Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC Royal Moroccan Armed Forces Royal Moroccan Navy Royal Moroccan Air Forces Forces Armées Royales Forces Royales Air Marine Royale Marocaine |
|
| Actualités Algeriennes | |
|
+24Cherokee gigg00 Seguleh I atlas aymour lida lemay Harm BOUBOU TooNs Fox-One marques Samyadams iznassen hakhak Fahed64 RED BISHOP jonas juba2 Viper Extreme28 moro naourikh ANTI_POLISARIO 28 participants | |
Auteur | Message |
---|
drwatson Invité
| Sujet: Actualités Algeriennes Mar 15 Mai 2007 - 6:34 | |
| Rappel du premier message : - Citation :
- Algérie: 1% du PIB pour la recherche de 2007 à 2011
14.05.07 | 21h11
L'Algérie va consacrer 1% de son Produit intérieur brut (PIB) à la recherche scientifique de 2007 à 2011, a annoncé lundi le Conseil des ministres dans un communiqué.
"L'enveloppe prévisionnelle" pour le développement et la promotion de la recherche cette période, est estimée à 99,973 milliards de dinars (plus d'un milliard d'euros), a précisé cette source.
La réalisation de ce programme implique la mobilisation de 30.500 chercheurs dont 4.500 permanents et 26.000 enseignants-chercheurs.
Pour assurer l'efficacité de ce programme, il est prévu de "redynamiser" le Conseil national de la recherche scientifique et technique (CNRST), de mettre en place un "organe national directeur permanent" pour veiller à l'élaboration et la mise en oeuvre des programmes nationaux de recherche, la création d'un "conseil national de l'évaluation" chargé de l'évaluation de la politique de recherche, selon ce texte http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-30888377@7-50,0.html - Citation :
- Algérie/France : Sonatrach contre une union avec GDF
Honnêtement, cela ne surprend guère voire même pas du tout : la compagnie publique algérienne Sonatrach ne semble pas intéressée par un rapprochement capitalistique avec Gaz de France, rapporte La Tribune dans son édition de mardi.
En effet, sans faire de polémique, compte-tenu des récents propos prononcés par Nicolas Sarkozy en tant que candidat - certes pour “ameuter” quelques voix extrémistes diraient certains - mais hélas, il faudra qu'il s'y fasse, aux importantes conséquences internationales, les relations France/Algérie sont loin d'être au beau fixe. Pour rappel, le quotidien Le Monde avait fait état d'une lettre de M. Sarkozy à des associations de rapatriés français d'Algérie, adressée fin avril, dans laquelle le candidat UMP désormais Président avait mis en cause le traité d'amitié entre la France et l'Algérie tout en affirmant vouloir “réhabiliter” les membres de l'OAS. En réponse, la presse algérienne avait titré tout de même “Sarkozy s'attaque à l'Algérie”, tandis que le premier ministre algérien avait vivement réagi.
La presse française – à part le Monde – avait quelque peu été frileuse pour reprendre les propos de Nicolas Sarkozy envers l'Algérie avant son élection. Mais le blog finance vous avait déjà alerté de leurs très probables incidences sur les relations France/Algerie, via GDF/Sonatrach ... voire même sur les relations entre Russie et France, Poutine voyant très certainement d'un mauvais oeil que la France obtienne les faveurs de Sonatrach, chose qu'elle essaie d'obtenir depuis fort longtemps, mais – quasiment en vain pour le moment, l'amendement de la loi algérienne sur les hydrocarbures ayant mis un frein à son appétit grandissant.
Les Etats-Unis quant à eux ne devraient pas être totalement insatisfaits du refus catégorique adressé par Alger à Paris... alors que là encore la presse algérienne laisse sous entendre une possible implication des USA dans les récents attentats qui ont meurtri leur pays ... en vue peut-être notamment d'obtenir la suprématie sur son pétrole et son gaz ... et en guise de pression face au refus algérien d'implanter des bases militaires américaines et de l'Otan sur son territoire.
I – Sonatrach : pas d'alliance avec GDF
La compagnie publique algérienne Sonatrach ne semble pas intéressée par un rapprochement capitalistique avec Gaz de France, rapporte La Tribune dans son édition de mardi. "Nous n'avons rien reçu de concert mais cette alliance est économiquement irréalisable et politiquement incorrecte", indique le journal qui cite un haut responsable de Sonatrach ayant requis l'anonymat.
Selon l'article de la Tribune, "les Algériens sont sceptiques sur l'interêt que représenterait une alliance avec GDF en échange d'une aide française pour développer le nucléaire civil", évoquant le fait que le pays ne manque pas d'autres propositions en la matière. Selon l'article de la Tribune, "les Algériens sont sceptiques sur l'interêt que représenterait une alliance avec GDF en échange d'une aide française pour développer le nucléaire civil", évoquant le fait que le pays ne manque pas d'autres propositions en la matière.
"Nous avons signé des traités d'amitié avec beaucoup de pays, sauf avec la France qui ne veut pas. Comment peut-on réussir dans l'économie ce qu'on n'a pas pu faire dans le politique?", interroge le haut responsable de Sonatrach, dans le quotidien. Enfin, cette même source conclut qu'"une alliance avec GDF ne peut pas se faire entre une compagnie étatique comme Sonatrach et un groupe coté en Bourse comme GDF".
Le président élu Nicolas Sarkozy avait évoqué, durant la campagne, une alliance entre GDF et un producteur comme la société algérienne. Son conseiller politique, Patrick Devedjian, avait ensuite précisé qu'un tel partenariat ne pourrait se faire qu'après la fusion entre Suez et GDF.
II – Le candidat Sarkozy avait prôné une alliance Sonatrach/GDF
“Nicolas Sarkozy, privilégie un partenariat entre GDF et le producteur de gaz algérien Sonatrach à une fusion avec Suez, afin de "sécuriser l'approvisionnement de la France" en gaz, affirmait pourtant initialement l'ancien ministre de l'Industrie, Patrick Devedjian. “Un tel accord supposerait des liens capitalistiques entre le géant algérien des hydrocarbures et GDF, qui n'aurait pas besoin ainsi d'être privatisé, expliquait ainsi dans un premier temps M. Devedjian dans Le Monde. Pour rappel, le décret d'application de la privatisation du groupe gazier français, votée en novembre, n'a toujours pas été signé par Matignon.
“Nous pourrions passer un accord de coopération dans le nucléaire civil", avait expliqué M. Devedjian, à travers la fourniture par EDF et Areva de leur savoir-faire. "En contrepartie, nous pourrions avoir une relation privilégiée dans la fourniture de gaz pour sécuriser l'approvisionnement de la France et des pays européens", avait-il poursuivi.
Nicolas Sarkozy avait pour sa part indiqué sur France 2 que s'il était élu à la présidence de la République, il "pourrait réfléchir (...) si Gaz de France-Suez ou Gaz de France seul (...) n'auraient pas intérêt à se tourner du côté des producteurs de gaz pour faire une grande entreprise qui produirait du gaz et le commercialiserait".
Appuyant ce scénario, M. Devedjian avait fait valoir que "l'Etat français ne peut être pieds et poings liés à une décision des actionnaires de Suez, qui ne se sont toujours pas prononcés sur la fusion avec GDF".
M. Devedjian soulignait alors qu'un tel accord permettrait de renforcer les liens entre Paris et Alger, de soutenir le développement de l'Algérie et du Maghreb pour "stabiliser l'immigration" et de "mettre le gaz algérien en concurrence avec le gaz russe", qui représente aujourd'hui un quart des approvisionnements en gaz de la France. Certes, mais il oublie de dire que Russie et Algérie sont très fortement alliés dans le domaine du gaz, et qu'Alger aurait quelques difficultés à faire concurrence à son propre partenaire, avec lequel elle envisagerait même de mettre en oeuvre un cartel gazier sur le modèle de l'OPEP.
Ainsi serait créé "un grand groupe gazier euro-africain", qui pourrait associer les Néerlandais, ajoutait M. Devedjian sans autre précision.
III – Démenti de Cirelli
Gaz de France n'a "pas pour projet" de nouer une alliance capitalistique avec un fournisseur de gaz comme le groupe algérien Sonatrach, avait déclaré en réaction son PDG, Jean-François Cirelli, lors d'une conférence de presse.
“Nous avons un principe, qui est que tout ce qui nous rapproche avec nos fournisseurs est bon", a commenté M. Cirelli, soulignant que GDF "a des relations fortes" avec ses fournisseurs Sonatrach ou Gazprom. "Mais ce n'est pas notre projet (de nouer) une alliance capitalistique avec un fournisseur", a-t-il ajouté.
Remettant les choses au clair, M. Cirelli a précisé que sa "responsabilité en tant que président de Gaz de France, était de préparer la fusion avec Suez". "Le projet de fusion a pour vocation d'accélérer le développement de Gaz de France et ne remet pas en cause la solidité de notre projet de développement", avait-t-il ajouté.
IV – L'Algérie s'estime attaquée par Sarkozy
Dans une interview au journal Le Monde publiée jeudi 3 mai, le Premier ministre algérien Abdelaziz Belkhadem a accusé le candidat de droite à la présidentielle française Nicolas Sarkozy de vouloir réhabiliter l'Organisation de l'Armée Secrète (OAS) qualifiée de "précurseur d'Al-Qaïda". Il est vrai que le candidat UMP devra quelque peu compléter ses connaissances sur le dossier, ayant récemment démontré avoir quelques "lacunes" sur le sujet.
Selon M. Belkhadem, Nicolas Sarkozy veut "réhabiliter l'OAS", organisation créée en 1961 qui avait tenté, notamment par le terrorisme, de s'opposer à l'indépendance de l'Algérie.
Fin avril, le quotidien Le Monde avait fait état d'une lettre de M. Sarkozy à des associations de rapatriés français d'Algérie, dans laquelle il affirmait sa volonté de ne pas "sombrer dans la démagogie de la repentance". M. Sarkozy souhaitait que les "victimes françaises innocentes" de la guerre d'indépendance et "tout particulièrement les victimes du 26 mars 1962" se voient reconnaître la qualité de "morts pour la France". Ce jour là, l'armée française avait tiré dans la foule lors d'une manifestation à l'appel de l'OAS à Alger, faisant une cinquantaine de tués.
Pour rappel, l'OAS, organisation politico-militaire fondée par des ultras de l'Algérie française, avait multiplié les attentats aveugles et les assassinats et tenté de tuer le général de Gaulle, alors président français.
Mais, élément encore plus important, il y a quelques jours à peine, la presse algérienne dans sa grande majorité titrait « Nicolas Sarkozy s'attaque à l'Algérie » pointant du doigt le fait que le candidat UMP veuille remettre en cause le traite d'amitié entre Paris et Alger tout en ne cachant pas son intérêt pour les ressources en hydrocarbures du sol algérien.
“Mon deuxième engagement est de construire l’amitié avec l’Algérie, pas de négocier des concessions ou renoncements autour d’un traité d’amitié » avait déclaré Nicolas Sarkozy dans sa lettre adressée le 16 avril dernier à Denis Fadda, président du Comité de liaison des associations nationales de rapatriés (CLAN-R) [1], en réponse à la liste de revendications que le CLAN-R lui avait fait parvenir au nom d’un collectif d’associations de Rapatriés Pieds-noirs.
Pour Nicolas Sarkozy, il s’agit surtout de renforcer les relations entre la France et l’Algérie dans le domaine économique, en profitant notamment de la position d’Alger en tant que producteur de gaz et de pétrole pour assurer l’avenir énergétique de la France. Selon « Le Monde », Nicolas Sarkozy a notamment déclaré en privé : « L’Algérie a d’immenses ressources énergétiques. La France maîtrise les technologies de l’électricité nucléaire. Nous devons trouver là les bases d’une coopération équitable ». Pour l’historien Benjamin Stora, cette stratégie de refus d’un traité d’amitié équivaut « à une déclaration de guerre envers l’Algérie ». Pourtant, fin 2006, en visite à Alger, le candidat UMP avait promis de construire une relation amicale entre les deux pays, basée sur le respect mutuel. Il avait également annoncé des ouvertures sur la quasi-totalité des sujets qui préoccupent les Algériens, y compris ceux, sensibles, de l’immigration et les visas.
Plus récemment, le candidat Nicolas Sarkozy a surpris quelque peu, tant en Algérie comme en France, en proposant un accord entre Sonatrach et Gaz de France (GDF). Ces déclarations ont été perçues par les Algériens comme autant de signes d’amitié envers leur pays. « Ce durcissement de Nicolas Sarkozy envers l’Algérie s’explique en partie par son souhait de séduire l’électorat des rapatriés d’Algérie », estime désormais la presse algérienne. je voudrais rajouter de l'électorat d'une - certaine - partie des rapatriés d'Algérie, car tous ne sont pas extrémistes, loin de là. http://www.leblogfinance.com/2007/05/algriefrance_so.html Bonne initiative du Gouvernement Algerien
Dernière édition par le Mer 23 Mai 2007 - 18:03, édité 1 fois |
| | |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Jeu 13 Mar 2008 - 23:38 | |
| - Citation :
- La baisse du pouvoir d’achat en Algérie s’est accompagnée d’une hausse de la malnutrition selon Hariz Zaki.
jeudi 13 mars 2008. Hariz Zaki, président de l’association de défense des droits du consommateur a indiqué, hier, qu’environ 80% des Algériens souffrent de malnutrition, suite à la détérioration du pouvoir d’achat, dont environs 500 mille enfants. Cela explique, selon lui, les maladies qui se sont amplement répandues ces derniers temps en Algérie. Le président de la Fédération algérienne des consommateurs, qui a déposé une demande officielle d’agrément de 16 associations, depuis 14 mois, et qui attend toujours de l’obtenir, a révélé qu’il n’y a qu’une petite tranche d’Algériens qui prend les repas indiqués par l’Organisation mondiale de la santé. Cette situation est, selon lui, le résultat de la situation sociale actuelle. Les prix de la plupart des produits de consommation ont augmenté en Algérie, alors que les salaires des fonctionnaires n’ont pas été révisés. Afin de résoudre ce problème, le même interlocuteur a réitéré ses propositions visant à alléger les charges de plusieurs consommateurs, afin de garantir un repas complet. Il a également proposé de dispenser quelques employés ayant de faibles salaires des charges des factures de l’eau, de l’électricité et du gaz. http://www.algerie-dz.com/article12899.html Vous payez le gaz!!!? |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 0:30 | |
| - scorpion-rouge35 a écrit:
- dr.watson1 a écrit:
- yakousa a écrit:
- le maroc n´est pas comme l´algerie dans ce registre
La tunisie aussi, Pourtant ...
vous vous croyez a l'abri ? je l'espère pour vous, simplement ne soyez pas aussi catégorique hé bien un pays qui se sont a l'abri n'a pas besoin d'un mure de défense avec des diséne de milliers de soldats qui se cachent deriers Effectivement analyse très intéressante mais.. Pourrais tu développer ? Ou tu t'es certainement trompé de forum ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 9:36 | |
| - scorpion-rouge35 a écrit:
hé bien un pays qui se sont a l'abri n'a pas besoin d'un mure de défense avec des diséne de milliers de soldats qui se cachent deriers ce que tu nomme "se cacher derriere un mur" est une strategie militaire fondamentale dans chaque armée et que chaque ecole militaire propose dans ses cours de strategieet que tu ne connait pas normalement,donc si ton pays n´arrive pas a proteger sa population comme l´a fait le maroc avec sa strategie,ne vient pas faire des comparaisons stupides ici et l´etude serieuse de cette enseigne internationale reposant sur le FMI/BM etc confirme ce que je dit. tu sais mtn pourquoi on est a l´abris et pourquoi la vermine ne peut pas nous attaquer |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 12:04 | |
| l'Algerie est en retard et quand je vois vos mentalités, ca ne peut qu'etre pire.Weak minds in a weak state. elle est en retard en quoi et par rapport a qui . parceque si tu veux savoir mon ami les chiffres des trés sérieux organismes sont la et on peut les consulter. l'IDH,PIB/HAB,analphabétisme,accès au soin,nombre d'universitaires,taux de scolarisation (la on a un bonnet d'ane au maghreb j'espére tu sais de qui je parle ).....c'est ça les vrais indices et pas mélanger les sauces pour nous sortir se charabia qui le plus faible et qui est le plus fort. quand on vois que des pays africain sont mieux loti dans se classement que les puissances qui sont la chine et la russie ça laisse songeur |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 12:18 | |
| je voix que mon argument dérange ! pour en revenir au sujet l'algerie n'a pas besoin d'un mure pour se défendre , l'armée algerienne est assé forte pour se défendre toute seul , on laisse les mure pour les armée faible afin de si caché si elles sont incapable de se défendre sans un mure donc ceux qui se prennent pour des apprenties expéres militaire peuvent se garde leurs comparaison stupide entre l'algerie et le maroc ! ps: un mure est construit pour si caché derier ! , si c'est le mots caché qui déranger c'est autre chose amicalement |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 12:28 | |
| - blackeagle a écrit:
- l'Algerie est en retard et quand je vois vos mentalités, ca ne peut qu'etre pire.Weak minds in a weak state.
elle est en retard en quoi et par rapport a qui . parceque si tu veux savoir mon ami les chiffres des trés sérieux organismes sont la et on peut les consulter. l'IDH,PIB/HAB,analphabétisme,accès au soin,nombre d'universitaires,taux de scolarisation (la on a un bonnet d'ane au maghreb j'espére tu sais de qui je parle ).....c'est ça les vrais indices et pas mélanger les sauces pour nous sortir se charabia qui le plus faible et qui est le plus fort. quand on vois que des pays africain sont mieux loti dans se classement que les puissances qui sont la chine et la russie ça laisse songeur * J'ai l'impression que les algeriens qui contestent cet article n'ont meme pas pris le temps de le lire. Les chiffres avec lesquels ont ete faits ces calculs sont plus credibles que les chiffres que l'Algerie publie, par exemple 10% de chomage, ca vous a jamais semblé surnaturel? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 13:06 | |
| - Romeoh a écrit:
- blackeagle a écrit:
- l'Algerie est en retard et quand je vois vos mentalités, ca ne peut qu'etre pire.Weak minds in a weak state.
elle est en retard en quoi et par rapport a qui . parceque si tu veux savoir mon ami les chiffres des trés sérieux organismes sont la et on peut les consulter. l'IDH,PIB/HAB,analphabétisme,accès au soin,nombre d'universitaires,taux de scolarisation (la on a un bonnet d'ane au maghreb j'espére tu sais de qui je parle ).....c'est ça les vrais indices et pas mélanger les sauces pour nous sortir se charabia qui le plus faible et qui est le plus fort. quand on vois que des pays africain sont mieux loti dans se classement que les puissances qui sont la chine et la russie ça laisse songeur *
J'ai l'impression que les algeriens qui contestent cet article n'ont meme pas pris le temps de le lire. Les chiffres avec lesquels ont ete faits ces calculs sont plus credibles que les chiffres que l'Algerie publie, par exemple 10% de chomage, ca vous a jamais semblé surnaturel? Moi perso il existe une chose que je ne comprends pas. Pourquoi vous ne regardez jamais comment ça se passe chez vous avant de critiqué le voisin ? vous parlez de l'Algerie classé 60 alors que vous êtes 90 sur plus de 150 pays ? votre seul fierté réside dans le fais d'être devant l'Algerie ... et c'est vraiment enfantin donc comme j'ai dis, regarder d'abord chez vous. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 13:42 | |
| On n'a jamais fait semblant de pas voir nos problemes et on ne pretend pas etre une puissance.Regarde juste ta signature... Je ne sais pas si vous ne voyez vraiment pas la verité ou si c'est juste du nif, mais c'est triste. discussion terminée. |
| | | naourikh Adjudant-chef
messages : 453 Inscrit le : 19/03/2007 Localisation : Devant un PC Nationalité :
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 16:18 | |
| - scorpion-rouge35 a écrit:
- je voix que mon argument dérange !
pour en revenir au sujet l'algerie n'a pas besoin d'un mure pour se défendre , l'armée algerienne est assé forte pour se défendre toute seul , on laisse les mure pour les armée faible afin de si caché si elles sont incapable de se défendre sans un mure donc ceux qui se prennent pour des apprenties expéres militaire peuvent se garde leurs comparaison stupide entre l'algerie et le maroc !
Ca c'est la meilleure de l'année. Il n'y a pas besoin d'etre expert pour comprendre le concept de "Fortifications". T'as pas compris que c'est une stratégie défensive qui vise à défendre notre peuple et notre térritoire contre les attaques d'une milice qui opère à partir d'un pays étranger lui meme hostile? Tu préfererais peutetre que les FAR viennent débusquer en force les rats du polisario dans leurs trous? _________________ | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 17:24 | |
| laisse le gamin dans l´ignorance,il croit que le mot mur veut dire un mure en ciment et pierre,alors que ce sont des tranchés /fortifications(eng. fences) lieés entre eux par une ceinture et que meme les US ont adopté en vietnam contre les attaques vietcong contre des points nevralgiques...avant les israeliens en sinai. - Citation :
- pour en revenir au sujet l'algerie n'a pas besoin d'un mure pour se défendre , l'armée algerienne est assé forte pour se défendre toute seul , on laisse les mure pour les armée faible afin de si caché si elles sont incapable de se défendre sans un mure
tellement forte que ces casernes organisent des journées portes ouvertes a des bombes en sandales a 6h de matin sans meme une garde digne du nom(lakhdaria..)? ou bien celle qui organise des patrouilles avec des vehicules ne gardant pas une distance de securité? ou bien celle qui laisse tout un douar se faire egorger par les sandalos tout pres d´une caserne,sans prendre la peine de se "deplacer" a toi le choix! n.b:c´est la ou ca se montre ou une armée est capable ou non,notament a proteger sa population(et les etrangers aussi!!!) avant d´oser parler de leadership |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 18:26 | |
| - scorpion-rouge35 a écrit:
- je voix que mon argument dérange !
pour en revenir au sujet l'algerie n'a pas besoin d'un mure pour se défendre , l'armée algerienne est assé forte pour se défendre toute seul , on laisse les mure pour les armée faible afin de si caché si elles sont incapable de se défendre sans un mure donc ceux qui se prennent pour des apprenties expéres militaire peuvent se garde leurs comparaison stupide entre l'algerie et le maroc !
ps: un mure est construit pour si caché derier ! , si c'est le mots caché qui déranger c'est autre chose amicalement si votre armée est si puissante pourquoi elle n'a pas pu protéger les 100 000 victime de la guerre civile. je pense que l'armée algérienne manque de crédibilité, ce n'est pas une question de matos, c'est une question d'efficacité sur le terrain. je cite l'exemple des pays du golf qui malgré leur surarmement n'ont pas pu stoper saddam et tromble aujourd'hui à cause de l'iran. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 18:42 | |
| - scorpion-rouge35 a écrit:
- je voix que mon argument dérange !
pour en revenir au sujet l'algerie n'a pas besoin d'un mure pour se défendre , l'armée algerienne est assé forte pour se défendre toute seul , on laisse les mure pour les armée faible afin de si caché si elles sont incapable de se défendre sans un mure donc ceux qui se prennent pour des apprenties expéres militaire peuvent se garde leurs comparaison stupide entre l'algerie et le maroc !
ps: un mure est construit pour si caché derier ! , si c'est le mots caché qui déranger c'est autre chose amicalement La seul chose qui me dérange c'est ta connerie ,j'ai l'impression ou plutôt la certitude que tu es réellement attardé mental. Mon ami yakusa ne te fatigue pas a expliquer a un déficient mental la différence entre un mur et des remblais de sable. - Citation :
- l'armée algerienne est assé forte pour se défendre toute seul , on laisse les mure pour les armée faible
L'armée algérienne est effectivement très forte pour envoyer des milliers de citoyens algérien sous terre, c'est même la plus forte. L'armée algérienne est aussi le fournisseur officiel des maquisards depuis des années, donc commence a demander au généraux de quitter le pouvoir...car sans cela tu fera toujours pipi dans ta culotte en sortant dehors dès que la nuit tombe Chaque action entraîne une réaction. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Ven 14 Mar 2008 - 18:55 | |
| tu frequente trop le forum Sahara-Marocain.net |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 1:51 | |
| - Citation :
n.b:c´est la ou ca se montre ou une armée est capable ou non,notament a proteger sa population(et les etrangers aussi!!!) avant d´oser parler de leadership quesqu'on peut lire comme connerie l'armée algerienne n'a jamais abondonée aucun térritoire au terroristes elle était présente sur l'ensemple du térritoire et elle n'a pas construire un mure pour la séparé d'un autre térritoire qu'elle ne peuvait pas controlé la est toute la différence pour les convoi militaire , elle est trop bonne celle la t'a rien trouvé de mieux méme l'armée américaine adopte cette formation pour minimisé les dégas en cas de mine !!....non pas pour si caché - Citation :
- parler de leadership
t'a toujours se mal a caché t'a jalousie ...allé tien bonne douche froide elle va te réveille j'espére quelque copie coller de postes sur se sujet - Citation :
- Algérie : une ambition de puissance régionale
LE MONDE | 09.07.07 | 15h47 Avec ses réserves de change en augmentation constante grâce à la hausse du cours des hydrocarbures (90 milliards de dollars fin juin, soit 66 milliards d'euros), l'Algérie est courtisée comme jamais.
Américains, Russes, Européens, pays du Golfe et Asiatiques s'y bousculent pour tenter de rafler de fabuleux marchés. Après un long isolement dû à la "décennie de sang" (1992-2000), Alger a fini par retrouver sa place dans le concert des nations. Tout à leur traque du terrorisme international après les attentats du 11-Septembre 2001, les grandes puissances ont choisi d'oublier les atteintes aux droits de l'homme commises par les forces de sécurité algériennes dans leur chasse aux islamistes au cours des années 1990.
L'embargo de fait sur les ventes d'armes, plus ou moins appliqué par les Etats-Unis, l'Union européenne - la France en tête - et la Russie, semble loin à présent. L'Algérie n'a plus de mal à se procurer les armements qu'elle réclamait à cor et à cri, au motif qu'il lui est impossible de rétablir la sécurité sur l'ensemble de son territoire, notamment sur son immense frontière sud, avec un matériel obsolète. La voilà en train de se doter des moyens de devenir "la" puissance régionale, pourvue d'une défense à la mesure de sa dimension géographique, et de son statut de cinquième pays producteur mondial de gaz et de treizième producteur de pétrole. Un leadership qui ne manque pas d'inquiéter ses voisins, le Maroc surtout, mais aussi la Libye.
En matière de ventes d'armes, la visite à Alger du président russe Vladimir Poutine, en mars 2006, a constitué un tournant. Un contrat d'un montant d'environ 6,3 milliards de dollars a été finalisé à cette occasion. Moscou a conclu la vente de plusieurs dizaines d'avions de chasse et de combat, de batteries de défense antiaérienne dernier cri, de centaines de chars de combat, et de deux sous-marins. La livraison de ce matériel devrait s'étaler sur quatre ans.
Dans le "deal" conclu en 2006 avec le président Poutine, l'Algérie a obtenu l'effacement de sa dette auprès de la Russie. Un passif estimé à 4,7 milliards de dollars et qui représentait 25 % de la dette extérieure algérienne. Mais il ne s'agissait que de la première partie du "contrat du siècle" réalisé par la Russie avec Alger. A en croire la presse russe, un autre marché est en cours de négociation depuis mars, pour une valeur de 7 milliards de dollars : des chasseurs-bombardiers Soukhoï supplémentaires, des Mig 29, des chars et des systèmes antiaériens Pantsir. Egalement à l'ordre du jour : une frégate porte-hélicoptères - une première - et la construction de navires. Si ce second contrat est conclu, le montant global des ventes d'armes russes à l'Algérie s'élèvera donc à presque 14 milliards de dollars. Alger deviendrait ainsi le premier client de Moscou pour les ventes d'armes, dépassant l'Inde, la Chine et le Venezuela.
A l'époque de l'Union soviétique, la coopération entre Moscou et Alger dans le domaine militaire était importante - l'armée algérienne est d'ailleurs essentiellement équipée de matériel de l'ex-URSS - mais jamais, depuis l'époque soviétique, Moscou n'avait réalisé une opération d'une telle ampleur.
L'autre volet de la coopération algéro-russe concerne le gaz. En août 2006, le russe Gazprom et la Sonatrach ont conclu un accord concernant la prospection et l'extraction de gaz en Algérie, ainsi que la modernisation du réseau algérien de gazoducs. Selon le mensuel Arabies, les deux compagnies, fournisseurs incontournables du marché mondial, envisagent d'agir de concert pour préserver leurs intérêts. Cette entente préoccupe de nombreux pays européens, qui redoutent de voir apparaître une "OPEP du gaz".
Soucieuse de garder son indépendance, l'Algérie veille, quant à elle, à diversifier ses partenaires, tant sur le plan économique que politique. Les Etats-Unis ne manquent pas l'occasion, depuis deux ans, de souligner son "rôle important" à l'échelle régionale. Lutte antiterroriste, manoeuvres militaires conjointes, échanges de visites de haut rang, signature, le 9 juin à Alger, d'un protocole d'accord sur le nucléaire civil... Washington et Alger coopèrent activement.
Mais c'est dans le domaine énergétique que les Américains pèsent le plus. Ils sont le premier pays investisseur étranger en Algérie, avec 369 millions de dollars investis en 2006, essentiellement dans le secteur pétrolier. Ils sont aussi le premier client de l'Algérie (14 milliards de dollars d'achats, exclusivement des hydrocarbures).
Lors d'une visite aux Etats-Unis en 2006, Mohamed Bedjaoui, alors chef de la diplomatie algérienne, a lancé : "Face aux Etats-Unis, la France n'a pas le même poids en Algérie." Une petite phrase due en partie au froid qui caractérisait alors les relations franco-algériennes en raison de la polémique sur les "bienfaits" de la colonisation. Car, quoi qu'en disent les responsables algériens, les Français n'ont pas "laissé passer leur chance".
Si elle ne joue pas encore dans la même cour que les Etats-Unis et la Russie, la France est en train de rattraper le temps perdu. Elle reste le premier fournisseur de l'Algérie (4,3 milliards de dollars d'exportations en 2006, soit 20 % du marché) et devance toujours des pays comme l'Italie et la Chine.
Fait plus nouveau : depuis six ans, ses investissements en Algérie croissent de façon vertigineuse. En 2000, ils n'étaient que de 49 millions de dollars. En 2005, ils sont passés à 140 millions de dollars et en 2006, à 294 millions. La France est ainsi le second investisseur en Algérie, tous secteurs confondus (mais le premier investisseur, hors hydrocarbures), juste derrière les Etats-Unis, mais avant l'Espagne et l'Egypte.
De leur côté, les pays du Golfe, comme le Koweït, se montrent intéressés par des secteurs tels que les télécoms, la pétrochimie, l'hôtellerie, les services. Ces investissements directs étrangers (IDE) sont essentiels à l'Algérie pour lui permettre de faire décoller son économie, hors hydrocarbures, et régler son problème de chômage (75 % des inactifs ont moins de 30 ans).
Objet de toutes les convoitises, l'ancienne colonie française se sait promise à un bel avenir. Ses réserves de pétrole la placent au 3e rang des pays producteurs d'Afrique (après le Nigeria et la Libye). D'où, sans doute, l'empressement et la sollicitude des Etats-Unis...
Florence Beaugé Article paru dans l'édition du 10.07.07. - Citation :
L’Algérie, une puissance financière régionale
Dans une longue analyse des perspectives de l’économie algérienne, présentée hier à l’occasion de la tenue de sa première Académie des PME, Guy Longueville, chef économiste-risques pays au sein de BNP Paribas, a estimé que « l’Algérie est devenue aujourd’hui une puissance financière régionale »
Par « régionale », l’analyste de la banque française entend dire les pays de la rive sud de la Méditerranée. Après une phase de « dépendance » durant les années 1990 puis une accession à l’« indépendance » (financière) avec le redressement des cours pétroliers, l’Algérie est devenue une « puissance financière » depuis 2006, a jugé l’intervenant. L’augmentation des réserves de change, la contraction de la dette extérieure, les recettes budgétaires dont dispose le pays ainsi que le retour de la stabilité politique sont les principaux éléments retenus par M. Longueville dans sa matrice d’appréciation. Il félicitera au passage les autorités du pays, monétaires comprises, pour « la sagesse » caractérisant la gestion de la manne pétrolière à travers une politique qui a permis d’éviter à l’économie les risques inflationnistes dans un contexte marqué par une abondance de ressources financières. Il en est de même pour le Programme de consolidation de la croissance économique (PCSC) qui, de l’avis de M. Longueville, « prépare le développement futur de l’Algérie ». 6% de croissance hors hydrocarbures nécessaires A l’opposé des institutions financières appelant à plus de rigueur dans la dépense publique, la BNP Paribas, première banque d’Europe et du bassin méditerranéen, considère que le plan d’investissement gouvernemental montrera « ses premiers effets positifs à partir de 2007 et 2008, notamment sur le plan macroéconomique ». A travers les décisions du gouvernement, le spécialiste en risques pays de la BNP Paribas y voit « une réelle volonté politique » d’améliorer le climat des affaires et faire jouer au secteur privé le rôle de moteur de la croissance. En évoquant la croissance économique, le conférencier a souligné l’amorce d’un « rééquilibrage dans la structure du produit intérieur brut (PIB) ». Cependant, observe-t-il, « cela reste insuffisant ». Si les parts du BTPH et des services croissent dans le PIB, celles des industries manufacturières reculent. L’enjeu identifié n’est autre que d’atteindre une croissance annuelle en hors hydrocarbures de 6%, soutient encore M. Longueville qui reprend à son compte les prévisions de croissance établies par le Fonds monétaire international (FMI). Celui-ci, rappelle l’intervenant, a situé la croissance entre 4 et 5% en l’absence de réformes (scénario pessimiste) et entre 6,5 et 7,5% en produisant rapidement des réformes.
Privatisation du CPA : « Le retard n’est pas préjudiciable »
Par ailleurs, quatre défis ont été énoncés, à savoir l’accroissement de la productivité, la forte pression démographique, le rattrapage nécessaire pour une meilleure intermédiation bancaire et enfin le développement du secteur privé. En conclusion, l’expert de la BNP Paribas a apprécié le travail accompli en soutenant que « l’Algérie a mis en place les conditions économiques et financières d’une croissance durable, moins sensible aux aléas du marché pétrolier ». Une « élogieuse » appréciation précédée par celle du président du conseil d’administration, Michel Pébereau, qui avait souligné en ouverture de l’Académie des PME tout l’intérêt que porte le groupe BNP Paribas au marché algérien. « L’Algérie est au cœur du développement en Méditerranée et celle-ci est le cœur de développement de la BNP Paribas », a-t-il prononcé lors de son allocution. A comprendre que cette banque universelle fait de son développement en Algérie un axe stratégique. Ce n’est pas fortuit si la banque lance en Algérie son Académie des PME au moment où elle convoite l’acquisition partielle d’une banque publique, en l’occurrence le Crédit populaire d’Algérie (CPA), spécialisée dans le financement dudit segment. Interrogé sur ce qui manquait au CPA pour se hisser aux normes internationales, M. Pébereau aura cette réponse : « Ce qui lui manque est la BNP Paribas. » C’est l’un des rares commentaires que s’est accordé Pébereau au sujet de la privatisation du CPA. Sur le retard constaté dans l’achèvement de l’opération, le président de BNP Paribas a affirmé que « cela n’a pas eu de préjudice sur notre stratégie en Algérie ». Il enchaînera en disant que « l’ouverture qui reste une opération complexe se poursuit de façon normale, transparente et professionnelle ». Tout en reconnaissant que son rythme de développement dépendra de l’issue de cette offre, Michel Pébereau rassurera que la stratégie du groupe français « sera activement poursuivie en interne » par l’ouverture de nouvelles agences et l’élargissement de la gamme de produits. Le groupe BNP Paribas est présent en Algérie à travers trois filiales. BNP Paribas El Djazaïr pour les métiers de la banque universelle et l’activité leasing, Cetelem Algérie (2006) pour les crédits à la consommation et l’immobilier et plus récemment Cardif El Djazaïr (2007) dans l’assurance. Le ministre de la PME et de l’Artisanat a réaffirmé, pour sa part, que la problématique du financement de la création des PME et de leurs activités est une des questions cruciales auxquelles est confronté ce secteur.
Dernière édition par scorpion-rouge35 le Sam 15 Mar 2008 - 2:11, édité 2 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 1:54 | |
| - Citation :
L’Algérie a beaucoup avancé et se trouve en phase d’”ébullition” économique
De nombreux dirigeants d’organisations patronales et de syndicats internationaux ont estimé à Genève que "les conditions de stabilité sont toutes réunies" pour que l’Algérie "poursuive son destin de puissance régionale".
"L’Algérie a beaucoup changé" et se trouve "en phase d’ébullition économique" a relevé M. Michel Barde, le représentant de l’Union Patronale Suisse, dans une déclaration à l’APS faite en marge des travaux de la 300 eme session du Conseil d’Administration du Bureau International du travail (BIT). Il a estimé que "le simple fait que l’Algérie ait réalisé une confortable assise financière et décidé, de restructurer tout son socle industriel et d’infrastructures dans des projets créateurs d’emplois, cela suppose d’immenses opportunités d’investissements sûrs pour les entreprises étrangères". "Il est incontestable que les perspectives de croissance économique en Algérie sont aujourd’hui très favorables à la genèse d’une puissance régionale", a poursuivi M. Barde qui présidait le groupe des employeurs européens lors de cette session du Conseil d’Administration du BIT. Le programme de privatisations lancé en Algérie, "est une bonne chose, une bonne orientation, qui va dans le sens de ce qu’il faut faire" quand on veut préserver l’essence du tissu industriel existant tout en renouvelant celui jugé non-performant, a-t-il poursuivi. "Mais il y a beaucoup d’impératifs pour ces défis algériens» a-t-il toutefois ajouté, citant particulièrement le contexte de mondialisation face auquel "les entreprises algériennes doivent se préparer", notamment par le biais d’une mise à niveau afin d’amortir les effets de la concurrence à venir. M. Barde a aussi souhaité "aller en Algérie, dans un cadre professionnel pour confirmer tous les échos positifs" qu’il dit avoir reçus. De son côté, le représentant du groupe des travailleurs au BIT, M. Leroy Trotman, a enchaîné sur les dangers d’une mondialisation mal préparée, mais s’est dit "rassuré par le fait que l’Algérie ait réalisé un pacte social tripartite qui lui permet de contenir les conflits sociaux" et ainsi "pouvoir mieux s’occuper de ses objectifs de relance économique ". "Je ne connais pas le marché algérien mais je sais que c’est un marché montant" du fait de la stabilité politique et sociale qui le couvre, a pour sa part affirmé M. Abraham Katz, le président américain de "International Organisation of Employers", une sorte de patronat mondial regroupant quelque 178 organisations. Il s’est appuyé sur le fait que l’Algérie ait "une très bonne expérience dans la lutte contre le terrorisme" qui lui a permis de sécuriser les investissements et assuré un retour vers la stabilité. M. Katz, qui est aussi président d’honneur de "l’United States Coucil for International Business", un cabinet de consulting soutenant les entreprises américaines à l’international, a estimé que le meilleur moyen pour un investisseur d’évaluer le marché algérien serait "de se déplacer sur les lieux" . "Il faut aller là-bas pour saisir toutes les opportunités d’investissements hors-hydrocarbures", a-t-il dit. L’hommage à l’Algérie et à l’UGTA a également été rendu par le chef de la branche internationale des Trades Union Congrès (TUC), M. Simon Steyne. Le représentant au BIT de la plus ancienne centrale syndicale britannique a affirmé avoir "apprécié la constance de la position de l'Algérie sur différentes questions internationales". Il a aussi salué "la tripartite (pacte social) forte qui existe en Algérie. "J’ai un respect énorme pour l’expérience algérienne qui se forge dans un contexte d’ouverture économique", a-t-il dit, plaidant pour un renforcement des échanges d’expériences avec l’UGTA. L’expérience algérienne en matière de dialogue social a également retenu l’intérêt du vice-président de l’organisation internationale des employeurs, M. Daniel Funes de Rioja, qui a rendu un hommage au "modèle algérien" tant sur le plan social qu’économique et politique.
Il a cité le cas de la Charte de réconciliation nationale vue comme "un incontournable moteur de la stabilité politique pour pouvoir conduire sans contraintes la machine économique et sociale", et celui des réformes pour "mieux préparer l’Algérie" face à la mondialisation. "L’Algérie a choisi la bonne voie, et a les moyens et la volonté d’aller" au terme de sa stratégie, a-t-il estimé.
- Citation :
L'avenir de l'Algérie est très prometteur, selon l'ambassadeur de Chine
L'avenir de l'Algérie en plein essor économique est très prometteur, a indiqué mardi 7 juin l'ambassadeur de Chine en Algérie Wang Wangsheng.
Lors d'un forum organisé par le quotidien Moustakbel ayant pour thème "Les relations bilatérales entre l'Algérie et la Chine", M. Wang a indiqué qu'au fur et à mesure de l'amélioration de la situation sécuritaire, l'Algérie est devenue "un grand chantier".
Malgré les inconvénients dus aux travaux partout dans le pays pour la circulation, cela constitue un bon signe de redressement de l'Algérie, après la "décennie noire" du terrorisme, a-t-il estimé.
La Chine est prête à promouvoir un partenariat tous azimuts avec l'Algérie dotée d'opportunités énormes qui lui permettront de devenir à terme une puissance régionale, a noté l'ambassadeur Wang.
Il a évoqué à cette occasion les excellentes relations politiques entre l'Algérie et la Chine caractérisées par les fréquents échanges de visites de haut niveau, tout en souhaitant raffermir les rapports bilatéraux dans les domaines économique et culturel.
M. Wang a par ailleurs présenté la position de la Chine sur des questions régionales et internationales d'intérêt commun, dont la situation en Irak, la réforme de l'Onu et le conflit sino- occidental sur les produits textile. Fin
- Citation :
- L’Algérie, un destin de puissance régionale ?
“L’Algérie a beaucoup changé” et se trouve “en phase d’ébullition économique”, a relevé M. Michel Barde, le représentant de l’Union patronale suisse, dans une déclaration à l’APS faite en marge des travaux de la 300e session du Conseil d’administration du Bureau international du travail (BIT). Il a estimé que “le simple fait que l’Algérie ait réalisé une confortable assise financière et décidé de restructurer tout son socle industriel et d’infrastructures dans des projets créateurs d’emplois, cela suppose d’immenses opportunités d’investissements sûrs pour les entreprises étrangères”. “Il est incontestable que les perspectives de croissance économique en Algérie sont aujourd’hui très favorables à la genèse d’une puissance régionale”, a poursuivi M. Barde qui présidait le groupe des employeurs européens lors de cette session du conseil d’administration du BIT. - Citation :
Coopération sécuritaire et militaire La CIA et l’expertise algérienne
La visite de Mohamed Bedjaoui à Washington met en exergue le renforcement annoncé des relations bilatérales en matière de coopération sécuritaire et militaire. Responsables algériens et américains n’ayant pas caché “l’excellence” des relations actuelles entre Alger et Washington.
Si le déplacement du MAE aux USA a été fructueux à plus d’un titre, la coopération en matière de défense, qu’elle soit sécuritaire ou militaire, a de belles perspectives devant elle avec, comme pierre angulaire, le contre-terrorisme. Américains et Algériens, aussi peu communicatifs les uns que les autres, ont cette fois-ci laissé entrevoir l’état de la coopération bilatérale. La relation dans ces domaines est jugée, par le MAE, appréciable. Pour Mohamed Bedjaoui, la perception américaine et de certains pays industrialisés, notamment européens, a changé ou commence à changer à l’égard de la nébuleuse terroriste depuis les attaques de septembre 2001. En terres américaines, et face aux faucons de l’Administration Bush, Mohamed Bedjaoui a rappelé l’expérience algérienne. “L’Algérie, qui a fait face seule à plus d’une décennie de violences terroristes, a maintenant accumulé une expérience avérée importante, expérience qui peut profiter et profite à plusieurs pays, dont les États-Unis”, a-t-il précisé à l’establishment washingtonien. John Negroponte, le directeur national du renseignement américain, qui coordonne tous les services et toutes les agences de sécurité et de renseignement aux États-Unis, dont la CIA, le FBI et la NSA, s’est félicité, pour sa part, de l’excellence des relations multiformes qui existent entre Alger et Washington, qualifiant au passage la coopération en matière de lutte antiterroriste “d’excellente”. Il a déclaré apprécier l’expérience de très grande valeur de l’Algérie dans ce domaine. Celle-ci se traduit sur le terrain par l’engagement de l’Algérie dans la guerre contre le terrorisme par sa participation à l’opération de l’Otan, Active Endeavour, ou encore à l’initiative Pan-Sahel avec les opérations Flintlock. S’il ne fait aucun doute aujourd’hui que l’Algérie est devenue un allié “remarquable” et “stratégique” en matière de lutte antiterroriste, Algériens et Américains diffèrent sur le contenu de la coopération militaire. Washington reconnaît l’expérience antiterroriste algérienne et axe la coopération sur le renseignement et l’échange d’informations sécuritaires. Alger attend une véritable coopération militaire, celle-ci étant limitée actuellement au stade de la formation et du renseignement. Et ce, tout en sachant que les Américains ne lui fourniront pas d’armes jugées “offensives”. Les USA sont toutefois disposés à fournir des équipements nécessaires à la lutte antiterroriste, tels que les équipements de vision nocturne indispensables pour la traque des groupes terroristes. L’Administration républicaine avait usé de toute son influence sur le Congrès pour autoriser la vente d’équipements militaires à l’Algérie. Ce changement de perception à l’égard d’Alger s’est construit progressivement. Durant des décennies, la CIA considérait les services algériens comme étant des “moukhabarate”, à l’image des services syriens, ou encore fermés et construits sur le modèle du KGB soviétique ou de la Stasi, de l’ex-RDA. Alger était vue de Washington sous le prisme français. Jusqu’en 1999, la CIA collaborait et sous-traitait les renseignements relatifs à l’Algérie avec son homologue français, la DGSE. La France étant considérée par les Américains comme un allié et l’Algérie vue, pour sa part, comme une puissance régionale non pas hostile, mais qui n’était pas pour autant un allié à l’instar du Maroc du défunt Hassan II. Il aura fallu attendre la coopération bilatérale directe entre les services algériens et américains pour que les choses changent. Le détonateur aura été, sans conteste, l’affaire Abdelmajid Dahoumane, recherché par le FBI pour ses liens avec le réseau d’Ahmed Ressam et les tentatives d’attentats terroristes contre l’aéroport de Los Angeles, lors des célébrations de l’an 2000. Alger coopéra pleinement et accepta d’accueillir des experts du FBI. Cela démontra aux Américains que les services algériens maîtrisaient aussi bien que leurs homologues égyptiens la donne afghane et ses camps d’entraînements, les réseaux terroristes en Europe ainsi que leurs ramifications aux USA. La CIA a dès lors accordé plus de crédit et d’attention aux informations qui lui provenaient d’Alger. Les signaux d’alerte lancés par l’Algérie sur la nébuleuse terroriste n’étaient plus ignorés. Le président de la République a avisé George W. Bush, lors de son voyage aux États-Unis en juillet 2001, quant aux menaces d’attaques en préparation contre les USA et leurs intérêts dans le monde. Les évènements tragiques du 11 septembre ont malheureusement confirmé les renseignements fournis par l’Algérie. Depuis, Alger et Washington sont sur la même longueur d’onde.
Samar Smati
http://www.algeria-watch.org/fr/article/pol/us/expertise_algerienne.htm
- Citation :
Plan de relance économique 180 milliards de dollars alloués d’ici 2009
"Le développement du partenariat entre les entreprises algériennes et étrangères est un élément clé de la stratégie de la relance économique, qui est évaluée à 180 milliards de dollars d'ici 2009", a déclaré, hier, le chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, lors de l'inauguration du Salon international des travaux publics (SITP). Avec des réserves de change de plus de 100 milliards de dollars, un revenu par habitant de plus de 3 000 dollars, une dette extérieure ramenée à plat, M. Abdelaziz Belkhadem vient d'annoncer une augmentation dans l'enveloppe financière destinée au programme de relance économique (2005-2009). Le coût de la relance va passer de 140 milliards de dollars à 180 milliards de dollars. En outre, la cinquième édition du Salon international des travaux publics (SITP) qui va se dérouler du 24 au 27 novembre, dans l'enceinte du Palais des expositions des Pins maritimes, a été inauguré par le chef du gouvernement, M. Abdelaziz Belkhadem, en présence du ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul et du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme M. Nouredine Moussa. Le chef de l'Exécutif a insisté sur le développement de partenariat entre les entreprises algériennes et les entreprises étrangères qui ont une grande expérience dans le domaine des travaux publics. Après avoir visité les stands des différentes entreprises, M. Abdelaziz Belkhadem a signalé que "le Salon international des travaux publics vient compléter les efforts de l'Etat pour la réalisation des grands projets", en ajoutant que l'Etat soutient les entreprises algériennes pour renforcer leur production et pour devenir plus compétitives. Par ailleurs, ce salon réservé aux professionnels, a pour slogan cette année, "les travaux publics et le développement durable". Il s'étale sur une surface d'exposition de 7 400 m2, dont 1 500 m2 réservés aux participants étrangers. Cette cinquième édition du SITP a connue la participation de 210 exposants. 141 exposants nationaux sont présents dont 29 entreprises du secteur public. Concernant les exposants étrangers, il sont 67 a avoir fait le déplacement pour participer à ce salon. Les Allemands viennent en tête avec 21 exposants, suivis des Français 19 et des Italiens 13. D'autres pays ont participé avec un nombre d'entreprises moins important, tel que le Portugal, la Turquie, le Brésil, le Liban, l'Espagne, le Canada, le Danemark, l'Autriche, le Japon et, enfin, la Chine. Après la visite des stands, le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul, a annoncé que "la notion du développement durable n'est plus un choix, mais c'est la voie que nous avons emprunté pour réaliser tous nos projets". Il a rappelé que le secteur des travaux publics est non seulement l'espace d'une politique de reconstruction des structures économiques et sociales, mais également, un secteur qui contribue présentement à une dynamisation des investissements, à l'absorption du chômage et à la croissance économique. Ainsi le 5e Salon international des travaux publics s'avère être un espace incontournable pour une meilleure saisie de la dynamique actuelle que connaît le pays dans le secteur des travaux publics, entre autres. Outre le nombre important des participants à cette manifestation professionnelle, c'est, par excellence, la diversité des branches d'activité qui attire l'attention, qui seront des professionnels.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 1:55 | |
| allé une dernier pour la fin et encore cette étude ne date pas d'hier alors qu'aujourd'hui l'algerie est plus puissante qu'elle ne la jamais était - Citation :
Institut de Stratégie Comparée, Commission Française d'Histoire Militaire, Institut d'Histoire des Conflits Contemporains
La moyenne puissance au XXème siècle
Recherche d’une définition
L'ALGÉRIE, MOYENNE PUISSANCE
par Guy PERVILLE [1]
Avant 1962, la possibilité même d'un État algérien indépendant a longtemps été contestée en France. Pour des raisons économiques, le pays manquant de sources d'énergie avant la découverte du pétrole saharien en 1956. Et pour des raisons politiques : l'Algérie n'ayant jamais constitué une nation indépendante et cohérente dans le passé, son nationalisme était considéré comme un phénomène artificiel, inspiré et manipulé par des impérialismes étrangers (allemand ou anglo-saxon), par le panarabisme du colonel Nasser ou par le communisme international.
Pourtant, ce nationalisme a su imposer à la France l'indépendance de l'Algérie. Celle-ci a joué un rôle non négligeable dans les relations internationales, depuis son indépendance, et même avant…
Comment situer l'Algérie dans la hiérarchie des puissances ? Faute d'une définition préalable du concept de moyenne puissance, il convient d'abord de rechercher s'il peut s'appliquer à l'Algérie par une approche empirique, en considérant les facteurs objectifs les plus élémentaires de la puissance d'un État. Puis d'analyser le rôle international de cet État.
I. –LES FACTEURS OBJECTIFS DE LA PUISSANCE DE L'ALGÉRIE
Le territoire algérien, héritage de la domination turque, et surtout de l'impérialisme français, s'étend sur 2 381 741 km2. Il surclasse de beaucoup celui de tous les États européens (l'URSS exceptée). Il n'est dépassé que par le Soudan (2 505 813 km2) parmi les États africains, arabes et musulmans (mais le Soudan n'est ni entièrement arabe, ni entièrement musulman).
Au contraire, il est plus ou moins largement distancé par les plus grands États d'Asie (URSS, Chine, Inde), d'Amérique (États-Unis, Canada, Mexique, Brésil, Argentine) et par l'Australie.
La population algérienne atteignait, en 1986, 22,8 millions d'habitants. C'est très peu pour un si grand pays : 9,6 habitants par kilomètre carré en moyenne. Mais cette moyenne nationale n'a pas grand sens : 94 % de la population s'entassent sur 13 % du territoire, au nord de l'Atlas. L'espace saharien, s'il fait bien partie de l'Algérie utile, n'est pas susceptible d'un peuplement dense, faute de ressources suffisantes en eau, dans l'état actuel des techniques.
En fait, la ressemblance des données naturelles et humaines justifie la comparaison de l'Algérie avec ses voisins du Maghreb. La population algérienne est à peu près équivalente à celle du Maroc (23,7 millions en 1986). Elle représente trois fois celle de la Tunisie (7,2 millions) et six fois celle de la Libye (3,9 millions). L'Algérie est donc l'un des deux plus grands États maghrébins.
Dans l'ensemble des pays arabes, l'Algérie est en position moyenne au troisième rang, étant dépassée de peu par le Maroc, et de beaucoup par l'Égypte (50,5 millions).
Dans l'ensemble du monde musulman, l'Algérie est moins bien placée, étant surclassée en outre par la Turquie (52,3 millions), l'Iran (46,6 millions), le Pakistan (101,9 millions), le Bangla Desh (104,1 millions), l'Indonésie (168,4 millions).
Par rapport aux autres géants du Tiers monde, en Afrique le Nigéria (105,4 millions ?), en Asie l'Inde (785 millions) et la Chine (1 milliard 50 millions), l'Algérie paraît un État pygmée…
Il est vrai que son taux d'accroissement naturel (plus de 3 % par an) est l'un des plus élevés du monde. La population algérienne avait doublé en 25 ans de 1954 à 1979, malgré les pertes dues à sa guerre de libération nationale [2]. Si ce taux se maintient, elle doublera encore en 20 ans, pour atteindre 35 millions d'habitants en l'an 2000. Dans les mêmes conditions, si le déclin démographique français se poursuit, l'Algérie pourrait rattraper la France au XXIe siècle. Mais en deviendrait-elle d'autant plus puissante ?
L'Algérie est assez bien dotée en ressources naturelles, sources d'énergie et minerais, grâce aux richesses de son espace saharien. Mais ces ressources ne sont pas illimitées. L'Algérie est un État pétrolier moyen (avec une production de 44,35 millions de tonnes en 1985), très inférieur aux grands producteurs du Moyen-Orient, dépassé en Afrique par le Nigéria (73 millions), par la Libye (50,5 millions) et même par l'Égypte (44,36 millions). Ses réserves prouvées (1 203 millions de tonnes, contre 2 906 en Libye) s'épuiseront à partir de l'an 2010 au rythme d'extraction actuel. L'Algérie est mieux placée pour le gaz naturel : au 7e rang des pays producteurs (40 milliards de m3), au 6e rang des exportateurs (20,34 milliards), et au 5e rang des réserves prouvées (3 030 milliards, soit une soixantaine d'années d'extraction). La comparaison des PNB par habitant situe l'Algérie, avec 2 400 $ US en 1983, dans une position moyenne entre celle de ses voisins pauvres en hydrocarbures (Tunisie 1 290 $ ; Maroc 750 $) et celle de la Libye riche et sous peuplée (7 500 $).
L'Algérie dispose de minerais de fer, de zinc, de plomb et de phosphates. Mais le tracé de la frontière et la guerre du Sahara occidental empêchent la mise en valeur des minerais de fer de Gara-Djebilet près de Tindouf, à l'angle sud-ouest du Sahara algérien.
Dans ces conditions, l'Algérie s'est lancée dans une course de vitesse entre son développement économique et son essor démographique, dont l'issue reste incertaine. Sa stratégie de développement socialiste, inspirée du modèle soviétique, a longtemps donné la priorité à une industrialisation financée par la rente pétrolière (mais la rentabilité de l'industrie algérienne et ses effets créateurs d'emplois sont contestés). L'agriculture a été longtemps sacrifiée (malgré l'exaltation du fellah-moudjahid), et sa production a longtemps stagné ou reculé par rapport à la population. Un exode rural massif, une urbanisation démesurée contrarient les aspirations à de meilleures conditions de vie. L'ampleur des investissements nécessaires et le plafonnement de la rente pétrolière et gazière entraîne une dépendance économique extérieure accrue, envers les clients du pétrole et du gaz, les fournisseurs de biens d'équipement et de technologie industrielle, ceux de produits alimentaires et de crédits. Que sera l'Algérie après l'an 2000, si elle n'arrive pas à maîtriser sa démographie ? Est-elle un pays en voie de développement, ou un pays en voie de sous-développement et de surpeuplement ?
II – LE RÔLE INTERNATIONAL DE L'ALGÉRIE
Il est paradoxalement, très supérieur à ses moyens
L'Algérie est un État récent, mais pourtant doté d'une diplomatie aux fortes traditions. Sa relative stabilité politique a permis la permanence aux affaires de la génération des jeunes militants formés pendant la guerre de libération nationale dans les rangs de l'ALN et du FLN et du syndicat étudiant, l'UGEMA [3].
En effet, le rôle international de l'Algérie a commencé dès 1954, c'est-à-dire avant son indépendance, avant qu'elle ne dispose pleinement de son territoire, de sa population et de ses ressources. L'action diplomatique et militaire de l'Algérie n'est pas une conséquence de l'existence de l'État algérien : au contraire, c'est la diplomatie du FLN et le combat de l'ALN qui ont provoqué l'indépendance de l'Algérie [4].
Contrairement à ses deux proches voisins maghrébins, l'Algérie est pleinement satisfaite de ses frontières, parce qu'elle a recueilli en 1962 l'héritage saharien de l'impérialisme français. Mais ce fait n'a pas diminué son intérêt pour les problèmes extérieurs.
De 1954 à nos jours, l'Algérie a fondé son action internationale sur son appartenance à plusieurs cercles sécants, par rapport auxquels elle se définit : le Maghreb, le monde arabe, le monde musulman, l'Afrique, le Tiers monde. Elle en appelle à la solidarité de ses frères membres des mêmes ensembles, et leur donne en exemple à suivre sa politique. Celle-ci vise à libérer le Tiers monde de ses ennemis : le colonialisme, le racisme, le sionisme, l'impérialisme (au sens politique et économique) et à construire un nouvel ordre économique international favorable aux intérêts des nations prolétaires exportatrices de sources d'énergie et de matières premières. Ainsi l'Algérie ne défend pas seulement ses intérêts nationaux et ne compte pas sur ses seules forces : elle veut mobiliser et rassembler l'ensemble des forces des pays pauvres (les damnés de la terre de Frantz Fanon), qui constituent la majorité du monde. Tel fut le grand dessein proclamé par Ahmed Ben Bella et surtout par son successeur Houari Boumediene entre 1967 et 1978 [5].
L'ampleur de cette grande ambition se heurte inévitablement à la modestie des moyens du pays, qui impose à l'Algérie une double dépendance. Dépendance stratégique envers l'URSS et les pays socialistes, dont la guerre de libération nationale contre la France, prolongée par le soutien aux États arabes et à l'OLP contre Israël, et aux mouvements de libération des colonies portugaises, ont fait d'indispensables alliés et fournisseurs d'armes. Dépendance économique envers les pays de l'OCDE, principaux clients du gaz et du pétrole et des minerais algériens, et principaux fournisseurs d'équipements industriels, de haute technologie et de produits alimentaires [6]. L'Algérie limite sa dépendance en diversifiant ses partenaires et en les mettant en concurrence pour négocier les contrats les plus avantageux. C'est pourquoi on ne peut la définir comme un satellite ou un relais de tel ou tel impérialisme. Mais elle ne peut entièrement y échapper. Dans quelle mesure un État en voie de développement, ayant besoin des États développés de l'Est et de l'Ouest, peut-il bouleverser à leurs dépens les rapports de force établis dans le monde ? Combien de temps l'Algérie pourra-t-elle agir au-dessus de ses moyens ? Depuis 1975 en tout cas, elle a mesuré les limites de ses possibilités, avec la guerre du Sahara occidental, les difficultés de l'OPEP et l'échec du nouvel ordre économique international.
CONCLUSIONS SUR LE CONCEPT DE « MOYENNE PUISSANCE »
1. L'exemple de l'Algérie nous invite à distinguer la puissance potentielle (ou le potentiel) de la puissance ou de l'action effective. L'Algérie a montré qu'elle disposait d'une puissance effective très supérieure à son potentiel propre [7]. Inversement, de nombreux pays développés, alliés des États-Unis, n'ont pas une action politique nationale proportionnée à leur potentiel, ni à leur puissance économique (les cas des vaincus de la Deuxième Guerre mondiale, Italie, Allemagne et Japon, étant les plus spectaculaires).
2. La notion de moyenne puissance ne peut être que relative aux notions de grande et de petite puissance. En outre, son application à tel pays dépend de l'ensemble dans lequel on le situe. L'Algérie est une grande puissance maghrébine (puisqu'elle tient tête au Maroc depuis 1975 dans la guerre du Sahara occidental, sans que celui-ci ose riposter sur le territoire algérien) et peut-être africaine. Elle est une moyenne puissance arabe, musulmane, tiers-mondiste (mais dans une mesure décroissante). À l'échelle mondiale, est-elle une moyenne ou une petite puissance. La puissance peut-elle être petite ? Si oui, quels critères la distinguent de la moyenne puissance ?
3. Quoi qu'il en soit, l'Algérie se situe dans une vision du monde à logique binaire, où la distinction fondamentale oppose les nations pauvres aux nations riches suivant un rapport plutôt qualitatif que quantitatif. La distinction entre les grandes et les moyennes puissances parmi les États développés lui paraît secondaire. Entre les États sous-développés ou en voie de développement, l'Algérie ne veut pas faire de distinction de puissance : elle se présente comme primus inter pares, le porte-parole des petits contre les gros. Et elle préfèrerait sans doute être la première des petites puissances, que la dernière des moyennes puissances.
1] Université de Limoges.
[2] Estimées à 250 ou 300 000 morts par Xavier Yacono, « les pertes algériennes de 1954 à 1962 », Revue de l'Occident musulman et de la Méditerranée n° 34, 1982-2.
[3] Cf. G. Pervillé, Les étudiants algériens de l'Université française, 1880-1962. Paris, Éditions du CNRS, 1984.
[4] Cf. Slimane Chikh, L'Algérie en armes, Paris, Économica, et Alger, OPU 1981 ; et les articles de G. Pervillé, « L'insertion internationale du FLN algérien », Relations internationales n° 31, automne 1982 et « La révolution algérienne et la guerre froide », Études internationales (Québec) XVI – 1er mars 1985.
[5] Cf. Bruno Étienne, L'Algérie, cultures et révolution (chap. VIII : « L'Algérie montreur de conduite du Tiers monde »), Le Seuil 1977 ; Nicole Grimaud, La politique extérieure de l'Algérie, Karthala 1984 ; et un exposé de Charles-Robert Ageron devant l'IHRIC, La politique étrangère de Houari Boumediene.
[6] Cf. Le tableau du commerce extérieur de l'Algérie par zones géographiques commenté par Nicole Grimaud, op. cit., p. 344-345.
[7] Le Proche-Orient fournit des exemples encore plus frappants : Israël (que Golda Meir qualifiait de super-puissance régionale avant 1973) et la Syrie.
http://www.stratisc.org/IHCC_10.htm [quote] |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 2:07 | |
| bref a vous de voir , tout ces article , ces experts , ces étude qui cite l'algerie comme puissance régional et le leadership du maghreb ...vous pouvez encore croire que l'algerie est faible si ça aide certains a mieux dormir la nuit car en voix bien que certain sont obsédé par l'algerie le maroc n'est cité nul par comme puissance régional ou leadership tout simplement parsque c'est l'algerie qui a cette place et qu'elle a les moyens de ces ambition !! faut l'accepté c'est comme ça ! c'est la vérité méme si ça ne plais pas a certain je sais que chaqu'un de vous le sais au fend de lui alors a quoi bon se chamailles sur se sujet stérile |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 3:33 | |
| - scorpion-rouge35 a écrit:
- bref a vous de voir , tout ces article , ces experts , ces étude qui cite l'algerie comme puissance régional et le leadership du maghreb ...vous pouvez encore croire que l'algerie est faible si ça aide certains a mieux dormir la nuit car en voix bien que certain sont obsédé par l'algerie
le maroc n'est cité nul par comme puissance régional ou leadership tout simplement parsque c'est l'algerie qui a cette place et qu'elle a les moyens de ces ambition !! faut l'accepté c'est comme ça ! c'est la vérité méme si ça ne plais pas a certain je sais que chaqu'un de vous le sais au fend de lui alors a quoi bon se chamailles sur se sujet stérile Oui l'algérie est la puissance régional, mais le peuple algérien profite-t-il de cette puissance ? Ça je ne crois pas. et je voudrais rajouté que je trouve vraiment immature la manière don tu réagis. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 7:09 | |
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 13:29 | |
| J'ai l'impression que les algeriens qui contestent cet article n'ont meme pas pris le temps de le lire. Les chiffres avec lesquels ont ete faits ces calculs sont plus credibles que les chiffres que l'Algerie publie, par exemple 10% de chomage, ca vous a jamais semblé surnaturel? se que avance cette etude n'a rien de crédible comment peut on mesurer la force ou la faiblesse de X pays et surtout quand on vois des pays subsahariens mieux classé que la chine et la russie ça laisse songeur. maintenant les chiffres avancés par l'ONS (office national de statistiques) je les prend pas on considération tel le taux de chomage,....etc mais on moin ils ont le mérite de travailler avec le PNDA et ne donne pas des statistiques farfelu comme dans certain pays ou il donne un taux de chomage a 9% ( en incluant les travailleur non rémunérer j'ai beau chercher j'ai pas compris comment un travailleur puisse travailler sans etre rémunérer). pour la eniéme fois netoyer juste devant votre porte parcequ'elle est vraiment sale aprés chercher a netoyer celle du voisin.
|
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 13:35 | |
| Je vois que les limites de ta reflexion (scr35) ne te permettent pas de comprendre. Puissance ne veut pas dire puissance au sens que tu esperes. La corée du nord est une puissance, le Nigeria en est une, mais ca ne veut pas dire que tout va bien, loin de la. Vous vous reclamez du rang de puissance, mais, vous avez les problemes du tiers monde et meme pire. Je defie n'importe quel algerien d'aller se promener en voiture loin des villes, je parie qu'il ne voudra pas. Vos exportations sont a 98% du gaz ou petrole, rien qui montre un savoir faire ou une industrie. Vos administrations et votre armée manquent de gens qualifiées. Votre gouvernement date d'un autre siecle et est toujours coincé avec l'idée de guerre et de liberation et tout mettre sur le dos du colonisateur, le meilleur, c'est que ce meme pouvoir se maintient au pouvoir comme il veut... Votre diplomatie est rigide et agressive, sans le moindre gramme de finesse comme le montre la mauvaise image que vous avez dans le monde et le nombre d'Etats qui ne reconnaissent pas votre invention, le polisario. Les gens sont mal nourris, les agressions sexuelles flambent, la consommation de drogues est presque systematique chez les jeunes et j'en passe.
Seule concession que je peux faire, c'est la puissance financiere. Mais bon; quand c'est juste de l'exploitation de ressources naturelles, je n'y vois aucun merite. PS: Blackeagle, va sur le lien et lis, tu verras comment les chiffres sont calculés et comment ils doivent etre interpretés, c'est pas juste question de defense des citoyens. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 13:49 | |
| Le Nabot par wikipedia. - Citation :
- Family
Abdelaziz Bouteflika has been married since August 1990 and has no children. His wife Amal Triki is a daughter of an ex-diplomat (Yahia Triki).
Bouteflika has three half-sisters (Fatima, Yamina, and Aïcha) with whom he has no contact[citation needed], four brothers (Abdelghani, Mustapha, Abderahim and Saïd) and one sister (Latifa).
His father, Ahmed Bouteflika, was born in Tlemcen, Ahmed Bouteflika was married to two women: Belkaïd Rabia and Ghezlaoui Mansouriah (the mother of the current President)[citation needed].
When Abdelaziz Bouteflika was born on March 2, 1937 in Morocco (Oujda), he was the first child of his mother and the second child of his father, Fatima, his half-sister, preceded him.
Early years and War of Independence Bouteflika lived and studied in Morocco until he joined the Front de Libération Nationale (FLN) in 1956, at the age of 19. He started as a 'controller' (checking the situation and making reports on what's happening in the Moroccan border and in west Algeria), but later became the administrative secretary of Houari Boumédiène. Many leaders of the Algerian War of Independence say that some of his reports caused the assassination of several heroes of the war, such as that of Boucif.
In 1960, Boumédiène nominated him to a position in Tunisia but Bouteflika was unreachable[/u], and no one knew where he was. When he showed up after traveling in Europe, disciplinary actions were going to be taken against him, but Boumédiène decided otherwise. Bouteflika was nominated to another function in Mali to open a new front. Some observers see this affectation as punishment since, they argue, there was no front to "open" from this sahelian country. After some weeks in Mali, Bouteflika disappeared again, he showed up after several months spent in Morocco with a woman Once again he was forgiven by Boumédiène.
In 1962, as independence arrived, he aligned with Boumédiène and the border armies in supporting Ahmed Ben Bella against the provisional GPRA government.
Early post-independence political career After Algeria's independence in 1962, he became deputy of Tlemcen in the Constituent Assembly and Minister for Youth and Sport in the government led by Ahmed Ben Bella. The next year, he was appointed Minister for Foreign Affairs, and would remain in the post until the death of President Houari Boumedienne in 1978. He was considered very close to Boumédiène; Ben Bella's attempt to dismiss Bouteflika in 1965 is considered the triggering factor in Boumédiène's coup d'état some time later[citation needed]. With Boumédiène in power, Bouteflika rose to a position of great importance within the regime, and he was generally seen as one of the two main candidates to succeed Boumédiène, who died in 1978. (He was seen to represent the party's "right wing", more open to economic reform and rapprochement with the West; Col. Mohamed Salah Yahiaoui represented the "boumédiènist" left wing. [1] In the end, the military opted for a compromise candidate, Col. Chadli Bendjedid. Bouteflika was reassigned the role of Minister of State, but successively lost power as Bendjedid's policies of "de-Boumédiènisation" marginalised the old guard.
The Court of Financial Auditors In 1981, he was sued for having stolen Algerian embassies' money between 1965 and 1979, On 8 August 1983, Bouteflika was convicted by The Court of Financial Auditors and found guilty of having fraudulently taken 60 million dinars during his diplomatic career. In his defence, Bouteflika said that he "reserved" that money to build a new building for the foreign affairs ministry, but the court judged his argument to be "fallacious". In 1979, just after the death of Boumédiène, Bouteflika reimbursed 12 212 875,81 out of the 70 millions that was put in a Swiss bank.
Although Bouteflika was granted amnesty by the president Chadli Bendjedid, his colleagues Senouci and Boudjakdji were jailed.
After the amnesty, Bouteflika was given back his diplomatic passport, a villa where he used to live but did not own and all his debt was erased; he never paid back the money "he reserved for a new foreign affairs ministry's building".[citation needed]
[edit] The "Exile" In 1983 he left the country and stayed in the United Arab Emirates, France and Switzerland. After six years abroad, he finally came back and rejoined the Central Committee of the FLN in 1989.
In January 1994, Bouteflika refused the Army’s proposal to succeed the assassinated president, Mohamed Boudiaf, presumably to avoid asking the support of the political parties. Instead, Gen. Liamine Zeroual became President.
Elected President in 1999 In 1999, Liamine had unexpectedly stepped down and announced prescheduled elections. Bouteflika ran for President as an independent candidate, supported by the military. He was elected with 74% of the votes, according to the official count. All other candidates withdrew from the election prior to the vote, citing fraud concerns. Bouteflika subsequently organized a referendum on his policies to restore peace and security to Algeria (involving amnesties for Islamist guerrillas) and to test his support among his countrymen after the contested election. He won with 81% of the vote, but this figure was also disputed by opponents.
[edit] Economic policies During his first mandate Bouteflika launched a five year economical plan (2000-2004), called the Support Plan for Economic Recovery (PSRE: Plan de Soutien à la Relance Economique). The plan was a package of various sub-plans such as the National Plan for Agricultural Development (PNDA: Plan National pour le Développement Agricole), aimed at boosting agricultural production. Other sub-plans included the construction of social housing units, roads, and other infrastructure projects. The PSRE totalled $7 billion worth of spending, and gave satisfactory results with the economy averaging higher than 5% annual growth rates, with a peak of 6.3% in the year 2003. Bouteflika also pushed through a fiscal reform which participated in the economic revival.
Foreign policy Bouteflika was also active on the international scene. He presided over the African Union in 2000 and secured the Algiers Peace Treaty between Eritrea and Ethiopia, and supported peace efforts in the African Great Lakes Region. He also secured a friendship treaty with neighbouring Spain in 2002, and welcomed president Chirac of France on a state visit to Algiers in 2003, in a prelude to the signature of a friendship treaty. Relations with the Kingdom of Morocco remained slightly tense, with diplomatic clashes on the issue of the Western Sahara, despite promising beginnings in 1999.
Second term in 2004 On April 8, 2004, he was re-elected by 85% of the vote in an election that was praised by OSCE observers as an example of democracy in the Arab world, while contested by his rival and former Chief of Staff Ali Benflis. Several opponents alleged that the election had not been fair, and pointed to extensive state control over the broadcast media.
The Kabyle population boycotted the election, participation did not exceed 11%.
Reconciliation plan During the first year of his second term, President Bouteflika held a referendum on his "Charter for Peace and National Reconciliation", inspired by the 1995 "Sant'Egidio Platform" document. Bouteflika's plan aims at concluding his efforts of ending the civil war, from a political and judicial point of view. He obtained large popular support with this referendum and has since instructed the government and Parliament to work on the technical details of its implementation. Critics have claimed that the plan will only grant immunity to members of the armed forces responsible for crimes, as well as to terrorists and have argued for a plan similar to South Africa's "truth and reconciliation commission" to be adopted instead. Bouteflika has dismissed the calls, claiming that each country needs to find its own solutions to ending painful chapters of its history. Thus far he has received large political support on this issue, from both the Islamist and the Nationalist camps, and most of the Democrat camp - except one party: the FFS (Front of Socialist Forces).
Economic policies The first year of Bouteflika's second term also featured a new five year plan, much larger this time drafted. The Complementary Plan for Economic Growth Support (PCSC: Plan Complementaire de la Croissance Economique) aims for the construction of 1 million housing units, the creation of 2 million jobs, the completion of the East-West 1200km long highway, the completion of the Algiers subway project, the delivery of the new Algiers airport, and other similar large scale infrastructure projects. The PCSC totals $60 billion of spending over the five year period. Bouteflika also aims to bring down the external debt from $21 billion to $12 billion in the same time. He has also obtained from Parliament the reform of the law governing the oil and gas industries, despite initial opposition from the workers unions. However, Bouteflika has since stepped back from this position, supporting amendments to the hydrocarbon law in 2006, which propose watering down some of the clauses of the 2005 legislation relating to the role of SONATRACH, the state owned oil & gas company, in new developments. It also proposes new provisions enabling the country to benefit from windfall taxes on foreign investors in times of high prices. Bouteflika has also put up for sale 1300 public sector companies, and has already achieved privatization of about 150 of them, mainly in the tourism, food processing, cement, construction material and chemical industries. Foreign policy On the international scene, Bouteflika's second mandate has seen diplomatic tensions rise with France due to the controversial voting by the French Parliament of a law ordering French history school books to teach that French colonisation had positive effects abroad, especially in North Africa. The diplomatic crisis which ensued has put on hold the signing of a friendship treaty with France (February 23, 2004, re-endorsed in December 2005). In 2004 Bouteflika also organised the Arab League Summit and became President of the Arab League for one year. His calls for reform of the League did not gain sufficient support to pass in during the Algiers summit however.
Hospitalization in 2005 Bouteflika was admitted to a hospital in France on 26 November 2005, reportedly suffering from a gastric ulcer hemorrhage, and discharged three weeks later. [1] However, the length of time for which this normally publicity-loving leader remained virtually incommunicado led to rumours that he was critically ill with stomach cancer.[2] He checked into the hospital again in April 2006 [3].
Constitutional amendment in 2006 Bouteflika appointed a new Prime Minister, Abdelaziz Belkhadem, in 2006. Belkhadem announced plans to amend the Algerian Constitution to allow the President to run for office indefinitely often and increase his powers. [4]
Observers see this amendment as a ruse to cancel the two-term limit. They predict the introduction of a new law that would allow Bouteflika to run for a third time. Il a ete condamné et malgres ca, il a eu 2 mandats a la tete de l'Etat.Il est temps de se reveiller. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 17:14 | |
| - Citation :
- Je vois que les limites de ta reflexion (scr35) ne te permettent pas de comprendre. Puissance ne veut pas dire puissance au sens que tu esperes. La corée du nord est une puissance, le Nigeria en est une, mais ca ne veut pas dire que tout va bien, loin de la. Vous vous reclamez du rang de puissance, mais, vous avez les problemes du tiers monde et meme pire. Je defie n'importe quel algerien d'aller se promener en voiture loin des villes, je parie qu'il ne voudra pas.
tu défie n'importe quel algerien je suis algerien d'alger d'origine kabyle et je viens de rentrer de tizi ouzou (la kabbylie) la ou il ya la plus grande concentration de halouf en algérie . - Citation :
- Vos exportations sont a 98% du gaz ou petrole, rien qui montre un savoir faire ou une industrie.
l'industire algerienne est en plein renaissance et les projets en concrétisation foisonne pétrochime,aluminum,acier,agroalimentaire et j'en passe.cap 2012 ou les exporttion hors hydorcarbures passerons de 1.3 milliards de dollars a 10 milliards . - Citation :
- Vos administrations et votre armée manquent de gens qualifiées
notre administration qu'est ce tu connais yerham babek, l'armée je doute que tu puisse me donner la moindre information sur ça gestion les gens clé etc etc je déduie que ce n'est que de la literrature pour za3ma noircir le tableau. - Citation :
- . Votre gouvernement date d'un autre siecle et est toujours coincé avec l'idée de guerre et de liberation et tout mettre sur le dos du colonisateur, le meilleur, c'est que ce meme pouvoir se maintient au pouvoir comme il veut...
la guerre de libération est une fiérté national en algérie et le gouvernement est un gouvernement de coalition entre les trois formation présidentiel et tout le ministre sont issu de la génération d'aprés 62 dailleur deux de nos ministre chakib khellil président en exercice de l'opep et dr amar ghoul ministre du BTP ont etait elu homme les plus influent dans la rive sud de la méditerranée par la chaine LCI. on ne met rien sur le dos de la colonisation on réclame notre du la france a massacré des dizaines d'algeriens et a commis des enfumades tu veux tout de méme pas qu'on devient négationniste la france a commis un génocide en algérie et elle doit des excuses au peuple algerien sinon comme reconnaissent ils le génocide arménien et en erigé la shoah en une sacralité et quand il s'agit du sand des musulmans il devient du pissé non on acceptra jamais ça . - Citation :
- Votre diplomatie est rigide et agressive, sans le moindre gramme de finesse comme le montre la mauvaise image que vous avez dans le monde et le nombre d'Etats qui ne reconnaissent pas votre invention, le polisario.
la diplomatie algerienne ya essi elfahem a réglé le conflit iran irak en 75 traité d'alger si tu as entendu parler,elle a réglé l'affaire des otages americains a téhéran, a permis a yasser ARAFAT de prendre part au travaux des nations unis et la reconnaissance par cette derniére de l'OLP. la diplomatie algerienne a fait un travail de boycott contre l'AFS et a permis de l'extrader de l'OUA, la diplomatie algerienne a réglé le conflit qui a duré 50 ans entre l'erythérée et l'ethipie en l'an 2000. etc etc qu'a fait la diplomatie de H2 et de son successuer ahh oui diplomatie jet ski. - Citation :
- Les gens sont mal nourris, les agressions sexuelles flambent, la consommation de drogues est presque systematique chez les jeunes et j'en passe.
alhamdoullah tout le monde mange a ça faim en algérie les produits de premiéres necessité sont tous subventionnés, et malnutrition ça existe méme en amérique pour la consommation de drogue hamdoullah on a un voisin qui nous exporte ses produits de qualités agressions sexuelles montre moi un seul pays au monde ou ça n'existe pas dailleur certain pays sont devenu des PARADIS sexuels suis mon regard. - Citation :
Seule concession que je peux faire, c'est la puissance financiere. Mais bon; quand c'est juste de l'exploitation de ressources naturelles, je n'y vois aucun merite. alhamdoullah qu'on fait pas dans la mendécité international et les ressources naturels sont exploité par notre société national la sonatrach qui a un CA supeireu au PIB du maroc avec tout son tourisme phosphates ....et j'en passe. - Citation :
- PS: Blackeagle, va sur le lien et lis, tu verras comment les chiffres sont calculés et comment ils doivent etre interpretés, c'est pas juste question de defense des citoyens.
j'ai lu l'artilce avant que tu le poste et on a débattu dans un autre forum c'est abérant de trouvé des pays comme la chine et la russie moins bien loti que le gabon soyons realistes. les euls etudes realistes dans se domaine sont celle de l'onu il font un travail etat par etat sur tout l'année aprés il publie leurs résultats pas d'un machin d'organisation qu'on sait par qui elle est financé. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes Sam 15 Mar 2008 - 17:30 | |
| Sérieux les mecs passez un coup de balaie devant votre porte car vous etes ridicule, j'ai jamais vu un Algerien que ce soit ici ou sur ForcesDz critiquer le Maroc sur un point ou l'Algerie est aussi nul
On a au moins le merite de regardé chez nous avant de parler des autres |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Actualités Algeriennes | |
| |
| | | | Actualités Algeriennes | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|