Navantia livrera d’ici la fin de l’année le sous-marin “Tramontana” à la marine espagnole
Par Rédacteur en chef. Publié le 16 décembre 2016, dernière mise à jour le 16 décembre 2016.
Sauf contre-temps de dernière minute, la marine espagnole doit recevoir d’ici la fin de l’année le sous-marin Tramontana qui termine sa période de grand carénage. Cette période avait commencé en juillet 2014. Il s’agit de travaux de maintenance complets, indispensables pour qu’il puisse continuer à naviguer.
Il devrait s’agir du dernier grand carénage de ce sous-marin espagnol de la classe Agosta. Il a duré plus que les 18 mois prévus, puisque des travaux supplémentaires ont été ajoutés. En plus du grand carénage, la marine espagnole a fait procéder au remplacement des moteurs électriques principaux et des batteries.
Le sous-marin avait été remis à l’eau au printemps dernier pour effectuer des essais à la mer.
Le sous-marin devrait pouvoir rester en service jusqu’en 2021, moment auquel devrait être mis en service le premier des nouveaux sous-marins S-80, l’Isaac Peral (S-81).
D’ici là, la marine espagnole envisage d’effectuer des grands carénages sur ses 2 autres sous-marins, le Galerna et le Mistral, dont ce serait le 5è.
Les retards dans la construction des sous-marins S-80 et l’étude favorable de DCNS, qui les a conçus, rendraient ces travaux nécessaires.
Référence : Defensa (Espagne)
http://www.corlobe.tk/spip.php?article42562
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Spanish army setting up King Alfonso XIII ‘brigade of the future’ follwing lessons of war in Ukraine
Defense News August 2023 Global Security army industry
POSTED ON WEDNESDAY, 30 AUGUST 2023 08:42
Based on the observation of the course of battles in Ukraine, Spanish strategists conclude that a deep reform of the army structure was necessary, topwar.ru reports, echoing defensa.com: "The lesson of the Ukrainian conflict was the conclusion that changes at the front are happening very quickly", the Spanish Ministry of Defense believes.
"King Alfonso XIII" brigade of the future will be equipped with Dual EIMOS 81mm Onboard Mortar Systems (Picture source: Army Recognition)
In order to prepare for possible battles, an experimental unit is being created on the basis of the "Brigade of King Alfonso XIII", which received the designation "Combat Brigade of the Future". It will have about 3,000 men and 900 pieces of equipment, be responsible for a front of about 100km and consist of a core and 3 GCBT battle groups (group combat battalion).
The core will include two maneuverable small-sized interchangeable command posts, armored units, sappers, logistics, communications, reconnaissance and artillery (mortars with a range of fire of 7-10km; howitzers hitting 50km or more; MLRS for strikes against area targets). The GCBT battalion will have about 500 fighters and 100 vehicles and will include 3 SGCBT tactical subgroups and specialized units (fire support, forward JTAC gunners, heavy mortars, engineers, heavy infantry, UAVs).
SGCBT tactical subgroups [actually companies] should be able to operate autonomously for 5-7 days. Each of them will consist of just over 100 fighters and 16 vehicles and will be staffed by 3 infantry and 1 engineer units [i.e. platoons].
The experimental brigade will be equipped with the most modern materiel: mobile 81mm EIMOS mortars from Expal on VAMTAC ST5 chassis; NTGS Alakran 120mm mortars on 4x4 chassis; 8x8 Dragon VCR armored vehicles; tracked UGVs THeMIS for the transport of goods weighing up to 750kg; radio equipment from Elbit Systems operating in the UHF range; new power generators based on methanol batteries, leaving a very low acoustic and thermal footprint; promising means of electronic warfare against UAVs; new combat helmets and innovative body armor from FECSA; Romeo4T sights and SIG Sauer Juliet4 optics used on G36E assault rifles and MG4 light machine guns - both 5.56x45mm; ATGM Spike LR2 anti-tank missiles with a range of 5.5 km; ATGM BRICOM instead of TOW; AXMC precision rifles in .338 Lapua Magnum caliber, which will become widespread and will be complemented by 7.62x51mm semi-automatic weapons; RPG C90 from Instalaza and C100 from Alcotán; combat management systems BMS.
"King Alfonso XIII's brigade will be the backbone for the formation of the formations of the future," according to Defensa.
Spanish Army Increases Ammunition Stocks with 17 000 120mm Mortar Munitions
On August 29, 2023, the Spanish Army initiated a new tender. This procurement involves the purchase of 17,000 high-explosive 120mm mortar grenades, with a total budget of €8.4 million, including taxes. The high-intensity conflict unfolding in Ukraine has demonstrated that ammunition, shells, and mortar munitions stocks are far from sufficient to support a large-scale conflict. Many nations are, therefore, bolstering their already depleted stocks due to substantial donations to Ukraine, and Spain is no exception.
Alakran 120mm mortar system developed by NTGS from the Everis group (Picture source: Spanish MoD )
Spanish marines acquire new AXMC precision rifles in .338 caliber
On August 25, 2023, the Spanish Marine Infantry finalized a deal for the purchase of 25 AXMC precision rifles. Manufactured by the British company Accuracy International, these rifles are equipped in .338 caliber and offer a range exceeding 1,500 meters. The contract, valued at nearly half a million euros, was signed with Madrid-based distributor Pulex 95.
AXMC Precision Rifles .338 Caliber (Picture source: Accuracy International )
El Arma Aérea de la Armada Española en viejas fotografías de los Archivos Nacionales de EEUU. Las aeronaves que había en la Base Naval de Rota en las décadas de 1970 y 1980:https://t.co/yKjYJrOU5A
Los artilleros del Regimiento de Artillería Antiaérea nº94 culminan las actividades de instrucción y adiestramiento realizadas durante el periodo estival con un ejercicio táctico donde establecen medios de defensa antiaérea para protección de la Base Aérea de Gando.@MCANA_ETpic.twitter.com/0vU2mWENe6
¿Alguna vez has visto cómo se ejecuta una acción de fuego desde dentro de una pieza de artillería? Mira a la Batería “Hispania” de la @eFPBGLatvia desplegada en Letonia demostrando su precisión y potencia.@EjercitoTierra@NATO#MOPSpic.twitter.com/UPFBOjSnfV
Remorqueurs, logistique et hydrographie : le renouveau de la Marine commence par les navires auxiliaires
Il est prévu d'acquérir six nouveaux navires dans les années à venir pour plus de 380 millions d'euros
La Marine a entamé une profonde rénovation de ses navires auxiliaires, des navires moins connus que ses frégates ou ses sous-marins, mais qui assurent des missions souvent fondamentales pour la navigation et le bon fonctionnement de la flotte. En un peu plus d'un mois, l'acquisition de cinq navires a été lancée : un remorqueur, deux navires de transport logistique (dont un pour l'Armée) et deux autres navires hydrographiques. À cela, il faut ajouter le nouveau BAM pour l'intervention sous-marine que le chantier naval Navantia de Puerto Real (Cadix) construit depuis juin dernier.
Bien qu’il ne s’agisse pas tous de nouvelles constructions. En principe, il est prévu d'acquérir d'occasion le remorqueur et les deux transports logistiques, tandis que les hydrographiques seront commandés, comme le BAM-IS, également à Navantia. L'acquisition de ces navires permettra de remplacer des navires en service dans la Marine depuis 40 ans en moyenne, voire plus dans certains cas.
Pour entrer dans le détail, le programme d'achat de deux navires hydrographiques côtiers (BHC) dispose de près de 160 millions d'euros (158,6). Le gouvernement a donné son approbation à la construction des navires il y a à peine deux semaines. Les navires seront construits au centre de travail Navantia à San Fernando. Même s’ils ne font pas la une des journaux, ces navires, appartenant à l’Institut hydrographique de la Marine, sont indispensables pour garantir la navigation. .
Celui déjà en construction est le BAM-IS Poseidon susmentionné, qui remplacera un autre vétéran de la flotte, le Neptune. Ce programme est évalué à 166,5 millions d'euros. Avec ce navire, la Marine augmentera considérablement sa capacité d'intervention sous-marine avec des moyens de pointe pour le sauvetage, par exemple, d'un équipage en cas d'accident sous-marin. L'acquisition de cette plateforme est liée à la mise en service du S80. Le premier, le S81 Isaac Peral, sera opérationnel à la fin de cette année, selon le calendrier prévu par le ministère de la Défense.
Logistique et remorqueurs
De même, deux appels d'offres sont déjà en cours pour l'acquisition de navires de transport logistique polyvalents pour un montant cumulé de 41,5 millions. Le premier appel d'offres, d'un montant de 20 millions d'euros, vise à fournir un navire logistique pour la Marine. Ce navire remplacera le vétéran Boatswain Casado, à la fin de sa vie opérationnelle. Le deuxième dossier envisage l'achat d'un navire, également pour le soutien logistique, pour l'Armée, qui dispose déjà d'un navire pour ce type de missions, l'Ysabel. Dans ce cas, le budget s'élève à 21,5 millions d'euros.
En parallèle, la Marine étudie également l'achat d'un autre navire logistique polyvalent, capable de remorquer d'autres unités d'occasion. Le contrat est évalué à 15 millions d'euros. Les caractéristiques seront similaires à celles des remorqueurs hauturiers actuellement opérationnels (mer des Caraïbes, Mahón et Las Palmas).
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Feu vert à quatre programmes de Défense pour 6,2 milliards : lance-roquettes, missile Spike, Nasam et encore Eurofighter
Le Gouvernement a donné son feu vert au plafond des dépenses pour ces projets en Conseil des Ministres
Le gouvernement a autorisé en Conseil des ministres le plafonnement des dépenses pour trois nouveaux programmes spéciaux de modernisation des forces armées : la deuxième phase du missile antichar Spike, le lance-roquettes Silam et la mise à jour des batteries antiaériennes Nasams. La valeur globale des programmes s'élève à 1 675,4 millions d'euros. Il a également approuvé 4,593 millions d'euros supplémentaires pour l'expansion du programme Halcón, qui comprend l'acquisition de 25 Eurofighter supplémentaires pour remplacer une partie de l'EF-18M péninsulaire et les besoins de la première phase au cours de laquelle 20 appareils ont déjà été achetés pour le Les îles Canaries.
Plus précisément, l'Exécutif a approuvé un accord par lequel le ministère des Finances donne le feu vert au ministère de la Défense pour acquérir des engagements de dépenses pour les années budgétaires comprises entre 2024 et 2037 pour exécuter ces programmes. La Défense devra encore soumettre à nouveau les contrats au Conseil des ministres avant de les signer.
Ceci est une étape très importante. En pratique, le Trésor garantit la viabilité financière des quatre programmes à long terme. Non seulement il approuve l'investissement que prévoit de réaliser le département dirigé par Margarita Robles, mais il approuve également le calendrier qui permettra le paiement du montant des contrats en rentes jusqu'en 2037.
La deuxième phase du programme de missiles antichar Spike envisage l'acquisition pour les Forces armées de la version la plus avancée de ce système, le Spike LR2. Le budget est de 287,5 millions d'euros, répartis en cinq tranches annuelles entre 2023 et 2027. L'objectif, comme précisé par le ministère de la Défense, est de produire le missile en Espagne grâce à un plan industriel qui « renforce les capacités industrielles stratégiques de la Défense ». impliqué, à travers un plan de transfert de technologie, pour atteindre les objectifs industriels fixés par la Direction Générale de l'Armement et du Matériel.
Le lance-roquettes à haute mobilité (Silam) de l'Armée sera doté de 714,5 millions d'euros répartis sur cinq ans, entre 2023 et 2027. Dans ce cas, il convient de noter que le programme disposait d'un budget initial de 290 millions d'euros. De confirmation officielle, tout indique que le programme gagne en ampleur.
Le ministère rappelle que « l'Armée a souligné la nécessité opérationnelle de se doter d'un système de lance-roquettes capable de fournir un appui-feu à une distance supérieure à celle permise par les systèmes de canons, avec une grande précision et une variété de munitions permettant d'obtenir les effets requis. sur différents types de cibles ».
De son côté, le programme de mise à jour des batteries anti-aériennes Nasams en service dans l'Armée dispose d'un budget total de 673,4 millions d'euros, réparti entre 2023 et 2027. Le Nasams est un système de missiles anti-aériens performants, de taille moyenne. bas niveau et projetable, caractéristiques qui en font un élément essentiel de la défense anti-aérienne et complémentaire aux autres systèmes antimissiles en service de moyen-haut niveau.
La défense précise que "le système a été acquis en 2003 et a commencé à détecter à la mi-2013, après dix ans de service, des problèmes dans certains composants et des difficultés pour les acquérir; en outre". Et il ajoute : "L'Espagne est le seul pays de la communauté Nasams qui n'a pas encore modernisé ses batteries".
25 Eurofighters supplémentaires
Enfin, le Trésor a approuvé l'extension du plafond des dépenses du programme Halcón déjà en cours. Ce projet comprend actuellement 20 Eurofighter -Halcón I- pour garantir la défense aérienne des îles Canaries après le retrait des vétérans F-18 (F/A-18) de la base de Gando (Gran Canaria). L'augmentation des limites permettra l'acquisition de 25 autres avions équipés de moteurs et de systèmes de soutien à la mission - connu sous le nom de programme Halcón II - pour lancer le processus de remplacement du F-18 (EF-18M) dans les bases de Torrejón et Saragosse. qui atteindront leur fin de vie utile vers 2030. À cela, il faut ajouter un premier package logistique et un niveau de maintenance ML2 et deux systèmes de simulation haute-fidélité ainsi que leur infrastructure.
L'expansion couvre également les besoins de la première phase du programme en attendant le financement. "Étant donné que certains besoins n'ont pas pu être financés au début du programme Halcón, il est nécessaire d'actualiser son montant pour obtenir les fonds nécessaires pour relever son plafond financier à travers le protocole d'accord (MoU) 6", explique Defensa.
Le budget total pour l'expansion est de 4 593,6 millions d'euros, répartis entre 2023 et 2035. À ce chiffre, il faut ajouter les 2 043 millions pour le Halcón I, c'est-à-dire les 20 premiers Eurofighters pour les îles Canaries. Le coût de l'ensemble du programme (Halcón I et II) dépassera donc 6,6 milliards.
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Feu vert à quatre programmes de Défense pour 6,2 milliards : lance-roquettes, missile Spike, Nasam et encore Eurofighter
Le Gouvernement a donné son feu vert au plafond des dépenses pour ces projets en Conseil des Ministres
Le gouvernement a autorisé en Conseil des ministres le plafonnement des dépenses pour trois nouveaux programmes spéciaux de modernisation des forces armées : la deuxième phase du missile antichar Spike, le lance-roquettes Silam et la mise à jour des batteries antiaériennes Nasams. La valeur globale des programmes s'élève à 1 675,4 millions d'euros. Il a également approuvé 4,593 millions d'euros supplémentaires pour l'expansion du programme Halcón, qui comprend l'acquisition de 25 Eurofighter supplémentaires pour remplacer une partie de l'EF-18M péninsulaire et les besoins de la première phase au cours de laquelle 20 appareils ont déjà été achetés pour le Les îles Canaries.
Plus précisément, l'Exécutif a approuvé un accord par lequel le ministère des Finances donne le feu vert au ministère de la Défense pour acquérir des engagements de dépenses pour les années budgétaires comprises entre 2024 et 2037 pour exécuter ces programmes. La Défense devra encore soumettre à nouveau les contrats au Conseil des ministres avant de les signer.
Ceci est une étape très importante. En pratique, le Trésor garantit la viabilité financière des quatre programmes à long terme. Non seulement il approuve l'investissement que prévoit de réaliser le département dirigé par Margarita Robles, mais il approuve également le calendrier qui permettra le paiement du montant des contrats en rentes jusqu'en 2037.
La deuxième phase du programme de missiles antichar Spike envisage l'acquisition pour les Forces armées de la version la plus avancée de ce système, le Spike LR2. Le budget est de 287,5 millions d'euros, répartis en cinq tranches annuelles entre 2023 et 2027. L'objectif, comme précisé par le ministère de la Défense, est de produire le missile en Espagne grâce à un plan industriel qui « renforce les capacités industrielles stratégiques de la Défense ». impliqué, à travers un plan de transfert de technologie, pour atteindre les objectifs industriels fixés par la Direction Générale de l'Armement et du Matériel.
Le lance-roquettes à haute mobilité (Silam) de l'Armée sera doté de 714,5 millions d'euros répartis sur cinq ans, entre 2023 et 2027. Dans ce cas, il convient de noter que le programme disposait d'un budget initial de 290 millions d'euros. De confirmation officielle, tout indique que le programme gagne en ampleur.
Le ministère rappelle que « l'Armée a souligné la nécessité opérationnelle de se doter d'un système de lance-roquettes capable de fournir un appui-feu à une distance supérieure à celle permise par les systèmes de canons, avec une grande précision et une variété de munitions permettant d'obtenir les effets requis. sur différents types de cibles ».
De son côté, le programme de mise à jour des batteries anti-aériennes Nasams en service dans l'Armée dispose d'un budget total de 673,4 millions d'euros, réparti entre 2023 et 2027. Le Nasams est un système de missiles anti-aériens performants, de taille moyenne. bas niveau et projetable, caractéristiques qui en font un élément essentiel de la défense anti-aérienne et complémentaire aux autres systèmes antimissiles en service de moyen-haut niveau.
La défense précise que "le système a été acquis en 2003 et a commencé à détecter à la mi-2013, après dix ans de service, des problèmes dans certains composants et des difficultés pour les acquérir; en outre". Et il ajoute : "L'Espagne est le seul pays de la communauté Nasams qui n'a pas encore modernisé ses batteries".
25 Eurofighters supplémentaires
Enfin, le Trésor a approuvé l'extension du plafond des dépenses du programme Halcón déjà en cours. Ce projet comprend actuellement 20 Eurofighter -Halcón I- pour garantir la défense aérienne des îles Canaries après le retrait des vétérans F-18 (F/A-18) de la base de Gando (Gran Canaria). L'augmentation des limites permettra l'acquisition de 25 autres avions équipés de moteurs et de systèmes de soutien à la mission - connu sous le nom de programme Halcón II - pour lancer le processus de remplacement du F-18 (EF-18M) dans les bases de Torrejón et Saragosse. qui atteindront leur fin de vie utile vers 2030. À cela, il faut ajouter un premier package logistique et un niveau de maintenance ML2 et deux systèmes de simulation haute-fidélité ainsi que leur infrastructure.
L'expansion couvre également les besoins de la première phase du programme en attendant le financement. "Étant donné que certains besoins n'ont pas pu être financés au début du programme Halcón, il est nécessaire d'actualiser son montant pour obtenir les fonds nécessaires pour relever son plafond financier à travers le protocole d'accord (MoU) 6", explique Defensa.
Le budget total pour l'expansion est de 4 593,6 millions d'euros, répartis entre 2023 et 2035. À ce chiffre, il faut ajouter les 2 043 millions pour le Halcón I, c'est-à-dire les 20 premiers Eurofighters pour les îles Canaries. Le coût de l'ensemble du programme (Halcón I et II) dépassera donc 6,6 milliards.
Intéressant leur choix encore une fois des Eurofighter au lieu des super Hornets...
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Feu vert à quatre programmes de Défense pour 6,2 milliards : lance-roquettes, missile Spike, Nasam et encore Eurofighter
Le Gouvernement a donné son feu vert au plafond des dépenses pour ces projets en Conseil des Ministres
Le gouvernement a autorisé en Conseil des ministres le plafonnement des dépenses pour trois nouveaux programmes spéciaux de modernisation des forces armées : la deuxième phase du missile antichar Spike, le lance-roquettes Silam et la mise à jour des batteries antiaériennes Nasams. La valeur globale des programmes s'élève à 1 675,4 millions d'euros. Il a également approuvé 4,593 millions d'euros supplémentaires pour l'expansion du programme Halcón, qui comprend l'acquisition de 25 Eurofighter supplémentaires pour remplacer une partie de l'EF-18M péninsulaire et les besoins de la première phase au cours de laquelle 20 appareils ont déjà été achetés pour le Les îles Canaries.
Plus précisément, l'Exécutif a approuvé un accord par lequel le ministère des Finances donne le feu vert au ministère de la Défense pour acquérir des engagements de dépenses pour les années budgétaires comprises entre 2024 et 2037 pour exécuter ces programmes. La Défense devra encore soumettre à nouveau les contrats au Conseil des ministres avant de les signer.
Ceci est une étape très importante. En pratique, le Trésor garantit la viabilité financière des quatre programmes à long terme. Non seulement il approuve l'investissement que prévoit de réaliser le département dirigé par Margarita Robles, mais il approuve également le calendrier qui permettra le paiement du montant des contrats en rentes jusqu'en 2037.
La deuxième phase du programme de missiles antichar Spike envisage l'acquisition pour les Forces armées de la version la plus avancée de ce système, le Spike LR2. Le budget est de 287,5 millions d'euros, répartis en cinq tranches annuelles entre 2023 et 2027. L'objectif, comme précisé par le ministère de la Défense, est de produire le missile en Espagne grâce à un plan industriel qui « renforce les capacités industrielles stratégiques de la Défense ». impliqué, à travers un plan de transfert de technologie, pour atteindre les objectifs industriels fixés par la Direction Générale de l'Armement et du Matériel.
Le lance-roquettes à haute mobilité (Silam) de l'Armée sera doté de 714,5 millions d'euros répartis sur cinq ans, entre 2023 et 2027. Dans ce cas, il convient de noter que le programme disposait d'un budget initial de 290 millions d'euros. De confirmation officielle, tout indique que le programme gagne en ampleur.
Le ministère rappelle que « l'Armée a souligné la nécessité opérationnelle de se doter d'un système de lance-roquettes capable de fournir un appui-feu à une distance supérieure à celle permise par les systèmes de canons, avec une grande précision et une variété de munitions permettant d'obtenir les effets requis. sur différents types de cibles ».
De son côté, le programme de mise à jour des batteries anti-aériennes Nasams en service dans l'Armée dispose d'un budget total de 673,4 millions d'euros, réparti entre 2023 et 2027. Le Nasams est un système de missiles anti-aériens performants, de taille moyenne. bas niveau et projetable, caractéristiques qui en font un élément essentiel de la défense anti-aérienne et complémentaire aux autres systèmes antimissiles en service de moyen-haut niveau.
La défense précise que "le système a été acquis en 2003 et a commencé à détecter à la mi-2013, après dix ans de service, des problèmes dans certains composants et des difficultés pour les acquérir; en outre". Et il ajoute : "L'Espagne est le seul pays de la communauté Nasams qui n'a pas encore modernisé ses batteries".
25 Eurofighters supplémentaires
Enfin, le Trésor a approuvé l'extension du plafond des dépenses du programme Halcón déjà en cours. Ce projet comprend actuellement 20 Eurofighter -Halcón I- pour garantir la défense aérienne des îles Canaries après le retrait des vétérans F-18 (F/A-18) de la base de Gando (Gran Canaria). L'augmentation des limites permettra l'acquisition de 25 autres avions équipés de moteurs et de systèmes de soutien à la mission - connu sous le nom de programme Halcón II - pour lancer le processus de remplacement du F-18 (EF-18M) dans les bases de Torrejón et Saragosse. qui atteindront leur fin de vie utile vers 2030. À cela, il faut ajouter un premier package logistique et un niveau de maintenance ML2 et deux systèmes de simulation haute-fidélité ainsi que leur infrastructure.
L'expansion couvre également les besoins de la première phase du programme en attendant le financement. "Étant donné que certains besoins n'ont pas pu être financés au début du programme Halcón, il est nécessaire d'actualiser son montant pour obtenir les fonds nécessaires pour relever son plafond financier à travers le protocole d'accord (MoU) 6", explique Defensa.
Le budget total pour l'expansion est de 4 593,6 millions d'euros, répartis entre 2023 et 2035. À ce chiffre, il faut ajouter les 2 043 millions pour le Halcón I, c'est-à-dire les 20 premiers Eurofighters pour les îles Canaries. Le coût de l'ensemble du programme (Halcón I et II) dépassera donc 6,6 milliards.
Intéressant leur choix encore une fois des Eurofighter au lieu des super Hornets...
Il a été décidé d'acheter 45 Eurofighter pour remplacer une partie des F18 de l'Armée de l'Air et de l'Espace et l'arrivée d'un autre modèle de 5ème génération est attendue, bien que le ministère de la Défense n'ait pas donné plus d'informations.
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L'Unité Militaire d'Urgence (UME) est une force mixte, organisée de manière permanente, dont la mission est d'intervenir partout sur le territoire national, pour contribuer à la sécurité et au bien-être des citoyens, en collaboration avec les institutions de l'État et les Administrations Publiques. , en cas de risque grave, de catastrophe, de calamité ou d'autres besoins publics, conformément aux dispositions de la loi organique 5/2005 du 17 novembre de défense nationale et au reste de la législation en vigueur.
Créée par accord du Conseil des ministres du 7 octobre 2005, elle a été créée pour améliorer la réponse de l'État aux situations d'urgence, devenant ainsi la première unité d'intervention des Forces armées dans ces situations.
Ce sera le décret royal 416/2006 du 11 avril, qui établit son organisation et son déploiement initial, pour permettre son développement et sa constitution et faciliter son plan de mise en œuvre sur tout le territoire national, en accomplissant, outre la tâche organique de préparation de la force, les missions opérationnelles qui lui sont confiées par le Président du Gouvernement. Cet arrêté royal a ensuite été modifié par les arrêtés DEF 896/2013 du 16 mai et DEF 1631/2014 du 3 septembre. Actuellement en vigueur, le décret royal 521/2020 du 19 mai établit l'organisation de base du FAS.
Le décret royal 1097/2011 du 22 juillet approuve le protocole d'intervention de l'unité militaire d'urgence et établit que l'intervention de l'UME peut être ordonnée lorsque l'une des situations d'urgence suivantes se produit de manière grave, qu'il s'agisse ou non d'une urgence. d'intérêt national ou non :
-Ceux qui ont leur origine dans les risques naturels, notamment les inondations, les crues, les tremblements de terre, les glissements de terrain, les fortes chutes de neige et autres phénomènes météorologiques défavorables de grande ampleur.
-Les incendies de forêt.
-Ceux dérivés des risques technologiques, notamment chimiques, nucléaires, radiologiques et biologiques.
-Ceux qui sont la conséquence d'attentats terroristes ou d'actes illicites et violents, y compris ceux contre des infrastructures critiques, des installations dangereuses ou avec des agents nucléaires, biologiques, radiologiques ou chimiques.
-Pollution environnementale.
-Tout autre que décide le Président du Gouvernement.
-Les actions de l'UME dans certaines de ces situations prennent la forme de planification, de formation et d'intervention. Cependant, l'UME n'exerce pas de tâches de prévention et ses troupes agiront toujours au sein de l'unité à laquelle elles appartiennent et dirigées par leur état-major.
-Ce protocole habilite également le ministre de la Défense à dicter les dispositions nécessaires pour réglementer les conditions opérationnelles applicables à la participation de l'UME aux opérations à l'étranger.
Ainsi, en novembre 2011, l'UME a passé le processus de certification d'une équipe de recherche et de sauvetage urbains (USAR) devant les évaluateurs internationaux des Nations Unies, ce qui lui permet de s'intégrer dans la structure et les standards du Groupe Consultatif International de Recherche. et de sauvetage (INSARAG) des Nations Unies et pouvoir agir dans les plus brefs délais là où cela est nécessaire.
L'Unité Militaire d'Urgence participe également, à travers la Direction Générale de la Protection Civile et des Urgences, au Mécanisme de Protection Civile de l'Union Européenne, avec les moyens et capacités offerts par l'Espagne aux modules européens de ce mécanisme.
Actuellement, l'UME dispose de capacités de commandement, de contrôle et de communication qui permettent la surveillance des réseaux d'alerte et d'urgence, ainsi que le commandement et le contrôle de ses unités. La pleine réalisation de ses capacités opérationnelles, l'existence d'un commandement et contrôle spécifique, la mise en place des procédures d'appui nécessaires par les Armées et la Marine et l'expérience accumulée depuis sa création ont conduit à la création du Commandement d'Urgence des Forces Armées, sous dépendance du chef du ministère de la Défense, qui a été utilisé dans la structure opérationnelle conjointe des opérations « Balmis » et « Misión Baluarte ». Après le tremblement de terre qui a dévasté Haïti le 12 janvier 2010, le gouvernement espagnol a ordonné le déploiement d'une équipe de 37 membres du personnel de l'UME pour collaborer aux efforts de recherche et de sauvetage à Port-au-Prince. Déjà en 2015, les équipes USAR du IVe Bataillon d'intervention d'urgence avaient été déployées à Lantag après le tremblement de terre survenu au Népal en avril de la même année. Les 47 soldats déployés sur place ont déjà travaillé en équipe certifiée par les Nations Unies non seulement dans les travaux de recherche et de sauvetage, mais aussi dans le renforcement de 14 maisons à Chapagaun et dans la protection du patrimoine culturel d'un temple voisin. Toujours en avril 2016, l'Espagne a déployé une équipe USAR en réponse au tremblement de terre en Équateur. Plus précisément, 45 soldats de l'UME et 12 spécialistes de l'ERICAM ont travaillé comme une seule équipe dans les domaines de la recherche et du sauvetage, de la restauration des infrastructures critiques et de la protection du patrimoine dans l'ouest du pays. En 2017, la lutte contre les incendies de forêts a été le protagoniste de cinq des six interventions internationales. Fin janvier, 56 soldats de l'UME se sont rendus dans la région de Biobío au Chili pour collaborer à l'extinction des incendies de forêt qui ont dévasté ce pays d'Amérique latine. En été, plusieurs équipes se sont rendues jusqu'à quatre fois au Portugal pour collaborer aux efforts d'extinction des incendies de forêt survenus dans le pays voisin. La dernière intervention internationale de 2017 a eu lieu au Mexique, où une équipe de 54 militaires dotés de capacités USAR s'est rendue dans sa capitale, Mexico, le 20 septembre pour collaborer aux efforts de recherche et de sauvetage après le séisme de 7,1 degrés qui a gravement touché le 19 septembre. touché différentes régions du pays. En 2023, l’UME collaborera simultanément à deux interventions à l’étranger. Le 5 février, un contingent composé de 50 soldats a quitté la base aérienne de Torrejón pour se rendre au Chili afin de collaborer à nouveau face à la vague d'incendies de forêt qui a dévasté le pays. A cette occasion, l'objectif principal du déploiement était d'offrir au gouvernement chilien un soutien spécialisé avec des capacités techniques, telles que des analyses et des conseils sur la LCIF et le renforcement de la structure de commandement et de contrôle avec des drones ainsi que des liaisons satellite. Le lendemain, et quelques heures après le tremblement de terre dévastateur en Turquie et en Syrie, un autre avion de l'Armée de l'Air et de l'Espace est parti pour la Turquie avec une équipe composée de 55 soldats (46 soldats appartenant à l'équipe USAR du IIe Bataillon, dont le quartier général est à Morón de la Frontera et 9 soldats chargés de tâches de conseil et d'évaluation en cas de catastrophe, de Madrid). Au cours de la mission, l'unité a réussi à détecter des personnes vivantes et à récupérer les restes d'autres personnes décédées à Islahiye et Nurdağı, deux villes situées dans la province de Gaziantep. Mais, sans aucun doute, la partie la plus marquante de cette mission a été le sauvetage vivant de Leyla, Elif et Muslim, une mère et ses enfants, coincés pendant quatre jours et qui ont enduré un sauvetage qui a duré plus de 24 heures. Ils ont été détectés la veille grâce à une recherche technique, à l'aide de géophones, et des travaux de découpe et de forage ont été effectués. Le 10 septembre 2023, une équipe de l'UEM composée de 56 militaires et de 4 chiens est arrivée au Maroc pour participer aux efforts de secours après le tremblement de terre survenu à Marrakech.
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Le vrai soldat ne se bat pas parce qu'il déteste ce qui est devant lui, mais parce qu'il aime ce qui est derrière lui...
Vamtac Aspirant
messages : 599 Inscrit le : 13/01/2020 Localisation : España Nationalité :
La Marine achète le navire Ocean Osprey pour des missions de logistique et de remorquage pour 15 millions
Le navire Ocean Osprey entrera en service dans la Marine en tant que navire logistique et remorqueur polyvalent. Le Quartier Général de Soutien Logistique de la Marine (JAL) a conclu avec la société Navaleva SL l'achat de ce navire pour un montant de près de 15 millions d'euros.
Le bateau a moins d'une décennie. Il a été construit par le chantier naval espagnol Zamakona Yard en 2014 pour l'armateur norvégien Atlantic Offshore et avait Bergen (Norvège) comme port d'attache. Depuis près de dix ans, sa mission principale est de soutenir les compagnies pétrolières opérant en mer du Nord.
La formalisation du contrat entre la Marine et Navaleva a eu lieu au début de ce mois de septembre. L'Ocean Osprey a une longueur maximale de 66,8 mètres, une largeur de 16 mètres, un tirant d'eau de 5,4 mètres et un déplacement de 2 284 tonnes. Le montant exact de l'opération est de 14 965 242 euros.
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Vamtac Aspirant
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Après un premier achat « d’opportunité » en 2021, l’Espagne a validé aujourd’hui la commande de plusieurs centaines de missiles sol-air Mistral 3 supplémentaires auprès du groupe européen MBDA.
Le feu vert gouvernemental en poche, la Défense espagnole pourra contractualiser un effort de modernisation au terme duquel « la capacité de défense antiaérienne et antimissile nécessaire aux forces armées sera mise à jour, améliorée et renforcée », indique le Conseil des ministres dans un communiqué.
Hormis l’acquisition de 522 missiles Mistral 3, ce programme valorisé à près de 325 M€ comprend un effort d’actualisation de la capacité VSHORAD qui, d’après un article de la Revue espagnole de défense (RED) daté de janvier dernier, mobilisera essentiellement l’industrie de défense locale. Entre autres briques attendues, les systèmes Mistral espagnols devraient bénéficier d’une nouvelle caméra infrarouge et de nouveaux simulateurs de tirs.
L’Espagne, qui ne fait pas partie des cinq pays européens qui se sont rapprochés en juin dernier pour renflouer conjointement leurs stocks, avait acquis un premier lot de 91 missiles Mistral 3 en mai 2021 pour 43 M€. Des exemplaires prélevés sur les stocks de l’armée de Terre française et dont la livraison s’est achevée en novembre 2022, indique la RED.
D’autres matériels annexes, tels que la documentation technique, les pièces de rechange et autres outils d’entraînement, ont été réceptionnés par la suite. Selon la RED, cette phase initiale doit en théorie être clôturée à l’été prochain.
Ven 16 Déc 2016 - 17:06
desde dentro de una pieza de artillería? Mira a la Batería “Hispania” 
desplegada en Letonia demostrando su precisión 
y potencia.
