C'est juste un opportuniste qui surf sur la vague anti macron. il est par défaut à opposé à ce que fait ou dit Macron. il peut utiliser tous les effets de manche qu'il souhaite pr nous flatter, sa doctrine fondamentale reste contraire au système monarchique. et la gauche fr a tout le tps était très "rigide" à notre égard, Mitterand, hollande, macron(qui est de gauche, il faut le rappeler)... il faudrait être naïf pour attendre quelque chose de positif de la part d'un quelconque membre la gauche fr. leur paternalisme est encore plus insultant que l'agressivité des politiques de droite. Donc oui, il y a des règles de base qui régissent les doctrines, échanges, communications, partenariats entre les pays, systèmes, régimes, institutions and co et derrière la haine folie etc, il y a toujours un objectif politique très clair pr ceux qui arrivent à le voir.
Un coup il fait ça pour surfer sur l'anti macronisme et ensuite finalement c'est pour nous flatter ..
Ensuite moi j'ai vu personne ici qui attendait quoi que ce soit de la gauche française. Prêter à ses interlocuteurs des propos ou des pensées qu'ils n'ont jamais eu, si c'est pas un signe de faiblesse ..
Et sinon de gaulle, qui a non seulement signé la création du harkiland sur une partie du Maroc et qui a ensuite permis la création de la Mauritanie là encore, sur le dos du Maroc, il était d'extrême gauche. Et Sanchez, en Espagne, il est de droite ? Et aznar, il est de gauche ?
_________________ Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.
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Shugan188 Modérateur
messages : 5668 Inscrit le : 12/05/2015 Localisation : Maroc Nationalité : Médailles de mérite :
ah oui ,j'ai oublié que la fr n'a pas le même calibre que la Russie, Allemagne et le japon, Danemark, Qatar, Somalie Soudan,..... les gars du protocole vont trouver un poule à la hauteur de l'ambassadeur de macron 1er.
et puis, il y a pas mieux qu'après le déroulement des réunions du CS pour démarrer une nouvelle page...... ou la déchirer carrément !!!!
Bolden Lieutenant
messages : 749 Inscrit le : 14/12/2020 Localisation : Centre France Nationalité :
Il y a eu une longue période ou le Maroc avait plus besoin de la France que l'inverse. Les choses sont entrain de s'équilibrer, voire de s'inverser, et la pilule a beaucoup de mal à passer à Paris.
Quand un pays issu du "tiers-monde", arrive à obtenir ce genre de rapport avec des supposées super-puissances, le tout sans la moindre goutte de pétrole, de gaz, d'uranium, de métal précieux ou autres, ce donne une bonne idée de la valeur de ce pays et de ceux qui le gouvernent.
_________________ Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.
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Fox-One General de Division
messages : 8026 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sincèrement, je porte pas la france dans mon cœur, mais la, je sens comme même que ont va loin là, J pas toutes les données comme celle a la disposition des Hommes d'Etat, je ne porte ici que mon avis de simple apprenti en politique et pro Nationaliste, mais faut pas cracher sur l'avenir, car ont sait pas de quoi ils seront faites les alliances et les intérêts de demain ou de l'année prochaine.
Ce que je pense a mon simple avis, le Maroc donne a la france une ultime et dernière chance de reconnaître officiellement la Marocaine des territoires Marocains contestés en Nation Unies, ou il y a plus rien dorénavant
Fox-One General de Division
messages : 8026 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Les autorités sanitaires au port de Tanger MED bloquent un navire en provenance de Marseille pour raison de presence de poux de lit parisiennes a bord, mes autorisés activement un protocole de veille et de désinfection sanitaire au préalable de permettre aux voyageurs et marchandises de débarquer .
On doit aussi lâcher gazer les aérosols dans les avions arrivant de France...vous savez cette pratique ô combien honteuse et discriminatoire que certains pays imposent comme si on a des insectes ravageurs qui viennent du Maroc.
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Ne vous vexez pas cher monsieur, il est tout a fait de mon droit de considérer que Melenchon reste malgré tout un clown dont le mouvement est un soutien clair du Polisario. que vous soyez vous meme en admiration face a melenchon est tout a fait de votre droit, quoique cela dénote d'une certaine attraction pour des discours populistes qui plaisent aux masses souvent paumées.... ne vous sentez pas obligé de le défendre. J'ai bien précisé depuis le début que je parlais de la gauche fr et pr rappel, c'est avec le gvrnment de Guy mollet et Mendes france (gauche) que ns avons "négocié" notre indépendance etc...
Citer l'Espagne comme exemple dénote d'un manque flagrant de maitrise des différentes subtilités politiques dans la mesure ou ce sont des chefs de gouvernements au sein d'une monarchie. Mais cela va sans dire qu'il s'agit sûrement d'une petite omission de votre part en raison d'un énervement injustifié suite à une critique à l'encontre de votre héros. Je tiens a m'excuser d'avance si je vous ai prêté un quelconque propos qui ne fut pas le votre, et je ne permettrai pas de considérer vos insinuations agressives comme une quelconque forme de faiblesse de votre part. Bien à vous.
Bolden a écrit:
omar1983 a écrit:
C'est juste un opportuniste qui surf sur la vague anti macron. il est par défaut à opposé à ce que fait ou dit Macron. il peut utiliser tous les effets de manche qu'il souhaite pr nous flatter, sa doctrine fondamentale reste contraire au système monarchique. et la gauche fr a tout le tps était très "rigide" à notre égard, Mitterand, hollande, macron(qui est de gauche, il faut le rappeler)... il faudrait être naïf pour attendre quelque chose de positif de la part d'un quelconque membre la gauche fr. leur paternalisme est encore plus insultant que l'agressivité des politiques de droite. Donc oui, il y a des règles de base qui régissent les doctrines, échanges, communications, partenariats entre les pays, systèmes, régimes, institutions and co et derrière la haine folie etc, il y a toujours un objectif politique très clair pr ceux qui arrivent à le voir.
Un coup il fait ça pour surfer sur l'anti macronisme et ensuite finalement c'est pour nous flatter ..
Ensuite moi j'ai vu personne ici qui attendait quoi que ce soit de la gauche française. Prêter à ses interlocuteurs des propos ou des pensées qu'ils n'ont jamais eu, si c'est pas un signe de faiblesse ..
Et sinon de gaulle, qui a non seulement signé la création du harkiland sur une partie du Maroc et qui a ensuite permis la création de la Mauritanie là encore, sur le dos du Maroc, il était d'extrême gauche. Et Sanchez, en Espagne, il est de droite ? Et aznar, il est de gauche ?
Officiellement, le Maroc n'a tenu absolument aucun propos déplacé à l'égard de la france, ni aucune action allant à l'encontre de ses intérêts. Les autorités se sont contentées de garder un silence poli. Par contre l'histoire retiendra que nous avons eu droit à un déchainement de violence verbale, mépris, dénigrement a l'égard des institutions, du peuple et des dirigeants de ce pays par les médias et les dirigeants français. Il était temps de crever l'abcès et sortir d'une relation toxique qui nous a plus porté préjudice qu'autre chose en fin de compte. La plus grande gifle est surtout destinée aux abrutis de chez nous qui voyaient mama franssa comme la mère nourricière et qui passaient leur tps a dénigrer notre pays pour cela... ils peuvent royalement aller se faire f..tre maintenant
Nous jouons sr le long terme, l'actuelle administration de stagiaires fera ses cartons ds moins de 4ans... le tps passe vite et nous avons une bonne mémoire
Fox-One a écrit:
Sincèrement, je porte pas la france dans mon cœur, mais la, je sens comme même que ont va loin là, J pas toutes les données comme celle a la disposition des Hommes d'Etat, je ne porte ici que mon avis de simple apprenti en politique et pro Nationaliste, mais faut pas cracher sur l'avenir, car ont sait pas de quoi ils seront faites les alliances et les intérêts de demain ou de l'année prochaine.
Ce que je pense a mon simple avis, le Maroc donne a la france une ultime et dernière chance de reconnaître officiellement la Marocaine des territoires Marocains contestés en Nation Unies, ou il y a plus rien dorénavant
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Bolden Lieutenant
messages : 749 Inscrit le : 14/12/2020 Localisation : Centre France Nationalité :
Parce que vous avez imaginez la possibilité que je puisse être vexer par vous ? Je suis par sur qu'on est la même conception de FAR-MAROC, à la base je ne suis pas là pour faire la promotion de ma personne, et faire l’étalage de l'opinion que j'ai de moi-même, relisez mes messages, mais bien pour échanger, dialoguer.
Pour appuyer mes propos ou convaincre, j'ai toujours argumenté, défendu mes idées sans jamais avoir eu besoin d'insulter ou de m'en prendre directement aux personnes sur ce forum.
De votre coté, en deux messages, vous avez montré que vous n'êtes pas dans la capacité de dialoguer sans insulter vos interlocuteurs d'aveugle ou de naïf, et sans attaquer les personnes ("vous soyez vous même en admiration [....] d'un manque flagrant de maitrise [....] votre héros").
Bref, ça m'apprendra, j'ai eu le tort de vous répondre, vous ne m'y reprendrez plus.
_________________ Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.
Libre à vous d'interpréter mes propos comme bon vous semble, à aucun moment je n'ai fait la promotion de ma personne, je ne vous ai en aucun cas manqué de respect ou insulté, j'ai seulement fait remarquer que votre argumentation laissait à désirer. Votre conception du dialogue est "particulière". Un échange interessant ne veut pas forcément dire que nous devons penser la même chose. je vous prie de bien vouloir m'excuser si les faits historiques que j'ai rappelé ne vous conviennent pas. en ce qui me concerne je resterai a votre disposition pour un échange constructif ou si vous avez besoin que l'on vous rappel des définitions, concepts etc.
Enfin, pour rester dans l'actualité, je vous invite à lire/écouter ce que Bernard Lugan (droite dure, voire meme extreme droite) pense du Maroc. (cf ci-dessous)
Parce que vous avez imaginez la possibilité que je puisse être vexer par vous ? Je suis par sur qu'on est la même conception de FAR-MAROC, à la base je ne suis pas là pour faire la promotion de ma personne, et faire l’étalage de l'opinion que j'ai de moi-même, relisez mes messages, mais bien pour échanger, dialoguer.
Pour appuyer mes propos ou convaincre, j'ai toujours argumenté, défendu mes idées sans jamais avoir eu besoin d'insulter ou de m'en prendre directement aux personnes sur ce forum.
De votre coté, en deux messages, vous avez montré que vous n'êtes pas dans la capacité de dialoguer sans insulter vos interlocuteurs d'aveugle ou de naïf, et sans attaquer les personnes ("vous soyez vous même en admiration [....] d'un manque flagrant de maitrise [....] votre héros").
Bref, ça m'apprendra, j'ai eu le tort de vous répondre, vous ne m'y reprendrez plus.
Fahed64 Administrateur
messages : 25545 Inscrit le : 31/03/2008 Localisation : Pau-Marrakech Nationalité : Médailles de mérite :
I'm chilling I just don't appreciate being bullied... France fans needs to open a little bit their eyes Sorry for the inconvenience, I can erase my messages if you think they're offensive in a way or an other
Fahed64 a écrit:
Chill out guys !
Fox-One General de Division
messages : 8026 Inscrit le : 20/09/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 3 Oct - 6:57
Si l’absence de l’ambassadeur de France à l’audience royale accordée à certains de ses pairs ce 2 octobre illustre la crise profonde et persistante entre Rabat et Paris, celle tout aussi remarquée de son collègue américain interroge. Elle coïncide avec un raidissement des relations entre le Maroc et les Etats-Unis à la veille de consultations onusiennes sur le dossier du Sahara
Les relations avec Paris, déjà exécrables et davantage détériorées par la couverture médiatique faites par certaines rédactions françaises du séisme du 8 septembre, jugée attentatoire à l’image du Maroc et à ses institutions, ajouté à cela le dernier couac autour des propos de la locataire du Quai d’Orsay, Catherine Colonna, expliquent l’absence de l’ambassadeur de France, Christophe Lecourtier parmi ses collègues reçus en audience royale, ce 2 octobre. D’ailleurs Rabat n’a plus d’ambassadeur sur les bords de Seine. Mais le fait que celui des Etats-Unis, Puneet Talwar ne fasse pas non plus partie de la cohorte soulignerait aussi l’existence de tensions palpables entre le royaume et son allié américain.
Jusqu’ici, l’axe Rabat-Washington, renforcé par la reconnaissance américaine, sous le mandat du président Donald Trump, de la souveraineté du Maroc sur le territoire du Sahara Occidental n’a pas été altéré, du moins publiquement, sous celui de son successeur, Joe Biden. Quoique l’enthousiasme autour de l’accord trilatéral conclu avec Israël dans le cadre des Accords d’Abraham n’a pas été au rendez-vous de la part de la diplomatie américaine, il n’y a pas eu de remise en cause de cette reconnaissance, que ce soit par la Maison Blanche ou le Département d’Etat.
Pressions américaines
Reste cependant que la position des Etats-Unis s’est cantonnée à encourager que la résolution du différend régional puisse progresser dans le cadre onusien, appuyant de manière plus énergique la mission de Staffan De Mistura, l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations Unies. En parallèle, la diplomatie d’Antony Blinken n’a pas concrétisé l’ouverture du consulat américain à Dakhla et a même dépêché dans les camps de Tindouf, Joshua Harris, son responsable pour l’Afrique du Nord pour s’entretenir avec Brahim Ghali, le chef du Polisario.
Par la suite, à Rabat, Harris a insisté auprès de Nasser Bourita sur « l’esprit de pragmatisme et de compromis » attendu du Maroc à l’endroit de De Mistura : Washington ayant pesé de son poids pour que l’émissaire onusien puisse se rendre enfin à Laâyoune et Dakhla.
Les Etats-Unis se montrent ainsi davantage pressants à l’endroit du Maroc, tout en continuant de considérer le plan d’autonomie du Maroc comme « sérieux, crédible et réaliste, et comme une approche potentielle pour répondre aux aspirations du peuple du Sahara occidental ». Mais la diplomatie américaine a aussi modifié son wording sur l’objectif de la mission de De Mistura qui devrait tendre selon elle à « la recherche d’une solution politique durable et digne au conflit du Sahara occidental », faisant manifestement allusion à la situation des droits de l’Homme qui prévaut dans le territoire et dont le monitoring onusien a toujours été refusé par Rabat.
Echéances au Conseil de sécurité
Le momentum de cette évolution est particulièrement significatif : le Conseil de sécurité devrait renouveler le mandat de la Mission des Nations Unies pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO), qui expire le 31 octobre. Auparavant, les membres du Conseil devraient également recevoir un exposé lors de consultations (les 11 et 16 octobre) sur le rapport annuel du Secrétaire général consacré à la situation dans le territoire, que les États membres ont dû obtenir copie préliminaire à date du 2 octobre.
Si rien ne filtre encore sur la posture que compte adopter Washington, pen holder des résolutions du Conseil sur le Sahara, le pressing sur le Maroc pour s’engager à reprendre le cycle des négociations avec le Polisario sous l’égide des Nations Unies ne fait pas de doute. Jusqu’ici, la diplomatie marocaine a réitéré le fait que seule l’option de l’autonomie sous sa souveraineté, qu’elle défend depuis 2007, pourrait faire l’objet de discussions avec la participation de l’Algérie comme partie principale impliquée dans le conflit.
Selon nos informations, le sujet a pu être discuté lors de l’échange téléphonique du 18 septembre entre Joe Biden et Mohammed VI « dans un sens qui n’est pas à la hauteur des attentes du Maroc ». Officiellement, et selon les readouts publiés autant par la Maison Blanche que par le Palais royal, la conversation a porté sur les condoléances présentées au Roi par le président américain à la suite du tremblement de terre au sud de Marrakech qui a fait près de 3 000 morts, et sa proposition d’aide d’un million de dollars pour participer aux efforts de secours et pour œuvrer à la réhabilitation des zones sinistrées. Dans son communiqué, le Département d’Etat a souligné que le Roi n'a pas immédiatement réagi à ces propositions, mais les deux dirigeants ont convenu de « rester en contact ».
Un message frontal à l’ONU…
Le 26 septembre, le Maroc réduisait son intervention à l'Assemblée générale des Nations Unies au niveau d'ambassadeur, étant l'un des six pays à avoir opté pour ce format dans le forum le plus important de la diplomatie mondiale. C'est la première fois depuis de nombreuses années que le Maroc opte pour une représentation aussi faible, ne profitant pas pleinement de la tribune de l'Assemblée générale pour la diplomatie de haut niveau : cette année, 137 chefs d'État ou de gouvernement étaient présents à New York.
La raison pour laquelle le Maroc a choisi de réduire sa représentation cette année est inconnue alors qu’il insiste pour que le conflit soit débattu que dans le strict cadre de l'ONU.
A cet égard, l'ambassadeur Omar Hilale a réitéré la position du Royaume selon laquelle l'autonomie du Sahara, « dans le cadre de l'intégrité territoriale du Maroc, est la seule solution à ce conflit régional fabriqué ». Ce n'est que sur cette base, a-t-il dit, que l'on peut imaginer la tenue éventuelle de « tables rondes » entre les parties au conflit à l'avenir, mais il a souligné que l'Algérie doit être incluse dans ces réunions en tant que « principale partie à ce conflit ».
L’ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès de l’ONU a, par ailleurs, indiqué que le Maroc fait de nouveau part de « sa profonde préoccupation quant à la situation humanitaire catastrophique dans les camps de Tindouf, où le pays hôte, l’Algérie, a cédé ses pouvoirs, de manière illégale, à une milice séparatiste armée aux liens avérés et confirmés avec des réseaux terroristes et criminels », a rapporté pour sa part l’agence officielle MAP.
…un autre crypté pour Washington ?
Le lendemain débutait sur un obscur site internet souverainiste français la publication d’une « enquête » en trois volets décrivant les liens commerciaux interlopes entre Mouloud Saïd, représentant du mouvement Polisario aux États-Unis et l'homme d'affaires mauritanien Yacoub Sidya, accusé d'activités illégales. Saïd y est associé à la société Phoenix Metals de Sidya, elle-même en connexion avec Nordgold, une société minière appartenant au milliardaire russe sanctionné, Alexei Mordashov.
« En d'autres termes, le représentant du Polisario à Washington est en lien avec des personnes sanctionnées par le Trésor américain, en l'occurrence, un milliardaire russe. Il s'est avéré que ces liens commerciaux s'accompagnaient de liens personnels : par exemple, la sœur de Yacoub Sidya est mariée à un cousin du chef du Polisario, Brahim Ghali », peut-on lire de la série d’articles illustrés d’infographies pour la plupart en anglais et de divers documents tirés d’internet… https://mobile.ledesk.ma/enclair/coup-de-froid-dans-les-relations-maroco-americaines/
Désolé pour le format de postage je le fais depuis mon téléphone
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
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Bolden Lieutenant
messages : 749 Inscrit le : 14/12/2020 Localisation : Centre France Nationalité :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 3 Oct - 12:34
Salam Ssi Bruce.
Le Desk toujours pareil. Toujours des pseudo revelations qui se veulent frissonnantes voire inquiétantes, tout ça à base de quasi rien du tout ("selon nos informations" [...]"selon un obscur site français") et avec comme seul but de rameuter la populace et les publicitaires.
Si ce conflit avait du être jugé à l'aune des articles de ces gens, le drapeau des chiens de l'est flotterait depuis des décennies sur Dakhla.
_________________ Le Maghrib tout entier (al-Maġhrib al-aqsá bi-jumlati-hi) s’est mis en mouvement, le fond des vallées s’est rempli, les pentes ont déversé le tumulte de ce torrent impétueux. @ Abd Al Mu'min, 1158.
RÉCIT« France-Maroc, les lésions dangereuses » (1/3). « Le Monde » consacre une série d’articles au sujet des tensions entre les deux pays. Premier volet : les frictions dans la relation bilatérale, révélatrices des rapports médiocres qu’entretiennent le roi Mohammed VI et le président Emmanuel Macron. L’heure n’est plus au constat du désamour, maintes fois dressé depuis environ deux ans. Elle est à l’interrogation anxieuse, à Rabat comme à Paris : jusqu’où cela ira-t-il ? Comment enrayer l’escalade de l’animosité entre les deux capitales, jadis unies dans un « partenariat d’exception », modèle de connivence postcoloniale ?
A chaque fois qu’un répit se dessine, l’acrimonie s’enflamme de plus belle. Avec son terrible bilan humain – environ 3 000 morts et 5 600 blessés –, le séisme qui a frappé le Haut Atlas, le 8 septembre, aurait dû, en toute logique, apaiser les esprits. Or, c’est le contraire qui s’est produit : le schisme s’est aggravé. Après la vague antifrançaise en Afrique de l’Ouest, le Maroc est-il le prochain domino sur la carte ?
« Pourquoi le roi Mohammed VI irrite tant l’Etat profond français », titrait, le 20 septembre, le journal en ligne Le 360 – proche du palais – dans une charge contre un traitement médiatique du séisme en France jugé « hystérique » et qui, à ses yeux, ne peut être que manigancé depuis l’Elysée. La France, pouvoir et médias confondus, chercherait ainsi à se venger du royaume pour son « indépendance vis-à-vis de l’ancienne puissance coloniale », et notamment son choix « souverain » de n’avoir retenu l’offre d’assistance que de quatre Etats – Espagne, Royaume-Uni, Qatar et Emirats arabes unis – en ignorant Paris.
Lire aussi l’enquête : Article réservé à nos abonnés Comment la France est devenue indésirable dans le Sahel
Ajouter à vos sélections Au Maroc, certains débats télévisés parisiens aux étranges intitulés – « Le Maroc peut-il s’en sortir sans l’assistance de la France ? » – ont assurément choqué. La propagande du régime ne s’est pas privée d’exploiter ces accents paternalistes pour disqualifier l’ensemble de la presse française, décrite comme un bloc hostile (« une meute » « insultant » la monarchie marocaine), parce qu’elle s’interrogeait apparemment trop sur les retards des secours de la première journée, celle du 9 septembre, ou sur la réaction de Mohammed VI. Et quand Emmanuel Macron a souhaité que « les polémiques qui viennent diviser puissent se taire », il n’a fait, bien malgré lui, qu’envenimer la querelle. Son message vidéo maladroit, s’adressant « directement aux Marocains et aux Marocaines » – avec sous-titrage en arabe –, a été perçu comme une violation des usages protocolaires, « défiant le roi », ont fustigé les médias du royaume.
Qui eût imaginé qu’une catastrophe naturelle puisse déraper dans pareille aigreur ? Fallait-il que la relation franco-marocaine soit à ce point devenue une matière inflammable ? Le terrain bilatéral est-il si miné que chaque geste officiel ou chaque article de presse, objet d’une exégèse soupçonneuse, voire paranoïaque, à Rabat, relance un nouveau cycle de controverses comme dans une spirale infernale ?
Que s’est-il donc passé entre les deux capitales pour que le fameux 360, organe lié à Mounir Majidi, secrétaire particulier du roi, radicalise, le 21 septembre, ses attaques personnelles contre M. Macron sous la forme d’un article titré « “Un peu homme, un peu femme”, mais il n’assume rien : qui est vraiment Emmanuel Macron ? », saturé d’allusions à une homosexualité présumée ?
Rares contacts officiels
Un autre, à la trivialité tout aussi scabreuse, suivra aussitôt sur la relation entre les présidents algérien et français : « Tebboune-Macron, un couple sado-maso ? ». Quelques jours plus tôt, l’hebdomadaire français L’Express avait publié un article sur « Mohammed VI, sa vie cachée en France ». La réplique est transparente. Œil pour œil, dent pour dent. On en est là.
Et qu’importe si la presse française n’écrit pas sous la dictée de l’Elysée : Rabat, où les médias sont muselés, feint de n’en rien croire et se persuade que M. Macron est à la manœuvre. « La grande manipulation téléguidée par l’entourage du roi en est marche », pointe Omar Brouksy, journaliste et professeur marocain de droit constitutionnel à l’université de Settat (Casablanca).
Vidéos Le Monde Afrique sur Youtube Chaque semaine, des vidéos pour comprendre l’actualité du continent Regarder La crise est profonde, c’est un euphémisme. « Le fossé qui sépare les autorités françaises et marocaines se creuse et s’approfondit à vue d’œil », avertit Hespress, autre organe proche du palais, qui prévient que « les deux pays vont devoir gérer un long hiver dans leurs relations ».
Les températures sont, il est vrai, déjà polaires. Le Maroc n’a plus d’ambassadeur à Paris depuis le 19 janvier. La date ne doit rien au hasard. Ce jour-là, le Parlement européen, rompant avec des années de bienveillance à l’égard de Rabat, adoptait une résolution critiquant les atteintes à la liberté de la presse au Maroc. Le contexte était adverse pour le royaume chérifien alors que grondait depuis quelques semaines à Bruxelles le « Qatargate », aussitôt associé à un « Marocgate », scandales de corruption impliquant des eurodéputés et révélant la part d’ombre des stratégies d’influence des deux Etats.
Si l’affaire de la résolution européenne a été considérée à Rabat comme un coup bas de Paris, c’est que le texte a été porté, entre autres, par le groupe Renew, présidé par Stéphane Séjourné, proche d’Emmanuel Macron. Aux yeux des Marocains, la cause était entendue : l’Elysée conspire bel et bien contre leur pays. Les contacts officiels, dès lors, se raréfient, s’ils ne sont pas rompus.
Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Le Sahara occidental, litige en souffrance entre Paris et Rabat
Ajouter à vos sélections Au refus de nommer un nouveau représentant marocain à Paris s’ajoute le traitement réservé à l’ambassadeur français à Rabat, Christophe Lecourtier, snobé par les autorités du pays hôte. L’atmosphère s’était pourtant détendue cet été avec un échange téléphonique, le 21 août, entre Mohammed VI et Emmanuel Macron. L’heure semblait au dégel, d’autant que l’impasse de la relation avec l’Algérie, malgré les ouvertures de l’Elysée, poussait certains conseillers du président français à vouloir redoubler d’efforts vis-à-vis du Maroc afin d’éviter de perdre sur les deux tableaux. La rechute, précipitée par les controverses autour du séisme du Haut Atlas, n’en a été que plus brutale.
Coups de grisou
Les plus optimistes arguent que ce n’est pas la première fois qu’un « long hiver » a congelé la relation bilatérale. De virulentes fâcheries avaient déjà opposé les deux capitales. Il n’est que de se souvenir de l’enquête sur l’affaire Mehdi Ben Barka – cet opposant marocain disparu en 1965 à Paris après avoir été enlevé par les services marocains avec la complicité d’agents français – ou de la parution, en 1990, du livre Notre ami le roi (Gallimard), brûlot de Gilles Perrault contre la dictature d’Hassan II (1961-1999), le père du souverain actuel.
Plus récemment, en 2014, le Maroc avait suspendu sa coopération judiciaire après la convocation par un juge français d’Abdellatif Hammouchi, le patron de la direction générale de la surveillance du territoire, visé par une plainte pour complicité de torture déposée sur le sol français par des citoyens marocains. Paris avait dû faire amende honorable au bout d’un an, exonérant de facto le Maroc de la compétence universelle des tribunaux français. Dans le contexte des attentats de janvier 2015 contre Charlie Hebdo, l’impératif de renouer avec la collaboration de Rabat en matière antiterroriste s’était imposé à toute autre considération.
A chaque coup de grisou, les deux capitales avaient fini par trouver le ressort d’une réconciliation. Cette fois, les choses sont plus compliquées. Deux décrochages semblent être à l’œuvre, l’un nourrissant l’autre, rendant le Maroc de 2023 très différent de celui auquel la France avait dû faire face il y a encore une décennie.
Lire aussi l’analyse : Article réservé à nos abonnés Le délicat jeu d’équilibre de la France au Maghreb
Ajouter à vos sélections Le premier décrochage est d’ordre stratégique. Il tient dans le raidissement de la posture de Rabat depuis le « deal » de Donald Trump de décembre 2020, au terme duquel Washington reconnaissait la « marocanité » du Sahara occidental en échange de la normalisation diplomatique entre le Maroc et Israël. Enhardi – parfois jusqu’à l’hubris – par l’adoubement américain, le Maroc a fait monter les enchères vis-à-vis de ses autres partenaires sur le dossier sahraoui. Ceux-ci – France en tête – sont invités à valider formellement la souveraineté du Maroc sur le territoire que lui disputent depuis 1975 les indépendantistes du Front Polisario avec le soutien d’Alger.
Mais les Français demeurent prudents afin d’éviter de s’aliéner l’Algérie à un moment où M. Macron s’est lancé dans une tentative de réconciliation avec cette dernière. A Rabat, on ne comprend guère l’hésitation de Paris, dans la mesure où le dossier sahraoui n’a pas le même statut au Maroc qu’en Algérie. « Là où, pour le Maroc, le Sahara occidental est l’affaire d’un peuple et de son roi, en Algérie, il n’est qu’un enjeu d’équilibre entre les clans au pouvoir, souligne Ali Bouabid, délégué général de la Fondation Abderrahim Bouabid et figure historique de la gauche marocaine. Il est temps que la France se prononce sans se sentir obligée de ménager l’Algérie. » L’inflexibilité du Maroc sur la question se nourrit d’une nouvelle représentation de lui-même, celle d’une puissance régionale émergente, à la diplomatie décomplexée.
« On n’a pas oublié »
Là est le deuxième décrochage, celui des imaginaires. La crise des restrictions de visas, qui aura duré plus d’un an, l’a parfaitement illustré. En septembre 2021, le gouvernement français annonçait une réduction drastique dans l’octroi des visas aux ressortissants des pays du Maghreb, une mesure de représailles face à la mauvaise volonté imputée aux autorités consulaires de ces Etats à réadmettre leurs migrants en situation irrégulière sur le sol français. Le but était d’imposer un taux de refus de 50 % aux demandes de visa pour les Marocains et les Algériens, et de 30 % pour les Tunisiens.
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Ajouter à vos sélections Si la sanction a été vécue au Maroc comme une véritable « humiliation » – terme qui revient dans toutes les bouches –, c’est que ses élites étaient les plus imbriquées dans le tissu social, professionnel et culturel de l’Hexagone. L’ère de leur relative liberté de circulation entre les deux rives de la Méditerranée – le taux de refus n’était que de 18 % pour les demandeurs marocains de visa en 2019 – a paru se refermer. Déchirante désillusion pour cette élite francophone et francophile, soudain traitée comme une menace et qui s’est alors mise à rêver à des horizons de substitution, notamment anglo-saxons. Suprême paradoxe que ce ressentiment contre la France, traditionnellement confiné aux courants islamistes et nationalistes et qui s’élargissait soudain à ceux-là mêmes qui avaient été les meilleurs véhicules de sa culture au Maroc.
Certes, Paris a pris la mesure de la maladresse et a rectifié le tir. Le dispositif restrictif dans les trois pays du Maghreb a été levé en décembre 2022. Dans la foulée, l’activité consulaire a repris à plein régime au Maroc, avec un taux de refus ramené en 2023 à un niveau inférieur à 18 %, soit un retour au statu quo ante. Mais l’affaire a laissé des traces. « On n’a pas oublié la mesure vexatoire », dit M. Bouabid. Le sentiment de rejet éprouvé à ce moment-là s’est arrimé à la montée d’un nationalisme de plus en plus désinhibé, qui se manifeste désormais en toute occasion : débat sur la « marocanité » du Sahara occidental, exploits de l’équipe nationale de football lors de la Coupe du monde au Qatar (décembre 2022) et, plus récemment, le séisme du Haut Atlas marqué par un élan de solidarité exceptionnel au sein de la population : « La marque d’un ethos commun qui prend forme et se révèle être un puissant ferment de cohésion sociale », résume M. Bouabid.
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Ajouter à vos sélections Que la France ait pâti de cette affirmation n’est pas totalement fortuit. « Il se joue en ce moment au Maroc un processus d’émancipation, décrypte Hicham Chamekh, psychanalyste à Rabat. Les Marocains veulent sortir d’un lien avec la France marqué par un certain paternalisme et une posture de domination, voire d’infantilisation. »
Et cette prise de distance ne peut être que confortée par le malentendu autour de la figure du roi Mohammed VI. Quand la presse française entend exercer son droit légitime à s’intéresser aux activités du monarque, et ce d’autant qu’il réside souvent dans son hôtel particulier du Champ-de-Mars, à Paris, et dans son château de l’Oise, pareille curiosité journalistique est vécue par nombre de Marocains comme déplacée, voire blessante. « Il y a une incompréhension en France autour des liens entre les Marocains et le roi, observe Taoufiq Boudchiche, économiste et diplomate. La monarchie est une institution perçue ici comme un recours, une entité qui sécurise. Offenser le roi, c’est offenser tous les Marocains. » Et quand bien même la presse française n’y voit aucune « offense », le statut sacré du roi, « commandeur des croyants », inspire au Maroc une sensibilité bien différente, symptôme du fossé psychologique et émotionnel entre les deux pays.
Jusqu’où ira la brouille ?
Le même gouffre semble séparer l’Elysée et le palais royal. La brèche a été ouverte par le scandale Pegasus, du nom de ce logiciel espion israélien grâce auquel les services marocains auraient notamment sélectionné le numéro d’Emmanuel Macron pour un potentiel piratage. Source d’un conflit personnel entre les deux chefs d’Etat, l’affaire explique pour une grande part la gravité de la crise en cours. L’Elysée n’a jamais publiquement confirmé les révélations de l’enquête menée par un consortium de dix-sept médias internationaux sur la base de données obtenues par l’organisation Forbidden Stories et par Amnesty International. Le président français n’en a pas moins demandé des explications à Mohammed VI lors d’un échange téléphonique qui a tourné court, selon le romancier franco-marocain Tahar Ben Jelloun, qui affirme tenir l’information d’une source du palais. « Le roi a donné sa parole d’honneur à Macron qu’il ne l’avait pas fait écouter, rapporte M. Ben Jelloun au Monde. Or M. Macron ne l’a pas cru, il lui a manqué de respect. L’entretien s’est arrêté net. »
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Ajouter à vos sélections A la suite de l’incident, le roi a refusé de décrocher son téléphone à moult reprises lors d’appels du président français, d’après plusieurs sources. Cette quasi-rupture du contact a laissé pourrir les divers litiges qui s’empilaient inexorablement. Dialogue de sourds. Quand, à Paris, on ne comprenait pas le « déni » marocain – « Nous avons obtenu plus d’explications d’Israël que du Maroc », déplore un officiel français familier du dossier –, les Marocains s’indignaient que l’on pût s’indigner. « C’est un peu le délit de sale gueule, relève un homme d’affaires marocain. En somme, on nous accuse – “Comment vous, pays émergent, avez-vous osé espionner un pays puissant ?” –, alors que la pratique dans l’autre sens est monnaie courante. »
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Ajouter à vos sélections Jusqu’où ira donc la brouille ? Ceux qui se refusent à envisager le pire mettent en avant l’étroitesse de la relation humaine, culturelle et économique, matelas amortisseur de crise. Le Maroc envoie 45 000 étudiants en France – le premier contingent d’étudiants étrangers dans l’Hexagone – et accueille sur son sol des établissements français scolarisant 46 500 élèves (dont deux tiers de Marocains). En outre, le royaume est devenu le lieu de résidence de 51 000 Français enregistrés auprès des consulats, un chiffre à doubler si l’on comptabilise les binationaux, tandis que la diaspora d’origine marocaine en France s’élève à environ 1,3 million de personnes. Et, sur le plan économique, la France est le premier investisseur étranger (en stock) au Maroc, avec un tiers du total. Bref, une imbrication sans équivalent dans l’ex-empire colonial français. Combien de temps encore fracture politique et proximité humaine vont pouvoir se conjuguer ? La première finira-t-elle par avoir raison de la seconde, ou la seconde s’imposera-t-elle à la première ? Frédéric Bobin Rabat, envoyé spécial
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 3 Oct - 15:40
Frédéric Bobin article de merrrrde oua siiir tkaou.............. Journaliste de merde nostalgie de la gauche coloniale. Il banalise l attitude France. Et et donne une impression d une réaction disproportionné et anormal du Maroc Yamchi yl3ab
Dernière édition par Boussayri.saad le Mar 3 Oct - 15:50, édité 1 fois
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Zakaria Commandant
messages : 1163 Inscrit le : 17/11/2021 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 3 Oct - 15:42
Franchement il faut boycotter les articles de la presse française plus inutile tu meurs en particulier la presse de gauche
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Stinger Colonel
messages : 1748 Inscrit le : 18/06/2020 Localisation : Paris Nationalité :
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 3 Oct - 15:57
Boussayri.saad a écrit:
Frédéric Bobin article de merrrrde oua siiir tkaou.............. Journaliste de merde nostalgie de la gauche coloniale. Il banalise l attitude France. Et et donne une impression d une réaction disproportionné et anormal du Maroc Yamchi yl3ab
Ce journal de merde edt la voix de l'état profond français qui n'assume pas qu'il a les journalistes au garde à vous mais peu à peu j'ai l'impression qu'il commence à se faire à l'idée en france que ce n'est plus un choix mais une nécessité de reconnaître la souveraineté de notre terre
Merci @omar1983 pour nous avoir débloquer l'article
Sujet: Re: Diplomatie marocaine - Relations internationales Mar 3 Oct - 16:12
Cette phrase est magnifique :
LaM..de.fr a écrit:
La brèche a été ouverte par le scandale Pegasus, du nom de ce logiciel espion israélien grâce auquel les services marocains auraient notamment sélectionné le numéro d’Emmanuel Macron pour un potentiel piratage.
Il faut juste se souvenir que ce torchon était convaincu de ça pendant la campagne pegasus.
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