d'aprés un youtubeur algérien Teboune a fait un AVC (séquelles du COVID-19) et serait légèrement handicapé, l'armée ne voulant pas Un Bouteflika bis a voulue l'écarter (ils ne veulent pas revivre l'épisode de soulèvement contre Bouteflika et donner des munitions au Hirak), donc une sorte de coup d'état était en préparation, Teboune a eu fait de l'affaire et ne voulant pas être écarter de cette manière a voulu revenir sur le devant de la scène et a contourné son isolement en publiant les vidéos sur tweeter pour s'adresser aux algériens.
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d'aprés un youtubeur algérien Teboune a fait un AVC (séquelles du COVID-19) et serait légèrement handicapé, l'armée ne voulant pas Un Bouteflika bis a voulue l'écarter (ils ne veulent pas revivre l'épisode de soulèvement contre Bouteflika et donner des munitions au Hirak), donc une sorte de coup d'état était en préparation, Teboune a eu fait de l'affaire et ne voulant pas être écarter de cette manière a voulu revenir sur le devant de la scène et a contourné son isolement en publiant les vidéos sur tweeter pour s'adresser aux algériens.
exactement, il faut au plus viter plumer la poule, tant qu'elle lui reste des plumes, et en plus qui va leur acheter ses Su-57, tout le monde n'en veux pas... et qui dit production accélérée dit crashs prévisibles et ça tout le monde le sait
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RED BISHOP Modérateur
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Algérie : Houda Feraoun, du classement Forbes à la prison d’El Harrach
Houda Feraoun, l’ex-ministre de la Poste, à Alger en octobre 2017.
Placée en détention préventive le 8 décembre, celle qui fut la plus jeune ministre des gouvernements successifs de l’ex-président Bouteflika est accusée d’avoir favorisé les frères Kouninef.
Avec sa coupe à la garçonne et son air juvénile, Imane Houda Feraoun a longtemps incarné une « caution jeune » dans le gouvernement de l’ex-Premier ministre Ahmed Ouyahia. Lorsqu’elle est nommée en 2015 ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, cette physicienne de formation, alors âgée de 36 ans, est censée donner un coup de jeune et féminiser l’équipe gouvernementale.
Une ascension qui promettait d’être fulgurante : à peine installée dans ses fonctions, la ministre benjamine qui a rejoint le FLN en 2010, se hisse à la neuvième place des femmes arabes membres de gouvernement les plus puissantes par le magazine Forbes. Cinq ans plus tard, alors qu’elle est placée sous mandat de dépôt le 8 décembre, sa chute est vertigineuse. Vague d’arrestations
Elle se savait en sursis depuis la vague d’arrestations qui a touché plusieurs de ses ex-collègues ministres. Dès qu’elle a appris le 3 janvier 2020 son éviction du gouvernement d’Abdelaziz Djerad, Houda Feraoun comprend que ses jours de liberté sont désormais comptés. « Elle paraissait très tendue en vidant son bureau de ses affaires personnelles, c’est un signe qui ne trompe pas », raconte un cadre de son ministère.
Trois jours plus tard, elle est entendue par la brigade de gendarmerie de Bab El Djedid dans le cadre des avantages accordés aux Kouninef, fratrie de puissants oligarques en prison. Lorsqu’elle procède le lendemain à la passation de consignes avec son successeur, elle est déjà sous le coup d’une interdiction de quitter le territoire national. Du côté de l’opinion publique, sa jeunesse ne la protège pas des attaques
Elle conservera toute même tous les privilèges afférents à cette haute fonction comme le logement et le chauffeur. Du côté de l’opinion publique, sa jeunesse ne la protège pas des attaques, notamment sur le faible débit de connexion Internet et les fréquentes coupures à des moments politiques sensibles, notamment pendant les marches du vendredi du Hirak.
L’affaire reste en berne jusqu’au 20 mars 2020, date de l’enclenchement de la procédure judiciaire par la Cour suprême. Le domicile de Houda Feraoun de la résidence d’État Moretti est perquisitionné le 16 avril.
Poursuivie pour « infraction aux dispositions législatives et réglementaire, par l’octroi d’indus avantages à autrui lors de la passation des marchés publics, dilapidation de denier publics et abus de fonction », l’ancienne ministre est au cœur de la tourmente en raison de sa gestion opaque de plusieurs budgets et marchés, dans le secteur très sensible des télécommunications. Descente aux enfers
Sa descente aux enfers commence le 24 avril 2019, date de l’arrestation des trois frères de la famille milliardaire proche du clan Bouteflika. Son nom est cité à plusieurs reprises, dès l’entame de l’instruction autour des privilèges dont ils ont bénéficié indument dans le secteur des télécoms. Mais son maintien le 11 mars 2019 dans l’Exécutif de l’ancien Premier ministre Noureddine Bedoui lui laisse l’espoir de s’extirper des mailles de la justice.
Alors que ce gouvernement était formé, après le départ de l’impopulaire Ahmed Ouyahia, dans le sillage des promesses de changement du pouvoir pour tenter de mettre fin à la contestation populaire en cours depuis le 22 février, Houda Feraoun garde son poste.
Une fois son dossier transféré de la Cour suprême au pôle financier du tribunal de Sidi M’Hamed, le juge d’instruction s’intéresse particulièrement au contrat conclu entre Algérie Télécom et Mobilink, l’une des filiales du groupe des Kouninef, pour l’installation de 20 000 cabines téléphoniques. Selon l’acte d’accusation, ledit contrat a causé à Algérie Télécom un préjudice évalué à trois milliards de dinars (près de 19 millions d’euros).
L’ex-ministre serait impliquée dans le blocage des entreprises ayant remporté le projet d’extension de la fibre optique dans les zones frontalières
L’ex-ministre serait également impliquée dans le blocage des entreprises ayant remporté le projet d’extension de la fibre optique dans les zones frontalières, pour favoriser la société des Kouninef.
L’homme d’affaires Ali Haddad et les frères Kouninef ont également obtenu un marché d’installation de relais de renforcement de réseau de Mobilis à travers tout le pays en dépit de l’avis défavorable émis en 2018 par la commission d’évaluation des marchés de l’opérateur public, estimant que les entreprises des deux oligarques n’avaient aucune expérience convaincante dans le secteur.
La jeune ministre qui, selon son entourage, n’a fait qu’appliquer les directives des Bouteflika, risque 15 ans de prison.
bradli23 Colonel
messages : 1860 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 15 Déc 2020 - 5:07
Bonne analyse :
Socket-error General de Division
messages : 6768 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 15 Déc 2020 - 19:52
C'est encore la faute au méchant Maroc, qui vole le pain des algériens
Citation :
Pourquoi l’Algérie ne doit absolument pas perdre la guerre des gazoducs
Chute des revenus en devises en provenance des exportations des hydrocarbures, chute de la production, paralysie de plusieurs projets stratégiques, l’année 2020 fut totalement catastrophique pour l’Algérie concernant son secteur de l’énergie. Aujourd’hui, elle doit relever un nouveau défi : la guerre des gazoducs qu’elle ne doit surtout pas perdre pour ne pas aggraver ses pertes financières et son déclassement en tant que puissance énergétiques méditerranéennes et africaines. Explications.
Depuis le 15 décembre dernier, une information capitale est passée quasiment inaperçue en Algérie.Et pourtant, elle risque de marquer un tournant majeur dans le futur de l’économie des hydrocarbures en Afrique et en Méditerranée. Des experts de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) ont recommandé, le 10 décembre, la fusion du projet de gazoduc Maroc – Nigeria (Nigeria-Morocco Gas Pipeline en anglais, NMGP) et le Projet d’extension du réseau de gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (West African Gas Pipeline Expansion Project en anglais, Wagpep). Cette recommandation a été faite au terme d’une rencontre des acteurs du secteur énergétique tenue les 9 et 10 décembre à Ouagadougou, au Burkina Faso, d’après un communiqué publié par l’institution sous-régionale.
Ces acteurs ont recommandé de poursuivre les discussions avec les promoteurs du projet NMGP en vue de la conclusion d’un mémorandum d’entente devant permettre d’aboutir à l’étude détaillée d’un projet unique de gazoduc en Afrique de l’Ouest. A la fin de leurs travaux, les participants ont demandé à ce que les études à conduire pour le projet de Gazoduc incluent l’analyse de faisabilité pour la fusion des deux projets en un projet unique et que les résultats soient présentés aux Etats membres en vue d’une décision finale.
Cette information est une véritable avancée pour le méga-projet du gazoduc Maroc – Nigeria, long de 5 660 km, qui permettre de distribuer le gaz nigérian aux pays d’Afrique de l’Ouest et au Maroc, jusqu’en Europe, en couvrant 16 pays africains. Il est mis en oeuvre par l’Office marocain des hydrocarbures et des mines (Onhym) et la Compagnie pétrolière nationale du Nigeria (Nigerian National Petroleum Corporation en anglais, NNPC).
Présenté comme étant un projet “à caractère stratégique et structurant” qui constitue “la pierre angulaire de l’intégration régionale en Afrique de l’Ouest et un catalyseur du développement socio-économique de tous les pays de la région”, Ce méga-projet est le fer de lance de la diplomatie marocaine en Afrique et menace directement les intérêts, voire l’existence même du fameux projet algérien du Trans-Saharan Gas Pipeline (TSGP) qui est encore à l’étude de faisabilité et la promotion. Ce méga-projet date des années 80 et il n’a jamais, malheureusement, avancé. L’accord concrétisant la mise en œuvre du gazoduc trans-saharien n’a été signé que le 3 juillet 2009 par les gouvernements du Niger, du Nigeria et de l’Algérie.
Il devait être financé par des institutions comme la Banque européenne d’investissement (BEI), la Banque mondiale, la Société financière internationale (SFI) et autres sponsors comme d’éventuels acheteurs et producteurs comme le géant russe Gazprom qui avait manifesté son intérêt pour ce projet en 2010. En juillet 2016, à l’occasion du 27e sommet ordinaire de l’Union africaine, le Nigéria réaffirme sa volonté d’engager le lancement du gazoduc trans-saharien, prévus d’être détenu à 90% par Sonatrach et la NNPC, et à 10% par la Compagnie nationale du pétrole du Niger.
Or, excepté des annonces, rien de concret n’a été décidé à cause notamment de l’instabilité régulière de l’Algérie dans le secteur de l’énergie depuis le départ de Chakib Khelil fin mai 2010. Les multiples scandales de corruption ayant ébranlé Sonatrach de 2011 jusqu’à 2016 ont totalement provoqué le gel pur et simple de ce méga-projet stratégique. Et pourtant, les enjeux sont tout simplement énormes. Avec ses deux précédents gazoducs qui sont Medgaz et Galsi, ce méga-projet de TSGP devait permettre à l’Algérie de devenir un hub gazier incontournable dans toute la Méditerranée. Et pour cause, le TSGP devait réaliser le rêver de l’Algérie de se doter d’un projet d’interconnexion gazière euro-africain. Ainsi, avec ses importantes réserves jumelées à celles du Nigeria, l’Algérie aurait pu conquérir le marché européen et s’imposer comme le fournisseur privilégiée d’une Europe cherchant désespérément à s’émanciper de de l’emprise russe, la Russie fournit 36% du gaz importé par l’Europe, devant la Norvège (23%), les autres fournisseurs de GNL (10%) et l’Algérie (7%).
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marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 15 Déc 2020 - 21:14
Ainsi, avec ses importantes réserves jumelées à celles du Nigeria, l’Algérie aurait pu conquérir le marché européen et s’imposer comme le fournisseur privilégiée d’une Europe
2 concurrents pour un même marché ???
c'est bizarre comme business ...
Fahed64 Administrateur
messages : 25537 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mar 15 Déc 2020 - 21:28
La vérité c'est que l'Algérie s'est mordu sa propre queue.
Ils ont proposé ce marché + Transsaharienne +++ aux Nigérians pour les mettre dans la poche et les avoir de leur côté.
Simplement comme ils sont hypocrites et non sincères, le projet n'a pas bougé d'un iota si ce n'est blablatage dans les salons
Lorsque le Maroc a proposé "son" projet... la ils ont compris et comem d'habitude gesticuler pour à la fin dire "Lmgharba 7agrouna"
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
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Dias63 Capitaine
messages : 800 Inscrit le : 31/07/2018 Localisation : France Nationalité :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 16 Déc 2020 - 10:28
On vise les 162 dinar on dirait... Venezuela remake
Socket-error General de Division
messages : 6768 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 16 Déc 2020 - 13:47
On comprend mieux la situation et les encouragement de Macron et de notre Roi
Citation :
Exclusif. Algérie : pourquoi le président Abdelmadjid Tebboune n’a plus peur de l’armée
En Algérie, beaucoup d’observateurs sur-estiment le pouvoir de l’institution militaire. L’armée inspire, certes, le respect et la considération. Mais depuis la mort d’Ahmed Gaid Salah, le 23 décembre 2019, elle n’inspire plus la peur ou la crainte. Et c’est exactement ce qui explique le comportement actuel d’Abdelmadjid Tebboune, le président algérien encore maintenu au pouvoir en dépit de deux mois d’hospitalisation à l’étranger à la suite d’une infection au COVID-19.
A la mort d’Ahmed Gaid Salah, Abdelmadjid Tebboune a perdu son parrain grâce auquel il a pu être désigné à la tête de l’Etat algérien à la suite d’un processus électoral totalement impopulaire et rejeté par la population algérienne. Avec le soutien de Gaid Salah, Tebboune décroche la magistrature suprême alors que la majorité des autres généraux algériens ne sont guère enthousiastes par sa candidature. Avec Gaid Salah, Tebboune savait qu’il était moyennement protégé, mais il savait qu’il ne pouvait pas prétendre être le véritable Président du pays. Tebboune dès l’annonce de sa victoire aux présidentielles de décembre 2019 était parfaitement conscient qu’il partagera le pouvoir avec Ahmed Gaid Salah. Il sera le rideau derrière lequel se cachera le vrai président du pays, à savoir le chef d’Etat-Major de l’armée algérienne.
Mais le 23 décembre, le destin décide de vaciller la vie de Gaid Salah et laisse Tebboune orphelin. Le jour de l’annonce du décès du puissant homme qui avait régné d’une main de fer sur l’armée algérienne pendant 15 longues années, Tebboune est sous le choc. Des membres de son entourage rapportent sa vive émotion et sa profonde inquiétude.
Mais petit à petit, face au nouveau establishment militaire dirigé par Said Chengriha, Abdelmadjd Tebboune se rend compte que l’armée algérienne a perdu son chef charismatique. Son leader incontesté. La direction de l’armée est divisée et Chengriha n’a pas l’envergure d’Ahmed Gaid Salah. Tebboune a de moins en moins peur et décide de prendre le dessus. Il impose rapidement aux militaires ses conseillers à la présidence. Il leur demande des réunions régulières dans le cadre du Haut Conseil de Sécurité. Il médiatise ses visites au ministère de la Défense Nationale et il utilise toute la symbolique le montrant comme le véritable « chef » du pays.
Minée par une guerre interne opposant Said Chengriha aux anciens caciques du clan Gaid Salah comme le général Wassini Bouazza, Abdelkader Lechkham, Akroum ou Amar Amrani, Tebboune joue le rôle de l’arbitre et profite de l’occasion pour s’imposer comme celui qui doit décider pour l’armée. A la grande surprise générale, trop divisés, les militaires se laissent faire et se réfèrent à son arbitrage. Tebboune laisse Chengriha intérimaire pendant 6 mois pour tester sa fidélité, il conserve son amitié avec Ben Ali Ben Ali, le général le plus décoré et âgé de l’armée algérienne, pour maintenir un équilibre intrigant censé lui permettre de bâtir un nouvel ordre.
La tactique de Tebboune a fonctionné et à partir du 5 juillet 2020, il s’impose sur l’armée et permanise un Said Chengriha qui lui a fait le sale boulot en se débarrassant des généraux les plus dangereux comme Wassini Bouazza. Mais Tebboune tombe malade à partir du 15 octobre et son absence a commencé à partir de la fin de mois de novembre à faire jaser. Les conciliabules s’enchaînent et une réunion est officiellement organisée le 10 décembre dernier au ministère de la Défense Nationale pour parler de la situation politique du pays paralysée par la longue absence de Tebboune. Pour la première fois, le mot article 102, à savoir destitution de Tebboune, est prononcé.
Tebboune panique et réagit avec sa vidéo du dimanche 13 décembre en affirmant qu’il est encore là et il va bientôt revenir. Je suis encore le Président. L’homme choisit Twitter pour s’exprimer et ne cite pas l’armée pour lui rendre hommage. Tebboune malade et diminué n’a pas peur et accepte d’engager le bras-de-fer parce qu’il connaît parfaitement l’Etat-Major de l’ANP. Il n’a pas affaire à Gaid Salah qui aurait pu le déloger depuis longtemps. Il sait qu’il n’y a plus de Gaid Salah au pouvoir au ministère de la Défense nationale. L’armée ne lui fait pas peur car il a d’ores et déjà ausculté cette institution de l’intérieur en sondant ses faiblesses et forces. A-t-il tort ? S’agit-il d’un excès de confiance ? L’avenir nous le dira…
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simplet General de Brigade
messages : 3192 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Mer 16 Déc 2020 - 14:15
Enfin ils sont désespéré et jette l’éponge. Enfin
c'est le début de la fin de la junte militaire, on leur a offert la première étincelle
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_________________
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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bradli23 Colonel
messages : 1860 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 5:57
BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 12:11
1 euros = 161,66 Dinars Algérien.
Quelqu'un pourrait m'expliquer le risque inflationniste en Algérie par rapport à cette parité? Sachant que de tout temps l'Algérie importe pratiquement toit ce qu'elle consomme. Et que ses devises sont en Euro et Dollars dinc que sa monnaie n'a pas valeur marchande vu que ce sont les banques étrangères qui accueillent la manne pétrolière et gazière. l'Algérie étant en dehors de l'OMC. Le pouvoir à Alger ne pourrait-il pas bloquer les prix des denrées importer pour éviter l'inflation? et donc bloquer la parité Euros/Dinars à 1 euros pour 120 dinars par exemple?
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
https://www.youtube.com/watch?v=AbjNQ_5QvgQ
marques General de Brigade
messages : 3971 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 13:44
tu ne peux rien comprendre à l'économie de ce pays car toutes les statistiques officielles algériennes sont bidons et ce depuis des décennies
Aucun chiffre n'est valide
proximad, simplet et QuickShark aiment ce message
Socket-error General de Division
messages : 6768 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 13:50
Les produits de base sont subventionnés, l'Algérien sentira la différence de prix sur tous le reste
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AIT Victime
messages : 612 Inscrit le : 02/02/2019 Localisation : Ait Hdiddou Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 14:02
BOUBOU a écrit:
1 euros = 161,66 Dinars Algérien.
Quelqu'un pourrait m'expliquer le risque inflationniste en Algérie par rapport à cette parité? Sachant que de tout temps l'Algérie importe pratiquement toit ce qu'elle consomme. Et que ses devises sont en Euro et Dollars dinc que sa monnaie n'a pas valeur marchande vu que ce sont les banques étrangères qui accueillent la manne pétrolière et gazière. l'Algérie étant en dehors de l'OMC. Le pouvoir à Alger ne pourrait-il pas bloquer les prix des denrées importer pour éviter l'inflation? et donc bloquer la parité Euros/Dinars à 1 euros pour 120 dinars par exemple?
Ils peuvent la bloqué comme ils veulent, même 1dollar= 1DDZ. A condition: que tout soit fait par l'Etat et fermeture des frontières= NOKorea. Sauf que la réalité vous rattrape et faut s'approcher le plus possible de la valeur réelle: marché noir des devises, diversités des importateurs, payer le peuple avec une monnaie de singe... Autres choses, la valeur des denrées qu'on payent en devises ne changent pas, son prix en dz a passé par une phase intermédiaire de subventions afin de rendre ces denrées accessible, mais jusqu'à quand peut on garder le schéma superficiel et cette saigné en devises.
Tout ces types de pays, finissent par avoir une réalité sur le terrain: on commerce avec le dollar dans la rue.
_________________
ⵜⴰⵢⵔⵉ ⵏ'ⵜⵎⴰⵣⵉⵔⵜ
Socket-error General de Division
messages : 6768 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 14:15
L'Algérie ne cherche pas à trouver une solution durable. Ils essayent juste de maintenir le bateau à flot le temps selon eux que le prix du baril augmente.
Dans c'est un château de cartes basé sur le prix du baril. D'ici 2022 si la situation ne change pas, ils iront forcé vers le FMI
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Shugan188 Modérateur
messages : 5662 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 19:39
Le déficit de la balance des paiements continue d’éroder les réserves de change. Le budget présenté dans le projet de loi de finances pour 2021 est déficitaire. Le climat des affaires se détériore et le gouvernement n’entrevoie pas un plan de relance ou ne serait-ce qu’une vision qui permet aux acteurs économiques de se projeter dans l’avenir et de se mobiliser.
« Pour l’instant, il n’y a pas de réformes économiques qui se dessinent. En termes de fiscalité, il y a toujours cette tendance à imposer davantage le peu de contribuables qui paient l’impôt. Ce sont des mesures qui détériorent encore plus le climat des affaires à défaut de mobiliser des ressources fiscales supplémentaires », a noté l’analyste financier Lies Kerrar, PDG d’Humilis Finance.
En 2020, les recettes d’exportation des hydrocarbures, principale source de devises pour le pays, ont totalisé à peine 20 milliards USD contre 33 milliards USD en 2019, soit 13 milliards USD de moins.
Et ce n’est pas uniquement en raison de la baisse des prix du pétrole ou la réduction de production décrétée par l’OPEP dans la foulée de la crise sanitaire. Cette réduction n’est responsable qu’à hauteur de 1,79 milliard USD. C’est surtout à cause de l’immobilisme de la compagnie nationale Sonatrach.
Le secteur des hydrocarbures enchaînent les contre-performances
La compagnie nationale et ses associés ne produisaient même pas ce qui leur était permis avant l’avènement de la pandémie du Covid-19. Le secteur, qui a réussi une croissance de 7,7% en 2016, a enchaîné les contre-performances : -2,4% en 2017, -6,4% en 2018, -4,9% en 2019.
Selon l’Office national des statistiques (ONS), le secteur a enregistré une contraction de 13,4% au premier trimestre 2020. Sonatrach subit le déclin des gisements de gaz et de pétrole sans rien faire.
A un baril un peu moins cher en 2016 (40,6 USD en 2016 contre 40,7 USD en 2020), les exportations d’hydrocarbures avaient atteint 28 milliards USD, soit 8 milliards de plus d’en 2020.
Dans ce sillage, il convient de préciser que l’Algérie n’arrivait pas à remplir son quota avant la pandémie. Au premier trimestre de l’année 2020, avant la décision de l’OPEP de retirer du marché 20% de sa production à compter du 1er avril, l’Algérie produisait 1,016 million de baril/jour au moment où l’OPEP nous autorisait à extraire 1,056 million de baril/jour.
Ce quota est d’ailleurs la base de calcul de la réduction assignée à l’Algérie au titre de l’accord des producteurs pour fixer sa production à 856 000 baril/jour actuellement.
En clair, l’Algérie produisait 40 000 baril/jour de moins de ce qu’elle pouvait faire avant ledit accord. Et elle n’a retiré du marché que 160 000 baril/jour et non pas 200 000 comme le claironne les responsables du secteur pour justifier la baisse des recettes des exportations. Ce qui donne, à un prix moyen du baril à 40,7 USD, une réduction d’une valeur de 1,79 milliard USD seulement.
En matière de gaz, qui n’est pas concernée par l’accord de l’OPEP, Sonatrach n’a pas fait mieux, cédant à des concurrents d’importantes parts sur ses marchés traditionnels, notamment en Espagne.
Le retard accusé dans la réalisation du projet de « boosting » du champ gazier de Hassi R’mel, lequel devait être livré fin 2019, a réduit son potentiel exploitable. Et ce, en dépit de la mise en production d’un nombre de champs qui devaient augmenter la production à l’instar de Reggane, Timimoun et Ahnet qui cumulent dans une première phase 7 milliards m³/an.
Reproduction de l’échec
Sonatrach, qui commence à être boudée par ses clients, détourne le gaz destiné au cyclage de ce champ géant ainsi que celui réinjecté dans les champs pétroliers pour le maintien de la pression des gisements et la conservation des réserves, afin d’honorer ses engagements commerciaux.
Selon des chiffres obtenus auprès de sources dans le secteur de l’énergie, les volumes qui devaient être réinjectés conformément aux plans de développement des gisements mais qui ont été réorientés vers la vente s’élèvent à 5 milliards m³ à Hassi Messaoud, 3,5 milliards m³ à Rhourde Enouss et 2 milliards m³ à Rhourde El Baguel, soit un total de 10 milliards de m³/an depuis 2018.
Sonatrach a connu en 2020 un nombre sans précédent d’incidents majeurs, ayant conduit à des pertes matérielles et à des arrêts de production, dont certains ont été causés par « un manque de maintenance préventive » tel que constaté par le ministre de l’énergie Abdelmadjid Attar.
Aussi, Sonatrach n’a-t-elle annoncé aucune découverte, ni entrepris des actions à même de renouveler les réserves annuelles.
Mais au-delà de la contre-performance du secteur des hydrocarbures dont l’économie du pays continue de dépendre trop fortement, l’actuel gouvernement a consenti peu d’efforts pour ne pas reproduire l’échec des gouvernements précédents. Et l’absence d’un plan de relance économique se conjugue en régression.
Aucune concertation n’a été engagée pour trouver des solutions à la crise et il n’y a même pas de données fiables et fraîches pour effectuer un diagnostic et établir une stratégie. Les statistiques publiées, comme celles du commerce extérieur, restent à ce jour limitées au premier trimestre.
« Un changement des mentalités est nécessaire. Aussi bien de la part des tenants du pouvoir qui doivent faire preuve de plus d’humilité et accepter la contradiction que du côté des chefs d’entreprises qui doivent enlever leur costume de courtisans », a souligné Nabil Mellah, PDG des Laboratoires Merinal.
Et d’asséner : « Nous avions bien vu au mois d’août les associations patronales souscrire à un plan de relance qu’elles n’avaient même pas vu, ce qui laisse penser qu’elles sont retombées dans leurs travers ».
Hausse des créances douteuses dans le secteur des assurances
Bien que les entreprises pharmaceutiques puissent s’estimer heureuses étant donné qu’elles fassent avec celles de l’agro-alimentaire partie des secteurs les plus résilients face à la crise, 2020 reste une année sans croissance d’un point de vue chiffre d’affaires et marquée par une faible rentabilité.
« Nous avons fait face à des augmentations des prix d’un certain nombre d’intrants, une flambée du fret, et surtout une dévaluation du dinar dont nous ne pouvons malheureusement nous protéger en raison de la quasi inexistence d’outils de couverture du risque de change », a indiqué Nabil Mellah.
Quel est l’impact pour l’industrie pharmaceutique ? « Il est important étant donné que ces augmentations ne peuvent être répercutées sur nos prix, ces derniers étant fixes et ne pouvant être augmentés du jour au lendemain », a-t-il conclu.
En tout cas, les industries pharmaceutique et agro-alimentaire dépendent de la santé financière des autres secteurs qui font la santé financière du pays et dont la situation est pour le moins alarmante.
Le secteur tertiaire qui contribue à près de 46% du PIB et employait 60% de la population active en 2019, a été fortement affecté par la crise sanitaire et des mesures de confinement y afférentes. Les voyants dans les secteurs du transport, du tourisme et des assurances, pour ne citer que ceux cela, sont tous au rouge.
La compagnie aérienne nationale Air Algérie a enregistré « un manque à gagner de l’ordre de 40 milliards DZD (300 millions USD) », a déclaré son porte-parole, Amine Andaloussi.
Le secteur des assurances a enregistré une forte augmentation des créances douteuses. Dans une correspondance adressée par la Commission de supervision des assurances à l’Union des assureurs et de réassureurs (UAR) le 26 novembre dernier et dont nous détenons une copie, elle estime les créances au 31 août 2020 à 68 milliards DZD (516 millions USD).
A titre de comparaison, le niveau des créances à fin 2019 était de 48 milliards DZD (364 millions USD) ce qui représentait déjà 33% des primes émises par le secteur. La Commission appelait à « accentuer les actions de recouvrement » et de « veiller au paiement des primes ». La vague d’impayés qui frappe le secteur depuis quelques années déjà s’était ainsi accentuée en 2020 et le menace désormais d’effondrement.
La gestion administrative de l’économie
En dehors du report de quelques obligations fiscales et parafiscales, les pouvoirs publics n’ont entrepris aucune action pour alléger les difficultés des entreprises. Et de consacrer la gestion administrative de l’économie.
« Il y a toujours cette tendance à restreindre les importations par des mesures administratives, alors que c’est une méthode qui ne marche pas. Le véritable levier de gestion de la balance commerciale étant le taux de change », a soutenu Lies Kerrar.
Qu’apporte la loi de finances pour 2021 ? Elle ressemble aux précédentes. Et elle n’explicite pas comment les déficits vont-ils être financés.
« D’un côté, les budgets présentés dans les Loi de finances sont déficitaires. A cela, il faut ajouter tout ce qui n’est pas inclus dans le budget : subventions implicites de l’énergie, pertes des sociétés publiques, etc. De l’autre, on n’est pas explicite sur comment va-t-on financer ces déficits. Les déclarations des officiels excluent le recours au financement extérieur et le recours à la planche à billets. Les taux d’intérêts n’ont pas été augmentés pour attirer l’épargne. D’autant que la Banque d’Algérie n’agisse pas suffisamment sur le taux de change pour corriger la situation. On ne voit pas pour l’instant de dévaluation significative du dinar pour compenser les déficits budgétaires », a récapitulé Lies Kerrar.
Et d’expliquer : « Vraisemblablement, le Trésor public consomme directement ou indirectement la liquidité disponible dans le système bancaire, c’est-à-dire, les dépôts des entreprises et des ménages, ou en retardant les paiements de la commande publique, pour se financer. Cette méthode a ses limites car elle asphyxie l’économie ».
Bref, avec un gouvernement sans vision, le pays navigue à vue. Les opérateurs, n’ayant pas de visibilité, ne peuvent qu’afficher leur manque de confiance. L’investissement productif endure la bureaucratie et la gestion administrative de l’économie. Et, à court terme, au vu de la baisse de la demande mondiale sur les hydrocarbures, les prix du pétrole ne pourront valoriser le peu de production réalisée par le secteur. Sombres perspectives.
mourad27 Modérateur
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Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 19 Déc 2020 - 20:34
BOUBOU a écrit:
1 euros = 161,66 Dinars Algérien.
Quelqu'un pourrait m'expliquer le risque inflationniste en Algérie par rapport à cette parité? Sachant que de tout temps l'Algérie importe pratiquement toit ce qu'elle consomme. Et que ses devises sont en Euro et Dollars dinc que sa monnaie n'a pas valeur marchande vu que ce sont les banques étrangères qui accueillent la manne pétrolière et gazière. l'Algérie étant en dehors de l'OMC. Le pouvoir à Alger ne pourrait-il pas bloquer les prix des denrées importer pour éviter l'inflation? et donc bloquer la parité Euros/Dinars à 1 euros pour 120 dinars par exemple?
un exemple tout simple un algerien achète un produit qui vaut 1$ en mars dernier il lui fallait 119 dinar pour l'acheter , en decembre 132 dinar ce pays est tres dependant de l'etranger et cette dependance s'est aggravé cette année par la mise a mort de leur fameuse industrie auto la fermeture de tout les ateliers de gonflage de pneu a leur tête Renault tous les patrons de ces unités sont derrière les barreaux donc il va falloir acheter des vehicules fini ce qui va augmenter la facture
ajoutes y la decision du gouvernement de baisser son soutien aux carburants donc les prix a la pompe vont augmenter et par consequent les cout de revient de pas mal de produits et services etc etc
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Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
Sujet: Re: Actualités Algeriennes Dim 20 Déc 2020 - 16:21
https://fr.le360.ma/monde/video-prenez-les-armes-tuez-et-ecorchez-les-juifs-la-chanson-de-larmee-algerienne-pour-motiver-ses-229744?utm_content=buffer96c00&utm_medium=social&utm_source=facebook.com&utm_campaign=buffer&fbclid=IwAR3KxvaVMqFz39hAy_LwWJf9Fm9RtAGBXUWbUBsUsTXULG514Pw7q8Ct9Lw a écrit:
C'est vraiment honteux , on leur dit qu'il y'a des juifs algériens..
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Ait_Bladi sergent
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Chalgoumi, El Rhazaoui, Bitan et lui sont qu'une bande de tocards qui ont vendu leur c*l pour cracher sur l'islam et les musulmans parceque ca fait vendre...
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BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
C'est vraiment honteux , on leur dit qu'il y'a des juifs algériens..
Tu sait, la junte au pouvoir à alger n'a pas hésité à s'accaparer le pouvoir, et les manettes financières du pays. Sans parler du génocide des années 80-90. Alors les juifs...c'est un exécutoir facile pour cette bande de mafieux.
pour eux, FRANCE qu'ils critiquent et culpabilisent, mais ne se privent pas d'y envoyer femmes et enfants pour y vivre et y acheter des appart à Paris. En plus d'y ouvrir des comptes bancaires pour y détourner l'argent du peuple! MAROC, l'ennemis numéro 1, détesté mais jalousé, au point de s'en approprier les us et coutumes! ISRAEL, c'est un ennemis qui veut du mal, que l'on craint mais que l'on se dit capable de les combattres pour libérer la Palestine...(on attend encore)...
Ce sont ces 3 pays qui "justifient" l'accaparement du pouvoir. Quitte à rester figé en 1960...
_________________ L'homme sage est celui qui vient toujours chercher des conseils dabord, des armes on en trouve partout.
feu Hassan II.
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