Sujet: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 6 Mai 2016 - 18:15
Rappel du premier message :
Rapport des combats au Sud d'Alep .
Les rebelles ciblent BMP du régime au TOW dans la province de Hama .
Une quinzaine de pro-régime capturer par les rebelles au sud d'Alep ,pas vraiment une tête qui répond au stéréotype du soldat de la grande Armée Arabe Syrienne !
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Mer 11 Mai 2016 - 9:16
http://www.lorientlejour.com/article/985403/la-russie-veut-mettre-des-rebelles-syriens-sur-liste-noire-le-conseil-de-securite-refuse.html a écrit:
La Russie veut mettre des rebelles syriens sur liste noire, le Conseil de sécurité refuse
Le Royaume-Uni, la France, les Etats-Unis et l'Ukraine ont bloqué mardi une demande de la Russie à l'ONU qui réclamait d'ajouter deux groupes rebelles syriens à la liste des organisations "terroristes" et de les écarter du processus de paix syrien, ont rapporté des diplomates.
Moscou demandait que les groupes Ahrar al-Cham et Jaïch al-Islam soient ajoutés à la liste noire des organisations considérées comme "terroristes", en raison de leurs liens avec el-Qaëda et le groupe Etat islamique (EI). Les quinze membres du Conseil de sécurité doivent être unanimes pour placer des organisations sur cette liste et les soumettre à des sanctions. Ce rejet mardi par quatre d'entre eux a donc rendu la requête russe obsolète. La tentative russe concernant ces deux groupes "qui sont parties prenantes du cessez-le-feu aurait pu avoir des conséquences néfastes sur la trêve au moment même où nous essayons de désamorcer la situation", a commenté un porte-parole de la mission américaine à l'ONU. "Ce n'est pas le moment de changer d'orientation, il faut au contraire redoubler d'efforts pour réduire la violence", a-t-il insisté.
Jaïch al-Islam fait partie du Haut comité des négociations (HCN) qui participe aux pourparlers de Genève dans le but de mettre fin au conflit ayant fait plus de 270.000 morts et déplacé des millions de personnes depuis 2011. Jaïch al-Islam est le plus important groupe rebelle dans la région de Damas et est soutenu par l'Arabie saoudite. Ahrar al-Cham, financé par la Turquie et des Etats du Golfe, est l'un des plus importants groupes rebelles syriens. D'inspiration salafiste, ce groupe a notamment combattu aux côtés du Front Al-Nosra, la branche syrienne d'el-Qaëda, près d'Alep et dans la province d'Idleb.
Cette dispute sur la proposition russe intervient alors qu'une réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS), co-présidé par la Russie et les Etats-Unis, est prévue le 17 mai à Vienne. Le GISS avait tenté l'année dernière d'établir une liste des groupes considérés comme "terroristes", qui avaient rapidement échouée devant la profusion des propositions émises par les différentes parties. L'initiative russe sur ces deux groupes aurait été "extrêmement contre-productive, nuisant à la fois aux efforts de maintenir la trêve et de reprendre les négociations à Genève", a insisté un diplomate s'exprimant sous couvert d'anonymat.
jf16 General de Division
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Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Mer 11 Mai 2016 - 16:39
Citation :
L'EI inflige un revers à l'armée syrienne en isolant Palmyre
Syrie A Alep, le calme est revenu mercredi matin après une nuit de bombardements.
OLJ/AFP 11/05/2016
Les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) ont infligé un revers à l'armée syrienne en isolant Palmyre, moins d'une semaine après les célébrations par le régime et son allié russe de la reprise de la ville antique.
Plus au sud, dans le centre, l'EI "est parvenu à couper la route entre Homs et Palmyre près de l'aéroport militaire de Tiyas suite à une attaque lancée à partir de l'est de Homs", a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH). Les deux villes sont contrôlées par le régime de Bachar el-Assad après la reprise par ses troupes, appuyées par l'aviation russe, de Palmyre, inscrite par l'Unesco au patrimoine mondial de l'humanité.
La coupure de cette route représente l'attaque la plus importante de l'EI depuis la reprise de Palmyre, a déclaré le directeur de l'Observatoire, Rami Abdel Rahmane. "Il y a de violents combats entre les forces du régime et Daech (acronyme arabe de l'EI)", a-t-il poursuivi. "Daech encercle Palmyre de tous les côtés sauf au sud-ouest", selon lui. Les combattants de l'EI sont positionnés à 40 km à l'ouest de la ville, à 25 km à l'est, à 10 km au nord et à 12 km au sud, selon l'OSDH. La route coupée par l'EI est "la route principale entre Homs et Palmyre mais elle n'est pas la seule et il y en a d'autres" entre les deux villes, a ajouté M. Abdel Rahmane.
Guerre mouvante La guerre est devenue extrêmement mouvante dans le désert où l'EI mène une tactique de harcèlement contre l'armée syrienne en attaquant ses points faibles puis en se retirant lorsque le régime contre-attaque, pour lui infliger des pertes ailleurs.
Par ailleurs, toujours dans la même région, une source militaire a affirmé à l'agence officielle Sana que l'aviation avait bombardé les positions de l'EI autour du champ gazier de Chaer, au nord-ouest de Palmyre, capturé la semaine dernière par les jihadistes.
Dans le nord de la Syrie, plusieurs quartiers de l'agglomération d'Alep ont été bombardés par le régime et des rebelles dans la nuit, mais le calme est revenu mercredi matin, selon des correspondants de l'AFP. Des raids de l'aviation du régime ont notamment frappé des positions rebelles dans plusieurs quartiers dans le nord et l'est de la ville divisée depuis 2012. L'OSDH a fait état des tirs de mortier sur deux zones contrôlées par le régime. Ils ont provoqué la mort d'une personne, selon l'agence Sana.
Chute de la livre Le cessez-le-feu instauré en Syrie le 27 février sous l'égide de Moscou et Washington avait volé en éclat fin avril à Alep avec la reprise de violents combats qui ont fait quelque 300 morts. Une nouvelle trêve temporaire entre forces gouvernementales et groupes rebelles a été instaurée la semaine dernière, avant d'être prolongée lundi jusqu'à mercredi minuit (21H00 GMT). Une réunion du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS), co-présidé par la Russie et les Etats-Unis, est prévue le 17 mai à Vienne, au moment où ces deux pays se sont engagés à "redoubler d'efforts" pour aboutir à un règlement politique du conflit syrien.
A Damas, les habitants sont très préoccupés par la dégringolade de la monnaie nationale. Mercredi, le dollar s'échangeait à 622 livres syriennes (LS) au marché noir, son taux le plus haut depuis le début du conflit en 2011. Au marché officiel, il était à 620 LS - contre 513 LS lundi - mais l'AFP a constaté que deux grands agents de change de Damas n'en vendaient pas et l'achetaient 510 LS. Pour enrayer la hausse du billet vert qui avait augmenté de 20% en une journée, les autorités syriennes avaient décidé mardi d'injecter plusieurs millions de dollars sur le marché et d'obliger "les bureaux de change de vendre sans commission le dollar à 620 livres syriennes". "Ceux qui ne respecteront pas ces consignes seront fermés", avait ajouté la banque centrale, sans succès pour le moment.
Par ailleurs, le dernier gynécologue exerçant encore dans la Ghouta orientale, banlieue rebelle à l'est de la capitale, a succombé mercredi à ses blessures. Nabil Daas avait été blessé il y a plusieurs jours lors d'une fusillade entre deux groupes rebelles près de Douma, selon l'OSDH.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Jeu 12 Mai 2016 - 7:02
Le régime iranien qui encourage les enfants à se battre en Syrie ,là on ne parle pas de djihadistes ou envahisseurs ?!
http://cnsnews.com/news/article/patrick-goodenough/iran-state-tv-airs-video-encouraging-children-fight-syria-i-am a écrit:
Iran State TV Airs Video Encouraging Children to Fight in Syria: ‘I Am Wearing My Martyrdom Shroud’
(CNSNews.com) – In its efforts to prop up its ally in Damascus, the Iranian regime has deployed its own military advisers, Islamic Revolutionary Guard Corps (IRGC) units and Shi’a fighters from Lebanon, Iraq and Afghanistan – and now it appears to be recruiting its own children.
A promotional musical video aired on state television this week encourages children to join the fight in Syria – ready to become martyrs in the process – with Jerusalem as the ultimate goal.
The exiled opposition group National Council of Resistance of Iran (NCRI), which made available translated excerpts of the clip, said the initiative is reminiscent of Iran’s use of children in the 1980-88 war against Iraq.
NCRI says the video was produced by the propaganda arm of the regime’s paramilitary Basij, who members are typically young volunteers. Affiliated to the IRGC, the Basij is notorious for its role in rights abuses, including the violent crackdown following the disputed presidential election in 2009.
In the clip, children are heard to sing, in part: “On my leader’s orders I am ready to give my life. The goal is not just to free Iraq and Syria. My path is through the sacred shrine, but my goal is to reach Jerusalem.”
“I don’t regret parting from my country; In this just path I am wearing my martyrdom shroud … From Mashhad, I will walk on foot to Damascus. I am like the bird who flocks to the sacred shrine.”
NCRI says “leader” refers to supreme leader Ayatollah Ali Khamenei, and the “sacred shrine” to revered Shi’ite sites in Syria. Mashhad is a city in north-eastern Iran.
“This promotional clip manifests the anti-human nature of the regime which seeks to even mobilize the children of its own loyalists as cannon fodder,” Shahin Gobadi of the NCRI foreign affairs committee said in an email late Thursday.
“But politically, it vividly points to Tehran’s strategic deadlock in Syria, that subsequent to dispatching Revolutionary Guards, foreign mercenaries, and even regular army, it has to resort to this kind of tactics. It is really telling.”
Among forces fighting in support of Syrian President Bashar al-Assad in the sectarian-fueled civil war are Iran’s Lebanese proxy Hezbollah, Iranian-backed Iraqi Shi’ite militia, and Afghan Shi’ites – including allegedly undocumented Afghans in Iran, forced to fight to avoid deportation or imprisonment.
The regime-affiliated Mehr News Agency reported early this month that at least 30 Basij members from one university had reportedly been killed in fighting in Syria and Iraq.
Gobadi said the “disgraceful and inhumane” attempt to entice children to join the war would not help the regime get out of the “deadlock” he said it faces – “just as it failed to do so during the Iran-Iraq war.”
“Using children in political propaganda is outrageous,” Mahmood Amiry-Moghaddam, founder of Iran Human Rights – a group of Iranian activists living outside the country – said early Friday.
“What we see here, is a clear and serious violation of the rights of the child,” he said. “It reminds me of the 1980s when the Iranian authorities used to send children to the war against Iraq. Some of these children were used to clean the minefields.”
Amiry-Moghaddam said the child recruiting drive may also indicate that the regime given up on recruiting adults to fight in Syria.
During the costly war against Saddam Hussein’s Iraq, tens of thousands of Iranian school children, drafted into the Basij, were deployed to the front where, according to published accounts they were used among other things to clear minefields with their bodies.
Iran’s total casualty figures in the war vary widely, from around 155,000 to 750,000, according to Charles Kurzman, professor of sociology at the University of North Carolina at Chapel Hill. According to Basij, almost one-third of Iranian fatalities during the war were aged 15-19, and about three percent were younger than 14.
According to the Convention of the Rights of the Child, “States Parties shall take all feasible measures to ensure that persons who have not attained the age of fifteen years do not take a direct part in hostilities” and “States Parties shall refrain from recruiting any person who has not attained the age of fifteen years into their armed forces.”
Iran signed the convention in 1991, and in 2010 signed the Optional Protocol to the Convention on the Rights of the Child on the involvement of children in armed conflict
The Rome Statute of the International Criminal Court, to which Iran is not a party, declares the conscripting of children under 15 years or their use in armed conflict to be a war crime.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Jeu 12 Mai 2016 - 7:45
http://www.lorientlejour.com/article/985502/syrie-un-soldat-russe-tue-dans-la-province-de-homs.html a écrit:
Syrie: un soldat russe tué dans la province de Homs
Un soldat russe est mort en Syrie, victime de tirs de rebelles dans la province de Homs il y a deux jours, a indiqué mercredi l'armée aux agences russes.
Le soldat, identifié comme Anton Eryguine, "avait été grièvement blessé par des tirs de rebelles alors qu'il escortait des véhicules du centre de coordination russe qui fait l'intermédiaire entre les factions opposées", a expliqué un représentant de la base aérienne russe de Hmeimim, dans l'ouest de la Syrie.
Le soldat, qui sera décoré à titre posthume, est décédé malgré les efforts déployés pendant deux jours par les médecins à l'hôpital militaire où il a été transporté, selon l'armée.
Ce décès survient après que le corps d'un officier des forces spéciales russes tué fin mars en Syrie près de Palmyre eut été rapatrié en Russie le 5 mai au cours d'une cérémonie militaire solennelle.
Moscou a annoncé mardi avoir fourni du pain à Homs et étendu le cessez-le-feu à une nouvelle zone de la région.
Les forces du régime de Damas et les rebelles ont déjà accepté à deux reprise une prolongation du cessez-le-feu à Alep, la grande ville du nord du pays. La trêve, instaurée à l'initiative des Etats-Unis et de la Russie, a été prolongée lundi de 48 heures jusqu'à mercredi minuit (21h00 GMT). Le cessez-le-feu à Alep avait été brisé par de violents combats fin avril.
Le conflit, qui a déjà fait plus de 270.000 morts en cinq ans, sera au centre d'une nouvelle réunion le 17 mai à Vienne du Groupe international de soutien à la Syrie (GISS), co-présidé par la Russie et les Etats-Unis, qui se sont engagés à "redoubler d'efforts" pour aboutir à un règlement politique.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Jeu 12 Mai 2016 - 8:19
La brigade Al-Safwa Al-Islamiya cible un blindé de l'EI avec un TOW dans rif du Nord d'Alep .
Au sujet de Jabat-Islamiya dans la défence du Sud d'Alep .
Encore plus de rapatriement en Iran de corps de soldats Iraniens tuer en Syrie .
Les Russes sont très agacer de la façon dont les Iraniens gèrent les combats face aux rebelles ,il est fort probable que l'armée de terre Russe envoie ces propres fantassins sur le front rebelle ,cela explique la volonté des russes aux U.N d'incorporer les deux principaux groupes rebelles (Jaysh Al-Islam & Ahrar Al-Sham ) dans la liste des organisations terroriste ......ils préparent le terrains ....
Et si c'est le cas ,ce qui est fort probable ,on rentrera dans une nouvelle étape de cette guerre ,ou des russes affronterons directement les révolutionnaires dans ce conflit ,
C'est le dilemme qui c'est imposé à eux vue que l'armée assadiste est à bout de souffle est c'est cotonner dans un rôle de défense de ce qu'ils considère comme étant le "pays utile".....et des milices chiites sous commandement iranienne laminer dans les combats .......A SUIVRE ....
jf16 General de Division
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Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 13 Mai 2016 - 14:57
Citation :
Le Hezbollah annonce la mort de son chef militaire en Syrie
Posté dans Moyen-Orient par Laurent Lagneau Le 13-05-2016
Comme son prédécesseur, Imad Moughniyé (qui était son beau-frère), Mustafa Badreddine (ou Badr al-Din), le chef militaire du Hezbollah, a été tué à Damas dans des circonstances qui restent encore à éclaircir. L’annonce de son décès a été officiellement faite par la milice chiite libanaise, laquelle est fortement engagée dans les combats en Syrie, aux côtés des forces du régime de Bachar el-Assad.
« Selon les informations préliminaires, une grande explosion a visé l’un de nos postes près de l’aéroport international de Damas, tuant le frère commandant Mustafa Badreddine et blessant d’autres personnes », a ainsi affirmé le Hezbollah, via un communiqué diffusé le 12 mai.
« Nous allons poursuivre l’enquête pour déterminer la nature et les causes de l’explosion et savoir si elle est due à un bombardement aérien, à un missile ou à un tir d’artillerie », ajoute la milice libanaise, sans toutefois préciser la date de cet événement.
Évidemment, les regards se tournent vers Israël, suspecté d’avoir été à l’origine de l’assassinat d’Imad Moughniyé en février 2008 et de la frappe aérienne qui fut fatale, en décembre 2015, à Samir Kantar, un responsable du Hezbollah pour la région du Golan.
En règle générale, l’État hébreu ne fait jamais de commentaires sur les opérations qu’il mène contre la milice libanaise. Au plus a-t-il admis, le 11 avril dernier, par la voix de son Premier ministre, Benjamin Netanyahu, avoir frappé en Syrie des convois d’armes destinés au Hezbollah, qu’il considère comme étant une menace prioritaire.
Né en 1961 à Beyrouth, Mustafa Badreddine était connu pour avoir été condamné à mort au Koweït en raison de son rôle présumé ans des attentats commis en 1983. À la faveur de l’invasion de l’émirat par les troupes de Saddam Hussein, en août 1990, il avait réussi à s’échapper de la prison où il était détenu et se rendre en Iran.
Par la suite, Badreddine fut accusé d’avoir été le « cerveau » du meurtre de Rafic Hariri, l’ex-Premier ministre libanais, tué à Beyrouth en 2005. Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), créé à la suite de cette affaire, avait d’ailleurs délivré un mandat d’arrêt contre lui ainsi que contre 4 autres membres de la milice chiite.
Selon le Trésor américain, qui avait pris des sanctions à son endroit, Badreddine s’était rendu en septembre 2011 à Damas, en compagnie de Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, pour mettre en place une « coordination stratégique » avec Bachar el-Assad, alors que la Syrie venait de plonger dans la guerre civile.
Depuis 2012, indique le Trésor américain, « Badreddine coordonnait les activités militaires du Hezbollah en Syrie ».Un an plus tard, il aurait supervisé, à ce titre, une offensive contre la ville de Qousseir, frontalière avec le Liban, afin d’en chasser les rebelles syriens.
A partir du mois de juillet, la Belgique participera à la coalition internationale contre l'Etat islamique en Syrie. Six avions de combat F-16 seront envoyés en opération pour bombarder le groupe terroriste. C'est ce qu'a annoncé ce matin le ministre de la défense Steven Vandeput (N-VA). Jusqu'ici, notre pays ne ciblait que des positions de Daech en Irak, à partir d'une base aérienne en Jordanie.
La Belgique passe à la vitesse supérieure dans sa lutte contre Daech. Le gouvernement a décidé de mobiliser, à partir de fin juillet, six F-16 pour bombarder les sanctuaires du groupe terroriste.
Notre pays prend le relais des chasseurs néerlandais pour une période de 12 mois. Cette décision aurait été prise entre autres à la suite des attentats du 22 mars à Bruxelles. "Pour éradiquer Daech, il faut traiter le mal à la racine", estime le ministre de la Défense.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 13 Mai 2016 - 17:08
jf16 a écrit:
Citation :
Le Hezbollah annonce la mort de son chef militaire en Syrie
Posté dans Moyen-Orient par Laurent Lagneau Le 13-05-2016
Comme son prédécesseur, Imad Moughniyé (qui était son beau-frère), Mustafa Badreddine (ou Badr al-Din), le chef militaire du Hezbollah, a été tué à Damas dans des circonstances qui restent encore à éclaircir. L’annonce de son décès a été officiellement faite par la milice chiite libanaise, laquelle est fortement engagée dans les combats en Syrie, aux côtés des forces du régime de Bachar el-Assad.
« Selon les informations préliminaires, une grande explosion a visé l’un de nos postes près de l’aéroport international de Damas, tuant le frère commandant Mustafa Badreddine et blessant d’autres personnes », a ainsi affirmé le Hezbollah, via un communiqué diffusé le 12 mai.
« Nous allons poursuivre l’enquête pour déterminer la nature et les causes de l’explosion et savoir si elle est due à un bombardement aérien, à un missile ou à un tir d’artillerie », ajoute la milice libanaise, sans toutefois préciser la date de cet événement.
Évidemment, les regards se tournent vers Israël, suspecté d’avoir été à l’origine de l’assassinat d’Imad Moughniyé en février 2008 et de la frappe aérienne qui fut fatale, en décembre 2015, à Samir Kantar, un responsable du Hezbollah pour la région du Golan.
En règle générale, l’État hébreu ne fait jamais de commentaires sur les opérations qu’il mène contre la milice libanaise. Au plus a-t-il admis, le 11 avril dernier, par la voix de son Premier ministre, Benjamin Netanyahu, avoir frappé en Syrie des convois d’armes destinés au Hezbollah, qu’il considère comme étant une menace prioritaire.
Né en 1961 à Beyrouth, Mustafa Badreddine était connu pour avoir été condamné à mort au Koweït en raison de son rôle présumé ans des attentats commis en 1983. À la faveur de l’invasion de l’émirat par les troupes de Saddam Hussein, en août 1990, il avait réussi à s’échapper de la prison où il était détenu et se rendre en Iran.
Par la suite, Badreddine fut accusé d’avoir été le « cerveau » du meurtre de Rafic Hariri, l’ex-Premier ministre libanais, tué à Beyrouth en 2005. Le Tribunal spécial pour le Liban (TSL), créé à la suite de cette affaire, avait d’ailleurs délivré un mandat d’arrêt contre lui ainsi que contre 4 autres membres de la milice chiite.
Selon le Trésor américain, qui avait pris des sanctions à son endroit, Badreddine s’était rendu en septembre 2011 à Damas, en compagnie de Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, pour mettre en place une « coordination stratégique » avec Bachar el-Assad, alors que la Syrie venait de plonger dans la guerre civile.
Depuis 2012, indique le Trésor américain, « Badreddine coordonnait les activités militaires du Hezbollah en Syrie ».Un an plus tard, il aurait supervisé, à ce titre, une offensive contre la ville de Qousseir, frontalière avec le Liban, afin d’en chasser les rebelles syriens.
Il est un haut responsable du hezb et surtout un des accusés dans l'affaire Hariri il est raporter qu'il a été tué par un raid aérien israélien à Damas (com de ses partisans) ,certains avancent qu'il a été tué en réalité dans des combats contre les rebelles à Khan-Tuman région Sud d'Alep (et c'est plus crédible),pour Israel il était le successeur de Mughniyeh et l'actuel responsable des opérations militaires de l'organisation ,
Il était le responsable des Services du Renseignement intérieurs du Hezb et le plus puissant de l'organisation après Nasrallat ,Il était aussi le beau-frère de Imad Mughniyeh un des fondateurs historiques de l'organisation tué également par Israël .
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 13 Mai 2016 - 17:23
Six chefs militaires de JN tués par un bombardement de la Coalition sur l'aéroport militaire d'Abu Dhuhur à Idlib ,Abu Dhuhur est la base de lancement des opérations militaires de JN pour tout le Rif sud d'Alep et notamment pour la défense de Khan-Tuman .
http://www.lorientlejour.com/article/985711/au-moins-16-jihadistes-tues-dans-des-frappes-aeriennes-dans-le-nord-de-la-syrie.html a écrit:
Au moins 16 jihadistes tués dans des frappes aériennes dans le nord de la Syrie
Au moins 16 jihadistes, dont un haut responsable du Front al-Nosra, la branche syrienne d'el-Qaëda, ont été tués jeudi dans des frappes aériennes dans le nord-ouest de la Syrie, a indiqué l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
L'ONG a fait état de plus de 60 raids aériens visant l'aéroport militaire de Abou Douhour, dans la province d'Idleb.
L'OSDH n'était pas en mesure de dire s'il s'agissait de raids de l'armée syrienne, l'aviation russe ou celle de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis qui combat les jihadistes.
Le Front al-Nosra et des factions islamistes s'étaient emparés le 9 septembre de l'aéroport militaire d'Abou Douhour.
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Ven 13 Mai 2016 - 17:39
Offensives de l'EI a l'Est de Homs du 1er au 12 Mai .
Citation :
On May 1st, Islamic State (IS) seized several Loyalist (SAA) checkpoints as well as Huwaysis village East of Jubb al Jarrah On May 1st, clashes erupted between pro loyalist militias and IS in al-Shaer field area. On May 4, IS launched a wide scale attack on Shaer gas field and captured it, as well as military equipments On May 6 evening, SAA attempted to regain control of Mahr field which had been partially occupied by IS On May 7, they attacked again IS position in Mahr field On May 9, the loyalists were reported in full control of Mahr field On May 10, IS launched an offensive on Tiyas airbase. they took control of the batallion “almahjawrati” NW of the base, reportedly killing 20 loyalists On May 11, violent clashes were reported in Al Shaer vicinity and loyalists took in control of the Uqayribat junction and of points surrounding Al Mahr fields
Situation militaire dans la zone .
l'EI publie des images de butin capturé près de Huwwaysis dans la campagne orientale Homs .
L'EI revendique via Amaq la destruction d'un canon de 23mm près du champs de Jazal à l'est d'Homs et à l'ouest de Palmyre ,fidèle à sa stratégie, l'EI multiplie les points de pression sur le régime syrien, il a pilonné la zone auparavant avec de l'artillerie .
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Sam 14 Mai 2016 - 7:25
http://www.lorientlejour.com/article/985868/naim-kassem-nous-annoncerons-les-details-de-lexplosion-qui-a-tue-badreddine-dans-les-prochaines-heures.html a écrit:
Naïm Kassem : Nous annoncerons les détails de l'explosion qui a tué Badreddine dans les prochaines heures
Le secrétaire général adjoint du Hezbollah, le cheikh Naïm Kassem, a affirmé vendredi que le parti chiite annoncera "dans les prochaines heures les détails de l'explosion" dans laquelle a péri son commandant militaire, Moustapha Badreddine
"Dans quelques heures, et au plus tard demain matin, nous annoncerons les détails de l'explosion et nous désignerons la partie responsable", a déclaré le cheikh Kassem. "Nous continuerons à combattre Israël et la tafkiristes, a-t-il assuré. Pour nous il n'y a qu'un seul ennemi, il s'agit d'Israël et ses alliés".
Le dignitaire chiite s'exprimait depuis la banlieue-sud de Beyrouth, lors des funérailles de Moustapha Badreddine, dont la mort à Damas a été annoncée vendredi par le parti chiite.
Dans un communiqué, le Hezbollah a précisé que Badreddine a péri dans une "grande explosion" près de l'aéroport de Damas. "Les informations recueillies au cours de l'enquête préliminaire révèlent qu'une grande explosion a visé l'un de nos postes près de l'aéroport international de Damas, tuant le frère commandant Moustapha Badreddine et blessant d'autres personnes", a indiqué le parti qui combat les rebelles en Syrie aux côtés des troupes du président Bachar el-Assad.
http://www.lorientlejour.com/article/985983/lelimination-de-moustapha-badreddine-un-episode-de-la-guerre-de-lombre-regionale.html a écrit:
L’élimination de Moustapha Badreddine, un épisode de la guerre de l’ombre régionale
Qui a tué Moustapha Badreddine, le chef des opérations secrètes du Hezbollah en Syrie ? En l'absence hier d'accusations directes lancées par le Hezbollah, les hypothèses les plus diverses ont circulé à ce sujet. Le secret qui a entouré cet attentat, perpétré de nuit selon certaines sources, cadre bien avec ce que l'on imagine être la guerre de l'ombre dans une Syrie livrée à l'anarchie. Pour certains, l'assassinat est signé Israël. Un fait, à cet égard, est troublant. C'est un média israélien qui, mardi, avait annoncé qu'Israël avait lancé un raid aérien contre un convoi du Hezbollah, information démentie sur l'heure par ce parti... mais qui se produit deux nuits plus tard. Au chapitre des réactions, l'agence Reuters a signalé que, selon un ancien responsable israélien, le Premier ministre Netanyahu « s'est réjoui » de l'élimination de Badreddine. Certains ont vu là une « signature » indirecte de l'attentat.
« Justice est faite », a-t-on pu lire hier sur les réseaux sociaux, au sujet de cette mort violente. Héros pour le Hezbollah, Moustapha Badreddine est en effet considéré par d'autres comme le « cerveau » de l'attentat terroriste qui a coûté la vie à Rafic Hariri, en février 2005. Le Tribunal spécial pour le Liban le soupçonne en particulier d'être l'un des utilisateurs des 8 téléphones mobiles, tous achetés à Tripoli le jour même, qui ont servi aux exécutants de l'attentat, et qui n'ont plus jamais été utilisés après l'explosion des 1 800 kilos de TNT qui ont pulvérisé le convoi de l'ancien Premier ministre.
À juste titre, le TSL a refusé hier de commenter cette mort, mais il est probable qu'il voudra obtenir la preuve biologique que l'homme éliminé était bien Moustapha Badreddine, avant de suspendre les poursuites engagées contre lui et/ou le paiement des honoraires de l'avocat chargé de le défendre d'office.
(Reportage : Obsèques à Ghobeyri : au milieu des tirs nourris, une colère contenue)
Pour Waddah Charara, auteur de L'État Hezbollah, « le parti chiite est très gêné. Accuser Israël d'avoir mené une opération aérienne, c'est mettre en doute l'efficacité de la Russie à protéger l'espace aérien syrien ». En outre, « il ne faut pas exclure que cet assassinat soit le résultat de tiraillements entre le régime, la Russie et l'Iran », a-t-il déclaré à l'AFP. « Cependant, l'assassinat s'est passé dans la banlieue de Damas, près de la zone de l'aéroport, tenue par le régime. Il y a donc eu un travail de renseignement opéré en amont, qui peut par ailleurs associer plusieurs parties syriennes et régionales », souligne-t-il.
Ce flottement a conduit certains commentateurs du 14 Mars à affirmer qu'avec la mort de Moustapha Badreddine, c'est peut-être un nouveau « témoin gênant » dans l'assassinat de Rafic Hariri qui est éliminé, après ceux qui l'ont été en Syrie.
Le « numéro deux » du Hezbollah, Naïm Kassem, a indiqué qu'au plus tard ce matin les résultats de l'enquête seraient annoncés. Les heures qui viennent diront s'il pourra tenir parole.
(Repère : L'implication du Hezbollah dans le conflit syrien)
Le système bancaire L'assassinat de Moustapha Badreddine ne doit pas occulter l'attaque lancée par le Hezbollah contre la Banque du Liban, jeudi. Une attaque « milicienne » dans laquelle la BDL a été accusée d'avoir franchi les lignes rouges et atteint « les lignes noires », couleur épouvantail des chemises portées par les partisans de ce parti, et dont la seule évocation doit, dans l'esprit du Hezbollah, faire naître des sentiments de terreur chez l'adversaire. Attaque politique aussi, dont le but serait de désavouer à l'avance l'un des outsiders de la course à la présidence.
Il ne faut pas oublier, aussi, que ces attaques interviennent à la veille de l'arrivée au Liban de Daniel Glaser, secrétaire adjoint au Trésor américain chargé de vérifier que les lois visant à renforcer la lutte contre le blanchiment d'argent et les procédures de financement du terrorisme sont appliquées.
Ces attaques ont été très mal prises par quelques personnalités politiques, notamment par Samir Geagea, qui y ont vu une tentative de provoquer une faillite bancaire dans le prolongement de la faillite institutionnelle déjà accomplie.
C'est dans ce climat politique plutôt sombre, et surtout ambigu, que le président français François Hollande a fait parvenir, à une dizaine de jours de la visite que doit effectuer au Liban son ministre des Affaires étrangères (25 mai), un message au patriarche maronite, dans lequel il se dit « gagné » au modèle libanais et croit pouvoir s'engager à mettre à profit les relations internationales de la France pour une sortie de la crise présidentielle. Rêvons !
Et demain, votons.
Qui était Moustapha Badreddine, commandant du Hezbollah tué en Syrie
http://www.lorientlejour.com/article/985980/obseques-a-ghobeyri-au-milieu-des-tirs-nourris-une-colere-contenue.html a écrit:
Obsèques de Badreddine : au milieu des tirs nourris, une colère contenue
Ils devaient être plus de dix mille partisans du Hezbollah à s'être rendus hier aux obsèques du commandant militaire du parti en Syrie, Moustapha Badreddine, dont le parti a annoncé hier matin qu'il avait été tué dans une explosion près de l'aéroport de Damas.
Beau-frère de Imad Moghnié, chef militaire du Hezbollah tué en 2008, Badreddine était l'objet d'un mandat d'arrêt du Tribunal spécial pour le Liban sous le chef de planification de l'attentat qui avait coûté la vie à l'ancien Premier ministre Rafic Hariri. Il a été inhumé vers 18h au cimetière de Rawda à Ghobeyri (banlieue sud), dans une atmosphère lourde et morose de deuil et de recueillement, rompue ponctuellement par des tirs nourris d'armes automatiques et des slogans scandés. Dans la rue menant à la salle Zeinab où s'est déroulée la cérémonie funèbre, des centaines de motos sont parquées. Des barricades en fer viennent d'être démantelées et le flux des participants au convoi funèbre avance comme un seul homme vers le cimetière. Le poing levé, jeunes et moins jeunes expriment leur allégeance au secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, et célèbrent en se frappant la poitrine la mémoire de Zeinab, fille du prophète Mohammad.
Dans un silence religieux, la sonnerie aux morts retentit, aussitôt suivie de l'hymne national et de l'hymne du parti chiite. Puis les partisans, majoritairement habillés de chemises noires, récitent dans la ferveur des prières, qu'ils alternent avec des cris hostiles à Israël et à l'Amérique. Les balcons qui surplombent la foule ne sont pas bondés. Un jeune homme, à qui l'on en demande la raison, explique : « Les appartements se sont vidés parce que chaque habitant est aujourd'hui en deuil et veut descendre dans la rue pour marcher dans le cortège funèbre et accompagner notre martyr jusqu'à sa dernière demeure. »
(Repère : L'implication du Hezbollah dans le conflit syrien)
« Un message-séisme » Arrivé à destination, le cercueil, entouré des bannières jaunes du Hezbollah, est salué par des salves de tirs qui, sans susciter le moindre effroi, même auprès des enfants présents, se déchaînent dans un vacarme infernal et de manière ininterrompue. Pour pouvoir entendre le témoignage de Samar Hajj, épouse de l'ancien chef des Forces de sécurité, Ali Hajj, accusé de complicité dans l'assassinat de l'ancien Premier ministre Rafic Hariri, il faut tendre l'oreille. Décrivant l'assassinat de Moustapha Badreddine comme « un message-séisme qui cherche à nuire et à ébranler (notre) foi », elle assure que « les auteurs de cette lâche missive vont à leur faillite, et comme un chat coincé dans une cage, ils ignorent qu'ils griffent en vain, puisque la Résistance n'a jamais compté sur une seule personne ». « Le coup a été très dur, il nous a cassés, reconnaît-elle, mais ne nous a pas tués. » Et le jeune femme de conclure : « Sachant, comme le dit si bien le proverbe, qu'un coup qui ne tue pas rend plus fort, nous savons que nous allons vers la victoire. »
Dans la foule, de nombreuses jeunes femmes voilées et tout de noir vêtues déclinent les questions que tente de leur adresser L'Orient-Le Jour. « Nous ne désirons pas nous exprimer », chuchotent-elles poliment. Une femme d'une cinquantaine d'années, Leila, veut, elle, manifester sa fierté à l'égard de « ces jeunes martyrs qui n'auront pas versé leur sang vainement puisque la victoire est pour bientôt ». Face à eux, qui seront les perdants ? « Les Israéliens et les takfiristes », clame Leila, assurant que « si les soldats du Hezbollah n'étaient pas partis combattre en Syrie, les terroristes de Daech (groupe État islamique) seraient déjà là, au Liban ». Comme pour corroborer ses dires, un homme d'un certain âge élève fièrement à côté d'elle un calicot sur lequel est inscrit que « grâce aux grands sacrifices qu'elle offre, la Résistance sera toujours la protectrice de l'arabité et de l'unité de la Oumma ».
(Lire aussi : L'élimination de Badreddine, un épisode de la guerre de l'ombre régionale)
Ali, trois lettres du nom d'Aline Aline Hamdane veut bien aussi faire part de ce qu'elle ressent face à l'assassinat de Badreddine. « Nous sommes habitués à l'idée de donner notre sang pour la liberté, et nous continuerons à offrir des martyrs », affirme-t-elle, se disant même prête à faire partie de ces derniers. En réponse à la question de savoir pourquoi elle porte le nom d'Aline, la jeune femme de 20 ans explique que c'est son père qui l'a ainsi baptisée, « parce que les trois premières lettres sont celles de Ali (le gendre du Prophète) ».
Un peu plus loin, Ali Hedroj, cheveux gris, se tient debout devant les portes d'une épicerie. Il se déclare fier de « ces combattants courageux qui s'offrent en sacrifice pour une cause noble », qualifiant le Hezbollah de « résistance au sein de laquelle les commandants tombent en martyrs avant les soldats ». Un jeune papa au regard bleu limpide est accompagné de son fils de quatre ans, qu'il a habillé en tenue militaire. « Lorsqu'on veut libérer sa terre, il n'est jamais trop tôt pour apprendre que la liberté ne se prend que dans le sang », lâche-t-il en regardant son jeune enfant au milieu de la foule et alors que les tirs retentissent. Ce qui n'empêche pas Abou Ali, un autre militant, de relever que « sayyed Hassan (Nasrallah) a déjà mis en garde à plusieurs reprises contre l'utilisation des armes lors d'événements commémoratifs ». Dans le tapage assourdissant, il s'interroge : « N'aurait-il pas mieux valu que ce soit plutôt le front de guerre qui bénéficie de ces balles tirées par milliers en l'air ? » Ali Younès, 14 ans, qui passait par là, s'invite dans la conversation, pour affirmer que lui aussi est prêt à « partir dès maintenant au front s'il le faut ».
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Dim 15 Mai 2016 - 0:19
l'EI avance lentement dans le centre de Deir Ez-Zor, où l'enclave du régime est de plus en plus menacée ,l'EI est proche de diviser la ville en 3 poches ,l'aéroport ,la base de la 137e armée et l'Ouest de la ville .
Encore loin de prendre la ville l'EI revendique la prise de la fac de Lettres et d'une partie de l'Université .
La contre offensive de l'EI dans la région de Palmyre occupe les forces du régime ne pouvant se concentrer sur deux fronts à la fois ,Le régime syrien ne pourra mobiliser des troupes pour libérer l'enclave de Deir Ez-Zor si l'EI reprend pied aux environs de Palmyre se qui a l'air d'etre le cas .
On vous avait dit que Khan Touman était devenu le Khan Latman (jeu de mots) ,Mostafa Badruddin a été le premier à s'enfuir de la bataille, il a laissé ses soldats et s'est enfui ,Le centre (de commandement) du Hezbollat éloigné de la bataille de Khan Touman a été exposé à des bombardements et des messages cryptés ont été envoyés au siège du Heezbolat à Dahaya (banlieue sud de Beyrouth) en disant qu'ils étaient exposés à des bombardements (de sources) inconnus et qu'il y avait plusieurs morts et blessés ,après cela, une heure après, un autre message crypté est arrivé au siège du Heezbollat au Liban disant que durant le transport des blessés, ils avaient été confronté à plusieurs embuscades, et qu'il y avait eu plusieurs plusieurs morts et des véhicules incendiés.
c'est comme cela qu'est mort Mostafa Badruddine ,dans les combats à Khan Tuman.....en fuyant.... Et bien sûr le Hezbollat a préféré...communiqué sur un scénario holywoodien (tué par l'entité sioniste),à l'image du fils du numéro 1 Hassan Nasrallat ..... alors que son rejeton était mort d'une overdose dans une discothèque de la banlieue de Beyrouth ,ils ont n'ont fait un mythe pendant des années fessant croire qu'il a était tuer dans les combats contre Tsahal .......bande de clochard .....
Invité Invité
Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial - Dim 15 Mai 2016 - 6:39
je voudrais te remercier vinseeld pour l'effort que tu fais tous les jours à fin de nous informer sur l'actualité au moyen orient et en Libye avec des détailles précis (images,graphiques, cartes etc) qui nous permettent de suivre et comprendre l’évolution de la situation sur place.
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Sujet: Re: Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial -
Guerre Civile en Syrie ( LISEZ LE PREMIER POST ! ) - Statut spécial -