Actualités Espagnoles

Rappel du premier message :

ATTAQUE TERRORISTE À BARCELONE ALERTE INFO UNE FOURGONNETTE PERCUTE LA FOULE LE 17AOUT 2017

Voilà merci Shugan donc aucune faveur ce gaz on va l’acheter et payer pour son stockage et transport. Les espagnols ne nous font pas sadaka.

Donc pour ce qui est des lignes maritimes …

Et autre chose

Citation :

In Morocco there are two gas-fired electricity generation plants. The main one is operated by Endesa, which has a 30% stake. Local state power company ONE owns 50% and Siemens another 20%. The plant, located near Ceuta, is a backup plant, that is, it works only when there is excess demand.

https://www.abc.es/economia/abci-espana-reenviara-marruecos-traves-gasoducto-magreb-saltandose-veto-argelia-202202021906_noticia_amp.html

Fahed64 a écrit:

Voilà merci Shugan donc aucune faveur ce gaz on va l’acheter et payer pour son stockage et transport. Les espagnols ne nous font pas sadaka.

Donc pour ce qui est des lignes maritimes …

Effectivement très cher, c'est une opération commerciale qui n'a rien de politique.

En sachant, que l'espagnole Abengoa a un contrat de gestion de la centrale Ain Beni Mathar avec l'onee.

Et la centrale de Tahaddart comprend une participation de 52% entre l’espagnol Endesa Generacion et de l’allemand Siemens Project Ventures.

Donc ce gaz d’Espagne, servira à soutenir les entreprises espagnoles

Merci pour la précision très importante

"Quelle Espagne?.."
https://www.yabiladi.com/articles/details/124096/maroc-albares-a-t-il-pris-distances.html

https://www.abc.es/espana/abci-exteriores-asume-teresa-ribera-quien-lidera-conflicto-argelia-sobre-202202090035_noticia.html

Intéressant ... ce "rétropédalage" prouve si il en était que les espagnols ne parlent pas d'une seule voix.

selon hespress pedro sachnez va rencontrer à bruxelle le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita et le chef du Front Polisario, Brahim Ghali.

kolopoi12 a écrit:

selon hespress pedro sachnez va rencontrer à bruxelle le ministre marocain des Affaires étrangères Nasser Bourita et le chef du Front Polisario, Brahim Ghali.

On a vraiment rien à faire à ce sommet il serait bon d'envoyer des immigrés que l ue ne reconnais pas aussi mais qui veulent discuter avec elle aussi

https://okdiario.com/espana/gobierno-paga-viaje-marruecos-ex-jefa-prensa-podemos-cuenta-fondos-ue-8596644

https://www.lindependant.fr/2022/03/01/guerre-en-ukraine-puigdemont-un-lache-zelensky-un-heros-le-sous-entendu-de-borrell-qui-enflamme-la-catalogne-10141727.php

Citation :

Alors que l’Europe cherche à réduire sa dépendance au gaz russe, l’Espagne entend se positionner en « hub » stratégique permettant de diversifier les sources d’approvisionnement du continent. « Nous pouvons être une alternative au gaz russe », insistait-on au ministère des affaires étrangères, dès le début du mois de février, avant même l’invasion en Ukraine. L’idée, depuis, a fait son chemin. « Avec sa grande capacité énergétique et sa grande expérience dans les énergies renouvelables, l’Espagne peut et va jouer un rôle important pour approvisionner l’Europe, a finalement confirmé la présidente de la Commissin européenne, Ursula von der Leyen, en visite à Madrid, le 5 mars. Et, pour cela, nous devons travailler dans les interconnexions entre la péninsule Ibérique et le reste de l’Union européenne [UE]. »

Sur la table, un dossier que l’on croyait définitivement enterré a été ressuscité : le MidCat. Lancé par l’Espagne, le Portugal et la France en 2003, ce projet de gazoduc traversant les Pyrénées entre la Catalogne et le sud-ouest de l’Hexagone devait permettre de relier les réseaux espagnols et portugais au réseau européen et aider à désenclaver la péninsule Ibérique, véritable « île énergétique », qui compte moins de 5 % d’interconnexions – loin des 15 % demandés par l’Europe.

« Ne pas faire aboutir le MidCat a été une erreur stratégique », José Manuel Garcia-Margallo, ancien ministre des affaires étrangères espagnol
Avec un coût estimé à 400 millions d’euros dans sa première phase de développement, l’infrastructure avait même figuré, un temps, parmi les infrastructures prioritaires de l’UE, avant d’être abandonnée en 2019, sur fond de manifestations d’opposants écologistes.

Lire aussi Le gazoduc Eastmed, une option compliquée pour diminuer la dépendance européenne au gaz russe
« Ne pas faire aboutir le MidCat a été une erreur stratégique, regrette l’ancien ministre des affaires étrangères espagnol de 2011 à 2016, José Manuel Garcia-Margallo. Avec ses autres gazoducs et ses usines de regazéification, l’Espagne aurait pu permettre une véritable alternative au gaz russe. » Mais une étude commandée par la Commission européenne estimait que le gazoduc ne serait ni rentable ni nécessaire. En juillet 2018, Emmanuel Macron avait reconnu, lors d’une réunion à Lisbonne, qu’il « n’avait pas été convaincu de l’utilité » des interconnexions gazières. Faute de consensus sur la répartition des coûts, mais, surtout, d’intérêt côté français, le projet a finalement été enterré, en 2019, par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Laquelle remettait en question la relation bénéfice-coût de l’infrastructure et son intérêt stratégique…

« Un rôle significatif »

Celui-ci, à présent, ne fait guère de doutes et, amers, les Espagnols, déjà déçus à l’époque, se lamentent de cette occasion perdue. « L’Espagne dispose d’une capacité de regazéification qui pourrait jouer un rôle significatif pour améliorer la sécurité de l’approvisionnement en gaz en Europe, si nous avions la capacité adéquate et suffisante d’exportation à travers les Pyrénées. Ne pas compter dessus est un sérieux contretemps en ce moment », estime l’expert Mariano Marzo, professeur émérite à l’université des sciences de la Terre de Barcelone.

Le royaume, en effet, ne manque pas d’atouts. Il est relié à l’Algérie par le gazoduc sous-marin Medgaz, d’une capacité de 10 milliards de mètres cubes par an. Et, jusqu’à sa fermeture, le 1er novembre 2021, après une crise entre l’Algérie et le Maroc, il l’était aussi par le gazoduc Maghreb-Europe. Afin d’augmenter les flux, le gouvernement espagnol ne cesse de courtiser Alger : dimanche 6 mars, le premier ministre socialiste, Pedro Sanchez, a encore appelé le président algérien, Abdelmadjid Tebboune.

Lire aussi Guerre en Ukraine : « Au sein de l’Europe, la politique des nouveaux gazoducs a créé beaucoup de tensions »
L’Espagne compte aussi six usines de regazéification de gaz naturel liquéfié (GNL), représentant 27 % des capacités totales qu’ont l’Union européenne et le Royaume-Uni inclus, soit 60 milliards de mètres cubes par an. Ces terminaux gaziers lui permettent d’importer par méthaniers du gaz provenant de quatorze pays – principalement des Etats-Unis, mais aussi de pays d’Afrique subsaharienne et du Golfe, alors que le gaz russe représente moins de 10 % de ses importations. Or, ils ne sont utilisés qu’à la moitié de leur capacité. Enfin, l’Espagne est aussi le pays d’Europe ayant les plus grandes capacités de stockage de GNL (35 % du total), devant le Royaume-Uni (22 %) et la France (14 %), selon l’association Gas Infrastructure Europe (GIE), qui regroupe les opérateurs de 27 pays.

« Il est important qu’il y ait une connexion adéquate en France »

Cependant, pour faire transiter ce gaz dans le reste de l’Europe et mettre ainsi à profit les infrastructures espagnoles, le pays ne compte que deux gazoducs. A Larrau, en Navarre, et à Irun, au Pays basque, ils ne permettent que le passage de 8 milliards de mètres cubes par an vers la France. Depuis la dernière semaine de février, ces deux gazoducs envoient en moyenne 40 gigawattheures, chaque jour, vers l’Hexagone, une quantité limitée, mais significative de la volonté de l’Espagne de contribuer à une solution. Ses terminaux gaziers, en particulier celui de Bilbao, stockent par ailleurs du GNL destiné à être, ensuite, réparti dans d’autres pays d’Europe.

Lire aussi Guerre en Ukraine : première victime des sanctions, le gazoduc Nord Stream 2 de Gazprom passe à la trappe
La crise énergétique provoquée par la guerre en Ukraine peut-elle à présent ressusciter le projet MidCat ? Si le ministre des affaires étrangères, José Manuel Albares, plaide en ce sens, la ministre de la transition écologique, Teresa Ribera, tempère. « Cela ne doit pas finir dans une voie sans issue. Il est important qu’il y ait une connexion adéquate en France, a-t-elle expliqué, mardi 8 mars, en conseil des ministres. Le débat n’est pas de savoir si l’Espagne veut ou ne veut pas miser sur les interconnexions européennes, mais comment articuler un effort européen. »

« L’Europe doit le financer »

Pour la ministre, une telle infrastructure devrait être financée « comme un projet d’intérêt européen, pas par les utilisateurs espagnols », puisque son objectif principal est la sécurité de l’approvisionnement en gaz des pays du nord et de l’est de l’Europe. « Si nous voulons mettre à disposition de l’Europe nos capacités de stockage, qui se situent au-dessus de 60 %, alors qu’elles se trouvent en moyenne à 30 % dans l’UE, ce n’est pas l’Espagne mais l’Europe qui doit le financer », a renchéri M. Sanchez, lors d’une conversation informelle avec un groupe de journalistes espagnols l’accompagnant en voyage en Lettonie, mardi.

Lire aussi : Le gaz russe continue d’alimenter les pays européens
L’infrastructure devrait aussi avoir des caractéristiques techniques qui « permettent le transport de biométhane et autres biogaz, et, dans un avenir proche, d’hydrogène renouvelable, afin d’assurer une viabilité commerciale à long terme à l’infrastructure », a souligné Mme Ribera. Avec 6,9 milliards d’euros des fonds de relance européens consacrés au développement de l’hydrogène vert, l’Espagne pourrait ainsi utiliser, à l’avenir, le MidCat pour exporter son surplus de production. Car il est impossible que cette infrastructure apporte une solution à court terme : Mme Ribera a rappelé que la construction d’une telle infrastructure prendrait, au mieux, « cinq à six ans ». Et même les experts les plus optimistes tablent sur un minimum de deux à trois ans…

C'est vraiment dommage qu'ont perde cette occasion au profit de l'Espagne, tout simplement parceque un génie n'a pas fait son boulot en faire disposer les ports du royaume des dispositifs de réception et de stockage de gaz liquide....

Traduction:

Dans un livre où il fait le bilan de sa carrière, il prévient du risque de faire de l'Armée "une gigantesque ONG" et de "liquéfier" sa véritable mission

Révèle ses mauvaises relations avec le ministre Robles, qui se sont soldées par son limogeage, et dénonce la négligence de la scène internationale et la grossièreté envers les États-Unis

MADRID, le 13 mars. (EUROPA PRESS) -

L'ancien chef d'état-major des armées (JEMAD) Fernando Alejandre estime que le Maroc représente une menace "directe" pour l'Espagne qui finira par se matérialiser, d'abord à travers des éléments hybrides sous la forme d'une "intifada" pour se transformer progressivement en un conflit armé de nature plus conventionnelle. personnage.

C'est ainsi que l'ex-chef de la direction militaire entre 2017 et 2020 l'expose --avec les gouvernements de Mariano de Rajoy et Pedro Sánchez-- dans un livre dans lequel il explique sa vision de la défense de l'Espagne et la situation et les besoins de les forces armées, telles que l'amélioration des salaires, des compétences et des investissements.

Mais en plus, il passe en revue ses relations avec la classe politique, de son manque de "chimie" avec les deux Premiers ministres aux bonnes relations avec María Dolores de Cospedal en tant que ministre de la Défense ; et les désaccords continus qui viendront plus tard avec son successeur, Margarita Robles, qui ont conduit à son licenciement, devenant "le JEMAD de l'occasion manquée", comme il se surnomme.

« Roi servi et pays honorable » (Éditorial Deusto) sert l'ancien JEMAD pour résumer sa vision des forces armées et souligner sa mission de défendre la souveraineté et l'indépendance de l'Espagne, son intégrité territoriale et l'ordre constitutionnel, le tout à partir d'un patriotisme et de valeurs. qui regrette qu'ils ne soient pas présents dans la majorité de la société.

Précisément, cette mission estime qu'elle risque d'être « liquéfiée » dans une transformation des forces armées en « super unité d'urgence » ou en « ONG géante », la voie qu'elle croit suivre avec l'actuel ministère de Margarita. Robles, par qui reproche d'être plus soucieux de son image et de celle du ministre que d'expliquer le vrai travail militaire.

Le général Alejandre s'interroge sur les missions assumées par les militaires plus typiques des services de protection civile -après des actions telles que l'opération Balmis, le volcan La Palma ou la collaboration face à la tempête Filomena- et appelle à éviter une multiplication des tâches "originales ou ésotérique" pour que "le métier militaire ne soit pas flouté et se rapproche du métier de policier ou d'urgence".

Avec cela, il s'interroge également sur l'existence même de l'Unité militaire d'urgence (UME), "événement inutile" pour de nombreux militaires lors de sa création en 2005, et met en garde contre le danger des éloges dont elle bénéficie, ce qui laisse croire à ses membres ils font partie d'une « élite » et ressentent un certain « détachement » du reste des forces armées.

"Si ce qui est fait et l'effort qu'il faut pour le faire n'est pas valorisé, si chacun veut se sentir immédiatement utile, les membres des Forces Armées commenceront à rejeter leur propre mission et chercheront la satisfaction à devenir une sorte de super-unité d'urgence militaire ou dans une organisation non gouvernementale qui distribue de l'aide humanitaire dans le monde entier », prévient-il.

SOCIÉTÉ BONNE ET PACIFISTE

En ce sens, il dénonce un manque de perception parmi les citoyens des menaces auxquelles l'Espagne peut être confrontée --au sein d'une société "bonne et pacifiste"--, malgré le fait qu'à son avis le pays devra faire partie du ou longtemps terme d'un conflit armé.

A ce stade, il souligne le rôle du Maroc et ses investissements croissants dans l'armement et estime que cette menace se concrétisera "le moment venu". Ce sera d'abord à travers des éléments hybrides tels que les assauts à la frontière qu'ont déjà vécus les villes autonomes de Ceuta et Melilla et plus tard comme un conflit armé plus conventionnel. Bien qu'il ne pense pas que cela se produise à court terme, il considère qu'il s'agit d'une menace "sérieuse" qui ne doit pas permettre "une minute de détente" ni retarder la préparation de la riposte.

Quant aux menaces internes, il met en avant le rôle du terrorisme, à la fois celui de l'ETA et celui de nature 'djihadiste', mais met également l'accent sur les mouvements sécessionnistes et défend qu'« il ne devrait pas être étrange » de parler « d'une partie d'un mandat que le armées ont reçu », comme la défense de l'intégrité territoriale.

CATALOGNE : ÇA DEVENAIT HORS DE MAINS

Ainsi, il dévoile ses expériences en tant que JEMAD lors de la célébration du référendum illégal sur le 1-O. "A l'été 2017, la situation en Catalogne était tout sauf imprévisible (...) Cependant, je dois admettre que jusqu'à la mi-août, nous n'étions pas sûrs que cela devenait incontrôlable", avoue-t-il, marquant comme le premier signe était la réaction du gouvernement Rajoy aux attentats de Las Ramblas, dans laquelle il était dit que, « étant donné la sensibilité particulière de la question catalane », elle allait être gérée et contrôlée sans compter sur les forces armées.

Face à ce signe de "gravité", il reconnaît avoir décidé d'agir et d'élaborer un plan graduel qui lui permettrait de faire face à des "scénarios possibles". Ce document a reçu l'approbation du ministre Cospedal -- "en plus d'être un patriote, il était courageux" -- et envisageait des renforts dans les unités situées en Catalogne à diverses actions de soutien aux forces et corps de sécurité de l'État.

Cependant, la réponse n'a pas été aussi satisfaisante de la part du ministère de l'Intérieur qui, lors d'une réunion avec le ministre de l'époque Jorge Fernández Díaz et le colonel Pérez de los Cobos, a soutenu que la situation était "sous contrôle" et que les Mossos d'Esquadra "Ils respecter et faire respecter la loi. » Enfin, cet ordre n'a été actif que pendant huit secondes, ce qui a duré la déclaration unilatérale d'indépendance.

Le général Alejandre raconte les changements internes qu'il a tenté de promouvoir lors de sa première étape à la tête de l'état-major de la défense et qui, comme il le regrette, ont été suspendus avec la motion de censure qui a évincé Mariano Rajoy du palais de la Moncloa. Dès lors, une relation difficile a commencé avec le ministère dirigé par Robles, qu'il définit comme une personne qui n'aime pas être pointée du doigt sur d'éventuelles erreurs ou être contredite.

DÉTACHEMENT ANTIPATRIOTIQUE DE LA GAUCHE

L'ex-JEMAD analyse cette situation à partir du "manque d'alchimie" qu'il estime exister entre "une partie importante" du PSOE et des Forces armées, et plus encore de United We Can, dont il reconnaît que l'entrée au gouvernement a suscité "l'inquiétude " En lui.

Cela conduit à un « détachement antipatriotique » des électeurs de gauche et à une difficulté à assumer l'effort que suppose la défense de l'Espagne. "Dans notre pays, l'amour de la patrie, le respect de nos symboles, le retour de nos traditions est malheureusement méprisé par une partie de la société qui, pour l'essentiel, occupe la partie gauche de l'échiquier politique", a-t-il ajouté. souligne en regrettant que quelqu'un qui "aime le drapeau, la patrie" ou qui est fier de l'histoire de l'Espagne soit qualifié de "dangereux ou de fasciste".

Dans ce contexte, il met également l'accent sur un éloignement progressif du ministère de la scène internationale, réduisant le nombre de soldats en mission à l'étranger ou démissionnant des postes concernés. Atlantiste et défenseur de l'OTAN bien connu, il déplore des épisodes tels que la décision de retirer la frégate "Méndez Núñez" du groupe de combat américain en raison d'une menace de l'Iran, qui, assure-t-il, a été prise sans le consulter et qui a abouti à la L'administration américaine a démissionné de Navantia pour un contrat de millionnaire.

Toute cette série de malentendus s'est terminée par sa destitution le jour même où Robles a prêté serment devant le roi après la répétition électorale, bien qu'il regrette que même cette étape n'ait pas été transparente, puisque l'approbation par le Conseil des ministres l'a surpris lors d'une réunion de L'OTAN à laquelle la ministre elle-même lui avait dit qu'elle pouvait se rendre sereinement.

Fox-One a écrit:

C'est vraiment dommage qu'ont perde cette occasion au profit de l'Espagne, tout simplement parceque un génie n'a pas fait son boulot en faire disposer les ports du royaume des dispositifs de réception et de stockage de gaz liquide....

Le secteur d'énergie au Maroc est pris sous otage d'une bande de rentistes, ce qui se passe dépasse l'incompétence ou l'indifférence.....

l'énergie est un secteur stratégique au roi de prendre les choses en main

Le roi ne peux pas tout gérer et suivre l'l'évolution des autres chantiers royaux. Ce qu'ils nous faut c'est une veritable purge concernant la rente. Mais bon c'est irréalisable......

Une journée triste pour Cembrero

Hahaaaa ils agissent vraiment de plus en plus comme un ''rogue state''...galek fournisseur fiable, et qu'ils ne sont pas partie-prenante dans le conflit

Tant mieux, c'est l'occasion de voir le degré de l'attachement de l'espagne à ses accords avec le Maroc

Bruce Wayne a écrit:

https://twitter.com/icembrero/status/1512027196843569152

Une journée triste pour Cembrero

C'est pire que ça Ssi Bruce .... la puissance de Tajine dial bar9o9 ou Tfaya transforme n'importe qui en agent du Makhzen Traduction des tweet:

Citation :

Aujourd'hui, 7 avril, alors que
@sanchezcastejon
est en route pour #Marruecos , les avocats de
@AranchaGlezLaya
, ont été informés que l'avocat Juan Carlos Navarro se joint à l'appel d'Antonio Urdiales contre la destitution de l'ancien ministre pour dissimulation et le mensonge documentaire.

Citation :

La lettre de Navarro est datée du 04/04 alors qu'on savait déjà que Sánchez se rendrait à Rabat. L'ancien ministre des Affaires étrangères continue d'être inculpé dans « l'affaire Ghali » (chef de #Polisario reçu en #España ), uniquement pour prévarication, par le président du tribunal d'instruction n° 7 de Saragosse.

Citation :

Les 2 avocats ont également fait appel du limogeage de Camilo Villarino, l'ancien directeur de cabinet du ministre. Sánchez a destitué González Laya de son gouvernement en juillet et son suppléant aux Affaires étrangères (
@jmalbares
) a retiré la demande d'un placet pour que Villarino soit ambassadeur à Moscou

Citation :

Urdiales est marié à un Marocaine et a une famille à #Marruecos . Parmi ses 2 clients Navarro (l'avocat de Correa chez Gürtel) compte un homme d'affaires hispano-marocain, ayant des affaires dans les deux pays, et un ancien député de
@populares
auteur d'articles faisant l'éloge de Mohamed VI

Citation :

Il suffirait probablement que Rabat leur suggère à tous de manière amicale que, dans l'ère nouvelle qui s'ouvre entre #Marruecos et #España , il n'est pas opportun de continuer à recourir, qu'ils renoncent à leurs efforts.
@sanchezcastejon
arrive aujourd'hui, mais cette gestion n'a pas été faite.

L'Espagne et Pegasus:

Citation :

https://twitter.com/assemblea_int/status/1516101242782629889?t=aUNc1pdettHY-ROrk9aulw&s=19

Hahaha...c'est ''halal'' dans ce cas

haha..ils se couvrent après l'espionnage via Pegasus des téléphones des leaders catalan