perso je suis pour que les opérateurs locaux profitent des marchés et tout ça mais je voit d'un mauvais oeil ce akhennouche qui a la casquette de ministre de l'agriculture et qui en meme temps signe des accord de ce genre via son entreprise afriquia gaz c'est immoral
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Citation :
"je veux pour le Maroc de dirigeants intelligeants , une jeunesse intelligente, apte a saisir les occasions a comprendre le siècle ou elle vie, a ne pas vivre a l'ombre du politisme, mais guidée par le perfectionnisme et surtout pas la réalisation et le réalisme " Hassan II 1996
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Shugan188 Modérateur
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Quelles perspectives de l'agriculture marocaine à la lumière du réchauffement climatique et des options du passé ?
- Medias24 Partager : Le 30 août 2021 à 11h59 Modifié 30 août 2021 à 11h59 8 - 10 minutes
Dans cette tribune, Mohamed Taher Srairi, professeur universitaire à l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II, revient sur l’impact du changement climatique sur l’agriculture marocaine. Il appelle à un changement de politique privilégiant des solutions plus innovantes, notamment le recours à l’eau renouvelable comme la pluie.
Nous récoltons ce que nous avons semé : un pays qui se dessèche et qui importe sa nourriture. Des forêts brûlées dans le Rif, des milliers de palmiers dattiers calcinés dans le Drâa, le Tafilalet, à Tata et à Oued Noun (impliquant le fait que des dizaines de familles ont perdu leur principale source de revenus dans les oasis), des oliveraies entièrement consumées près de Rabat et de Meknès, les productions de l’avocatier et de la vigne détruites par le vent du « chergui ».
Depuis le début de l’été 2021, les Marocains assistent, dans un état de panique, à une série de catastrophes provoquées par le manque d’eau. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg ! Les effets du réchauffement climatique et de l’utilisation irrationnelle de l’eau sont plus néfastes que ces simples phénomènes. Malgré tout le tapage médiatique autour des économies d’eau résultant de l’expansion du goutte-à-goutte et les millions de dirhams de subventions qu’il a engloutis, l’impact des politiques agricoles de la dernière décennie est désormais clair : l’épuisement avancé des nappes phréatiques suite à l’intensification de l’irrigation, en particulier dans les régions du sud et de l’est du pays, les disruptions du service de l’eau vers de grands centres urbains (le cas d’Agadir durant l’automne dernier en étant la preuve la plus évidente) et l’insuffisante valorisation économique de l’eau d’irrigation, loin des objectifs, comme cela a résulté de l’effondrement des prix des pastèques cette année, ou des agrumes suite à leur surproduction à partir de 2014, imposant l’arrachage des arbres.
Il apparaît ainsi que même dans de nombreuses zones irriguées à partir des barrages, la demande accrue ne peut plus être satisfaite, et les maigres niveaux de réserves induisent un arrêt long des lâchers d’eau, avec les dommages qui en découlent : réduction de la superficie agricole exploitée et perte de récoltes, recherche de sources hydriques alternatives, en arrivant jusqu’à l’exode rural. Les très faibles taux de remplissage de nombreux barrages privilégient donc les centres urbains, quand il ne s’agit pas simplement d’un envasement à vaste échelle.
Face à ces faits graves, les Marocains ne méritent-ils pas une discussion apaisée sur l’avenir de leur sécurité hydrique ? Va-t-on continuer à faire abstraction de la nature dans les ambitions agricoles ? L’exploitation des eaux souterraines, souvent non renouvelables, peut-elle continuer à être encouragée alors que des villages entiers n’arrivent plus à épancher leur soif ? Faut-il amplifier l’expansion de l’irrigation, même à partir de sources hydriques non conventionnelles comme l’eau de mer dessalée, avec un coût environnemental et économique conséquent (plus de 5 DH le mètre cube), sans oublier la dépendance totale vis-à-vis des fournisseurs étrangers pour cette technologie ?
Faut-il continuer à subventionner des exploitations spécialisées dans des cultures de rente principalement destinées à l’exportation (tomates, agrumes, fruits rouges, oliveraies, avocatiers, etc.), sachant qu’elles contribuent à épuiser les ressources en eau, notamment souterraines ? N’est-ce pas là une négation irréfléchie des multiples avantages de l’intégration cultures/élevage dans les mêmes territoires, que tous les travaux scientifiques récents recommandent d’encourager : diversifier les sources de revenus des agriculteurs le long de l’année, maintenir la fertilité et la vitalité des sols en recyclant la matière organique, valoriser les résidus de cultures et les mauvaises herbes par le bétail et créer ainsi des opportunités d’emploi ?
Ces fonctions ne sont-elles pas aussi indispensables à la promotion des bonnes pratiques agricoles qui favorisent la diminution des émissions de gaz à effet de serre ? La voie de développement centrée sur l’intensification de l’irrigation et la spécialisation dans une culture particulière est-elle la seule option possible pour l’agriculture nationale ?
Ses effets sont connus d’avance : plus de disparité entre la minorité qui a accès aux ressources en eau rares et chères et la majorité exclue de cette course sans fin ; plus d’exposition aux turbulences des marchés internationaux qui peuvent parfois rejeter nos produits, se traduisant par des invendus et donc des pertes d’argent pour les agriculteurs ; plus de dépendance vis-à-vis des aliments importés, comme les céréales, les huiles, les dattes, etc. ; plus de vulnérabilité vis-à-vis des de la volatilité des prix des quantités importantes d’intrants agricoles importés (énergie fossile, vaches laitières, variétés végétales, pesticides, machines agricoles, etc.) à un moment où le patrimoine génétique national a été marginalisé.
Que se passera-t-il avec un changement climatique plus sévère, qui laisse malheureusement présager pour notre pays dans les prochaines décennies une baisse significative des précipitations et une augmentation des températures ? N’est-il pas temps de changer de politique et de penser à des solutions plus innovantes qui n’encouragent que les activités utilisant de l’eau renouvelable, notamment la pluie (céréales, élevage adossé aux pâturages naturels et aux fourrages non irrigués, etc.), en parallèle à un contrôle strict des prélèvements d’eau souterraine ? Combien de temps tolérerons-nous de ne pas prendre en compte les impacts environnementaux négatifs de nos politiques agricoles pour satisfaire des intérêts financiers ? Est-il encore permis d’exporter des produits agricoles qui nécessitent d’importantes quantités d’eau d’irrigation dans des zones arides vers les pays du Nord, qui ne souffrent pas de stress hydrique ? L’initiative internationale actuelle de réflexion à des systèmes alimentaires durables n’incarne-t-elle pas une opportunité de remise en question au niveau local et de réparer ce qui peut l’être avant qu’il ne soit trop tard ?
Telles sont les questions qui doivent être sérieusement abordées, afin de ne pas exagérer les effets des pénuries d’eau, de maintenir les équilibres territoriaux et d’assurer des rémunérations décentes aux millions de personnes qui ont encore l’intention de travailler dans l’agriculture. Car il faut en être convaincu une bonne fois pour toutes : il est temps de changer radicalement la philosophie du rapport entre agriculture et irrigation, compte tenu de la nature aride du climat marocain, en s’appuyant sur des connaissances scientifiques avérées.
En effet, dans le passé, avec des besoins en eau limités, il était possible d’envisager des cultures sous un régime entièrement irrigué, mais ce n’est plus une option raisonnable, car la ressource hydrique sera soumise à une exploitation minière qui ne garantit pas sa pérennité. En fait, l’irrigation ne doit être considérée que comme un complément à la pluie. Et là où les précipitations sont limitées (moins de 300 millimètres annuellement et des températures dépassant les 35°C tout au long de l’été), il faut admettre que l’agriculture ne peut créer suffisamment de richesses pour être effectivement la locomotive du développement humain. Pour toutes ces raisons, l’opinion publique nationale doit cesser d’exagérer le mythe du Maroc comme puissance agricole, sachant qu’au cours de l’année 2020, le pays a importé d’énormes quantités de denrées alimentaires, représentant plus de 100 % des calories consommées par l’ensemble de la population, afin se prémunir des répercussions de la pandémie de la Covid-19 et de la sécheresse : des millions de tonnes de blé, de maïs, d’orge, d’huiles végétales, de sucre et des dizaines de milliers de tonnes de thé, de produits laitiers, de dattes, etc.
Des leçons doivent également être tirées des expériences des pays arabes du Golfe, qui ont été contraints d’arrêter l’utilisation non durable des eaux souterraines dans l’agriculture, malgré leurs moyens financiers considérables. Enfin, compte tenu de toutes ces données et des changements rapides qui les caractérisent, une attention toute particulière doit être accordée à la formation de cadres hautement qualifiés capables de saisir les complexités du développement rural et les défis croissants de la gestion des ressources de ces régions, qui seront imposés par un manque d’eau exacerbé par le réchauffement climatique dans le futur proche.
Excellente analyse, merci pour le partage, le problème c'est que la stratégie adoptée par le Maroc profite seulement à certains exportateurs qu'au delà des postes de travail que ça crée et les devises que ça génère n'ont aucun impact durable sur notre économie à part consommer une grande partie de nos ressources hydriques s et remplir leur poche, mettre le secteur entre les mains d'un grand rentier comme akhnouch a aggravé la situation on a investi des milliards de dollars pour subventionner un seul segment qui garantira la rentabilité à zéro investisment industriel pour les rentiers qui profitent de tout sans rendre de compte( mains d'oeuvres saisonnière sans droits et avec des salaires minables, des terres fertiles à très bas coût, exonération fiscale totale ou partielle, financement presque gratuit et subventions à gogo, quand au prix du m3 en eaux c'est juste dérisoire tout ça pour quoi, ils n'ont même pas investi un dirham dans la valorisation des produits agricoles ou dans d'autres segments de la chaîne de valeur, on importe tout depuis les pesticides au graines jusqu'à l'emballage et les autres matériaux, bref comme pour le secteur de l'énergie de l'immobilier de la peche maritime et autres qui profite au même rentiers, il nous faut une vraie purge
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Invité Invité
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 31 Aoû 2021 - 4:29
Oui @Romh!
Et après, on vient nous prendre la tête avec un nouveau model de développement!
Le secteur agricole n'est qu'une grande machine à allocation de rente. Aucun investissement n'est réalisé, aucune montée en gamme, aucun développement de la chaine de valeur, aucune diversification des marchés.
A la rente s'ajoute l'evasion des capitaux par la sous-facturation des exportations.
Ce secteur doit etre fiscalisé et seul les montants réellement investit dans du capex doivent etre déduit de l'IS. On doit aussi en finir avec le SMIG agricole. Un seul SMIG pour tous.
Mais bon, les rentiers sont connus et cela implique que rien ne changera.
Autre sujet: Je relance mon appel à Nano: Donnes-nous tes sources. Sinon, il s'agit tout simplement de diffamation et le message doit être effacé par les modérateurs.
simplet General de Brigade
messages : 3183 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 31 Aoû 2021 - 5:03
Shugan188 a écrit:
Citation :
En effet, dans le passé, avec des besoins en eau limités, il était possible d’envisager des cultures sous un régime entièrement irrigué, mais ce n’est plus une option raisonnable, car la ressource hydrique sera soumise à une exploitation minière qui ne garantit pas sa pérennité. En fait, l’irrigation ne doit être considérée que comme un complément à la pluie. Et là où les précipitations sont limitées (moins de 300 millimètres annuellement et des températures dépassant les 35°C tout au long de l’été), il faut admettre que l’agriculture ne peut créer suffisamment de richesses pour être effectivement la locomotive du développement humain. Pour toutes ces raisons, l’opinion publique nationale doit cesser d’exagérer le mythe du Maroc comme puissance agricole, sachant qu’au cours de l’année 2020, le pays a importé d’énormes quantités de denrées alimentaires, représentant plus de 100 % des calories consommées par l’ensemble de la population, afin se prémunir des répercussions de la pandémie de la Covid-19 et de la sécheresse : des millions de tonnes de blé, de maïs, d’orge, d’huiles végétales, de sucre et des dizaines de milliers de tonnes de thé, de produits laitiers, de dattes, etc.
Un texte plein de plagiat, hors contexte plein de contradiction qui parle surement d'un autre pays.
avec ce genre de prétendu spécialiste on risque pas d'aller loin. Il connait pas que plus-value réside dans la valorisation des produit agricoles , Il connait pas que la Maroc est un pays rural et pas agricole , donc le seul moyens d'augmenter le PIB du rural c'est l'agriculture et sa valorisation et sa transformation et biensur vant tout il faut s'attaquer au circuit de distribution contrôler par mool Chakara et les mafia des marché de gros. Voila Mr le Spekhialiste les chantiers qu'il faut ouvrir
Citation :
Le secteur néerlandais de l'agriculture a réussi à maintenir sa position de deuxième plus grand exportateur dans le domaine de l'agriculture. Pour 2017, la valeur totale des exportations agricoles déclarées par le Bureau central des statistiques (CBS) est de 113.5 milliards de dollars américains ou 92 milliards d'euros, soit 7% de plus par rapport à 2016. Ainsi, le pays se classe au deuxième rang parmi les principaux exportateurs agricoles du monde, après les États-Unis. Les exportations agricoles des États-Unis pour l'exercice financier de 2017 ont été estimées à 140.5 milliards de dollars ou 114.2 milliards d'euros.
Selon CBS, environ 40.5 milliards d'euros proviennent de produits fabriqués en Hollande et un autre 3.5 milliards d'euros sont attribuables à des produits importés d'ailleurs, ont subi une certaine transformation et ont été exportés. Si les produits liés à l'agriculture étaient inclus dans le calcul, la participation néerlandaise dans l'économie mondiale augmenterait à 48 milliards d'euros.
Les fleurs et les bulbes figuraient parmi les premiers produits d'exportation. Les produits laitiers arrivaient en deuxième position, dépassant la viande qui se classait à la deuxième place l'année précédente.
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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romh General de Division
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Sujet: Re: Économie marocaine Mar 31 Aoû 2021 - 5:23
simplet a écrit:
Shugan188 a écrit:
Citation :
En effet, dans le passé, avec des besoins en eau limités, il était possible d’envisager des cultures sous un régime entièrement irrigué, mais ce n’est plus une option raisonnable, car la ressource hydrique sera soumise à une exploitation minière qui ne garantit pas sa pérennité. En fait, l’irrigation ne doit être considérée que comme un complément à la pluie. Et là où les précipitations sont limitées (moins de 300 millimètres annuellement et des températures dépassant les 35°C tout au long de l’été), il faut admettre que l’agriculture ne peut créer suffisamment de richesses pour être effectivement la locomotive du développement humain. Pour toutes ces raisons, l’opinion publique nationale doit cesser d’exagérer le mythe du Maroc comme puissance agricole, sachant qu’au cours de l’année 2020, le pays a importé d’énormes quantités de denrées alimentaires, représentant plus de 100 % des calories consommées par l’ensemble de la population, afin se prémunir des répercussions de la pandémie de la Covid-19 et de la sécheresse : des millions de tonnes de blé, de maïs, d’orge, d’huiles végétales, de sucre et des dizaines de milliers de tonnes de thé, de produits laitiers, de dattes, etc.
Un texte plein de plagiat, hors contexte plein de contradiction qui parle surement d'un autre pays.
avec ce genre de prétendu spécialiste on risque pas d'aller loin. Il connait pas que plus-value réside dans la valorisation des produit agricoles , Il connait pas que la Maroc est un pays rural et pas agricole , donc le seul moyens d'augmenter le PIB du rural c'est l'agriculture et sa valorisation
Citation :
Le secteur néerlandais de l'agriculture a réussi à maintenir sa position de deuxième plus grand exportateur dans le domaine de l'agriculture. Pour 2017, la valeur totale des exportations agricoles déclarées par le Bureau central des statistiques (CBS) est de 113.5 milliards de dollars américains ou 92 milliards d'euros, soit 7% de plus par rapport à 2016. Ainsi, le pays se classe au deuxième rang parmi les principaux exportateurs agricoles du monde, après les États-Unis. Les exportations agricoles des États-Unis pour l'exercice financier de 2017 ont été estimées à 140.5 milliards de dollars ou 114.2 milliards d'euros.
Selon CBS, environ 40.5 milliards d'euros proviennent de produits fabriqués en Hollande et un autre 3.5 milliards d'euros sont attribuables à des produits importés d'ailleurs, ont subi une certaine transformation et ont été exportés. Si les produits liés à l'agriculture étaient inclus dans le calcul, la participation néerlandaise dans l'économie mondiale augmenterait à 48 milliards d'euros.
Les fleurs et les bulbes figuraient parmi les premiers produits d'exportation. Les produits laitiers arrivaient en deuxième position, dépassant la viande qui se classait à la deuxième place l'année précédente.
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Oui justement il y a des lacunes mais en gros son pronostic pour notre politique agricole est très malheureusement correcte, j'ai travaillé plusieurs années avec les agriculteurs de la région de Souss et j'ai vu l'ampleur du carnages qui se fait dans le détournement des fonds publics à travers les offices régionaux des investissements agricole les projets Maroc Vert et les pratiques ignobles sur les pauvres ouvriers et ouvrières, lors que les cadres supérieurs les agrégateurs et les propriétaires c'est un autre monde croyez moi je le dis toujours notre plus grand ennemis c'est ce système rentier qui aggrave l'injustice sociale les écarts entre les couches sociales et gaspille l'effort d'investissement public au profit d'une cathegorie qui ne mérite même pas un bout de terre pour les enterrer. J'ai aucun problème avec ces gens ou avec le fait qu'ils soient fortunés ( lah yezidhoum) mais ils doivent payer les taxes et investir leur propre argent pas celui de l'État et ne pas asservir leurs pauvre employés par des salaires minables et un traitement inhumain, j'aurais aimé que l'effort fourni par l'état dans les agricultures exportatrices soit fourni dans l'industrie et la forestation ( un volet marginalisé car c'est un bien public et ça profite pas aux rentiers) Sachant que c'est un domaine très rentable pour le pays et les futurs génération si on utilise le 1/3 des ressources hydriques de ce qu'on utilise dans ces agricultures exportatrices dans la forestation on aurait pu avoir un Maroc très différents avec des retombées sur l'environnement le climat le tourisme......
Cosa, Jihad et Adam aiment ce message
simplet General de Brigade
messages : 3183 Inscrit le : 20/05/2012 Localisation : MONTREAL Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 31 Aoû 2021 - 5:38
romh a écrit:
Oui justement il y a des lacunes mais en gros son pronostic pour notre politique agricole est très malheureusement correcte, j'ai travaillé plusieurs années avec les agriculteurs de la région de Souss et j'ai vu l'ampleur du carnages qui se fait dans le détournement des fonds publics à travers les offices régionaux des investissements agricole les projets Maroc Vert et les pratiques ignobles sur les pauvres ouvriers et ouvrières, lors que les cadres supérieurs les agrégateurs et les propriétaires c'est un autre monde croyez moi je le dis toujours notre plus grand ennemis c'est ce système rentier qui aggrave l'injustice sociale les écarts entre les couches sociales et gaspille l'effort d'investissement public au profit d'une cathegorie qui ne mérite même pas un bout de terre pour les enterrer. J'ai aucun problème avec ces gens ou avec le fait qu'ils soient fortunés ( lah yezidhoum) mais ils doivent payer les taxes et investir leur propre argent pas celui de l'État et ne pas asservir leurs pauvre employés par des salaires minables et un traitement inhumain, j'aurais aimé que l'effort fourni par l'état dans les agricultures exportatrices soit fourni dans l'industrie et la forestation ( un volet marginalisé car c'est un bien public et ça profite pas aux rentiers) Sachant que c'est un domaine très rentable pour le pays et les futurs génération si on utilise le 1/3 des ressources hydriques de ce qu'on utilise dans ces agricultures exportatrices dans la forestation on aurait pu avoir un Maroc très différents avec des retombées sur l'environnement le climat le tourisme......
je suis d'accord, faut combattre l'anarchie et tout le monde doit passer a la caisse, tu gagnes de l'argent tu dois payer les impôts . bien sur qu'il faut mettre fin quelque soit le secteur. dans les Marché de gros y en a qui font des millions sans bougé le petit doigt
pour information. les commerçants de Derb Omar payent en moyenne 5000 dhs annuellement d'impôt, moins qu'une ouvrière payé au SMIG https://www.leconomiste.com/article/1069486-fausses-factures-bientot-une-liste-noire-des-fraudeurs
romh a écrit:
J'ai aucun problème avec ces gens ou avec le fait qu'ils soient fortunés ( lah yezidhoum) mais ils doivent payer les taxes et investir leur propre argent pas celui de l'État et ne pas asservir leurs pauvre employés par des salaires minables et un traitement inhumain, j'aurais aimé que l'effort fourni par l'état dans les agricultures exportatrices soit fourni dans l'industrie et la forestation ( un volet marginalisé car c'est un bien public et ça profite pas aux rentiers) Sachant que c'est un domaine très rentable pour le pays et les futurs génération si on utilise le 1/3 des ressources hydriques de ce qu'on utilise dans ces agricultures exportatrices dans la forestation on aurait pu avoir un Maroc très différents avec des retombées sur l'environnement le climat le tourisme......
avant d'espérer quoi que ce soit il faut déjà faire dégager ce حافي, ce gars qui ne sert a rien il la depuis 20 ans tranquillement, tout les politiciens, ministres sont attaqué quotidiennement, lui personne n'en parle il vie sa retraite payé tranquillement sans être dérangé
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Fahed64 Administrateur
messages : 25526 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 1 Sep 2021 - 8:58
Encore une bonne nouvelle
_________________ Sois généreux avec nous, Ô toi Dieu et donne nous la Victoire
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RED BISHOP Modérateur
messages : 12296 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 1 Sep 2021 - 9:50
Excellent! Voilà une autre réponse au gesticulations du pouvoir de l'Est
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Fox-One General de Division
messages : 8005 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 1 Sep 2021 - 9:54
personnellement je voudrai bien de MHE comme futur chef du gouvernement inchallah
redman Aspirant
messages : 593 Inscrit le : 14/10/2011 Localisation : FRANCE Nationalité :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 1 Sep 2021 - 10:24
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 1 Sep 2021 - 10:37
Fox-One a écrit:
personnellement je voudrai bien de MHE comme futur chef du gouvernement inchallah
Mauvais idée sa place est ministre de l economie et de l industrie. J aurais aimé qu il reste pour la decennie 2020-2030 on aura un vrai pays emmergent avec un gars comme lui faut pas prendre le risque de le changer
Hotel ECHO, simplet et daama94 aiment ce message
Shugan188 Modérateur
messages : 5656 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mer 1 Sep 2021 - 11:11
Derick a écrit:
Fox-One a écrit:
personnellement je voudrai bien de MHE comme futur chef du gouvernement inchallah
Mauvais idée sa place est ministre de l economie et de l industrie. J aurais aimé qu il reste pour la decennie 2020-2030 on aura un vrai pays emmergent avec un gars comme lui faut pas prendre le risque de le changer
Combien de PME et TPE détenus par des Marocains travaillent dans ces activités (aéronautique et auto)?Qui est ce qui il a fait pour pousser "malin chkara" pour investir dans le secteur industriel ? Ou au moins dans des activités a valeur ajoutée ? Concernant le commerce avec l Afrique est ce qu il a une stratégie pour faire des TPME un levier ?! (Voir l enquete nationale aupres des entreprises 2019 du HCP)
Je pense qu il est temps pour un sang neuf .
Bruce Wayne, Hotel ECHO, Jihad et Adam aiment ce message
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Sep 2021 - 12:22
Citation :
ONCF: 7,6 millions de voyageurs transportés au T2
Casablanca, Le nombre de voyageurs transportés par l’Office national des chemins de fer (ONCF) s’est établi à 7,6 millions de personnes durant le deuxième trimestre 2021, contre 0,7 millions durant la même période un an auparavant.
Cette amélioration s’explique par une reprise du trafic ferroviaire après des suspensions alternées, dues aux restrictions de déplacement décrétées par les autorités compétentes, indique le Groupe dans un communiqué financier.
Pour sa part, l’activité de transport de marchandises a enregistré une hausse de 5% en volume au T2-2021 par rapport à la même période en 2020.
Les recettes du transport des Phosphates ont enregistré, de leur côté, une baisse de 5,8% en volume durant le deuxième trimestre 2021.