Armée Espagnole/Fuerzas Armadas Españolas

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Navantia livrera d’ici la fin de l’année le sous-marin “Tramontana” à la marine espagnole


Par Rédacteur en chef.
Publié le 16 décembre 2016, dernière mise à jour le 16 décembre 2016.


Sauf contre-temps de dernière minute, la marine espagnole doit recevoir d’ici la fin de l’année le sous-marin Tramontana qui termine sa période de grand carénage. Cette période avait commencé en juillet 2014. Il s’agit de travaux de maintenance complets, indispensables pour qu’il puisse continuer à naviguer.


Il devrait s’agir du dernier grand carénage de ce sous-marin espagnol de la classe Agosta. Il a duré plus que les 18 mois prévus, puisque des travaux supplémentaires ont été ajoutés. En plus du grand carénage, la marine espagnole a fait procéder au remplacement des moteurs électriques principaux et des batteries.

Le sous-marin avait été remis à l’eau au printemps dernier pour effectuer des essais à la mer.

Le sous-marin devrait pouvoir rester en service jusqu’en 2021, moment auquel devrait être mis en service le premier des nouveaux sous-marins S-80, l’Isaac Peral (S-81).

D’ici là, la marine espagnole envisage d’effectuer des grands carénages sur ses 2 autres sous-marins, le Galerna et le Mistral, dont ce serait le 5è.

Les retards dans la construction des sous-marins S-80 et l’étude favorable de DCNS, qui les a conçus, rendraient ces travaux nécessaires.

Référence :  Defensa (Espagne)

http://www.corlobe.tk/spip.php?article42562  

Le navire Furor de la Marine et Navantia avancent dans le développement et l'intégration de véhicules sans pilote

Lors des manœuvres OTAN DYMS23 qui se déroulent au Portugal, le système NAIAD a été testé sur des véhicules espagnols tels que l'hélicoptère sans pilote Alpha 900.

Les entreprises espagnoles continuent de travailler sur l'avenir de la défense, qui implique des véhicules autonomes sans pilote, qu'ils soient aériens, terrestres ou navals. Dans ce cas, Navantia Sistemas est l'entreprise qui a participé aux exercices OTAN DYMS23, qui se déroulent entre Troia et Sesimbra (Portugal) au cours de la seconde moitié du mois de septembre.

Ainsi, le Maritime Action Ship (BAM) Furor (P-46) participe à ces exercices en intégrant jusqu'à quatre véhicules sans pilote (UXV) dans son système de combat, tous conçus et produits par des entreprises espagnoles.

Les véhicules sans pilote sont actuellement considérés comme l’une des 10 technologies les plus disruptives du 21e siècle, avec une croissance attendue de 20 % par an au cours des 10 prochaines années. Ces véhicules sont devenus un facteur démultiplicateur des capacités de la Force navale et un facteur de supériorité technologique dans les opérations.

La participation de la Marine à l'exercice DYMS-23 offre une opportunité optimale pour promouvoir le développement et l'utilisation de véhicules sans pilote ; mais aussi pour la formation de ses unités, puisqu'il permet d'intégrer de nouveaux concepts et technologies aux opérations navales dans des environnements « multidomaines ».

DYMS-23 est un exercice éminemment naval dans lequel, par le biais d'une coopération multilatérale, la Marine contribue au renforcement de la posture de dissuasion et de défense de l'OTAN, garantissant que la composante maritime reste à la pointe du développement technologique.

Dans ce contexte, Navantia déploie ses capacités d'intégration de véhicules sans pilote à travers le système NAIAD (Naval Advanced Integrated Autonomous Vehicles Defense System), développé par cette société. Ce n'est pas la première fois qu'il le fait, puisqu'en 2021 il a participé aux exercices REPMUS et en 2022 aux exercices DYMS, mais cette fois il le fait avec une version mise à jour et de nouvelles capacités.
Avec le système NAIAD installé à bord du BAM Furor et en transit vers Sesimbra, les données et vidéos reçues des véhicules autonomes ont été surveillées, et les communications entre le NAIAD embarqué et le NAIAD au sol, installées pour ces tests à la base navale de Troia. Base.

L'un des véhicules sans pilote espagnols à bord du Furor est l'hélicoptère Alpha 900, fabriqué par la société Alpha Unmanned Systems (AUS), basée à San Sebastián de los Reyes. Cet hélicoptère a été choisi par plusieurs pays pour leurs forces armées, comme la marine grecque ou le ministère de la Défense des États-Unis. L'incorporation de ce type de drones a eu lieu pour la première fois dans les opérations navales de l'Alliance Atlantique (OTAN), étant intégrée lors des exercices REP (MUS) 22 qui ont eu lieu dans les eaux portugaises en 2022 et ont été testés à nouveau cette année en les manœuvres Dynamic Messenger 2023 (DYMS), qui, selon l'Alliance, visent à "renforcer l'intégration des UxV dans les opérations navales".

En 2022, le système IRIS de GMV s'est révélé clé par sa capacité à garantir l'interopérabilité ISR dans les opérations militaires, permettant la communication et l'échange d'informations entre drones, systèmes de contrôle embarqués et systèmes au sol.

IRIS et NAIAD sont des systèmes bidirectionnels qui offrent une interface unique, permettant à plusieurs drones de partager des données telles que la position, l'état et le signal vidéo en toute sécurité avec n'importe quel utilisateur, non seulement depuis la zone de mission, mais également depuis n'importe où ailleurs via le CSD. (Coallition Shared DataServer), selon un communiqué de presse d'Alpha.

L'Alpha 900 est un drone polyvalent capable d'effectuer diverses tâches, de la surveillance et de la sécurité maritimes aux applications agricoles avec des caméras multispectrales ou au transport logistique de marchandises. Il a une capacité de charge de 1 kilogramme pendant 4 heures ou de 6 kilogrammes pendant 1 heure. Il a une portée opérationnelle allant jusqu'à 50 kilomètres avec une capacité de vol maritime, une référence de vol basée sur un navire et un décollage et un atterrissage verticaux automatiques sur les navires en mouvement. Il dispose de systèmes électroniques protégés contre les interférences électromagnétiques, de batteries redondantes, d'un générateur jusqu'à 150 W, de moteurs redondants, d'un radioaltimètre, de feux de navigation et d'un système de navigation refusé par GPS.
Les caractéristiques de l'A900 sont les suivantes :

– Décollage et atterrissage verticaux autonomes sur navires en mouvement

– 4 heures de vol sans escale

– Rayon d’action opérationnel de 50 km

– Altitude jusqu'à 10 000 pieds

– Vitesse de vol 58 km/h

– Vitesse maximale : 100 km/h

– Charge utile jusqu'à 4 kg (dans plusieurs espaces de stockage)

– Générateur intégré de 150 W pour l’alimentation des équipements électroniques

– Navigation sans dépendance au GPS

– Autorotation et capacité flottante

– Spécifications de construction OTAN (STANAG)

L'A900 est un drone spécialisé, pour un « métier » bien précis et sa mission principale est de fournir une image au capitaine d'un navire de guerre, à grande distance.

Navantia a collaboré avec la société espagnole Hisdesat pour l'utilisation des communications par satellite lors de ces exercices. L'utilisation de ce type de communication a permis, en utilisant les équipements propres du navire, d'établir la connexion entre les deux systèmes. Cette solution vous permet d'avoir à bord une réplique fonctionnelle du NAIAD partout dans le monde, sans limitation de distance.
Au cours des exercices, il a été démontré que ce système est capable d'intégrer tout type de véhicule sans pilote dans le système de combat SCOMBA de la Marine espagnole, développé par Navantia, ainsi que d'envoyer les informations des véhicules sans pilote à d'autres centres de commandement et de commandement. Contrôlez à la fois sur terre et à bord d'autres navires.

De même, le système NAIAD constitue une avancée majeure dans la normalisation du commandement et du contrôle des systèmes sans pilote dans le cadre des protocoles OTAN en cours de définition. Grâce à NAIAD, les informations, données et vidéo, collectées par les capteurs des véhicules sans pilote sont envoyées au système de combat et intégrées dans les consoles SCOMBA. Grâce à ces informations, les opérateurs de systèmes de combat peuvent surveiller les véhicules et commander des missions de surveillance et de protection de biens ou d'installations stratégiques.
Navantia avance dans le développement et l'intégration de véhicules sans pilote, en ligne avec son positionnement en Europe à travers sa participation à des projets tels que USSP ou Euroguard. La prochaine étape est l'intégration dans le Combat System de véhicules autonomes opérant en essaims, à travers le projet SWAT-SHOAL, porté par Navantia. L'intégration des essaims dans le système de combat permettra d'optimiser à la fois les tâches de surveillance et de protection et d'étendre les capacités dans d'autres missions telles que la guerre des mines ou le soutien aux opérations amphibies.

Les exercices DYMS23 offrent à la Marine espagnole l'opportunité de tester des concepts opérationnels et des doctrines pour l'utilisation de véhicules sans pilote dans les opérations tactiques navales. Pour Navantia Sistemas, c'est particulièrement important car il met sur le marché un nouveau système au monde, que jusqu'à présent personne n'a développé et testé.

La marine espagnole sera renforcée par deux frégates F110 supplémentaires, spécialisées dans la lutte anti-aérienne et anti-missile. La marine espagnole ferait progresser sa programmation afin de pouvoir opérer, au début de la prochaine décennie, avec une douzaine de frégates polyvalentes modernes qui couvriraient des capacités anti-sous-marines, anti-surface, anti-aériennes et anti-missiles.

Il est déjà autorisé que les cinq de type F100 en service depuis quelques années, et qui pourraient être modernisés au cours de cette même décennie, soient rejoints par cinq autres de la classe Bonifaz déjà désignée. Ces derniers, également connus sous le nom de type F110, avancent déjà dans leur fabrication et en août dernier a eu lieu la cérémonie de pose de la quille du F111 afin qu'il puisse être lancé en 2025.

Jusqu'en 2032, arriveront les quatre supplémentaires, du F112 au F115, déjà sous contrat, des navires qui remplaceront les six actuels du type F80 Santa María coïncidant avec la fin de leur vie utile et concentreront leurs capacités sur la lutte anti-sous-marine. environnement en disposant de deux sonars spécialisés et de la capacité d'opérer avec les huit hélicoptères SH-60R déjà sous contrat qui seront reçus dans les années à venir.

Dans le cadre des projets à long terme de la Marine, on étudie déjà la possibilité d'avoir davantage de navires de type F110, une décision qui bénéficierait d'économies d'échelle et donnerait à Navantia et à d'autres entreprises espagnoles un coup de pouce en termes de travail.

Ce qui est proposé aujourd'hui, c'est de progresser pour en obtenir au moins deux autres, les F116 et F117. Ces deux frégates conserveront un haut degré de points communs avec les frégates polyvalentes précédentes en termes de conception et d'équipement générique, même si les 145 mètres de longueur et 6 100 tonnes de déplacement pourraient, d'une manière ou d'une autre, être augmentées.

Elle chercherait, dans des besoins opérationnels encore à définir, à progresser vers ces grandes unités navales au potentiel polyvalent de guerre navale intégrant quelques évolutions par rapport aux précédentes. Ils pourraient bénéficier, et Navantia avancera sûrement déjà dans les études de compatibilité nécessaires, d'un lanceur d'arc vertical avec un nombre de cellules supérieur aux cinq premiers ou même d'une solution complémentaire en termes de disponibilité d'armes.

Ce que la Marine a identifié comme un besoin à plus long terme, c'est qu'ils soient davantage orientés vers les capacités de défense aérienne et antimissile, de sorte qu'une version évoluée du radar SPY-7 pourrait être optée, encore plus performante que celle qu'ils transportent. premiers F110. Différents missiles anti-aériens pourraient également y être intégrés, qui pourraient être du type SM-3 RIM-161 ou encore ceux du type SM-6 RIM-174 ERAM (Standard Extended Range Active Missile) qui ont des performances améliorées pour éliminer missiles balistiques, en phase terminale de son vol ou avec anti-navire dans sa configuration hypersonique.

Si les projets actuels avancent positivement, la Marine disposerait d'une douzaine de frégates polyvalentes au milieu de la prochaine décennie - aujourd'hui elle en compte onze - et disposerait déjà en cours des futurs F120 nécessaires pour les remplacer dans les années 40 de ce siècle. F100. Très bonne et logique décision sachant que nous souhaitons disposer de réelles capacités pour maintenir la meilleure disposition dissuasive face à toute hypothèse ou menace.

L'Espagne accueille une étape militaire pour l'Union européenne : la Marine prend le commandement de 3 000 soldats de 16 pays dans les eaux de Cadix

L’Europe mettra en pratique pour la première fois sa capacité militaire commune de réponse aux crises lors de l’exercice Milex 23

"Une étape historique pour l'Union européenne", a été si directe la ministre de la Défense, Margarita Robles, en expliquant la pertinence de Milex 23, l'exercice militaire qui aura lieu sur la côte de Cadix à partir de ce mercredi et qui impliquera première occasion où l'Europe pourra mettre en pratique sa capacité de réponse militaire dans le but d'améliorer la gestion des crises. « Les eaux de Cadix vont être un point de référence essentiel et fondamental pour l'histoire de l'UE », a insisté Robles. Ce déploiement, auquel seront impliqués 3 000 soldats et unités navales, aériennes et terrestres de 16 pays de l'UE, sera dirigé par l'Espagne.

Pour cet important entraînement multinational, la participation espagnole sera assurée par le groupe expéditionnaire Dédalo-23, composé du porte-avions Juan Carlos I, des navires d'assaut amphibie Galicia et Castilla, de la frégate Numancia, d'avions de combat Harrier et de divers hélicoptères, sous la direction commandement du contre-amiral Gonzalo Villar, qui est également responsable de l'ensemble de la force militaire qui participera au Milex 23, avec le soutien d'un état-major international.

En ce sens, le contre-amiral a expliqué que la formation sera la première fois que l'UE déploiera des forces réelles dans un exercice et qu'elle sera dirigée depuis un état-major général à Bruxelles. Il simulera un déploiement de l’UE sous l’égide de l’ONU, suite à une prétendue demande d’aide émanant d’un pays non européen. "Il est très important que l'Espagne soit à la tête de ce pays, en profitant précisément de la présidence de l'UE", a déclaré le ministre de la Défense, qui a également souligné que "cet exercice marquera les actions futures du bloc", car l'un des objectifs fondamentaux points cardinaux stratégiques approuvés l’année dernière.

De même, Villar a expliqué que, dans un premier temps, les navires Galicia et Castilla, ainsi que le premier bataillon de débarquement du Tercio de Armada, réaliseront une semaine d'exercices bilatéraux avec le navire amphibie américain Mesa Verde et un bataillon de marines du même pays. au Champ de Manœuvre de Retín, à Cadix. "En plus d'être une opportunité de formation très importante, l'objectif principal est l'interopérabilité, garantissant que nous sommes capables d'opérer ensemble à un niveau qui multiplie notre efficacité commune", a déclaré le contre-amiral. Pour sa part, le commandant du navire Castilla, le capitaine Juan Bautista Payá, a précisé que son navire aura un équipage de 600 personnes, dont 100 femmes. "Nous sommes prêts à prendre la mer demain pour remplir la mission qui nous est assignée", a-t-il déclaré.

Le groupe Daedalus à l’OTAN

Une fois l'exercice Milex terminé, le groupe Dédalo naviguera vers l'Adriatique pour participer aux activités de surveillance renforcée du Neptune Strike, sous commandement de l'OTAN, au cours duquel le Juan Carlos I effectuera des manœuvres conjointes avec des porte-avions des États-Unis et de l'Italie. , Royaume-Uni et Turquie. Plus tard, la force espagnole se rendra en Sardaigne pour participer à l'exercice Dynamic Mariner/Mare Aperto 23, également de l'Alliance atlantique.

Le Ministère de la Défense a expliqué que la combinaison de navires avec des avions, des hélicoptères et des marines présents dans le Groupe Dédalo constitue un élément vital de dissuasion dans les situations de crise, en raison de sa capacité à agir sur n'importe quelle côte depuis les eaux internationales, sans avoir besoin, par conséquent, pour des permis ou des accords avec d’autres pays. "Maintenant que tout le monde sait que notre sécurité est vulnérable, il est important que nous disposions d'une marine préparée, et l'Espagne est un point de référence dans cette opération", a souligné Robles.

Le BAM Meteoro a effectué des exercices avec le patrouilleur INS Sumedha de la Marine indienne en Méditerranée

Activités combinées réalisées entre navires et équipages de la marine espagnole et indienne en Méditerranée. Plus précisément, entre le navire d’action maritime « Meteoro » (P-41) et le patrouilleur de classe Saryu INS Sumedha.

Como fuera reportado desde los últimos meses por el Estado Mayor de la Defensa de España, el BAM Meteoro se encuentra en un despliegue en el Mar Mediterráneo formando parte de los Grupos Permanentes OTAN, los cuales garantizan una presencia permanente de buques de la alianza atlántica en la région. Il est nécessaire de souligner que la présence des unités de la Marine espagnole est composée de divers moyens, parmi lesquels se distinguent les frégates, les navires d'action maritime et les dragueurs de mines, tournant entre eux pendant une période de deux mois entre les Groupes maritimes permanents 1 et 2 de l'OTAN. et les groupes 1 et 2 de mesures de lutte contre les mines de l'OTAN.

Dans ce cadre, le BAM Meteoro de la Marine espagnole a réalisé une série d'activités et d'exercices en haute mer avec le patrouilleur INS Sumedha de la Marine indienne, qui comprenaient des pratiques d'abordage, des manœuvres tactiques et des exercices de communication entre les deux navires. cherchant à garantir des niveaux élevés de sécurité maritime dans la région.

Merci pour le partage Vamtac et merci à vous pour votre aide

Citation :

 OCT 5

Spain to get $2.8 Bn of PATRIOT Configuration-3+ modernized fire units

On October 4, 2023, the US State Department approved a potential Foreign Military Sale (FMS) to the Government of Spain. The proposed sale,
valued at an estimated $2.8 billion, includes the acquisition of 4 PATRIOT Configuration-3+ Modernized Fire Units, including 51 PAC-3
Missile Segment Enhanced (MSE) missiles, 24 PATRIOT M903 launch stations, 4 AN/MPQ-65 radar sets, 4 AN/MSQ-132 Engagement
Control Stations, 2 Information Coordination Central (ICC) units, 8 Antenna Mast Groups, 4 Electrical Power Plants, and 4 Energy Power Units



PATRIOT PAC-3 missile launcher (Picture source: US DoD)


http://worlddefencenews.blogspot.com/2023/10/spain-to-get-28-bn-of-patriot.html  

Citation :

OCT 10

Spain acquires Uro Vamtac ST5 armored ambulances for €6.8 Mn


As reported by InfoDefensa on October 10, 2023, the Spanish Army has planned to augment its fleet of armored ambulances through a 6.8 million
euro investment, inclusive of taxes. This investment aims to procure an unspecified quantity of Urovesa Vamtac ST5 vehicles configured as
armored ambulances, with the delivery scheduled for completion by December 15th.



Uro Vamtac ST5 armored ambulance in service with the Spanish Army (Picture source: Spanish Army)


http://worlddefencenews.blogspot.com/2023/10/spain-acquires-uro-vamtac-st5-armored.html  

The #NH90 fleet passes 10,000 flight hours!
The provides the @EjercitoTierra & @SpainAirForce with new capabilities, fleet rationalisation & safety improvements. The 2nd batch will also provide the @Armada_esp with the most modern amphibious ever operated in Spain. pic.twitter.com/9k081jWZjn

— Airbus Helicopters (@AirbusHeli) October 10, 2023

Citation :

OCT 12

Spain orders Israeli PULS rocket launcher for SILAM army program

On October 10, 2023, the Spanish government took a significant step toward modernizing its military by deciding to procure a locally-produced
version of the PULS artillery systems for its High Mobility Rocket System (SILAM) program. This decision follows the Spanish Council of Ministers'
approval of a €714 million contract and is in line with Spain's wider defense objectives and commitments to NATO.



The PULS can be fitted with two pods able to fire unguided and guided rockets with a range of up to 40 km as well as missiles with a maximum
firing range of 300 km.  (Picture source: Army Recognition)


http://worlddefencenews.blogspot.com/2023/10/spain-orders-israeli-puls-rocket.html  

86 avions ont survolé le ciel de Madrid lors du traditionnel défilé militaire, le jour de la fête nationale espagnole

Quelques matériaux utilisés par l'UME :