Cela révèle brillamment leur fourberie, en 2021, ils ont tranché dans le vif en coupant le GME et la connexion électrique simultanément. Quelle fut leur déception de constater que cela n’avait eu aucun effet sur nous !
Maintenant quand je vois les prix du Gaz naturel au marché spot de Rotterdam 26$ le MWh (44$ le baril), ils doivent regretter amèrement, dépenser 10$ supplémentaire pour liquéfier le gaz pour le vendre au marché GNL à ce prix alors qu'ils pouvaient gratter des contrats indexés au brent avec le GME not to mention qu'avec le GME ils pouvaient augmenter leur part de marché en prenant la place du gaz russe. Le manque à gagner est énorme les gars, c'est une bénédiction du ciel ces imbéciles
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Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Mai 2024 - 13:31
Les mauritaniens sont revenus à la raison ! Quid des prix désormais pour le citoyen marocain !
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Mai 2024 - 18:36
Shugan188 a écrit:
Un bon 1er résumé sur l avis du CC sur le secteur électrique, un seul mot qui résume tout ceci "rwina" .Et on veut exporter de l énergie... https://medias24.com/2024/05/02/electricite-le-diagnostic-alarmiste-du-conseil-de-la-concurrence-1-2/
C’est un gros pavé dans la mare du secteur électrique qui a été jeté par le Conseil de la concurrence via sa dernière auto-saisine publiée vendredi dernier. Un opus de 138 pages dont la préparation avait été révélée par Médias24 avant sa publication, et qui décortique le fonctionnement du secteur électrique national en se focalisant sur le rôle central de l’ONEE, décrit comme "principal acteur du secteur (...) le seul responsable de l’équilibre entre l’offre et la demande et de l’équilibre économique du secteur". Mis en chantier en janvier 2023, l’avis du Conseil de la concurrence décortique patiemment plusieurs composantes de l’écosystème électrique en donnant la part belle à l’ONEE, opérateur historique. Les non-dits de l’avis Bien que l’avis s’arrête sur les spécificités de ce marché où se superposent dans sa chaîne de valeur − allant de la production au transport puis la distribution − divers types de marchés pouvant être des monopoles naturels ou des marchés concurrentiels, il s’attarde sur les centres de pertes et n’analyse pas suffisamment les centres de bénéfices, aujourd’hui largement détenus par le capital privé, pour une grande partie étranger. Par ailleurs, comme relevé par certains experts, les producteurs indépendants (IPP) et les distributeurs privés ne sont pas profondément traités comme l’a été la situation de l’ONEE. Ainsi, l’excès de rentabilité économique et financière (allant jusqu’à 17%), le non-partage des économies d’échelle et la rente de certains producteurs ou distributeurs adossée au risque pris par l’ONEE, notamment sur l’achat de matière ou les PPA, sont à peine effleurés par le régulateur, qui se concentre plus sur l’ONEE. L’absence de contrôle indépendant du productible livré par les IPP est tout simplement ignorée par le rapport. Il en va de même du manque de transparence des conditions octroyées par l’Etat à certains investisseurs dans le cadre de la Charte de l’investissement offrant des prix de l’électricité plus faibles que la tarification usuelle sans mécanisme de paiement des contreparties à l’ONEE. En effet, l’avis se focalise grandement sur le rôle central de l’opérateur national, son positionnement sur les différents segments de la chaîne de valeur, ses finances ainsi que les différentes entraves institutionnelles, administratives et économiques limitant la rapide croissance de la production privée, notamment en renouvelable. La grave crise financière de l’ONEE L’avis décortique, sur 20 pages, la situation financière et opérationnelle de l’ONEE décrite dans ce chapitre comme "l’un des établissements publics les plus stratégiques du pays". Pourtant, il n’entre pas dans le détail des conditions d’établissement des choix de l’Etat qui ont mené aux divers déficits aujourd’hui constatés chez l’ONEE, malgré l’aperçu historique qu’il donne de l’évolution du secteur. Il tire ainsi la sonnette d’alarme sur l’endettement galopant de l’Office (passé de 66,7 à 100 milliards de DH en dix ans), dépassant de loin ses fonds propres (12 milliards). Il passe encore sous silence la situation financière de MASEN qui, si on la compare à celle de l’ONEE, est beaucoup plus grave toutes choses étant égales par ailleurs. En effet l’ex-ONE créé en 1963, employant plus de 9.600 personnes en 2022, desservant plus de 7 millions d’abonnés, ayant comme mission publique d’assurer la généralisation et la continuité du service public de l’électricité, et qui de fait, en la vendant parfois à perte, subventionne l’énergie pour le compte de l’Etat pour des raisons sociales et politiques, a accumulé près de 100 milliards de dettes (y compris 37 milliards de dettes sociales constituées par son système de retraite). MASEN, créée en 2010 et ayant jusqu’à présent dans son actif en termes de réalisation essentiellement la centrale solaire de Ouarzazate de 560 MW, accumule près de 25 milliards de dettes, pour une production de moins de 4,2% du mix électrique national. Ainsi, quand on entre dans le détail, on remarque plusieurs éléments intéressants. En premier lieu, les pertes de réseau. Le rapport souligne que le rendement global du système électrique national est de l’ordre de 78%. C’est-à-dire qu’entre l’énergie appelée et celle consommée, il y a un gap de plus de 20%, ce qui est énorme par rapport à d’autres pays et dénote soit d’une vétusté de l’infrastructure, soit des problèmes de connexion anarchique ou de vol de l’électricité qui impactent grandement le chiffre d’affaires de l’ONEE et qui relèvent de son efficacité opérationnelle. Selon les experts contactés, les pertes sur le réseau de transport au niveau international sont souvent inférieures à 8%. "Pour le Chili par exemple, dont le réseau est comparable à celui du Maroc du fait de ses caractéristiques − réseau élancé, énergies renouvelables concentrées dans une région −, le taux de pertes global (Transport & Distribution) est de 7,6%. Les pertes sont systématiquement inférieures à 3% dans le cas des pays européens, et ce pour différentes configurations des réseaux", explique un des experts contactés. Et d’ajouter : "Le contre-argument de l’ONEE est soit que l’on compare des situations non comparables, soit que les investissements à envisager pour réduire de façon significative les pertes sont prohibitifs aussi bien financièrement que politiquement." La question des réseaux de l’ONEE a d’ailleurs été longuement traitée par le rapport. C’est un des enjeux majeurs du modèle proposé par le Conseil. Quand l’ONEE a prévenu le black-out Autre élément intéressant : bien que l’ONEE soit présenté comme le producteur principal, avec 44% de la capacité électrique installée, le rapport indique qu’il représente seulement 21,7% de la production totale en 2022. Cette faiblesse de la production est essentiellement en lien avec la prépondérance des centrales hydrauliques (34%) dans les capacités de productions de l’ONEE. Celles-ci sont fortement impactées par les dernières années de sècheresse, engendrant une baisse drastique de leur part dans la production nationale (1,2% en 2023), et par là même augmente massivement la dépendance de l’Office aux énergies fossiles et à leurs marchés des matières extrêmement volatiles. Cette capacité fossile a été pour partie, note le rapport, remise en marche à la suite de l’arrêt de l’écoulement du gaz via le gazoduc Maghreb-Machrek (GME) de 10 mois entre 2021-2022 tout comme le recours massif à l’importation de l’électricité, afin d’assurer la sécurité de l’approvisionnement mais en aggravant la situation financière de l’Office qui n’a eu le soutien de l’Etat qu’en mai 2023 pour 4 milliards de DH. Cette séquence est rapidement décrite par le rapport qui ne s’est pas arrêté sur la stratégie gazière nationale discutée depuis plus de 30 ans, sans pour autant assurer des alternatives en temps et en heure pour approvisionner les centrales à gaz nationales produisant près de 12% de l’électricité nationale. Plus globalement, l’enjeu de la sécurité d’approvisionnement électrique national, notamment l’indépendance par rapport aux opérateurs étranger, est sous-analysé dans l’avis. Le ton très favorable qui a marqué la mise en perspective de la capacité de l’ONEE d’assurer la continuité du service lors de l’arrêt de GME contraste, en revanche, avec l’insistance du rapport sur l’urgence pour l’office de sortir des activités de production. Une position contradictoire, puisqu’en tant qu’opérateur système, l’ONEE est obligé d’avoir des capacités de backup, de préférence en gaz naturel, non seulement pour assurer des fonctions de backup régulant l’intermittence des énergies renouvelables assurant ainsi la sécurité du réseau ; mais aussi pour la sécurité d’approvisionnement tout court. Ces capacités de production de backup peuvent être, comme cela a été démontré, d’un grand secours, en cas de couac de l’un des IPP, d’autant plus qu’une grande partie des capacités de production nationale sont concentrées en front de mer sur l’océan Atlantique, entre Jorf Lasfar et Safi. Cette fonction de backup n’est d’ailleurs citée qu’en fin de rapport sans insister sur la nécessité du caractère souverain de son actionnariat. Un retard systématique dans le déploiement du cadre légal du secteur L’avis donne une grande place aux lois organisant le secteur, le retard systématique qu’a connu le développement du cadre légal et réglementaire organisant le système de production national, celui des énergies renouvelables en particulier. Dans ce sens, il décortique les barrières à l’entrée imposées aux producteurs indépendants dans le cadre de la loi 13-09 dédiée aux énergies renouvelables ou celle sur l’autoproduction, que ce soit pour la haute, moyenne ou basse tensions. Mettant dos à dos les retards du cadre règlementaire accumulé depuis 15 ans et le refus des projets par la tutelle, le Conseil met sur la place publique pour la première fois l’étendue du potentiel perdu pour le Maroc depuis la libéralisation partielle du marché de la production électrique en 1994 et plus encore en 2009. Il pointe ainsi les implications kafkaïennes induites par la loi 13-09, sur le parcours des investisseurs dans "le marché libre de l’électricité". En résumé, l’avis affirme que "dans le marché libre de l’électricité, les contraintes sont essentiellement de trois types : réglementaires, relatives aux différentes autorisations nécessaires, techniques, se rapportant aux modalités d’accès au réseau électrique national, et financières, ayant trait à l’investissement nécessaire pour réaliser un projet dans ce cadre". Les EnR en théorie plus compétitives que le fossile Le rapport va encore plus loin en comparant les coûts de développement du MW renouvelable au Maroc ainsi que les délais de mise en œuvre des projets comparativement à d’autres technologies. Ainsi, selon le Conseil de la Concurrence, la réalisation d’un projet éolien exige près d’un million d’euros/MW installé. Sa construction nécessite en moyenne 18 mois. Pour le solaire, l’investissement peut varier entre 1 million d’euros (PV) et 5 à 6 millions d’euros (CSP) par MW installé pour une durée de mise en place des projets d’une année. Pour les centrales à gaz à cycle combiné, il faut compter environ 600.000 euros par MW installé et deux ans de travaux. Une centrale thermique à charbon, estime le rapport, a un coût moyen de 1,2 million d’euros par MW installé mais la centrale de Safi a finalement coûté environ 16,6 millions de DH par MW installé. Pour les rédacteurs du rapport, la construction d’une centrale à charbon peut prendre entre 3 et 4 ans. Il apparaît ainsi que les EnR au Maroc peuvent être compétitives en termes d’investissements par MW. Toutefois, précise le rapport, "pour les projets de sources renouvelables objet de notre analyse, et outre les délais mentionnés, il faut prévoir 2 à 3 ans additionnels pour accomplir le travail préalable relatif aux étapes précédant le démarrage des travaux […] ce qui signifie que le processus global (du démarrage à la mise en service) de réalisation d’un projet dans le cadre de la loi n° 13-09 prend en moyenne 4 à 5 ans". Un engouement bridé par la tutelle Des délais, des volumes conséquents d’investissements, en plus du manque de l’opérationnalisation du cadre réglementaire qui entrent en ligne de compte des investisseurs. Toutefois, cela ne les a pas découragés puisque près de 145 demandes d’autorisations d’investissement dans des projets renouvelables ont été adressées à la tutelle, depuis la mise en place de la loi en 2010, soit quasiment une moyenne de 10 par année. Mais au final, déplore le rapport, seulement 47 autorisations de projets ont été octroyées par la tutelle et 98 ont été refusées. Pire, selon le Conseil de la concurrence, avec toutes les barrières à l’entrée imposées jusqu’à fin 2023, seuls 7 projets éoliens et un solaire (2 MWc) ont pu être réalisés et entrer en service, totalisant une capacité installée de 863 MW portés par trois entreprises : Nareva (6), Acwa Power (1) et InnoVent (1). Le rapport se penche par ailleurs sur la petite sœur de la loi 13-09, c’est-à-dire la loi 82-21 promulguée en 2023 et dédiée à l’autoproduction. Et son avis est encore plus sévère : "Il existe un risque potentiel de retarder le déploiement rapide du régime d’autoproduction, voire même d’entraîner l’inapplicabilité de cette loi, du moins à court terme, étant donné qu’il n’y a aucune garantie que les textes d’application ne seront pas à leur tour soumis à d’autres arrêtés ou circulaires." Il prend en cela pour preuve ce qui s’est passé avec la loi 13-09 bloquée pour certaines modalités d’application de 5, 6, voire plus de 15 ans ! Puisque, selon l’avis du Conseil, "certains textes n’ont jamais été publiés, comme celui relatif à la définition des zones géographiques destinées à abriter les installations solaires, ou encore les textes réglementaires qui devaient permettre la réalisation d’installations de production d’énergie électrique à partir de sources d’énergies renouvelables au réseau de la basse tension". À cela s’ajoute, selon l’avis, l’incompréhension du fait d’exclure certains acteurs de la possibilité d’autoproduire de l’électricité, ne serait-ce que pour leurs propres besoins. De manière générale, le Conseil considère qu’"il faudra trouver un équilibre entre les différents acteurs du système électrique : ONEE/Distributeurs et producteurs privés. Le modèle économique actuel de l’ONEE repose en partie sur des contrats "Take-Or-Pay" [c’est-à-dire acheter toute la production contractuelle du PPA, qu’il y ait consommation ou pas, NDLR], et l’ouverture du régime de l’autoproduction aux distributeurs pourrait entraîner un manque à gagner pour l’ONEE, qui se retrouverait avec une production payée sans débouchés". Les SRM, solution à la distribution ? L’un des éléments analysés par les rapporteurs du Conseil de la concurrence, présenté d’ailleurs dans les recommandations comme solution aux problèmes de l’ONEE, est la loi n° 83.21 relative aux sociétés régionales multiservices, y consacrant un chapitre de 3 pages. La mise en place de la loi est qualifiée de "louable". Elle permettra la mise en place de monopoles publics régionaux de distribution "justifiés" selon l’avis. Egrenant les avantages de ces nouvelles structures, comme l’optimisation des coûts de distribution en mutualisant les moyens financiers et humains ; la stimulation de l’investissement dans les infrastructures au niveau des régions (sur les modèles des gestionnaires délégués) et l’amélioration et l’élargissement des services, le rapport met en veilleuse les risques inhérents à de telles structures, bien qu’il prévient de leur garder un caractère public, évitant ainsi de créer des monopoles privés. Une crainte souvent partagée par les experts des services publics qui soulignent le risque de privatisation des bénéfices, notamment dans la distribution et la socialisation des pertes ou des investissements nécessaires à la réalisation de ces bénéfices. La faible participation de l’ONEE au capital de ces SRM lui fait aussi perdre le contrôle sur elles alors qu’il doit apporter aussi bien les actifs de ces sociétés que les ressources humaines qui les font fonctionner. Il est bien clair que l’avantage est de régler une partie de la dette, notamment sociale, de l’Office, mais quid de la valorisation à la juste valeur des actifs apportés et l’équitable répartition de ces actifs (y compris les capacités de production et les réseaux) aux niveaux des diverses régions ? L’autre question mise sur la table, y compris partiellement par le rapport, est le niveau des prix des services qui vont être offerts : seront-ils aussi régionalisés ? Et quid de leur régulation ? Qu’en est-il aussi de la solidarité interrégionale entre les SMR bénéficiaires par la concentration démographique et urbaine ? S’inscrivant dans la suite du rapport réalisé par le CESE en 2020 sur la transition énergétique ainsi que le rapport sur le Nouveau Modèle de développement, l’avis du Conseil de la concurrence a le mérite de reposer la question de la réforme de la gouvernance du secteur énergétique au cœur de l’agenda public. Il apporte une série de recommandations et une architecture de l’écosystème électrique qui seront traités dans un second article. Il permet ainsi d’entrevoir les options offertes et l’ouverture du débat public sur un secteur souvent qualifié de "boîte noire", aussi bien par la rareté et la qualité de ses données publiques que par la multiplication des acteurs publics et privés qui gravitent autour avec des intérêts souvent divergents. a écrit:
L'article complet du post partagé par notre frère Ssi Shugan...Analyse que je partage à 100%, concernant les prix des SRM à priori ceux-ci ne seront pas régionalisés ce qui sera par contre régionalisé est le budget d'investissement (qui lui sera propre aux besoins de chaque région et commune)...Comme nous le répétons tous depuis longtemps le secteur énergétique est un immense gâchis
_________________ Le courage croît en osant et la peur en hésitant.
Sujet: Re: Économie marocaine Jeu 2 Mai 2024 - 19:37
L'ONEE été dirigé pendant 10 ans par Ali Fassi-Fihri qui a été recompensé par la suite avec une chaise dans le conseil d'administration à Nareva....
simplet General de Brigade
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Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 1:34
BennyBlanco a écrit:
L'ONEE été dirigé pendant 10 ans par Ali Fassi-Fihri qui a été recompensé par la suite avec une chaise dans le conseil d'administration à Nareva....
dans les 3 dernières années les prix du charbon , du fuel du gaz ont augmenté voir doubler alors que le prix de l'électricité de l'ONEE est resté fixe
quelqu'un va payer la différence
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"Tu ne sais jamais à quel point tu es fort, jusqu'au jour où être fort reste ta seule option."Bob Marley.
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romh General de Division
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Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 7:14
L'ONEE est un monopole public ce qui veut dire que pour maximiser la plus-value le prix de vente doit être équivalente au prix d'un marché avec une concurrence pure est parfaite, cependant la facture que payent les consommateurs n'a rien.zvoir avec un prix défini par le marché ça contient des taxes débiles que personne ne sait sur quel base on les a défini ni où va ses recettes comme la taxe pour le soutien dd l'audiovisuel qui est proportionnelle à la valeur globale de la facture et que même les industrielle payent, ça d'une part d'autre part l'onee a toujours été géré comme une ferme privé, une mauvaise gestion de la corruption des administrations et des particuliers qui ne payent rien etc etc sans parler de l'anarchie qui régit l'octroie des marchés et des concessions, alors que le personnel se permet des primes et des indemnités appartenant à un autre monde bref c'est le contribuable qui paye bien-sûr tout ces dérapages bien sûr, à part (relativement ) l'OCP tout ces organismes publics qui début par ( O ) c'est des gouffre de lapidation de l'argent public et de l'incompétence malheureusement
messages : 12292 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 13:12
Transformation économique Industrialisation qui provoque la destruction des emplois non rémunéré dans l'agriculture. Je pense que petit a petit, on est en train de voir le vrai visage de l'économie marocaine. Reste le PIB
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Fahed64 Administrateur
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Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 13:40
elite17 a écrit:
Sooo , personne ne parlera de la croissance choquante du chômage ?
I expected more Il y a eu une destruction des emlois en agriculture et une création d'emploi au secteurs secondaire et tertiaire La destruction des emplois au monde rural ne fera que s'accentuer dans les prochaines années
romh General de Division
messages : 4160 Inscrit le : 09/09/2009 Localisation : Royaume Uni Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 17:28
On surtout le chaumage saisonnier qui varie d'une saison à l'autre selon les régions aussi, certains secteurs sans créateurs d'emplois illicite comme la construction, le tourisme et certaines d'autres activités....
RED BISHOP Modérateur
messages : 12292 Inscrit le : 05/04/2008 Localisation : france Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 18:46
C'est aussi un changement sociétale Dans la société agricole, les familles vivent ensemble dans une meme ferme ( la grand-père, le père, les enfants, les petit-enfants) et tous le monde met la main à la patte. Les personnes travaillent à la ferme gratuitement mais son loger, nourris, blanchis....ce sont les emplois non rémunèrer...avec les changement sociétale, l'exode rurale et un début d'industrialisation. On sort de ce modèle et forcèment les emplois familiaux non rémunérer disparaisent
_________________
youssef_ma73 General de Brigade
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Sujet: Re: Économie marocaine Ven 3 Mai 2024 - 22:56
_________________ “Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire.” Albert Einstein.
marques General de Brigade
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Sujet: Re: Économie marocaine Sam 4 Mai 2024 - 10:41
le Cuivre est clairement le métal critique du futur On attend les chiffres ....
RED BISHOP Modérateur
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Sujet: Silicon Valley Marocaine Dim 5 Mai 2024 - 11:33
La startup Américaine Iozera va signé un MOU avec le Maroc pour crée un centre de donnée de pointe de 386MW et un hub pour l'IA, a Tetouan. Ce centre fonctionnera avec des Energie Renouvellable et pourra bénéficier a des startup ou des universités américaine, marocaine et autre. l'accord sera signer au Texas et revolutionnera le monde de l'IA 1/2 milliards de dollars d'investissement 50 000 m2 Ce truc servira pour la medecine, l'automobile de demain et l'industrie.
Sujet: Re: Économie marocaine Lun 6 Mai 2024 - 22:55
Est ce qu’on a vraiment des spécialistes au Maroc qui gèrent ce genre de trucs ou c’est géré comme un souk ??? Faites cos recherches sur Iozera, personne ne les connaît dans le monde de la data, ils ont même pas une page Linkedin https://t.co/zS7gzJXlyG
Effectivement, entreprise inexistante ,vient d'être formé et les noms des proprios ne peuvent pas être retrouvé car via cabinet d'avocats. Ca sent le dossier Najat pic.twitter.com/ZOtjsIvyhq
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Sujet: Re: Économie marocaine Lun 6 Mai 2024 - 23:31
Ola Energy et ExxonMobil pour produire les lubrifiants de marque Mobil au Maroc Produit a Casablanca. L'usine couvrira les zone Nord, Ouest et Est de l'Afrique
messages : 3954 Inscrit le : 05/11/2007 Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 7 Mai 2024 - 7:34
Selon Bank El Maghrib : le cash continue d'augmenter (+10% sur 1 an) et d’atteindre des sommets dans l’économie marocaine Toute cette argent passe sous les radars fiscaux et surtout alimente l'inflation..
messages : 6690 Inscrit le : 03/04/2016 Localisation : ... Nationalité : Médailles de mérite :
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 7 Mai 2024 - 7:43
Le gouvernement ne souhaite pas combattre l'informel ! Nous n'avons pas de volonté politique !
D'ailleurs, c'est un gouvernement poreux qui manque de courage.
On m'a rapporté par exemple, que le ministre a refusé une proposition visant à créer une caisse commune pour protéger les acheteurs de biens immobiliers et éviter des scandales du type Bab Darna ! Mais par crainte des pressions des promoteurs, il n'a pas donné suite
_________________ لك الله ياوطني
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romh General de Division
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Sujet: Re: Économie marocaine Mar 7 Mai 2024 - 8:45
Messieurs le gouvernement c'est eux même ces rentiers ces promoteurs immobiliers et ces grands agro-exportateurs, vous ne savez pas c'est qui le rni ou le pam ou l'Istiqlal..... Ces gens font la politique pour défendre leurs intérêts pas pour servir le pays on paye les frais de la passivité du peuple qui refuse toujours de participer efficacement dans la gestion de ses affaires et se permet de s'abstenir lors des élections ou vendre sa voix à quelqu'un voir même aller protester contre les déboires des responsables de temps à autre,
BennyBlanco, Fahed64, Darkvador et butters aiment ce message
Sujet: Re: Économie marocaine Mar 7 Mai 2024 - 10:42
romh a écrit:
Messieurs le gouvernement c'est eux même ces rentiers ces promoteurs immobiliers et ces grands agro-exportateurs, vous ne savez pas c'est qui le rni ou le pam ou l'Istiqlal..... Ces gens font la politique pour défendre leurs intérêts pas pour servir le pays on paye les frais de la passivité du peuple qui refuse toujours de participer efficacement dans la gestion de ses affaires et se permet de s'abstenir lors des élections ou vendre sa voix à quelqu'un voir même aller protester contre les déboires des responsables de temps à autre,
Et comment tu veux que le gentil fils de famille hyper classe achète une villa à Key west en Floride a 15 millions de dollars. ( Et regarder les Jet privé qu'il achète c'est des entré de gamme) Ou la villa du beau père a Marbella avec un héliport.
Pauvre Maroc on a que des - Des arrivistes PAM RNI - Des mafieux PAM - Des bon ghoche USFP PPS - des raciste ISTIKLAL ( la race supérieure) - PJD populisme ( ils veulent juste garantir un avenir a leur progéniture).
SM et le palais doit se bouger et faire un grand nettoyage.
Sa devient ridicule
Dernière édition par Darkvador le Mar 7 Mai 2024 - 10:57, édité 1 fois