Actualités au Moyen Orient

Rappel du premier message :

Kursad2 a écrit:

La Turquie n'est pas un pays musulman en soit. C'est pas parce qu'Erdogan dit des choses par populisme que l'État Turc est un État musulman. Aucune loi, aucun article de la constitution parle de l'islam. Erdogan est au pouvoir depuis le début des années 2000 mais il n'a jamais introduit un seul mot d'Islam au sein de l'État (constitution et loi).
Et puis Musulman ca veut dire quoi? Le petit-fils du Prophète sws est mort au bord de l'Euphratr avant d'atteindre l'Euphrate.
La politique étrangère ne doit jamais faire l'objet de sentimentalisme et d'idéologie. C'est pour ça qu'on a de mauvaise relation avec Israël entre autres car même si les intérêts sont communs les idéologies divergent.
Les Syriens et les Irakiens sont accueillit en Turquie mais ils devront regagner leur pays une fois la guerre finie. C'est déjà le cas de l'Irak.

Merci pour ta sincèrité et sa profondeur.

Citation :

Téhéran promet de répondre à l'attaque présumée d'un tanker iranien en mer Rouge


Téhéran, 12 oct 2019 (AFP) -

L'Iran a promis samedi de ne pas laisser sans réponse les "probables" frappes de missile contre un de ses tankers la veille au large des côtes occidentales de l'Arabie Saoudite, selon l'agence semi-officielle iranienne Isna.

Le secrétaire du Conseil suprême de la sécurité nationale, Ali Shamkhani, a déclaré que des indices ont été découverts "en examinant les vidéos disponibles et les preuves rassemblées par les renseignements" sur l'identité de l'auteur de ce qu'il a qualifié d'"attaque au missile" contre le tanker iranien Sabiti, sans donner plus de précisions.

"La piraterie maritime et la cruauté dans les eaux internationales (...) ne resteront pas sans réponse", a-t-il dit selon Isna, mettant en garde contre les "risques inquiétants" qui pèsent sur l'économie mondiale à cause de l'insécurité dans les eaux internationales.

Cet incident survient sur fond de vives tensions entre l'Iran d'un côté et l'Arabie saoudite et son allié américain de l'autre, ces derniers ayant accusé Téhéran d'être derrière des attaques contre des sites pétroliers saoudiens en septembre, allégations démenties par la République islamique.

L'attaque présumée de vendredi survient aussi après la saisie de plusieurs tankers par l'Iran ces derniers mois dans le Golfe et l'arraisonnement en juillet au large de Gibraltar (extrême-sud de l'Espagne) d'un pétrolier iranien, autorisé à repartir en août.

La National Iranian Tanker Company (NITC), propriétaire du tanker Sabiti, a déclaré que la coque du pétrolier avait été touchée par deux explosions "probablement causées par des frappes de missile" à environ 100 kilomètres des côtes saoudiennes, au large du port de Jeddah (ouest).

Mais la compagnie étatique iranienne (NITC) a nié des allégations selon lesquelles l'attaque avait été perpétrée depuis le sol saoudien.

Selon la NITC, ces explosions ont causé une fuite de pétrole en mer Rouge maîtrisée par l'équipage du navire qui, d'après le site TankerTrackers, transporte un million de barils de pétrole.

Selon le site de suivi du trafic maritime Marine Traffic, le Sabiti était toujours en mer Rouge samedi en début d'après-midi, à environ 400 kilomètres au sud du port saoudien de Jeddah.

Le porte-parole du gouvernement iranien Ali Rabii a déclaré samedi dans un communiqué que l'attaque du tanker était "lâche" et a affirmé que Téhéran donnerait "une réponse proportionnée" après le résultat de l'enquête.

https://www.marine-oceans.com/actualites/19338-teheran-promet-de-repondre-a-l-attaque-presumee-d-un-tanker-iranien-en-mer-rouge

Citation :

Pour l'Iran, des bases militaires turques en Syrie seraient "inacceptables"


AFP 21/10/2019

L'Iran a qualifié lundi d'"inacceptable" toute initiative de la Turquie visant à établir des bases militaires en Syrie, où Ankara a lancé une offensive dans le nord contre des combattants kurdes, suspendue après un accord de trêve.

"Les Turcs peuvent avoir les bases qu'ils veulent et faire ce qu'ils souhaitent sur leur propre territoire et au sein de leurs frontières, mais si vous parlez de (...) l'établissement de bases turques en Syrie, c'est inacceptable", a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Abbas Moussavi. Une telle initiative serait considérée par Téhéran comme une "agression contre la souveraineté nationale et l'intégrité territoriale d'un Etat indépendant", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse retransmise à la télévision d'Etat. "Naturellement, elle fera l'objet d'une opposition de la République islamique d'Iran et d'autres pays", a poursuivi M. Moussavi.

L'Iran, engagé militairement en Syrie au côté du régime dans la guerre qui déchire le pays depuis 2011, a appelé à plusieurs reprises à la fin de l'offensive turque, lancée le 9 octobre contre les forces kurdes.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré vendredi que la Turquie prévoyait d'établir 12 postes d'observation en Syrie. Il a aussi menacé de reprendre son offensive si les forces kurdes ne se retiraient pas d'un secteur frontalier avec la Turquie comme le prévoit une trêve négociée le 17 octobre par Washington.

La trêve, qui expirera mardi à 19H00 GMT, vise à permettre à la milice kurde des Unités de protection du peuple (YPG), considérée comme "terroriste" par Ankara, de quitter ses positions situées près de la frontière turque. Elle vise aussi à permettre à Ankara de mettre en place une "zone de sécurité" dans ce secteur.

"Nous n'avons aucune intention de rester" dans le nord de la Syrie, avait néanmoins affirmé M. Erdogan vendredi. "C'est hors de question".

https://www.lorientlejour.com/article/1191997/pour-liran-des-bases-militaires-turques-en-syrie-seraient-inacceptables.html

Al-Baghdadi est mort durant un raid mené cette nuit par des forces spéciales US au large de la frontière turco-syrienne

Citation :

Isil leader Abu Bakr al-Baghdadi reportedly killed in US forces raid

Abu Bakr al-Baghdadi, the leader of the Islamic State, is reported to have died following a US military raid in north-west Syria.

Baghdadi, whose real name is Ibrahim Awwad Ibrahim Ali Muhammad al-Badri al-Samarrai, is thought to have killed himself with a suicide vest as US special operations forces descended, according to media citing multiple government sources.

He was with two wives, who are also reported to have been killed by the blast, and children which are believed to still be alive.

The raid, which began after midnight, targeted a compound Baghdadi and his family were thought to have been staying in Barisha village in Idlib province near the Turkish border.

In a video which is thought to have captured the raid helicopters and heavy clashes can be heard.



Turkey's official news agency Anadolu said eight US helicopters and two drones participated in the operation and that it lasted 90 minutes.

A senior Iraqi official told the Telegraph they obtained information on Baghdadi's whereabouts from members of his inner circle, arrested in Iraq back in September.

"We arrested one of Baghdadi's wives, his nephew and the wife of one of Baghdadi's courier's," the official said. In interviews, the latter gave up information on the leader's whereabouts and the coordinates in Idlib. "He wasn't very mobile" he said, suggesting he had had been in the province for at least the last two months.

He confirmed the Iraqi National Intelligence Service shared the information with the US shortly after.

Intelligence was reportedly recovered by US special forces soldiers before the compound was then hit by an air strike to prevent the building from becoming a shrine to the terror leader.

President Donald Trump gave an indication that something was afoot earlier on Saturday night when he tweeted without explanation: “Something very big has just happened!”

The White House announced Mr Trump would make a "major statement" on Sunday at 1pm GMT, without elaborating.

A Pentagon official said he was “dead” pending verification. It is understood that the US was currently carrying out biometric work to formally identify the dead.


https://www.telegraph.co.uk/news/2019/10/27/chief-abu-bakr-al-baghdadi-reportedly-killed-us-forces/

Ça ne fera jamais que la douzième fois qu'il se fait tué. C'est plus un terroriste, c'est Terminator.

Mise en retraite après de bons et loyaux services.

Alloudi a écrit:

Mise en retraite après de bons et loyaux services.

Après Al-Qaïda et Daesh, à venir, le 3ème opus...avec son nouveau "héro"...et ses millions de victimes musulmanes.

La seule question est: quelle régiin du globe va en faire les frais?

Comme par hasard la mort de benladen a eu lieu au début des premières contestations dans le monde arabe et là ça coïncide avec la deuxième vague de contestations.

A un an des elections americaine....

Difficile de ne pas penser à un deal avec les turcs.

PGM a écrit:

Difficile de ne pas penser à un deal avec les turcs.

+ 1 .... les Turcs savaient ou il se trouvait c'est sur, et peut-être les Qataris aussi . Il n'y a pas de secret, le mec se planquer dans une zone pleine d'insurgés pro Turquie-Qatar, difficile de ne pas savoir que il se cache ici.
Les Turcs on fait de Baghdadi une monnaie d'échange pour rentrer en Syrie avec soutien US.

Comme les pakistanais avec Ben Laden, leur SS le protéger.

Officiel : Démission du gouvernement Hariri. Le Hezbollah tombe aussi .
Le Liban va vers l'inconnu politique.

Les images par drone lors de l'attaque sur la maison de Baghdadi. 

Citation :

La US Navy forme ses alliés pour "protéger la navigation" dans le Golfe


A bord du RFA Cardigan Bay dans le Golfe, 5 nov 2019 (AFP) -

Les Etats-Unis mènent avec leurs alliés du Golfe des manoeuvres destinées à les former à la "protection de la navigation" dans cette région, stratégique pour le transport maritime mondial et théâtre d'attaques contre des pétroliers imputés par Washington à l'Iran.

Ces manoeuvres de trois semaines, baptisées International Maritime Exercise (IMX) et lancées le 21 octobre, sont les deuxièmes plus importants exercices maritimes du genre en envergure. Il s'agit de la sixième édition de l'IMX, lancé pour la première fois en 2012.

Un total de 5.000 militaires y participent, avec 40 navires et 17 avions de 50 pays déployés dans une voie maritime séparant l'Iran des monarchies arabes alliées des Etats-Unis.

"C'est la première fois que nous participons à l'IMX", a indiqué à l'AFP le chef d'une équipe saoudienne de démineurs, Ali Ben Chreidi, à bord du RFA Cardigan Bay, de la Royal Navy britannique, dans le Golfe.

L'officier participait avec son équipe de trois personnes aux exercices du jour consacrés au déminage.

"Nous sommes ici (...) pour augmenter nos capacités et partager notre expertise dans la lutte contre les mines, afin de protéger la navigation", a-t-il indiqué.

Après des attaques ces derniers mois contre des pétroliers dans le Golfe, les Etats-Unis ont formé une coalition maritime pour protéger la navigation dans cette région essentielle à l'approvisionnement mondial en pétrole.

L'Iran, pays riverain du Golfe, a été accusé par les Etats-Unis, des pays occidentaux et l'Arabie saoudite d'être derrière ces attaques, ce que Téhéran a nié.

Bahreïn, qui abrite la cinquième flotte américaine, a rejoint la coalition dès le mois d'août. L'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis ont rejoint cette coalition en septembre.

Côté occidental, le Royaume-Uni et l'Australie sont les principaux membres de cette coalition à avoir accepté de fournir des navires de guerre pour assurer la sécurité de la navigation dans le Golfe.

La majorité des pays européens ont refusé de participer, craignant de nuire à leurs efforts pour sauver l'accord sur le nucléaire iranien de 2015, fragilisé depuis le retrait américain en 2018.

L'Iran, qui se considère comme le gardien du Golfe, a lui présenté un projet régional afin d'assurer "la sécurité énergétique et la liberté de navigation".

https://www.marine-oceans.com/actualites/19448-la-us-navy-forme-ses-allies-pour-proteger-la-navigation-dans-le-golfe

Grosses manifestations en Iran, suite à une hausse du prix de l'essence. Sur Twitter on voit des portrait de Khamenei brûlés en pleine rue etc c'est chaud.
Plusieurs morts et blessés.

Citation :

Des manifestations en Iran contre la hausse des prix à la pompe

https://www.lemonde.fr/international/article/2019/11/16/des-manifestations-en-iran-contre-la-hausse-des-prix-a-la-pompe_6019401_3210.html

Le déploiement des forces russes sur une base abandonnée par les USA en Syrie


https://fr.sputniknews.com/defense/201911151042429691-le-deploiement-des-forces-russes-sur-une-base-abandonnee-par-les-usa-en-syrie---video/

Bachar el-Assad.. Bachar el-Dba3 dictatori , il en vaut pas la peine tôt ou tard il finira ossements pourri , du moins si il est vraiment coupable .. depuis que Trump a tirer 59 Tomahawk il a compris, puis manger ce qui reste en Irak il a raison.Les russes pareil après la défaite en Afghanistan (Stinger, camps de entraînement, CIA) ils sont toujours présents, mais la Syrie et un bon voir le meilleur satellite de la Russie, avec a moindre importance l'Algérie..

[url=]https://www.washingtonpost.com/world/national-security/defense-secretary-says-iran-and-its-proxies-may-be-planning-fresh-attacks-on-us-personnel-in-iraq/2020/01/02/53b63f00-2d89-11ea-bcb3-ac6482c4a92f_story.html]]https://www.washingtonpost.com/world/national-security/defense-secretary-says-iran-and-its-proxies-may-be-planning-fresh-attacks-on-us-personnel-in-iraq/2020/01/02/53b63f00-2d89-11ea-bcb3-ac6482c4a92f_story.html[/url]

Citation :

Airstrike at Baghdad airport kills Iran’s most revered military leader, Qassem Soleimani, Iraqi state television reports

BREAKING: It was not clear who carried out the strike, but the death of Soleimani, the Iranian Quds Force commander, seems certain to send tensions soaring between the United States and Iran.

Defense Secretary Mark T. Esper said Thursday that Iran and its proxies may be preparing renewed strikes on U.S. personnel in Iraq, even as the Trump administration increases the number of troops in the region to guard against what it characterized as sustained Iranian aggression.

“There are some indications out there that they may be planning additional attacks,” Esper said at the Pentagon, a day after members of an Iranian-linked militia, Kataib Hezbollah, withdrew from the area around the U.S. Embassy in Baghdad following their assault on the diplomatic facility.

“So do I think they may do something?” he said. “Yes, and they will likely regret it.”

The attempted siege — in which militiamen threw molotov cocktails, stormed into a reception area and then established a camp outside the sprawling American compound — marked the most intense flare-up in U.S.-Iran tensions in Iraq since the end of the Iraq War in 2011.

The incident has strained relations with the Baghdad government, which has sought to maintain stable ties with both its chief Western backer, the United States, and its powerful neighbor, Iran, and the violence posed a new test of the Trump administration’s hawkish policy against Tehran.

Hours after Esper made his remarks, a suspected drone strike killed a senior Shiite militia figure traveling in a vehicle near Baghdad airport Thursday night. The strike, which the militias were blaming on the United States, could signal a sharp new escalation of tensions in Iraq between the United States and Iran.

A statement from the Popular Mobilization Forces, the leadership of the umbrella organization grouping Shiite militias, said the strike targeted a convoy of two vehicles, killing the group’s head of protocol, Mohammed Ridha, along with an unidentified number of “guests” whom he was escorting from the airport.

There was immediate speculation that the guests may have included Iranians who traveling to Baghdad through the airport, where U.S. troops are based alongside Iraqi security forces. Hisham al-Hashemi, a political analyst close to the government, tweeted that three Iranians were among the dead.

There were reports of gunfire erupting in the airport vicinity at the time of the strike, and the Iraqi Army command said three Katyusha rockets, which are typically fired by Iranian backed militias, exploded nearby.

The Defense Department did not respond to a request for comment.

Kataib Hezbollah’s targeting of the embassy followed U.S. strikes over the weekend on militia facilities in Iraq and Syria. Officials said they came in response to repeated rocket and artillery attacks on U.S. facilities, including one recent incident that killed an American contractor in Iraq. At least 25 militia members were killed in the retaliatory strikes.

Tensions between the United States and Iran have been building. The Trump administration withdrew from the Iran nuclear deal in 2018 and has since imposed new sanctions that have devastated the Iranian economy. In June, President Trump authorized and then called off airstrikes in Iran following Tehran’s downing of an American surveillance drone.

“The game has changed,” Esper said. “And we’re prepared to do what is necessary to defend our personnel and our interests and our partners in the region.”

He said that could include military action to preempt militia attacks if U.S. officials learn about them ahead of time.

Speaking alongside Esper, Gen. Mark A. Milley, chairman of the Joint Chiefs of Staff, said the embassy compound, which contains hardened offices and residences and occupies more than 100 acres in Baghdad’s international zone, remained secure.

“There is sufficient combat power there, air and ground, that anyone who attempts to overrun that will run into a buzz saw,” Milley said.

In response to the attack on the embassy, the administration has deployed 750 troops from a special quick-action battalion from the 82nd Airborne Division to Kuwait, a staging ground for forces going into Iraq. About 100 Marines were sent into Baghdad to protect the embassy.

Milley said the increase in forces in Kuwait was needed in part to compensate for the Marine deployment and ensure readiness to respond to other possible incidents in the region.

About 5,000 U.S. troops are stationed in Iraq as part of efforts to combat the remnants of the Islamic State and support Iraqi security forces. While the number of diplomats there is far fewer than it has been in past years, hundreds of embassy personnel were forced to shelter in safe rooms during the militia siege.

Milley also appeared to question whether the Iraqi government, which includes senior officials seen as having strong allegiances to Tehran, intended to take action to check militia groups.

Last year, Iraqi Prime Minister Adel Abdul Mahdi issued an order aimed at strengthening government control over militia units, which have gained new military and political clout since 2014 because of their instrumental role in battling the Islamic State.

“They have the capability,” Milley said. “It’s a question of political will, and that’s not for us to decide. That’s for the internal political dynamics of Iraq.”

The Iraqi government has been in crisis for months amid massive popular protests focused on widespread corruption and, to a lesser extent, Iranian influence in Iraq. The mass mobilizations prompted Abdul Mahdi to resign late last year, though he remains in office in a caretaker capacity.

It is unclear in the wake of the U.S. strikes and the embassy episode whether some Iraqi politicians’ calls for a full American withdrawal will gain momentum.

Speaking in a subsequent Fox News interview, Esper suggested a potential shift in U.S. strategy in Iraq, saying the Islamic State’s self-declared caliphate “remains physically defeated, if you will,” and now the administration’s “aim is to deter further Iranian bad behavior that has been going on now for over 40 years.”

Asked whether Iranian leaders needed a “punch in the nose” that goes beyond sanctions and tough rhetoric, Esper declined to answer directly. The Trump administration has already sent thousands of troops and additional assets to the Middle East, including missile defense systems, in response to the perceived Iranian threat.

Esper said Iran must end its nuclear and long-range missile programs, stop taking hostages and move away from “malign behavior where they are inspiring terrorist groups, and resourcing and directing them all the way from Africa across the Middle East and into Afghanistan.”

Col. Myles Caggins, a spokesman for the U.S.-led coalition against the Islamic State, said the embassy episode had not damaged efforts to target the once-powerful militant group, which no longer holds territory but continues to conduct insurgent attacks.

“Although they are a dangerous distraction, recent attacks from Kataib Hezbollah militias have not deterred us from partnering with local security forces for training missions and outside-the-wire operations to catch ISIS members,” he said in an email, using an acronym for the Islamic State.

Oh non, ils ont tué Soleimani ?!

Ça va foutre le bordel, les menaces de Trump n'étaient pas en l'air donc quand il a dit les iraniens vont le payer, à la suite des événements de l'ambassade US de Bagdad. C'est un séisme géopolitique dans la région, ce Trump est vraiment sans limite, sans pitié, tu m'étonnes qu'on lui lâche des milliards en armement

Sortez le pop-corn, j'attends avec impatience la réaction iranienne

a big fish ! la situation risque d'exploser c'est aussi un grand ennemi du Maroc bon débarras
la CIA a dû préparer l'opération depuis des mois

FAMAS a écrit:

a big fish ! la situation risque d'exploser c'est aussi un grand ennemi du Maroc bon débarras
la CIA a dû préparer l'opération depuis des mois

Les israéliens aussi sur le coup c'est sûr, déjà ils voulaient sa tête depuis 2006 et la guerre au Liban, c'était lui aux manettes contre tsahal. Ils l'ont raté un jour avec Nasrallah .

Trump on beau dire mais il est plutôt "patient" mais quand ça tomba, ça tombe "juste" la ou ça fait mal....

Les iraniens viennent de perdre une pièce maîtraisse de leur jeu.

les iraniens se sont pris beaucoups de petite claques en Syrie sans possibilité de réagir, mais cette fois ci la cible n est pas un simple milicien ou proxy du hezb, mais un haut gradé de l'armée iranienne.cest un motif de casus belli,

C'est quasiment une déclaration de guerre ça, attention ... tuer un général et quel général, en exercice , d'une armée régulière certes backé par des milices pro-Iran etc, c'est une déclaration de guerre. Leur convoi à été dévasté , une kalash d'un des gardes du corps, avec des lambeaux humains , bref un carnage.

je suppose un navy seal au sol a désigné la cible, et une JDAM tirée par un EF-18 qui a suivi la voiture et l'a envoyé aux enfers

Spoiler: