Dans la quiétude verdoyante de Sala Al Jadida, aux abords de la rocade Rabat-Salé, s’est soudainement dressé, fin 2021, un édifice flambant neuf, couvrant plusieurs hectares de terrain. En moins de huit mois seulement, les murs de la Faculté de gouvernance, sciences économiques et sociales (FGSES), annexe de l’Université Mohammed VI Polytechnique de Benguérir, se sont matérialisés, comme par miracle, devant les yeux ébahis des riverains.
Ce campus, doté du nec plus ultra des équipements sportifs, technologiques et pédagogiques, accueille un étudiant très spécial : le prince Moulay Hassan. Prévu initialement pour 2023, l’achèvement du complexe universitaire a battu tous les records de vitesse.
Et pour cause, les entreprises de construction chargées du chantier ont rendu une copie parfaite deux ans avant la date butoir. La raison ? Permettre à Moulay Hassan d’entamer ses études supérieures dans la capitale, au sein de la “Faculty of Governance, Economics and Social Sciences”.
A l’instar de son père et de son grand-père, le prince a opté pour un établissement d’enseignement supérieur marocain, perpétuant une tradition désormais gravée dans le marbre.
A une exception près : Mohammed VI et Hassan II étaient quant à eux inscrits en licence de droit. Moulay Hassan, du fait d’un intérêt poussé pour la géopolitique, se spécialise, lui, en relations internationales. Comment s’acclimate-t-il à son nouvel environnement universitaire? Quel élève est-il et comment passe-t-il son temps au sein du campus de la FGSES ?Un prince à Benguérir ?
Nous sommes en juin 2020. A l’obtention de son bac ES option internationale au collège royal avec la mention “très bien”, le prince, 17 ans à peine, est annoncé au campus de Benguérir, qui abrite la fraîchement inaugurée Université Mohammed VI Polytechnique (voir encadré).
“L’idée même du prince rejoignant l’UM6P consistait à promouvoir l’égalité des chances, laisser entendre qu’il prendrait sciemment ses distances avec les autres étudiants n’avait vraiment aucun sens”
Une source confidentielle Mais très vite, une kyrielle de fake news se répand dans la presse digitale. Il était question, colporte-t-on, que Moulay Hassan bénéficie d’une résidence “écologique” privée au sein même du campus, afin de l’isoler du reste de la communauté estudiantine.
“Or, l’idée même du prince rejoignant l’UM6P consistait à promouvoir l’égalité des chances, laisser entendre qu’il prendrait sciemment ses distances avec les autres étudiants n’avait vraiment aucun sens”, nous informe une source confidentielle.
En réalité, aucun accommodement spécial n’était prévu pour le prince à Benguérir, s’il devait en fréquenter l’université. Et il avait même annulé une visite du campus, prévue fin 2019. “Sans doute pour éviter de donner du grain à moudre à la machine à intox”, estime notre source.
Une surprise signée par les Lakers
Pourtant, à l’UM6P, la venue du prince était attendue avec enthousiasme. Connaissant sa passion pour le basket-ball, le management de l’université lui avait réservé une belle surprise : un maillot des Lakers, l’équipe professionnelle de la ville de Los Angeles, signé par l’ensemble des joueurs d’une franchise où évolue la superstar LeBron James.
“L’idée était de faire coïncider le séjour de Ray Allen au Maroc avec la visite du prince, afin de les présenter l’un à l’autre.” Mais le prince ne vient pas
Pour l’occasion, l’université met les petits plats dans les grands, conviant même d’anciennes gloires de la NBA, dont Ray Allen (ex-joueur des Seattle SuperSonics, Milwaukee Bucks et Miami Heat), deuxième meilleur shooter à trois points de l’histoire. La venue d’Allen entrait dans le cadre d’un double événement : l’inauguration d’un terrain de basket-ball à Khouribga et le lancement d’une Ligue junior découlant d’un partenariat entre l’OCP et la NBA.
Cette association entre le géant des phosphates et la ligue professionnelle américaine de basket-ball a été soufflée au PDG d’OCP, Mostafa Terrab, par le président rwandais Paul Kagamé en personne. “L’idée était de faire coïncider le séjour de Ray Allen au Maroc avec la visite du prince, afin de les présenter l’un à l’autre”, rapporte notre source. Mais le prince ne vient pas.L’UM6P, oui, mais à Rabat
La visite du prince, prévue pour septembre 2019, avait un caractère prospectif. Découvrir les lieux, rencontrer le corps enseignant, apprécier le climat et le mode de vie dans ce campus axé sur la science et la recherche… Mais, selon nos sources, le choix de Moulay Hassan était déjà arrêté. Malgré l’annulation de sa visite de reconnaissance, ce sera l’UM6P.
Toutefois, lorsque le prince obtient son baccalauréat le 17 juin 2020, le pays est en lockdown en raison de la pandémie de coronavirus. Impossible d’étudier en présentiel. Ce contretemps épidémique permet à l’UM6P d’accélérer le chantier de sa branche de gouvernance à Rabat. Le projet est homérique, les travaux menés tambour battant.
Œuvre conjointe des deux opérateurs SGTM et SOGEA-Vinci, le chantier a occupé jusqu’à 3000 ouvriers selon des shifts opérationnels 24h/24. Supervisé par JESA, la filiale engineering d’OCP, joint-venture avec l’Australien Worley, les deux géants nationaux du BTP parviennent à livrer dans les temps : en moins de huit mois, le campus, fruit d’une mobilisation herculéenne, est sorti de terre.
C’est ainsi qu’en octobre 2021, tout est fin prêt pour accueillir Moulay Hassan. Le prince effectue donc sa rentrée physique dans une enceinte universitaire aux standards internationaux. Précédemment dénommée Ecole de Gouvernance et d’Economie (EGE), la Faculté de gouvernance et de sciences économiques et sociales (FGSES) a été intégrée à l’UM6P en 2014.
Bénéficiant à présent d’un campus dédié, la faculté propose un curriculum varié. Quatre filières y sont proposées : les sciences économiques, la science politique, les relations internationales et les sciences comportementales et sociales.
Fondée en 2008, la matrice de la FGSES, l’EGE de Rabat, avait pour objectif de réintroduire une formation de haut niveau en matière de science politique au Maroc. L’EGE a très vite attiré des profils d’élite, en partie grâce à la direction du politologue Mohamed Tozy. Mais sa portée demeurait limitée par, entre autres raisons, des ressources de fonctionnement en inadéquation avec les ambitions de l’école.
“Des analyses un cran au-dessus”
La greffe de l’EGE à l’UM6P en 2014 lui permet d’attirer des chercheurs de haut calibre. C’est à présent Karim El Aynaoui, le président du Policy center for the New South, think tank affilié à OCP, qui en est le doyen. Naturellement, les Fellows les plus en vue du Policy center y donnent des cours dans de multiples spécialités et en trois langues : l’anglais, l’arabe et le français.
C’est ainsi que le prince Moulay Hassan apprend les subtilités des sciences politiques, économiques, mais aussi les complexités de la géostratégie, sous la férule de poids lourds comme l’ancien ministre des Finances du gouvernement d’alternance Fathallah Oualalou, l’ancien ministre de l’Éducation et militant de gauche Abdellah Saaf, l’ex-ambassadeur du Maroc auprès des Nations Unies Mohammed Loulichki, ou encore, la liste n’est pas exhaustive, l’ancien gouverneur, wali et directeur général de la Sûreté nationale M’hamed Dryef.Outre la qualité du corps professoral, l’administration n’hésite pas à faire appel à une pléthore d’intervenants extérieurs de calibre mondial. De sources concordantes, l’ancien représentant permanent de la France à l’ONU et ancien conseiller diplomatique des deux présidents Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, Jean-David Levitte, a récemment été sollicité pour donner une conférence aux étudiants de la filière Relations internationales, celle-là même que suit le prince.
Stimulé par une ambiance intellectuelle d’une grande densité, le prince se révèle curieux des équilibres des forces sur l’échiquier international. Il entretient, du reste, un intérêt intense pour la géopolitique. “Ses analyses, en classe, sont un cran au-dessus”, nous confie un professeur sous le sceau de l’anonymat.
Et de remarquer “une originalité doublée d’une hauteur de vue, mais, surtout, une grande curiosité centrée sur le fonctionnement des institutions internationales et les protocoles de communication entre nations”.
Nos sources décrivent un élève très concentré, extrêmement sérieux, attentif à l’actualité nationale et internationale, et éminemment conscient des responsabilités qui lui incombent.
Lorsqu’il est en déplacement officiel et que son calendrier ne lui permet pas de rendre un devoir en temps voulu, le prince n’hésite pas à s’en excuser. “J’ai reçu un courrier dans lequel il expliquait humblement les raisons du retard, tout en promettant de restituer son travail dans les délais les plus brefs”, relate un de ses professeurs.
Dès octobre 2021, le prince fréquente donc assidûment les cours au sein de la FGSES. Accompagné d’une dizaine d’amis, anciens camarades de classe au collège royal, il épouse volontiers la vie du campus.
La batterie constitue sa grande passion et il y excelle”
Féru de basket-ball, on l’a vu, il est souvent aperçu taquinant le ballon orange dans la salle omnisport de la faculté. Autre dada du prince, la musique. Avec des amis mélomanes, il forme un groupe de rock dont il est le batteur. “Cet instrument constitue sa grande passion et il y excelle”, nous apprend notre source. Un kit de batterie acoustique a d’ailleurs été installé au “Student center” si d’aventure le prince éprouvait l’envie de s’y exercer.Une invitée très spéciale
“Moulay Hassan a supervisé tous les détails d’un spectacle organisé par les étudiants à l’occasion de la fête de l’indépendance”
Très impliqué dans les activités para-universitaires, Moulay Hassan démontre un sens du collectif très prononcé. “Par exemple, il a supervisé tous les détails d’un spectacle organisé par les étudiants à l’occasion de la fête de l’indépendance”, ajoute notre source. Ne résidant pas dans les dortoirs de la faculté, contrairement à ses anciens camarades du collège royal, le prince n’en demeure pas moins présent.
Il fut question un moment, selon notre source, que le prince emménage dans une propriété appartenant à Moulay Rachid, située à quelques encablures de la faculté, mais a priori l’idée a fait long feu, Moulay Hassan préférant demeurer au palais, aux côtés du roi.Toujours est-il que le prince n’hésite pas à rendre visite à ses amis dans leurs chambres universitaires, à l’occasion de séances de révision collective, ou simplement pour passer un bon moment. Bénéficiant d’un salon aménagé pour plus d’intimité à proximité du self-service, il lui arrive souvent de déjeuner dans le restaurant universitaire.
Les étudiants, d’abord impressionnés par les apparitions de Moulay Hassan, se sont peu à peu habitués à sa présence. Quelques regards fascinés suivent ses moindres gestes lorsqu’il apparaît à la cafétéria par exemple, mais l’attention qu’il suscite n’est pas à ce point insistante qu’elle provoque une quelconque gêne chez Moulay Hassan.
Au contraire, de l’avis de notre source, le prince semble avoir pris le pli de la vie sociale dans le bahut : “Sa présence est très valorisée par les étudiants, mais ceux-ci demeurent respectueux de sa vie privée”. Ses camarades font preuve de retenue lorsqu’ils le croisent au restaurant, au “Food Truck” ou arpentant la cour centrale de la faculté, sous la canopée désormais caractéristique de l’UM6P.
Un jour, ils sont arrivés tous les deux (avec Lalla Khadija) en voiture, et le prince lui a fait faire un tour du campus ; les voir ensemble en a ému plus d’un”
Ainsi, le prince n’éprouve aucune gêne à participer à la vie du campus, en toute décontraction. “Il ne se sent pas épié, suivi ; petit à petit il s’est acclimaté à cet écosystème vivant et dynamique”, décrit notre source.
Si bien que Moulay Hassan n’hésite pas à faire visiter les installations de sa faculté à une invitée très spéciale, sa sœur Lalla Khadija. “Un jour, ils sont arrivés tous les deux en voiture, et le prince lui a fait faire un tour du campus ; les voir ensemble en a ému plus d’un”, se remémore notre source.
Zone de haute sécurité
“On ne joue pas avec la sécurité de Smyet Sidi”
Si le prince semble s’être fondu avec naturel dans son nouvel environnement, un dispositif de sécurité discret mais dense et réglé comme un métronome veille tout de même au grain. “On ne joue pas avec la sécurité de Smyet Sidi”, prévient notre source. C’est en effet la garde royale qui protège en permanence les portails de la faculté.
Tests PCR négatifs et pass vaccinaux à jour sont, de surcroît, exigés de toute personne désirant y accéder. Un protocole qui avait perduré en dépit du fait que le prince avait cessé de suivre physiquement ses cours depuis janvier 2022.
De fait, la recrudescence inattendue du Covid-19, suite à la propagation fulgurante du variant Omicron, avait remis le mode distanciel au goût du jour. Depuis lors, et jusqu’à la rentrée 2022-2023 qu’il a physiquement effectuée début septembre, le prince Moulay Hassan, premier dans l’ordre de succession du trône alaouite, mène la vie d’un étudiant comme les autres… enfin presque.
FGSES : façonner les leaders de demain
Filière de l’UM6P, la Faculté de gouvernance, sciences économiques et sociales (FGSES) que fréquente Moulay Hassan se donne pour mission de “mener des recherches collaboratives axées sur des politiques publiques ainsi que sur le perfectionnement des compétences des étudiants marocains, africains et internationaux.” La faculté prépare à de hautes carrières dans l’administration, l’entreprise ou la recherche.
Les lauréats sont amenés à s’approprier l’ADN et les principes fondateurs de la FGSES, à savoir, la réforme des politiques publiques, la compréhension et l’anticipation des enjeux géopolitiques africains, et l’analyse des évolutions de la société.
L’emphase est également placée sur le décloisonnement des savoirs. De fait, la formation éclectique des étudiants permet une ouverture d’esprit mâtinée d’originalité. Le but étant de former des décideurs capables de réfléchir hors des dogmes, autrement dit “outside of the box”.
Plus concrètement, la FGSES propose quatre filières en licence. Mais aussi des formations doctorales en économie, en sciences comportementales et sociales et en sciences politiques. Des programmes adossés à l’Africa Institute for Resarch in Economics and Social Sciences (AIRESS). Grâce à un partenariat avec le réseau ERASMUS, les étudiants ont également la possibilité de rejoindre pour un semestre ou deux plus de 60 universités dans le monde.
Formation : où ira-t-il après la licence ?
La grande question qui taraude celles et ceux, très nombreux, à être attentifs au parcours académique de Moulay Hassan est la suivante : où ira-t-il après l’obtention de sa licence en relations internationales à la Faculté de gouvernance UM6P de Rabat ?
Certains spéculent sur l’Angleterre, à Cambridge ou Oxford, d’autres lisent dans leur marc de café une prestigieuse université française du type Dauphine ou la Sorbonne, à l’instar de son père et de son grand-père, tous deux diplômés du cycle supérieur hexagonal. Il y a enfin ceux qui pressentent que le prince héritier restera au Maroc pour tenter un master, voire un PhD au sein de son école actuelle.
Il va sans dire que dans les chancelleries et chez les grands partenaires du royaume, on suit avec beaucoup d’intérêt les futures orientations du prince, tant celles-ci indiquent le sens du vent en matière de réchauffement ou de refroidissement des liens bilatéraux.
Prenant acte de la période de turbulences que traversent actuellement les relations franco-marocaines, d’aucuns, dans les salons rbatis, semblent déjà exclure l’option hexagonale. Mais rien pour le moment ne permet de pencher pour telle ou telle possibilité. Il faudra attendre 2024 et l’obtention de sa licence à la FGSES pour enfin découvrir la prochaine destination académique de Moulay Hassan.
Études royales : tu feras du droit mon fils
En optant pour une école de gouvernance, et plus précisément pour la filière relations internationales, le prince Moulay Hassan marque une certaine rupture avec la récente tradition académique royale. De fait, son père Mohammed VI et son grand-père Hassan II se sont tous deux inscrits dans des facultés de droit pour leur premier cycle.
L’histoire retiendra cette fameuse injonction de Mohammed V à l’encontre de son fils, Hassan II, au moment où s’est imposé le choix d’un cycle supérieur. Après un baccalauréat série philosophie, mention bien, au collège impérial, Hassan II, à l’époque Moulay Hassan, grand féru d’histoire, avait évoqué la possibilité d’en faire sa spécialité.
C’était sans compter l’opposition du père. Celui-ci exprima son refus des tropismes du fils dans des termes aussi clairs qu’éloquents. Rapporté dans Mémoire d’un roi, l’argumentaire de Mohammed V en faveur d’une licence de droit est le suivant : “Tu trouveras ceux qui creuseront les canalisations ou qui bâtiront les ponts et les barrages. Mais, pour défendre ta patrie fermement et continuellement, tu ne trouveras que toi-même et ta connaissance du droit international.”
Le message est reçu cinq sur cinq. Hassan II s’inscrit à l’Institut des études juridiques de Rabat, rattaché à la faculté de Bordeaux. C’est alors, à la fin des années 1940, l’unique établissement d’études supérieures dans un Maroc toujours sous protectorat.
Hassan II finira par prendre goût au droit, stimulé en cela par l’illustre juriste M’hammed Bahnini. En 1951, il obtient sa licence à Rabat et un an plus tard, soutient avec succès les épreuves du diplôme d’études de droit public à la faculté de droit de Bordeaux.
La carrière académique de Mohammed VI est à l’avenant. Après un baccalauréat obtenu en 1981 au collège royal, Mohammed VI rejoint les bancs de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Rabat, et en ressort diplômé d’une licence de droit en 1985.
Son mémoire porte sur “L’Union Arabo-Africaine et la stratégie du royaume du Maroc en matière de relations internationales”. Un sujet qui rappelle la filière des relations internationales suivie actuellement par son fils le prince Moulay Hassan.
En 1988, Mohammed VI décroche son DES en droit public avec mention. Suite à quoi, il complète sa formation par un stage de quelques mois à Bruxelles, auprès de Jacques Delors, à l’époque président de la Commission des communautés européennes.
C’est à l’université de Nice-Sophia Antipolis qu’il achève, en 1993, son parcours universitaire, en obtenant le titre de Docteur en droit avec la mention “Très honorable” et les félicitations du jury pour une thèse portant sur “la coopération CEE-Maghreb”.
je sais pas, mais je pense que la monarchie doit s'ouvrir d'avantage, pour tout marocain dar el makhzen et un vrai mystère. Il y a des palais qui sont presque inhabités a l'instar celui de Meknès et d'Agadir pourqu'oi pas les rentabilisé, en plus celui de rabat pourrait être ouvert au public comme ailleurs en Europe où tout les palais officiels sont ouverts au public et aux touristes.
Khalid, mkba et Vampiro aiment ce message
Vampiro Colonel
messages : 1705 Inscrit le : 15/03/2022 Localisation : En patrouille... Nationalité :
Sujet: Re: La famille royale Jeu 1 Déc - 14:23
J'ai trouvé cette vidéo qui montre un peu l'intérieur du palais :
Fahed64, lida et sraboutibada aiment ce message
Vampiro Colonel
messages : 1705 Inscrit le : 15/03/2022 Localisation : En patrouille... Nationalité :
Sujet: Re: La famille royale Ven 2 Déc - 16:09
J'ai trouvé cette chaine consacrée au Roi Hassan II :
https://www.youtube.com/@leroihassan2911/videos
Ce sont des vidéos d'archives :
Fahed64, Jihad et simplet aiment ce message
Vampiro Colonel
messages : 1705 Inscrit le : 15/03/2022 Localisation : En patrouille... Nationalité :
Sujet: Re: La famille royale Sam 3 Déc - 10:24
Un autre reportage, avec une interview du Roi Hassan II :
On voit bien les tensions de l'époque avec la Libye de Kadhafi. Le Roi parle également un peu de son père et de la relation qu'il avait avec lui et parle de sa vie plus personnelle.
Vampiro Colonel
messages : 1705 Inscrit le : 15/03/2022 Localisation : En patrouille... Nationalité :
Sujet: Re: La famille royale Sam 3 Déc - 10:40
J'ai aussi trouvé ces images d'archives à propos du coup d’État raté de Skhirat :
J'en ai entendu parler, même si je ne comprends pas qui était derrière et pourquoi cette tentative a eu lieu.
Une vidéo très émouvante de feu Hassan 2 pleurant son défunt frère moulay Abdallah a partir de la min 36:00
Vampiro et sraboutibada aiment ce message
romh General de Division
messages : 4193 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: La famille royale Lun 25 Déc - 14:19
À chaque fois que je vois Hassan 2 lah yerahmou un seul terme me passe à travers l'esprit (tamghribit ou المغرب) sa présence dans notre vécu est irremplaçable et son impact sur nos personnalité est durable, c'était comme un deuxième père et éducateur pour nous tous et on sentait toujours l'humilité dans sa personnalité même avec tout le protocole qui l'entourait même avec tout les reproches que peut-être j'ai pour certaines de ses positions j'ai toujours de l'affection pour lui comme quelqu'un de ma famille je prie Dieu pour lui miséricorde et grâce ainsi que pour tout les fidèles à cette patrie Amine
Fahed64, Darkvador, Zakaria, Vampiro, Noumouj, sraboutibada et Anzarane aiment ce message
À chaque fois que je vois Hassan 2 lah yerahmou un seul terme me passe à travers l'esprit (tamghribit ou المغرب) sa présence dans notre vécu est irremplaçable et son impact sur nos personnalité est durable, c'était comme un deuxième père et éducateur pour nous tous et on sentait toujours l'humilité dans sa personnalité même avec tout le protocole qui l'entourait même avec tout les reproches que peut-être j'ai pour certaines de ses positions j'ai toujours de l'affection pour lui comme quelqu'un de ma famille je prie Dieu pour lui miséricorde et grâce ainsi que pour tout les fidèles à cette patrie Amine
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Amine.
Vampiro Colonel
messages : 1705 Inscrit le : 15/03/2022 Localisation : En patrouille... Nationalité :
Sujet: Re: La famille royale Dim 7 Jan - 19:55
Salut !
J'ai trouvé cette photo colorisée (je ne sais pas si elle était en couleurs à l'origine) de feu Hassan II, je crois avec son père. Par contre je ne sais pas qui sont les deux jeunes femmes.