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| Actualités Algeriennes | |
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Auteur | Message |
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Fox-One General de Division
messages : 8024 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Actualités Algeriennes Lun 28 Mar 2016 - 23:04 | |
| Rappel du premier message : - Fulcrum a écrit:
- ils ne restent pas a bechar pour entrer au maroc, il reste a bechar pour y trouver du travaille dans la construction, les violence ont commencé suite au l'agresson d'une petite fille, il y a d'apres la police aucune trace de ce crime mais le bouche a oreille fait son chemin et la population s'est retourné contre des migrant accusé de ce crime. etant tres nombreux les affrontement on pris une ampleur importante. il faut arreter de tout lié au maroc comme si tout votre malheur venez de l'exterieure
c'est surement un de nos espions Marocains qui est à l'origine de cette fausse info qui passe de bouche à l'oreille. désolé!!! | |
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Auteur | Message |
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Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 0:07 | |
| Ce n'est pas le pouvoir d'achat qui a chute mais ces l'état qui freine les importations afin de conserver de la devise. | |
| | | lemay Lt-colonel
messages : 1285 Inscrit le : 02/05/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 0:08 | |
| Super l'explication hhhhh | |
| | | mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 0:55 | |
| la réduction de l'importation va avoir forcement un impact sur la croissance car le véhicule est un créateur de VA > croissance que ce soit utilitaire ou autre
combiné a d'autre mesures gouvernementales concernant le crédit l'investissement tout est fait pour stagner ou regresser _________________ - Citation :
- "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996 | |
| | | Barsdz Adjudant
messages : 390 Inscrit le : 12/08/2014 Localisation : in the water Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 1:15 | |
| Je dirais surtout une perte au différente taxe que gagné l'état ainsi qu'au sociétés de transports,c'est un manque à gagner cruelle pour eux. | |
| | | bradli23 Colonel
messages : 1860 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 8:06 | |
| Affrontements a Annaba entre les forces de l'ordre et des vendeurs ambulants ( la grogne sociale qui reprend de plus belle) un poste de police et plusieurs établissements gouvernementaux saccagés. on dénombre des blessés des deux camps avec quelques arrestations. source :
http://www.alquds.co.uk/?p=556310
http://www.hespress.com/international/311777.html | |
| | | badr le patriotique Sous lieutenant
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 8:31 | |
| _________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 9:55 | |
| - Barsdz a écrit:
- Ce n'est pas le pouvoir d'achat qui a chute mais ces l'état qui freine les importations afin de conserver de la devise.
Manque à gagné pour le gouvernement Algérien en taxe et autres. Diminution de la croissance. Avec la dévaluation du dinar algérien, chaque produit importé coûtera plus cher pour le consommateur algérien, pas que les voitures mais tous les produits agricoles et autres bien. Comme l'Algérie n'exporte pas beaucoup hors hydrocarbure, le gouvernement algérien ne fait que freiner les conséquences de la chute des prix du pétrole. C'est pas un avantage pour la compétitivité des entreprises algériennes. |
| | | dan Capitaine
messages : 936 Inscrit le : 02/11/2010 Localisation : FRANCE Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 10:56 | |
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| | | moro Colonel
messages : 1507 Inscrit le : 17/04/2008 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 13:05 | |
| - Kurssad a écrit:
- Barsdz a écrit:
- Ce n'est pas le pouvoir d'achat qui a chute mais ces l'état qui freine les importations afin de conserver de la devise.
Manque à gagné pour le gouvernement Algérien en taxe et autres. Diminution de la croissance. Avec la dévaluation du dinar algérien, chaque produit importé coûtera plus cher pour le consommateur algérien, pas que les voitures mais tous les produits agricoles et autres bien. Comme l'Algérie n'exporte pas beaucoup hors hydrocarbure, le gouvernement algérien ne fait que freiner les conséquences de la chute des prix du pétrole. C'est pas un avantage pour la compétitivité des entreprises algériennes. Un petit exemple et ce n'est qu'un début - Citation :
- Figues, cerises, pastèques : des fruits de saison hors de prix
tsa-algerie.com Et pour les mêmes maux le même remède c'est à dire prendre le peuple pour des hmirs (hachakoum) - Citation :
- Cherté de la vie durant le mois de Ramadhan/Le gouvernement trouve cela “normal”
algerie-focus.com | |
| | | badr le patriotique Sous lieutenant
messages : 612 Inscrit le : 29/11/2013 Localisation : World Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 19:51 | |
| _________________ ALLAH
AL WATAN AL MALIK
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 20:59 | |
| Le problème c'est que même pendant nos pire malheur ça ne vous a même a permis de prendre de l'avance sur ce dossier ou sur tout les autres plans. Votre situation économique est plus critique que la notre |
| | | atlas General de Division
messages : 7363 Inscrit le : 15/06/2008 Localisation : vitrolles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 21:06 | |
| - Barsdz a écrit:
- Ce n'est pas le pouvoir d'achat qui a chute mais ces l'état qui freine les importations afin de conserver de la devise.
Ahurrissant !!!!!!!!!!!!!!!!!! | |
| | | atlas General de Division
messages : 7363 Inscrit le : 15/06/2008 Localisation : vitrolles Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 21:13 | |
| - Fulcrum a écrit:
- Le problème c'est que même pendant nos pire malheur ça ne vous a même a permis de prendre de l'avance sur ce dossier ou sur tout les autres plans. Votre situation économique est plus critique que la notre
Fulcrum...........pas toi, qd même tu nous a habitué à un meilleur niveau..................... | |
| | | Socket-error General de Division
messages : 6770 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 21:14 | |
| - Fulcrum a écrit:
- Le problème c'est que même pendant nos pire malheur ça ne vous a même a permis de prendre de l'avance sur ce dossier ou sur tout les autres plans. Votre situation économique est plus critique que la notre
Rappel moi le chiffre de vos exportations hors hydrocarbure ?!! Avant de dire des conneries renseigne toi, plusieurs responsables algériens avancent 20 à 30 ans de retard (article sur TSA). _________________ لك الله ياوطني
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 21:19 | |
| - Fulcrum a écrit:
- Le problème c'est que même pendant nos pire malheur ça ne vous a même a permis de prendre de l'avance sur ce dossier ou sur tout les autres plans. Votre situation économique est plus critique que la notre
Il y avait kadafi qui prenait la relève pendant vos moments de faiblesses, il n'y est plus. Économiquement vous aller tous droit vers la faillite qui a plus de conséquences qu'un ralentissement de la croissance ou une crise budgétaire pour nous. |
| | | Socket-error General de Division
messages : 6770 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 21:19 | |
| Pour répondre à Fulcum au niveau des perspectives futures de l'industrie automobile algérienne : - Citation :
- Automobile : sombres perspectives pour le marché algérien en 2017 Automobile : sombres perspectives pour le marché algérien en 2017
Pas d’usine, pas de licence d’importation. C’est, en somme, l’avertissement lancé aux concessionnaires automobiles, jeudi 23 juin, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal. Cette annonce signe l’arrêt de mort de nombreux concessionnaires automobiles, avec toutes les conséquences économiques et sociales que cela implique.
« Si les concessionnaires automobiles veulent continuer leurs activités l’année prochaine, ils doivent réaliser des usines de construction de véhicules ou de pièces de rechange », a averti M. Sellal, lors d’une visite à Tiaret. Un nombre d’usines et de marques limité
Combien d’usines de montage de véhicules ou de fabrication de pièces de rechange (PDR) l’Algérie peut-elle « supporter » ?
Tous les constructeurs automobiles ne vont pas s’installer en Algérie. Cette idée relève de l’impossible. S’il suffisait de procéder par des injonctions et des mesures administratives, de nombreux autres pays l’auraient déjà fait.
Pour pouvoir implanter une usine de montage de véhicule, un constructeur doit pouvoir compter sur un volume de ventes important. En effet, afin que le projet soit économiquement viable et rentable, les ventes doivent pouvoir suivre. De plus, si la production est destinée à l’exportation, l’Algérie doit pouvoir offrir des avantages par rapport à d’autres pays, que ce soit en termes de coût et qualification de la main-d’œuvre, la charge fiscale, une logistique parfaitement bien huilée que le moindre grain de sable peut perturber…
Or, l’Algérie semble encore loin de réunir toutes les conditions nécessaires à l’émergence d’une véritable industrie automobile. Seules quelques marques vendues en Algérie assurent un volume de vente suffisant pour justifier l’implantation d’une usine. C’est le cas de Renault, déjà implanté en Algérie et de Sovac pour le groupe Volkswagen, dont le projet avance à grand pas.
C’est également le cas du groupe Tahkout qui, à la surprise générale, s’est associé en catimini avec le constructeur coréen Hyundai, remplaçant le projet annoncé avec les Iraniens de Saïpa. Il en est de même pour la fabrication et la sous-traitance de pièces de rechange pour l’automobile. C’est avant tout une question de volume. Surtout, aucun équipementier ne prendra le risque de s’installer en Algérie tant qu’il ne pourra compter que sur un ou deux donneurs d’ordre (les usines de fabrication automobile).
Déjà grandement mis à mal par l’introduction chaotique et brutale des licences d’importation pour les véhicules, le marché automobile risque de s’effondrer complètement. Plusieurs symptômes, plus ou moins inquiétants, sont apparus.
Le plus préoccupant réside dans les licenciements massifs. Déjà entamée par certains concessionnaires comme Elsecom (Ford, Suzuki) ou Hyundai Motors Algérie (du groupe Cevital) et Peugeot, la tendance devrait se poursuivre et même largement s’accentuer : plusieurs milliers d’emplois sont menacés. Autre conséquence, certains concessionnaires réfléchissent même à quitter l’Algérie. C’est le cas de la marque française Peugeot, dont le projet d’usine semble désormais compromis, après avoir été reporté sine-die. Dans ce cas, il lui sera difficile de poursuivre son activité en Algérie.
Selon nos sources, le gouvernement autorisera le lancement de quelques usines et se retrouvera avec environ 4 ou 5 constructeurs et le volume des importations devrait être divisé par deux par rapport à celui de 2016. Est-ce suffisant pour attirer des fabricants de PDR et garantir des volumes acceptables ? Avec des taux d’intégration faibles et n’atteignant que 40% au bout de plusieurs années, le pari semble risqué. Dans tous les cas, la mise en place d’une industrie automobile sera longue et difficile.
Raréfaction des véhicules et flambée des prix Entre temps, le consommateur algérien sera le premier pénalisé. Tout d’abord, la disparition de nombreux concessionnaires entrainera une hausse du chômage, car l’émergence de nouvelles usines de montage ne suffira pas à absorber les licenciements massifs. Deuxièmement, les Algériens auront très peu de choix en termes d’automobile. Ils devront se contenter des quelques constructeurs présents en Algérie, ou alors, importer des véhicules par leurs propres moyens, avec tous les risques que cela comporte. Une telle situation fera donc forcément baisser l’offre de véhicules en Algérie, avec une demande pourtant toujours aussi forte. Résultat : une poursuite, voire une accentuation de la flambée des prix de l’automobile en Algérie, y compris sur le marché de l’occasion.
Autres « victimes collatérales », les compagnies d’assurances : avec une baisse drastique des nouvelles immatriculations et une stagnation générale des ventes en raison de prix trop élevés, le chiffre d’affaires des assureurs algériens sera inéluctablement impacté à son tour. En somme, l’on s’engage potentiellement dans un cercle vicieux qui durera plusieurs années, le temps d’une hypothétique émergence d’une réelle industrie automobile algérienne ou d’une hausse conséquente des prix du pétrole. Car, c’est bien la chute des prix de l’or noir qui a obligé l’Algérie à réduire d’une façon drastique ses importations de véhicules.http://www.tsa-algerie.com/20160626/automobile-sombres-perspectives-marche-algerien-2017/ _________________ لك الله ياوطني
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 21:39 | |
| TSA défend le lobby des importateur et critique la mesure protectionniste de ralentir l'importation par la construction d'usinette qui sont aussi de l'importation déguisés mais qui ont le mérite d'apporter des fournisseurs et de développer un tissus industriel pour la fourniture de pièce détache . Je suis pour la limitation des importations , et encore une fois, si nous n'avions pas pris cette mesure tu serai certainement le premier a dire qu'on aurait du le faire pour limiter l'importation et la sortie de devise, cette mesure est prise mais on trouvera toujours le moyen de dire que ce n'est pas juste. Il n'y a pas de discussion a avoir sur ce sujet . Si les privée ne rebondissent pas sur l'occasion pour participer à cette ouverture pour developer un tissus local alors oui c'est un ratage mais si certain y arrive et participe à l'expansion de ce projet alors ça sera une réussite. Les algériens devront ce contenter d'un panel moins important de véhicule mais a l'heure actuel notre richesse réside dans ce dont nous pouvons nous passé |
| | | Shugan188 Modérateur
messages : 5665 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 26 Juin 2016 - 22:18 | |
| - Fulcrum a écrit:
- Le problème c'est que même pendant nos pire malheur ça ne vous a même a permis de prendre de l'avance sur ce dossier ou sur tout les autres plans. Votre situation économique est plus critique que la notre
des chiffres s'il te plait ? | |
| | | mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 27 Juin 2016 - 0:36 | |
| - Fulcrum a écrit:
- Le problème c'est que même pendant nos pire malheur ça ne vous a même a permis de prendre de l'avance sur ce dossier ou sur tout les autres plans.
Votre situation économique est plus critique que la notre j'ai deja dit qu'ici c est actualités algériennes si tu veux parler de l'économie marocaine éclaire nous sur le topic idoine les règles ici sont faites pour etres respectées de meme que les injonctions des modos non respect = sanctions _________________ - Citation :
- "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996 | |
| | | WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 27 Juin 2016 - 22:35 | |
| - http://www.tsa-algerie.com/20160627/nouveau-record-a-baisse-dinar/ a écrit:
Le changement opéré à la tête de la Banque d’Algérie n’a pas eu d’effet sur la politique monétaire.
Le changement opéré à la tête de la Banque d’Algérie n’a pas eu d’effet sur la politique monétaire. Confronté à des déficits records (30 milliards de dollars attendus cette année), le gouvernement continue d’utiliser l’outil de la dévaluation.
Confronté à des déficits records (30 milliards de dollars attendus cette année), le gouvernement continue d’utiliser l’outil de la dévaluation. Ce lundi, le dinar a touché son plus bas niveau historique face au dollar, à 110,74. Face à l’euro, il reste également à des niveaux proches de ses plus bas historiques, à 122,29. Le dinar bat également un record à la baisse face au Yen japonais (108,62). Il gagne légèrement du terrain face à la Livre sterling qui a souffert du Brexit, à 148,62 dinars.
En mai dernier, le FMI avait prôné « une plus grande flexibilité du taux de change » qui « faciliterait l’ajustement au choc sur les cours du pétrole ». Pour le FMI, le dinar « reste nettement surévalué », bien qu’il se soit « un peu déprécié en 2015 ». FOREX Algérie Cours du dinar algérien sur le marché parallèle Euro 180 dinars UsD 163 dinars _________________ ""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi"" “L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.” | |
| | | Shugan188 Modérateur
messages : 5665 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Lun 27 Juin 2016 - 22:36 | |
| http://www.elwatan.com/economie/l-algerie-acteur-absent-sur-le-marche-international-27-06-2016-323984_111.php - Citation :
L’Algérie, acteur absent sur le marché international
Quels sont les principaux facteurs qui déterminent l’intensité de ces relations et quelles sont les nouvelles orientations à suivre en cette période de baisse des exportations d’hydrocarbures ? Des interrogations parmi tant d’autres qui s’imposent à l’ère des blocs économiques régionaux et de la baisse des exportations d’hydrocarbures. Depuis l’indépendance, la structure des échanges commerciaux de l’Algérie est restée quasi inchangée.
Elle n’a fait que démontrer au fil des ans la forte dépendance à la rente pétrolière. Les tentatives de diversification des exportations et de la production hors hydrocarbures n’ont pas donné de résultats probants. Les effets de la crise pétrolière se sont vite fait ressentir. Les partenaires avec qui l’Algérie a des affinités commerciales n’ont plus la même place dans la hiérarchie des échanges. Certains perdent du terrain et d’autres en gagnent, mais pas en faveur de l’Algérie.
Ce que montrent les chiffres du commerce extérieur pour 2015. Au cours de cette période, les importations algériennes en provenance de l’Union européenne (UE) par exemple sont passées de 29,7 milliards de dollars (Mds USD) à 25,3 Mds USD, soit un déficit de 4,4 Mds USD. Même constat avec l’Asie, avec des échanges commerciaux qui se sont établis à 14,4 Mds USD (- 18,6% en glissement annuel).
A un niveau plus restreint, avec les pays du Maghreb et ceux du monde arabe, les échanges sont également insignifiants. Ils se limitent généralement aux importations. Si les échanges entre les pays du Maghreb représentent moins de 3% de leurs échanges globaux, avec les pays arabes (UMA comprise), ils ne sont que de 4,8 Mds USD, en baisse de 24,8% par rapport à 2014.
Pour le premier trimestre 2016, les chiffres du Centre national de l’informatique et des statistiques (CNIS) place l’Italie en première position avec 1,505 Mds USD (25,45% des exportations globales algériennes), suivie de la France avec 879 millions USD (14,86%), de l’Espagne avec 810 millions USD (13,7%), de la Turquie avec 328 millions USD (5,55%) et du Canada avec 278 millions USD (4,7%).
Une balance en faveur de la Chine
Côté fournisseurs, la Chine est en tête avec 2,109 Mds USD (18,3% des importations globales au premier trimestre), suivie de la France avec 1,363 Mds USD (11,82%), de l’Italie avec 1,09 Mds USD (9,45%), de l’Espagne avec 842 millions USD (7,3%) et de l’Allemagne avec 670 millions USD (5,81%). Des statistiques qui révèlent encore une fois un déséquilibre des échanges commerciaux de l’Algérie.
C’est le cas à titre illustratif pour la Chine. Certes, dans les discours, les représentants des deux pays mettent en avant l’excellence des relations entre les deux parties, mais dans les faits, ce sont plutôt les Chinois qui tirent profit de cette situation. Avec un accroissement des échanges entre les deux pays de 47% entre 2011 et 2014 (10 Mds Usd), la Chine est le premier fournisseur de l’Algérie depuis 2013 avec des exportations vers l’Algérie qui ont augmenté au cours de cette période de plus de 70%. Cela pour dire que la Chine n’achète pratiquement rien de l’Algérie.
De surcroît, elle est, selon le président de la Chambre algérienne de commerce et d’industrie, Amar Benamor, «loin d’être le premier investisseur malgré la présence de 790 entreprises chinoises en Algérie». C’est la France qui l’est mais avec un montant qui n’est pas à la hauteur des attentes de l’Algérie. Un stock d’investissements directs étrangers (IDE) à plus de 2,2 milliards de dollars, selon l’ambassade de France à Alger, alors que 50% des IDE au Maroc provenaient de l’Hexagone en 2014, et que 1300 entreprises françaises sont implantées en Tunisie. Accord d’association, l’impérative révision.
Cela pour rappeler la faible attractivité du marché algérien par rapport à ses voisins de la région. Même l’accord d’association Algérie-UE n’a pas eu l’effet escompté. «L’Europe a vendu en dix ans (2004-2014) pour 200 milliards dollars de marchandises. Le plus engagé d’entre ses membres, la France a un stock d’investissements en Algérie qui ne dépasse pas les deux milliards d’euros», regrette à cet effet Abdelaziz Rahabi, ancien ministre de la Communication et de la Culture et ancien diplomate.
Pour rappel, en 2014, le niveau des importations en provenance de l’UE est passé à près de 30 milliards de dollars contre un niveau moyen annuel de 9 milliards de dollars avant l’entrée en vigueur de cet accord (entre 2002 et 2004). Parallèlement, les exportations algériennes hors hydrocarbures vers l’UE ont évolué de manière dérisoire. Elles sont passées de 500 millions de dollars (toujours avant la mise en œuvre de l’accord) à seulement 1,5 milliard de dollars en 2015, avec une diminution sensible de 31% par rapport à 2014 (2,3 milliards de dollars).
Et dire que l’augmentation des IDE en Algérie et la promotion des exportations algériennes vers le marché européen en sont les principaux objectifs.
C’est ce qui explique la décision de réviser ledit accord. «Nous voulons avoir plus d’investissements européens qui constitueront, pour nous, un moyen de transfert technologique et un vecteur de promotion des exportations vers le marché européen», a avancé récemment à ce sujet Saïd Djellab, directeur du suivi des accords commerciaux régionaux auprès du ministère du Commerce.
La Russie, l’allié politique négligé commercialement
Cette course vers le marché européen en plus de ne pas avoir donné les résultats souhaités a fait oublier à l’Algérie d’autres partenaires, à l’image de la Russie. «L’Algérie a négligé sous Bouteflika ses relations avec la Russie réduites à l’achat d’armements, sans arriver parallèlement à faire de l’Europe et des USA des partenaires stratégiques», ajoute M. Rahabi.
L’on semble négliger chez nous le fait que la Russie soit un acteur diplomatique de premier plan, un ami traditionnel de l’Algérie et une puissance industrielle. Sans la maîtrise des technologies de pointe –comme le prétendent injustement certains centres de décision en Algérie- elle n’aurait pas pu disposer d’une technologie militaire des plus performantes au monde», rappellera-t-il encore.
Et ce n’est qu’aujourd’hui qu’on se réveille et qu’on cherche à rattraper le temps perdu avec l’allié russe dans l’armement (achats militaires de l’Algérie se chiffrant à plus de 1 Md USD en 2015) avec qui les convergences ne manquent pourtant pas sur le plan politique et économique (les économies étant essentiellement basées sur la rente pour les deux pays).
Dans ce cadre, un mémorandum d’entente dans le domaine de l’habitat, un programme de coopération culturel algéro-russe 2016-2018, un accord de coopération entre l’Agence de presse algérienne (APS) et Rossiya Segodnya, un mémorandum d’entente entre le Commissariat à l’énergie atomique (Comena) et la corporation d’Etat russe (Rosatom) et enfin un mémorandum d’entente entre l’Agence nationale de promotion et de développement des parcs technologiques (ANPT) et la Fondation Skolkovo ont été conclus. La partie algérienne envisage par ailleurs le développement du gaz de schiste en partenariat avec la Russie déjà liée pour rappel à l’Algérie par un accord de partenariat stratégique qui remonte à avril 2001.
Donc, au final, l’Algérie au bout de cinquante quatre ans d’indépendance n’a ni réussi à diversifier ses exportations ni à attirer les IDE. «L’Algérie n’a pas réussi à établir un partenariat stratégique avec aucun de ses partenaires parce qu’elle a manqué de visibilité et d’ambition. C’est un pays dans lequel les politiques ont une ambition pour eux-mêmes pas pour l’Algérie parce que l’accès au pouvoir garantit l’enrichissement et l’immunité. Ceci peut expliquer pourquoi l’éducation et l’économie ne sont pas au centre des préoccupations de la classe politique», notera M. Rahabi. Résultat : l’Algérie est un acteur marginal du commerce international. Le ministère du Commerce l’a d’ailleurs reconnu lors de la conférence sur le commerce extérieur organisée en mars 2015, plaidant pour une approche politique basée sur la diversification et le rééquilibrage des échanges extérieurs.
«L’Algérie victime de ses choix»
Mais, comment en est-on arrivés à ce stade ? «Parce que nous n’avons pas réussi à diversifier notre économie. Nous la concevons sous l’angle de l’approvisionnement de la population en lieu et place d’un outil de création de richesses, de connaissances et de prospérité. Le secteur qui créé le plus d’emplois est resté pendant longtemps la Fonction publique, qui avait pour, entres autres missions, de déguiser le chômage», répondra Abdelaziz Rahabi. Un avis que partage Smaïl Lalmas, président de l’Association Algérie conseil export (ACE) qui dira :
«L’absence pour le moment d’une offre algérienne exportable, abondante, diversifiée et concurrente en qualité/prix, a mis le pays dans l’incapacité de profiter des différents marchés et des différents accords de libre-échange avec certains partenaires. L’Algérie est victime de ses choix.» Pour ce dernier, le pays n’a tiré profit ni de la proximité géographique ni de la proximité relationnelle (culturelle et politique), deux facteurs déterminants de l’affinité commerciale. Le résultat est là aujourd’hui: «Ces relations commerciales se traduisent par une balance commerciale déséquilibrée en défaveur de l’Algérie», résumera-t-il.L’arrivée progressive de nouveaux partenaires depuis 2006, notamment Chine, Corée du Sud, Turquie…, n’a pas changé la situation.
C’est toujours l’axe import-import qui prédomine au détriment de la diversification des exportations mais aussi de l’économie de la connaissance. Sinon «comment peut-on expliquer qu’un pays qui a la taille de l’Algérie accorde des licences à des opérateurs de téléphonie mobile de troisième zone au lieu de s’associer aux géants mondiaux, d’apprendre et d’aller dans d’autres marchés notamment en Afrique et le monde arabe», s’interroge l’ancien ministre de la Communication, qui rappellera dans le même sillage: «C’est la démarche adoptée par les pays émergents dans ce secteur comme dans tant d’autres et qui a donné d’excellents résultats.
Zeroual avait soutenu cette stratégie et adopté un programme en la matière, mais sa démission a ouvert la voie aux intermédiaires avec le résultat que nous connaissons tous, un pays décalé sur le plan des TIC et de l’économie des connaissances». Mais aussi un pays qui continue à tourner le dos à l’ouverture commerciale en ratant les opportunités existantes, que ce soit en Afrique, en Europe de l’Est, en Extrême-Orient, ou tout près de l’Algérie, c’est-à-dire au Maghreb.
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| | | mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 28 Juin 2016 - 23:19 | |
| - Citation :
- Évaluation risque pays par la Coface : l’Algérie un pays à risque élevé
L’Algérie obtient une évaluation C dans la dernière révision trimestrielle des risques pays publiée ce mardi par la Coface, agence française spécialisée dans l’assurance-crédit, et rapportée par le site internet Zonebourse. Ce classement correspond à un « risque élevé ». Les évaluations risque pays de Coface mesurent le risque de crédit moyen des entreprises d’un pays, sur une échelle de 8 niveaux : A1, A2, A3, A4, B, C, D et E, dans l’ordre croissant du risque. La moyenne du risque mondial correspond à B, ce qui situe l’Algérie sous la moyenne.
La mauvaise évaluation de l’Algérie s’explique sans surprise par la chute des cours du pétrole ayant entraîné un creusement du déficit budgétaire et un ralentissement de l’activité hors-hydrocarbures. D’ailleurs, la baisse du prix du baril s’est fait ressentir de manière générale chez tous les pays dépendant des exportations de pétrole.
L’évaluation de l’Arabie saoudite a par exemple été abaissée à B (risque assez élevé), le Koweït à A3 et le Qatar à A3. L’Angola, dont le président a récemment annoncé que le pays est à court de réserves de change pour payer la facture de ses importations, a obtenu une évaluation D. Confronté à une haute probabilité de défaut de paiement, le Mozambique a lui également obtenu une évaluation D.
La Coface a par ailleurs estimé désormais nécessaire d’introduire une nouvelle catégorie d’évaluation E, qualifiée de « risque extrême », afin d’ajouter de la granularité dans l’analyse risque pays. Des pays comme l’Afghanistan, la Libye, l’Irak, Cuba, la Syrie, le Yémen, le Venezuela ou encore l’Iran font désormais partie de cette huitième catégorie, synonyme de risque de crédit extrêmement élevé.
http://www.tsa-algerie.com/20160628/evaluation-risque-pays-coface-lalgerie-pays-a-risque-eleve/ | |
| | | mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2510 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 28 Juin 2016 - 23:25 | |
| - Citation :
- Exclusif. Corruption et malversation/Algérie-Focus révélera les dessous de 1150 contrats douteux du groupement Sonatrach-Anadarko
En partenariat avec l’association nationale de lutte contre la Corruption “ANLC”, Algérie-Focus a obtenu pas moins de 1150 contrats de gré à gré du groupement pétrolier Berkine composé par la compagnie nationale Sonatrach et la compagnie américaine Anadarko. Ces deux compagnies pétrolières ont créé ensemble en 1998 le Groupement Berkine avec un comité chargé de la supervision et la direction des opérations pétrolières. Deux administrateurs, l’un de Sonatrach et l’autre d’Anadarko se relaient tous les trois ans. Le travail se fait en équipe et les décisions sont collégiales.
Ce groupement exploite le gisement El Merk, dans le bassin de Berkine, ancien Ghadames dans la wilaya d’Illizi, considéré comme l’un des gisements de pétrole les plus importants en Algérie. Au niveau de ce gisement, le groupement fondé par Sonatrach et Anadarko produit l’équivalent de 146.000 barils/jour. Le gisement d’El Merk est d’une grande capacité estimée à 1,2 milliard de barils de pétrole, dont près de 40%, 647 millions de barils, sont récupérables.
En 2013, Sonatrach et Anadarko ont prévu d’exploiter 80 puits, dont 30 pour la production du pétrole et 8 pour l’extraction du gaz. Le coût de la réalisation du projet est d’environ 4 milliards de dollars. Sonatrach détiendra 51% des participations d’El Merk, en vertu d’un contrat de partage de production conclu avec ses partenaires en vertu de l’ancienne loi sur les hydrocarbures 86-14. Les 49% de la production reviendront à Anadarko et à ses associés Eni, Maersk, Conoco Philips et Talisman.
C’est dire que ce groupement occupe une place très stratégique et précieuse dans le secteur des hydrocarbures en Algérie. Cependant, les contrats de gré à gré obtenus par l’association nationale de lutte contre la corruption de la part d’une source anonyme très bien introduite au sein de l’administration de Sonatrach et Anadarko démontrent, selon les investigations menées par Algérie-Focus, que de nombreuses irrégularités et anomalies ont été commises au niveau de la gestion des blocs pétroliers du bassin de Berkine.
Des anomalies qui suscitent de sérieux soupçons de corruption et de malversation. De nombreux contrats gré à gré étudiés par Algérie-Focus portent sur la conclusion de marchés qui ne relèvent d’aucune urgence. Il s’agit de marchés facturés en dollars, en euros et quelques fois en dinars, qui auraient pu faire l’objet d’un appel d’offres et d’une procédure de concurrence publique. Les 1150 contrats en possession d’Algérie-Focus et de l’ANLC retracent pas moins de 5 ans d’activités du groupement Sonatrach-Anadarko. Plusieurs centaines de millions de dollars sont dévoilés et affichés dans ces contrats. 5 ans d’un manque criant de transparence et de manœuvres douteuses qui pousse Halim Feddal, le secrétaire général de l’ANLC, de parler d’un véritable scandale qui témoigne de l’ampleur de la “prolifération de la corruption” dans le secteur pétrolier algérien.
Le gré à gré est une procédure encadrée minutieusement par la loi en Algérie. Or, il a été abusivement généralisé pendant 5 ans par les managers du groupement Berkine, nous expliquera Halim Feddal dans un long entretien accordé à Algérie-Focus. Un entretien que nous publierons dans les heures à venir au même moment où nous allons mettre en ligne la première partie de notre enquête sur les dessous de ces 1150 contrats de gré à gré. Dans les demandes d’attribution des marchés en gré à gré, nous allons retrouver des montants faramineux accordés avec une facilité déconcertante à des opérateurs douteux. Les motifs avancés dans ces demandes de contrats approuvées ne sont nullement convaincants et laissent facilement le champ libre à des opérations de corruption. Tout au long de cette enquête, nous allons mettre le doigt sur des marchés très délicats où les enjeux peuvent compromettre la souveraineté nationale de l’Algérie et mettre en danger les intérêts cruciaux de son économie. Rendez-vous dés demain mercredi pour prendre connaissance des tenants et aboutissants de toutes ces informations.
http://www.algerie-focus.com/2016/06/exclusif-corruption-malversationalgerie-focus-revelera-dessous-de-1150-contrats-douteux-groupement-sonatrach/ | |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 28 Juin 2016 - 23:49 | |
| - humanium.org a écrit:
If children’s fundamental rights are guaranteed by Algerian law, the reality is very different: poverty, limited access to basic medical care, abuses or child refugees are some issues that need to be addressed in Algeria... Poverty
23% of the Algerian population live under the poverty line (less that $2 per day). Poverty in rural areas is two times higher than in urban areas.
Child Labour
Child labour is a part of the daily reality for approximately 5% of children aged between 5 to 15 years in Algeria. In the last few years, the number of children who stop going to school and start working, sometimes in difficult situations, in order to support their parents is increasing.
Child marriage
Despite the fact that the minimum age for marriage is set at 19 years (with some exception) in the Algerian Family Code, child marriage still exist in certain ethnic groups.
Health
Infant mortality rate in Algeria is 32%, still very high. In addition, approximately 10% of children are not vaccinated against dangerous diseases. In general, access to basic heath is still a problem in rural areas.
Violence against Children
In 2010, more than 4,600 cases related to physical and sexual aggression and abuses against children have been recorded by the Algerian police. We must admit that most of the cases are not disclosed because children are afraid of reprisals and sometimes do not have the opportunity to denounce the violence. Therefore, it is much higher in reality.
Much of the time, the perpetrators come from parents, members of the inner family or even the teachers.
Child abuse is still taboo in Algeria and is, in some cases, considered as a disciplinary action.
...
_________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
| |
| | | WRANGEL General de Division
messages : 4496 Inscrit le : 28/11/2009 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 28 Juin 2016 - 23:55 | |
| - mbarki_49 a écrit:
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- Citation :
- Évaluation risque pays par la Coface : l’Algérie un pays à risque élevé
L’Algérie obtient une évaluation C dans la dernière révision trimestrielle des risques pays publiée ce mardi par la Coface, agence française spécialisée dans l’assurance-crédit, et rapportée par le site internet Zonebourse. Ce classement correspond à un « risque élevé ». Les évaluations risque pays de Coface mesurent le risque de crédit moyen des entreprises d’un pays, sur une échelle de 8 niveaux : A1, A2, A3, A4, B, C, D et E, dans l’ordre croissant du risque. La moyenne du risque mondial correspond à B, ce qui situe l’Algérie sous la moyenne.
La mauvaise évaluation de l’Algérie s’explique sans surprise par la chute des cours du pétrole ayant entraîné un creusement du déficit budgétaire et un ralentissement de l’activité hors-hydrocarbures. D’ailleurs, la baisse du prix du baril s’est fait ressentir de manière générale chez tous les pays dépendant des exportations de pétrole.
L’évaluation de l’Arabie saoudite a par exemple été abaissée à B (risque assez élevé), le Koweït à A3 et le Qatar à A3. L’Angola, dont le président a récemment annoncé que le pays est à court de réserves de change pour payer la facture de ses importations, a obtenu une évaluation D. Confronté à une haute probabilité de défaut de paiement, le Mozambique a lui également obtenu une évaluation D.
La Coface a par ailleurs estimé désormais nécessaire d’introduire une nouvelle catégorie d’évaluation E, qualifiée de « risque extrême », afin d’ajouter de la granularité dans l’analyse risque pays. Des pays comme l’Afghanistan, la Libye, l’Irak, Cuba, la Syrie, le Yémen, le Venezuela ou encore l’Iran font désormais partie de cette huitième catégorie, synonyme de risque de crédit extrêmement élevé.
http://www.tsa-algerie.com/20160628/evaluation-risque-pays-coface-lalgerie-pays-a-risque-eleve/ On y est, l'etat ne parvient plus à entretenir artificiellement le circuit economique en injectant les fonds qui amorcent la pompe. Ce ralentissement de l'activité économique sera exponentiel et ce d'autant que ces malades viennent de sortir une loi qui oblige dorénavant les déja rares exportateurs algeriens à régler les intrants qu'ils importent avec leurs propres devises dont ils ne récupereront que la moitié - http://www.tsa-algerie.com/20160620/banque-dalgerie-sattaque-aux-devises-exportateurs/ a écrit:
La Banque d’Algérie s’attaque aux devises des exportateurs
Les autorités poursuivent leur politique de réduction des dépenses en devises. Après les nombreuses restrictions imposées aux importateurs, la Banque d’Algérie s’attaque aux devises des exportateurs.
Actuellement, une entreprise qui exporte achète ses matières premières et ses équipements en dinar convertible. Une fois ses produits exportés, elle perçoit 50% du montant exporté en dinar et les 50% restant en devise. Les sommes en devises sont ensuite utilisées par l’exportateur pour promouvoir son activité à l’étranger. Mais jamais pour acheter de la matière première.
Dans une note datée du 14 juin dont TSA détient une copie, la Banque d’Algérie modifie la règle. Le règlement financier de l’importation des matières premières « dans le cadre de l’admission temporaire pour le perfectionnement actif (… doit être) assuré sur les propres avoirs en devises de l’opérateur économique concerné, logés dans son compte devises ‘personne morale’ », précise la Banque centrale.
Comprendre : le règlement des achats de matières premières destinées à une production qui sera exportée se fera uniquement en devises. Ce qui risque de pénaliser fortement les exportateurs. Et pour cause : seulement 50% des revenus des exportations sont reversés en devises à l’exportateur. Ce qui risque d’assécher rapidement leurs comptes et de rendre les opérations d’importations de matières premières très difficiles.
Dans un contexte où le gouvernement affirme chercher à promouvoir les exportations, la note de la Banque centrale risque de produire l’effet inverse. Cette decision prouve qu'il y a panique a bord puiqu"à terme, ils vont tuer les rares exportateurs qui créent une plus value en algérie et des entrées de devises à partir d'intrants importés juste pour pouvoir mettre la main sur les reserves de devises en possession de ces sociétés. Ca prouve donc aussi qu'ils ne croient pas du tout à la mue de leur systeme économique ou qu'en tout cas ils savent que cette mue ne pourra pas intervenir avant qu'ils ne rentrent dans le mur. Moi si j'avais une société qui entre dans ce cadre, je la liquiderais tout de suite. Pourquoi me départir de devises qui valent quelque chose pour gagner des dinars qui perdent continuellement de la valeur et qui de plus ne me sont d'aucune utilité pour l'activité de mon entreprise, puisque ces dinars ne me permettront pas d'importer et que de toutes les facons ma boite coulera des que je n'aurais plus de réserves en devises?????? _________________ ""Qu'importe que je sois de mauvaise foi puisque je lutte pour une cause juste. Qu'importe que je lutte pour une cause injuste puisque je suis de bonne foi"" “L'histoire n'est que la géographie dans le temps, comme la géographie n'est que l'histoire dans l'espace.” | |
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