La sauce commence à monter au royaume, les manifestations se multiplient malgré les restrictions et les interdictions. C'est ça le peuple marocain, il ne regarde pas que ce qui se passe devant sa porte... Fidèle à ses principes et ses valeurs ! Fin du hs
Ach men sauce, si restrictions il y a c'est à cause du covid, et rien d'autre, le Maroc n'à jamais interdit de manifestations de solidarité avec la Palestine, je vais vous dire une chose allah ya3fou 3lik
Je pense que ça doit être plus que sa Ssi Far Soldier, si c'était que pour des remerciements la conversation aurait été téléphonique ou par visioconférence à mon avis ce doit être autre chose...Mais bon on sera bientôt fixé...
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
Shugan188 Modérateur
messages : 5680 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
#Lamorgese in #Marocco in visita istituzionale. In agenda colloqui per rafforzare il partenariato strategico e la cooperazione nel settore della sicurezza.#16Luglio@ItalyinMorocco
Gibraltar négocie pour ouvrir les routes avec le Maroc par voie maritime et aérienne
Le gouvernement de Gibraltar est en contact avec Royal Air Maroc et les compagnies maritimes pour rétablir les liens, peu après que Rabat a annoncé la suspension de l'opération Paso del Estrecho avec l'Espagne
Le gouvernement de Gibraltar espère rouvrir les routes commerciales par voie aérienne et maritime avec le Maroc "très bientôt". Elle négocie déjà avec Royal Air Maroc et d'autres compagnies pour renouer des liens, comme l'a révélé l'un de ses représentants lors d'une rencontre avec des membres de la communauté marocaine résidant dans le Rocher. Des mouvements qui ont lieu peu de temps après que le royaume alaouite ait décrété l'imperméabilité de ses frontières pour les citoyens marocains qui tentaient d'atteindre son territoire lors de l' opération Traversée du détroit .
Des sources officielles du gouvernement de Gibraltar ont indiqué que son ministre des Affaires et du Tourisme, Vijay Daryanani , a eu une réunion avec Ali Doussi , représentant de l'Association de la communauté marocaine. L'un des problèmes abordés était la situation des citoyens marocains résidant à Gibraltar, qui, en raison de la pandémie, ne peuvent pas se rendre dans le royaume alaouite depuis le Rocher.
Selon les mêmes sources, le ministre Vijay Daryanani a détaillé les "efforts" que son gouvernement a déployés pour "tenter d'établir des liaisons maritimes et aériennes avec le Maroc". En ce sens, il a assuré le représentant de l'Association de la communauté marocaine que le gouvernement de Gibraltar est en contact avec Royal Air Maroc et d'autres entités commerciales pour tenter d'établir des liaisons maritimes et aériennes.
Le ministre gibraltarien des Affaires et du Tourisme a souligné que son gouvernement poursuivrait ses efforts pour rétablir les routes maritimes et aériennes avec le Maroc dans les plus brefs délais : "Le maintien du confinement au Maroc a encore compliqué la situation". Et il a souligné que "la communauté marocaine" est "une partie intégrante de la famille de Gibraltar".
Crise Maroc-Espagne
Les efforts déployés par Gibraltar pour rétablir les connexions avec Rabat contrastent avec la fermeture des frontières que Rabat a décrété pour tous ses citoyens qui ont tenté d'atteindre le pays depuis l'Espagne dans le cadre de l' Opération Paso del Estrecho . Le gouvernement marocain a annoncé début juin qu'il n'accepterait que les citoyens venus par bateau des ports de France et d'Italie, mais pas des Espagnols.
Le Maroc a souligné dans un communiqué que la décision était due à des raisons de santé , en raison de l'incidence du coronavirus. L'annonce est toutefois intervenue dans un contexte de grave crise diplomatique entre Madrid et Rabat, marqué par la demande marocaine du Sahara, la présence du leader du Front Polisario dans notre pays et la crise survenue à Ceuta après l'entrée d'environ 10 000 personnes du royaume alaouite. Des éléments de rupture entre Madrid et Rabat qui ont abouti à la récente limogeage de la ministre des Affaires étrangères, Arancha González Laya, et à la nomination de José Manuel Albares.
"C'est une décision que nous respectons et qui intervient dans un contexte de pandémie dans lequel la sécurité maximale doit être maximisée", ont déclaré à Vozpópuli des sources du ministère des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération à propos de la décision annoncée par le Maroc de suspendre le Opération Étape du Détroit . Environ trois millions de citoyens marocains traversent la péninsule chaque année pour retourner dans leur pays.
Gibraltar fait confiance à l'ouverture des routes
La communauté marocaine résidant à Gibraltar a également été touchée par la pandémie, dans le sens où les routes commerciales entre les deux points ont été suspendues. « Ils ont eu d'énormes difficultés à rendre visite à leurs proches au Maroc pendant la pandémie » , disent-ils depuis l'équipe dirigée par Fabian Picardo.
Le ministre des Affaires et du Tourisme de Gibraltar a assuré le représentant de l'Association de la communauté marocaine que "le gouvernement continuera à travailler pour parvenir à l'établissement de telles connexions avec le Maroc très prochainement".
a partir de la minute 25 le président Kabyle remercie le Maroc et son représentent permanent a l'ONU et il souhaite l'ouverture d'une représentation au Maroc
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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BOUBOU General de Division
messages : 4848 Inscrit le : 07/08/2008 Localisation : en territoire hostile Nationalité : Médailles de mérite :
-« Qui a trahi le héros numide Jugurtha en 104 avant l’ère chrétienne… ?», lit-on en tête de liste des accusations... Comment en est-on arrivé à cette folie furieuse d’incriminer le Maroc aujourd’hui pour des faits remontant à plus de deux millénaires ?https://t.co/Kpxmw49M9I
L activation de la carte kabyle en ce moment n est pas anodine et certainement pas une simple réaction à un éditorial d el djeich.
Il est possible que ça soit une stratégie assumée pour hausser le niveau de tension à un niveau tel que l'intervention d'un médiateur sera nécessaire et que cela se traduise par des négociations bilatérales avec les algériens sur tous les sujets y compris le Sahara . C est ce que la diplomatie marocaine à toujours souhaité. On sortirait définitivement du cadre onusien actuel avec le polisario en face.
C est une hypothèse qui, si elle s avère juste, implique une persistance de ces coup d éclats de la part de nos diplomates et des bruits de bottes de la part des algériens dans les semaines et mois à venir.
VANDENBERGHE_K-24, Fahed64, Jihad, YASSINE, QuickShark et ralek1 aiment ce message
bradli23 Colonel
messages : 1867 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Maintenant ils ont compris que notre diplomatie va leur rendre coup par coup. Fini le temps qu'on encaissait sans brancher. Il faut se préparer à tous les scénarios. S'ils veulent s'impliquer directement dans le conflit avec leur rejeton. Comme ils ont annoncé la délimitation de leur frontière avec tindiufistin ils doivent assumer le risque.
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Fahed64 Administrateur
messages : 25569 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
L activation de la carte kabyle en ce moment n est pas anodine et certainement pas une simple réaction à un éditorial d el djeich.
Il est possible que ça soit une stratégie assumée pour hausser le niveau de tension à un niveau tel que l'intervention d'un médiateur sera nécessaire et que cela se traduise par des négociations bilatérales avec les algériens sur tous les sujets y compris le Sahara . C est ce que la diplomatie marocaine à toujours souhaité. On sortirait définitivement du cadre onusien actuel avec le polisario en face.
C est une hypothèse qui, si elle s avère juste, implique une persistance de ces coup d éclats de la part de nos diplomates et des bruits de bottes de la part des algériens dans les semaines et mois à venir.
C'est exactement ça. Entre 2008-2018 on a essayé la manière de la raison, les appelles multiples aux dialogues, les mains tendues.
Ils ont pris sa pour de la faiblesse croyant que l'on était aux abois.
La on va leur laisser 2 choix très pragmatique et rationnel:
- La paix réelle et donc finit Bouzbal and Co. - La guerre.
Et la guerre on s'y prépare sérieusement, il n'y a qu'à voir la montée en puissance et les shopping liste depuis 2015.
Pour mois le point de rupture sera 2022-23 lorsque ils auront presque ou plus de devise. L'écart entre les 2 économies / armées / diplomaties seront à leur paroxysme avec un rapport de force éminemment de notre côté.
Je vous le dis, on va récupérer la NMZ et mettre tout le monde devant le fait accompli inch'Allah
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
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simplet General de Brigade
messages : 3210 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Le terrain a été préparé... Ce qui nous empêchait de jouer la carte Kabyle c'est le Rif... Le seul pays capable de semer le trouble dans le Rif est la Hollande (et dans une moindre mesure la Belgique et l'Espagne). Le dernier accord avec la Hollande parle clairement du respect de l'intégrité et de la souveraineté de chacune des deux parties... La Hollande neutralisée rien ne nous empêche désormais de jouer à fond la carte Kabyle...
_________________ “Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert Einstein.
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romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Ce que je pense c'est que la décision d'éclater le truc à l'EST a été Finalement validé et accepté par le Maroc, la proposition que le Maroc a refusé depuis x temps et que finalement dernièrement a accepté dans le cadre de notre repositionnement géopolitique et géostratégique, je pense que c'est un processus qui a été déclenché en coordination avec nos alliés car la politique des handicapés n'arrange plus personne à part certaines parties constipé en France et en Espagne. Donc on a pas le choix si on veut que les affaires de tout le monde marchent et avance dans toute la région, cette tumeur doit être éclater pour laisser les gens travailler. C'est pas une conspiration mais c'est une nécessité sinon en continuant comme ça on va se trouver tous en ruines
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bradli23 Colonel
messages : 1867 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
De toute façon on n'a pas le choix . Tot ou tard on doit prendre nos responsabilités. Si on veut avoir une profondeur en Afrique de l'ouest. Le port de Dakhka comme hub de logistique. Aller de l'avant dans le gazoduc Nigerien on doit sécuriser et avoir pleine souveraineté sur nos frontières avec la Mauritanie. Si on veut négocier de position de force pour notre ZEE avec l'Espagne on doit contrôler tout le territoire.
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simplet General de Brigade
messages : 3210 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Crise avec le Maroc: On en sait plus sur le projet Allemagne-Espagne
L’accord entre l’Espagne et l’Allemagne au cœur des tensions diplomatiques avec le Maroc a été révélé au grand jour. Les deux pays ont noué un partenariat stratégique sur plusieurs années visant à construire les moteurs des voitures technologiques de demain. L’Espagne veut devenir un pilier stratégique des voitures électriques en Europe.
Les deux pays ont gardé leur alliance secrète jusqu’ici mais les projets économiques conjoints n’ont pas pu être cachés plus longtemps. L’Espagne et l’Allemagne ont décidé d’approfondir leur coopération (au risque de frôler la légalité internationale) et en faisant de Madrid le partenaire « électrique » de l’Allemagne dans la fabrication de voitures.
L’Allemagne poids lourd de l’industrie automobile notamment sur le segment des berlines de luxe, a fait ses calculs en partant des projections sectorielles. Et c’est vers une perte de vitesse, un remplacement, que l’industrie ultra rentable du pays se dirige dans quelques années lorsque les voitures électriques remplaceront les voitures à carburant classique.
Berlin ne veut pas perdre sa place mais n’a pas les capacités de faire concurrence à Tesla à l’heure actuelle. Car pour fabriquer ces voitures technologiques, il faut des moteurs qui utilisent des batteries spécifiques composées de matériaux comme le tellurium, le cobalt ou encore le lithium, et leurs gisements ne se trouvent pas en Allemagne mais dans les profondeurs des eaux territoriales marocaines, non loin des iles baléares.
L’Espagne et l’Allemagne comptaient profiter du fait que le Maroc n’avait pas notifié aux instances compétentes des Nations Unies la délimitation de son espace maritime mais les deux pays ont été pris de court lorsque le Maroc l’a fait fin 2019. L’Espagne qui avait dépêché sa ministre des Affaires Etrangères, alors, Arancha Laya, était montée au créneau et avait estimé que Rabat devait se concerter avec elle tout en reconnaissant au Maroc le droit de délimiter son espace maritime.
Ce à quoi, le chef de la diplomatie marocaine a répondu que la délimitation des frontières maritimes était « un acte souverain, conformément au droit international » affirmant que «le Maroc a délimité ses frontières sur le plan législatif, comme l’avait fait l’Espagne », tout en reconnaissant que cela pouvait aboutir à des chevauchements et a dit rester ouvert au « dialogue ».
Des voitures allemandes fabriquées en Espagne
« L’Espagne pourrait devenir un pilier stratégique de notre stratégie électrique. Nous sommes prêts à implanter l’ensemble de la chaîne de valeur de la mobilité électrique dans le pays, y compris la production de véhicules électriques, ainsi que leurs composants, et une nouvelle usine de batteries du Groupe. En fonction du contexte général et du soutien du secteur public, dès 2025 la famille Small BEV pourrait être fabriquée en Espagne » a déclaré mardi, Herbert Diess, PDG du groupe Volkswagen, lors d’un événement au cours duquel le groupe VW a exposé sa stratégie pour 2030.
L’annonce intervient au lendemain de la présentation en Espagne du projet européen PERTE (European Projects for Economic Recovery and Transformation) visant à relancer l’économie européenne et que l’Espagne va exploiter pour différentes industries dont celle du véhicule électrique. Le projet est soutenu par des fonds européens avec des aides européennes et espagnoles atteignant les 4.200 millions d’euros.
L’Espagne a la ferme intention de relancer son économie grâce à cette industrie du futur et de devenir un hub du véhicule électrique, elle y a même consacré le projet « Future : Fast Forward » et vise à créer une 3ème usine de batteries électriques sur son sol.
L’information a été confirmée par un responsable de la marque automobile espagnole SEAT et allemande Volkswagen (SEAT vient de nommer début juillet deux nouvelles têtes proches de l’Allemagne au sein de son comité exécutif). « Nous continuons à promouvoir notre stratégie en matière de batteries et nous avons l’intention de construire la gigafactory numéro trois en Espagne », a déclaré Thomas Schmall, le président du conseil d’administration de SEAT (depuis juillet) mais aussi responsable de la technologie du comité exécutif du groupe Volkswagen et PDG de Volkswagen Group Components.
« Comme dans nos deux premières usines prévues à Salzgitter (Allemagne) et Skellefteå (Suède), nous prévoyons de construire la gigafactory potentielle avec un partenaire stratégique », a-t-il ajouté faisant référence à l’Allemand Volkswagen.
Le constructeur allemand compte créer 6 gigafactories en Europe d’une capacité de 240 GWh d’ici 2030 et pour le moment 3 pays sont annoncés pour les sites de production, l’Allemagne, la Suède et l’Espagne qui fabriquera sa ligne de petits véhicules électriques.
L’Allemand s’est également associé à la Chine notamment sur son futur site de Salzgitter en choisissant Gotion High-Tech, un fabriquant de batteries, comme partenaire stratégique. Un producteur chinois de batteries dont Volkswagen a racheté 26 % du capital de cette société en 2020.
Les futurs projets de l’industrie automobile de l’Allemagne et de l’Espagne, soutenus par leurs gouvernements respectifs et des Fonds européens, ont ainsi impacté les relations diplomatiques avec le Maroc. L’Allemagne a multiplié des actions jugées « hostiles » par le Maroc et visant l’intégrité territoriale du pays.
Le pays a subi les foudres de Rabat lorsque le chef de la diplomatie Nasser Bourita avait demandé par écrit à tous les départements ministériels de cesser de collaborer avec l’ambassade d’Allemagne et les fondations allemandes, indiquant des « malentendus profonds au sujet des questions fondamentales du Royaume du Maroc ».
L’Allemagne a été le seul pays ayant convoqué une réunion d’urgence du Conseil de sécurité suite à la reconnaissance américaine de la souveraineté du Maroc sur le Sahara. Et, avait également volontairement exclu le Maroc de la Conférence de Berlin sur la Libye, voulant saper son rôle, alors que le Royaume est un acteur de paix dans ce dossier depuis le début de la crise et jusqu’à présent. C’est au Maroc que le Premier gouvernement d’union nationale reconnu par la communauté internationale a été lancé en plus des accords de Skhirat en 2015 qui constituent la base d’une solution politique.
De son côté, l’Espagne a prémédité l’accueil du chef des milices séparatistes du polisario pour soins du coronavirus, tout en évitant de consulter le Maroc et éviter au dirigeant séparatistes de faire face à la justice espagnole alors qu’il est accusé de crimes contre l’Humanité. Depuis, le Maroc a rappelé ses ambassadeurs en Allemagne et en Espagne pour consultations.
Après ça si les français ne se bougent pas le q... Pour appuyer le Maroc sachant que leurs deux joyeux de l'industrie automobile ont misé et mise sur le Maroc pour devenir plus compétitifs, alors je peux vous confirmer que l'Elysée et contrôler depuis Berlin et que Macron est un grand corrompu. Un Maroc avec une souveraineté totale sur ses zones maritimes signifie tout simplement une assurance d'approvisionnement en terre rares pour l'industrie automobile française
Voldenuit, VANDENBERGHE_K-24, Fahed64, YASSINE, al_bundy, QuickShark et ralek1 aiment ce message
Les allemands sont prêts à tout pour leur industrie automobile. Je rappelle ici le scandale mondial du logiciel tricheur qui a permis à Volkswagen de dissimuler les émissions de gaz nocifs ...
-« Qui a trahi le héros numide Jugurtha en 104 avant l’ère chrétienne… ?», lit-on en tête de liste des accusations... Comment en est-on arrivé à cette folie furieuse d’incriminer le Maroc aujourd’hui pour des faits remontant à plus de deux millénaires ?https://t.co/Kpxmw49M9I
Le Maroc n'envisage pas le retour de son ambassadeur à Madrid à court terme
Rabat mettra sur la table la question du renouvellement du traité de pêche avec l'UE, qui concerne 92 navires espagnols
Le Maroc n'envisage pas actuellement le retour à Madrid de son ambassadrice en Espagne, Karima Benyaich, appelée à des consultations à Rabat mi-mai, selon des sources diplomatiques du pays voisin ont informé LA RAZÓN.
Au préalable, plusieurs points doivent être discutés et des éclaircissements apportés sur le problème à l'origine de la crise diplomatique actuelle : l'accueil, dans des conditions étudiées par la justice espagnole pour son éventuelle irrégularité, du chef du Front Polisario, Brahim Ghali, pour être soigné coronavirus dans un hôpital de Logroño.
Ce fait, qui a coûté son poste à la ministre des Affaires étrangères de l'époque, Arancha González Laya, a été interprété par le Maroc comme une attaque frontale d'un pays qui se considère comme un ami, puisque Ghali dirige un groupe qui a déclaré la guerre à Rabat depuis novembre dernier an.
Les sources précitées, qui ont rappelé que le sommet entre les deux pays, plusieurs fois reporté, n'est pas encore daté, ont évoqué la question de l'accord de pêche avec l'Union européenne, qui concerne 92 navires espagnols qui pêchent dans les eaux marocaines. Le traité expire l'année prochaine, mais commencera à être négocié fin août ou début septembre .
C'est sans aucun doute un atout que Rabat va mettre sur la table dans le cadre du processus de normalisation des relations diplomatiques qui, selon les sources, « va très loin ».
La nomination du nouveau ministre des Affaires étrangères José Manuel Albares, qui était ambassadeur à Paris, a été saluée à Rabat ainsi que les dernières déclarations du président du gouvernement, Pedro Sánchez, en ce sens qu'une telle normalisation est nécessaire. "Mais il y a d'autres choses qui doivent être discutées, éventuellement dans des conversations discrètes et - soulignent-ils - il y a le traité de pêche, une question vraiment pertinente."
Karima Benyaich, une diplomate très respectée, à laquelle le roi Mohamed VI avait toute confiance, a quitté l'Espagne après que la ministre Laya a appelé son département pour des consultations urgentes. Benyaich a alors déclaré, se référant à la réception de Ghali, qu'il y a des actes qui ont des conséquences, "et ils doivent être assumés". Il a ajouté que les relations entre pays voisins et amis doivent être fondées sur "une confiance mutuelle, qui doit être travaillée et entretenue".
La position du Maroc reste donc ferme malgré les gestes de l'Espagne - la démission de Laya et la nomination d'un nouveau ministre - et ils ont mis sur la table le traité de pêche, une question d'une importance vitale pour le secteur.
Il y a eu des spéculations sur la possibilité que la France puisse servir de médiateur entre l'Espagne et le Maroc (le ministre maghrébin des Affaires étrangères, Nasser Bourita est à Paris aujourd'hui), un extrême démenti de sources françaises.
En tout cas, différentes sources s'accordent sur le désagrément absolu de l'accueil de Ghali en Espagne (il est soigné dans un hôpital d'Alger et les dernières photos diffusées montraient qu'il s'était amélioré) en raison du problème plus que prévisible qu'il allait causer. avec le Maroc, dans une crise sans précédent ces dernières années, comme il en a convenu.
Le Maroc n'envisage pas le retour de son ambassadeur à Madrid à court terme
Rabat mettra sur la table la question du renouvellement du traité de pêche avec l'UE, qui concerne 92 navires espagnols
Le Maroc n'envisage pas actuellement le retour à Madrid de son ambassadrice en Espagne, Karima Benyaich, appelée à des consultations à Rabat mi-mai, selon des sources diplomatiques du pays voisin ont informé LA RAZÓN.
Au préalable, plusieurs points doivent être discutés et des éclaircissements apportés sur le problème à l'origine de la crise diplomatique actuelle : l'accueil, dans des conditions étudiées par la justice espagnole pour son éventuelle irrégularité, du chef du Front Polisario, Brahim Ghali, pour être soigné coronavirus dans un hôpital de Logroño.
Ce fait, qui a coûté son poste à la ministre des Affaires étrangères de l'époque, Arancha González Laya, a été interprété par le Maroc comme une attaque frontale d'un pays qui se considère comme un ami, puisque Ghali dirige un groupe qui a déclaré la guerre à Rabat depuis novembre dernier an.
Les sources précitées, qui ont rappelé que le sommet entre les deux pays, plusieurs fois reporté, n'est pas encore daté, ont évoqué la question de l'accord de pêche avec l'Union européenne, qui concerne 92 navires espagnols qui pêchent dans les eaux marocaines. Le traité expire l'année prochaine, mais commencera à être négocié fin août ou début septembre .
C'est sans aucun doute un atout que Rabat va mettre sur la table dans le cadre du processus de normalisation des relations diplomatiques qui, selon les sources, « va très loin ».
La nomination du nouveau ministre des Affaires étrangères José Manuel Albares, qui était ambassadeur à Paris, a été saluée à Rabat ainsi que les dernières déclarations du président du gouvernement, Pedro Sánchez, en ce sens qu'une telle normalisation est nécessaire. "Mais il y a d'autres choses qui doivent être discutées, éventuellement dans des conversations discrètes et - soulignent-ils - il y a le traité de pêche, une question vraiment pertinente."
Karima Benyaich, une diplomate très respectée, à laquelle le roi Mohamed VI avait toute confiance, a quitté l'Espagne après que la ministre Laya a appelé son département pour des consultations urgentes. Benyaich a alors déclaré, se référant à la réception de Ghali, qu'il y a des actes qui ont des conséquences, "et ils doivent être assumés". Il a ajouté que les relations entre pays voisins et amis doivent être fondées sur "une confiance mutuelle, qui doit être travaillée et entretenue".
La position du Maroc reste donc ferme malgré les gestes de l'Espagne - la démission de Laya et la nomination d'un nouveau ministre - et ils ont mis sur la table le traité de pêche, une question d'une importance vitale pour le secteur.
Il y a eu des spéculations sur la possibilité que la France puisse servir de médiateur entre l'Espagne et le Maroc (le ministre maghrébin des Affaires étrangères, Nasser Bourita est à Paris aujourd'hui), un extrême démenti de sources françaises.
En tout cas, différentes sources s'accordent sur le désagrément absolu de l'accueil de Ghali en Espagne (il est soigné dans un hôpital d'Alger et les dernières photos diffusées montraient qu'il s'était amélioré) en raison du problème plus que prévisible qu'il allait causer. avec le Maroc, dans une crise sans précédent ces dernières années, comme il en a convenu.
L'accord de pêche...c'est un AS de pique dans notre manche. Je me demandais Jusqu'à quand on allait brader notre poisson et subventionner la paix sociale chez ce voisin belliqueux! Il faut savoir que si on ne renouvelle pas l'accord de pêche, des milliers d'emplois directs et indirects seront directement impactés en Espagne.
La ZEE est Marocaine pour le poisson mais pas pour le drapeau? Et ils pensaient que leur petit jeu allait durer indéfiniment?
On va continuer dans cette voie et si Nasser Bourita et Omar Hillale ne prennent plus de gants c'est que les lignes ont bouger dans notre sens et qu'on touche au but.
Dernière édition par al_bundy le Mar 20 Juil 2021 - 14:28, édité 1 fois
Bruce Wayne, Hotel ECHO et QuickShark aiment ce message
bradli23 Colonel
messages : 1867 Inscrit le : 27/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Lun 17 Mai 2021 - 13:37
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in visita istituzionale. In agenda colloqui per rafforzare il partenariato strategico e la cooperazione nel settore della sicurezza.
