémonie à Achkhabad, capitale du Turkménistan. Baptisé Lapis Lazuli, ce corridor est le fruit de cinq ans de négociations entre l'Afghanistan, la Turquie et trois ex-républiques soviétiques -- l'Azerbaïdjan, la Géorgie et le Turkménistan. L'accord vise à harmoniser les procédures de douane et lever les barrières logistiques affectant le commerce entre ces cinq pays.

Lapis Lazuli, baptisé ainsi en l'honneur d'une pierre bleue semi-précieuse qu'on trouve essentiellement en Afghanistan, commence à la station afghane d'Aqina, non loin de la frontière avec le Turkménistan, et finit aux portes de l'Europe à Istanbul, en Turquie.

Après avoir traversé le Turkménistan, le fret passera également par la mer Caspienne avant de rejoindre la route existante et les infrastructures ferroviaires en Azerbaïdjan. "Ce couloir de transport et de transit permet de relier l'Asie à l'Europe", s'est félicité un vice-ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Yildiz, lors d'une conférence sur l'intégration régionale à Achkhabad, soulignant que la Turquie "saluait" l'accord. Pour sa part, le ministre du Commerce turkmène Dovran Orazmouradov a indiqué mardi que les échanges commerciaux entre le Turkménistan et l'Afghanistan avaient augmenté de 20% l'année dernière pour atteindre 513 millions de dollars par an.

Une ligne ferroviaire reliant les deux pays, opérationnelle depuis un an et qui fait partie du couloir Lapis Lazuli, est censée relancer les échanges commerciaux afghano-turkmènes.

Mais les doutes sur le financement et les craintes pour la sécurité en Afghanistan ont ralenti l'expansion de ce réseau ferroviaire vers le Tadjikistan, une autre ex-république soviétique d'Asie centrale. La Chine aimerait de son côté inclure l'Afghanistan dans son projet "La Ceinture et la Route" qui vise à dynamiser le commerce eurasiatique via notamment l'investissement de milliards de dollars dans les infrastructures. La détérioration de la situation dans le domaine de la sécurité en Afghanistan, qui a suivi le retrait massif des troupes de la coalition internationale menée par les Etats-Unis, a cependant provoqué le ralentissement d'un grand nombre de projets.

http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2017/11/15/97002-20171115FILWWW00245-accord-sur-un-couloir-de-transport-reliant-l-afghanistan-a-la-turquie.php
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité




Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeVen 17 Nov 2017 - 0:15

L'émir de Qatar partage cette photo..

Actualités au Moyen Orient - Page 32 DOsJOZmXcAAPCeu
Revenir en haut Aller en bas
PGM
Administrateur
Administrateur
PGM


messages : 11678
Inscrit le : 12/12/2008
Localisation : paris
Nationalité : Maroc
Médailles de mérite : Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena21Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena31
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena23Actualités au Moyen Orient - Page 32 Unbena20
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Ambass10

Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitimeSam 18 Nov 2017 - 11:10

Hariri est arrivé hier soir à Paris



http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2017/11/18/paris-sauve-la-face-de-l-arabie-saoudite-en-exfiltrant-saad-hariri_5216842_3218.html

_________________
Actualités au Moyen Orient - Page 32 Marche12
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Actualités au Moyen Orient - Page 32 Empty
MessageSujet: Re: Actualités au Moyen Orient   Actualités au Moyen Orient - Page 32 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Actualités au Moyen Orient
Revenir en haut 
Page 32 sur 40Aller à la page : Précédent  1 ... 17 ... 31, 32, 33 ... 36 ... 40  Suivant
 Sujets similaires
-
» Actualités au Moyen Orient
» Actualités au Moyen Orient
» Actualités au Moyen Orient
» Actualités au Moyen Orient
» Actualités au Moyen Orient

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC  :: Diversités :: Informations Internationales-
Sauter vers: