Kurssad, est - ce que d'autres chars tel que votre sabra ont été touché ? En d'autres termes est - ce que vous avez des mbt qui ont été touché mais non détruits ? Et par quoi vos A3tts ont été shooté (tow , kornet? ). et pour finir, comment articulez-vous les forces (les hommes précédent les chars ou l'inverse?) Ainsi que l'utilisation des hélicos ? Le retex turc est important. Merci
En tout 4 M-60-3TTS touchés par des Kornet, l'EI clame que c'est une attaque d'un camion piégé à l'entrée de la localité qui a détruit 2 chars turcs.
Parmi les 4 M-60-3TTS touchés par des Kornet (sans en prendre compte ce que l'EI dit), 3 sont détruits et 1 endommagé. Pour l'instant aucun M-60T touché.
Les forces spéciales turques font de la reconnaissance, bombardement des positions ennemis, élimination des combattants adverses et les chars contournent et mettent le siège (en bon nombre comme pour une attaque blindée) à une localité tout en bombardant les positions ennemis, et l'infanterie rentre dans la localité avec l'appui feu des chars turcs, des drones et des F-16 turcs. Pas encore d'utilisation d'hélicoptères de combat, il n'y a pas d'utilité, peut être quand sa deviendra sérieux comme à Al-Bab ou Manbij.
Ici l'EI touche un char turc:
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Aussi un autre point, les M-60-3TTS ne prennent pas feu comme les chars russes lorsqu'ils sont touchés par un ATGM, ici dans la même région, au sud de Manbij, un char du YPG qui prends feu et se transforme en four pour les tankistes du YPG. Oui les M-60 résistent mieux que les T-55/T-72.
Les forces d’Ankara ont délogé toutes les positions de l’Etat Islamique le long de la frontière et repoussé les combattants kurdes. Cette intervention bouleverse le jeu des alliances autour du conflit syrien
La rumeur avait pris tant d’insistance que le Kremlin s’est vu obligé de la démentir officiellement lundi: non, il n’est pas prévu que le président russe Vladimir Poutine scelle la réconciliation entre la Turquie et la Syrie en accueillant bientôt un sommet entre les deux présidents. Ce ne sera pas pour cette fois. Mais ce n’est sans doute que partie remise, tant l’intervention russe de plain-pied dans le conflit syrien pourrait annoncer une vaste recomposition des forces en présence en Syrie et dans la région.
Ce week-end, la Turquie l’annonçait de manière triomphale: désormais le groupe Etat islamique (Daech selon l’acronyme arabe) a été délogé de toutes les positions qu’il détenait sur la frontière syro-turque. Lancée le 24 août, l’offensive militaire turque a ainsi récolté ses fruits en l’espace de quelques jours seulement. Cette nouvelle situation rend désormais très difficile pour Daech le fait de s’approvisionner en combattants, en armes et en matériel à partir d’une Turquie qui, longtemps, a joué le rôle d’une sorte de sanctuaire pour les djihadistes. En réalité, le passage est rendu d’autant plus improbable que, dans le même temps, la Turquie est en train d’ériger – sur le modèle israélien – un long mur le long de la frontière avec la Syrie.
Mais si la mise à distance des combattants de Daech joue un rôle dans les motivations de la Turquie, ce n’est pas le seul. Il s’agit, comme elle l’a proclamé elle-même, de contrecarrer les velléités des Kurdes de progresser dans leur tentative de créer une zone autonome dans le nord de la Syrie. Avec l’aide des Américains, les milices kurdes YPG (unités de protection du peuple) pensaient concrétiser le rêve de relier leurs différents «cantons» et de connecter notamment les villes d’Afrin et de Jaraboulus. Ils sont sans doute allés trop loin. La Turquie a comparé cette perspective à la création d’un «couloir de la terreur». Face à sa colère, les Kurdes syriens se trouvent, du jour au lendemain, privés d’alliés.
Rencontres tous azimuts Tout le monde en convient. Pareille offensive turque n’aurait pas été possible sans un aval donné par la Russie, peut-être par l’Iran, ainsi que, sans doute, par le régime de Damas lui-même. «Cette intervention turque rebrasse toutes les cartes du conflit, de la même manière que l’arrivée des Russes en soutien à Bachar el-Assad l’avait fait auparavant, note un diplomate occidental proche du dossier. Il est inimaginable que pareil chamboulement puisse se produire sans le blanc-seing de Moscou.»
D’où ces rumeurs sur la réunion tripartite, au Kremlin, qui aurait placé face à face le président turc Recep Tayyip Erdogan et son alter ego syrien Bachar el-Assad. Officiellement, la Turquie d’Erdogan réclame toujours le départ du président syrien. Les observateurs notent toutefois l’indolence avec laquelle le pouvoir de Damas a dénoncé «l’invasion» turque d’une partie de son territoire. Surtout, si le sommet du Kremlin n’a donc pas lieu, des rencontres se multiplieraient tous azimuts, réunissant notamment des responsables de la sécurité turcs et syriens.
Le grand marché Aujourd’hui, les chars turcs ont encore plusieurs options dans leur progression, que ce soit du côté de Manbij (conquise par les Kurdes en août dernier, ce qui est à l’origine de la colère turque) ou d’Al-Bab, un gros morceau, puisque c’est là que se sont repliés en partie les combattants de Daech fuyant les dernières progressions militaires, kurde puis turque.
«Erdogan avait réussi à se mettre tout le monde à dos dans la région», note le même diplomate occidental, en faisant référence notamment à la Russie, à Israël et au régime de Bachar el-Assad, son ancien allié. «Après la tentative de putsch (du 15 juillet) il pouvait choisir le confinement. Mais il a fait le pari inverse, quitte à bouleverser une nouvelle fois toutes les alliances.»
Ce retournement n’est pas pour déplaire à Moscou. L’agence officielle russe Tass prenait un malin plaisir lundi à insister sur l’appel du président turc à «collaborer avec la Russie», notamment pour obtenir un cessez-le-feu en Syrie, «spécialement dans la région d’Alep». Dans le même temps, Erdogan proposait une nouvelle fois d’établir une «zone d’exclusion aérienne» dans le nord de la Syrie, un projet que les Américains ont toujours refusé de mener à bien, et qui n’aurait aucune chance de succès sans l’accord de Moscou.
Un «grand marché» dans lequel les Américains seraient obligés de s’embarquer pour ne pas être marginalisés? Une chose est sûre: une partie des rebelles syriens qui sont, en ce moment même, en train de participer à l’offensive menée par la Turquie contre les Kurdes et contre l’État islamique sont ceux-là mêmes qui bataillaient jusqu’ici à Alep, et dont les rangs ont été ainsi dégarnis. «L’idée d’Erdogan, c’est la création d’une zone tampon où pourront se reconstruire des forces modérées, à la condition qu’elles soient pro-turques, affirme un opposant syrien sous couvert de l’anonymat. En échange, il pourrait être prêt à laisser ouverte la question du sort d’Alep et à se satisfaire d’un maintien au pouvoir de Bachar el-Assad.»
Les Kurdes, premiers perdants Les combattants des YPG sont obligés de se replier. Ils se sentent trahis par les Etats-Unis
La Turquie, entrée de plain-pied dans le conflit syrien à la faveur d’un retournement inopiné d’alliance, a fait reculer les combattants kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) et menace de les chasser de toutes leurs positions à l’ouest de l’Euphrate. Les forces kurdes en Syrie auraient-elles été victimes de leurs succès militaires? Ou trop gourmandes? Après avoir mis en déroute l’Etat islamique (EI) à Kobané en janvier 2015, les YPG n’ont cessé d’avancer en reprenant des territoires à l’EI. La conquête de Manbij le 12 août 2016 a été leur dernière avancée, car en traversant l’Euphrate et en menaçant d’étendre leur contrôle sur la frontière, elles ont du même coup franchi la ligne rouge que le gouvernement turc avait tracée et provoqué, indirectement, l’intervention militaire turque.
De meilleur allié de la Coalition contre l’EI menée par les Etats-Unis, les YPG sont en passe d’être isolés. Même Washington qui leur a pourtant fourni un soutien militaire et logistique important leur demande désormais d’abandonner Manbij. Pour Saleh Muslim, le coprésident du Parti de l’union démocratique, l’aile politique des combattants kurdes, «les YPG se sont déjà repliés à l’est de l’Euphrate. Il ne reste à Manbij que des combattants locaux». Le président turc Recep Tayyip Erdogan, persuadé du contraire, a promis de continuer à cibler les terroristes, le terme qu’il utilise pour désigner à la fois les YPG et les djihadistes de l’EI.
Selon Yohanan Benhaim doctorant à Paris 1-Panthéon Sorbonne, spécialiste de la question kurde et cofondateur de Noria, «la Turquie a rempli son objectif initial en empêchant la création du continuum kurde entre Tal Abyad et Afrin le long de la frontière. Elle ne se risquera pas dans l’immédiat à la conquête d’Afrin, une enclave où les Kurdes sont majoritaires et que les YPG administrent depuis 4 ans. De même pour les territoires à l’est de l’Euphrate. Toutefois, sur le long terme, la Turquie pourrait vouloir nouer une coopération militaire avec Damas pour empêcher la pérennisation d’un territoire autonome contrôlé par les YPG en Syrie.»
L'armée turque déclare toute la zone entre Al-Raï et Al-Bab comme zone militaire, la Turquie va outre passée les demandes des Américains. On arrive Al-Bab.
PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
Erdogan est allé à Moscou pour se rabibocher avec poutine avec lequel il a très mal manoeuvré depuis le début. Il y est allé aussi , pour avoir le feu vert d'intervenir en syrie. Pour la même raison vous avez envoyé des émissaires en Iran. Erdogan à procédé à un retournement de veste comme seule cette région sait le faire. Il revient à sa politique du "zéro ennemi", après s'être fourvoyé. Tu noteras que c'est Erdogan qui est allé à Saint péterbourg et pas Poutine qui est venu à Istanbul. Comme tu aimes les symboles, j'espère que celui là ne t'a pas échappé. Le boss n'est peut pas celui que tu crois.
Kurssad a écrit:
Citation :
La Turquie rebrasse les cartes en Syrie
Les forces d’Ankara ont délogé toutes les positions de l’Etat Islamique le long de la frontière et repoussé les combattants kurdes. Cette intervention bouleverse le jeu des alliances autour du conflit syrien
La rumeur avait pris tant d’insistance que le Kremlin s’est vu obligé de la démentir officiellement lundi: non, il n’est pas prévu que le président russe Vladimir Poutine scelle la réconciliation entre la Turquie et la Syrie en accueillant bientôt un sommet entre les deux présidents. Ce ne sera pas pour cette fois. Mais ce n’est sans doute que partie remise, tant l’intervention russe de plain-pied dans le conflit syrien pourrait annoncer une vaste recomposition des forces en présence en Syrie et dans la région.
Ce week-end, la Turquie l’annonçait de manière triomphale: désormais le groupe Etat islamique (Daech selon l’acronyme arabe) a été délogé de toutes les positions qu’il détenait sur la frontière syro-turque. Lancée le 24 août, l’offensive militaire turque a ainsi récolté ses fruits en l’espace de quelques jours seulement. Cette nouvelle situation rend désormais très difficile pour Daech le fait de s’approvisionner en combattants, en armes et en matériel à partir d’une Turquie qui, longtemps, a joué le rôle d’une sorte de sanctuaire pour les djihadistes. En réalité, le passage est rendu d’autant plus improbable que, dans le même temps, la Turquie est en train d’ériger – sur le modèle israélien – un long mur le long de la frontière avec la Syrie.
Mais si la mise à distance des combattants de Daech joue un rôle dans les motivations de la Turquie, ce n’est pas le seul. Il s’agit, comme elle l’a proclamé elle-même, de contrecarrer les velléités des Kurdes de progresser dans leur tentative de créer une zone autonome dans le nord de la Syrie. Avec l’aide des Américains, les milices kurdes YPG (unités de protection du peuple) pensaient concrétiser le rêve de relier leurs différents «cantons» et de connecter notamment les villes d’Afrin et de Jaraboulus. Ils sont sans doute allés trop loin. La Turquie a comparé cette perspective à la création d’un «couloir de la terreur». Face à sa colère, les Kurdes syriens se trouvent, du jour au lendemain, privés d’alliés.
Rencontres tous azimuts Tout le monde en convient. Pareille offensive turque n’aurait pas été possible sans un aval donné par la Russie, peut-être par l’Iran, ainsi que, sans doute, par le régime de Damas lui-même. «Cette intervention turque rebrasse toutes les cartes du conflit, de la même manière que l’arrivée des Russes en soutien à Bachar el-Assad l’avait fait auparavant, note un diplomate occidental proche du dossier. Il est inimaginable que pareil chamboulement puisse se produire sans le blanc-seing de Moscou.»
D’où ces rumeurs sur la réunion tripartite, au Kremlin, qui aurait placé face à face le président turc Recep Tayyip Erdogan et son alter ego syrien Bachar el-Assad. Officiellement, la Turquie d’Erdogan réclame toujours le départ du président syrien. Les observateurs notent toutefois l’indolence avec laquelle le pouvoir de Damas a dénoncé «l’invasion» turque d’une partie de son territoire. Surtout, si le sommet du Kremlin n’a donc pas lieu, des rencontres se multiplieraient tous azimuts, réunissant notamment des responsables de la sécurité turcs et syriens.
Le grand marché Aujourd’hui, les chars turcs ont encore plusieurs options dans leur progression, que ce soit du côté de Manbij (conquise par les Kurdes en août dernier, ce qui est à l’origine de la colère turque) ou d’Al-Bab, un gros morceau, puisque c’est là que se sont repliés en partie les combattants de Daech fuyant les dernières progressions militaires, kurde puis turque.
«Erdogan avait réussi à se mettre tout le monde à dos dans la région», note le même diplomate occidental, en faisant référence notamment à la Russie, à Israël et au régime de Bachar el-Assad, son ancien allié. «Après la tentative de putsch (du 15 juillet) il pouvait choisir le confinement. Mais il a fait le pari inverse, quitte à bouleverser une nouvelle fois toutes les alliances.» [b] Ce retournement n’est pas pour déplaire à Moscou. L’agence officielle russe Tass prenait un malin plaisir lundi à insister sur l’appel du président turc à «collaborer avec la Russie», notamment pour obtenir un cessez-le-feu en Syrie[/b], «spécialement dans la région d’Alep». Dans le même temps, Erdogan proposait une nouvelle fois d’établir une «zone d’exclusion aérienne» dans le nord de la Syrie, un projet que les Américains ont toujours refusé de mener à bien, et qui n’aurait aucune chance de succès sans l’accord de Moscou.
Un «grand marché» dans lequel les Américains seraient obligés de s’embarquer pour ne pas être marginalisés? Une chose est sûre: une partie des rebelles syriens qui sont, en ce moment même, en train de participer à l’offensive menée par la Turquie contre les Kurdes et contre l’État islamique sont ceux-là mêmes qui bataillaient jusqu’ici à Alep, et dont les rangs ont été ainsi dégarnis. «L’idée d’Erdogan, c’est la création d’une zone tampon où pourront se reconstruire des forces modérées, à la condition qu’elles soient pro-turques, affirme un opposant syrien sous couvert de l’anonymat. En échange, il pourrait être prêt à laisser ouverte la question du sort d’Alep et à se satisfaire d’un maintien au pouvoir de Bachar el-Assad.»
Les Kurdes, premiers perdants Les combattants des YPG sont obligés de se replier. Ils se sentent trahis par les Etats-Unis
La Turquie, entrée de plain-pied dans le conflit syrien à la faveur d’un retournement inopiné d’alliance, a fait reculer les combattants kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) et menace de les chasser de toutes leurs positions à l’ouest de l’Euphrate. Les forces kurdes en Syrie auraient-elles été victimes de leurs succès militaires? Ou trop gourmandes? Après avoir mis en déroute l’Etat islamique (EI) à Kobané en janvier 2015, les YPG n’ont cessé d’avancer en reprenant des territoires à l’EI. La conquête de Manbij le 12 août 2016 a été leur dernière avancée, car en traversant l’Euphrate et en menaçant d’étendre leur contrôle sur la frontière, elles ont du même coup franchi la ligne rouge que le gouvernement turc avait tracée et provoqué, indirectement, l’intervention militaire turque.
De meilleur allié de la Coalition contre l’EI menée par les Etats-Unis, les YPG sont en passe d’être isolés. Même Washington qui leur a pourtant fourni un soutien militaire et logistique important leur demande désormais d’abandonner Manbij. Pour Saleh Muslim, le coprésident du Parti de l’union démocratique, l’aile politique des combattants kurdes, «les YPG se sont déjà repliés à l’est de l’Euphrate. Il ne reste à Manbij que des combattants locaux». Le président turc Recep Tayyip Erdogan, persuadé du contraire, a promis de continuer à cibler les terroristes, le terme qu’il utilise pour désigner à la fois les YPG et les djihadistes de l’EI.
Selon Yohanan Benhaim doctorant à Paris 1-Panthéon Sorbonne, spécialiste de la question kurde et cofondateur de Noria, «la Turquie a rempli son objectif initial en empêchant la création du continuum kurde entre Tal Abyad et Afrin le long de la frontière. Elle ne se risquera pas dans l’immédiat à la conquête d’Afrin, une enclave où les Kurdes sont majoritaires et que les YPG administrent depuis 4 ans. De même pour les territoires à l’est de l’Euphrate. Toutefois, sur le long terme, la Turquie pourrait vouloir nouer une coopération militaire avec Damas pour empêcher la pérennisation d’un territoire autonome contrôlé par les YPG en Syrie.»
Renault décide de produire la nouvelle Mégane en Turquie, 90 000 Mégane seront produites par an (500 000 en tout) et 80% d'entre elles seront exportés. Renault produit aussi le Clio IV et Fluence en Turquie dans les usines d'Oyak-Renault (49% de l'usine appartient à Oyak, qui est un fonds de pension de l'armée turque).
Pour la Syrie, je pense que c'est plus un deal qu'une simple autorisation russe. Alep contre le nord de la Syrie.
Darraya plutot les rebels ont quitté la ville qui est tres proche de damas est qui a été toujours une source de danger pour le pouvoir a damas, al assada bombardé la ville avec un rhytm constant depuis 2012
Une statue de la déesse Cybèle et des statuettes d'Apollon en bronze découverte à deux pas de chez moi en Turquie, une statue de 2 300 ans ainsi qu'un site antique de l'époque hellénistique.
L'EI détruit un char turc, 3 soldat turcs tués et 1 blessé. 17ème jour de l'opération bouclier de l'Euphrate, 5 chars détruits et 7 soldats turcs tués, plus de 1 000km² conquise par l'armée turque.