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| Actualités nationales | |
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Auteur | Message |
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pyromane Colonel-Major
messages : 2367 Inscrit le : 22/06/2011 Localisation : Ailleurs Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Actualités nationales Mer 28 Juin 2017 - 0:58 | |
| Rappel du premier message : - bens.othman a écrit:
- ...une wajdiya m'expliquait qu'elle trouvait stupide d'enseigner l'Amazigh a Oujda ou il n'y a pas d'Amazigh, et qu'elle pourrait même pas aider sa fille à faire ses devoir...
Avec cette logique et vu le niveau d'instruction de la population au Maroc on n'enseignerait plus rien dans ce pays. _________________ | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 9:31 | |
| c'est bien dit @mourad27 mais pourquoi s.arreter en si bon chemin? La premiere ligne du budget de l'etat n'est soumise a aucune critique de personne: - SM Le roi: 543,456,000DH... Pour faire quoi? cela inclu quelles depenses? personne ne sait Puis il y a la deuxieme ligne: - La Cour Royale: 2,123,404,000.00 DH Pour qui? Qu'y a-t-il d'inclus dans ce budget. Qui sont les individus qui font partie de cette cour royale qui absorbe un budget plus eleve que la somme des budgets des deux chambres et du premier ministre (tous trois elus par le peuple).
Critiquons cela d'abord.
Pour revenir aux pilotes, la campagne fait partie des negociations, Il ne fait aucun doute que les pilotes de la RAM ont des avantages que n'ont pas leurs collegues de nombreuses compagnies dans le monde, @DocLeo, la difference avec la medecins est que nos pilotes sont competents et ne demandent pas aux passager de les payer au noir pour faire decoller l'avion.... ou encore pire, de payer un extra [toujour au noir) sinon ils ne feront pas atterrir l'avion... Tes chers medecins le font.
Le crime originel a ete la fermeture par la RAM de l'Ecole Nationale des Pilotes de Ligne. Aujourd'hui on en paye le prix |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 10:43 | |
| @AT je pense que c est toi qui est incompétent a sidi dans ta phrase tu mélanges deux choses l incompétence et le fait de demander un extra. Je sais pas si c est l effet d un toucher rectal pour des angines choses qui est scientifiquement défendable ou le fait qu'on t a demandé des extra chose qui est économiquement défendable puisque le référentiel n est pas mise à jour plus de 10 ans.
Il faut arrêter d être idiot a wald. _________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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| | | ScorpionDuDesert Aspirant
messages : 530 Inscrit le : 15/08/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 12:36 | |
| - docleo a écrit:
- ScorpionDuDesert a écrit:
- je n'y crois pas une seconde !
excusez moi mais un pilote de la ram qui toucherait 16 000 $ par mois et qui demande 3000$ d'augmentation par mois ressemble plus à un article du gorafi.
J'espère qu'il y a des pilotes dans le forum pour nous éclairer ! Pilote ATR et cargo 25 000 DH Avion a réacteur Le salaire net d un co pilote est de 45 000 DU pilote un maximum de 80 000 DH Et un instructeur 100 000 DH C'est bien ce que je pensais l'article du desk est plus proche du gorafi qu'à un article de presse ! | |
| | | ScorpionDuDesert Aspirant
messages : 530 Inscrit le : 15/08/2010 Localisation : France Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 12:52 | |
| - alphatango a écrit:
- c'est bien dit @mourad27 mais pourquoi s.arreter en si bon chemin?
@DocLeo, la difference avec la medecins est que nos pilotes sont competents et ne demandent pas aux passager de les payer au noir pour faire decoller l'avion.... ou encore pire, de payer un extra [toujour au noir) sinon ils ne feront pas atterrir l'avion... Tes chers medecins le font.
C'est quoi ce concentré de m**** ? Je suis désolé mais là tu dépasse toutes les limites .. les médecins marocains (ainsi que les pilotes) sont reconnus partout dans le monde ! à la difference que les médecin passe 11 ans d'étude + 8 ans d'affectation obligatoire dans des coins que tu ne connais même pas, payé ... ~9000 DH ... Je suis en colère parce que je connais deux cas, 2 filles qui ont passé ~11 ans d'études + 8 ans d'affectation obligatoire. forcées de se séparer de leurs maris et enfants, forcé de laisser leur appartement, l'une pour aller dans un coin paumé du Sahara et l'autre pour aller dans un village du haut atlas. la première a fait fausse couche en se déplaçant dans le desert ... pour servir la nation marocaine et la deuxième est tombée gravement malade dans son hôpital (en servant la nation marocaine) ... qui était incapable de lui offrir les soins dont elle avait besoin ... Ce qui se passe pour les médecins est alarmant, comment on veut améliorer nos indices de développement si on maltraite nos médecin qui une fois les ~20 ans passé, dégoutés, partent à l'étranger ... quelqu'un a répondu dans le forum en ramenant des médecins africain pourquoi pas des médecins chinois ou indiens tant qu'on y est et le peuple n'a qu'apprendre le wolof et hindi | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 17:31 | |
| - docleo a écrit:
- @AT je pense que c est toi qui est incompétent a sidi dans ta phrase tu mélanges deux choses l incompétence et le fait de demander un extra.
Je sais pas si c est l effet d un toucher rectal pour des angines choses qui est scientifiquement défendable ou le fait qu'on t a demandé des extra chose qui est économiquement défendable puisque le référentiel n est pas mise à jour plus de 10 ans.
Il faut arrêter d être idiot a wald. Ton comportement corporaliste en defense d'un secteur pourri constitués de pourris et de corrompus est ce qui tue notre pays. Lorsqu'un "chirurgien" ment pour inciter un patient à passer au scalpel, le tue (par incompetence), et court chez la famille pour demander son cheque avant de demander aux infirmieres de leur dire que leur pere est mort, cela exige la peine capital ya wald a siba. Lorsqu'on demande du cash avant une operation d'urgence, cela est un crime contre la nation. Lorsque AUCUN docteur du privé ne paye d'impot sur le revenu, cela s'appelle du vol. Alors tu peux defendre une classe de privileggies pourris (dont tu fais partie ne nous cachons pas la face) tant que tu veux mais, je maintiens que les medecins au Maroc sont la lie de la société, ce que le pays a de plus excecrable et de plus méprisable. Les pilotes veulent plus d'argent mais ils ne s'ecrasent pas à chaque vol. Nos medecins ne sont meme pas capable de faire des operations triviales. Les erreurs medicales se comptent par milliers et restent impunies grace au lobbying de l'ordre des medecins (plus une mafia qu'un ordre d'ailleurs). Ce corps de metier fonctionne exclusivement par parrainage comme un organisme mafieux. Voilà la verité que tu cache sous des insultes d'homme inculte et incompétent. |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25545 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 17:40 | |
| On se calme messieurs svp et on se respecte _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 17:51 | |
| J'en ai assez de ce corporalisme morbide. Meme le directeur de la perception le dit. Il y a un probleme avec les medecins. A chaque fois que nous le disons, il y en un (toujours le meme) qui s'agite et lache les insultes.
Alors continuons avec les exemples:
Le radiologiste d'un hopital public qui sabote le materiel de radiologie pour envoyer les patients vers la clinique privée et recevoir sa commission.
Le cardiologiste qui dit au patient (un colonel des FAR) qui a une crise cardiaque que l'operation (un pontage) peut attendre lundi (on est samedi) pour ne pas chambouler son weekend et pour permettre au colonel d'attendre que la banque ouvre... Le colonel est mort dimanche.
Le cardiologue qui fait payer aux patents un ECG sans alumer l'appareil.
Le neurologue qui pousse pour une operation à 100,000dh alors que le patient n'a rien du tout.
J'incite tous ceux qui le peuvent à envoyer leur dossier medical à un medecin en dehors du pays pour verifier que le medecin qu'ils ont au Maroc (quelque soit sa nationalité) ne leur ment pas pour leur soutirer induement de l'argent. |
| | | Socket-error General de Division
messages : 6782 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 18:15 | |
| Je ne vais pas faire l'avocat du diable, mais il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier.
Le corps médical est malade, mais il reste des gens intègrent qui font leur boulot et même plus.
Je connais des médecins amis de la famille qui touchent uniquement leurs salaires et donc il vivent sans extras. Et je connais d'autres qui vivent comme des rois avec des méthodes loin du Serment d'Hippocrate. _________________ لك الله ياوطني
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| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 18:18 | |
| AT, il y a certainement des pratiques honteuses dans ce secteur ... je connais même un cabinet d'audit qui a payé plus 1.5M Dhs d'amendes à cause de pratiques honteuses d'une clinique sur Casa ... même lorsque les particuliers ont eu droit a investir dans le secteur... je remarques des choses honteuses ... mais j'ai pas droit à en parler. Mais parler de failles ou problèmes ne justifie pas la généralisation ... j'ai compris ca en faisant une fois une tournée nocturne dans les services d'urgences de Casablanca ... tu te mets à la place de ce médecin... tu te dis finalement "BAAAAAZ" .. Docleo est un honorable médecin et il est dans son droit de défendre ce métier ... Par contre, tu te bases sur des histoires de particuliers... cas isolés... notamment lorsque tu parles de nos médecins des hôpitaux militaires... je pense qu'il faut se méfier de ces histoires ... notre pauvre citoyen marocain adores se passer pour le victime souffrant dont personne ne se soucie pour lui ... _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 18:43 | |
| alpha sa existe chez les médecins, les policiers, les ministres, les douaniers, les militaires, les gendarmes, les commerçants, les élus, les fonctionnaires, le transport ....
c est plus un problème de société qu'un problème spécifique à métiers.
il ne faut pas tout mettre dans le même panier, ne serait que pour ceux qui font correctement leur boulot et il y en à (peu être peu nombreux mais il y en à)
il ne faut pas non plus s offusquer quand certaine pratiques qui existent malheureusement son évoquées,
Dernière édition par Alloudi le Dim 11 Fév 2018 - 19:15, édité 1 fois |
| | | Fahed64 Administrateur
messages : 25545 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 18:56 | |
| Ici au Québec lez médecin sont une véritable mafia... Des cas similaires à ce qui se passe Maroc sont pléthore !
Je rejoins PGM c'est un problème de société du rapport à l'argent ! Après on peut y rajouter une couche de religieux/ moral etc... Mais je m'empêcherai de mettez tout le monde dans le même sac car ceux qui sont honnête et intégre souffre pour les autres !
Un peu comme la communauté musulmane qui ramasse à cause des échevelé !!!
Au delà de la polémique des salaires des pilotes de la RAM ou de l'intégrité de nos médecin je pense que c'est juste l'arbre qui cache la forêt de ce rapport malsain que la société marocaine a vis à vis de l'argent et du Show Off ! _________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire | |
| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 20:04 | |
| @AT les histoires anecdotiques a weldi ne prouvent rien et ça tout le monde le sait. Comme je te l avais expliqué avant mais en vain peut être à cause d une fixation suite à une mésaventure est le budget alloué à la santé qui presque 3 fois moins que celui recommandé.
Le problème de la corruption comme ils ont dit les amis c est un problème sociétal.
Bref l hypnose ca peut aider tu sais pour te dévoiler ton problème et des séances de psychothérapie te feront du bien. C est un conseil d ami _________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 11 Fév 2018 - 20:21 | |
| Je pense que dans un pays comme le Maroc le secteur doit être complètement libéralisé... les gens bont commencé à parler autrement... _________________ | |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 12 Fév 2018 - 11:08 | |
| Les vacances interminables à l'étranger devraient être inscrites au titre III de la constitution - AFP a écrit:
Maroc : l’inquiétant chômage des jeunes s’inscrit dans la durée
Au Maroc, le chômage touche plus de quatre jeunes urbains sur dix, selon les dernières données officielles. Une problématique au centre des préoccupations sociales qui nourrit frustration et mécontentement populaire.
Sept ans après le Mouvement du 20 février, version marocaine du Printemps arabe, l’avenir de la jeunesse est plus que jamais d’actualité dans le royaume, agité ces derniers mois par des mouvements de protestation menés le plus souvent par des jeunes au chômage.
Selon les données du Haut-commissariat au plan (HCP) publiées au cours de la semaine écoulée, le Maroc a enregistré à la fin de 2017 un taux de chômage de 10,2% contre 9,9% une année auparavant. Surtout, celui-ci touche principalement les jeunes âgés de 15 à 24 ans (26,5%), avec un taux qui culmine à 42,8% en milieu urbain.
Ce chômage des jeunes « n’est pas un phénomène récent, mais il a tendance à devenir structurel avec la déperdition scolaire et la faible diversification du tissu productif national », explique Ahmed Lahlimi, le Haut-commissaire au plan.
« La précarité de l’offre d’emploi n’encourage pas l’investissement des ménages dans l’enseignement de leurs enfants. Cela participe à la déperdition scolaire », ajoute-t-il.
« C’est la faute du gouvernement ! »
Pour l’économiste Larbi Jaidi, ce fort taux de chômage est aussi lié à « la transition démographique » de ce pays de près de 35 millions d’habitants, qui tend « à recomposer la pyramide des âges (…), avec de plus en plus de jeunes arrivant sur le marché du travail ».
L’économie marocaine, bien que portée par une croissance de 4% en 2017 contre 1,2% l’année précédente, « n’a pas créé suffisamment d’emplois par rapport au nombre de jeunes arrivés sur le marché du travail », poursuit l’économiste.
Selon les données du HCP, les diplômés sont, par ailleurs, davantage exposés que les personnes n’ayant suivi aucune formation.
Au tournant de la décennie, les gouvernements ont tenté d’apaiser les tensions sociales avec la promesse d’embauches dans la fonction publique. Et, dans les rues de la capitale Rabat, entre bâtiments administratifs et immeubles Art-déco, les « diplômés chômeurs » continuent, des années plus tard, à réclamer leur « droit » à intégrer cette fonction publique, gage de sécurité de l’emploi.
Diplômés mais souvent peu qualifiés, ils pâtissent des défaillances du système éducatif et de son inadéquation avec le marché du travail.
« Tu fais des études, après tu te retrouves à la rue! « , se lamente Achraf, 25 ans, titulaire d’une licence en gestion. « C’est la faute du gouvernement ! », accuse ce diplômé sans emploi qui dit manifester depuis deux ans « sans résultat ».
Le chômage touche aussi de plein fouet les femmes, avec un taux de 14,7% contre 8,8% chez les hommes. Un écart qui s’explique en partie par la tendance des parents à « favoriser les garçons au détriment des filles », sans compter les discriminations en termes de salaires, décrypte Ahmed Lahlimi.
« Système D »
La presse locale tire régulièrement la sonnette d’alarme sur le chômage des jeunes, qui nourrit « mécontentement et frustration ».
Le roi Mohammed VI a lui-même reconnu dans un discours en octobre que les progrès enregistrés ne profitent pas aux « jeunes, qui représentent plus d’un tiers de la population ». « Parmi eux, nombreux sont ceux qui souffrent de l’exclusion, du chômage », a-t-il déclaré.
Le mois dernier, le Fonds monétaire international (FMI) a de son côté appelé les autorités du royaume à « réduire les niveaux toujours élevés de chômage, notamment chez les jeunes ». Une question à prendre « très au sérieux », a prévenu la Banque mondiale.
In fine, les demandeurs d’emploi, diplômés ou pas, découragés par d’interminables recherches infructueuses, optent souvent pour le « système D ».
« La seule possibilité d’insertion des jeunes, quand ils arrivent à s’insérer, c’est le marché de l’informel, avec une très grande précarité en termes d’emploi et de revenu, ainsi qu’une absence de protection sociale », soutient Larbi Jaidi.
C’est le cas de Mehdi, 28 ans, qui distribue dans le vieux Rabat des prospectus deux demi-journées par semaine, pour une cinquantaine d’euros par mois, tout en déposant ici et là son CV.
« Je n’ai pas de contrat de travail, pas de couverture médicale », souffle ce jeune Marocain qui a suivi une formation en cuisine il y a quelques années, mais qui n’a jamais trouvé d’emploi dans « son domaine ». _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 16 Fév 2018 - 13:12 | |
| - MAP a écrit:
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L’ancien détenu de Guantanamo, Younes Chekkouri, acquitté vendredi, 16 février, 2018 Rabat – La Chambre criminelle près la Cour d’appel de Rabat a prononcé, jeudi, un jugement d’acquittement en faveur de Younes Chekkouri, ancien détenu de Guantanamo.
En mai 2017, la chambre pénale de première instance près la Cour d’appel à Rabat avait condamné Chekkouri à cinq ans de prison ferme pour “constitution d’une bande criminelle et atteinte à la sûreté intérieure de l’État”.
La chambre criminelle de premier degré chargée des affaires du terrorisme, près l’annexe de la Cour d’appel à Salé, avait décidé, en janvier 2017, de transmettre le dossier de Younes Chekkouri à la chambre pénale de première instance près la même Cour, après s’être déclarée incompétente pour statuer sur cette affaire.
Arrêté en décembre 2001 en Afghanistan, pour liens présumés avec Al-Qaeda, Chekkouri a été incarcéré, après sa remise aux autorités marocaines en septembre 2015, au complexe pénitencier de Salé, suite à son audition préliminaire par le juge d’instruction chargé des affaires de terrorisme à Salé.
Après son audition approfondie, le juge d’instruction près la même Cour a ordonné sa poursuite en état de liberté provisoire, en réponse à une requête de sa défense. _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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| | | docleo Modérateur
messages : 2433 Inscrit le : 03/09/2008 Localisation : de garde Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 16 Fév 2018 - 20:02 | |
| Intéressant http://www.ecfr.eu/publications/summary/the_southern_front_line_eu_counter_terrorism_cooperation - Citation :
- MOROCCO: CAPABILITIES AND DEFICIENCIES OF A STRONG STATE
Morocco’s official discourse presents the fight against terrorism as centring on a global, multidimensional strategy spearheaded by strong, coordinated institutions and overseen by the nearly omnipotent figure of King Mohammed VI. Morocco, which used the Arab uprisings as an opportunity to revamp its international image, is increasingly accepted as a model of political stability, economic development, and regional integration in Africa and the Middle East. A central element in this carefully cultivated picture is Morocco’s apparent success in avoiding the wave of terrorism that has afflicted its neighbours, and the role it has assumed as one of Europe’s key security partners in the region. However, Morocco’s approach to counter-terrorism is inseparable from the state’s tight control over its domestic population and its undemocratic and unaccountable political system.
Morocco has benefited from substantial European capacity-building assistance in operations and training, as well as from development funds and initiatives designed to assist the population and, by extension, curb the drivers of extremism. While it has long had particularly close relationships with France and Spain, the Moroccan monarchy has been significantly increasing its level of cooperation with non-traditional European allies such as Germany and the UK. Since April 2016, Morocco has co-chaired the Global Counterterrorism Forum with the Netherlands, and was re-elected for a second term in November 2017.
The Moroccan regime bases its claim to have developed a distinctive, effective approach to counter-terrorism on the lack of attacks in Morocco since 2011 and the number of plots it has thwarted. The media-friendly director of the country’s Central Bureau of Judicial Investigation (BCIJ), Abdelhak Khiame, told the press in October 2017 that Morocco had pre-empted 352 attacks and successfully dismantled 174 terrorist cells since 2002.[41] The BCIJ claims to have dismantled 44 ISIS-linked cells since its creation in 2015.[42]
European officials note that the Moroccan definition of a cell appears to be rather loose: there is little clarity about the degree of organisation needed to constitute a cell, or the activities that lead to charges of planning an attack. According to European diplomats, the Moroccan authorities break up suspected cells at the earliest possible stage – even before members of the cell have developed any meaningful plan of action. Nevertheless, European officials also acknowledge the Moroccan state’s effectiveness in controlling its territory.
The Moroccan surveillance state
Both domestically and abroad, Morocco has a proven track record of expertise in human and signals intelligence. Morocco operates as a tight and effective security state, working through an extensive network of security officials and informants that blankets the nation. The authorities’ advanced territorial mapping of the whole country has been particularly successful in detecting changes in citizens’ habits that may signal their radicalisation.
Around 50,000 mqadmin (auxiliary agents) mandated by the Ministry of Interior are present across all the nation’s urban and rural neighbourhoods, and act as informants who report back on any unusual behaviour by local residents. Nicknamed “the eyes and ears of the state” by the citizenry, the mqadmin have become a crucial element in Morocco’s security apparatus. Yet, the mqadmin’s role and duties are not clearly defined in law. They have an ambiguous status as both official and temporary public servants, a situation that is convenient for the authorities, which avoid accountability by keeping the mqadmin’s role and potential role unregulated. The mqadmin have a reputation for involvement in corruption and human rights abuses. But, as pillars of the state’s intelligence network, they have since 2011 received significant salary increases, as well as official recognition of their work.
European officials have admitted that a number of attacks in Europe might have been prevented had domestic intelligence services been allowed to employ the kind of human intelligence network established in Morocco. Information the Moroccan intelligence services drew from their extensive network of informants among the Moroccan diaspora in Europe was essential to finding the ringleader of the November 2015 attacks in Paris.[43] Operatives from Morocco’s foreign intelligence agency have worked in Europe for several decades through the nation’s consulates. But the prominent role played by members of the Moroccan diaspora in recent attacks in Europe has led to an expansion of Morocco’s counter-terrorism efforts on the continent. Following the Barcelona attacks in 2017, Khiame announced that the BCIJ’s mission would be expanded to surveillance of the Moroccan diaspora in Europe.[44]
Morocco is also expanding its work in signals intelligence with the assistance of its European partners, primarily France, the UK, and Germany. The Moroccan authorities use a variety of pre-emptive digital surveillance techniques to identify and prosecute suspects, such as monitoring phone calls involving individuals on watch lists, and registering suspicious internet searches. In all, the Moroccan authorities are believed to use 19 human and digital platforms to monitor the population, including on the dark web.
According to Moroccan security practitioners, however, the country still lacks expertise in cyber security, an area that the Royal Moroccan Armed Forces oversees.[45] Created in 2011, the General Directorate of Information Systems was initially tasked with responding to emerging cyber threats, but its mission quickly evolved to include “securing and controlling” cyber traffic and web activities.[46] Morocco’s cyber security could be strengthened through the creation of a more centralised system for accessing information and by improved data sharing between agencies and institutions.
In November 2017, Morocco became the first north African country to launch a high-resolution surveillance satellite into orbit. Named after King Mohammed VI and built secretly in France, the satellite’s specifications and full range of capabilities are not publicly known. However, the system is believed to be capable of providing 24-hour monitoring and snapshots of any location in the world.[47]
While it has many potential uses, the satellite seems likely to be primarily used to monitor activity near Morocco’s border with Algeria. Such activity could include a military build-up, Algerian operations in support of the Polisario Front in Western Sahara, and the movement of migrants northwards into Morocco on their way to Europe. Given the ongoing protests in Morocco, it is possible that the satellite will also be used to monitor Moroccan citizens.
The growing threat of terrorism across north Africa – particularly that from foreign fighters returning from conflicts in Syria and Iraq – led the Moroccan state to launch a new counter-terrorist operation in 2014. Named Operation Hadar, the mission involved the deployment of a range of military units and security forces around the country, beginning with the urban centres of Casablanca, Rabat, Marrakech, Fez, Tangier, and Agadir. Having secured these cities, the authorities extended the operation to other regions, including rural areas. The operation was designed to protect Morocco from terrorist infiltration using patrols of airports, train stations, and other transport hubs, as well enhanced border monitoring.
Reportedly involving patrols by security personnel armed with automatic weapons in residential neighbourhoods in Casablanca, Hadar demonstrated Morocco’s security-first approach to counter-terrorism. The country’s international partners have welcomed the operation, but it has not been universally popular at home. Some Moroccans worry that the regime’s hard-line approach will lead to the creation of a police state more focused on widespread surveillance of the population than on protecting those at risk.
Soft power and the religious sphere
An important element of Morocco’s security strategy is state control of the religious sphere. As commander of the faithful, the king retains overall religious authority in the country, enabling the central government to not only retain a measure of religious legitimacy but also to dictate which religious practices and interpretations are deemed acceptable – including those among the religious establishment.
Arguably, Morocco has been far more successful at asserting control over religious life than other states in the Middle East and north Africa, which have attempted to either coerce religious figures into complying with their dictates using threats and authoritarian legal measures, or else tried to co-opt them. Saudi Arabia has until recently taken the latter approach, maintaining the royal family’s religious legitimacy by catering to the country’s ultraconservative clerical establishment. In contrast, the Moroccan monarchy has effectively maintained the king’s authoritative and determinative role as head of the religious establishment.
Morocco has made a substantive attempt to counter radicalisation in implementing an imam training programme, a large-scale initiative involving clerics from Morocco, other African countries, and Europe that aims to curtail the proliferation of extremist thought among the religious establishment and the wider population. So far, more than 900 imams and women preachers from across Africa and Europe have graduated from the Mohammed VI Institute for the Training of Imams, Morchidines, and Morchidates.[48] Morocco launched the institute, along with the Mohammed VI Foundation for African Ulema, in 2015.
An important facet of Morocco’s soft power and foreign policy efforts, these programmes constitute a pillar of the country’s broader African integration strategy. Due to the imam training programme’s success and positive public image, Morocco is now seeking to establish similar partnerships with Italy, Spain, Belgium, the Netherlands, and other European states. Moreover, Morocco has established a religious council for the Moroccan diaspora in Europe, aiming to assist host countries with religious education. Together with intelligence cooperation, Morocco’s religious training initiatives appear to be a form of security diplomacy designed to improve the country’s reach and international standing.
At home, Morocco has adopted a strategy of systematic control of religious guidance and activities, attempting to introduce state-sponsored mechanisms into all religious spaces. The state’s religious messaging takes the form of religious programmes on national television and radio stations, control of school curricula, and a ban on proselytising. However, despite the state’s effective monopoly on the religious sphere, it is difficult to determine whether this messaging has an impact on disenfranchised young Moroccans, many of whom have little trust in the state and its institutions.
Moroccan imam in Fez (Luigi Torreggiani http://bit.ly/2EqKme7)Moroccan imam in Fez (Luigi Torreggiani http://bit.ly/2EqKme7), (CC BY-ND 2.0)
Indeed, counter-radicalisation remains Morocco’s weak point. The fact that the security services have thwarted a high number of terrorist plots reflects their capacity to detect and prevent attacks, but it also indicates the extent to which many young men and women remain susceptible to extremist messaging. In an all too familiar pattern repeated across the world, the government points to the tactical successes of its counter-terrorism operations while downplaying the underlying conditions that necessitate these operations.
The number of Moroccans who have joined foreign-based terrorist groups also testifies to the continuing appeal of jihadist ideology among the population. Among the more than 1,600 Moroccans who have fought with jihadist groups in Syria and Iraq, only a small number are thought to have returned home. While the number of fighters who have been killed remains unclear, many may attempt to join jihadist groups elsewhere as the ISIS “caliphate” crumbles. In this, Morocco appears to have exported its terrorism problem to some extent. While the country’s extradition activities and cooperation with EU nations remains strong, north African and Arab states are hardly eager to see foreign fighters return home from the lawlessness and chaos of war-torn Syria and Iraq – defeated, embittered, and far more isolated and disenfranchised than when they left, but equipped with deadly new skills and connections to networks of extremists elsewhere.
Some civil society groups appear to be making promising efforts to counter radicalisation – but, overall, the strong grip of the Moroccan security state leaves little room for the development of effective multidimensional approaches to counter-terrorism. A disproportionately high number of Moroccans who have joined extremist groups come from cities with large poor neighbourhoods, such as Fez, Casablanca, Salé, and Marrakech, as well as the marginalised areas of Rif and other parts of the north.[49] The state’s repression of communities there appears to be counter-productive, leaving individuals alienated and resistant to the regime’s messaging. The poor conditions, corruption, and violence evident in Morocco’s overcrowded prison system create a favourable environment for those seeking to recruit inmates to extremist groups.
However, the Moroccan state has engaged in some positive efforts to counter radicalisation. Although the state is generally resistant to reform, it has approached international organisations to work with it on combating corruption within the police and improving treatment of prisoners, including by training medical personnel to identify signs of abuse.[50] Locally, the UN Development Programme, in partnership with the Japanese government and the General Commission for the Management of Prisons and Reintegration, has led a large-scale project to modernise the Moroccan prison system. Moreover, Morocco has announced that it will create 36 new prisons by 2020.[51]
Morocco-EU relations
Bilateral security cooperation is central to Morocco’s relationships with European countries. European diplomats in Rabat say that through efforts to nurture close personal relationships, services and officials on both sides have developed trust and confidence between institutions, leading to stronger cooperation. Security cooperation between Moroccan agencies and their European counterparts appears to effective, with the sides regularly exchanging information and best practice.
Morocco has established productive partnerships with many EU member states. In recent years, Germany and the UK have made particular effort to reinforce their security cooperation with the country. Nevertheless, Morocco’s relationships with Spain and France stand out. Both Madrid and Paris have for many years benefited from a significant level of mutual trust with Rabat, enabling them to work together on both training and operations. This security cooperation has served as a reliable bedrock in the countries’ wider bilateral relationships, even during periods of political and diplomatic tension.
The Moroccan and Spanish security services have developed a deep knowledge of criminal and extremist groups operating throughout the region, and have established effective extradition mechanisms. On the ground, Morocco and Spain have participated in joint operations to prevent extremist violence and arrest those responsible for attacks, particularly since 2013.
Morocco and Spain regularly exchange intelligence through coordinators, with agents co-located in both countries. In many cases, intelligence officers prefer to bypass officialdom and bureaucracy by using unofficial channels, as the two nations enjoy a fairly direct relationship in their work to deal with organised crime, trafficking, and smuggling, as well as other transnational issues of mutual concern.[52]
In many cases, Moroccan intelligence agencies now operate to the same standard as their European counterparts, partly due to cooperation that has enabled each side to develop skills, adopt new techniques and methods, and make use of the other’s resources. Nevertheless, financial or capacity issues sometimes limit this cooperation: many of Belgium’s security cooperation programmes with Morocco have been suspended due to Belgian resource constraints – despite the importance of the Morocco-Belgium relationship and the large Moroccan community in Belgium.[53]
Moroccan counter-terrorism cooperation with both European countries and the US is not only a security endeavour but also a crucial component of Rabat’s long-term efforts to strengthen economic and political ties with these countries. Morocco aims to minimise international outcry over the Western Sahara issue, encourage greater foreign investment and tourism, maintain access to Western military equipment and training, and promote Morocco’s integration into NATO’s strategic plans.
Having positioned itself as a capable security actor, Morocco has become – in contrast to Tunisia – resistant to any suggestion that it could benefit from external advice on its counter-terrorism strategy. International cooperation takes place on Morocco’s terms. This is due to its apparent success in enforcing domestic security and Europeans’ perceptions of its value as a security partner. Although Morocco has strong security relationships with some EU member states, others find it a difficult and inflexible partner because of its resistance to reform. Morocco’s security relationships with EU institutions have been complicated by the EU’s promotion of a security strategy based on human rights, as well as the European Court of Justice’s December 2016 ruling against the country’s claim to Western Sahara.
Morocco’s developmental shortfalls
Rabat’s approach to security creates an incentive for its international partners to overlook the domestic repression that may contribute to radicalisation in Morocco, lest they disrupt the flow of intelligence to them from Moroccan agencies. Nevertheless, the country’s counter-terrorism strategy cannot be considered in isolation from broader developmental and governance questions. Morocco’s levels of development do not match its international position as an advanced security state. Morocco has the highest level of inequality of any country in north Africa, one-third of its adult population is illiterate, and 29 percent of young Moroccans are unemployed.[54] The state is doing little to address these issues, despite the concentration of radicalised individuals in economically deprived urban areas. Protests that began in the marginalised Rif region last year have persisted and expanded beyond Rif, despite the state’s imposition of heavy prison sentences on many demonstrators, journalists, and lawyers.
The Moroccan government regularly uses security issues to justify restrictions on civil liberties. In 2015, Morocco announced a project to reform its penal code.[55] The country framed the discourse around these reforms in liberal terms, lauding the modernisation of the system as a boon to the nation’s flourishing civil society and as a vehicle to enhance public freedoms. Yet, to date, the only “reforms” have been the introduction of longer prison sentences for public protest and online activities, and narrowing civic and political freedoms. Since promising reform following the onset of the Arab uprisings, Morocco has markedly increased restrictions on activists’ and researchers’ freedom of speech. The efforts made by the Association Marocaine des Droits Humains and other local grassroots civil society and human rights groups to secure greater democratic freedoms have met with increased state violence and harassment.
Morocco’s counter-terrorism strategy appears to be inseparable from its authoritarian political system. The state’s far-reaching surveillance of its population and the king’s role as the personification of religious authority may contribute to Morocco’s image as a bastion of security, but they are also bound up with its resistance to genuine political accountability – with the all the limitations this involves.
CONCLUSION Viewed superficially, Morocco might seem to be a capable security partner for the EU in north Africa, and Tunisia a potential weak link. Yet the reality is more complex. Morocco has been successful in preventing attacks and obtaining information that can benefit its European partners, but its counter-terrorism efforts fit within a framework of conserving rather than transforming the state’s unaccountable relationship with its subjects. This has acted as a constraint on tackling social, economic, and governance problems that appear to help extremist groups recruit followers.
Tunisia continues to struggle with the legacy of authoritarian rule and the convulsions of the post-revolutionary period. The country has made significant advances in its security policies but has yet to find balanced ways to deal with its porous borders and the disproportionately large number of radicalised Tunisians. Tunis formulates security policy against a background of complex and incomplete political transition, in which a constitution based on the principle of accountability coexists with a security sector that is in many areas reforming slowly, if at all. This creates complications for European partners, but also offers an opening to pursue broader questions of security sector reform and accountability that most European policymakers would regard as essential to an effective counter-terrorism strategy.
The EU has worked closely with both Tunisia and Morocco to combat the threat of jihadist terrorism within their territory and in Europe. This cooperation has been effective in different ways in both countries, but more can be done – especially in relation to improving the culture and professionalism of the security forces. In Tunisia, international partners should follow through on existing reform programmes, encouraging further openness within the Ministry of the Interior to help the institution improve its cooperation with the country’s citizens. Greater professionalism within the security services would make it easier for European partners to share intelligence with Tunisia. European countries and the EU should also encourage and support Tunisia in developing programmes to promote religious education and awareness, gearing them towards pupils and their families from an early age.
In Morocco, European countries, particularly France and Spain, should encourage and support measures to combat corruption and abusive practices within the security services. While Morocco is unlikely to establish a culture of genuine public accountability any time soon, European partners can argue that greater professionalism is in the interests of Moroccan authorities, as it will ensure that their attention is focused on real threats while reducing public alienation from the state.
The most significant remaining challenges in both countries relate to the treatment of radicalised individuals and the prevention of further radicalisation. As these are complex problems that affect European and north African countries alike, Europeans should avoid suggesting that they have all the answers. Nevertheless, European countries could work with Tunisia and Morocco to explore better ways to handle radicalised individuals than large-scale incarceration, and to distinguish between committed jihadists and those who are more open to reintegration into society.
Beyond this, there is convincing evidence that, in north Africa, frustrations with a lack of economic opportunities and social justice increase the likelihood that people will join jihadist groups. It is undoubtedly easier for European countries and their north African partners to implement direct security measures than to make progress on the complex social, economic, and governance questions that lie behind marginalisation and regional inequality. But if these security measures distract from the need to pursue solutions to these broader concerns, the response to security problems in Tunisia and Morocco will remain incomplete. The EU should make sure that it remains committed to encouraging and supporting the reform of state structures in Tunisia and Morocco, as well as working to reduce the socioeconomic disparities and lack of opportunities that remain the public’s most pressing problems in both countries.
About the authors Anthony Dworkin is a senior policy fellow at ECFR, working on north Africa, counter-terrorism, and human rights. Among his recent ECFR publications are “Europe’s new counter-terror wars” (2016) and “Egypt on the edge: How Europe can avoid another crisis in Egypt” (with Yasser el-Shimy, 2017). He is also a visiting lecturer at the Paris School of International Affairs at Sciences Po and was formerly the executive director of the Crimes of War Project.
Fatim-Zohra El Malki is a doctoral researcher at the University of Oxford and a visiting fellow at the European Council on Foreign Relations. She was previously a researcher on Islam and politics at the Atlantic Council’s Rafik Hariri Center for the Middle East in Washington, DC. Fatim-Zohra’s research focuses on counter-terrorism, law, and institution-making in the Maghreb region
_________________ Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays.
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| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 17 Fév 2018 - 12:20 | |
| - MAP a écrit:
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Six morts et 14 blessés dans un accident entre un train de marchandises reliant Tanger au port Tanger Med et un véhicule de transport de personnel samedi, 17 février, 2018
Rabat – Six personnes ont trouvé la mort et 14 autres ont été blessées dans un accident ferroviaire, survenu samedi matin à un passage à niveau gardé à proximité de l’arrondissement Bni Makada entre un train de marchandises reliant Tanger au port Tanger Med et un véhicule de transport de personnel, apprend-on auprès des autorités locales de la Wilaya de la Région Tanger-Tétouan-Al Hoceima.
Les blessés ont été évacués sur l’hôpital de Tanger, précise-t-on de même source.
Une enquête est ouverte par les services de Police sous la supervision du parquet compétent pour déterminer les circonstances de l’accident, ajoute la même source. Allah yarhamhoum _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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| | | Fremo Administrateur
messages : 24818 Inscrit le : 14/02/2009 Localisation : 7Seas Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Sam 17 Fév 2018 - 12:35 | |
| Allah yrham li matou. Les chauffeurs des véhicules du transport de personnels sur ka région c'est des vrais kamikazes... ils se foutent royalement du code de la route et mettent tout le monde en danger ... j'ai évité des accidents a cause de leurs comportements par justesse ... et malgré mes réclamations auprès des services de l'ordre... ils n'interviennent jamais ... Et ce n'est pas un cas isolé !! A 18h a la TFZ ... on dirait qu'ils sont en course ... voir une compétition de Drifting .. _________________ | |
| | | mourad27 Modérateur
messages : 8008 Inscrit le : 19/02/2012 Localisation : Kech Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Dim 18 Fév 2018 - 16:52 | |
| meme a asfi l'été dernier j'ai vue le passage des bus et minibus des employé de la station thermique en heure de pointe j'ai eu peur tahimajite a se demander si ces gens la sont des conducteur professionnels faut peut etre revoir la reglementation trop de parasites _________________ - Citation :
- "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996 | |
| | | mbarki_49 Colonel-Major
messages : 2511 Inscrit le : 13/12/2010 Localisation : Casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 19 Fév 2018 - 10:27 | |
| - Citation :
- Accident ferroviaire de Tanger: Le Roi ordonne une enquête détaillée
Le Roi Mohammed VI a ordonné la constitution d'une commission d'enquête chargée de faire la lumière sur l'accident ferroviaire qui a causé la mort de 6 personnes et en a blessé 14 autres le samedi 17 février.
Suite à l'accident survenu samedi 17 février 2018 à Tanger entre un train de marchandises et un véhicule de transport de personnel, faisant six morts et 14 blessés, le Roi Mohammed VI a ordonné la création d'une commission conjointe entre l'Inspection générale de l'administration territoriale au ministère de l’Intérieur et l'Inspection générale du ministère de l’Equipement, du Transport, de la Logistique et de l'Eau pour mener une enquête administrative globale afin de déterminer toutes les circonstances de l'accident et prendre les mesures légales et administratives nécessaires contre quiconque aurait failli à sa mission.
Selon un communiqué conjoint des deux ministères, cette commission déterminera les responsabilités et procédera à une révision globale et un examen complet de toutes les mesures relatives à la sécurité des passages à niveau, sachant que le Roi Mohammed VI avait donné, le 21 mai 2012, ses instructions fermes aux services concernés afin d’assurer toutes les conditions de sécurité pour garantir la circulation sur l’ensemble des passages à niveau à travers le Royaume.
Par ailleurs, des vidéos diffusées sur les réseaux ont montré un individu descendu d'un véhicule portant le logo ONCF essayant de placer une plaque de signalisation de passage à niveau non gardé sur les lieux de l'accident, peu de temps après celui-ci. Il a été pris à partie par les présents.
Différents témoignages montrent que ce passage à niveau était non signalé, non éclairé et difficilement visible de la route notamment à cause de la présence d'un talus. Les trains qui arrivent ne sont visibles qu'à la dernière minute.
Les victimes se trouvaient dans un véhicule de transport de personnel. La voie ferrée se trouve dans la zone de Mghogha. Les victimes se dirigeaient vers leur travail, aux alentours 05H15 du matin.
https://www.medias24.com/MAROC/SOCIETE/180566-Accident-ferroviaire-de-Tanger-Le-Roi-ordonne-une-enquete-detaillee.html | |
| | | daama94 sergent chef
messages : 275 Inscrit le : 27/02/2016 Localisation : Paris Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 21 Fév 2018 - 14:49 | |
| - Citation :
LA MARINE ROYALE PORTE SECOURS EN MER À 71 CANDIDATS À LA MIGRATION
La Marine Royale a assisté 71 personnes d'origine subsaharienne candidates à la migration clandestine au large de Tanger.
Des Unités combattantes de la Marine Royale opérant en Méditerranée ont assisté, au cours de deux opérations séparées, mardi au large de Tanger, 71 personnes d’origine subsaharienne, dont 13 femmes, candidates à la migration clandestine, apprend-on auprès de source militaire.
Selon la même source, les secourus étaient en difficulté à bord de deux embarcations pneumatiques, par mauvais temps et houle dangereuse. Les secourus ont été ramenés sains et saufs à bon port, avec leurs moyens nautiques, précise-t-on de même source.
http://fr.le360.ma/societe/la-marine-royale-porte-secours-en-mer-a-71-candidats-a-la-migration-156929 | |
| | | Fox-One General de Division
messages : 8026 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Mer 21 Fév 2018 - 15:42 | |
| concrètement "Unités combattantes" veux dire quoi?!! | |
| | | PGM Administrateur
messages : 11677 Inscrit le : 12/12/2008 Localisation : paris Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Ven 23 Fév 2018 - 15:48 | |
| - Citation :
- Les grandes lignes de la feuille de route de lutte contre la précarité, dévoilée mercredi
Les grandes lignes de la feuille de route de lutte contre la précarité, dévoilée mercredi Accès aux services publics de base, éducation et formation, développement des activités génératrices de revenus : les détails de la feuille de route de lutte contre la précarité. Elle concerne des propositions touchant les populations les plus vulnérables : les femmes et les enfants. Certaines sont inédites.
La Princesse Lalla Meryem a présidé, mercredi 21 février à Rabat, la cérémonie de clôture d'une rencontre ayant pour thème les femmes et enfants en situation de précarité. Une feuille de route a été présentée à cette occasion, pour la lutte contre la précarité au Maroc.
Lors de cette rencontre, une note conceptuelle de l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) a été également présentée.
Lancée en 2005, l'INDH compte parmi ses projets, un programme spécifique de lutte contre la précarité qui a profité à une large frange de la population à travers nombre d’activités, a expliqué la coordonnatrice nationale de l’INDH, Nadira El Guermai.
En dépit des efforts déployés, les besoins ne cessent d’augmenter en raison des mutations sociétales, a-t-elle encore relevé.
De son côté, le Haut-commissaire au plan, Ahmed Lahlimi Alami a présenté l’état des lieux de la précarité, mettant l'accent sur les progrès réalisés par le Maroc en matière de lutte contre ce phénomène.
La précarité est appréciée selon plusieurs indicateurs, en fonction de ses différentes manifestations dans la vie quotidienne, que ce soit sur le plan économique ou social.
Exposant les orientations générales pour la feuille de route pour la lutte contre la précarité, à laquelle la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) a largement contribué, Mohamed Hourani, membre du Conseil économique, social et environnemental, a relevé 4 axes:
- Accès aux services de base;
- Accès aux services publics;
- Education et formation;
- Développement des activités génératrices de revenus.
Les 3D
La lutte contre la précarité des populations du mode rural et périurbain passe par l'amélioration du niveau de vie et l’accès aux services sociaux de base, à moindre coût aux citoyens.
Le développement du concept de "Maison du citoyen", "Maison du savoir" et "Maison des métiers", permet ainsi de regrouper en un seul lieu l’ensemble des services et prestations au profit du citoyen. L’objectif est de créer des espaces de proximité qui permettent de réduire le coût du service, développer les revenus des ménages et favoriser l’éducation et la formation professionnelle.
- Dar Al Mouwatine: rapprocher le service administratif du citoyen.
Sa mission consiste à informer, conseiller, renseigner et délivrer tous les formulaires (physiques et électroniques) disponibles sur la base de données des services administratifs (Certificat de naissance, certificat de résidence, Ramed, changement d’adresse, autorisations,…) et vérifier et transmettre des dossiers pour l’établissement des cartes grises, carte d’identité nationale, passeport, permis...
Elle permettra également de faciliter le paiement des factures, relayer toutes les campagnes gouvernementales et ministérielles, réserver et acheter la billetterie (car, taxi, train...) et même déposer les demandes d’emploi sur les sites de recrutement.
- Dar Al Khadamat: encourager l’initiative d’auto-emploi.
Elle aura pour mission d'encourager la création d’activités génératrices de revenus, rapprocher et regrouper des prestations de services (plomberie, électricité, ferronnerie, plâtrerie-peinture, aluminium, ….) des populations.
- Dar Al Maârifa:
Elle devra contribuer à la réussite scolaire et renforcement des capacités par la formation et l’apprentissage des enfants en préscolaire et en scolaire, des jeunes déscolarisés pour des formations professionnelles ainsi que des populations analphabètes.
Accès aux soins
L’une des entraves à l’accès aux soins de santé de base au Maroc concerne l’accessibilité du patient au réseau d’établissements de soins de santé de base. Dans ce sens, deux réflexions sont portées à ce niveau:
- Télémédecine ou médecine à distance: elle consiste en l'utilisation de la télécommunication et la technologie de l’information en vue de surmonter les obstacles liés à la distance.
Concrètement, un auxiliaire médical (ou un médecin en dernière année de formation) formé à l’usage des technologies de l’information assiste les patients dans la consultation médicale faite à distance avec une généraliste ou un spécialiste. La consultation permet ainsi d’orienter soit vers des soins ambulatoires (délivrance d’une ordonnance) ou encore l’orientation vers une médecine de spécialité ou une consultation plus poussée.
- Unités mobiles médicales équipées et modulables pour la gestion de la santé dans les régions enclavées.
Une unité mobile pourrait couvrir toute une zone selon un circuit approprié et à une fréquence régulière et définie et pourvoir les soins ambulatoires et préventifs ainsi qu’un conseil d’orientation médicale vers les hôpitaux et CHU pour des soins plus poussés.
Ces unités pourraient être coordonnées en régions avec les souks hebdomadaires là où il y a une concentration de la population d’une zone.
Mobilité
La feuille de route propose l'encouragement du développement de motos-taxis et la mutualisation du transport des bus scolaires communal et transport en commun.
Au Rwanda, lancée en juin 2015, une application a été dédiée au système de gestion de la mobilité. Elle permet aux habitants de commander des chauffeurs, généralement qui connaissent et maitrisent la région en termes d’infrastructure routière et qui sont reconnus en conduite sécurisée et irréprochable par un système de contrôle de la vitesse intégré dans le système.
Ce modèle pourrait être adapté pour couvrir des zones reliées et pas trop éloignées les unes des autres. Le système pourrait être exploité par des jeunes de la région maîtrisant les TIC d’internet pour l’auto-emploi et la création de start-ups. Le prix de la course est fixé d’avance.
La feuille de route propose également la mutualisation du transport des bus scolaires communal et transport en commun.
Les bus scolaires fournis par les communes sont généralement dédiés à cette unique fonction. Or, en dehors des horaires scolaires et pendant les vacances scolaires, ces moyens de transport demeurent inexploités, alors qu’ils peuvent servir pour les besoins de la population pour assurer des navettes régulières pour la mobilité de la population à des points stratégiques.
Accès à l’énergie au moindre coût
L’usage des énergies renouvelables peut être une solution et deux scénarios sont à envisager:
- Kit solaires individuels
Le principe est d’équiper les foyers en installations de panneaux photovoltaïques répondant aux besoins usuels courants (éclairage, téléviseurs, réfrigérateurs et éventuellement cuisson).
Dans ce schéma, le foyer reste raccordé au réseau électrique mais profite de l’effet compensation. Le surplus d’énergie solaire produite et non utilisée en journée (période de fort ensoleillement et de faible consommation) est injecté dans le réseau électrique (output). Le soir (période de de forte consommation et d’absence d’ensoleillement), le foyer fait appel à l’énergie du réseau électrique (input). La facture du ménage correspond alors à la différence entre l’énergie appelée dans le réseau (ONEE) et celle injectée dans le réseau.
- Centrales solaires localisées (mini-grids)
Pour les groupements d’habitations et d’activités de moyenne taille (1.000 à 5.000 habitants), l’effet de taille peut permettre de baisser encore plus le coût de l’énergie pour les foyers, agriculteurs et artisans, grâce à la construction de mini-centrales solaires.
Ce scénario présente, entre autres, l’avantage de créer une activité génératrice de revenus qui pourrait être confiée à des autochtones formés en matière de fonctionnement et maintenance de matériel, ou d’activités commerciales connexes d’approvisionnement en petit matériel de consommation courante. medias24 _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités nationales Lun 26 Fév 2018 - 21:24 | |
| https://www.yabiladi.com/articles/details/62221/maroc-cliniques-privees-passee-peigne.html |
| | | Adam Modérateur
messages : 6300 Inscrit le : 25/03/2009 Localisation : Royaume pour tous les Marocains Nationalité : Médailles de mérite :
| Sujet: Re: Actualités nationales Jeu 1 Mar 2018 - 20:04 | |
| - MAP a écrit:
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Des armes à feu dissimulées dans un appartement à usage professionnel à Rabat: ouverture d’une enquête judiciaire (DGSN) jeudi, 1 mars, 2018 à 15:35
Rabat – Le service préfectoral de la police judiciaire de Rabat a ouvert une enquête judiciaire, sous la supervision du parquet compétent, pour élucider les circonstances entourant la dissimulation d’un ensemble d’armes à feu dans le plafond d’un appartement à usage professionnel et identifier la personne ou les personnes impliquées dans la possession ou la dissimulation de ces armes.
Selon un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), la préfecture de police de Rabat avait été alertée par une personne qui réaménageait ledit appartement, signalant qu’il a trouvé un sac en plastique au contenu suspect dans le faux plafond.
Le sac en plastique contenait quatre armes à feu, un pistolet mitrailleur rouillé, un fusil de chasse, deux silencieux et une munition composée de 301 cartouches de plusieurs calibres, a précisé la DGSN.
Ces armes sont soumises désormais aux expertises technique et balistique nécessaires, alors que les recherches et investigations se poursuivent pour élucider les circonstances de cette affaire, a précisé la même source, ajoutant que l’appartement était vacant depuis plus de cinq ans. _________________ Les peuples ne meurent jamais de faim mais de honte.
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