Je pense que ce genre de matériel que notre pays doit demander comme aide. Ou bien s'en procurer avec l'argent amasser. Ça serait un bon investissement vu que ça va servir pour les années à venir pour reconstruire mais aussi pour désenclaver ces douars qui souffrent surtout pendant les chutes de neiges d'isolement.
C'est très difficile presque impossible a déplacer par avion surtout les D10.......
Je vous donne un exemple lorsque une entreprise de travaux publics au Maroc veut transporter un engin de type D elle doit demander une autorisation spécial et doit avoir une voiture devant le camion avec un gyrophare et des fois elle demande une autorisation à la gendarmerie pour avoir un motard de la gendarmerie. Vraiment un monstre
Oui c du très bon matériel je pense qu'on le bon nombre juste c'est difficile a déplacer. Et ils son au mûr au Sahara. Et comme j'ai dit avant il de grande entreprise qu'il on des engins de type D. - la STAM - GTR - SOMAGC - TGCC
Pour les brise roche il y a partout et facile à déplacer
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Neox Commandant
messages : 1048 Inscrit le : 16/01/2023 Localisation : Europa Nationalité :
l'exemple du vautour, clochard d'Internet, assis dans le salon de sa nouvelle villa à Rabat, et qui bla-bla-blate sur tout et rien et en ramassant plein de likes des bounifs , TFOU
La mosquée historique de Tinmel a effectivement subi d'importants dommages, même si certains sur les réseaux sociaux avaient émis des suspicions contraires.
Cependant, il n'y ait aucune mention des ouvriers décédés, cela me semble normale au regard de l'horaire tardive du séisme à 23h11.
Suite au séisme d’Al Haouz, le Maroc n’a répondu favorablement et dans l’immédiat qu’aux offres d’aide venant d’une poignée de « pays amis » et pas à d’autres, dont celle pressante de la France. Une décision qui tient autant de son évaluation de la situation sur le terrain que de sa volonté de maîtrise souveraine des opérations Alors que de très nombreux pays ont offert leur aide, le Maroc n’a officiellement demandé de l’assistance qu’à l’Espagne, au Qatar, Royaume-Uni et Emirats arabes Unis. Les autorités en charge des secours ont d’abord procédé à une évaluation de la situation, les régions les plus meurtries par le séisme étant très enclavées. Aucun besoin d’urgence absolue n’est nécessaire à Marrakech, dont seule une partie limitée de la vieille ville a été endommagée. Ce n’est que ce dimanche matin que les équipes du génie militaire et celles des différents corps civils engagés dans le déblaiement des routes obstruées par les éboulements de pierre ont pu laborieusement se frayer un chemin pour parcourir les quelques kilomètres qui les séparaient encore des zones les plus proches de l’épicentre, qui lui reste encore inaccessible, soit à plus de 100 km au sud de Marrakech et à plus de 1 000 mètres d’altitude. L’armée, ainsi que la Gendarmerie royale ont procédé à des évaluations aériennes des zones sinistrées pour appréhender précisément les besoins. C’est dans ce contexte que les requêtes aux aides internationales ont été exprimées par Rabat. L’impératif de souveraineté A la différence d’un Etat failli, comme Haïti en 2010, dont toutes les structures et moyens sont anéantis lors d’une catastrophe naturelle dévastatrice, le Maroc opte pour des aides complémentaires à celles dont il dispose déjà : « Les forces civiles et les forces royales marocaines ont été rapidement déployées (…) le Maroc va minutieusement choisir ses partenaires pour ne laisser entrer que des structures très compétentes, avec des savoir-faire particuliers, tels que des chiens renifleurs, qui vont permettre de localiser les dernières personnes bloquées », commente pour Le Figaro, Sylvie Brunel, professeure de géographie à l'université Paris- Sorbonne et ancienne présidente d'Action contre la Faim, qui estime que face aux offres d’aide humanitaire aux arrière-pensées géopolitiques, il est légitime que le Maroc se positionne en État souverain. La question soulevée par cette experte est au cœur de la décision marocaine qui fait face à une équation complexe : assurer des secours efficaces et dans la mesure du possible rapides aux sinistrés sans pour autant ouvrir le pays à une aide qui peut se révéler désordonnée et surtout motivée par un objectif intéressé. Le tremblement de terre qui a frappé le Haut-Atlas a dévasté des régions au relief escarpé, avec une particularité de taille, à savoir une population très atomisée, habitant en majorité des maisons de terre nichées dans des douars en altitude. Durant les premières quarante-huit heures les plus critiques où se joue la vie des survivants, la grande difficulté pour les sauveteurs a été de pouvoir d’abord localiser les zones qui nécessitent des interventions prioritaires, puis ensuite évaluer les moyens logistiques adéquat pour les flécher selon la topographie du terrain. « Dans le cadre d’une approche conforme aux standards internationaux en pareils circonstances, les autorités marocaines ont procédé à une évaluation précise des besoins sur le terrain, en tenant compte du fait que la non-coordination dans de telles situations pourrait être contreproductive », a dans ce sens indiqué le ministère de l’Intérieur. « Sur cette base, les autorités marocaines ont répondu favorablement, durant cette phase précise, aux offres de soutien formulées par les pays amis, que sont l’Espagne, le Qatar, le Royaume-Uni et les Emirats Arabes Unis, qui ont proposé la mobilisation de plusieurs équipes de recherche et de secours », indique la même source. « En adoptant la même approche de coordination et d’évaluation des besoins liés à cette étape critique, ces équipes ont établi, ce dimanche 10 septembre, des contacts sur le terrain avec leurs homologues marocaines », ajoute la même source. Des images d’une unité cynophile espagnole en action diffusées sur les réseaux sociaux avaient précédé cette annonce. « Avec l’avancement des opérations d’intervention, l’évaluation des besoins éventuels pourrait évoluer, ce qui permettrait de recourir aux offres de soutien présentés par d’autres pays amis, selon les besoins spécifiques de chaque étape », précise le ministère de l’Intérieur. « Partant de ce constat, le Royaume du Maroc affirme accueillir favorablement toutes les initiatives de solidarité émanant des différentes régions du monde et qui illustrent le degré de respect par ces pays et leur reconnaissance des engagements constants du Maroc et ses multiples contributions aux actions de soutien humanitaire international (…) », conclut le communiqué publié à l’aune de l’annonce d’une stabilisation du bilan des victimes à un peu plus de 2 000 morts et autant de blessés. Ce bilan devrait immanquablement évoluer si l’on considère que les zones les plus proches de l’épicentre n’ont pas encore été atteintes par les secouristes. Mais là encore, et au-delà de trois jours après le sinistre, les chances de survie des populations piégées sous l’amoncellement des gravats de constructions en terre sont malheureusement réduites. « Les actions essentielles sont celles de proximité. Par la suite, sauf cas exceptionnels de personnes bloquées dans des trous d’air ou cavités, les chances de retrouver des survivants s’amenuisent fortement. Le temps qu’arrivent les secours internationaux, il est malheureusement déjà trop tard. Au nom de cette maigre chance de sauver des rescapés, le risque pour le Maroc est de perdre sa souveraineté », élabore Sylvie Brunel dans ses réponses au Figaro. La France perçue en cheval de Troie Aussi, la réitération d’un pays comme la France à proposer son aide de manière pressante (le président Emmanuel Macron y est revenu encore ce dimanche), alors que le Maroc, avec qui les relations sont glaciales, est en phase primaire d’action (déblaiement mécanisé des routes de montagne, projection héliportée des vivres aux rescapés…), a été davantage ressentie comme une tentative d’imposer une assistance de fait, sans conditions préalables. La réponse de Rabat a donc été de ne pas la prioriser tout en acceptant de la part d’autres « pays amis », à offres équivalentes, celles dénuées de soubassements politiques. « Quand un État subit une catastrophe, c’est à lui de demander de l’aide. C’est une question de souveraineté. Il n’est pas question pour les secours internationaux de se précipiter dans un pays », rappelle Brunel, qui cite dans son interview autant la polémique sur la perte de souveraineté d’Haïti au profit de Washington, que « la merveilleuse opportunité » attrapée au vol par Condoleeza Rice suite au tsunami qui a dévasté l’Indonésie en 2004, alors que l’image des Etats-Unis était passablement dégradée dans les pays musulmans après la Guerre du Golfe. Le Maroc reste, malgré la tragédie et son adversité, très attentif aux tentatives de récupération ou d’entrisme voire de mise en vassalité par une puissance condescendante, préférant adapter son calcul géopolitique au réalisme sur le terrain qui est d’éviter l’engorgement stérile des aides sur des routes de montagne sinueuses et encore difficilement carrossables. Il faut aussi savoir que l’assistance internationale n’équivaut jamais à un débarquement de moyens colossaux - sauf cas extrêmes - comme s’il s’agissait d’un envahissement armé avec une chaine logistique au sol et des appuis aériens pouvant couvrir une large portion de territoire. Encore une fois, le cas du séisme d’Al Haouz n’est pas à comparer avec un sinistre urbain, même de grande ampleur. Et aucun renfort ne peut se substituer aux capacités, notamment militaires dont dispose déjà le pays. En clair, si ce que propose la France (une escouade de secouristes) peut se trouver ailleurs en cas de besoin, le choix est vite fait. Et ce n’est évidemment pas un refus du concours international. La gestion « au compte-gouttes » débattue sans fin sur les plateaux de télévision de l’Hexagone tient en réalité d’un impératif d’organisation, au mieux des intérêts face aux contraintes, tout en se gardant d’ouvrir le territoire aux quatre vents. a écrit:
l'exemple du vautour, clochard d'Internet, assis dans le salon de sa nouvelle villa à Rabat, et qui bla-bla-blate sur tout et rien et en ramassant plein de likes des bounifs , TFOU
l'exemple du vautour, clochard d'Internet, assis dans le salon de sa nouvelle villa à Rabat, et qui bla-bla-blate sur tout et rien et en ramassant plein de likes des bounifs , TFOU
Ça était publié par hesspress hier en fin de matinée puis il on publié après sur twitter une photo de secouriste français bénévoles a aéroport ce prépare pour venir c'est de la manipulation. Je vous rappelle l époque des émigrés subsaharienne c un torchon qui manipule je vous invite à vérifier mes dir ( je viens de discuter de ça avec un membre du forum
Dernière édition par Boussayri.saad le Lun 11 Sep - 15:08, édité 1 fois
A tout ceux qui se demandent pourquoi c'est difficile qu'ils aillent bouger ces pierres eux même.
Le gouvernement doit communiquer pour que ça ne fasse pas caisse de résonance. Il doit dire pourquoi c'est difficile. Expliquer et détailler.
On se retrouve avec un mehdaoui et certains des membres ici entrain d'amplifier une réalité( certains villages non pas eu de secours rapidement) sans se demander pourquoi. C'est une catastrophe naturelle...aucun pays n'est prêt pour quelque chose d'une telle ampleur.
L'un des pays les plus équipés formés et prêt pour ce genre de situation peine à y faire face.
Exemple : en 2004 (a ne pas confondre avec celui de 2011) au Japon après un earthquake de 6.8 Richter et d'une intensité 9(sur un max de 10echelle shindo) , des jours après dans les montages des milliers de gens ont passé la nuit sous les décombres sans aide. Même dans les régions pas du tout montagneuse.
"There are so many people who are still isolated and waiting for assistance. This reality is very stark," Defence Minister Toshimi Kitazawa.
Layhdi Les vautours
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Moroccan Tankers Aspirant
messages : 500 Inscrit le : 27/04/2009 Localisation : casablanca Nationalité : Médailles de mérite :
L'expert marocain Ali Al-Karakibi, en charge de l'opération, a déclaré dans un message sur Facebook que l'électricité et l'internet ont été fournis aux zones touchées par le séisme via les satellites SpaceX et le réseau Starlink a écrit:
Non pour les gros blocs, l'explosif est le must et ca demande pas trop de moyens.
Un 4*4, un générateur diesel avec compresseur, un marteau piqueur, une perceuse XXL avec tige/mèche très résistante et du tnt. les explosions controlées ne font d'énormes splashes.
Non Fréro c'est pas si simple le plus simple c les des caterpillar de type D ( D pour démolisseur) c'est des monstres
La méthode frérot c'est quand ramène une pelleteuse avec un brise roche ils casse cassé la roche puis le D10 .... Ils pousse pour dégager la route.
Voilà la photo d'un brise roche et j'ai mis une autre D10 a échelle humaine pour voir le monstre que c .
non, je parle en connaissance de cause. J'ai déjà vu des équipes d'une ONG le faire après un énorme éboulement, pour désenclaver la région. Et c'était sous des pluies diluviennes, boues et risque d'éboulement. Là on est encore en temps sec.
Voici un exemple, c'est hyper rapide, et pas besoin de mettre une grosse charge. Il faut fractionner le rocher en plusieurs bloc après s'aider de moyens mécaniques ou humains pour déplacer les plus petits blocs sur le côté.
Il faut téléphoner ou envoyer des SMS automatiques à tous les téléphones qui bornent dans la région pour les prévenir.
Socket-error General de Division
messages : 6696 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Non pour les gros blocs, l'explosif est le must et ca demande pas trop de moyens.
Un 4*4, un générateur diesel avec compresseur, un marteau piqueur, une perceuse XXL avec tige/mèche très résistante et du tnt. les explosions controlées ne font d'énormes splashes.
Non Fréro c'est pas si simple le plus simple c les des caterpillar de type D ( D pour démolisseur) c'est des monstres
La méthode frérot c'est quand ramène une pelleteuse avec un brise roche ils casse cassé la roche puis le D10 .... Ils pousse pour dégager la route.
Voilà la photo d'un brise roche et j'ai mis une autre D10 a échelle humaine pour voir le monstre que c .
non, je parle en connaissance de cause. J'ai déjà vu des équipes d'une ONG le faire après un énorme éboulement, pour désenclaver la région. Et c'était sous des pluies diluviennes, boues et risque d'éboulement. Là on est encore en temps sec.
Voici un exemple, c'est hyper rapide, et pas besoin de mettre une grosse charge. Il faut fractionner le rocher en plusieurs bloc après s'aider de moyens mécaniques ou humains pour déplacer les plus petits blocs sur le côté.
Il faut téléphoner ou envoyer des SMS automatiques à tous les téléphones qui bornent dans la région pour les prévenir.
Frère je parle aussi en connaissance de cause le TNT c'est pas la bonne approche. Il y a un process c'est pas si simple. Un tunnel un barrage une carrière de sable normal ou .... C'est pas la même chose un grand caillou en plein route.