Moroccan Military Forum alias FAR-MAROC
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 Économie marocaine

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeMar 1 Déc - 15:33

Rappel du premier message :

Économie marocaine - Page 33 573264

Ma première réaction a été d'exploser de rire ... Mais pour être honnête, c'est un bon début, tout à fait respectable ...

Les Débuts d'une industrie automobile locale ? J'espère ! Économie marocaine - Page 33 Icon_razz

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeMer 15 Déc - 23:06

@ready

Et tu ne parle pas en plus des progrée réalisé en matiére de télècomunication, du fait de leurs présence et l'apparition de nouveau opérateur tel que France Télècom avec l'aquisition d'une partie de Méditel 40% à 720 Million d'Euro.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeMer 15 Déc - 23:17

les centres d'appels et le activités offshore sont tres interessantes dommage que la formation ne suivait pas.si on avait des gens bien formé le maroc aurait pu faire mieux que d'autres nations.on est un pays francophone et combien de personnes maitrisent reellement le francais?les autres langues n en parlont pas.les ressources humaines sont mon domaine est je peux vous assurer qu'a u moment c'etait difficile de trouver des candidats vraiment interessant.heuresement que l'etat a mis en place de nombreuses formations en offshoring et que la reforme de l'education nationale est aujourd hui une realité.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 0:42

J'ai trouver la vidéo de la conférence de Presse de la réunion de la commission Maroc/UE mais elle est en forma VLC, je n'ai pas trouver de Topics Maroc/UE

http://c14005-o.l.core.cdn.streamfarm.net/findmedia/13/74673/VOD_74673W.mp4
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 2:03

vympel27 a écrit:
les centres d'appels et le activités offshore sont tres interessantes dommage que la formation ne suivait pas.si on avait des gens bien formé le maroc aurait pu faire mieux que d'autres nations.on est un pays francophone et combien de personnes maitrisent reellement le francais?les autres langues n en parlont pas.les ressources humaines sont mon domaine est je peux vous assurer qu'a u moment c'etait difficile de trouver des candidats vraiment interessant.heuresement que l'etat a mis en place de nombreuses formations en offshoring et que la reforme de l'education nationale est aujourd hui une realité.
Elli hfar chi hafra tay teh feha (Celui qui creuse un trou fini par tomber dedans) Économie marocaine - Page 33 Icon_mrg Pendant longtemps, les tenants du pouvoir ont laissé couler le système éducatif public marocain, aussi bien pour éviter un essor de la conscience politique au sein des masses que pour pousser les gens à payer l'éducation de leurs enfants, une telle décision s'étant avéré politiquement impossible à prendre. Mais, ils ont fini avec le temps par comprendre que pour stimuler le développement économique et attirer les investisseurs étrangers, il fallait des ressources humaines qualifiées, donc un bon système éducatif et de formation pour en produire, alors qu'ils ont fait exactement le contraire ! Et de découvrir que le peuple n'est pas ce monstre dangereux qu'il faut abrutir pour mieux le contrôler, mais le principal facteur de développement d'une nation !
Compte tenu de notre niveau de développement et de celui du chômage, les centres d'appels constituent une bonne solution à court et moyen terme, mais pas à long terme. En tout cas, pas pour les services les plus simples aux consommateurs, les plus éreintants pour les employés, comme le prouve l'instabilité prononcée du personnel, peu ou pas instructifs -ce n'est pas un métier pour ces employés- mais aussi les plus faciles à délocaliser. Il aurait fallu planifier le développement des autres services de l'offshoring, la comptabilité, le secrétariat à distance, etc, tout ces métiers que l'on peut actuellement exercer à distance dans le cadre du B to B. Le B to C, c'est chiant, peu instructif et sans avenir.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 4:43

Samyadams a écrit:
vympel27 a écrit:
les centres d'appels et le activités offshore sont tres interessantes dommage que la formation ne suivait pas.si on avait des gens bien formé le maroc aurait pu faire mieux que d'autres nations.on est un pays francophone et combien de personnes maitrisent reellement le francais?les autres langues n en parlont pas.les ressources humaines sont mon domaine est je peux vous assurer qu'a u moment c'etait difficile de trouver des candidats vraiment interessant.heuresement que l'etat a mis en place de nombreuses formations en offshoring et que la reforme de l'education nationale est aujourd hui une realité.
Elli hfar chi hafra tay teh feha (Celui qui creuse un trou fini par tomber dedans) Économie marocaine - Page 33 Icon_mrg Pendant longtemps, les tenants du pouvoir ont laissé couler le système éducatif public marocain, aussi bien pour éviter un essor de la conscience politique au sein des masses que pour pousser les gens à payer l'éducation de leurs enfants, une telle décision s'étant avéré politiquement impossible à prendre. Mais, ils ont fini avec le temps par comprendre que pour stimuler le développement économique et attirer les investisseurs étrangers, il fallait des ressources humaines qualifiées, donc un bon système éducatif et de formation pour en produire, alors qu'ils ont fait exactement le contraire ! Et de découvrir que le peuple n'est pas ce monstre dangereux qu'il faut abrutir pour mieux le contrôler, mais le principal facteur de développement d'une nation !
Compte tenu de notre niveau de développement et de celui du chômage, les centres d'appels constituent une bonne solution à court et moyen terme, mais pas à long terme. En tout cas, pas pour les services les plus simples aux consommateurs, les plus éreintants pour les employés, comme le prouve l'instabilité prononcée du personnel, peu ou pas instructifs -ce n'est pas un métier pour ces employés- mais aussi les plus faciles à délocaliser. Il aurait fallu planifier le développement des autres services de l'offshoring, la comptabilité, le secrétariat à distance, etc, tout ces métiers que l'on peut actuellement exercer à distance dans le cadre du B to B. Le B to C, c'est chiant, peu instructif et sans avenir.

Cher Samy

Je pense que sur le point de vu de la formation tu as raison ... Nous avons déjà eut l'occasion d'en discuter et nos avis sur la question sont similaires.

Sur le point de vu des centres d'appel je pense que tu sous estime leur potentiel en terme de vecteur de croissance : il assurent une sources d'offre d'emploie massivre pour le jeune Marocain sous formé et des emploies bien rémunéréé pour les marocains ayant une formation poussé à l'étranger et au Maroc ( je parle des postes de top management ). Le B to C est effectivement chiant, mais s'il est bien aborder il est vecteur de beaucoup de valeur ajouté et qui plus est valeure ajouté en euro (devise) ... Ce qui est doublement gagnant pour notre pays.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 12:59

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 13:21

Article intéressant.

Citation :
North African miracle remains a social and political paradox

King Mohammed VI opening the Moroccan parliament in Rabat. The strides made by Morocco, and its North African neighbours Algeria and Tunisia, have been accompanied by only very limited political liberalisation. A WikiLeaks cable recently revealed that US officials believe corruption is prevalent at all levels of society.Photograph: Reuters

Économie marocaine - Page 33 1224285654300_1

Morocco has greatly modernised, but political freedoms are scant, writes Ruadhán Mac Cormaic in Rabat

THE WEEKLY market at Bouqachmir may be just three hours from Rabat, but it feels worlds away from the cosmopolitan bustle of Morocco’s capital. In the foothills of the Middle Atlas mountains, the commune spreads out over virtually empty hills, small clusters of isolated farmhouses the only human intrusion.

At nine on a Friday morning, the souk is already open for business.

Stall-owners lay out their wares – fruit, vegetables, spices, chickens – on blankets on the muddy soil. Women in shawls and scarves arrive with donkeys to carry their loads. Men in boots and caps catch up over sweet tea and bread, swapping stories about the damage wrought by the previous week’s floods.

In the middle of it all, Bouaza Wahid opens a bright yellow parasol over his fold-out table and installs himself in one of the busiest spots, waiting for his clients to pass. Wahid works for Temasol, a French-owned solar-power provider that has introduced electricity to thousands of homes in the region for the first time. Instead of visiting every house in the commune to collect the monthly household subscription fee of 65 dirhams (€5.80), he sets up a stand at the weekly market and waits for the clients to come to him. “About half will come to me – the other half I have to go and find,” he says with cheerful resignation. And sure enough, quite a few farmers clearly do their best to avoid him. “Another 65 dirhams? Ah, Bouaza, you’re killing me,” comes the mock plea from one customer.

Temasol’s rickety stand at the Bouqachmir souk is symbolic of one of the most radical social changes to have taken place in Morocco in recent times.

In 1996, just 22 per cent of all rural homes in the country had electricity; today, after years of heavy state investment, the figure is 96.5 per cent.

Most villages have been connected to the standard network, but tens of thousands of the most remote homes across the country have been provided with heavily subsidised photovoltaic kits.

The basic Temasol pack includes solar panels, a generator, battery and sockets, and enables households to replace candles and gas lamps with lightbulbs, to charge mobile phones and use a television for the first time.

The effect has been revolutionary.

“It allows children to study in the evening, it allows people to watch television, to keep informed of what’s happening in the world,” says Khalid Semmaoui, the company’s managing director. “They’re no longer enclosed in their home. It allows them to charge their mobile phone, to communicate with their families and friends.”

Morocco’s interest in green energy is not confined to rural electrification.

In June, the largest wind park in Africa opened near the northern city of Tangiers, its 126 windmills putting down the most visible marker of the country’s strategic decision to wean itself off foreign energy and push its economy on through investing in big projects. As one of the few countries in the region with no oil or gas of its own, Morocco imports more than 95 per cent of its energy materials to meets its needs. But by harnessing the resources it has in abundance – sun, water and wind – the state plans to raise the share of renewable energy in its total output to 42 per cent by 2020.

Its heavy spending on infrastructure is one of the reasons Morocco has managed to insulate itself from the worst of the global crisis, posting levels of growth that are the envy of many of its neighbours.

It’s not that the country was untouched; a fall-off in tourists from Europe and in remittances, which alone account for up to 10 per cent of national income, have caused problems, but these have largely been offset by good harvests, investment in infrastructure and a resilient banking system.

“The question is to what extent the remittances can be sustained, because we know that a lot of Moroccans have lost their jobs, so they’re probably using some of their savings and this might not continue,” remarks Lahcen Achy, a senior economist at the Carnegie Middle East Centre. But the prognosis remains healthy.

When the United Nations published its annual human development index this year, it included for the first time a list of 10 “top movers” – countries that had seen the greatest improvements in human development relative to their 1970 starting point. One of the striking features of the list was the unexpected presence of three North African neighbours – Tunisia, Algeria and Morocco.

“However you measure it, the performance of these countries in health and education indicators – which, together with per capita income, make up the human development index – has been stellar,” wrote Francisco Rodríguez and Emma Samman of the UN Development Programme in a recent paper entitled The North African Miracle.

While Morocco’s overall standing in the 2010 index is a mediocre 114 out of 169, the 40-year breakdown shows that it has been steadily progressing in recent decades.

There is a sharp contrast between Morocco’s fate, for example, and that of Ivory Coast, which had similar levels of development in 1970. Over the 40 years to 2010, life-expectancy rose 20 years in Morocco but just 11 years in Ivory Coast. Today, 61 per cent of Moroccan children are enrolled in schools, far more than the 38 per cent in Ivory Coast, while Morocco’s per capita income is 2.7 times Ivory Coast’s.

But Morocco’s surge comes with its own paradox. Unlike other countries that saw huge improvements in human development over the past 40 years – such as Nepal, South Korea and Indonesia – the strides made by Morocco and its neighbours Algeria and Tunisia have been accompanied by very limited political liberalisation. Morocco may have become one of the first countries in the region to have an opposition party take power after an election (in 1998), but the press is only moderately free and ultimate authority remains in the hands of the monarch.

Reporting this week on a batch of unflattering cables sent by the US embassy in Rabat and released by WikiLeaks, Le Monde related how US officials believed that “corruption is prevalent at all levels of Moroccan society”. The royal family was using the institutions of state to “coerce and solicit bribes” in the country’s lucrative real estate sector, while a former US ambassador was recorded criticising the “appalling greed” of those close to King Mohammed VI.

Coming from a state that regards Morocco as its closest ally in the region, the revelations were startling. Not that they caused much public outcry, however. On the day Le Monde published the cables, the government simply blocked the paper’s distribution in Morocco.

This series, which explores the impact of global recession on trends in the developing world through case studies in francophone west and north Africa, concludes today. It was supported by a grant from the Simon Cumbers Media Fund.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 15:03

docleo (Jeu 16 Déc 2010 - 14:21) a écrit:
Article intéressant.

Citation :
North African miracle remains a social and political paradox

King Mohammed VI opening the Moroccan parliament in Rabat. The strides made by Morocco, and its North African neighbours Algeria and Tunisia, have been accompanied by only very limited political liberalisation. A WikiLeaks cable recently revealed that US officials believe corruption is prevalent at all levels of society.Photograph: Reuters

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Morocco has greatly modernised, but political freedoms are scant, writes Ruadhán Mac Cormaic in Rabat

THE WEEKLY market at Bouqachmir may be just three hours from Rabat, but it feels worlds away from the cosmopolitan bustle of Morocco’s capital. In the foothills of the Middle Atlas mountains, the commune spreads out over virtually empty hills, small clusters of isolated farmhouses the only human intrusion.

At nine on a Friday morning, the souk is already open for business.

Stall-owners lay out their wares – fruit, vegetables, spices, chickens – on blankets on the muddy soil. Women in shawls and scarves arrive with donkeys to carry their loads. Men in boots and caps catch up over sweet tea and bread, swapping stories about the damage wrought by the previous week’s floods.

In the middle of it all, Bouaza Wahid opens a bright yellow parasol over his fold-out table and installs himself in one of the busiest spots, waiting for his clients to pass. Wahid works for Temasol, a French-owned solar-power provider that has introduced electricity to thousands of homes in the region for the first time. Instead of visiting every house in the commune to collect the monthly household subscription fee of 65 dirhams (€5.80), he sets up a stand at the weekly market and waits for the clients to come to him. “About half will come to me – the other half I have to go and find,” he says with cheerful resignation. And sure enough, quite a few farmers clearly do their best to avoid him. “Another 65 dirhams? Ah, Bouaza, you’re killing me,” comes the mock plea from one customer.

Temasol’s rickety stand at the Bouqachmir souk is symbolic of one of the most radical social changes to have taken place in Morocco in recent times.

In 1996, just 22 per cent of all rural homes in the country had electricity; today, after years of heavy state investment, the figure is 96.5 per cent.

Most villages have been connected to the standard network, but tens of thousands of the most remote homes across the country have been provided with heavily subsidised photovoltaic kits.

The basic Temasol pack includes solar panels, a generator, battery and sockets, and enables households to replace candles and gas lamps with lightbulbs, to charge mobile phones and use a television for the first time.

The effect has been revolutionary.

“It allows children to study in the evening, it allows people to watch television, to keep informed of what’s happening in the world,” says Khalid Semmaoui, the company’s managing director. “They’re no longer enclosed in their home. It allows them to charge their mobile phone, to communicate with their families and friends.”

Morocco’s interest in green energy is not confined to rural electrification.

In June, the largest wind park in Africa opened near the northern city of Tangiers, its 126 windmills putting down the most visible marker of the country’s strategic decision to wean itself off foreign energy and push its economy on through investing in big projects. As one of the few countries in the region with no oil or gas of its own, Morocco imports more than 95 per cent of its energy materials to meets its needs. But by harnessing the resources it has in abundance – sun, water and wind – the state plans to raise the share of renewable energy in its total output to 42 per cent by 2020.

Its heavy spending on infrastructure is one of the reasons Morocco has managed to insulate itself from the worst of the global crisis, posting levels of growth that are the envy of many of its neighbours.

It’s not that the country was untouched; a fall-off in tourists from Europe and in remittances, which alone account for up to 10 per cent of national income, have caused problems, but these have largely been offset by good harvests, investment in infrastructure and a resilient banking system.

“The question is to what extent the remittances can be sustained, because we know that a lot of Moroccans have lost their jobs, so they’re probably using some of their savings and this might not continue,” remarks Lahcen Achy, a senior economist at the Carnegie Middle East Centre. But the prognosis remains healthy.

When the United Nations published its annual human development index this year, it included for the first time a list of 10 “top movers” – countries that had seen the greatest improvements in human development relative to their 1970 starting point. One of the striking features of the list was the unexpected presence of three North African neighbours – Tunisia, Algeria and Morocco.

“However you measure it, the performance of these countries in health and education indicators – which, together with per capita income, make up the human development index – has been stellar,” wrote Francisco Rodríguez and Emma Samman of the UN Development Programme in a recent paper entitled The North African Miracle.

While Morocco’s overall standing in the 2010 index is a mediocre 114 out of 169, the 40-year breakdown shows that it has been steadily progressing in recent decades.

There is a sharp contrast between Morocco’s fate, for example, and that of Ivory Coast, which had similar levels of development in 1970. Over the 40 years to 2010, life-expectancy rose 20 years in Morocco but just 11 years in Ivory Coast. Today, 61 per cent of Moroccan children are enrolled in schools, far more than the 38 per cent in Ivory Coast, while Morocco’s per capita income is 2.7 times Ivory Coast’s.

But Morocco’s surge comes with its own paradox. Unlike other countries that saw huge improvements in human development over the past 40 years – such as Nepal, South Korea and Indonesia – the strides made by Morocco and its neighbours Algeria and Tunisia have been accompanied by very limited political liberalisation. Morocco may have become one of the first countries in the region to have an opposition party take power after an election (in 1998), but the press is only moderately free and ultimate authority remains in the hands of the monarch.

Reporting this week on a batch of unflattering cables sent by the US embassy in Rabat and released by WikiLeaks, Le Monde related how US officials believed that “corruption is prevalent at all levels of Moroccan society”. The royal family was using the institutions of state to “coerce and solicit bribes” in the country’s lucrative real estate sector, while a former US ambassador was recorded criticising the “appalling greed” of those close to King Mohammed VI.

Coming from a state that regards Morocco as its closest ally in the region, the revelations were startling. Not that they caused much public outcry, however. On the day Le Monde published the cables, the government simply blocked the paper’s distribution in Morocco.

This series, which explores the impact of global recession on trends in the developing world through case studies in francophone west and north Africa, concludes today. It was supported by a grant from the Simon Cumbers Media Fund.

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Et à chaque fois qu'on parle de corruption au plus haut niveau au Maroc, t'as toujours un intello pour te répondre : sa existe partout ...

114/169 on devrait s'estimer heureux, car si y avait un ratio Potentiel/Prod je miserais sur un 168.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 15:13

yassine1985 (Jeu 16 Déc - 15:03) a écrit:
Et à chaque fois qu'on parle de corruption au plus haut niveau au Maroc, t'as toujours un intello pour te répondre : sa existe partout ...
114/169 on devrait s'estimer heureux, car si y avait un ratio Potentiel/Prod je miserais sur un 168.

85 (2010) http://www.transparency.org/policy_research/surveys_indices/cpi/2010/results

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 15:19

yassine1985 (Jeu 16 Déc - 16:03) a écrit:
Et à chaque fois qu'on parle de corruption au plus haut niveau au Maroc, t'as toujours un intello pour te répondre : sa existe partout ...

Parce que tu as connaissance qu'il existerait un endroit sur cette terre où la corruption ne sévirait pas? L'erreur fondamentale vient de vouloir quantifier cette dernière pour établir en classement, ce qui frise le ridicule. Si voler un oeuf c'est voler un boeuf, être corrompu pour une babiole en verroterie chez les papous vaut bien le fait de l'être tout autant lorsqu'il s'agit d'un diamant dans les mains d'un corrompu parisien, non?

L'intello de service.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 15:40

Citation :
Les PME allemandes prospectent en force

· Energies renouvelables, traitement des déchets, agroalimentaire… les secteurs prioritaires

· Le land Rhénanie-Palatinat, une région à fort potentiel d’exportation


Décidément le Maroc est en passe de devenir une plateforme privilégiée pour les exportateurs allemands. La Chambre allemande de commerce et d’industrie a reçu, hier mercredi 15 décembre, une importante délégation d’hommes d’affaires du land Rhénanie-Palatinat.
Au total, cette délégation multisectorielle comprend une dizaine d’entreprises. Elles opèrent principalement dans les techniques environnementales, les énergies renouvelables, la fabrication de machines, les services d’ingénierie ainsi que l’agro-industrie. Objectif: «Approfondir et intensifier les relations économiques entre les deux pays», affirme Hans-Georg Schneider, directeur du département de la Promotion économique, Europe, Economie extérieure et tourisme dans le land Rhénanie-Palatinat. Cette journée se veut également une opportunité pour les opérateurs marocains de rencontrer des PME exportatrices, qui souhaitent nouer des relations d’affaires avec le Maroc. En effet, les entreprises participantes représentent un très large éventail de l’industrie rhéno-palatine. Elles disposent, chacune dans son domaine, d’un riche savoir-faire.
La fiabilité de la technologie allemande n’est bien évidemment plus à démontrer. Dans le secteur des énergies renouvelables, les Allemands, leaders dans le domaine, affichent un grand intérêt pour ce marché à fort potentiel de développement au Maroc. «Le potentiel du marché marocain dans l’énergie solaire est très attractif.
D’ailleurs, nous sommes déjà opérationnels à travers un projet dans la région de Aïn Béni Mathar au sud d’Oujda. Un projet d’une capacité de production de 470 MW en énergie solaire et 20 MW en gaz», rappelle Andreas Hahn, directeur des ventes chez Schott Solar. Et d’ajouter, «nous avons réussi aujourd’hui à décrocher 13 rendez-vous. A partir de ces contacts, nous comptons sélectionner les meilleurs partenaires». Déjà active en Afrique du Nord (Tunisie, Algérie, Egypte), l’entreprise produit les principaux composants des installations photovoltaïques et des centrales solaires avec la technologie des paraboles. Elle vient donc accompagner la stratégie mise en place par le gouvernement, qui consiste à tripler la capacité de production nationale en électricité d’ici 2020.
Le traitement et la gestion des déchets industriels ont été également représentés hier, mercredi. Les Allemands, reconnus pour leur leadership dans la protection de l’environnement, sont déjà présents dans ce secteur à Larache notamment. Plusieurs sociétés souhaitent cependant renforcer leur présence, en proposant, entre autres, des services de gestion des déchets novateurs.
Les entreprises allemandes ne cachent pas que le Maroc se veut un premier coup d’essai, qui pourrait permettre d’investir ensuite le marché africain. Un continent dont le potentiel d’investissement et les gisements de croissance sont des plus prometteurs. «Par son souci écologique, le Maroc peut devenir une locomotive de développement en matière de protection de l’environnement à l’échelle régionale», tient à souligner Wolfgang Hinkel, gérant de Hinkel International, spécialiste dans le traitement et l’élimination des déchets et leur transformation en énergies renouvelables. L’entreprise est déjà présente au Maroc. Elle s’occupe de la gestion déléguée, de la collecte des déchets et de la décharge de la province de Larache.

Rhénanie-Palatinat

En matière d’économie extérieure, le land de Rhénanie-Palatinat est l’une des régions les plus dynamiques d’Allemagne avec une quote-part des exportations ayant atteint 52,1% au premier semestre 2010.
La politique de reprise des exportations de ce land permet aux entreprises orientées à l’export de participer aux foires à l’étranger, aux voyages d’affaires et aux symposiums, et offre un réseau mondial de contacts, afin de soutenir l’économie locale à travers sa pénétration des marchés mondiaux. Cette région, notons-le, est adossée à la France, la Belgique et le Luxembourg. Le volume des exportations vers la France a atteint 50 millions d’euros.
http://www.leconomiste.com/article.html?a=104611

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 16:29

Land du vin allemand,biere Bitburger,BASF,Opel,Daimler Wörth..

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 16:43

Agrumes
Le Maroc exporte les fruits pour la première fois vers la Chine
Avec l'envoi de 20 tonnes, la clémentine marocaine fait son entrée sur ce marché très porteur


Citation :
Une première! Le Maroc vient d'entamer l'exportation des agrumes vers la Chine, premier pays consommateur de ce type de fruits. Le premier conteneur transportant 20 tonnes devrait arriver à destination vers le 20 décembre.


Il s'avère que ce pays est friand de la clémentine «haut de gamme» qui va être vendu à un prix élevé. En effet, sur un total de 1,3 milliard de consommateurs chinois, environ 100 millions, représentant 7 à 8% de la population, sont des clients à fort pouvoir d'achat qui sauront savourer les agrumes marocains qui sont de grande qualité.

Ce premier envoi, expédié par Maroc Fruit Board (MBF) à partir d'Agadir, signifiera le début de l'entrée des produits marocains sur le marché chinois qui est très exigeant en matière de contrôle et de sécurité. Le but étant d'arriver, d'ici à 5 ans, à exporter entre 40.000 et 50.000 tonnes par an vers ce pays.

C'est également la consécration de deux ans de dur labeur que les professionnels du secteur (MFB, ASPAM et Maroc Citrus) ont entrepris avec le ministère de l'Agriculture et l'Office nationale de la sécurité alimentaire (ONSA). «Nous avons commencé depuis deux ans à travailler pour préparer les conditions d'accès des agrumes marocaines au marché chinois, surtout que les conditions sont sévères», a souligné Ahmed Derrab, Secrétaire général de l'Association marocaine des exportateurs d'agrumes (ASPAM). Dans ce cadre, le Maroc a signé avec la Chine un accord phytosanitaire qui a été suivi par de lourdes négociations qui ont pris beaucoup temps. Dans la foulée, des experts chinois ont effectué des visites de terrain. Ainsi, ils ont passé en revue les vergers, les stations de conditionnements et les ports marocains. Après ces séries de vérifications, ils ont choisi les producteurs et les exportateurs qui sont éligibles.

A noter également que cet accord avec la Chine entre dans le cadre de la nouvelle politique prônée dans le cadre du Plan Maroc Vert pour l'ouverture de nouveaux marchés pour les fruits et légumes marocains. Avec la signature du contrat programme avec l'Etat pour la période 2009-2020, il a été décidé d'arriver à exporter 1,3 million de tonnes d'agrumes par an en 2020 alors que les exportations actuelles s'élèvent en moyenne à seulement 550.000 tonnes. Avec cet ambitieux objectif, visant à plus que doubler la production ainsi que l'exportation, les professionnels des secteurs doivent non seulement renforcer leur position sur les marchés traditionnels (Europe) mais aussi ouvrir de nouveaux marchés lointains notamment ceux de l'Asie. Déjà, les agrumes marocaines sont très prisées en Russie et au Canada, mais de grands efforts doivent être déployés pour que les produits marocains arrivent à percer d'autres marchés porteurs et qu'ils soient appréciés, à leur juste valeur, par les consommateurs étrangers.

A signaler également que le Maroc est concurrencé par plusieurs pays qui ne sont pas des moindres, notamment Israël, l'Egypte, la Grèce… Tout se joue sur la qualité du produit final face à un consommateur de plus en plus exigeant et très regardant sur tout ce qui est sécurité alimentaire, protection des consommateurs et aussi, crise oblige, sur le rapport qualité/prix.
Une campagne précoce

Pour la campagne 2010-2011 qui a démarré en octobre dernier et se poursuivra jusqu'en juin prochain, la production nationale en agrumes devra atteindre 1,7 million de tonnes contre 1,45 million réalisé durant la campagne précédente, selon les prévisions du ministère de l'Agriculture. Quant aux exportations, elles devront se situer à 600.000 tonnes, sauf changements dus aux effets des conditions climatiques qui peuvent impacter, positivement ou négativement, les tonnages exportés. «Nous sommes en train de travailler sur les variétés précoces. Quant à celles dites demi-saisons et tardives, elle peuvent subir des changements au niveau du poids en cas de gel, de grêle ou de fortes pluies», précise Ahmed Derrab. Autre élément important à prendre en compte, c'est celui de la conjoncture des marchés extérieurs. En effet, la demande des pays importateurs est tributaire de leurs conditions de croissance. Déjà depuis deux ans, le Maroc subit les contre coups de la crise européenne, surtout celle des pays de l'Europe de l'Est. «Il y a une baisse de la demande. Les gens consomment moins d'agrumes, mais nous sentons que la crise commence à s'émousser», dixit le secrétaire général de l'ASPAM.

A fin novembre, les exportations d'agrumes se sont élevées à 125.000 T dont 123.000 T de clémentines et 2.000 T d'oranges, essentiellement de la «Navel» contre 105.000 T durant la même période de 2009, soit en hausse de 20%. Ces réalisations ont été atteintes grâce à une campagne un peu précoce.
«Les exportateurs ont démarré cette année un peu plus tôt pour se positionner sur les marchés extérieurs», explique Ahmed Derrab.



Repères

Prévisions


Selon les prévisions du ministère de l'Agriculture, la production nationale en agrumes devra atteindre 1,7 million de tonnes contre 1,45 million réalisé durant la campagne précédente.

Pour ce qui est de l'exportation, l'ASPAM prévoit l'expédition vers les marchés étrangers de 600.000 tonnes, sauf changement dû aux conditions climatiques.

Citation :
MAROC EN CHANTIER DES EXPORTATIONS DE CLEMENTINES EN CHINE
La première cargaison d'agrumes du Maroc, Agadir, à la Chine (20 tonnes), organisé par le Conseil Maroc Fruit, a déjà quitté le pays et devrait arriver à destination le 20 Décembre.

Objectif du Maroc est d'atteindre au cours des cinq prochaines années un total exporté vers la Chine du montant 40-50,000 tonnes.

Derrab Ahmed, Secrétaire général de l'association marocaine des exportateurs des fruits d'agrumes (ASPAM), a déclaré que cette réalisation est un le résultat de deux années de dur labeur avec les autorités chinoises - Eurofruit rapports Magazine.

Les sites de production dans le pays d'Afrique du Nord ont même été visité par les autorités chinoises, ainsi que stations de conditionnement et les ports.L'accord avec la Chine fait partie du "Maroc Vert" du programme, le projet marocain pour la revitalisation de l'agriculture dont les objectifs sont l'ouverture de nouveaux marchés cibles afin d'accroître les exportations d'agrumes de l'550.000 tonnes actuellement à 1,3 millions de tonnes d'ici 2020.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 17:38

amine222 a écrit:

85 (2010) http://www.transparency.org/policy_research/surveys_indices/cpi/2010/results

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c'est grace au nouveaux code de la route et les mesures associés lol!

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 18:07

Citation :
La Dacia propulse les chiffres de l’export

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LES exportations des biens continuent de tenir le cap à la hausse. A fin novembre, elles ont marqué un rythme de croissance plus soutenu par rapport aux importations: 26,6% alors que les achats à l’extérieur ont crû de 12,7%. Certes, l’embellie est due pour l’essentiel aux performances des phosphates et dérivés qui ont explosé de près de 90% mais d’autres secteurs ont nettement amélioré leur score. C’est le cas de l’industrie automobile, de l’électronique et de l’aéronautique. A lui seul, le secteur automobile a vu ses ventes augmenter de 42% pour s’établir à 13,8 milliards de DH contre 9,7 milliards, à fin novembre 2009. L’électronique a aussi amélioré ses exportations de 22,7% passant ainsi de 4,7 milliards de DH à 5,8 milliards. Quant à l’aéronautique, la hausse des ventes à l’étranger a atteint 7,4% à 3,9 milliards de DH. D’autres activités comme les produits de la mer, les articles de bonneterie et les chaussures se sont inscrits en légère hausse variant entre 2 et 4,5%. A l’opposé, les vêtements confectionnés affichent toujours une tendance baissière: 16, 9 milliards de DH contre 16 milliards.

Hors phosphates et dérivés, les exportations ont augmenté de 14,6% à près de 100 milliards de DH contre 87,2 milliards.

Toutefois, le déficit commercial s’est encore creusé à 137,7 milliards. Le phénomène est certes aggravé par le poids de la facture pétrolière mais aussi par les importations des demi-produits notamment, les achats des composants électroniques, de produits chimiques, des matières plastiques, de cuivre, de fer et d’acier. Pour le moment, les chiffres provisoires de l’Office des changes ne livrent pas les détails par groupements d’utilisation. Mais déjà à fin octobre dernier, les importations des demi-produits avaient enregistré une hausse de 17,6% pour s’établir à 51 milliards de DH. Du côté des exportations, la hausse est plus forte au titre du même chapitre. Elle reste cependant limitée aux dérivés des phosphates et aux composants électroniques.

Au terme des onze premiers mois de l’année, la valeur des exportations des phosphates et dérivés a marqué un bond de 88% par rapport à la même période de 2009. Elle s’est ainsi établie à 32,1 milliards de DH contre 17 milliards. Cette nette amélioration s’explique aussi bien par les volumes que par la revalorisation des prix de la tonne exportée. Celle-ci a atteint 3.632 DH/tonne pour les engrais naturels et chimiques et 5.737DH/tonne pour ce qui est de l’acide phosphorique contre respectivement 2.466 et 4.339 DH/tonne.

Hors pétrole, les importations ont augmenté de 10,2% à près de 247,7 milliards de DH contre 224,7 milliards à fin novembre 2009. Quant à la facture pétrolière, elle s’est élevée à 22,1 milliards de DH contre 14,6 milliards au terme des 11 premiers mois de 2009.

Les données de l’Office des changes font aussi état d’une augmentation de 7,5% des transferts des MRE, dégageant une amélioration de près de 3,5 milliards de DH d’une période à l’autre. Leur montant global a atteint 49,5 milliards de DH contre 46 milliards à fin novembre 2009.

Les investissements extérieurs et prêts étrangers confirment le léger redressement des recettes déjà observé à fin octobre dernier après un recul durant tous les autres mois de l’année. Ces recettes ont enregistré une hausse de 2,2% au terme des 11 premiers mois en comparaison avec la même période de l’année précédente. Au total, 25,4 milliards de DH ont été comptabilisés comme recettes au lieu de 48,3 milliards. Seulement, les dépenses ont explosé de 87% pour atteindre près de 23,3 milliards de DH contre 12,4 à la même période de 2009. cette aggravation s’explique en particulier par la hausse des dépenses au titre des cessions d’investissements étrangers dont le montant a grimpé à 21,4 milliards de DH. Ceci, en dépit du faible niveau des remboursements des prêts privés dont le montant a atteint 628,6 millions de DH.

A. G.
leconomiste.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 20:47

En 2012, atijarawafa bank prévoit la moitié de ses agences hors maroc.

Citation :
Le PDG du groupe marocain, leader au Maghreb et numéro deux en zone CFA, dévoile sa stratégie au sud du Sahara. La banque compte y étoffer ses réseaux d’agences pour s’ouvrir aux PME-PMI, à la classe moyenne et aux petits commerçants.

Attijariwafa Bank est sur tous les fronts. Le groupe marocain a finalisé en 2009 l’acquisition de cinq banques subsahariennes (au Congo, en Côte d’Ivoire, au Cameroun, au Gabon et au Sénégal) auprès du français Crédit agricole, devenant ainsi le deuxième groupe bancaire en zone CFA par le total de bilan, après la Société générale. En 2010, Attijariwafa Bank souhaite compléter son dispositif dans cette zone, avant de s’attaquer en 2011 aux pays anglophones. Tout en gardant un œil sur l’Algérie et en poursuivant les créations d’agences en Europe.

Ces développements coûtent cher. Au Sud du Sahara, 250 millions d’euros ont été dépensés pour le rachat des filiales du Crédit agricole, financé en grande partie par des transferts de titres, et 60 millions d’euros pour le rachat de la Banque internationale du Mali. Mais le groupe, qui a affiché des résultats en hausse en 2009, en a les moyens. Son PDG, Mohamed El Kettani, nous dévoile sa stratégie commerciale en Afrique et nous explique comment il compte rentabiliser ces nouvelles opérations.

JEUNE AFRIQUE : Maintenant qu’Atti jariwafa Bank est devenu le deuxième groupe bancaire dans la zone CFA, où en est votre stratégie de développement ?

Mohamed El Kettani : Nous ciblons les pays jugés stratégiques, dont l’Algérie. L’accord avec le Crédit agricole a accéléré les choses, en nous permettant de nous installer dans quatre nouveaux pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale. Nous avons pris la décision d’utiliser désormais notre filiale sénégalaise, la CBAO, pour nous déployer dans d’autres pays de l’UEMOA [Union économique et monétaire ouest-africaine, NDLR] : au Burkina, au Togo, puis au Niger. Une filiale directe d’Attijariwafa Bank a été créée en Guinée équatoriale. Maintenant, nous avons une deuxième feuille de route : dès 2011, nous irons vers certains pays anglophones, dont la liste reste à déterminer.

Que répondez-vous à ceux qui doutent de votre capacité à transformer vos acquisitions en opérations rentables ?

Je tiens à préciser deux choses. Tout d’abord, notre stratégie de développement est bâtie sur notre capacité financière, certes, mais également sur nos capacités en ressources humaines. Ensuite, l’exigence de rentabilité pour nos filiales africaines est très élevée. Notre plan d’intégration pour les banques que nous avons acquises est clair : nous tenons compte de la réalité socioculturelle de chaque pays, et l’opération de transformation ne vient pas de Casablanca mais elle est pensée et réalisée sur place. Chaque filiale doit développer sa propre logique, avec comme objectif de devenir leader sur son marché. Elle décide notamment d’adopter ou non la marque Attijariwafa.

Les patrons marocains qui ont été nommés à la tête de ces banques récemment acquises sont là pour assurer la transition. Pour la suite, nous avons déjà repéré de hauts potentiels subsahariens qui pourront prendre la tête de nos filiales et également intégrer le comité exécutif du groupe. Nous voulons en effet que dans deux ans ce comité comprenne les différentes sensibilités culturelles du groupe. Par ailleurs, pour chaque filiale, la gouvernance est alignée avec les standards du groupe, les systèmes d’information sont mis à niveau et uniformisés.

Les échanges commerciaux entre le Maroc et l’Afrique subsaharienne restent faibles. Difficile de penser que vous comptiez sur ces flux pour rentabiliser vos opérations…

[Sourire] En effet, même si, bien évidemment, nous espérons que de plus en plus de PME marocaines aillent vers l’Afrique subsaharienne, persuadées de pouvoir y être accompagnées par notre groupe. Mais, comme nous souhaitons devenir le numéro un ou deux dans chacun de nos marchés, chaque filiale doit développer sa propre logique stratégique, tout en s’appuyant sur des compétences développées au Maroc, par exemple dans le transfert d’argent ou le financement des grands projets d’infrastructures.

Quels segments de clientèle allez-vous donc attaquer ?

Après une première année consacrée à l’intégration, viendra la phase de développement en elle-même, avec comme objectif l’ouverture aux PME-PMI et aux classes moyennes. Les réseaux d’agences sont actuellement très limités et nous souhaitons qu’en 2012 la moitié de nos agences soient situées en dehors du Maroc, ce qui représente la création d’environ 300 agences. En Tunisie, lorsque nous avons acquis la Banque du Sud, alors que 60 agences avaient été ouvertes en quatre-vingt-dix ans, nous en avons ouvert 55 en quelques années.

Vous parlez de classe moyenne et de PME-PMI, mais l’Afrique subsaharienne n’est pas le Maroc…

Vous avez raison, mais notre constat est le suivant. En se promenant dans les ruelles de Bamako ou de Dakar, vous ne verrez pas d’agence pendant plusieurs kilomètres. En revanche, vous verrez beaucoup de petits commerçants. C’est ce segment de clientèle que nous souhaitons séduire et nous avons développé au Maroc des techniques de scoring [évaluation du risque client, NDLR] sérieuses adaptées à ce type de population.

Vos filiales marocaines spécialisées vont-elles vous suivre au sud du Sahara ?

C’est un sujet sur lequel nous réfléchissons activement, et je peux vous dire qu’une fois le plan de transformation des banques africaines abouti, nos filiales dans l’assurance, le crédit à la consommation ou le crédit immobilier viendront dans cette zone.

Vous vous développez en Europe, ce qui est extrêmement coûteux. Est-ce réellement utile ?

Nous avons construit sur trente ans un dispositif qui nous permet de rapatrier l’épargne des Marocains, d’être une tête de pont pour le financement du commerce et d’assister les investisseurs européens dans leur déploiement au Maroc. Ce modèle a très bien fonctionné, et nous voulons le développer dans les autres pays africains. Nous allons utiliser CBIP, filiale française de CBAO Attijariwafa Bank, qui va interagir avec Attijariwafa Bank Europe pour l’Afrique subsaharienne. Nous allons déployer un véritable réseau CBIP. Et grâce aux transferts d’argent, qui sont au cœur de notre activité européenne, chaque point de vente doit être rentabilisé en deux ans. Plus généralement, nous allons continuer notre développement en Europe et nous allons nous implanter en Suisse.


JeuneAfrique

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAHS25p021-022.xml0/maroc-uemoa-attijariwafa-bank-interviewmohamed-el-kettani-en-2012-la-moitie-des-agences-d-attijariwafa-seront-hors-du-maroc.html

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 21:18

Toi aussi Brutus!
Le representant de l'Union International des Syndicats des Ouvriers Arabes, critique, a Rabat, l'experience de dialogue social marocaine, et se felicite de l'experience algerienne. La reponse du responsable marocain c'est des plus ridicules...

Ca a l'air d'etre un coup en pleine gueule du Maroc par les freres algeriens a travers un autre frere arabe. Un coup tres bien monte'. De leurs part les marocains ne se rendent compte de rien... je ne sais si c'est de l'innocence, de la estupiite ou un mix des deux.

Citation :
وفي موضوع آخر، وجه رجب معتوق، من الاتحاد الدولي لنقابات العمال العرب، انتقادات إلى التجربة المغربية، في سياق حديثه عن الحوار الاجتماعي في الدول العربية، حيث قال إنه التقى باتحادات عمالية مغربية تتهم الحكومة المغربية بأنها تفتقر للشفافية والمصداقية. وزاد قائلا: «إذا كان هذا صحيحا فالحديث عن حوار اجتماعي بالمغرب سيكون بمثابة القفز في الهواء»، على حد تعبيره.

في المقابل، أثنى معتوق على التجربة الجزائرية، واعتبر أن السبب في نجاحها هو وجود إرادة سياسية لدى الحكومة الجزائرية لمساعدة الأطراف الأخرى وتكوينها حتى تكون نتائج الحوار فعالة. وأضاف أن وجود منظومة نقابية جزائرية حرة ومستقلة عن أية جهة حكومية دعم التجربة الجزائرية.

بيد أن ابن طالب وكيل وزارة العمل المغربية، الذي كان تحدث عن التجربة المغربية في الحوار الاجتماعي، قال في معرض تعقيبه على انتقادات معتوق إن في المغرب تعددية سياسية ونقابية، وبالتالي من الطبيعي أن يكون هناك تعدد في الآراء، مشيرا إلى أن الوضع في المغرب لا يمكن مقارنته مع أوضاع دول أخرى «حيث توجد النقابة الوحيدة والمحاور الوحيد»، على حد قوله

http://www.aawsat.com/details.asp?section=4&issueno=11706&article=599678&feature=
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 21:26

une question pourquoi tu trouves que la réponse du ministre est ridicule? moi je trouve qu'il a raison. tu as un pays avec une multitude de syndicat et un autre un unique.

Pour le dialogue social, je crois que c'est toujours mieux que chez les voisins. un médecin généraliste au Maroc touche le double de son confrère en algerie.
malgré des années de gréve chez eux. De meme pour le SMIG.
donc ridicule Exclamation

sinon pour la fraternité arabe on s'en fiche. nous avons des alliés et des intérêts. Les sentiments c'est pour nos enfants et nos femmes

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 21:35

Doc tu reagis comme l'a fait le represetant du ministere du travail marocain, en attaquant l'Algerie au lieu de discredite l'energumene et ses arguments.

Il y avait juste une question a poser: Citez moi un des sindicats que vous avez rencontrer? Car il etait entrain de mentir.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeJeu 16 Déc - 21:42

le ministre ne cite pas que l'algerie le monde arabe est plein de parti unique syndicat unique (tout est unique chez eux Neutral )

Donc le Maroc aussi peut faire cela, et je t'assure que le syndicat unique ne va pas dire qu'il a des problèmes avec le dialogue social.
ça sera l’unanimité du peuple et du gouvernement sur la satisfaction a 1000000% de l'ouvrier.

Donc il a raison.

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeVen 17 Déc - 7:35

Fremo a écrit:
amine222 a écrit:
85 (2010) http://www.transparency.org/policy_research/surveys_indices/cpi/2010/results
c'est grace au nouveaux code de la route et les mesures associés lol!
permis à points et surtout le badge nominatif, les policiers et les conducteurs sont devenu paranos Very Happy
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeVen 17 Déc - 9:31

docleo a écrit:
une question pourquoi tu trouves que la réponse du ministre est ridicule? moi je trouve qu'il a raison. tu as un pays avec une multitude de syndicat et un autre un unique.

Pour le dialogue social, je crois que c'est toujours mieux que chez les voisins. un médecin généraliste au Maroc touche le double de son confrère en algerie.
malgré des années de gréve chez eux. De meme pour le SMIG.
donc ridicule Exclamation

sinon pour la fraternité arabe on s'en fiche. nous avons des alliés et des intérêts. Les sentiments c'est pour nos enfants et nos femmes

C'est comme ça que les "responsables" marocains cache leurs défauts en faisant des comparaisons qui les arrangent de l'autre coté ils font sa aussi sur d'autres secteurs là où les chiffres sont en leurs faveurs..... résultat des pays du tiers monde dit en voix de développement pour pas les fâché.
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeVen 17 Déc - 9:47

yassine1985 a écrit:
docleo a écrit:
une question pourquoi tu trouves que la réponse du ministre est ridicule? moi je trouve qu'il a raison. tu as un pays avec une multitude de syndicat et un autre un unique.

Pour le dialogue social, je crois que c'est toujours mieux que chez les voisins. un médecin généraliste au Maroc touche le double de son confrère en algerie.
malgré des années de gréve chez eux. De meme pour le SMIG.
donc ridicule Exclamation

sinon pour la fraternité arabe on s'en fiche. nous avons des alliés et des intérêts. Les sentiments c'est pour nos enfants et nos femmes

C'est comme ça que les "responsables" marocains cache leurs défauts en faisant des comparaisons qui les arrangent de l'autre coté ils font sa aussi sur d'autres secteurs là où les chiffres sont en leurs faveurs..... résultat des pays du tiers monde dit en voix de développement pour pas les fâché.

On est un pays du tiers monde qui a dit le contraire!

Et je trouve logique ce qu'il a dit. On peut avoir un avis différent de ce même syndicaliste si on été totalitaire comme certain.

Le ministre a dit la vérité, ni plus ni moins. Et pour se comparer je préfère de loin la Tunisie un pays totalitaire aussi que le soudan la Syrie et l'algerie.

On a pas besoin de démocratie mais de développement. la démocratie viendra après...

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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeVen 17 Déc - 9:53

sincerement :
1/ qui croit que cette association des syndicats arabes soit représentatif du pauvre travailleur arabe ? personne !!

autre chose curieuse : le secretaire général de cette association arabe (un syrien Very Happy ) dit : j'ai rencontré les syndicats marocains qui m'ont dit que le dialogue social avec le gouvernement n'avance pas (chose que pourrait dire tous les syndicats du monde sur le gouvernement , voir GGT , CFDT etc..), et c'est pas bien et bla bla !!!!

et puis il dit " j'ai rencontré le syndicat algérien (l'unique) ", qui m'a dit "tout va très bien avec le gouvernement algérien" ..tout est beau !!!

bon , j'arrêtes là

mais vous voyez bien que le pauvre travailleur arabe a encore à attendre d'avoir des vrais délégues représentatifs !!!
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MessageSujet: Re: Économie marocaine   Économie marocaine - Page 33 Icon_minitimeVen 17 Déc - 10:09

Citation :
Le magazine « Jeune Afrique » vient de publier un classement des 25 premières entreprises de télécommunication africaines en s’appuyant sur les chiffres de l’exercice 2009.

Le classement 2010 montre que sur le classement général, une prédominance des entreprises d’Afrique du Sud.
En premier rang du classement, MTN GROUP, avec un chiffre d’affaires (CA) de 15 092 295 milliers dollars; alors que la première compagnie maghrébine de ce classement c’est MAROC TELECOM qui n’arrive qu’au 8ème rang avec un CA de 3 807 241 milliers de dollars.
La Tunisie a marqué sa présence dans ce classement avec une seule entreprise : le premier opérateur privé de télécommunication, Tunisiana, qui n’apparaît qu’au 18ème rang avec un CA de 719 601 milliers de dollars.
La grande surprise du dit-classement est l’absence de l’opérateur historique Tunisie Telecom faute de communication et de publication de ses chiffres.
Voici le classement des 25 premières entreprises :

Économie marocaine - Page 33 Tunisiana_Tunisie_Telecom2


Si on se base sur le résultat net MT est deuxième.

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