Celui qui a intellectualisé cette stratégie : industrie navale civile et militaire, viser la sud Koree (...), industrie ferroviaire, Chine, blindés at home, et bien d'autres ...n'a rien a envié aux grands cerveaux allemands, les VON... Si on ajoute les autres sujets où il a intervenue avec le même génie (je dois le reconnaître), alors il rentre dans le cercle très restreint des grands stratèges de l'antiquité,
Pomada à part.
le dossier du Sahara nous fait faire des choix sûr géopolitiquement, c'est à dire la sécurité. On peut pas négocier un paquet avantageux sachant qu'on a un manque de sécurité.
Entreprendre, l'audace, faire cavalier seul avec des gens vayants qui eux aussi assument la navigation lointaine pour aller chercher du blé, des parts de marchés, demande une capacité de danser avec la fragilité de ta position.
La grande réflexion, est, qu'il est l'avenir d'une association industrielle sur des sujets industrielles "sensibles" avec la France, sachant qu'on qu'on vise ensemble le même marché ? Qu'il est le mindset des français durant tout ce temps où on était associé (je connais pas pour juger), automobile, militaire,... parce que dite vous la France n'a pas changé. Est que la position géopolitique entre l'Europe, la France, ne sera pas sujete à des impositions de volonté et donc chantage, qui rendra cette supposé collaboration industrielle non aboutie car très politique et donc le transfert de technologie n'ira pas jusqu'au bout ? Est ce que le Maroc vraiment a intérêt a basé sa souveraineté industrielle à long terme sur l'Europe, la France, pays limitrophes, donc voudront garder une main mise sur la soumission des pays voisins (Maroc)?
Faudra pas que le problème du Sahara soit une entrave à notre souveraineté industrielle, limiter les fragilités long terme se fait dès maintenant pour un Etat.
Est ce qu'on pense que vraiment ce problème du Sahara sera résolu avec de la reconnaissance politique extérieure ? Si non, alors qui est vraiment stratégique, la souveraineté industrielle ou une reconnaissance du Sahara où il y'a toujours des backdoors de retour en arrière ? Bien-sûr, l'un n'empêche pas l'autre, on peut essayer de mener les deux batailles sans que l'une n'entrave l'autre
Une autre interpellation : vue nos moyens limités, est ce que ça serait pas avantageux de récompenser un pays qui peut aller avec toi vers de la collaboration stratégique, en lui octroyant des marchés publics comme package
?
J'ai pas une irritabilité contre la France, je veux être neutre. Je veux faire un jugement sans émotions.
Il faut aussi faire une différence entre délocalisation, qui est dans une logique locale à eux, et qui allait se faire dans tout les cas, et partenariat industrielle pour attaquer des marchés. Sans parler du besoin européen et français de l'hydrogène...