éléctions novembre 2011 [UPDATE-SONDAGE]

Rappel du premier message :

Citation :

Rapport préliminaire du CNDH sur l'observation des législatives du 25 novembre

Le conseil national des droits de l'homme (CNDH), qui a présidé la commission chargée de l'accréditation des observateurs marocains et étrangers, a publié, mardi, son rapport préliminaire sur l'observation des législatives du 25 novembre.

Le conseil a mobilisé 227 observateurs pour une période de 15 jours sous la supervision de 28 coordinateurs provinciaux et créé une cellule centrale de 12 personnes au sein du CNDH pour le suivi de l'opération électorale au niveau de 92 circonscriptions électorales, 742 communes, 926 bureaux de vote, 206 bureaux centralisateurs et 82 commissions provinciales pour le recensement.
Les observateurs du CNDH ont rempli 3.054 formulaires relatifs au déroulement de la campagne électorale, 245 sur les lieux réservés aux meetings aménagés par l'Etat où les autorités locales au profit des candidats et 1.388 formulaires sur les différentes phases du vote, de l'ouverture du scrutin à la proclamation des résultats.

Le rapport préliminaire note que sur les 5.171 cas d'enlèvements des affiches électorales constatés de visu, 80 pc ont été pratiqués par des électeurs, ajoutant que l'analyse des formulaires confirme la thèse selon laquelle cet acte traduit le rejet de ces électeurs du candidat proposé.

La même source indique par ailleurs que les actes de violence verbale et corporelle constatés de manière directe concernent 372 cas, ajoutant que la violence verbale (insultes, propos racistes, dénonciation etc.) représente 91,3 pc alors que la violence corporelle a concerné les candidats et leurs assistants lors des meetings et des rassemblements mais aussi les interventions des équipes de campagne des candidats et des forces de sécurité contre les activistes appelant au boycott des élections.

S'agissant de l'octroi de dons et autres infractions visant à influencer l'électorat, le rapport souligne que 45,42 pc des 317 cas constatés de visu concernent des dons en nature, ajoutant que le durcissement des mesures répressives sanctionnant ces actes ont contribué à diminuer le nombre de ces agissements et affecté l'opération de distribution de ces dons.

Le rapport confirme que les pratiques relatives à la distribution des dons sont favorisées par la pauvreté et la précarité socio-économique et la prédisposition d'une catégorie d'électeurs à vendre leurs voix.

Quant à l'utilisation des moyens et équipements des administrations publiques et des collectivités territoriales et les sociétés et entreprises régies par la loi 69.00 relative au contrôle financier de I'Etat sur les entreprises publiques et autres organismes, le rapport fait état de 89 cas dont 61,79 pc portent sur la mobilisation des moyens des autorités locales.

Pour ce qui est de l'utilisation de lieux publics, le rapport note que parmi les 226 cas observés, 5 cas ont connu l'interdiction d'utilisation de lieux publics, dont deux concernent des partis ayant appelé au boycott des élections.

A cet égard, le CNDH rappelle que les dispositions de l'article 37 de la loi organique relative à la chambre des Représentants ne s'appliquent que sur les partis participant aux élections, ajoutant que les autorités publiques sont appelées, conformément à leurs engagements en faveur des droits de l'Homme, à appliquer la loi 76.00 relative aux rassemblements publics et la loi 77.00 portant Code de la presse et de l'édition, afin de permettre aux parties ayant boycotté les élections d'exprimer leurs opinions.

Par ailleurs, le rapport indique que seuls 24 pc des manifestations et rassemblements publics observés ont connu des cas de troubles à l'ordre public qui ont revêtu surtout un caractère verbal à l'encontre des équipes d'assistance électorale, alors que les cas d'agression sur les personnes ou de dégradation de biens sont trop rares pour avoir une valeur statistique.

D'autre part, le document a relevé que 95 pc des bureaux de vote ayant fait l'objet de l'observation étaient situés dans des établissements publics, à part des exceptions peu signifiantes d'un point de vue statistique mais très marquantes, tels des bureaux de vote situés dans des zaouias ou dans les locaux d'une société de gestion déléguée de l'eau et de l'électricité.

Le CNDH souligne aussi que 9 pc des bureaux de vote observés étaient situés à plus de 4.000 m des habitations concernées, souvent dans des zones difficiles d'accès ou à faible densité.

Evaluant l'accessibilité des bureaux de vote, 42 pc des observateurs du conseil ont estimé que les bureaux étaient généralement accessibles du fait qu'ils se situaient au rez-de-chaussée des établissements consacrés à cet effet, mais sans toutefois être équipés pour garantir l'accès des personnes à besoins spécifiques et leur permettre d'exercer leur droit de vote dans les meilleures conditions.

D'autre part, le rapport met l'accent sur l'amélioration sensible des compétences des présidents de bureaux de vote, en comparaison avec les élections de 2007, grâce à la formation appropriée assurée par l'administration chargée des élections.

Néanmoins, les observateurs ont relevé quelques dysfonctionnements, certains chefs de bureaux ayant par exemple considéré que la présentation de l'avis d'information portant le numéro du bureau de vote était une condition nécessaire pour voter, ce qui va à l'encontre des dispositions de l'article 70 de la loi organique relative à la chambre des Représentants.

De même, des présidents de bureaux de vote ont accepté d'autres documents d'identification que la carte nationale d'identité, pourtant seule pièce d'identité recevable, ou n'ont pas vérifié l'identité des accompagnateurs des personnes handicapées.

Concernant le vote par procuration, le rapport indique que ce mécanisme n'a été utilisé que deux fois dans 847 bureaux de vote observés, ce qui relève la nécessité de réfléchir à d'autre moyens pour faciliter le vote des Marocains résidant à l'étranger, tels le vote électronique ou par courrier.

L'analyse préliminaire de l'opération de vote a permis de dégager plusieurs types d'infractions qui, pour la plus part, ont été commises par les équipes d'assistance électorale et rarement par les candidats eux-mêmes.

Le rapport enregistre notamment la distribution de tracts électoraux (4 pc des cas enregistrés), l'usage de rumeurs et de fausse informations pour influencer l'électeur (25 pc), les rassemblements ou manifestations d'intimidation (2 pc), la distribution de cadeaux ou dons (4 pc), la transgression de l'interdiction des téléphones portables et autres moyens de communication dans les bureaux de vote (10 pc) et les violence contre les membres des bureaux de vote (1 pc).

Les observateurs du CNDH ont, par ailleurs, relevé que les opérations de dépouillement et de recensement des votes se sont déroulées dans des conditions normales et dans le respect des procédures en vigueur, à l'exception de 7 pc des cas observés où les opérations de dépouillement ont connu un léger retard pour différentes raisons, telles que des coupures d'électricité.

La plupart des représentants des candidats présents dans les bureaux de votes ont reçu des copies des procès-verbaux de l'opération de dépouillement, de recensement et de proclamation des résultats, indique le rapport.

29/11/2011

Source : MAP

on reverra les memes scenes:un nouveau oualaalou qui tape sur la table et accuse,un lachgar (mince cette fois) faire ses diatribes etc...bref du deja vu mais ils pourront pas changer la realité c'est que le peuple marocain n'arrive plus a les saquer.

Avec les dinausores dans ce parti ils pourront rester un siecle dans l'opposition ca ne changera rien du tout."wa 3ibadallah" quand tu as un abdelouhed radi (surnommé aradi a cause des terres qu'il possede )qui est plus vieux parlementaire du maroc ce mec la est la depuis l'ouverture d'un parlement en 63 vous vous rendez compte un demi siecle c'est une relique.en plus de tous ceux qui se sont fait reelire dans l'usfp et les autres partis.le pjd a gagné les elections c'est bien tout le monde est gentil tout le monde est beau mais il doit vivre avec les affreux qui se sont fait reelire les memes visages c'est quoi le message qu'on veut nous transmettre?c'est ces memes visages qui vont mettre en pratique la constitution?j'en doute

http://www.assabah.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=19031:2011-12-05-10-17-00&catid=37:cat-laune&Itemid=782

une première idée sur la répartition des portefeuilles ministériels
le pjd veut garder : la santé, justice, finances, education nationale
le PI : veut maintenir Ghelab au transport, Hjira Equipement , le PI réclame en tout 5 ministères
en plus de la présidence de la chambre des représentants

Et l'agriculture? Il serait judicieux que Akhanouch puisse rester en place et mené à bien son plan Maroc vert; Il a fait un excellent travail au même titre que Amina Benkhadra.

Une idée du devenir de Taieb Fassi Fihri ?

moi je voudrais voir abouayoub ancien ambassadeur en france comme ministre des affaires etrangeres je crois qu'il est au mouvement populaire.

Fahed64 a écrit:

Et l'agriculture? Il serait judicieux que Akhanouch puisse rester en place et mené à bien son plan Maroc vert; Il a fait un excellent travail au même titre que Amina Benkhadra.

Le pari du PJD est de construire une majorité forte, mais surtout cohérante et solidaire ! du coup, on ne peut pas avoir un ministre appartenant à un parti d'opposition au sein du gvt ... le cas du gvt sortant est l'exemple type de ce problème

le probleme c'est qu'avec le refus de l'usfp de rentrer dans le gouvernement l'istiqlal va faire des pressions sur le pjd.deja l'articvle parle de abbass qui conseille a benkirane de ne pas limiter le nombre de ministeres.l'istiqlal est tres gourmand il demandera plus maintenant qu'il est en position de force.

Il faut quelqu'un dans la lignée de ahmed reda chami, l'industrie les gars c'est aussi important que la justice, la santé et l'éducation !

Il faut continuer à faire du lobbying pour attirer de gros industriels dans le domaine ferroviaire, aéronautique, automobile, éléctronique et viser de nouveaux secteurs comme l'éléctronique, le pharmaceutique ! et surtout obliger tout ceux qui gagnent de gros marchés publiques, de passer par l'offset industriel ! j'achète des tramway alstom, je veux que l'on fabrique des pièces au maroc, j'achète des boeing je veux que des sous traitants s'installent dans mon pays etc...

Pour le ministère de l'industrie il faut clairement un technocrate avec de gros bagages et de l'expérience... si vous êtes un grands constructeurs automobiles, et qu'en face de vous on vous met un vieux en djellaba, babouche qui n'arrive pas à aligner 3 mots d'anglais correctement, et qui n'arrive pas à vendre notre pays correctement aux investisseurs... et c'est la fin des beaux projets du type de ceux que l'on a concrétisé ces derniers temps !

vympel27 a écrit:

le probleme c'est qu'avec le refus de l'usfp de rentrer dans le gouvernement l'istiqlal va faire des pressions sur le pjd.deja l'articvle parle de abbass qui conseille a benkirane de ne pas limiter le nombre de ministeres.l'istiqlal est tres gourmand il demandera plus maintenant qu'il est en position de force.

Je sais pas pourquoi mais j'ai comme l'impression que tout ça est fait exprès, personne n'a envie de changement dans ce pays... surtout pas les politiques qui veulent faire tout ce qu'ils veulent et qui se considèrent au dessus des citoyens et des lois...
Arrêter ses affaires alors que je suis ministre ? non mais vous êtes fous, je vais pas vivre uniquement avec mon salaire de ministre, je pourrais pas m'en foutre plein les poches... être intègre ? c'est une blgaue, si je reçois pas de pots de vin comment je vais voyager à l'étranger, acheter ma mercedes, des bijoux à ma femme, une villa avec piscine, envoyer mes enfants faire leurs études au canada ?

Pour ces problèmes de corruption des hommes de l'Etat, il faut savoir qu les services secrétes se sont penché sur ce dossier activement durant les dérniers mois, beaucoup de têtes ont tombé, d'autres vont suivre dés l'établissement du nouveau gouvernement.

Sinon, pour le nombre de portefeuilles dans le prochain gvt ca sera autour de 25. Benkirane semble suivre les conseils de ceux qui sont plus exprimentés dans la gestion des affaires publiques, illustré par les visites symboliques aux anciens leaders des partis politiques qui ont marqué l'histoire comptemporaine du Maroc, comme Youssfi, Aherdan, Allaoui et j'en passe

fremo tu parles de gros bonnets ou simplement de soufifres et hommes de paille?

Citation :

Le PJD et ses promesses: Les premiers coups de canif…


Pragmatique en diable, Benkirane consulte tous azimuts et envisage d’appeler des technocrates à sa rescousse. Bref, il donne déjà les premiers coups de canif dans le contrat qu’il a passé avec l’électorat. Ce qui en dit long sur la «flexibilité» du PJD et de l’avenir des nombreuses promesses faites avant le 25 novembre.

En effet, pour son premier entretien accordé en tant que chef du gouvernement à la presse écrite, au quotidien Al Massae plus précisément, (tiens, tiens…), Abdelilah Benkirane a, délibérément ou non, choisi de montrer les limites de l’exercice auquel il est soumis depuis la victoire de son parti, le PJD, aux élections législatives.

En effet, outre la confirmation que ses préférences vont nettement aux partis de la Koutla démocratique pour la constitution d’une équipe disposant d’une majorité confortable à la Chambre des Représentant, le SG du PJD n’a pourtant point omis de préciser que des consultations auraient lieu avec le Mouvement Populaire et l’Union constitutionnelle, deux formations qui, paradoxalement, figuraient parmi les membres de la coalition anti-PJD et constituée à la hâte, en dépit du bons sens (politique) d’ailleurs, à la veille même du scrutin du 25 novembre.

Pour concrétiser son vieux rêve d’assumer l’exercice du pouvoir exécutif, M. Benkirane ne se prive donc pas d’aller chercher des alliances, là où elles se trouvent, c’est-à-dire un peu partout, ce qui en dit long sur son «pragmatisme» qui fleure bon l’opportunisme, ce dont seraient habilités à l’accuser les dizaines de milliers de citoyens qui ont précisément voté PJD pour empêcher que les partis de la majorité sortante continuent de gouverner !

Le Parti Justice et Développement, qui promet ainsi bonne gouvernance et changement en serait réduit à appliquer son programme avec les formations mêmes qu’il accusait précédemment de ne point respecter de tels principes!!!

Là se trouvent, incontestablement les limites objectives de la marge de manoeuvre dont dispose le nouveau chef de gouvernement, condamné en fait à tenter de faire du nouveau avec du vieux, des partis de la Koutla aux dissidents du G8…

Mais là n’est pas le seul obstacle avoué, (ingénument?) par le patron du PJD. en effet, M. Benkirane n’a pas craint de reconnaître que des technocrates pourraient intégrer son équipe, sur la base de leurs compétences éprouvées. Une telle affirmation n’est pas sans laisser pantois tous ceux qui ont cru aux discours antérieurs de ce parti, lequel a souvent cloué au pilori ces technocrates «apolitiques», en soulignant la nécessité de confier la gestion et la direction des affaires publiques à des hommes impliqués et responsables (politiquement). Mais voilà, au PJD, les praticiens avérés en finance et en économie, notamment, manquent singulièrement et Benkirane va devoir faire appel à des «pros» sans étiquette politique pour combler les lacunes de son parti.

Voilà donc déjà deux gros obstacles que M. Abdelilah Benkirane a choisi de franchir en marchant allègrement sur les principes et les promesses antérieures. Même s’il est vrai qu’il pourrait difficilement faire autrement, on ne s’empêchera pas de penser que l’avenir pourrait bien nous réserver d’autres surprises.

la nouvelle tribune

je voudrais revenir sur le passage de l'usfp a l'opposition a y reflechir je crois que c'est une decision tres intelligente du pouvoir que de pousser la gauche a l'opposition et ceci pour plusieures raisons:
d'abord si la victoire du pjd redonne de l'espoir au peuple marocain cette carte des islamistes peut etre bruler si le pjd echoue alors pourquoi risquer prendre le risque de faire bruler en meme temps une carte qui pourrait servir demain celle de la gauche.il est vrai que l'usfp est discredité est a beaucoup perdu de sa popularité mais sa carte n'est pas encore bruler a 100% et elle peut encore servir si on permet a ce parti de se refaire une santé dans l'opposition.
deuxiement une opposition avec le pam et rni serait faible et sans un reel impact dans ce cas on prendrait le risque de renforcer le mouvementg du 20 fevrier qui deviendrait la seule vrai force d'opposition en l'absence d'une digne de ce nom et qui a ne serait ce qu'un peu de credibilité.c'est pour cela que l'usfp passera a l'opposition couper l'herbe sous le 20 fevrier et jouer la roue de secours.

vympel27 a écrit:

je voudrais revenir sur le passage de l'usfp a l'opposition a y reflechir je crois que c'est une decision tres intelligente du pouvoir que de pousser la gauche a l'opposition et ceci pour plusieures raisons:
d'abord si la victoire du pjd redonne de l'espoir au peuple marocain cette carte des islamistes peut etre bruler si le pjd echoue alors pourquoi risquer prendre le risque de faire bruler en meme temps une carte qui pourrait servir demain celle de la gauche.il est vrai que l'usfp est discredité est a beaucoup perdu de sa popularité mais sa carte n'est pas encore bruler a 100% et elle peut encore servir si on permet a ce parti de se refaire une santé dans l'opposition.
deuxiement une opposition avec le pam et rni serait faible et sans un reel impact dans ce cas on prendrait le risque de renforcer le mouvementg du 20 fevrier qui deviendrait la seule vrai force d'opposition en l'absence d'une digne de ce nom et qui a ne serait ce qu'un peu de credibilité.c'est pour cela que l'usfp passera a l'opposition couper l'herbe sous le 20 fevrier et jouer la roue de secours.

faut pas oublier les syndica si pjd pi et usfp sont dans le gouvernement il aura plus de syndica pour faire face au gouvernement sachant que seul le syndica de usfp est de travaille pour allé contre celui du pjd

tout est question de credibilité il faut une opposition qui a une legitimité aux yeux du peuple sinon le 20 fevrier polarisera les forces d'oppsosition vives que compte le pays.comme on met le pjd pour renforcer le gouvernement on met usfp pour donner du tonus a l'oppsosition c'est ca l'equilibre des forces et qui sait avec un coup de pouce la gauche pourra se faire une santé en reunissant toutes les forces d'opposition et anti pjd autour d'elle et reviendra sur la scene.si ce n'est pas le cas elle pourra au moins faire de l'ombre au 20 fevrier.

ca semble compliqué a comprendre mais c'est ca la politique il faut toujours penser a un plan B et quand ca n'existe pas on doit en le creer ou dans notre cas le ressuciter.

FAMAS a écrit:

http://www.assabah.press.ma/index.php?option=com_content&view=article&id=19031:2011-12-05-10-17-00&catid=37:cat-laune&Itemid=782
une première idée sur la répartition des portefeuilles ministériels
le pjd veut garder : la santé, justice, finances, education nationale
le PI : veut maintenir Ghelab au transport, Hjira Equipement , le PI réclame en tout 5 ministères
en plus de la présidence de la chambre des représentants

pas mal comme idées. c'est ce que je pense aussi c'est chose faite

sauf, pour la presidence de la chambre des représentants elle devrait etre resté au parti du PJD normalement.

lol drole comme les gens change sa me rappelle un certain dawdi même ci c'est de mes professeurs d'écnomie et que je respecte mais bon la faut dire que il a sauté sans slip comme tout les socialo devenu libéraux .

Spartan a écrit:

Il faut quelqu'un dans la lignée de ahmed reda chami, l'industrie les gars c'est aussi important que la justice, la santé et l'éducation !

Il faut continuer à faire du lobbying pour attirer de gros industriels dans le domaine ferroviaire, aéronautique, automobile, éléctronique et viser de nouveaux secteurs comme l'éléctronique, le pharmaceutique ! et surtout obliger tout ceux qui gagnent de gros marchés publiques, de passer par l'offset industriel ! j'achète des tramway alstom, je veux que l'on fabrique des pièces au maroc, j'achète des boeing je veux que des sous traitants s'installent dans mon pays etc...

Pour le ministère de l'industrie il faut clairement un technocrate avec de gros bagages et de l'expérience... si vous êtes un grands constructeurs automobiles, et qu'en face de vous on vous met un vieux en djellaba, babouche qui n'arrive pas à aligner 3 mots d'anglais correctement, et qui n'arrive pas à vendre notre pays correctement aux investisseurs... et c'est la fin des beaux projets du type de ceux que l'on a concrétisé ces derniers temps !

merci beaucoup spartan voila ce qui faut pour le maroc tu as tout dit bravo

vympel27 a écrit:

moi je voudrais voir abouayoub ancien ambassadeur en france comme ministre des affaires etrangeres je crois qu'il est au mouvement populaire.

sourtout pas celui la,c'est un blabla. de toute maniere FF a la fin a fait du bon travail,ou si non akherbach une grande dame en communication et experimente de prendre la releve

El Baqali de l'istiqlal parle que le UC est une ligne rouge pour le gouvernement, je ne sais pas ce que le PI (partie des grands voleurs) reproche à l'UC (les petits voleurs) ?

le 1er ministre benkirane & M'hjoub aherdane du MP :