Actualités du Sahara Marocain

alphatango a écrit:

https://www.yabiladi.com/articles/details/138361/dans-lettre-l-onu-polisario-autorise.html

C'est quoi cette histoire? Je pensais que les FAR detruisaient tout ce qui bouge à l'est du mur? Maintenant on apprendre que le Polisario a empêché  un convoi de la Minurso d'aller vers leur base? Donc le Polisario continue de circuler à sa guise à l'est et agit comme force contrôlant le territoire. Ce n rst pas sérieux.
Quelqu'un peut m'expliquer en évitant la langue de bois et la propagande

alphatango a écrit:

https://www.yabiladi.com/articles/details/138361/dans-lettre-l-onu-polisario-autorise.html

C'est quoi cette histoire? Je pensais que les FAR detruisaient tout ce qui bouge à l'est du mur? Maintenant on apprendre que le Polisario a empêché  un convoi de la Minurso d'aller vers leur base? Donc le Polisario continue de circuler à sa guise à l'est et agit comme force contrôlant le territoire. Ce n rst pas sérieux.
Quelqu'un peut m'expliquer en évitant la langue de bois et la propagande

alphatango a écrit:

https://www.yabiladi.com/articles/details/138361/dans-lettre-l-onu-polisario-autorise.html

C'est quoi cette histoire? Je pensais que les FAR detruisaient tout ce qui bouge à l'est du mur? Maintenant on apprendre que le Polisario a empêché  un convoi de la Minurso d'aller vers leur base? Donc le Polisario continue de circuler à sa guise à l'est et agit comme force contrôlant le territoire. Ce n rst pas sérieux.
Quelqu'un peut m'expliquer en évitant la langue de bois et la propagande

atlas a écrit:

alphatango a écrit:

https://www.yabiladi.com/articles/details/138361/dans-lettre-l-onu-polisario-autorise.html

C'est quoi cette histoire? Je pensais que les FAR detruisaient tout ce qui bouge à l'est du mur? Maintenant on apprendre que le Polisario a empêché  un convoi de la Minurso d'aller vers leur base? Donc le Polisario continue de circuler à sa guise à l'est et agit comme force contrôlant le territoire. Ce n rst pas sérieux.
Quelqu'un peut m'expliquer en évitant la langue de bois et la propagande

Ou qu'on nous raconte des conneries et que l'espace après le mur est considéré comme PolZ...par tout le monde !!!

Personal Envoy Staffan de Mistura met today with the Permanent Representative of @Morocco_UN, Amb. Omar Hilale at UNHQ in the context of informal bilateral consultations on Western Sahara. He also reported to the Secretary-General on the consultations held this week. pic.twitter.com/WD6ChDSzhK

— UN Political and Peacebuilding Affairs (@UNDPPA) March 30, 2023

Anass009 a écrit:

atlas a écrit:

Er certains pays dans le monde dont les Nordiques voudraient qu'ils soient indeo..


Vous imaginez le foyer de violence , d'instabilité etc

N'importe quoi



J'espère que cette vidéo va être montrer en bouckey dans les instances...

Par ailleurs...le Maroc doit récupérer les zones tampons


Depuis le temps que ça dur !!!!


Si on fait rien ça durera encore 1 siècle


Ça fait 50 ans que ça dure !!!!

L’examen de la mission onusienne au Sahara (Minurso) est au menu de la réunion semestrielle du Conseil de sécurité de l’ONU, présidé en avril par la Russie. Lors de ces consultations à huis clos, la parole sera donnée au chef de la Minurso Alexander Ivanko, et à l'envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura. Les enjeux Des consultations à huis clos sur la Mission des Nations unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental (Minurso) sont prévues le 19 avril prochain avec l’envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Staffan de Mistura et Alexander Ivanko, représentant spécial pour le Sahara occidental et chef de la Minurso, peut-on lire du programme prévisionnel du Conseil de sécurité en avril. Alexander Ivanko fera le point sur la situation sur le terrain et Staffan de Mistura exposera les conclusions de sa première tournée régionale. Notons que ce dernier a invité à New York, les représentants du Maroc, du Front Polisario, de l'Algérie et de la Mauritanie, à des consultations bilatérales informelles, avant son exposé semestriel au Conseil de sécurité. Les membres du « groupe des amis du Sahara occidental », à savoir la France, la Russie, l'Espagne, le Royaume-Uni et les États-Unis, ont également été invités à participer à ces réunions bilatérales informelles. La nomination de De Mistura en tant qu'envoyé personnel en novembre 2021 en remplacement de l’Allemand Horst Köhler qui avait démissionné du poste en mai 2019 « pour raisons de santé », avait donné un nouvel élan au processus de paix et ravivé les perspectives de reprise des négociations. Une dynamique régionale complexe Dès son entrée en fonction, les tensions dans la région se sont pourtant sensiblement aggravées. En effet, deux mois avant sa prise de poste, l'Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc après une période de dégradation progressive des relations entre les deux piliers du Maghreb. L’Espagne a ensuite effectué un changement de position en apportant publiquement son soutien au projet d’autonomie marocain suscitant la colère d’Alger qui, en juin 2022 a suspendu son traité de bon voisinage et de coopération conclu avec Madrid. De Mistura a depuis entrepris des discussions diplomatiques avec plusieurs les parties prenantes au conflit : le Maroc, l’Algérie, la Mauritanie et le Front Polisario, mais ses tournées régionales se sont soldées par un échec, en raison des dynamiques régionales complexes, notamment les positions diamétralement opposées de Rabat et Alger sur l’issue du différend régional et de l’aventure belliciste du Polisario depuis fin 2020. Sur le chemin miné des négociations La principale question que les membres du Conseil doivent examiner est de savoir comment amener toutes les parties à la table des négociations. La résolution 2654 a appelé toutes les parties à reprendre les négociations en vue de « parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, qui assurera l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ». Des obstacles importants subsistent dans le processus de paix. En effet, le Front Polisario a annoncé en novembre 2020 qu'il ne respecterait plus l'accord de cessez-le-feu qu'il avait conclu sous l’égide de l’ONU avec le Maroc en 1991. Cette annonce faisait suite à l’opération militaire des Forces armées royales (FAR) pour déloger les milices du Polisario du corridor de Guerguerat menant à la Mauritanie. Une position des séparatistes de nature à assombrir les perspectives de la reprise du processus politique entre les parties belligérantes. Par ailleurs, le rapport du Secrétaire général des Nations unies, António Guterres, du 3 octobre 2022, soulève la question des contraintes sur l'approvisionnement logistique et l'entretien des Team sites de la Minurso, qui auraient de graves conséquences sur la capacité de la mission à maintenir sa présence sur le terrain dans les conditions difficiles de la région. Rappelons qu'il y a une semaine, des éléments armés du Polisario ont de nouveau interdit à la Minurso l’accès à ses Team sites situés à l’Est du berm érigé par les FAR, avant de les autoriser sous la contrainte. Ce même rapport fait savoir que le Haut-Commissariat aux droits de l'Homme (HCDH) n'a pas été en mesure d'effectuer des visites au Sahara occidental pour la septième année consécutive malgré de multiples demandes et malgré le fait que le Conseil de sécurité encourage fortement le renforcement de la coopération dans la résolution 2602 du 29 octobre 2021. Le rapport a ajouté que le HCDH continuait de recevoir des allégations de violations des droits de l'Homme sur le territoire imputées aux forces de sécurité marocaines par les sympathisants du Polisario, tandis que Rabat soulève la questions de la situation invivable des reclus de Tindouf sur la base des rapports alarmant du Haut-Commissariat aux réfugiés (HCR). « Une option possible pour le Conseil serait de publier une déclaration présidentielle exprimant son soutien aux efforts de Mistura et exhortant toutes les parties à reprendre les négociations », suggère l'ONG Security Council Report (SCR) qui suit l'actualité de l'organe exécutif onusien. Moscou sur la ligne médiane La Russie, en guerre avec l'Ukraine et entretenant des relations ambivalentes avec le Maroc, sera à la tête de l’organe exécutif des Nations Unies à partir de ce samedi et pour un mois. Elle présidera donc la réunion du Conseil de sécurité qui aura lieu le 19 avril prochain, la seule programmée par Moscou pour l'examen de la question du Sahara. Rappelons que le 27 octobre dernier, les 15 pays membres du Conseil de Sécurité ont voté une résolution renouvelant le mandat de la Minurso jusqu'au 31 octobre 2023. La Russie et le Kenya se sont abstenus au vote, estimant que le projet de texte était « déséquilibré » – une position qu'ils ont exprimée lors des précédents renouvellements de mandat de la Minurso. L'une de leurs principales préoccupations de Moscou était de faire en sorte que le projet de résolution distingue « plus clairement » le Maroc et le Front Polisario des pays voisins concernés, l'Algérie et la Mauritanie. Il semble que le Kenya et la Russie aient également demandé de faire « une référence plus large aux contributions de tous les envoyés personnels précédents, au lieu de distinguer l'envoyé personnel Köhler, ce qui semble donner plus de poids à son format de table ronde », explique SCR, faisant référence aux modalités des précédents pourparlers ayant eu lieu pour la dernière fois à Genève en 2019. De plus, dans son explication de vote suite à l'adoption de la résolution 2654, la Russie a noté que « ces dernières années, les résolutions sur le renouvellement du mandat de la Minurso ont inclus des amendements qui, à notre avis, nuisent à l'approche impartiale et non biaisée nécessaire pour résoudre la question du Sahara occidental » La Russie s'est par ailleurs opposée aux références aux réunions de « table ronde », les qualifiant de non pertinentes et limitant les efforts de médiation de De Mistura. En outre, la Russie a noté que le règlement final devrait être basé, selon ses termes, « sur des résultats mutuellement acceptables qui pourraient contribuer à une résolution politique équitable pour le Maroc et le Front Polisario et fournir l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ». Toutefois, le 9 janvier dernier, le règlement de la question du Sahara a été au menu d'un entretien, à Moscou, entre le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergey Vershinin, et l'ambassadeur du Maroc en Russie, Lotfi Bouchaara. Nasser Bourita, a eu, le 14 mars, un entretien téléphonique avec son homologue russe, Sergueï Lavrov. Rabat entretient de bonnes relations diplomatiques avec Moscou, cherchant à obtenir de ce membre permanent au Conseil de sécurité, traditionnellement allié de l’Algérie, une position de neutralité sur le dossier du Sahara. Dans un contexte géopolitique élargi, le Maroc, qui s'était abstenu de participer à des votes sur la situation en Ukraine a cependant voté pour la résolution condamnant les référendums d'annexion russes en Ukraine. Un jeu à sommes nulles pour Rabat puisque Moscou se préoccupe davantage de sortir de l'isolement diplomatique que cherchent à lui imposer les pays occidentaux sous la houlette de Washington suite aux hostilités en Ukraine. Dans ce contexte, autant la Russie que le Maroc préservent chacun leurs intérêts, y compris sur le terrain économique (pétrole, aérien etc.) Le pen holder du dossier, favorable au Maroc De leur côté, États-Unis ont reconnu la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara occidental en décembre 2020, sous le mandat de Trump. L'administration Biden n'a pas changé cette position. Le 3 février 2022, De Mistura a rencontré le secrétaire d'État américain Antony Blinken et a discuté de l'engagement diplomatique avec des partenaires internationaux pour renforcer « un processus politique crédible qui conduira à une résolution durable et digne du conflit ». Antony Blinken a par ailleurs rencontré à deux reprises Nasser Bourita, dans le cadre du Sommet du Neguev organisé fin mars 2022 par Israël. À chacune de ses étapes, il a montré que Washington ne changera pas sa position qui demeure dans les faits favorables au royaume. Les deux hommes se sont revus le 20 mars à Washington lors d'une rencontre durant laquelle le chef de la diplomatie américaine a exprimé un fort soutien au Maroc. Plus tôt, fin janvier dernier, la secrétaire d’État adjointe américaine chargée des organisations internationales, Michele Sison, a réitéré, à Rabat, le soutien des Etats-Unis au plan marocain d’autonomie comme solution sérieuse, crédible et réaliste au différend autour du Sahara. Cette rencontre a également porté sur le soutien continu des États-Unis à Staffan de Mistura dans son rôle d'envoyé personnel du Secrétaire général de l'ONU pour le Sahara, a-t-elle fait savoir. Un Conseil de sécurité divisé mais à l'avantage de Rabat Même si les relations entre Paris et Rabat sont au plus bas, la France a traditionnellement soutenu le plan marocain d'autonomie pour la région. Toutefois, pour la diplomatie marocaine, la posture française dans le dossier du Sahara se résume à un timide appui lors des sessions de vote au Conseil de sécurité. Récemment en visite officielle au Maroc, la cheffe de la diplomatie française, Catherine Colonna, a souligné lors d’un point de presse conjoint avec Nasser Bourita, que « la position de la France est claire et constante », rappelant que son pays soutient les cessez-le-feu et les efforts de l’envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU. Elle a également souligné la nécessité de reprendre les négociations entre les parties pour une « solution juste et réaliste ». Le Quai d’Orsay avait souligné que la position de la France concernant le Sahara est « constante, en faveur d’une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable, conformément aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies », ajoutant dans cette perspective que le plan d’autonomie marocain est une base de discussions « sérieuse et crédible ». Les Émirats arabes unis, membre non permanent du Conseil de sécurité, ont exprimé leur soutien au plan d'autonomie du Maroc, tout en reconnaissant sa souveraineté sur l'ensemble du Sahara occidental. Le Gabon, au même titre, soutient également le Maroc dont il est un des alliés indéfectibles sur le continent. Tandis que le Ghana, et le Mozambique entretiennent des relations diplomatiques avec le Polisario mais leur position ne pèsera pas lors de cette réunion de l'instance exécutive de l'ONU. a écrit:

lunatik2x a écrit:

la situation telle qu'elle est actuellement est l'idéale pour enterrer définitivement le dossier, et avec lui, les ennemis d'en face.
ni conflit ni embrasement, juste presser les forces anciennement coloniales a revoir leur positionnements, et leur faire comprendre qu'il n'est plus question de marchandages sur ce dossier, soi ami, soi ennemi.

Citation :

Le rapport sera une occasion également pour décrire l’état actuel au mur de défense vu la poursuite des provocations et du harcèlement des milices du polisario qui semblent vouloir installer la zone dans une sorte de fièvre endémique. Selon le rapport du Secrétaire Général datant du 3 octobre 2022, le Maroc a signalé près de 691 faits impliquant des tirs contre ses unités stationnées le long du mur de sable ou à proximité, dont 64% à Mahbas. Ce à quoi les Forces Armées Royales se réservent le droit de riposter dans le cadre de la légitime défense. Le polisario s’est soustrait de ses obligations en se retirant de l’accord de cessez-le-feu, signé en 1991, portant ainsi, seul, la responsabilité de la reprise des hostilités.

Anzarane a écrit:

lunatik2x a écrit:

la situation telle qu'elle est actuellement est l'idéale pour enterrer définitivement le dossier, et avec lui, les ennemis d'en face.
ni conflit ni embrasement, juste presser les forces anciennement coloniales a revoir leur positionnements, et leur faire comprendre qu'il n'est plus question de marchandages sur ce dossier, soi ami, soi ennemi.

Pas du tout car énormément de moyens financier pour le coté Militaire & Sécuritaire sont déployé au Sahara et ça dure pendant plus de 50 ans. Des moyens financier qui en temps de paix (Règlement définitif du conflit) aurait pu être allouer a d'autres secteurs comme la santé et l'éducation. On a intérêt a clore ce dossier définitivement...........ET pour cela il n'ya qu'une seule méthode.

alphatango a écrit:

Pourquoi l'Algerie ne disparaitrait-elle pas? La Syrie a disparue, leYemen, la Somalie, l'Afghanistan. Meme l'Ethiopie (qui est un vrai pays millénaire) à perdue une partie de son territoire. Alors pourquoi l'Algerie ne subirait-elle pas le même sort?

alphatango a écrit:

Pourquoi l'Algerie ne disparaitrait-elle pas? La Syrie a disparue, leYemen, la Somalie, l'Afghanistan. Meme l'Ethiopie (qui est un vrai pays millénaire) à perdue une partie de son territoire. Alors pourquoi l'Algerie ne subirait-elle pas le même sort?