Actualités du Sahara Marocain

Rappel du premier message :

BOUBOU a écrit:

Stinger a écrit:

BOUBOU a écrit:

je ne croit pas que ça a été posté.
l'abstention tunisienne  lors du vote de la résolution sur le sahara marocain. les 300 millions de dollars octroyé par l'Algéristan sont en réalité le salaire de la corruption. imaginez donc ce qu'à coûté cette affaire depuis 1975!

Il va falloir les recadrer la prochaine fois il faut absolument pas se laisser faire

La Tunisie va à sa propre perte en agissant ainsi. Nous n'avons pas à agir là dessus. mais c'est vrai qu'il faille que ce pays précise sa vision des choses. ils ne peuvent pas jouer sur deux tableaux.
Mais comme je l'ai souvent préciser ici et aileurs, la Tunisie est dans une situation extrêmement délicate. Géographiquement, et économiquement. Elle est presque à la merci de l'Algéristan avec tout ce que ça comporte de danger. La Tunisie voit sa voisine comme les autres  la vois, c'est à dire une vache à lait. Et l'algéristan tante de flêchire la Tunisie sur des questions stratégiques (intégrité du Maroc, Israel, model économique et social, coopération sécuritaire, voir même d'intégration régionale...).
La Tunisie n'a pas les moyens et ne les aura pas d'ici tôt de rendre a l'Algéristan les prêts déjà octroyés, ni même les dépôts effectués à la banque de Tunisie! Et c'est un levier que va utiliser l'algéristan.

Alors que beaucoups ici me disaient il y a quelques mois en arriére que le président tunisien érait un patriote et amoureux de son pays, je persiste à croire que son âge avancé le fait délirer au point de ventre son pays ou du moins le jeter dans la gueule du loup...

Nous n'en seront que renforcé, mais si la Tunisie a besoin d'aide, nous devons être disposé à le lui fournire. (Surtout depuis que nous sommes la tête pensente de la Banque Mondiale)

On doit aider personnes ce dont des ingrats des minable de jaloux complexés comme les algechiens, à quand on doit continuer dans ce délire, le Maroc n'a pas d'amis au Maghreb, notre situation est très semblable à celui du Japon, alors on doit compter que sur nous même, au contraire au lieu d'aider ces hypocrites il faut faire en sorte de les enfoncer encore et encore

Pour moi nouvel axe : /Espagne /Angleterre /maroc

Gibraltar Sebta Melilia Sahara UE Aukus...cet axe a des divergences énormes !

il est un peu tôt pour parler d'axe, ou d'alliances...
tout ce qu'il y'a c'est que le royaume oeuvre pour que les puissances européennes de second rang, genre espagne ou allemagne, restent dans la neutralité positive, telle que la pratique le royaume envers eux, du moment qu'ils ne peuvent être ouvertement coopératifs comme il l'est vis-à-vis d'eux.
ils ne vont rien nous octroyer, ni sur le statut des provinces du sud, qui est réglé !!!
ni sur le pan des relations tordues que nous avons avec le voisin de l'est...
le plan est simple,
repousser le polisario hors des instances africaines, lui enlever ce qu'il a usurpé comme représentativité de nos concitoyens des provinces du sud, lui enlever les fanions d'opérette que lui ont procuré les dollars algériens sur la scène africaine, et de suite tiers-mondiste, et désarmer progressivement l'arsenal diplomatique de nuisance qu'entretient l'algérie contre le royaume..!
eux, les européens, du moins ceux qui ne siègent pas au C.S des N.U, doivent comprendre qu'il est fini le temps oui ils pouvaient jouer cette carte pour faire de l'entrisme, soit économique, soit politique, soit en pression pour un quelconque avantage qu'ils convoiteraient.
ils ne vont rien nous donner, et même si c'était le cas, nous savons pertinemment qu'il s'agiras d'un deal, alors...
le royaume se charge de son problème, et eux, ils doivent respecter la souveraineté de notre pays, et montrer les preuves du bon voisinage et de la coopération qu'ils prétendent nous lier !
c'est pour ça que cette formule revient souvent dans les déclarations diplomatiques, on ne leur demande rien, juste une neutralité positive.
une adhésion a nos positions et la légalité historique serait la bienvenue, mais comme ils ont tendance a vouloir jouer avec...
on va dire que l'étape exige qu'ils montrent ce dont ils attendent du royaume qu'il soit.
sinon, a quoi bon le partenariat avec l'U.E ?
avec l'OTAN ?
la coopération sécuritaire ?
et la liste est longue...
rien n'a été stoppé durant les crises avec soit l'allemagne ni l'espagne, en signe de bonne foi et de la volonté du royaume de construire l'avenir, et c'est ce qui a prévalu.
le royaume a été ferme, mais aucunement belliciste.
maintenant, a eux de faire preuve de bonne foi, et d'arrêter de mettre les bâtons dans les roues.
le reste, le royaume s'en charge !
ce n'est pas a eux de nous dire qui nous sommes...

ca depend de l'axe

si on est sur l'axe economique c'est Maroc-UE-GB-Chine
si c'est axe politique c'est GB-USA-Israel-CCG-France

etc etc

C est quelqu'un peut nous résumer le point de presse du MAE espagnol
https://youtu.be/mDiS2aMEb3Q

Le seul axe qui vaille est celui de Rabat-alger, le jour ou on obligera les degenerés de l'est à retrouver la raison, le conflit autour de notre Sahara sera terminé.

Les miliciens de Tindouf sont insignifiante, sans l'appui total et inconditionnel des caporaux gavés de petrole, nous les aurions enterré vivant en quelques semaines.

Leur seule et unique stratégie (du moins celle de leurs marionnettistes) est de faire fructifier à maximum l’état de quasi-guerre entre Maroc et algérie depuis 63, et de profiter du risque d'un conflit majeur entre les deux pays et de l'effroyable massacre/boucherie que pourrait entrainer.

Shugan188 a écrit:

C est quelqu'un peut nous résumer le point de presse du MAE espagnol
https://youtu.be/mDiS2aMEb3Q

Je pense que c'est sa Ssi Shugan..

On va se délecter ces prochains jours

Torchon Espagnol
et El Merdo, fidele a lui-meme, qui crache sa rage...toz

À prendre avec des pincettes mais si cela est vrai c'est extrêmement grave pour les intérêts du pays

En gros El Pais présume que le deal c'est Sahara contre ZEE canarienne + Sebta et Melilia .... c'est une catastrophe si cela s'avère vraie.

Citation :

L'Espagne prend parti pour le Maroc dans le conflit du Sahara

Rabat considère que la crise est close après que Sánchez a qualifié la proposition d'autonomie marocaine de "la plus sérieuse, réaliste et crédible" pour résoudre le conflit

Le Maroc considère close sa crise diplomatique avec l'Espagne, qui dure depuis 10 mois, après que le gouvernement espagnol a abandonné sa position traditionnelle de neutralité dans le conflit du Sahara et s'est rangé du côté de Rabat, en considérant sa proposition d' autonomie " comme la plus grave, base réaliste et crédible pour le règlement du différend » dans l'ancienne colonie espagnole. Sánchez se rendra au Maroc, même sans en déterminer la date, comme l'a rapporté la présidence du gouvernement ce vendredi.

Le changement de position est reflété dans une lettre adressée par le président du gouvernement, Pedro Sánchez, au roi Mohamed VI, qui a été rendue publique par le cabinet royal du Maroc. Selon le texte, l'Espagne "reconnaît l'importance de la question du Sahara pour le Maroc" et "considère l'initiative marocaine d'autonomie, présentée en 2007, comme la base la plus sérieuse, réaliste et crédible pour résoudre ce différend". Le président souligne également "les efforts sérieux et crédibles du Maroc dans le cadre des Nations unies pour trouver une solution mutuellement acceptable" au conflit qui dure depuis 47 ans.

PLUS D'INFORMATIONS
Gêne à United We Can par le changement de position du PSOE sur le Sahara
Cette lettre représente un changement dans la position traditionnelle du gouvernement espagnol, qui avait jusqu'à présent opté pour "une solution politique, juste, durable et mutuellement acceptable, dans le cadre des Nations unies", sans opter pour l'autonomie marocaine ou l'indépendance sahraouie. et ouvrir la porte à une autre issue que le référendum d'autodétermination, à condition qu'il soit accepté par les parties.

Contrairement à ce qui s'est passé lorsque le Maroc et l'Allemagne ont mis fin à leur crise diplomatique en février, il n'y a pas de déclaration commune des deux pays, mais plutôt une déclaration du ministère des Affaires étrangères à Rabat et une autre du gouvernement espagnol.

Des sources gouvernementales affirment que l'Espagne a obtenu des garanties que les "actions unilatérales" ne se répéteront pas, comme l'entrée irrégulière de plus de 10 000 immigrés à Ceuta, les 17 et 18 mai 2021,ou l'extension de la zone économique exclusive marocaine aux eaux des îles Canaries ; que « l'intégrité territoriale » de l'Espagne sera respectée, y compris les deux villes autonomes d'Afrique du Nord ; et que le Maroc coopérera "à la gestion des flux migratoires en Méditerranée et en Atlantique"

Or, ces engagements figurent dans la déclaration du gouvernement espagnol, mais pas dans celle du ministère marocain des Affaires étrangères. Des sources gouvernementales ont assuré que tous ont été assumés par Rabat, bien qu'il ne les ait pas mis par écrit et que "ce n'est que le début d'un processus" dans lequel ce qui a été convenu devra être mis en pratique, dans la confiance de chaque partie, faites ce que vous avez convenu..

Dans son communiqué, Rabat se borne à "apprécier hautement les positions positives et les engagements constructifs de l'Espagne sur la question du Sahara marocain contenus" dans la lettre de Sánchez à Mohamed VI et annonce une visite au Maroc du ministre espagnol des Affaires étrangères, José Manuel Albares, "à la fin de ce mois de mars et avant le mois de Ramadan", qui débute le 2 avril. Il s'agira du premier voyage du chef de la diplomatie espagnole dans le pays voisin depuis sa prise de fonction le 13 juillet. "Une visite du président du gouvernement espagnol au Royaume du Maroc sera également prévue ultérieurement", ajoute Rabat. La visite d'Albares à Rabat devrait coïncider avec le retour à Madrid de l'ambassadrice du Maroc, Karima Benyaich, appelée à des consultations en mai.

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Lors d'une conférence de presse à Barcelone, ce vendredi en fin d'après-midi, Albares a minimisé le fait qu'il n'y ait pas de déclaration commune avec le Maroc, assurant que "chaque pays décide ce qu'il doit faire". L'important est de savoir si nous sommes d'accord dans l'esprit. Le ministre des Affaires étrangères, qui a annoncé une prochaine comparution à sa propre demande au Congrès, a indiqué qu'il s'était entretenu ce vendredi avec la deuxième vice-présidente du gouvernement, Yolanda Díaz, la présidente des îles Canaries et celles de Ceuta et Melilla. Il a minimisé les différences avec Podemos, soulignant que "les nuances entre ministres ou entre partenaires gouvernementaux sont normales même dans les gouvernements monochromatiques", et a souligné que l'invasion de l'Ukraine rend particulièrement opportune la fermeture des crises en cours.

Le ministre n'a pas voulu révéler s'il s'était entretenu avec son homologue algérien, Ramtane Lamamra, mais a souligné qu'Alger est "un partenaire fiable" et que la relation stratégique avec ce pays "est vouée à durer dans le temps", rapporte Clara Blanchar . Des sources gouvernementales ont confirmé à EL PAÍS que l'Algérie, principal fournisseur de gaz de l'Espagne, a été informée à l'avance du changement de position de l'Espagne sur le Sahara.

PLUS D'INFORMATIONS
Du référendum d'autodétermination à l'autonomie : les deux solutions pour le Sahara Occidental
Le communiqué marocain ajoute que "les termes" du message de Sánchez "permettent d'entrevoir une feuille de route claire et ambitieuse afin d'inscrire durablement l'association bilatérale dans le cadre des nouveaux paramètres et bases mis en évidence dans le discours" de Mohamed VI du 20 d'août. Le roi du Maroc a appelé dans ce discours à "ouvrir une nouvelle étape sans précédent dans les relations entre les deux pays, fondée sur la confiance, la transparence, le respect mutuel et le respect des engagements".

"Une nouvelle relation"
"Nous entamons aujourd'hui une nouvelle étape de la relation avec le Maroc basée sur le respect mutuel, le respect des accords, l'absence d'actions unilatérales et la transparence et la communication permanente. Cette nouvelle étape sera déclinée dans une feuille de route claire et ambitieuse. Tout cela pour garantir la stabilité, la souveraineté, l'intégrité territoriale et la prospérité de nos deux pays », souligne le gouvernement espagnol.

Comme s'il s'agissait d'une déclaration commune avec le Maroc et non unilatérale de La Moncloa, le texte ajoute au pluriel : « Nous réitérons notre détermination à relever ensemble les défis communs, notamment la coopération dans la gestion des flux migratoires en Méditerranée et dans les Atlantic, agissant toujours dans un esprit de coopération totale, et rétablir la pleine normalité dans la circulation des personnes et des biens, au bénéfice de nos peuples ».

La lettre de Sánchez va au-delà de la résolution du Conseil de sécurité de l'ONU du 29 octobre, qui « prend acte » de la proposition marocaine d'autonomie pour le Sahara, présentée en avril 2007, et accepte « Nous saluons les efforts sérieux et crédibles du Maroc pour faire avancer le processus vers une solution » du conflit, mais sans manifester de préférence pour celui-ci, comme le fait l'Espagne.

Avec son changement de position, l'Espagne s'aligne sur la France, principal allié du Maroc dans le conflit du Sahara, puisqu'aucun autre pays européen n'est allé aussi loin. Le 16 février, les ministres des Affaires étrangères allemand et marocain, Annalena Baerbock et Nasser Burita, ont mis fin à plus d'un an de crise diplomatique et annoncé le retour de l'ambassadeur du Maroc à Berlin. La déclaration commune ne faisait aucune référence au différend sur le Sahara. Cependant, le président allemand, Frank-Walter Steinmeier, avait auparavant envoyé une lettre à Mohamed VI (également rendue publique par le Maroc) dans laquelle il qualifiait la proposition d'autonomie de l'ancienne colonie espagnole d'"effort sérieux et crédible" et de "bonne base". » pour parvenir à un accord, des termes très similaires à ceux de la résolution de l'ONU.

L'administration Biden n'a pas confirmé la souveraineté marocaine sur le Sahara, qui a été reconnue le 10 décembre 2020 par le président sortant des États-Unis, Donald Trump. Pourtant, mardi de la semaine dernière, la secrétaire d'État adjointe des États-Unis, Wendy Sherman, a signé une déclaration conjointe avec le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Burita, selon laquelle : « Les États-Unis continuent de voir le plan d'autonomie du Maroc [pour Sahara occidental] comme une approche sérieuse, crédible et réaliste, et une approche qui peut potentiellement répondre aux aspirations des peuples de la région ». Sherman a rencontré Albares à Madrid avant de se rendre à Rabat.

Le Front Polisario, troisième dans la discorde, n'a pas tardé à réagir. Le président Pedro Sánchez a succombé "aux pressions et au chantage" du Maroc en approuvant son plan d'autonomie du Sahara occidental comme un "péage" pour la reprise des relations politiques et diplomatiques endommagées entre les deux pays, selon le délégué du Polisario en Espagne, Abdullah Arabi . Dans des déclarations à Europa Press, Arabi a assuré que le gouvernement espagnol a passé des années à essayer de "constamment plaire au Maroc", jouant avec une "ambiguïté" qui, selon lui, ne lui correspond pas en tant que "puissance administrante" d'un territoire en attente de décolonisation. .

Pour le délégué du Polisario, le fait que l'Espagne reconnaisse désormais le plan marocain d'autonomie comme la meilleure option pour résoudre le conflit révèle "l'hypocrisie" du gouvernement lorsqu'il parle de "défendre la légalité internationale". Pour Arabi, le plan de Rabat "est une option, mais ce n'est pas la solution", et il a revendiqué la nécessité de convoquer un référendum qui envisage l'autodétermination. "La solution doit reposer sur le choix du peuple sahraoui", a-t-il souligné, avant d'ajouter que l'Espagne "a une responsabilité politique et juridique" pour son ancienne colonie et de se prononcer comme elle l'a fait ce vendredi, "contredit énormément sa responsabilité".

mois de négociations
La lettre du président espagnol à Mohamed VI est le fruit de mois de négociations entre les deux gouvernements. Le seul contact direct entre les autorités des deux pays a eu lieu le 18 février, lorsque Pedro Sánchez a rencontré à Bruxelles le ministre marocain des Affaires étrangères, Naser Burita, profitant du sommet entre l'UE et l'Union africaine. Début mars, dans la dernière ligne droite des négociations, deux groupes de 2 500 et 1 200 immigrés ont tenté de sauter la clôture de Melilla, dont près de 900 ont réussi, un fait qu'Albares a qualifié de "très inquiétant" et que des sources gouvernementales ont interprété comme comme une dernière pression de Rabat.

Avec les deux communiqués de ce vendredi, une crise diplomatique est close qui a commencé avec l'arrivée en Espagne le 18 avril de l'année dernière du chef du Front Polisario, Brahim Gali, pour être soigné pour une grave maladie du covid-19 dans un hôpital. de Logroño; Elle a connu son paroxysme avec l'entrée irrégulière de plus de 10 000 Marocains à Ceuta les 17 et 18 mai et culminé avec l'appel à consultations de son ambassadeur à Madrid, il y a 10 mois.

Selon la Maison royale marocaine, Sánchez souligne également dans sa lettre que les "deux pays sont inextricablement liés par des affections, une histoire, une géographie, des intérêts et une amitié partagée" et est "convaincu que les destins des deux peuples le sont aussi" et que "la prospérité du Maroc est liée à celle de l'Espagne, et vice versa."

“Nuestro objetivo es construir una nueva relación, basada en la transparencia y la comunicación permanente, el respeto mutuo y los acuerdos firmados por ambas partes y absteniéndose de cualquier actuación unilateral, estando a la altura de la importancia de todo lo que compartimos”, añade président.

Dans ce contexte, "l'Espagne agira avec la transparence absolue qui correspond à un grand ami et allié". "Je vous assure que l'Espagne tiendra toujours ses engagements et sa parole", souligne Sánchez.

Par ailleurs, le chef du gouvernement réitère dans sa lettre la "détermination à affronter ensemble les défis communs, notamment la coopération pour la gestion des flux migratoires en Méditerranée et en Atlantique, en agissant toujours dans un esprit de pleine coopération". "Toutes ces actions seront menées dans le but de garantir la stabilité et l'intégrité territoriale des deux pays", conclut-il.

https://elpais.com/espana/2022-03-18/sanchez-considera-la-autonomia-del-sahara-como-la-base-mas-seria-realista-y-creible-para-resolver-el-conflicto.html

Je penses qu'ils parlent d'actions unilatérales, je ne crois pas du tout à un abandon d'une partie de la ZEE ou l'abandon de Sebta et Melilia, peut être juste une réouverture des frontières mais sans la contrebande.

Ce qui va être aussi intéressant, c'est de voir la réaction de la France...

En tout cas les prochains mois seront passionnant, on va enchainer la visite de Blinken, puis MAE Esp puis Pedro Sanchez au Maroc assez rapidement.

Je ne pense pas que le Maroc va céder sur ces deux points même avec une acceptation total de notre souveraineté sur le Sahara de la part des espagnols comme ce qu a fait Trump, même avant et lorsque les USA voulaient imposer la surveillance des droits de l'homme et le prix du baril était 130$ on a pas accepter de donner de telles concession je ne vois pas comment on va le faire maintenant, aucun Roi depuis 6 siècle n'a admet la souveraine de l'Espagne sur les deux villes même à l'époque du protectorat et vous croyez qu'on va le faire maintenant ??????
Soyez prudent avec les infos véhiculé par les médias espagnols ils vont dire n'importe quoi pour faire passer la pilule avec moins de dégâts politiques
L'acceptation de telles conditions par nos responsable n'est même pas imaginable....

Les Espagnols sont dépassés par les.evenements 
btw quand on soutient le plan marocain c'est un tout le territoire et ses.eaux territoriales.

Citation :

En réponse aux communications du Palais Royal du Maroc et du Ministère des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, le Gouvernement espagnol déclare ce qui suit.

[list="box-sizing: border-box; margin-right: 0px; margin-left: 15px; padding-right: 0px; padding-left: 0px; text-align: left; width: calc(100% - 45px);"]

[*]Nous entamons aujourd'hui une nouvelle étape dans la relation avec le Maroc basée sur le respect mutuel, le respect des accords, l'absence d'actions unilatérales et la transparence et la communication permanente. Cette nouvelle étape sera déclinée, comme l'indiquent les communiqués du Gouvernement marocain, dans une feuille de route claire et ambitieuse. Tout cela pour garantir la stabilité, la souveraineté, l'intégrité territoriale et la prospérité de nos deux pays.
[*]Nous réaffirmons notre détermination à relever ensemble les défis communs, notamment la coopération dans la gestion des flux migratoires en Méditerranée et en Atlantique, en agissant toujours dans un esprit de pleine coopération, et à restaurer la pleine normalité de la circulation des personnes et des biens, au profit de nos peuples.
[*]Le Gouvernement salue le calendrier du déplacement du Président du Gouvernement pour élaborer la feuille de route de cette nouvelle étape, ainsi que l'invitation du Ministre des Affaires étrangères, de l'Union européenne et de la Coopération à se rendre à Rabat avant la fin du mois.

[/list]

https://www.lamoncloa.gob.es/serviciosdeprensa/notasprensa/presidencia/Paginas/2022/180322-comunicado_marruecos.aspx

Non moi je pense que le Maroc a pris l'engagement qu'a chaque fois qu'il fera une action. Il se concertera ou informera l'Espagne. Comme l'Espagne se doit de faire de même avec le Maroc.
Cette déclaration a eu l'effet d'une bombe en Espagne, de la même manière que la déclaration de Trump, plusieurs partis sont montée au créneaux.
De l'autre côté, à l'Est aussi c'est la pleurniche. Leur chaine d'infos a même fait en catastrophe une émission spéciale ou les invités étaient un membre du PoliZero qui debatter avec un membre du...PoliZero... Véridique !

Savoir ce qui a fait basculer l'Espagne, c'est trop compliqué, il se peut que la guerre en Ukraine ait changé la donne, que les Usa aient promis aux espagnols leur sécurité énergétique, pendant que les harkis de l'est se revelaient trop haineux pour relancer le gazoduc, ou trop incompétents, incapables et en tout cas non fiables en temps de crise.

Le gouvernement espagnol s'est quand même laisse entrainé par ces chiens de caporaux dans un scandale politique sans précédent en espagne (certes provoqué par nos services ), tout ça pour ne pas pouvoir compter sur eux le moment venu ..

Le Maroc, lui est un partenaire fiable, il a une histoire et une tradition diplomatique peu comparable dans le monde. C'est aussi ça qu'il lui a permis de froncer les sourcils et d'adopter une attitude frontale face aux puissances européennes, et en faisant cela, il a aussi provoqué sa chance, puisqu'il a mis l'espagne devant ses contradictions et l'a obligé à trancher. La conjoncture mondiale a semble-t-il fait le reste.

Je reste convaincu que le Maroc n'a mis dans la balance ni les villes occupées, ni quoi que ce soit en rapport avec le territoire marocain. Effectivement, peut-être qu'il a promis des choses sur la gestion des migrants, sur le plan économique, énergétique mais rien qui puisse toucher à l'intégrité du territoire.

La détermination et la fermeté, sont le reflet de notre foi en nous et en notre destin, et c'est avec cela pour que nous avons renversé les "montagnes" allemandes et espagnoles. Une leçon pour l'avenir.

il n'y a rien de nouveau . le roi du Maroc avait dit dans un discours télévisé  qu'il est contre les décisions unilatérale en ce qui concerne le voisinage avec l'Espagne c'était avant le covid

C'est assez énorme la masse d'article qui sont sortis et qui continue à être publiés.

Citation :

Pedro Sánchez sacrifie le Sahara pour faire de l'Espagne le principal fournisseur de gaz de l'UE

A court terme, il clôt le conflit avec le Maroc. Et à long terme, cela ouvre des options pour que le Conseil européen approuve son plan, main dans la main avec Von der Leyen.

Pedro Sánchez a -t-il rendu le Sahara au Maroc ? Selon des sources gouvernementales, non . Quelqu'un d'autre que le PSOE soutient-il ce transfert vers les revendications laïques de Mohamed VI ? Personne, le Parti Populaire n'a réagi en s'agitant et en réclamant d'urgence sa comparution au Congrès ; et son partenaire gouvernemental, United We Can, a annoncé qu'"il ne le partageait pas" . De plus, même au PSOE, tout le monde ne comprend pas le mouvement risqué.

Pourquoi à ce moment ? Parce qu'il convient à toutes les parties : l'Espagne, le Maroc, l'Algérie et l'Union Européenne. Que gagne l'Espagne ? Stabilité aujourd'hui. Un pari immense sur l'avenir, demain . Que gagne le Maroc ? Le dernier et le plus légitime obstacle à ses projets dans l'ancienne colonie espagnole est levé.

Et que gagne l'Algérie, acteur incontournable de la géopolitique de notre voisinage sud et éternel ennemi du Maroc ? Une opportunité de paix et d'enrichissement. C'est si, comme le suggèrent des sources gouvernementales, la prochaine étape est l'accord entre les deux ennemis pour reprendre les relations et rouvrir le principal gazoduc maghrébin, qui transporte le gaz algérien vers la péninsule ibérique via le Maroc.

En d'autres termes, ne risquons-nous pas avec ce basculement total "l'association stratégique" avec notre principal fournisseur de gaz naturel, précisément maintenant qu'une guerre en Europe provoquée par Vladimir Poutine , le président de l'autre exportateur fondamental de cette source essentielle de l'énergie, a provoqué une crise qui ne pouvait que s'aggraver ?

Non. Le mouvement tactique de l'Espagne, ordonné par le Premier ministre, et mené par lui-même lors de la signature d'une lettre au roi du Maroc, est, en somme, un pari aussi audacieux que risqué. Mais calculé, mesuré et travaillé pendant huit mois "de travail intense, de hauts et de bas, de pressions et de désaccords".

A court terme, la Moncloa résout une très grave rupture avec "le pays nucléaire de notre politique étrangère", selon les mots de l'ancienne ministre des Affaires étrangères Ana de Palacio , dans une conversation avec ce journal.

Mais à moyen terme, il place l'Espagne dans une position d'avantage impressionnante pour devenir le principal « hub » pour l'approvisionnement en gaz naturel algérien vers l'Europe . Et à long terme, avec le soutien de la Commission pour les interconnexions, pour l'hydrogène vert : le véritable engagement de Teresa Ribera , différentiel avec le reste de l'UE, vert, bon marché et une technologie dans laquelle nous entendons être leaders.

Les clés
Et comment cela peut-il être déduit de ce qui s'est passé ce vendredi après-midi, de manière inattendue et sans l'accord d'aucun acteur politique , ni qui partage le Gouvernement ni qui est l'alternative à l'être ?


Allons-y par étapes, en suivant ce qui a été dit (et ce qui n'a pas été dit, ce qui compte encore plus dans la diplomatie) par José Manuel Albares , qui s'est présenté en conférence de presse alors que les événements se précipitaient :

"La relation avec le Maroc est très riche, et il y a de nombreuses questions sur lesquelles s'entendre. Mais nous savons déjà que tout cela doit aboutir à la stabilité, à l'intégrité territoriale et à la prospérité des deux pays."

En d'autres termes, il reste encore un long chemin à parcourir. Mais ces propos de Mohamed VI , fin août, appelant à une "nouvelle étape" dans les relations avec l'Espagne , fondées sur le respect mutuel, l'attention aux accords et l'absence d'actions unilatérales, sont désormais étayés. "Ce front devait être fermé ", explique une source très proche du président Sánchez.

"L'important n'est pas de savoir s'il y a ou non une déclaration commune, mais si nous sommes d'accord dans l'esprit : respect mutuel, respect des accords conclus et qu'il n'y ait pas d'actions unilatérales, en plus d'une communication et d'une transparence constantes. Sous ces prémisses, élaborera la feuille de route ».

Ou ce qui revient au même : c'est fini de revendiquer Ceuta et Melilla . Et les frontières seront ouvertes, soulageant l'étouffement des deux villes, de leurs habitants et commerçants. Fin à la revendication des eaux territoriales des îles Canaries . Et coupe définitive à l'arrivée incontrôlée des petits bateaux. L'année dernière, "il y a eu des mois avec plus de 5 000 migrants arrivés sur les rives de l'archipel", rappelle le président régional, Ángel Víctor Torres , à ce journal.

Et c'est que « l'accord ne porte pas sur le Sahara » , a expliqué ce collaborateur de Sánchez à ce journal, « il s'agit des relations entre l'Espagne et le Maroc ».

"Je vais comparaître d'urgence au Congrès. Mais l'Espagne a déjà reconnu sous les gouvernements PP, en 2012 et 2015, les efforts sérieux et crédibles du Royaume du Maroc dans le cadre des Nations unies pour trouver une solution mutuellement acceptable".

En d'autres termes, la terminologie de la lettre de Sánchez n'a pas été inventée par son gouvernement, mais a déjà été incluse par Mariano Rajoy dans ses communications conjointes avec le Maroc, alors. "De plus, Zapatero a déjà opté pour l'autonomie du Sahara au sein du Maroc, en 2008 , et il l'a fait avec le soutien des Etats-Unis, de la France... et du PP", explique ce haut responsable socialiste. "C'est une position acceptée par les Nations Unies depuis 2007, et conforme à la dernière résolution 2602 du Conseil de sécurité."



Cela signifie que si quelqu'un perd dans cette équation -les Sahraouis indépendantistes- ce ne sera "que si les deux parties ne parviennent pas à un accord dans le cadre des Nations unies"... c'est-à-dire que l'Espagne sort de un gâchis dans lequel il déjà Ce n'était que par engagement moral en tant qu'ancienne puissance colonisatrice.

"L'Algérie est un partenaire très fiable, un ami de l'Espagne. Je parle couramment avec mon homologue, le ministre Lamamra, et ce partenariat stratégique est voué à durer dans le temps."

Personne ne devrait donc s'inquiéter de l'arrivée de l'énergie en Espagne. Que l'Algérie soit, de loin, notre premier fournisseur de gaz, et que l'Espagne soit, à son tour, le deuxième client du gaz algérien, seulement derrière l'Italie, avec laquelle elle est reliée par un autre gazoduc, ce n'est pas un risque. "Mais une opportunité."

"Précisément en cette période de grande instabilité en Europe, avec une guerre illégale, injuste et injustifiée comme celle qui se déroule en Ukraine, cette relation stratégique et ce gazoduc reliant l'Espagne et l'Algérie peuvent encore valoriser le partenariat stratégique entre nos deux pays.

Car l'essentiel est que près de 90% du PIB , les deux tiers des recettes fiscales et 97% des exportations algériennes dépendent du secteur énergétique. C'est-à-dire le gaz et le pétrole. Pour ce pays d'Afrique du Nord, c'est le soutien de l'économie et la clé de sa stabilité socio-politique .

Aujourd'hui, tant l'Algérie que l'Espagne -consommateurs et entreprises- sont intéressés à augmenter la production et l'exportation d'hydrocarbures du pays. Et cela comprend des investissements dans les infrastructures énergétiques associées au corridor gazier nord-sud-ouest qui relie l'Algérie à l'Europe via l'Espagne.

La compagnie nationale de gaz algérienne, Sonatrach , a annoncé plus tôt dans l'année qu'elle investirait 40 milliards de dollars entre 2022 et 2026 dans l'exploration, la production et le raffinage du gaz. La crise internationale actuelle est peut-être l'opportunité dont l'Algérie a besoin pour briller dans le secteur énergétique mondial .

"La diplomatie exige de la discrétion et non des conversations ou des réunions aériennes, mais je dois insister sur le fait que j'ai une relation très fluide avec mon homologue algérien... et je sais que d'autres membres du gouvernement l'ont également. Je vous garantis que dans cette relation fluide , tous les sujets sont abordés".

En d'autres termes, je ne peux pas vous dire que l'Algérie sait tout d'avance, car je vais avoir des ennuis et les compromettre. Mais il est clair qu'il en est ainsi. De plus , comme ce journal l'a déjà rapporté, le président Sánchez a appelé Abdelmajid Tebboune le dimanche 6 mars , une conversation dans laquelle il a garanti non seulement l'approvisionnement, mais aussi "l'association stratégique" avec l'Espagne ... et rappelez-vous : "Tous les sujets sont abordés " .

Car le gouvernement ne donnerait pas gratuitement ce virage à 180 degrés à sa politique étrangère : sans garanties du Maroc pour Ceuta, Melilla, les îles Canaries et la lutte contre l'immigration clandestine. Ou sans garanties de son plus grand ennemi dans la région, l'Algérie. Car non seulement l'économie espagnole dépend actuellement du gaz algérien, mais aussi l'économie européenne à l'avenir .

"Et l'engagement d'Alger est de mettre fin à l'agression et aux tensions mutuelles avec le Maroc" qui lui nuisaient à un moment d'opportunité historique, ajoute un homme politique familier des négociations. Car, alors que sa matière première se paye sur les marchés entre 20 et 30 fois plus cher qu'il y a tout juste un an, le Gouvernement de Tebboune ne peut se permettre de laisser passer l'opportunité de jouer un rôle clé dans la région et les revenus qui peuvent lui donner c'est un saut historique.

"Les nuances entre les ministres et les différents membres du gouvernement sont quelque chose de normal, même dans les exécutifs qui sont monochromatiques, et sont communs dans ceux de la coalition. Mais il y a une unité totale au sein du gouvernement dans laquelle les intérêts des Espagnols doivent être défendus. en ces temps troublés."

En d'autres termes, si United We Can veut trouver un argument de sortie pour leurs positions bien ancrées sur cette question, le ministre Albares le leur a donné avec cette phrase. Qui un parti gouvernemental préférerait-il défendre, ses citoyens ou ceux d'un autre territoire ?

"Les Canaris, les Melillans, les Ceutans ou les Andalous doivent être protégés et défendus, surtout en ces temps troublés, où l'ordre européen est menacé si directement en Ukraine."

Mais si les partenaires violets du PSOE préfèrent "continuer à travailler à la défense du peuple sahraoui", comme l'a proclamé Yolanda Díaz après avoir raccroché le téléphone du chef des Affaires étrangères ce vendredi après-midi, ils sont tout à fait libres de le faire.

Bien que la vérité soit que le deuxième vice-président était contrarié, surtout, de ne pas avoir été informé auparavant . Pour avoir découvert dans la presse (encore une fois)... comme si elle n'était pas vice-présidente , et à propos d'une décision sérieuse que le PSOE sait que United We Can not share ... comme si Sánchez tenait déjà pour acquis qu'ils le feraient supporter tout ce qu'on leur lance . "Notre position est très claire, nous n'aimons pas cela", a commenté une source proche de Diaz. Mais la dirigeante violette, dans sa colère, s'est limitée à écrire un tweet .

L'UE, main dans la main pour tout
"Il est toujours bon de clore une crise, c'est toujours un bon moment pour le faire et entamer une nouvelle étape de respect mutuel et d'absence d'actions unilatérales et de coopération. En ce moment où nous sommes confrontés à un défi comme la guerre de Poutine, il est particulièrement important un bon moment pour ça."

Après que l'Espagne ait accueilli le chef du Polisario, Brahim Ghali , dans le dos de Rabat et que cela ait incité le Maroc à envoyer 10 000 personnes attaquer Ceuta, que l'ambassadeur soit parti et que la ministre Arancha González Laya ait été limogée , il y a eu plus de désaccords que d'avancées Et Albares, nommé avec pour principal objectif de réparer ce gâchis, a semblé succomber.

"Il y aura une solution" , a-t-il dit dans ses conversations avec ce journal , "et ce sera bientôt" . Mais il y avait toujours quelque chose qui reculait de deux pas après le seul avancé. Entre-temps, l'Union européenne a mis en garde Rabat , « et y a mis des conditions » , ajoutent les sources : 1 600 millions d'aides étaient en jeu sur cinq ans .

L'un des événements qui a modifié le délicat équilibre avec le Maroc et l'Espagne a été la fermeture fin octobre du gazoduc Maghreb Europe , qui alimentait en gaz naturel l'Espagne et le Portugal depuis 25 ans et qui traverse le territoire marocain. Cette décision a porté un coup à l'Espagne -qui couvrait près de la moitié de ses besoins avec du gaz algérien- mais surtout au Maroc, qui s'est retrouvé sans approvisionnement en gaz à un meilleur prix que sur les marchés internationaux.

Depuis, l'Algérie est reliée à l'Europe par le gazoduc Transmed qui relie l'Italie. Ce canal a une capacité d'environ 32 millions de mètres cubes par an, et à travers Medgaz qui arrive en Espagne. Le premier a quatre fois plus de capacité que l'espagnol, mais si des investissements étaient déjà prévus pour augmenter ces niveaux, aux portes du Conseil européen la semaine prochaine, Sánchez arrive déjà avec un plan fermé.

...et main dans la main avec Ursula von der Leyen , qui proposera les solutions espagnoles aux Vingt-sept .

https://www.elespanol.com/espana/politica/20220319/pedro-sanchez-sacrifica-sahara-convertir-espana-ue/658184658_0.html

Évitez de croire les torchons dial spagnyoul qui disent que le maroc va leur laisser la zee atlantique et les confettis du colonialisme sur sa côte nord en échange d’une phrase sur le sahara, ce ne sont que des absurdités émanants de gens qui prennent leurs délires pour des réalités.
De un, le maroc ne négociera jamais une partie de son territoire contre une autre partie, c’est ridicule et croire cela c’est vraiment prendre le roi et le gouvernement pour des idiots sans aucune réflexion. Croyez-vous vraiment que le maroc va renoncer sur de potentielles ressources inestimables situées sur sa zee atlantique qui pourront nous permettre d’accélérer considérable notre monter en puissance pr la donner gratuitement à son ennemi naturel l’espagne ? Et en plus de cela insulter tous les marocains et l’histoire du royaume au passage ?
De deux, on a pas eu de reconnaissance de la marocanité du sahara par l’Espagne, c’est tjrs la même phrase avec juste un changement en passant de « une base sérieuse » à « LA base la plus sérieuse », super la cause du maroc à vachement avancée avec ça youhou tenez on vs donne l’atlantique, toutes ses ressources, avec en bonus sebta, mellila, et tous les petits ilôts, et ce n’est pas tout ! Prenez l’honneur de tout le maroc et des marocains avec aussi ! Non mais c’est n’importe quoi de penser ça…
Enfin de trois, même si l’espagne reconnaît le sahara marocain à l’instar des usa, ca ne changera RIEN DU TOUT. Pour changer la chose il faut tout d’abord continuer et ASSURER notre développement économique et militaire, dégager polizbel de l’ua, mettre de notre côté ses alliés un par un ce qui est entrain d’être fait, et obtenir la reconnaissance des pays du CS, reprendre le no man’s land en avançant le mur sur les tracés des frontières, envoyer chier tout le monde et enfin, abattre le régime des bounif.

Le maroc ne donnera rien à l’espagne comme l’espagne ne donnera rien au maroc. La zee qui nous revient de droit par delà le droit international elle restera propriété du peuple marocain pour assurer sa prospérité et son avenir et les confettis coloniales sur la côte nord sont vouées à retourner au sein du maroc sans aucun doute. Les pourignyol peuvent continuer de se rassurer comme les bounifs si ils veulent, le maroc ne négocie pas son territoire comme la bien dit le roi que je cite « le sahara est non négociable », et ceci vaut aussi bien pour sa terre que ses eaux ou son espace aérien qui sont indissociables.

el.espagnol c'est pas une référence

Moi je pense que les articles médiatiques sont un moyen de dire que l'Espagne a obtenu quelque chose (d'ailleurs Cembrero ne s'est pas privé de dire qu'ils ont rien eu)
Maintenant il faut qu'on regarde les choses de notre côté, on a eu la reconnaissance US pleine et totale, avec l'arrivée de l'équipe Biden il y'a eu l'exercice lightening handshake qui s'est dans notre ZEE (l'incendie de la tour de contrôle Canarie est un indice très clair),donc en ayant eu la reconnaissance US (qui est à mon avis beaucoup derrière ce ''revirement'' Espagnol) on va pas bradé quoi que ce soit, on est en position de force pour négocier (ou du moins en meilleure position qu'ante Décembre 2020) et les Espagnols le savaient bien d'où leur pressions pour faire annulé la décision US de Décembre 2020...D'ailleurs en ce sens le parlement espagnol a rejeté une motion de VOX pour intégré Sebta et Melilia dans l'otan/shenghen

A mon avis le deal doit porté sur le côté énergétique c'est tout, cette semaine on annonce qu'on est ''connecté'' au réseau mondial du gaz, les opérations de prospections/confirmation du potentiel gazier qui s'accélèrent etc... Le plus drôle va être le prochain numéro de la poubelle eljeich qui avait qualifié à l'époque l'Espagne d'un grand allié



Traduction:

Les États-Unis ont indiqué ce vendredi qu'ils coïncident avec l'Espagne que le plan d'autonomie marocain est "sérieux, crédible et réaliste", bien qu'ils aient évité d'évaluer le changement politique annoncé par le gouvernement du président espagnol Pedro Sánchez.

"Nous continuons à considérer le plan d'autonomie du Maroc comme sérieux, crédible et réaliste, ainsi qu'avec un potentiel clair pour répondre aux aspirations du peuple du Sahara occidental", a déclaré un porte-parole du département d'Etat américain consulté par Europa Press.

A son tour, la même source a réaffirmé le soutien de Washington à la fois à l'envoyé spécial des Nations unies pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, et à ses efforts pour "promouvoir un avenir pacifique et prospère" pour le peuple sahraoui et la région.

Après l'annonce par le gouvernement espagnol d'une nouvelle étape" avec le Maroc, le ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares, a clos la crise avec le royaume alaouite après avoir confirmé qu'il considérait que son plan d'autonomie du Sahara occidental était une "base sérieuse". " sur lesquelles construire une solution au conflit.

Sinon les US ont réagi hier au ''changement'' Espagnol..Ce n'est pas un hasard..

Le président du PPE (je pense que c'est l'un des plus grands groupe politique du parlement Européen) salue la décision Espagnole...

Oui Bruce tu as raison. Je poste ces articles pour montrer que les espagnols essaient de se rassurer avec « on a eu quelque chose en retour, c’est pas possible autrement »

L’article de El espagnol qui est un journal foncièrement anti marocain est une analyse faite marqué d’un « pragmatisme économique » intéressant à souligner.

Je pense et j’espère qu’on a rien lâcher sur les présides et la ZEE.

Par contre la ou on a lâché c’est sur l’ouverture des frontières et le business de co-prospérité prônait par les espagnols…. Il ne faut pas se faire d’illusion.

Idem immigration, on va faire le gendarme et raser pour pas chère …

Je pense aussi qu’on a négocier énergie, gaz et hydrogène vert.

L’Espagne se voit en « hub » pas en producteur. L’Europe avec la crise en Ukraine va investir très massivement dans l’hydrogéné vert et nous apparaissons dans tout les radars…. Il faut s’attendre à des nouvelles énormes dans ce sens.