Actualités Algeriennes

Invité

Rappel du premier message :

Barsdz a écrit:

Kursad2 a écrit:

Adam a écrit:: Erdogan a dû dire un ''non'' au régime de la poubelle, sur l'affaire du Sahara

Pourtant il l'a toujours dit depuis le début comme ces prédécesseurs. La Turquie est même contre l'autonomie du Sahara Occidental.

L'Algérie et la Turquie ne sont pas des pays amis et je dirais même ennemis idéologiquement, la Turquie voit l'Algérie comme un pays communiste socialisant. La Turquie soutien le Maroc pour le Sahara Occidental.F]] La guerre en Syrie que l'Algérie s'oppose. L'Algérie préférant soutenir Bachar Al-Assad et la Turquie soutenant les rebelles.[/u] L'Algérie voit d'un mauvais oeil la montée en puissance de la Turquie dans la région du MENA et de son armée. Rien ne pourra réconcilier les deux pays dans un avenir proche. Je pense qu'une coopération de la Turquie avec la Tunisie et le Maroc serait plus utilise qu'une coopération avec l'Algérie sans l'état actuel des choses. La Turquie ayant supprimer les visas pour les citoyens marocains et tunisiens pour le Maghreb. Sans oublier l'offensive économique et politique de la Turquie dans les pays africains limitrophes à l'Algérie, la Turquie y gagne de l'influence et un part de marché grandissant.

Je dirais une entente cordiale hypocrite entre les deux pays et cela dure depuis l'indépendance de l'Algérie, la Turquie ayant traîner des pieds pour reconnaître l'indépendance de l'Algérie à cause de ses propres intérêts. La seule chose qui marche entre l'Algérie et la Turquie est le tourisme et le commerce, la Turquie ayant un temps mettre un visa pour les citoyens Algériens mais l'afflux de tourisme est dynamique et l'idée fut écartée. L'Algérie voit Erdogan comme un potentiel ennemi idéologique. Le gouvernement Algérie à peur qu'Erdogan joue avec la carte des FM en Algérie en soutenant des parties opposées au FLN comme il a put faire en Syrie et en Libye, d'ailleurs en Libye les deux pays s'opposent aussi, ils s'opposent dans presque tous les dossiers.

En1:l'Algérie n'a jamais soutenu une guerre,c'est logique qu'elle reste opposer à l'intervention Turque en Syrie ou n'importe quel pays qui intervient.
En 2: Rien ne pourra réconcilier Shocked

je sais pas si c'est en ton nom ou tu la lu quelque part et si c'est le cas je serais curieux merci
En 3: Je suis d'accord mais je pense que les deux nations ont dépasser ce cap d'ailleurs le Bussiness entre les deux état le prouve
Et à titre personnel je suis pour la suppression de visa entre tout Etat Musulman mais malheuresement tu dois savoir que l'Algérie n'est pas prête au retour et au transit au cas ou de milliers de terroriste donc je comprend cette position,d'ailleurs les turcs qui vienne en Algérie n'ont aucune difficulté pour le Visa ça va tràs tràs vite merci

Malgré les visites entre les deux pays, les relations sont froides même si elle reste courtoise. Il y a un problème de confiance à cause de l'idéologie propre à ces deux pays. Ta dernière phrase résume le malaise de la Turquie, prendre ce pays comme un point d'entrée du terrorisme.

Econostrum a écrit:: Le Conseil national de l’investissement autorise le projet Ford

Le Conseil national de l’investissement a autorisé le projet de construction d'une usine d’assemblage automobile présenté par Ford et son partenaire algérien AMC. Le dossier pèse 200 M$ d'investissement. Située à Sidi El-Khettab, près d'Oran, l'usine devrait ouvrir ses portes en mars 2019. En pleine charge, elle permettra d'assembler 50 000 Ford par an.

Ford vient ainsi rejoindre une longue liste de constructeurs automobiles qui ont ouvert des sites d'assemblages pour contourner les quotas d'importation. Renault a ouvert le bal en 2014 à Oued Tlelat (près d'Oran) suivi par le Sud-Coréen Hyundai à Tiaret (ouest du pays) en 2016. Le 27 juillet 2017, le groupe Volkswagen inaugurait une usine d'assemblage multi-marques (Volkswagen, Seat, Skoda) à Relizane. Le 12 novembre 2017, PSA annonçait l'implantation d'une usine de fabrication et de montage dans la banlieue d'Oran.

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le petrole s'effondre :

urs officiel du pétrole
Cours du baril de pétrole en euro dollar
Mardi 13 novembre 2018 19:22
Le Cours du baril de pétrole en dollars: 56.17 $ (-3.76 6.27% )
Le Cours du pétrole Brent en dollars: 65.94 $ (-4.18 5.96% )

Si cela perdure, les prévisions sombres du FMI seront a revoir encore à la baisse….

Les réserves de change sont en train de fondre comme neige au soleil. 33 milliard USD en 2021 et probablement ça va empiré avec cette tendance baissière.

Leur pétrole et son argent les a maudit, l'argent petrodollars qu'ils ont investi pour faire du mal au Maroc via polizero, cette manne disparaît petit a petit. Dieu est grand quand tu fais du mal il se retourne contre toi, et c'est que le commencement. Que Dieu maudisse ceux qui ont fait du mal a mon pays.

Le FMI prévois un pib de 188 milliard $ ( grâce à 'à planche à billet) les réserves passent sous la barre des 80 milliard en décembre !

Incha'Allah Bouteflika fini un 5eme mandat Smile

Leur stratégie industriel automobile est magique !

Ilssokt entrain de finir pour 100 milliards de programme d'unvestisslernt lance début 2010 dans budget ni plan pour entretenir le tout !

Je plein l'Algérie en 2030...

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Nous serions aussi à plaindre quand on aurait à nos frontières 40 millions d'affamés, armés en milices .... Se sera la Syrie puissance 1000... et notre sécurité nous coûterait notre économie.....

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Ne parlont pas trop vite, l'Arabie Saoudite va baisser sa production pour maintenir un prix élevé

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RED BISHOP a écrit:: Ne parlont pas trop vite, l'Arabie Saoudite va baisser sa production pour maintenir un prix élevé

elle demande une réduction de 1 millions barils jours….ça a été pris en compte dans les cours actuels...le monde est en surproduction…

ensuite, réduire sa prod. C'est réduire ses entrées devises …..on verra les volontaires.

L'iran ça inonder le marché noir donc ça servira à rien !

En outre les politiques d'énergie renouvelables mise en place commence à avoir un impacte sur la consommation mondiale

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Zazaire ! Et ça veut concurrencer le Maroc lol!

http://m.le360.ma/monde/le-poste-frontiere-entre-la-mauritanie-et-lalgerie-deja-ferme-178487

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avant de s'ouvrir sur l'export il faut déjà avoir un marché interne mature, des entreprises productives et qui ont atteint une certaine économie d'échelles, eux ils importent même le lait et la patate et veulent exporter à la Mauritanie vraiment du nif à en mourrir

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"La stratégie est comme l'eau qui fuit les hauteurs et qui remplit les creux" SunTzu

Non mais le pire c'est cette histoire de carburant Laughing

à mourir de rire !

Ou Mazal, ils s'imaginent que leur futur port ( qui tarde à voir le jours) va servir de déboucher au pays subsahrien et que ces dernier seront l'interland du port Actualités Algeriennes - Page 8 Icon_mrg

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Invité

RED BISHOP a écrit:: Ne parlont pas trop vite, l'Arabie Saoudite va baisser sa production pour maintenir un prix élevé

Les Etats-Unis sont devenus le premier producteur mondiale de pétrole et n'a jamais autant peu importer de pétrole. L'économie chinoise tourne au ralentit, l'Allemagne vient de déclarer une décroissance pour le trimestre précédent. Les importations en hydrocarbures des pays Occidentaux reste stable voir chute (pour les Etats-Unis). En plus, plusieurs pays pourront importer du pétrole iranien même si faiblement.

L'économie mondiale n'est pas au top et donc la consommation de pétrole reste stable alors que la production est élevée. Les pays comme la Turquie ou la Chine souhaite profiter du schiste.. Il y aussi l'énergie propre qui arrive a grand pas, c'est devenu une question stratégique pour chaque pays..

Sauf tension dans le Golfe, les prix risque de rester stable..

il y aaussi une reorientation voir une mutation vers des energies renouvelables /propres

EX LA CENTRALE GEANTE DE NOOR 1 QUI VA DEMARRER fin d'année

Invité

atlas a écrit:: il y aaussi une reorientation voir une mutation vers des energies renouvelables /propres

EX LA CENTRALE GEANTE DE NOOR 1 QUI VA DEMARRER fin d'année

La meilleure énergie reste le nucléaire (qualité/prix), cela va s'accentué avec l'arrivée des centrales à Fusion. Mais un bon alternative pour les pays qui n'ont pas le nucléaire ou sinon qui en veulent pas. Le coût d'une centrale nucléaire est de 20 milliards pour une durée de 60 ans, le coût pour le solaire est de 76 milliards $ et 55 milliards $ pour la même production d'électricité.

la fameuse route transaharienne vue que leur frontiere sud est tres mal controlée je dirais meme pas controlée du tout cette route servirait a nous inonder de clandestins ce serait plus facile pour tout ce beau monde d'atteindre la frontiere algerienne et par consequent la frontiere marocaine

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Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

sur les 47 camions qui ont acheminé les produit de la foire des produits algeriens a nouakchott ils ont enregistré une perte de 12 pneu lors de la traversée de la piste de 900km non goudronnée
http://www.cridem.org/C_Info.php?article=716956

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Citation :: "je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme "
Hassan II 1996

Sputnik a écrit:: Air Algérie fait-elle voler ses avions sans révision technique préalable?

Suite au débrayage des techniciens de la maintenance dans les aéroports algériens, on ne sait pas qui révise les avions d’Air Algérie, a déclaré le premier responsable syndical de ce corps professionnel en tirant la sonnette d’alarme quant au danger de faire décoller les aéronefs sans contrôle technique préalable.

Dans le contexte de la grève de ses techniciens de maintenance depuis le 11 novembre, on ne sait pas si la compagnie aérienne Air Algérie a fait appel à des professionnels étrangers ou au sein de l'armée algérienne pour assurer l'entretien de ses aéronefs, ou si elle les fait décoller sans contrôle technique préalable. C'est ce qu'a déclaré le 14 novembre Ahmed Boutoumi, le président du Syndicat des techniciens de la maintenance (SNTMA) de la compagnie algérienne, lors d'un entretien avec la chaine satellite privée Ennahar TV, dégageant ainsi toute responsabilité de son organisation quant à ce qui pourrait advenir.

«Nous sommes responsables de nos actes et nous considérons que le fait de faire voler les avions sans maintenance préalable représente un véritable danger pour les passagers», a déclaré le responsable syndical.

Selon ce même représentant des travailleurs, dans plusieurs pays européens, les responsables d'aéroports auraient d'ores et déjà mis en garde leurs homologues d'Air Algérie quant aux répercussions de la grève de ses techniciens de maintenance sur la sécurité. Sur cette question, M.Boutoumi, a rejeté toute responsabilité de son corps professionnel au cas où un accident grave survenait faute de maintenance des avions de la compagnie algérienne.

S'exprimant sur le licenciement «abusif» de douze ingénieurs et la suspension de quatorze mécaniciens grévistes par la direction générale de la compagnie aérienne, le syndicaliste a précisé que ces décisions ont eu pour effet d'étendre le mouvement de grève à l'ensemble des aéroports du pays, alors qu'il se cantonnait au départ à l'aéroport d'Alger. «On est tous prêts à être licenciés», a-t-il encore renchéri.

Parmi les revendications du SNTMA, on compte notamment, «la révision de la grille des salaires et des primes conformément aux dispositions de la convention collective», «l'accélération de l'intégration des travailleurs sous contrats à durée déterminée» et «l'arrêt des mises à pied abusives et des ponctions sur salaires sans motifs valables», selon Ahmed Boutoumi.

Pour rappel, la direction générale d'Air Algérie a appelé le mardi 13 novembre dans un communiqué les techniciens de la maintenance à la responsabilité, en affirmant qu'en réponse aux revendications syndicales citées ci-dessus, des «gratifications» ont été accordées aux travailleurs au détriment de l'investissement.

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Invité

C est bizarre mais je trouve Sputnik et même RT pas très pro algérien

Dans de nombreux article ils taclent sévèrement l'algerie

Ils sont moins virulent sur la.maroc voir peu être même plus pro Maroc.

Bizarre comme.position, l Algérie étant plus proche de la.russie j' aurais pensé le contraire venant de leur part.

On doit pas lire le même Sputnik Laughing

Ils sont ultra pro Algérie lorsqu'il s'agit du Sahara ( les articles sont écrit par des algériens)

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Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire

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Oui tu sais pourquoi Alloudi, RT et Spoutnik en français de fait ce sont des journalistes francophones installés en France mais affiliés a la droite/extrême droite francaise au niveau des idées , donc nostalgique algerie française. .. donc ça tacle a la gorge dans les articles.
Quoique ceux qui ont le pouvoir en Algérie depuis l'indépendance sont tous francophones francophiles , leurs enfants font leurs études en France, madame fait son shopping a Paris. .. guerre d'Algérie ou pas . Breff discours contradictoire victimaire des élites algérienne d'un côté elle se plaignent de la France mais de l'autre lèche cette même France

Donc ces deux organes de presse officiels russes se font souvent porte étendard des thèses de droites en France, Poutine joue en europe sur ces thèses car il sent le vent tourner, soutien financier Marine le Pen etc je suis pas étonné de ces articles, c'est aussi pour plaire a un certain public en France.

Invité

Oui Fahed, il peuvent être pro dz et ils le sont surtout quand il s' agit de l'anp et matériel russe biensure

Peut être Sahara aussi j' ai pas fait attention

Mais il n hésitent pas une seconde à les tacler aussi quand l'occasion Se présente

Alors que d habitude, ils défendent, de maniere acharné, tout ce qui est de près ou de loin pro russe.

Tu a sûremente raison Farsoldier, le positionnement populiste doit justifier ce genre d articles qui casse de l' Algérie.

Quand ca tacle l'Algérie, en général derrière il y a un coup à la gorge du Maroc!... patience.

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L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.

feu Hassan II.

https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ

World Politics Review a écrit:: Are Bouteflika’s Shake-Ups a Sign of Shifting Civil-Military Ties in Algeria?

Since last June, Algeria’s 81-year-old president, Abdelaziz Bouteflika, has been dismissing high-profile security officials at an unprecedented rate. A who’s-who of top brass from the police, the gendarmerie and most importantly the army, which has long been the backbone of the Algerian regime, have all been replaced—and all without any public explanation from Bouteflika or his inner circle.

The shake-ups, which seemed to have concluded in late September, ousted around a dozen senior generals and regional army commanders, including the director of defense personnel, the chief of the army’s powerful Central Security Directorate, the commander of the ground forces and the head of the air force. Five of those generals were then jailed in October, apparently on charges of corruption and other wrongdoing. Last week, Bouteflika reportedly released the five generals, according to Reuters.

Among the Algerian public and outside observers, speculation abounds about why Bouteflika made these moves and what they say about the nature of his relationship with the military. Considering the president’s poor health and the uncertainty over his succession, with presidential elections looming in April 2019, there are questions about whether the reshuffles indicate a renegotiation of civil-military relations in Algeria at a time of political and economic trouble, with Bouteflika possibly running for a fifth term next year.

Yet these questions overlook the power and popularity the military enjoys in Algeria, and how closely linked it still is to the presidency. Throughout his 19-year tenure, Bouteflika has garnered a reputation from some as the president who managed to keep the military and its security branch in check after the dark decade of the 1990s, when Algeria fought a brutal civil war against various Islamist militants after the military seized power and invalidated the 1991 elections won by an Islamist party. But that view of Bouteflika generally misses the mark, as the military and security apparatus have been stronger than ever under his presidency.

Bouteflika has overseen a rigorous program of professionalizing the army, but that has not translated into its de-politicization. On the contrary, it has increased the potential for the military’s continued intervention in politics, even with the recent dismissals of senior generals.

The professionalization of the army—turning it into the most advanced military in North Africa, one that is closely involved in fighting extremist groups alongside its Western partners—meant the introduction of modern equipment and technology, the upgrading of facilities and procedures for conscription, recruitment and promotion, as well as the strengthening of training and education. Individuals were dismissed or retired at several levels and replaced by more professional cadres, specialist officers and military experts. More competent and relatively younger commanding officers have been appointed and the command structures revamped.

But this process did not lead to the complete subordination of the military command to civilian officials. Overall, the role of the Algerian army within the state has changed very little. The army and its commanding officers essentially civilianized themselves, but they still hold the power.

Civil-military relations in Algeria are a product of the country’s post-colonial history. No matter their differences, the various factions and clans of the military establishment are bound together by a consensus over what they consider to be their historic mission: protecting the nation. In the 1950s, the army not only played a pivotal role in the war of independence against the French, it also had a strong nationalist component as it emerged from below, its ranks filled by young, often poor Algerians. During the 1960s and 1970s, the army, controlling the levers of the economy, was an agent of fundamental socioeconomic development and drove the country’s industrial growth. But its reputation sank in the late 1980s, when security forces responded to nationwide protests in 1988 with indiscriminate violence, which destabilized the one-party regime that had ruled Algeria since independence.

Paradoxically, it was the army’s intervention during the 1990s, despite numerous abuses, that gave it back its lost legitimacy in the eyes of many Algerians. The military’s capacity to neutralize the threats of terrorism and keep Islamists far from power preserved its image as national savior. Ever since, the army has retained its central role in Algeria’s political system.

In addition to this self-image, there is consensus among the military establishment over its other mission: being the arbiter of the civilian leadership. With each intervention into politics—the 1965 military coup when Houari Boumedienne deposed Ahmed Ben Bella, the 1988 riots, and 1991—the army sought to further institutionalize and guard its political prerogatives. The decision to interrupt the electoral process in December 1991, after the Islamic Salvation Front, or FIS, won the most parliamentary seats in the first round, and create the High Council of State in January 1992—a collective presidency set up by the military themselves—is a case in point.

From the very start, the military high command, which was staunchly secular, had a thorny relationship with the FIS. But it had little trouble dealing with the Islamists on its terms. Within three months, the judiciary banned the FIS altogether and its leaders were jailed. When violence from jihadist groups escalated all around the country, the military intervened directly. It was only a decade later at the end of the civil war, after the election of Bouteflika as president, that the military went back to its usual role as arbiter from behind the scenes.

The generals gave the impression that they went back to their barracks while the state became more civilian. But the narrative of military uniforms being replaced by civilian suits was an illusion that allowed the military to maintain the existing institutional structure while playing down the state’s military origins. To cement their power over the state and its functions, the military built an extensive economic network. The interconnectedness between civilian officials, business leaders and military officers is so strong that despite their differences, they all share a stake in maintaining the status quo.

The army has now firmly entrenched itself as an integral feature of the political system—a system in which the legitimacy of the military’s political influence is hardly questioned by Algerians. It goes beyond popular acquiescence about the generals’ role in politics. In Algeria, the military constitutes the most trusted state institution, and by a wide margin. According to a 2017 survey of a broad spectrum of Algerian society by the Arab Barometer, an overwhelming 75 percent of respondents said that the armed forces were the most trusted institution in the country. Parliament and the political parties were the least trusted, by only 14 percent and 17 percent, respectively.

For all the attention on Bouteflika’s extensive shuffling of the army ranks, they hardly reveal a shift in civil-military relations, even at a time of political uncertainty in Algeria. The one certainty is that the army is powerful, and popular, and that is likely to continue.

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